Ma première année d'internat (6)
Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Ma première année d'internat (6)
Chapitre 6
Pendant dix minutes, il me baisa debout avec de grands coups de bites bien forts. Il me claquait les fesses de temps en temps ce qui me faisait gémir de plus belle. Puis d’un coup, il sortit sa bite et me dit de me mettre à genoux et d’ouvrir la bouche en tirant la langue. Je fis ce qu’il me dit et il vint de branler sur ma langue et d’un coup il m’envoyait une tonne de foutre chaud et épais. J’avalais le tout puis suçait sa bite pour le nettoyer. Il se rhabilla et me laissa au sol. Je fis de même et rejoignis Myriam au self. Je marchais doucement car il m’avait encore cassé le cul.
-Alors, ses papiers, c’est tout bon ?
-Oui, en fait, y’avait pas grand-chose et ça aurait pu attendre.
-Ah au fait, tu feras gaffe, tu as tâché ton T-shirt. T’as une tâche blanche sur l’épaule.
Putain, je suis devenu rouge de honte et j’ai pris un peu d’eau dans mon verre pour frotter le sperme du pion.
-C’est quoi ?
-J’en sais rien, mentis-je.
-Mouai….
-Ben si c’est vrai, j’en ai aucune idée.
-Tiens, y’a Maxence qui te mattes de temps en temps ? T’es sûr qu’il ne veut plus de toi ?
-Son message était plutôt explicite tu ne crois pas ?
-Si mais vu les regards qu’il te lance, j’ai du mal à y croire.
Nous finissons de manger tranquillement puis nous sortons car j’ai décidé d’aller m’acheter des clopes. Ça l’a fait rigoler. Nous rentrons ensuite au lycée et l’après-midi se passe plutôt bien. Durant la pause, on discute en allant fumer et je ne regarde pas où je vais et je bouscule quelqu’un à l’entrée du lycée. Je me retourne et je vois mon prof d’anglais qui se baisse pour ramasser ses affaires que j’ai fait tomber.
-Encore vous monsieur Dubreuil. Je trouve qu’aujourd’hui, vous êtes vraiment dans la lune.
-Excusez-moi m’sieur.
Je me baisse près de lui pour l’aider à ramasser toutes ses feuilles et le reste de ses affaires. Une fois de plus, nos mains se touchent et j’ai comme un frisson dans le corps qui me parcours. J’ai aperçu une alliance à son doigt. Je lève les yeux et il me regarde avec un petit rictus qui me trouble. Je finis par me relever ainsi que lui et il me dit :
-Dîtes-moi, j’ai vu avec votre professeur principal car l’année prochaine j’ai décidé d’organiser un échange étudiant en Angleterre et je voudrais faire un test cette année avec un élève du lycée et un élève du lycée international Winston-Churchill à Londres. Le proviseur m’encourage à le faire et je me suis renseigné sur votre parcours les années précédentes et vous êtes un élève assez bon en anglais. Donc j’aurai besoin de votre aide une à deux fois par semaine si cela vous dit bien entendu.
-Ben euh, je ne sais pas trop. Je peux vous redire ça demain. J’aimerai prendre le temps d’y réfléchir mais pourquoi pas.
-Très bien. Venez me voir dans ma salle demain après-midi durant votre pause et je vous en parlerai avec plus de détails si vous voulez.
Je le dévore encore des yeux et je me dis juste un grand Oui dans ma tête. Si je peux passer un peu de temps avec lui, je ne vais pas dire non. Il me regarde à son tour et me salue avec un grand sourire plutôt charmeur. Je sens que je me mets à rougir puis il tourne les talons et s’en va.
Myriam s’approche en rigolant et me dit :
-Tu ne les loupes pas toi !
-Quoi donc ?
-A d’autre, t’as vu comme tu l’as regardé ? On aurait dit que tu le déshabillais du regard.
-Tu déconnes ?
-Oh que non et je crois que je ne suis pas le seul qui l’ai vu, dit-elle en regardant sur ma droite.
Je me tourne légèrement en allumant une cigarette et je vois Maxence me regarder. Je le regarde et détourne le regard pour qu’il voit que je ne veux plus rien à faire avec lui puis nous repartons pour le dernier cours de la journée.
La fin du cours sonne et deux filles internes de ma classe : Léa et Jade viennent me voir pendant que je disais aurevoir à ma pote. Elles voulaient savoir ce que me voulait le prof d’anglais et me dirent que j’avais de la chance. Nous discutons et ne montre rien de mon homosexualité et j’apprends donc qu’elles sont raides dingues du prof et elles aimeraient en savoir plus sur lui. Ça me fait rire et nous décidons de manger ensemble le soir même. Ça tombe bien car je n’avais pas envie de me retrouver à table avec Maxence.
Le soir à l’internat, le surveillant passes faire l’appel et je me mets à mon bureau pour bosser un peu. Je ne peux pas me laisser aller cette année. Au bout d’une demi-heure, je sens comme une présence dans mon dos et je me retourne.
-Putain, tu m’as fait peur, qu’est-ce que tu me veux ? dis-je alors à Maxence qui me regardait avec les bras croisés.
-Tu joues à quoi bordel ?
-Comment ça, je joue à quoi ? C’est toi qui as joué avec moi je te signale.
-Je n’ai pas joué avec toi, qu’est-ce que tu racontes ?
-Ben, tu joues avec mes sentiments depuis le premier jour, je tombe sous ton charme. Tu étais mon premier et je te faisais confiance. Tu m’as baisé et le lendemain, tu m’as jeté comme une grosse merde.
-Tu sais que c’est compliqué pour moi. Et depuis quand tu te mets à fumer ? Et franchement, c’est ridicule ce que tu fais avec le prof d’anglais !
-Tu crois que ce n’est pas compliqué pour moi, tu te fou de moi ? Si j’ai envie de fumer, je le fais, je n’ai aucun ordre à recevoir de toi. Et c’est quoi encore cette histoire avec monsieur Fuinel ?
-Tu crois que je ne vois pas comme tu le regardes ?
-Pfffuuuu, tu dis n’importes quoi.
-Tu le regardes de la même façon que tu me regardais.
-Laisses moi tranquille s’il te plaît.
-Ok mais saches que je veux rester ton ami.
-Si tu veux rester mon ami, eh bien occupes toi de mes affaires et après on en reparle.
Il mit sa main sur mon épaule et me regarda droit dans les yeux, ce qui m’électrisa immédiatement. Non, il faut que je résiste. Je ne dois pas tomber encore sous son charme. Je repoussai sa main et me remis au boulot. Ce soir-là, je m’endormis très vite et la journée du lendemain se passa très bien. Il est 15h, et je me dirige vers la salle du prof d’anglais qui était installé à son bureau.
-Ah, monsieur Dubreuil, vous êtes à l’heure parfait. Je ne vais pas vous garder bien longtemps si vous avez cours après.
-Bonjour m’sieur. J’ai tout mon temps, je n’ai pas cours après.
-Parfait alors, je vous laisse fermer la porte derrière vous et prenez une chaise pour vous installer à côté de moi pour que je vous explique ce que je souhaiterai faire.
Je pris la chaise en face de son bureau et m’installais à côté de lui en posant mon sac au sol. Je suis devenu tout rouge et il s’en aperçu et me fit un sourire. Il commença à m’expliquer qu’il était en contact avec un prof du lycée anglais et qu’une de ses élèves communiquerait avec moi cette année et que nous irions sûrement une semaine là-bas si mes parents donnaient leur accord. J’avais posé ma main sur le bureau pour voir les photos du lycée anglais et sa main se rapprocha de la mienne. Un de ses doigts toucha ma main mais il ne l’enleva pas. Je sentais son genou contre ma jambe et je n’osais plus bouger. J’étais tétanisé. Pas de peur mais plutôt un désir commençait à m’envahir. Je l’écoutais parler et je regardais ses lèvres bouger. Je le détaillais et n'arrivais pas à me concentrer. Il se leva pour récupérer quelques affaires au font de la salle et je ne pouvais pas m’empêcher de mater son cul bouger. Mais quel cul ? Puis quand il revint, je vis sa bosse qui déformait son pantalon. Mais est-ce qu’il bande ? Non, il est marié. Putain, je me fais de ces films. J’en deviens dingue. En venant se rasseoir, il rapproche son siège près de moi et cette fois-ci nos bras se touche et il continue à me poser des questions sur ma vie. Je me dis que c’est normal, que ce prof est jeune et plutôt proche de ses élèves. Bref, je sais très bien qu’il ne se passera jamais rien mais quand même il est vraiment très sexy. Je me mets à bander dans son bras frotte le mien et je crois qu’il s’en aperçoit mais ne dit strictement rien. De temps en temps, je le vois bouger et se remet en place. Je crois que j’avais raison, lui aussi doit bander et ça doit le gêner. Comment en être sûr à 100% ? Il faut que j’en sois sûr. Je pose donc mon coude sur quelques feuilles proches de lui et en bougeant, je les fais tomber sur lui et me précipite pour essayer de les attraper lorsqu’elles tombent. En faisant ça, ma main frôle son entre-jambe et bingo, j’avais raison, je légèrement senti quelque chose de dure. Il fut surpris mais ne bougea pas mais me regarda vite enlever ma main tout en m’excusant. Il sourit mais ne dit toujours rien. Il reposa sa main à côté de la mienne sans rien dire et je fis de même. Il reprit ses explications sur le déroulement de l’année et qu’il me redirait quand se passerait l’échange. Je l’écoutais sans l’écouter. Je le regardais tout simplement et nos mains étaient toujours collées. Je regardais ses lèvres bouger et je ne sais pas ce qui m’a pris mais je me suis approché et j’ai collé mes lèvres aux siennes. Il n’a pas bougé mais d’un coup, il s’est relevé et m’a regardé.
-Non, on ne peut pas faire ceci. Monsieur Dubreuil, je suis votre professeur et je ne peux pas faire ça.
-Mais, je croyais que….
-Je suis désolé mais non, nous ne pouvons pas. Je vous demanderai de prendre vos affaires et de sortir.
-Bien m’sieur. Du coup, tout ceci ne se fera pas alors ?
-Bien sûr que si, vous êtes un brillant élève mais ce qu’il vient de se passer ne peux pas se reproduire, vous comprenez ?
-Oui m’sieur et je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je me suis mis à pleurer.
Il s’approcha de moi et me pris par les bras.
-Je suis désolé si je vous ai blessé.
-Non, non, dis-je en m’essuyant les yeux.
-Que vous arrive-t-il alors ?
-Je suis perdu et je ne comprends plus rien.
-Comment ça ?
-Je suis gay m’sieur. Personne ne le sait et j’ai cru que vous, enfin avec tous ces gestes, je ne comprends plus rien.
Il me toisa du regard et me prit dans ses bras. Je fus surpris et le regardai aussi. Il s’est passé quelques secondes sans qu’aucun de nous deux ne bougent. On se regardait puis nos lèvres se sont rencontrées. Il mit sa main derrière ma tête et intensifia son baiser en insérant sa langue dans ma bouche. J’étais sur un nuage. Sa main me caressait le dos, puis descendait tout doucement jusqu’en haut de mes fesses. Puis il stoppa et se recula.
-Non, je suis désolé mais je ne peux pas.
-M’sieur, je vois bien que vous en avez envie et moi aussi. J’ai 18 ans. Je suis majeur.
-Vous êtes mon élève.
-Personne ne le saura. Je vous le promets.
Je me rapprochais vers lui et cette fois, c’est moi qui provoquai un nouveau baiser. Cette fois-ci, le baiser fut plus intense. Sa main parcourait mon dos, mon torse, mes joues et je fis la même chose. J’ai posé ma main sur son entre-jambe que j’ai commencé a caressé. Il ouvrit les yeux avec surprise mais ne me repoussa pas. Je continuais mes caresses pendant quelques minutes. J’entrepris d’ouvrir sa braguette pour y passer ma main mais il me dit de stopper.
-Non, pas ici. On ne peut pas.
-Mais, …
-Pas ici, s’il vous plaît. Je ne veux pas que l’on nous surprenne. Je ne voudrais pas perdre mon poste parce que j’ai succombé.
-Je comprends.
-Non, je ne crois pas. J’ai plus à perdre que vous.
Il referma sa braguette, se remit en place et j’en fis de même. Il se rapprocha de moi, me prit dans ses bras et me fit un léger baiser.
-On se voit demain pour les cours. Je compte sur votre discrétion.
-Oui monsieur.
-Bien.
Je pris mes affaires et partis. En ouvrant la porte, je me suis retourné pour le voir et je le vis me regarder puis tourner la tête.
-A demain m’sieur et merci.
-A demain Jérôme. Merci de ?
Je ne répondis pas et partis. Il m’a appelé Jérôme. J’étais sur un petit nuage. En sortant de la salle, je vis une silhouette courir au fond du couloir.
Fin du chapitre 6.
Pendant dix minutes, il me baisa debout avec de grands coups de bites bien forts. Il me claquait les fesses de temps en temps ce qui me faisait gémir de plus belle. Puis d’un coup, il sortit sa bite et me dit de me mettre à genoux et d’ouvrir la bouche en tirant la langue. Je fis ce qu’il me dit et il vint de branler sur ma langue et d’un coup il m’envoyait une tonne de foutre chaud et épais. J’avalais le tout puis suçait sa bite pour le nettoyer. Il se rhabilla et me laissa au sol. Je fis de même et rejoignis Myriam au self. Je marchais doucement car il m’avait encore cassé le cul.
-Alors, ses papiers, c’est tout bon ?
-Oui, en fait, y’avait pas grand-chose et ça aurait pu attendre.
-Ah au fait, tu feras gaffe, tu as tâché ton T-shirt. T’as une tâche blanche sur l’épaule.
Putain, je suis devenu rouge de honte et j’ai pris un peu d’eau dans mon verre pour frotter le sperme du pion.
-C’est quoi ?
-J’en sais rien, mentis-je.
-Mouai….
-Ben si c’est vrai, j’en ai aucune idée.
-Tiens, y’a Maxence qui te mattes de temps en temps ? T’es sûr qu’il ne veut plus de toi ?
-Son message était plutôt explicite tu ne crois pas ?
-Si mais vu les regards qu’il te lance, j’ai du mal à y croire.
Nous finissons de manger tranquillement puis nous sortons car j’ai décidé d’aller m’acheter des clopes. Ça l’a fait rigoler. Nous rentrons ensuite au lycée et l’après-midi se passe plutôt bien. Durant la pause, on discute en allant fumer et je ne regarde pas où je vais et je bouscule quelqu’un à l’entrée du lycée. Je me retourne et je vois mon prof d’anglais qui se baisse pour ramasser ses affaires que j’ai fait tomber.
-Encore vous monsieur Dubreuil. Je trouve qu’aujourd’hui, vous êtes vraiment dans la lune.
-Excusez-moi m’sieur.
Je me baisse près de lui pour l’aider à ramasser toutes ses feuilles et le reste de ses affaires. Une fois de plus, nos mains se touchent et j’ai comme un frisson dans le corps qui me parcours. J’ai aperçu une alliance à son doigt. Je lève les yeux et il me regarde avec un petit rictus qui me trouble. Je finis par me relever ainsi que lui et il me dit :
-Dîtes-moi, j’ai vu avec votre professeur principal car l’année prochaine j’ai décidé d’organiser un échange étudiant en Angleterre et je voudrais faire un test cette année avec un élève du lycée et un élève du lycée international Winston-Churchill à Londres. Le proviseur m’encourage à le faire et je me suis renseigné sur votre parcours les années précédentes et vous êtes un élève assez bon en anglais. Donc j’aurai besoin de votre aide une à deux fois par semaine si cela vous dit bien entendu.
-Ben euh, je ne sais pas trop. Je peux vous redire ça demain. J’aimerai prendre le temps d’y réfléchir mais pourquoi pas.
-Très bien. Venez me voir dans ma salle demain après-midi durant votre pause et je vous en parlerai avec plus de détails si vous voulez.
Je le dévore encore des yeux et je me dis juste un grand Oui dans ma tête. Si je peux passer un peu de temps avec lui, je ne vais pas dire non. Il me regarde à son tour et me salue avec un grand sourire plutôt charmeur. Je sens que je me mets à rougir puis il tourne les talons et s’en va.
Myriam s’approche en rigolant et me dit :
-Tu ne les loupes pas toi !
-Quoi donc ?
-A d’autre, t’as vu comme tu l’as regardé ? On aurait dit que tu le déshabillais du regard.
-Tu déconnes ?
-Oh que non et je crois que je ne suis pas le seul qui l’ai vu, dit-elle en regardant sur ma droite.
Je me tourne légèrement en allumant une cigarette et je vois Maxence me regarder. Je le regarde et détourne le regard pour qu’il voit que je ne veux plus rien à faire avec lui puis nous repartons pour le dernier cours de la journée.
La fin du cours sonne et deux filles internes de ma classe : Léa et Jade viennent me voir pendant que je disais aurevoir à ma pote. Elles voulaient savoir ce que me voulait le prof d’anglais et me dirent que j’avais de la chance. Nous discutons et ne montre rien de mon homosexualité et j’apprends donc qu’elles sont raides dingues du prof et elles aimeraient en savoir plus sur lui. Ça me fait rire et nous décidons de manger ensemble le soir même. Ça tombe bien car je n’avais pas envie de me retrouver à table avec Maxence.
Le soir à l’internat, le surveillant passes faire l’appel et je me mets à mon bureau pour bosser un peu. Je ne peux pas me laisser aller cette année. Au bout d’une demi-heure, je sens comme une présence dans mon dos et je me retourne.
-Putain, tu m’as fait peur, qu’est-ce que tu me veux ? dis-je alors à Maxence qui me regardait avec les bras croisés.
-Tu joues à quoi bordel ?
-Comment ça, je joue à quoi ? C’est toi qui as joué avec moi je te signale.
-Je n’ai pas joué avec toi, qu’est-ce que tu racontes ?
-Ben, tu joues avec mes sentiments depuis le premier jour, je tombe sous ton charme. Tu étais mon premier et je te faisais confiance. Tu m’as baisé et le lendemain, tu m’as jeté comme une grosse merde.
-Tu sais que c’est compliqué pour moi. Et depuis quand tu te mets à fumer ? Et franchement, c’est ridicule ce que tu fais avec le prof d’anglais !
-Tu crois que ce n’est pas compliqué pour moi, tu te fou de moi ? Si j’ai envie de fumer, je le fais, je n’ai aucun ordre à recevoir de toi. Et c’est quoi encore cette histoire avec monsieur Fuinel ?
-Tu crois que je ne vois pas comme tu le regardes ?
-Pfffuuuu, tu dis n’importes quoi.
-Tu le regardes de la même façon que tu me regardais.
-Laisses moi tranquille s’il te plaît.
-Ok mais saches que je veux rester ton ami.
-Si tu veux rester mon ami, eh bien occupes toi de mes affaires et après on en reparle.
Il mit sa main sur mon épaule et me regarda droit dans les yeux, ce qui m’électrisa immédiatement. Non, il faut que je résiste. Je ne dois pas tomber encore sous son charme. Je repoussai sa main et me remis au boulot. Ce soir-là, je m’endormis très vite et la journée du lendemain se passa très bien. Il est 15h, et je me dirige vers la salle du prof d’anglais qui était installé à son bureau.
-Ah, monsieur Dubreuil, vous êtes à l’heure parfait. Je ne vais pas vous garder bien longtemps si vous avez cours après.
-Bonjour m’sieur. J’ai tout mon temps, je n’ai pas cours après.
-Parfait alors, je vous laisse fermer la porte derrière vous et prenez une chaise pour vous installer à côté de moi pour que je vous explique ce que je souhaiterai faire.
Je pris la chaise en face de son bureau et m’installais à côté de lui en posant mon sac au sol. Je suis devenu tout rouge et il s’en aperçu et me fit un sourire. Il commença à m’expliquer qu’il était en contact avec un prof du lycée anglais et qu’une de ses élèves communiquerait avec moi cette année et que nous irions sûrement une semaine là-bas si mes parents donnaient leur accord. J’avais posé ma main sur le bureau pour voir les photos du lycée anglais et sa main se rapprocha de la mienne. Un de ses doigts toucha ma main mais il ne l’enleva pas. Je sentais son genou contre ma jambe et je n’osais plus bouger. J’étais tétanisé. Pas de peur mais plutôt un désir commençait à m’envahir. Je l’écoutais parler et je regardais ses lèvres bouger. Je le détaillais et n'arrivais pas à me concentrer. Il se leva pour récupérer quelques affaires au font de la salle et je ne pouvais pas m’empêcher de mater son cul bouger. Mais quel cul ? Puis quand il revint, je vis sa bosse qui déformait son pantalon. Mais est-ce qu’il bande ? Non, il est marié. Putain, je me fais de ces films. J’en deviens dingue. En venant se rasseoir, il rapproche son siège près de moi et cette fois-ci nos bras se touche et il continue à me poser des questions sur ma vie. Je me dis que c’est normal, que ce prof est jeune et plutôt proche de ses élèves. Bref, je sais très bien qu’il ne se passera jamais rien mais quand même il est vraiment très sexy. Je me mets à bander dans son bras frotte le mien et je crois qu’il s’en aperçoit mais ne dit strictement rien. De temps en temps, je le vois bouger et se remet en place. Je crois que j’avais raison, lui aussi doit bander et ça doit le gêner. Comment en être sûr à 100% ? Il faut que j’en sois sûr. Je pose donc mon coude sur quelques feuilles proches de lui et en bougeant, je les fais tomber sur lui et me précipite pour essayer de les attraper lorsqu’elles tombent. En faisant ça, ma main frôle son entre-jambe et bingo, j’avais raison, je légèrement senti quelque chose de dure. Il fut surpris mais ne bougea pas mais me regarda vite enlever ma main tout en m’excusant. Il sourit mais ne dit toujours rien. Il reposa sa main à côté de la mienne sans rien dire et je fis de même. Il reprit ses explications sur le déroulement de l’année et qu’il me redirait quand se passerait l’échange. Je l’écoutais sans l’écouter. Je le regardais tout simplement et nos mains étaient toujours collées. Je regardais ses lèvres bouger et je ne sais pas ce qui m’a pris mais je me suis approché et j’ai collé mes lèvres aux siennes. Il n’a pas bougé mais d’un coup, il s’est relevé et m’a regardé.
-Non, on ne peut pas faire ceci. Monsieur Dubreuil, je suis votre professeur et je ne peux pas faire ça.
-Mais, je croyais que….
-Je suis désolé mais non, nous ne pouvons pas. Je vous demanderai de prendre vos affaires et de sortir.
-Bien m’sieur. Du coup, tout ceci ne se fera pas alors ?
-Bien sûr que si, vous êtes un brillant élève mais ce qu’il vient de se passer ne peux pas se reproduire, vous comprenez ?
-Oui m’sieur et je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je me suis mis à pleurer.
Il s’approcha de moi et me pris par les bras.
-Je suis désolé si je vous ai blessé.
-Non, non, dis-je en m’essuyant les yeux.
-Que vous arrive-t-il alors ?
-Je suis perdu et je ne comprends plus rien.
-Comment ça ?
-Je suis gay m’sieur. Personne ne le sait et j’ai cru que vous, enfin avec tous ces gestes, je ne comprends plus rien.
Il me toisa du regard et me prit dans ses bras. Je fus surpris et le regardai aussi. Il s’est passé quelques secondes sans qu’aucun de nous deux ne bougent. On se regardait puis nos lèvres se sont rencontrées. Il mit sa main derrière ma tête et intensifia son baiser en insérant sa langue dans ma bouche. J’étais sur un nuage. Sa main me caressait le dos, puis descendait tout doucement jusqu’en haut de mes fesses. Puis il stoppa et se recula.
-Non, je suis désolé mais je ne peux pas.
-M’sieur, je vois bien que vous en avez envie et moi aussi. J’ai 18 ans. Je suis majeur.
-Vous êtes mon élève.
-Personne ne le saura. Je vous le promets.
Je me rapprochais vers lui et cette fois, c’est moi qui provoquai un nouveau baiser. Cette fois-ci, le baiser fut plus intense. Sa main parcourait mon dos, mon torse, mes joues et je fis la même chose. J’ai posé ma main sur son entre-jambe que j’ai commencé a caressé. Il ouvrit les yeux avec surprise mais ne me repoussa pas. Je continuais mes caresses pendant quelques minutes. J’entrepris d’ouvrir sa braguette pour y passer ma main mais il me dit de stopper.
-Non, pas ici. On ne peut pas.
-Mais, …
-Pas ici, s’il vous plaît. Je ne veux pas que l’on nous surprenne. Je ne voudrais pas perdre mon poste parce que j’ai succombé.
-Je comprends.
-Non, je ne crois pas. J’ai plus à perdre que vous.
Il referma sa braguette, se remit en place et j’en fis de même. Il se rapprocha de moi, me prit dans ses bras et me fit un léger baiser.
-On se voit demain pour les cours. Je compte sur votre discrétion.
-Oui monsieur.
-Bien.
Je pris mes affaires et partis. En ouvrant la porte, je me suis retourné pour le voir et je le vis me regarder puis tourner la tête.
-A demain m’sieur et merci.
-A demain Jérôme. Merci de ?
Je ne répondis pas et partis. Il m’a appelé Jérôme. J’étais sur un petit nuage. En sortant de la salle, je vis une silhouette courir au fond du couloir.
Fin du chapitre 6.
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Non il doit être revalider
Bonjour !
Tu as sauté le chapitre 5 ;)
Tu as sauté le chapitre 5 ;)
