LES ROUTIERS SONT SYMPAS

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
Auteur femme.
  • • 32 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Miss_Sexcret ont reçu un total de 77 820 visites.
Récit libertin : LES ROUTIERS SONT SYMPAS Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 312 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
LES ROUTIERS SONT SYMPAS
Ce texte est né d’une demande particulière et touchante. Arnorn, ancien routier aujourd’hui à la retraite, m’a confié une histoire vécue — une rencontre aussi singulière qu’inoubliable avec une femme hors norme, non vénale, libre, sexuellement assumée. Une “pure sexe addict”, selon ses mots, comme on en croise rarement.

Lui-même écrit avec sincérité, pudeur et excitation ce souvenir resté gravé dans sa mémoire. Il m’a demandé, si l’inspiration me venait, de raconter cette même histoire, mais du point de vue de Nelly, la mystérieuse conductrice à la robe jaune.

C’est avec respect pour son vécu, et gratitude pour sa confiance, que j’ai accepté.

Voici donc cette relecture, une plongée dans la tête, le corps et les pulsions d’une femme qui ne demande qu’à être vue, désirée, et libre.

Un hommage vibrant à la puissance du regard, à la tension des non-dits, et aux rencontres imprévues qui changent tout. Un fantasme pour beaucoup de femme, moi la première.

Merci, Arnorn, pour ta générosité et tes mots.

Ce texte t’est dédié et à cette femme si elle se reconnait.

LES ROUTIERS SONT SYMPAS

Je m’appelle Nelly. J’ai trente-quatre ans, je vis au Luxembourg, je suis mariée depuis bientôt dix ans, et je suis — en apparence — une femme comblée. Mariée à un homme d’affaires respecté, aisée, bien entretenue, sans enfants. Mais personne ne sait ce qui se passe vraiment dans ma tête, ni surtout dans mon corps.

Ce vendredi-là, j’avais quitté la maison vers midi. J’avais mis ma robe jaune, celle qui ne tient que par des boutons — une robe qui ne sert à rien d’autre qu’à être enlevée. Je savais déjà ce que je cherchais en prenant l’autoroute direction Metz : du regard, du frisson, du jeu. Rien que pour moi. Je n’avais rien prévu d’autre. Juste… me montrer.

Ce genre de journée, je les appelle mes échappées. Des moments où je reprends le contrôle, où je redeviens celle que je suis vraiment. Une femme libre, une salope assumée, une excitée du regard masculin, mais surtout une exhib, une vraie. Pas besoin d’être touchée, encore moins aimée. Juste vue, désirée, fantasmée.

Ce jour-là, tout était prêt : la voiture, le trajet, les stations… Mais j’avais mal choisi mon itinéraire. Pas de bouchons, pas de camions, presque pas de regards. Je me suis mise en colère contre moi-même. J’avais passé plus d’une heure à rouler, robe ouverte sur le ventre, seins au vent, chatte à l’air, et rien. Rien d’autre que le frottement de la ceinture sur ma peau nue. J’étais déjà tendue comme un arc.

Puis je l’ai vu. Lui.

Un poids lourd, imposant, bien entretenu, avec un chauffeur sérieux. Le genre de mec qui a l’habitude d’en voir passer, mais qui ne bronche pas facilement. Il m’a fallu deux tentatives pour capter son attention. La première fois, il n’a pas réagi. Pas un coup d’œil, pas un klaxon. J’enrageais. Était-il aveugle ? Homosexuel ? Ou juste… indifférent ?

Je le dépassais une première fois, robe ouverte, jambes bien écartées, mon sexe rasé offert comme une provocation. Rien. Pas un klaxon. Pas un putain d’appel de phare. Il restait droit, concentré sur sa route, comme si je n’existais pas.

Je suis restée à sa hauteur. Longtemps. Trop longtemps.

Mon cœur battait la chamade. Mes tétons durcissaient à l’air libre, ma peau frissonnait. Je me sentais tellement vulnérable et vivante à la fois. Et lui, impassible.

J’ai cru qu’il allait finir par craquer. Qu’il regarderait, qu’il mordrait sa lèvre, qu’il me donnerait ce foutu signe qui me ferait monter.

Mais non.

Rien.

Une colère sourde a commencé à m’envahir. Une frustration brutale.

Il ne me voulait pas. Il ne me voyait même pas. J’étais offerte, et il refusait mon offrande.

Alors j’ai accéléré. Je me suis rabattue brutalement devant son camion, volant serré entre mes mains tremblantes. J’ai failli me tuer. Failli le faire freiner d’urgence. Et j’ai continué, sans me retourner.

Les kilomètres suivants ont été un flou de tension nerveuse et de désir non libéré. Mon sexe brûlait. J’avais le ventre tordu, la tête en feu. Je me détestais. Je le détestais.

Quand j’ai vu l’aire de repos indiquée à trois kilomètres, je n’ai pas hésité. Je gare la voiture à la hâte, moteur encore chaud. Je claque la portière, robe toujours entrouverte sur mes cuisses en feu, et je fonce vers les toilettes de la station, presque en titubant. Je n’en peux plus. J’ai la tête qui bourdonne, la chatte qui pulse, les doigts qui tremblent. Il faut que ça sorte.

Je pousse la porte des toilettes femmes, croise mon reflet dans le miroir crasseux sans oser le regarder. Je file dans une cabine, verrouille la porte. L’adrénaline me secoue, mes genoux faiblissent. Je ne prends même pas le temps de m’asseoir sur la cuvette.

Je me laisse glisser le long du mur carrelé, dos contre la cloison froide, et j’écarte les cuisses. Violemment. Ma robe remonte d’un coup sur mes hanches. Je suis nue dessous. Je veux l’être. Je le suis toujours pendant mes échappées. Et là, je suis en feu.

Je passe deux doigts entre mes lèvres déjà trempées. Je suis dégoulinante. Pas juste mouillée : liquide, luisante, coulante de frustration.

Je m’étale. Je m’étire. Je me frotte. Je pensais à lui. À ce salaud de chauffeur qui n’avait même pas levé les yeux vers moi. À sa main posée sur le volant. À son indifférence. À ce que j’aurais voulu lui crier. Ou lui montrer. Je me suis frottée plus vite. Plus fort.

Je voulais jouir contre lui. Contre son calme. Contre son ignorance. Contre mon propre manque. Et dans un souffle coupé, mâchoires serrées, je me suis effondrée dans un orgasme brutal, silencieux, presque douloureux.

Je suis restée là un instant, haletante, en sueur, les doigts encore humides, le cœur cognant contre ma poitrine.

Puis je me suis redressée. J’ai refermé chaque bouton de ma robe. Remis mes talons.

Je venais de me laver les mains, encore un peu fébrile. L’eau fraîche n’avait pas suffi à faire retomber l’excitation, ni la honte légère qui collait à ma peau comme une seconde sueur. Je remets ma robe en place, croise mon reflet dans le miroir — les joues un peu roses, les yeux encore brillants. Je souris, à peine. Comme une gamine prise en faute. Ou comme une femme qui assume tout, mais pas tout de suite.

— Bonjour. Vous ne vous souvenez sûrement pas de moi, bien qu’on se soit déjà croisés il y a quelques minutes. Je suis le chauffeur que vous avez doublé. Deux fois.

Je me retourne et je vois un homme grand et large d’épaules. Calme. Il me regarde avec un mélange d’amusement et de fermeté. Ce regard que seuls certains hommes savent poser sur une femme quand ils ont vu quelque chose qu’ils n’étaient pas censés voir — mais qui les a marqués.

Je sens mes joues s’empourprer. Mon cœur fait un bond.

— Ah… oui. Bonjour.

Je baisse les yeux.

— Je suis désolée. Est-ce que… on pourrait parler dehors ?

Il hoche la tête, sans un mot de plus. Je le mène vers une table de pique-nique un peu à l’écart, à l’ombre des platanes. On s’assied. L’air est tiède, presque complice.

Il commence, droit dans mes yeux :

— Écoutez… que vous ayez envie de montrer votre cul et tout le reste à la terre entière, ça ne me dérange pas. Au contraire, c’était même un spectacle assez… captivant. Vous êtes une très belle femme.

Je retiens ma respiration.

— Mais prendre le risque de faire ça sur la route, en présence d’un bébé de 40 tonnes lancé à pleine vitesse, là je suis désolé, je ne suis plus d’accord du tout.

Je baisse les yeux, honteuse. Ce n’est pas un jeu quand quelqu’un vous parle comme ça. C’est réel, et c’est mérité.

— Je suis vraiment désolée, je murmure. Je vous demande pardon. Je… je ne sais pas ce qui m’a pris. J’étais furieuse. Hors de moi.

Il fronce légèrement les sourcils.

— Furieuse ? À cause de moi ?

Je hoche la tête. Et là, tout s’ouvre. Les mots sortent. Les vrais. Ceux qu’on garde d’habitude pour soi, ou pour la nuit.

Je parle. Rapidement. Sans détour.

Je lui dis comment je m’appelle , mon âge, mariée, riche, mal aimée.

Je lui dis que je ne supporte pas qu’on me touche, mais que j’adore me montrer. Que j’ai besoin d’exister dans les regards, dans le trouble que je provoque.

Je lui parle de l’exhibition, des lieux publics, des routes choisies, de la frustration de ce jour-là. De lui. De ce silence qu’il m’a renvoyé. De l’explosion qui a suivi.

Il ne dit rien. Mais je vois dans ses yeux qu’il ne s’attendait pas à ça. Pas à moi. Pas à cette vérité-là.

Je me tais. Je lève les yeux vers lui. Mon cœur bat encore trop vite.

Et doucement, presque timidement, je demande :

— Y’a-t-il quelque chose que je puisse faire… pour me faire pardonner ?

— Oui, termine le travail. Je t’attends dans ma cabine.

Je ne bouge pas tout de suite. Mon ventre se contracte. Il n’a pas haussé la voix. Il n’a pas souri. Juste ce regard, fixe, assuré, brut.Je me lève sans un mot. Je vais à ma voiture, prends discrètement un petit sac dans le coffre — le sac des jours où je veux qu’on me voie. Ce n’était pas prévu, mais je suis toujours prête.

Il est déjà monté dans sa cabine. Je grimpe les marches métalliques, mon cœur cogne dans ma poitrine. J’ai la gorge sèche, et le bas-ventre en feu.

J’entre.

La chaleur est moite. Les rideaux sont tirés, mais il a ouvert le toit vitré. Juste assez de lumière pour voir… pour être vue.

Il s’est installé sur son siège pivoté vers moi, torse nu, le pantalon de jogging encore sur lui, mais déjà tendu à l’entrejambe.

Il ne dit rien. Il me regarde. C’est moi qui ai les clés maintenant.

Je monte sur la couchette. À genoux. En face de lui. Les jambes légèrement écartées. Je déboutonne lentement ma robe jaune, un bouton après l’autre, en le fixant droit dans les yeux. Je sais ce que je fais. Je sais ce qu’il veut. Et j’adore le lui donner, mais à ma manière.

— Combien de filles sont déjà montées ici ? je souffle, un sourire aux lèvres.

— Aucune. T’es la première. Cabine neuve.

Je hausse un sourcil, mutine.— Chanceux… elle va être inaugurée par une vraie cochonne.

Je laisse la robe glisser sur mes épaules. Elle tombe derrière moi. Je suis nue. Sans soutien-gorge, sans culotte. Prête. Je me cambre légèrement, pose mes mains sur mes talons, bascule mon bassin en arrière pour lui offrir une vue bien dégagée de ma chatte rasée et de mon petit cul rond. Je le vois inspirer plus fort. Sa bosse grandit encore. Parfait.

Je me retourne à quatre pattes. Lentement. Et j’écarte mes fesses. Mes doigts effleurent ma raie. J’humecte mes doigts avec ma langue, puis j’en fais glisser un le long de mon anus, en cercles doux, provocants. Je le pénètre. Juste un peu. Puis un deuxième. Mes gémissements commencent à sortir, discrets, rauques. Je mouille déjà.

Je le regarde par-dessus mon épaule. Il a le regard rivé sur moi. Bouche entrouverte. Son jogging commence à glisser.

Je saisis mon sac. J’en sors un petit plug en métal, orné d’un faux diamant. Je le lèche, longuement, sans le quitter des yeux, puis je l’enfonce dans mon cul, d’un seul coup, dans un râle de plaisir mêlé de douleur.

Je sais ce que ça fait. Je sais ce que ça fait chez lui, surtout. Je le vois : sa main descend. Il bande comme un taureau.

Je veux qu’il me mate. Je veux qu’il se branle. Fort. Pour moi.

Je me retourne, toujours à genoux. J’ouvre le sac, en sors un petit gode de verre, fin, lisse, que j’enfonce doucement dans ma chatte détrempée. Je commence à me pénétrer en rythme. Lentement, au début. Puis plus vite. Mon autre main malaxe mes seins, mes tétons raides, hypersensibles.

Il a baissé son jogging. Sa queue est dure, belle, veineuse. Il se branle. Ses yeux plantés dans les miens.

Et là je lui murmure :

— Tu veux voir ce qu’une vraie cochonne peut faire ?

Il ne parle pas. Il halète. Il hoche la tête.

— Alors retiens-toi… parce que le meilleur est à venir.

Il se branle pour moi. Fort. Lentement d’abord, puis plus vite quand je pousse un peu plus profond le godemichet de verre en moi. Le bruit humide entre mes cuisses, mes petits râles étouffés… je sais que ça l’électrise.

Ses yeux restent plantés dans les miens. Je sens ce lien, ce fil tendu entre nous, cette tension animale qui fait monter la température encore d’un cran.

J’ouvre davantage mes jambes. Je bascule mon bassin. Je veux qu’il voie tout. Ma chatte écartée, gonflée, brillante de cyprine. Mon ventre qui tremble à chaque va-et-vient.

Je me cambre en arrière, je creuse les reins, et laisse tomber ma tête en arrière pour accentuer le geste. Je me fous de la grâce. Je veux juste qu’il me mate et qu’il jouisse dans sa tête avant de le faire avec sa queue.

Ma main quitte le gode pour venir chercher mon clito. Je suis déjà bien gonflée, bien sensible. Je le frotte avec deux doigts, en cercle, en rythme avec les coups de poignet de mon spectateur. Je mouille à l’excès. Ça déborde. J’adore ça.

— Tu te retiens ? je souffle en le fixant.

Il serre les dents. Son torse se soulève par vagues. Il transpire.

Je souris.

— Alors tu vas adorer la suite…

Je garde le plug dans mon cul. Je reprends le gode. Je le glisse encore une fois lentement en moi, puis je le retire à moitié. Encore. Encore. Jusqu’à ce que je sois trempée jusque sur les cuisses.

Mon souffle s’accélère, mes hanches roulent toutes seules. Je suis proche… trop proche. Je veux qu’il tienne. Je veux qu’il m’admire jusqu’au bout.

Je change de position. Je me mets en chien de fusil sur la couchette. Une jambe levée, calée sur le bord du placard au-dessus. Ma chatte est ouverte, bien offerte. Le gode continue d’aller et venir, cette fois d’une seule main. L’autre revient sur mon clito, plus directe, plus brutale. Je ne veux plus ralentir. Je veux le provoquer.

— Regarde-moi… Regarde bien ce que tu fais à une fille comme moi…

Il gémit. Sa queue est luisante. Il la tient fort, la branle avec rage, avec besoin.

Moi, je veux tenir encore un peu. Je m’endors presque dans le plaisir, bercée par mes propres va-et-vient. Je ne parle plus. Je grogne. Je me perds. Mon ventre se contracte. Mes jambes tremblent.

Je lâche le gode d’un coup, haletante, le retire d’un geste sec, et viens plaquer mes doigts directement en moi, puis je rajoute un, deux, trois doigts. Ma chatte est chaude, palpitante. Mon jus coule jusque sur la couchette.

Je le regarde. Il n’en peut plus.

Et je murmure, rauque :

— Tu veux que je me fiste ? Tu veux que je t’offre ça ? Rien que pour toi ?

Il hoche la tête, presque en suppliant. Il se branle comme un damné. J’adore le voir comme ça.

Je ferme les yeux. Inspire profondément. Et j’enfonce ma main. D’abord les quatre doigts, puis le pouce replié dans la paume. Lentement. Très lentement. Je sens tout s’ouvrir. Ma chatte me brûle, me dévore. Et puis… elle cède. Ma main entre. Jusqu’au poignet.

— Regarde-moi, mon routier… Regarde bien ce que j’ai dans le ventre.

Je commence de lents mouvements de va-et-vient, du poignet, de la paume. Ma cyprine éclabousse la couchette, mes râles deviennent des cris. Je me cambre, tendue, possédée par ma propre main.

Et lui… il craque. D’un coup. Un râle grave, long, presque douloureux. Il jouit, puissant, les yeux rivés sur mon sexe ouvert. De longs jets épais giclent sur son ventre, son torse, jusqu’au rebord de la cabine. Il ne s’arrête plus. Il en tremble.

Moi, je termine en criant. L’orgasme me submerge, incontrôlable, liquide, sauvage. Je me recroqueville sur la couchette, la main encore en moi, le corps en feu.

Silence.

Juste nos souffles. Lents.

Lourdement vivants.

Je reste allongée sur la couchette, jambes repliées, le ventre encore contracté, la main moite collée à ma peau. Je n’ose pas bouger. Pas tout de suite.

Il y a ce silence dans la cabine, ce silence étrange et lourd qu’on entend juste après avoir hurlé de plaisir.

Il s’essuie vaguement le torse avec un vieux t-shirt, sans dire un mot.

Moi, je respire fort, j’ai chaud, mais j’ai aussi cette drôle de sensation entre les cuisses — mélange de satiété animale et de vide absolu.

Je me redresse lentement. Nos regards se croisent. Il ne sourit pas. Il me regarde. Encore. Comme s’il voulait s’imprimer chaque détail dans la mémoire.

Je parle la première, à voix basse :

— C’est la première fois que quelqu’un me regarde comme ça… jusqu’au bout. Sans détourner les yeux.

Il hoche la tête, un rictus au coin des lèvres.

— C’est la première fois que je vois ça. Tout ça.

Je souris. Pas fière. Juste… pleinement moi.

Je cherche mon sac, je me rhabille doucement. Ma robe glisse sur mes épaules, mais je ne remets pas de culotte. Pour une fois, je n’ai pas envie de refermer.

Je sors un petit bout de papier, griffonne mon prénom, un numéro.

— Si un jour tu repasses par là…

Il le prend sans répondre, le glisse dans sa poche de jogging.

Je descends de la cabine sans me retourner.

Il est déjà en train de rallumer le moteur. Le devoir, la route, le bitume.

Je remonte dans ma voiture. Je m’assieds. Je regarde mes mains. Elles tremblent encore.

Je souris. Grand. Vraiment.

Il ne m’a pas touchée. Pas une seule fois.

Mais c’est la première fois depuis longtemps… que je me suis vraiment sentie prise.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Comme toujours très originale, une écriture travaillée, précise, superbement érotique, où l'on voit parfaitement ce corps et ce cerveau féminins qui nous entraînent dans cette histoire diablement écrite...

Merci !

Quelle écriture
Quel spectacle
Quelle jouissance
Merci... A bientôt



Texte coquin : LES ROUTIERS SONT SYMPAS
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Miss_Sexcret

LES ROUTIERS SONT SYMPAS - Récit érotique publié le 13-09-2025
LE CASTING - Récit érotique publié le 12-09-2025
LA STAGIAIRE - Récit érotique publié le 11-09-2025
SANCTUAIRE - Récit érotique publié le 09-09-2025
L’ASCENSEUR - Récit érotique publié le 07-09-2025
DÉBRIEFING TARDIF - Récit érotique publié le 05-09-2025
DOCTEURE S. - Récit érotique publié le 03-09-2025
THAÏLANDE – BANGKOK (suite) - Récit érotique publié le 24-08-2025
THAÏLANDE - BANGKOK - Récit érotique publié le 20-08-2025
THAÏLANDE - PHUKET - Récit érotique publié le 17-08-2025