Les temps nouveaux - et autres dialogues interdits

Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Les temps nouveaux - et autres dialogues interdits
Quelques épisodes de "Dialogues Interdits", série d'histoires complètes ayant pour singularité de ne comporter aucune narration ni didascalie.
Ecrits par Théo Kosma, d'après les confidences de Chloé. Pour tout savoir sur mon univers littéraire, RDV sur mon profil.
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Les temps nouveaux
— Donc t’arrives à organiser des plans à trois avec des filles… qui à la base sont pas au courant. C’est bien ça ?
— Oui, des orchestrations. Rassure-toi tout le monde est consentant !
— Surtout toi non ?
— Moi autant qu’elles. La seule différence est que je suis moi au parfum depuis le début, vu qu’il y a un stratagème.
— Donc sans manipulation elles accepteraient pas.
— Et je préfère ainsi ! Que veux-tu, c’est ce qui m’excite : convaincre une nana qui à la base avait aucun désir particulier. Et alors deux je te raconte pas. C’est l’apothéose !
— Sans blague.
— Fantasme classique, je sais.
— Ce qui l’est pas, c’est que tu fais partie des rares qui parviennent à leurs fins. Alors ton plan ?
— Sortie, soirée, drague, flirt… avec une seule fille. Qui est dans un groupe, donc généralement en boîte. Il faut pas qu’il y ait déjà passage à l’acte, plutôt des regards, un petit jeu de séduction… Fin de soirée, catastrophe : on m’a piqué mon portefeuille, où j’avais notamment mes clés. Tout est fait pour que la fille propose de m’héberger. C’est là qu’intervient la meilleure copine ! Inquiète. Je reste plus ou moins un étranger, un inconnu.
— Elle propose discrètement de venir aussi, c’est ça ?
— Ça loupe jamais ! Et c’est ensuite que ça se joue. A l’abri des regards… Apaiser l’atmosphère, offrir à manger, à boire aussi mais sans alcool, se servir un verre de la même bouteille pour montrer qu’il y a pas embrouille, faire des blagues, mettre de la musique…
— Avec quel argent ?
— Dans mon portefeuille « perdu » il y a une carte et des clés, par contre mon cash est ailleurs.
— Et c’est là que ça vire en plan à trois.
— Bien souvent au petit matin ! Parfois dans la soirée, parfois en pleine nuit… C’est selon. Il arrive que l’une ait secrètement envie de l’autre depuis longtemps et saute sur l’occase. Je m’arrange juste pour prendre ma part. Encore que, je peux aussi prendre plaisir à regarder.
— Et les taxis ? Et les bus de nuit ?
— Quelques articles archivés sur mon mobile parlant d’un accident sur telle route, d’une grève surprise… Et je fais croire à des infos de dernière minute.
— Aucun doute t’es vraiment un manipulateur.
— Du moment où il y a consentement !
— Et t’arrives à le faire avec de jolies filles ?
— Celle que je drague, oui. Celle qui se propose de venir, en général c’est plutôt la moins bonne du groupe. Les pas très belles sont ainsi, elles cherchent à se valoriser autrement. On peut pas tout avoir ! Suffit de regarder la plus belle pendant que tu baises la moins belle… Que la plus belle te suce la bite pendant que la vilaine te lèche les couilles. Et tout s’arrange !
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En symbiose
— On était en mode camping sauvage, un printemps. Et ma petite sœur arrivait toujours à la douche dans un état pas possible : terreuse de la tête aux pieds, plus encore à l’entrejambe. Pour des douches qui s’éternisaient.
— Comment elle faisait ?
— Des vadrouilles en forêt. A grimper aux arbres, se rouler dans l’herbe, la terre…
— A poil ?
— Eh, dans camping sauvage il y a le mot…
— Personne de choqué ?
— Non car personne dans le coin. Qui dit camping sauvage dit aussi zone désert. Les quelques rares randonneurs qu’elle croisait se marraient en la voyant, rien de plus.
— Et votre mère ?
— Trop contente de pas avoir mille fringues rapiécées et toutes sales. Au pire à jeter, au mieux à nettoyer. N’empêche… Noélie prenait beaucoup trop d’eau.
— La douche du camping-car ?
— Non, elle aurait tout sifflé. Une femme des environs nous prêtait gentiment sa grand salle de bain matin et soir. J’ai quand même dit à Noélie qu’il fallait pas abuser de sa gentillesse. En plus on manquait à chaque fois de lui boucher quelque chose. Et nettoyer la douche prenait encore plus de temps que la prendre ! Vraiment elle exagérait. Surtout, je lui ai dit de cesser de prendre la saleté pour prétexte : si elle tenait tant à se caresser, qu’elle aille se mettre dans un coin discret pour le faire tant qu’elle voulait.
— Et elle a compris ?
— C’est moi qui n’avais pas compris ! Elle m’a expliqué qu’elle adorait se rouler dans la terre, ça l’excitait. Et adorait aussi se mettre sur un monticule de terre, à cheval, pour y remuer son bassin. La zone hyper terreuse à son entrejambe c’était ça !
— Ta sœur a pu continuer à le faire ?
— Au début oui à condition de retirer le gros de la saleté au lac, pas sous la douche. Ensuite… Après inspection minutieuse de maman, interdiction : l’entrejambe devenait en feu ! Des rougeurs et irritations de plus en plus marquées ! En plus c’était un cercle vicieux, plus ça la démangeait plus elle se touchait. A se tortiller dans tous les sens comme une petite salope, alors que c’était par inconfort. Tu parles que Noélie se plaignait de plus en plus souvent d’avoir mal !
— L’interdiction l’a attristée ?
— Oui, et pour la consoler je lui ai expliqué comment on pouvait se donner du plaisir sans s’irriter. Et sans terre, et sans eau. Il était temps !
— Ça lui a suffi ?
— Presque. Elle a beaucoup apprécié, tout en me disant que quand même « faire l’amour avec la nature » c’était encore bien mieux. Et qu’elle avait envie de me montrer.
— Aïe…
— Rassure-toi ! Ça a été l’occasion de moments magnifiques. Car j’ai accepté, à condition de se donner du plaisir sans s’esquinter. On a cherché… on a trouvé !
— Aucun randonneur ?
— Cette fois il fallait plus en croiser. Elle seule ça allait. Elle et moi… Remarque, ça aurait fait plaisir à certains j’imagine.
— Et vous avez fait… ?
— Tout un rituel de sorcellerie. Marcher, sautiller, gambader, chanter, sentir les odeurs, toucher les arbres, les plantes. Puis le reste. Je nous revois encore elle et moi, nues, allongées dans la paille, chacune soufflant dans son coin…
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Lunettes de nuit
— T’es arrivé à revendre tes lunettes à vision nocturne ?
— Oui : il était temps !
— J’ai jamais compris pourquoi t’achetais autant de gadgets inutiles.
— Maintenant je peux te l’avouer. C’était dans un but précis. Celui d’aller vadrouiller au bord du canal, la nuit.
— Avec les lunettes ? Pour voir quoi ?
— Tu saisis pas ? Le canal est plongé dans le noir. A une certaine heure, tout est éteint dans les maisons. Sans lumière personne peut voir à l’intérieur. Pour bien des filles, volets et rideaux deviennent inutiles.
— Non… T’arrivais à les voir nues grâce aux lunettes !?
— C’est bien ça. Au sortir de la douche, pour se changer… certaines nues pour le plaisir, certaines se caressant. Et puis des scènes de couples, bien entendu.
— Simple mais ingénieux.
— Sauf que les filles se mettaient à me faire peur. J’aurais dû y penser : la vision nocturne infrarouge donne au corps une allure fantomatique. Limite zombie ! J’étais en train de me construire une image effrayante de la femme. Et malgré tout c’était fascinant et j’y revenais chaque nuit. Alors que le jour j’osais plus les aborder !
— Tu es un pervers trop original. Ça te joue des tours !
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D'autres dialogues interdits sous peu sur Histoires De Sexe.
Si vous avez lu jusque-là ne me quittez pas sans rien dire : laissez vos impressions en commentaire ! - Théo
Ecrits par Théo Kosma, d'après les confidences de Chloé. Pour tout savoir sur mon univers littéraire, RDV sur mon profil.
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Les temps nouveaux
— Donc t’arrives à organiser des plans à trois avec des filles… qui à la base sont pas au courant. C’est bien ça ?
— Oui, des orchestrations. Rassure-toi tout le monde est consentant !
— Surtout toi non ?
— Moi autant qu’elles. La seule différence est que je suis moi au parfum depuis le début, vu qu’il y a un stratagème.
— Donc sans manipulation elles accepteraient pas.
— Et je préfère ainsi ! Que veux-tu, c’est ce qui m’excite : convaincre une nana qui à la base avait aucun désir particulier. Et alors deux je te raconte pas. C’est l’apothéose !
— Sans blague.
— Fantasme classique, je sais.
— Ce qui l’est pas, c’est que tu fais partie des rares qui parviennent à leurs fins. Alors ton plan ?
— Sortie, soirée, drague, flirt… avec une seule fille. Qui est dans un groupe, donc généralement en boîte. Il faut pas qu’il y ait déjà passage à l’acte, plutôt des regards, un petit jeu de séduction… Fin de soirée, catastrophe : on m’a piqué mon portefeuille, où j’avais notamment mes clés. Tout est fait pour que la fille propose de m’héberger. C’est là qu’intervient la meilleure copine ! Inquiète. Je reste plus ou moins un étranger, un inconnu.
— Elle propose discrètement de venir aussi, c’est ça ?
— Ça loupe jamais ! Et c’est ensuite que ça se joue. A l’abri des regards… Apaiser l’atmosphère, offrir à manger, à boire aussi mais sans alcool, se servir un verre de la même bouteille pour montrer qu’il y a pas embrouille, faire des blagues, mettre de la musique…
— Avec quel argent ?
— Dans mon portefeuille « perdu » il y a une carte et des clés, par contre mon cash est ailleurs.
— Et c’est là que ça vire en plan à trois.
— Bien souvent au petit matin ! Parfois dans la soirée, parfois en pleine nuit… C’est selon. Il arrive que l’une ait secrètement envie de l’autre depuis longtemps et saute sur l’occase. Je m’arrange juste pour prendre ma part. Encore que, je peux aussi prendre plaisir à regarder.
— Et les taxis ? Et les bus de nuit ?
— Quelques articles archivés sur mon mobile parlant d’un accident sur telle route, d’une grève surprise… Et je fais croire à des infos de dernière minute.
— Aucun doute t’es vraiment un manipulateur.
— Du moment où il y a consentement !
— Et t’arrives à le faire avec de jolies filles ?
— Celle que je drague, oui. Celle qui se propose de venir, en général c’est plutôt la moins bonne du groupe. Les pas très belles sont ainsi, elles cherchent à se valoriser autrement. On peut pas tout avoir ! Suffit de regarder la plus belle pendant que tu baises la moins belle… Que la plus belle te suce la bite pendant que la vilaine te lèche les couilles. Et tout s’arrange !
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En symbiose
— On était en mode camping sauvage, un printemps. Et ma petite sœur arrivait toujours à la douche dans un état pas possible : terreuse de la tête aux pieds, plus encore à l’entrejambe. Pour des douches qui s’éternisaient.
— Comment elle faisait ?
— Des vadrouilles en forêt. A grimper aux arbres, se rouler dans l’herbe, la terre…
— A poil ?
— Eh, dans camping sauvage il y a le mot…
— Personne de choqué ?
— Non car personne dans le coin. Qui dit camping sauvage dit aussi zone désert. Les quelques rares randonneurs qu’elle croisait se marraient en la voyant, rien de plus.
— Et votre mère ?
— Trop contente de pas avoir mille fringues rapiécées et toutes sales. Au pire à jeter, au mieux à nettoyer. N’empêche… Noélie prenait beaucoup trop d’eau.
— La douche du camping-car ?
— Non, elle aurait tout sifflé. Une femme des environs nous prêtait gentiment sa grand salle de bain matin et soir. J’ai quand même dit à Noélie qu’il fallait pas abuser de sa gentillesse. En plus on manquait à chaque fois de lui boucher quelque chose. Et nettoyer la douche prenait encore plus de temps que la prendre ! Vraiment elle exagérait. Surtout, je lui ai dit de cesser de prendre la saleté pour prétexte : si elle tenait tant à se caresser, qu’elle aille se mettre dans un coin discret pour le faire tant qu’elle voulait.
— Et elle a compris ?
— C’est moi qui n’avais pas compris ! Elle m’a expliqué qu’elle adorait se rouler dans la terre, ça l’excitait. Et adorait aussi se mettre sur un monticule de terre, à cheval, pour y remuer son bassin. La zone hyper terreuse à son entrejambe c’était ça !
— Ta sœur a pu continuer à le faire ?
— Au début oui à condition de retirer le gros de la saleté au lac, pas sous la douche. Ensuite… Après inspection minutieuse de maman, interdiction : l’entrejambe devenait en feu ! Des rougeurs et irritations de plus en plus marquées ! En plus c’était un cercle vicieux, plus ça la démangeait plus elle se touchait. A se tortiller dans tous les sens comme une petite salope, alors que c’était par inconfort. Tu parles que Noélie se plaignait de plus en plus souvent d’avoir mal !
— L’interdiction l’a attristée ?
— Oui, et pour la consoler je lui ai expliqué comment on pouvait se donner du plaisir sans s’irriter. Et sans terre, et sans eau. Il était temps !
— Ça lui a suffi ?
— Presque. Elle a beaucoup apprécié, tout en me disant que quand même « faire l’amour avec la nature » c’était encore bien mieux. Et qu’elle avait envie de me montrer.
— Aïe…
— Rassure-toi ! Ça a été l’occasion de moments magnifiques. Car j’ai accepté, à condition de se donner du plaisir sans s’esquinter. On a cherché… on a trouvé !
— Aucun randonneur ?
— Cette fois il fallait plus en croiser. Elle seule ça allait. Elle et moi… Remarque, ça aurait fait plaisir à certains j’imagine.
— Et vous avez fait… ?
— Tout un rituel de sorcellerie. Marcher, sautiller, gambader, chanter, sentir les odeurs, toucher les arbres, les plantes. Puis le reste. Je nous revois encore elle et moi, nues, allongées dans la paille, chacune soufflant dans son coin…
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Lunettes de nuit
— T’es arrivé à revendre tes lunettes à vision nocturne ?
— Oui : il était temps !
— J’ai jamais compris pourquoi t’achetais autant de gadgets inutiles.
— Maintenant je peux te l’avouer. C’était dans un but précis. Celui d’aller vadrouiller au bord du canal, la nuit.
— Avec les lunettes ? Pour voir quoi ?
— Tu saisis pas ? Le canal est plongé dans le noir. A une certaine heure, tout est éteint dans les maisons. Sans lumière personne peut voir à l’intérieur. Pour bien des filles, volets et rideaux deviennent inutiles.
— Non… T’arrivais à les voir nues grâce aux lunettes !?
— C’est bien ça. Au sortir de la douche, pour se changer… certaines nues pour le plaisir, certaines se caressant. Et puis des scènes de couples, bien entendu.
— Simple mais ingénieux.
— Sauf que les filles se mettaient à me faire peur. J’aurais dû y penser : la vision nocturne infrarouge donne au corps une allure fantomatique. Limite zombie ! J’étais en train de me construire une image effrayante de la femme. Et malgré tout c’était fascinant et j’y revenais chaque nuit. Alors que le jour j’osais plus les aborder !
— Tu es un pervers trop original. Ça te joue des tours !
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