Ma première année d'internat (4)
Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Ma première année d'internat (4)
Chapitre 4.
-Putain, c’était le pied. Ton petit cul était bien serré de l’intérieur. Tu as aimé ?
-Ouiiii, dis-je en reprenant mon souffle.
-Bon, je sors le premier et tu me rejoins après ok ?
-Oui, mais je crois que je vais passer aux toilettes avant.
-Ah oui je vois.
Il m’embrassa à nouveau, s’essuya, mis la serviette autour de sa taille et partit dans la chambre. Quant à moi, je suis resté encore un peu sous l’eau chaude pour reprendre mes esprits quand j’entendis :
-On se dépêche sous la douche ! dit le pion
-Oui oui, j’ai fini.
Putain, j’espère juste que le pion ne nous a pas surpris. La honte sinon. Je me dépêche donc de me sécher puis m’habiller. Une fois fait, je sors des douches et me dirige vers les toilettes. Ouf, je suis seul.
-Alors, petit cochon, on s’est bien amusé dans les douches tout à l’heure ?
J’allais rentrer dans une cabine quand le pion surgit de nulle part. Je suis devenu rouge et je ne savais pas quoi dire et je ne pouvais pas me réfugier dans les toilettes car il maintenait la porte. Je l’ai regardé rapidement puis détourner le regard d’un coup. Ce pion doit avoir 24 ou 25 ans, dans les 1m90, plutôt musclé (oui vu que c’est un des entraineurs de Maxence), des cheveux noirs avec des yeux verts.
-Qu….quoi ? fut la seule chose que je puiss dire à ce moment.
-Je disais, tu t’es bien amusé avec Maxence sous la douche ?
-C… comment ça ?
-Arrêtes, je vous ai entendu dans les douches mais je vous ai laisser faire. J’ai même fait attention à ce que personnes ne rentrent pour ne pas vous faire capter.
-Je euhhh, merci.
-Y’a pas de quoi. Du coup, tu m’en devras une.
-Quoi ?
-Oui, vu que j’ai fait en sorte que vous soyez tranquille et que je dois garder votre secret, tu m’en devras une, dit-il en se touchant rapidement l’entre-jambe. Bon, tu fais quoi ?
-Je, je voulais aller aux toilettes m’sieur.
-Les m’sieur c’est pour les vieux, tu peux m’appeler Tristan.
-Ok. Je peux y aller s’il vous plaît ?
-Oui ok, et n’oublies pas ce que je t’ai dit et pas un mot à personne. Même pas à Maxence.
-Oui.
Il me laissa tranquille et partit à son bureau qui se trouvait dans le couloir. Je partis aux toilettes puis une fois terminé, je suis retourné dans ma chambre. Lorsque je suis rentré, je suis parti m’allonger dans mon lit sous les couvertures. Trente secondes plus tard, je reçu un message de Maxence qui me demandait ce qu’il m’arrivait. Je ne répondis rien et me mis à pleurer en silence. Un mélange de peur, de honte, d’angoisse se mélangèrent. A force de pleurer, j’ai fini par m’endormir.
Vers une heure du matin, je fus réveillé car quelqu’un s’introduisait doucement dans mon lit en me prenant dans ses bras. J’ouvris les yeux et tournais la tête pour apercevoir Maxence. Il me dit doucement :
-Qu’est-ce qu’il t’est arrivé tout à l’heure mon beau ?
-Rien, t’inquiètes pas !
-Dis-moi, tu sais que tu peux tout me dire ?
-Tout va bien, je te le promets.
-Ok, tu veux que je retourne dans mon lit ?
-Non, s’il te plaît, tu peux rester un peu ? Mais Charly va peut-être nous capter ?
-Non, il dort avec ses écouteurs et quand il dort, c’est une vraie masse. Il n’entendrait même pas l’alarme incendie.
-Merci.
-Si tu veux, je reste dormir avec toi et tu mets ton réveil sur ton téléphone une heure avant la sonnerie pour que je retourne dans mon lit.
-Oui, on peut faire ça mais tu as assez de place ?
-Dors.
Nous nous sommes endormis rapidement il je suis resté dans ses bras le reste de la nuit.
Le lendemain matin, nous avons fait ce qui était convenu et avons pris soin d’être discret. Nous sommes allés prendre notre petit-déjeuner. Une fois terminé, nous allions repartir quand Tristan interpella Maxence en le prenant à part. Nous sommes donc partis et je me suis senti devenir rouge de honte quand le pion m’envoya un regard bizarre. Je suis allé retrouver Myriam qui m’attendait à l’entrée du lycée.
Elle m’a demandé comment s’était passé ma soirée et si j’avais pu parler avec Maxence. Je lui ai dit ce qui s’était passer sans détails mais je ne lui ai pas parler du pion. Bref, la matinée s’est déroulée normalement puis le midi, nous sommes allés manger. Avant de rentrer dans le self, j’ai aperçu Maxence seul sur son téléphone et j’ai dit à Myriam de m’attendre deux minutes car je voulais aller le voir.
-Eh Maxence ! lui dis-je en m’approchant de lui.
Il se retourna pour voir qui l’appelait mais cette fois-ci sans sourire.
-Ça va ? Qu’est ce que le pion te voulait ce matin ?
-Rien de spécial. Bon, désolé mais les potes m’attendent. On va manger eu BK ce midi.
Il ne prit même pas le temps de me dire autre chose ni même salut. Même pas un seul regard. Et cette façon de me parler était plutôt froide et distante.
Je suis reparti vers Myriam qui m’interrogea mais je ne savais pas quoi lui dire de plus.
-Putain, mais c’est un vrai connard ton mec là !
-Je ne sais pas, il a quand même passé la nuit avec moi mais là, y’a clairement un truc.
-Envoies lui un message et tu verras bien sa réponse.
-Et je lui dis quoi ?
-Demandes lui juste si tout va bien entre vous ?
Je pris donc mon téléphone et lui envoyais. La réponse fut immédiate : « Désolé mec, mais ça va être compliqué de continuer. On a baisé ensemble, c’était super mais on va en rester là. T’inquiètes pas, on pourra être pote sans soucis mais rien de plus. A plus ».
Je suis devenu tout blanc, je me suis levé et je suis parti me réfugier dans les toilettes où je m’enfermais et me mis à pleurer. Putain, mais comment j’ai pus me faire avoir à ce point-là. Comment j’ai pus être aussi stupide. Je suis resté enfermé comme ça jusqu’à la sonnerie où j’ai retrouvé Myriam avec mes affaires qui m’attendait devant la salle.
-Tu m’as laissée en plan avec toutes tes affaires à débarrasser et ton sac à prendre.
-Merci, je suis désolé.
-Qu’est-ce qui t’arrive ?
Je lui ai montré le message et elle me prit dans ses bras. Nous sommes allés en cours mais je n’ai rien écouter de l’après-midi. A la fin des cours, Myriam me fit la bise en me disant courage et que je pouvais lui envoyer des messages durant la soirée si cela n’allait pas mieux. Je suis ensuite parti directement dans ma chambre à l’internat.
Charly et Maxence sont arrivé quelques temps après en rigolant et Charly prit la parole :
-Bon les mecs, il faut que je vous dise quelque chose !
Merde, lui aussi sait ? me dis-je.
-Qu’est-ce que tu veux nous dire mon pote ?
-En fait, durant les vacances avec Claire, on a décidé de prendre un appart ensemble et du coup, on emménage ce week-end donc je suis désolé mon Max mais tu vas devoir vivre sans moi.
-Tu fais chier, merde !!! Mais je suis quand même content pour vous, c’est cool.
Tous les deux se chahutèrent sur le lit de Maxence, puis se mirent à discuter. Je pris mon sac et commença à faire mes devoirs que nous avions eu dans la journée.
-Tu viens manger avec nous, me dit Charly ?
J’ai levé la tête, Maxence ne me regardait pas puis je dis :
-Non, ce soir je ne me sens pas très bien et j’ai du boulot à faire.
-Ok, comme tu veux. A toute alors.
-Oui, à tout à l’heure. Bon appétit.
Ils sortirent de la chambre et je me retrouvais donc seul. Je me suis levé pour aller au lavabo me rafraîchir le visage. Tout le monde était descendu manger et je me retrouvais donc seul à l’étage.
-Tu ne dis pas bonjour ?
Je me suis figé sur place en entendant cette voix.
-Bonjour Tristan.
-Tu fais quoi tout seul, tu ne descends pas manger avec les autres ?
-Non, je n’ai pas vraiment faim.
-C’est cool alors que l’on soit seul.
-Ppp…Pourquoi ? fis-je en devenant tout pâle.
-Eh bien, tu vas me rendre un petit service.
-Lequel ?
-Eh bien viens avec moi, je vais te montrer ça.
Il me montra sa chambre et me fit rentrer et me demanda d’aller m’asseoir sur son lit.
-Qu’est-ce que je peux faire pour vous ?
-Bon, on ne va pas tourner autour du pot, ok ? J’ai envie que tu me suces.
-Mais, non, on ne peut pas faire ça.
-Tu veux que je garde ton secret oui ou merde ?
-Oui, oui, s’il vous plaît ne dîtes rien !
-Ok alors suces-moi.
Il ouvrit sa braguette, descendit un peu son pantalon et son boxer et sa queue était là. Une queue pendante avec les poils rasés. Une queue d’environ 10cm au repos. Il s’approcha de moi et je me mis à pleurer.
-Oh, arrêtes de pleurer. Suce-moi tout de suite. Et surtout, ne mets pas les dents.
Il prit ma tête avec une main et sa bite de l’autre et la plaça devant ma bouche. Il força le passage et j’ai dus me résigner à commencer à le sucer. Sa queue grossit rapidement. 19x5 environ. Je pris la base de sa queue et le branlait en le suçant en même temps.
-On n’a pas trop de temps alors fais-moi juter rapidement ok.
Il se mit à faire des allers retours dans ma bouche de plus en plus vite tout en me disant que j’étais une bonne petite chienne. Qu’il allait bien s’occuper de moi. Je continuais à pleurer pendant qu’il me baisait la bouche. Il allait de plus en plus fort et au bout de 15 minutes de se traitement il sortit sa queue puis me la planta directement en fond de gorge pour juter une quantité phénoménale de sperme.
-Avales petite salope.
J’avalais donc son jus toujours en pleurant. Il ressortit sa queue de ma bouche et la remis dans son caleçon et remonta son pantalon.
-Relèves-toi et retournes dans ta chambre.
J’allais repartir dans il me dit :
-Cette nuit, deux heures du mat, je te veux ici dans ma chambre. Tu te démerdes comme tu veux mais tu n’as pas le choix. Est-ce que c’est compris ?
Je fis oui de la tête puis reparti dans ma chambre. Je me mis sous les couvertures et pleurais comme jamais je n’ai pleuré.
Les garçons sont remontés quelques minutes plus tard mais je fis comme si de rien n’était et fis semblant de dormir.
Fin du chapitre 4.
-Putain, c’était le pied. Ton petit cul était bien serré de l’intérieur. Tu as aimé ?
-Ouiiii, dis-je en reprenant mon souffle.
-Bon, je sors le premier et tu me rejoins après ok ?
-Oui, mais je crois que je vais passer aux toilettes avant.
-Ah oui je vois.
Il m’embrassa à nouveau, s’essuya, mis la serviette autour de sa taille et partit dans la chambre. Quant à moi, je suis resté encore un peu sous l’eau chaude pour reprendre mes esprits quand j’entendis :
-On se dépêche sous la douche ! dit le pion
-Oui oui, j’ai fini.
Putain, j’espère juste que le pion ne nous a pas surpris. La honte sinon. Je me dépêche donc de me sécher puis m’habiller. Une fois fait, je sors des douches et me dirige vers les toilettes. Ouf, je suis seul.
-Alors, petit cochon, on s’est bien amusé dans les douches tout à l’heure ?
J’allais rentrer dans une cabine quand le pion surgit de nulle part. Je suis devenu rouge et je ne savais pas quoi dire et je ne pouvais pas me réfugier dans les toilettes car il maintenait la porte. Je l’ai regardé rapidement puis détourner le regard d’un coup. Ce pion doit avoir 24 ou 25 ans, dans les 1m90, plutôt musclé (oui vu que c’est un des entraineurs de Maxence), des cheveux noirs avec des yeux verts.
-Qu….quoi ? fut la seule chose que je puiss dire à ce moment.
-Je disais, tu t’es bien amusé avec Maxence sous la douche ?
-C… comment ça ?
-Arrêtes, je vous ai entendu dans les douches mais je vous ai laisser faire. J’ai même fait attention à ce que personnes ne rentrent pour ne pas vous faire capter.
-Je euhhh, merci.
-Y’a pas de quoi. Du coup, tu m’en devras une.
-Quoi ?
-Oui, vu que j’ai fait en sorte que vous soyez tranquille et que je dois garder votre secret, tu m’en devras une, dit-il en se touchant rapidement l’entre-jambe. Bon, tu fais quoi ?
-Je, je voulais aller aux toilettes m’sieur.
-Les m’sieur c’est pour les vieux, tu peux m’appeler Tristan.
-Ok. Je peux y aller s’il vous plaît ?
-Oui ok, et n’oublies pas ce que je t’ai dit et pas un mot à personne. Même pas à Maxence.
-Oui.
Il me laissa tranquille et partit à son bureau qui se trouvait dans le couloir. Je partis aux toilettes puis une fois terminé, je suis retourné dans ma chambre. Lorsque je suis rentré, je suis parti m’allonger dans mon lit sous les couvertures. Trente secondes plus tard, je reçu un message de Maxence qui me demandait ce qu’il m’arrivait. Je ne répondis rien et me mis à pleurer en silence. Un mélange de peur, de honte, d’angoisse se mélangèrent. A force de pleurer, j’ai fini par m’endormir.
Vers une heure du matin, je fus réveillé car quelqu’un s’introduisait doucement dans mon lit en me prenant dans ses bras. J’ouvris les yeux et tournais la tête pour apercevoir Maxence. Il me dit doucement :
-Qu’est-ce qu’il t’est arrivé tout à l’heure mon beau ?
-Rien, t’inquiètes pas !
-Dis-moi, tu sais que tu peux tout me dire ?
-Tout va bien, je te le promets.
-Ok, tu veux que je retourne dans mon lit ?
-Non, s’il te plaît, tu peux rester un peu ? Mais Charly va peut-être nous capter ?
-Non, il dort avec ses écouteurs et quand il dort, c’est une vraie masse. Il n’entendrait même pas l’alarme incendie.
-Merci.
-Si tu veux, je reste dormir avec toi et tu mets ton réveil sur ton téléphone une heure avant la sonnerie pour que je retourne dans mon lit.
-Oui, on peut faire ça mais tu as assez de place ?
-Dors.
Nous nous sommes endormis rapidement il je suis resté dans ses bras le reste de la nuit.
Le lendemain matin, nous avons fait ce qui était convenu et avons pris soin d’être discret. Nous sommes allés prendre notre petit-déjeuner. Une fois terminé, nous allions repartir quand Tristan interpella Maxence en le prenant à part. Nous sommes donc partis et je me suis senti devenir rouge de honte quand le pion m’envoya un regard bizarre. Je suis allé retrouver Myriam qui m’attendait à l’entrée du lycée.
Elle m’a demandé comment s’était passé ma soirée et si j’avais pu parler avec Maxence. Je lui ai dit ce qui s’était passer sans détails mais je ne lui ai pas parler du pion. Bref, la matinée s’est déroulée normalement puis le midi, nous sommes allés manger. Avant de rentrer dans le self, j’ai aperçu Maxence seul sur son téléphone et j’ai dit à Myriam de m’attendre deux minutes car je voulais aller le voir.
-Eh Maxence ! lui dis-je en m’approchant de lui.
Il se retourna pour voir qui l’appelait mais cette fois-ci sans sourire.
-Ça va ? Qu’est ce que le pion te voulait ce matin ?
-Rien de spécial. Bon, désolé mais les potes m’attendent. On va manger eu BK ce midi.
Il ne prit même pas le temps de me dire autre chose ni même salut. Même pas un seul regard. Et cette façon de me parler était plutôt froide et distante.
Je suis reparti vers Myriam qui m’interrogea mais je ne savais pas quoi lui dire de plus.
-Putain, mais c’est un vrai connard ton mec là !
-Je ne sais pas, il a quand même passé la nuit avec moi mais là, y’a clairement un truc.
-Envoies lui un message et tu verras bien sa réponse.
-Et je lui dis quoi ?
-Demandes lui juste si tout va bien entre vous ?
Je pris donc mon téléphone et lui envoyais. La réponse fut immédiate : « Désolé mec, mais ça va être compliqué de continuer. On a baisé ensemble, c’était super mais on va en rester là. T’inquiètes pas, on pourra être pote sans soucis mais rien de plus. A plus ».
Je suis devenu tout blanc, je me suis levé et je suis parti me réfugier dans les toilettes où je m’enfermais et me mis à pleurer. Putain, mais comment j’ai pus me faire avoir à ce point-là. Comment j’ai pus être aussi stupide. Je suis resté enfermé comme ça jusqu’à la sonnerie où j’ai retrouvé Myriam avec mes affaires qui m’attendait devant la salle.
-Tu m’as laissée en plan avec toutes tes affaires à débarrasser et ton sac à prendre.
-Merci, je suis désolé.
-Qu’est-ce qui t’arrive ?
Je lui ai montré le message et elle me prit dans ses bras. Nous sommes allés en cours mais je n’ai rien écouter de l’après-midi. A la fin des cours, Myriam me fit la bise en me disant courage et que je pouvais lui envoyer des messages durant la soirée si cela n’allait pas mieux. Je suis ensuite parti directement dans ma chambre à l’internat.
Charly et Maxence sont arrivé quelques temps après en rigolant et Charly prit la parole :
-Bon les mecs, il faut que je vous dise quelque chose !
Merde, lui aussi sait ? me dis-je.
-Qu’est-ce que tu veux nous dire mon pote ?
-En fait, durant les vacances avec Claire, on a décidé de prendre un appart ensemble et du coup, on emménage ce week-end donc je suis désolé mon Max mais tu vas devoir vivre sans moi.
-Tu fais chier, merde !!! Mais je suis quand même content pour vous, c’est cool.
Tous les deux se chahutèrent sur le lit de Maxence, puis se mirent à discuter. Je pris mon sac et commença à faire mes devoirs que nous avions eu dans la journée.
-Tu viens manger avec nous, me dit Charly ?
J’ai levé la tête, Maxence ne me regardait pas puis je dis :
-Non, ce soir je ne me sens pas très bien et j’ai du boulot à faire.
-Ok, comme tu veux. A toute alors.
-Oui, à tout à l’heure. Bon appétit.
Ils sortirent de la chambre et je me retrouvais donc seul. Je me suis levé pour aller au lavabo me rafraîchir le visage. Tout le monde était descendu manger et je me retrouvais donc seul à l’étage.
-Tu ne dis pas bonjour ?
Je me suis figé sur place en entendant cette voix.
-Bonjour Tristan.
-Tu fais quoi tout seul, tu ne descends pas manger avec les autres ?
-Non, je n’ai pas vraiment faim.
-C’est cool alors que l’on soit seul.
-Ppp…Pourquoi ? fis-je en devenant tout pâle.
-Eh bien, tu vas me rendre un petit service.
-Lequel ?
-Eh bien viens avec moi, je vais te montrer ça.
Il me montra sa chambre et me fit rentrer et me demanda d’aller m’asseoir sur son lit.
-Qu’est-ce que je peux faire pour vous ?
-Bon, on ne va pas tourner autour du pot, ok ? J’ai envie que tu me suces.
-Mais, non, on ne peut pas faire ça.
-Tu veux que je garde ton secret oui ou merde ?
-Oui, oui, s’il vous plaît ne dîtes rien !
-Ok alors suces-moi.
Il ouvrit sa braguette, descendit un peu son pantalon et son boxer et sa queue était là. Une queue pendante avec les poils rasés. Une queue d’environ 10cm au repos. Il s’approcha de moi et je me mis à pleurer.
-Oh, arrêtes de pleurer. Suce-moi tout de suite. Et surtout, ne mets pas les dents.
Il prit ma tête avec une main et sa bite de l’autre et la plaça devant ma bouche. Il força le passage et j’ai dus me résigner à commencer à le sucer. Sa queue grossit rapidement. 19x5 environ. Je pris la base de sa queue et le branlait en le suçant en même temps.
-On n’a pas trop de temps alors fais-moi juter rapidement ok.
Il se mit à faire des allers retours dans ma bouche de plus en plus vite tout en me disant que j’étais une bonne petite chienne. Qu’il allait bien s’occuper de moi. Je continuais à pleurer pendant qu’il me baisait la bouche. Il allait de plus en plus fort et au bout de 15 minutes de se traitement il sortit sa queue puis me la planta directement en fond de gorge pour juter une quantité phénoménale de sperme.
-Avales petite salope.
J’avalais donc son jus toujours en pleurant. Il ressortit sa queue de ma bouche et la remis dans son caleçon et remonta son pantalon.
-Relèves-toi et retournes dans ta chambre.
J’allais repartir dans il me dit :
-Cette nuit, deux heures du mat, je te veux ici dans ma chambre. Tu te démerdes comme tu veux mais tu n’as pas le choix. Est-ce que c’est compris ?
Je fis oui de la tête puis reparti dans ma chambre. Je me mis sous les couvertures et pleurais comme jamais je n’ai pleuré.
Les garçons sont remontés quelques minutes plus tard mais je fis comme si de rien n’était et fis semblant de dormir.
Fin du chapitre 4.
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