Mademoiselle et le jardinier

Récit érotique écrit par CDuvert [→ Accès à sa fiche auteur]
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Mademoiselle et le jardinier
Je suis allongée sur un transat, sur la vaste terrasse de la villa de mes parents. Le soleil de cette fin de matinée caresse ma peau, et mon bikini rouge, minimaliste, ne cache presque rien de mes formes. J’ai 19 ans, un corps fin et galbé, fruit de longues heures de natation et de yoga. Mes cheveux châtains tombent en vagues sur mes épaules, et je sens la chaleur des dalles de pierre sous mes pieds nus lorsque je me redresse légèrement pour attraper mon verre de limonade posé sur la petite table à côté de moi.
Le bruit régulier de la tondeuse mécanique résonne dans le jardin. C’est Marcel, le vieux jardinier qui travaille pour ma famille depuis que je suis petite. Il doit avoir dans les soixante ans, avec ses cheveux gris clairsemés et sa peau tannée par des années passées sous le soleil. Il porte une chemise à carreaux défraîchie et un pantalon de travail usé. De là où je suis, je vois ses bras musclés, tendus par l’effort de pousser la machine sur la pelouse impeccablement entretenue. Il ne me regarde pas, concentré sur sa tâche, mais je ne peux m’empêcher de l’observer, curieuse, un sourire en coin sur les lèvres.
L’air est lourd, chargé de l’odeur de l’herbe fraîchement coupée, mêlée à une légère brise marine qui vient de la côte pas si loin. Je repose mon verre et m’étire langoureusement, laissant mes bras s’élever au-dessus de ma tête, cambrant légèrement le dos. Mon bikini glisse un peu sur ma hanche, dévoilant une fine bande de peau. Je sais que je joue un peu, que je teste les limites, mais l’ennui de cette journée d’été me pousse à chercher une distraction. Mon regard revient sur Marcel. Il s’est arrêté un instant pour s’essuyer le front avec un vieux mouchoir, et je remarque ses yeux qui, l’espace d’une seconde, se posent sur moi avant de se détourner rapidement.
Un frisson me parcourt, pas de froid, mais d’une étrange excitation. Je me redresse un peu plus, croisant les jambes de manière à accentuer la courbe de mes cuisses. Je prends une gorgée de limonade, laissant le liquide frais couler lentement sur mes lèvres, une goutte glissant sur mon menton avant de tomber sur ma poitrine. Je ne l’essuie pas tout de suite, savourant cette sensation de fraîcheur sur ma peau brûlante.
« Il fait chaud aujourd’hui, hein, Marcel ? » je lance d’une voix légère, presque chantante, brisant le silence entre nous.
Il sursaute légèrement, comme s’il ne s’attendait pas à ce que je lui parle. Il tourne la tête vers moi, un peu gêné, et marmonne un « Oui, mademoiselle, très chaud » avant de reprendre son travail, le dos un peu plus raide qu’avant. Sa réponse me fait sourire. Je sens une tension subtile s’installer, un jeu qui commence à peine.
Je me lève lentement, laissant le transat grincer sous moi. Je m’approche du bord de la terrasse, les mains sur les hanches, et je regarde le jardin avec un air faussement pensif. Mon bikini est si ajusté que je sens le tissu frotter contre ma peau à chaque mouvement. Je sais que ma silhouette est bien en vue, et je me demande ce que Marcel pense, s’il ose vraiment regarder ou s’il fait semblant de m’ignorer.
« Vous travaillez dur, Marcel. Vous voulez un verre d’eau ou quelque chose de frais ? » je propose, en me tournant légèrement vers lui, un sourire innocent sur le visage.
Il s’arrête à nouveau, hésitant. Ses yeux rencontrent brièvement les miens avant de descendre, juste une fraction de seconde, sur mon corps. Puis il secoue la tête, un peu trop vite. « Non, merci, mademoiselle. J’ai ma gourde. Faut que je finisse ça. »
Je décide de ne pas insister pour l'instant et je retourne vers mon transat, sentant le regard de Marcel me suivre discrètement tandis que je m'éloigne. Le bruit de la tondeuse reprend, régulier et hypnotique, comme un fond sonore à cette journée languissante. L'herbe coupée libère une odeur verte et fraîche qui se mêle à la chaleur lourde de l'air, imprégnant mes narines d'une senteur terreuse qui éveille quelque chose d’élémentaire en moi. Mon cœur bat un peu plus fort, excité par le petit jeu que j'ai initié, cette danse subtile entre l'innocence et la provocation.
Je m'allonge à nouveau sur le transat, le tissu chaud contre ma peau, et je ferme les yeux un instant, savourant la caresse du soleil sur mon corps. Mes doigts glissent lentement le long de mes épaules, effleurant la fine bretelle de mon haut de bikini. D'un geste discret, presque imperceptible, je défais le nœud à l'arrière de mon cou, puis celui dans mon dos. Le tissu rouge se détache doucement, mettant mes seins à l'air libre. Ils sont fermes, ronds, avec des mamelons roses qui se dressent légèrement sous la brise tiède, sensibles au moindre courant d'air.
Une vague vulnérabilité m'envahit, mêlée à une excitation croissante – ma peau nue exposée, même si je fais semblant de ne pas y prêter attention. Je ne regarde pas vers Marcel, mais je sais qu'il est là, à quelques mètres, poussant sa machine avec une régularité qui pourrait trahir une distraction.
Je m'étire langoureusement, cambrant le dos pour que mes seins se soulèvent, offerts au soleil. Une goutte de sueur perle entre eux, glissant lentement vers mon ventre plat, traçant un chemin humide qui me fait frissonner. L'ambiance est chargée : le ronronnement de la tondeuse, le chant distant des oiseaux, et cette odeur d'herbe qui semble amplifier chaque sensation sur ma peau.
Je sens mes tétons durcir un peu plus, réagissant à l'idée qu'il pourrait me voir, que ses yeux blasés par les ans pourraient s'attarder sur ma poitrine découverte. Mon bas de bikini, lui, reste en place, mais je sens une chaleur humide s'y installer, un désir naissant qui pulse doucement entre mes cuisses.
Du coin de l'œil, sans tourner la tête, j'aperçois Marcel qui s'approche progressivement de la terrasse, sa tondeuse traçant des lignes nettes sur la pelouse. Il fait mine de se concentrer sur son travail, mais je remarque ses gestes un peu plus lents, ses pauses plus fréquentes pour ajuster sa machine. Soudain, il s'arrête net, comme figé. Je sais qu'il m'a vue – mes seins nus, baignés de soleil, offerts.
Un silence s'installe, seulement brisé par le bourdonnement lointain d'une abeille. Mon pouls s'accélère, une bouffée d'adrénaline me traverse, rendant ma peau hypersensible. Mes mamelons se contractent sous l'effet de l'excitation, et une moiteur traîtresse humidifie l'intérieur de mes cuisses.
Mademoiselle... euh... vous... » balbutie-t-il enfin, sa voix rauque et hésitante, teintée d'un mélange de gêne et de quelque chose de plus primal. Il s'approche du bord de la terrasse, ses mains tremblantes sur la poignée de la tondeuse qu'il a arrêtée.
Ses yeux, habituellement fuyants, sont maintenant rivés sur moi, descendant inexorablement vers ma poitrine exposée. Je vois sa gorge se serrer, son visage rougir sous sa peau tannée, et une bosse naissante se dessiner sous son pantalon de travail usé. L'air semble plus épais, chargé d'une tension électrique qui me fait haleter légèrement.« Je suis là, vous savez… ».
Je ne bouge pas tout de suite, laissant le moment s'étirer, savourant cette puissance que j'exerce sur lui. Mes seins se soulèvent au rythme de ma respiration accélérée, et je sens une vague de chaleur irradier de mon ventre vers mon sexe, qui palpite doucement contre le tissu fin de mon bikini. Enfin, je tourne la tête vers lui, un sourire innocent aux lèvres, feignant la surprise. « Oh, Marcel... je bronzais juste un peu. Il fait si chaud, vous ne trouvez pas ? »
Il déglutit bruyamment, incapable de détacher son regard. « C'est... c'est pas prudent, mademoiselle. Si quelqu'un voit... » Mais sa voix manque de conviction, et je vois ses mains se crisper, comme s'il luttait contre l'envie de s'approcher plus. L'odeur de sa sueur, mêlée à celle de l'herbe, parvient jusqu'à moi, un parfum masculin et terreux qui attise mon désir. Mon corps réagit instinctivement : mes cuisses se serrent légèrement, frottant le tissu contre mon clitoris sensible, envoyant des ondes de plaisir subtiles.
Je sens le poids de son regard sur moi, chargé d'une confusion palpable, mais je décide de ne pas pousser plus loin pour l'instant. Au lieu de cela, je lui offre un sourire doux, presque rassurant, et je murmure d'une voix légère : « Allez, Marcel, retournez à votre travail. La pelouse n'attend pas, et moi, je vais continuer à profiter du soleil. »
Ma poitrine nue se soulève au rythme de ma respiration, mes mamelons encore dressés sous l'effet de la brise et de cette tension invisible qui nous relie. Il hoche la tête, marmonnant un « Bien, mademoiselle » à peine audible, avant de se détourner, ses épaules un peu voûtées, comme s'il luttait contre une force intérieure. Le bruit de la tondeuse reprend bientôt, plus hésitant qu'avant, mais il s'éloigne progressivement, me tournant le dos pour tracer de nouvelles lignes sur l'herbe verte.
Une fois qu'il est suffisamment loin, son attention rivée sur sa tâche, je laisse échapper un soupir de satisfaction. Mon corps est en feu, une chaleur insistante pulsant entre mes cuisses, attisée par ce petit spectacle que je lui ai offert. Allongée sur le transat, seins nus offerts au ciel bleu, je glisse une main le long de mon ventre plat, effleurant ma peau moite de sueur.
Mes doigts descendent plus bas, jusqu'au tissu fin de mon bas de bikini, qui colle légèrement à ma chair humide. D'un geste lent, discret, je commence à me caresser à travers le tissu, pressant doucement contre mon clitoris sensible. Une onde de plaisir me traverse immédiatement, faisant durcir mes tétons un peu plus, et je mords ma lèvre inférieure pour étouffer un gémissement naissant.
Le tissu est si mince qu'il ne fait qu'amplifier les sensations : je ressens la pression de mes doigts contre mes lèvres intimes, gonflées par l'excitation accumulée. Je bouge en cercles lents, savourant la friction humide qui se crée, mon bassin se soulevant imperceptiblement du transat. L'odeur de l'herbe fraîchement coupée se mélange à celle de ma propre excitation, un parfum musqué et intime qui m'enivre.
Du coin de l'œil, je surveille Marcel : il pousse sa machine avec régularité, mais je remarque ses regards furtifs par-dessus son épaule, comme s'il ne pouvait s'empêcher de vérifier si je suis toujours là, exposée et audacieuse. Cela ne fait qu'intensifier mon plaisir, imaginant ses yeux sur moi, son désir refoulé alimentant le mien.
Mon autre main remonte vers un sein, pinçant doucement un mamelon entre le pouce et l'index, envoyant des éclairs de sensation jusqu'à mon bas-ventre. J’accélère légèrement le rythme de mes caresses, le tissu maintenant trempé, glissant contre ma peau. Un frisson me parcourt, et je ferme les yeux un instant, laissant l'imagination prendre le relais : et s'il se retournait complètement ? Et s'il approchait, attiré par ce spectacle interdit ? Mon souffle se fait plus court, des vagues de chaleur montent en moi, approchant d'un pic que je retiens encore, pour prolonger ce moment de pure volupté solitaire.
Soudain, la tondeuse s'arrête à nouveau, et j'entends ses pas se rapprocher, hésitants. Il a dû remarquer quelque chose – mon corps qui se cambre légèrement, mes mouvements subtils. Mon cœur bat la chamade, mais je ne m'arrête pas tout de suite, laissant la tension culminer.
Je sens les pas de Marcel se rapprocher, lourds et hésitants sur l'herbe, mais je fais mine de ne rien entendre, les yeux mi-clos, comme plongée dans mon propre monde de plaisir. Mon corps est tendu, ma main toujours posée sur le tissu fin de mon bas de bikini, pressant en cercles lents contre mon clitoris gonflé. Chaque mouvement envoie des ondes électriques à travers mon ventre, faisant durcir mes mamelons nus au point qu'ils en deviennent presque douloureux, dressés vers le ciel ensoleillé.
La sueur perle sur ma peau, traçant des rivières humides entre mes seins fermes et ronds, et je sens une moiteur chaude s'intensifier entre mes cuisses, le tissu collant maintenant à mes lèvres intimes, trempées de désir. L'odeur de l'herbe coupée se mélange à celle de ma propre excitation, un parfum musqué et salé qui m'enivre, accompagné par le bruit des pas de Marcel, de plus en plus proche.
Je continue mes caresses, feignant l'ignorance totale, mais mon cœur bat à tout rompre, anticipant sa réaction. Mes doigts accélèrent légèrement, frottant le tissu contre ma chair sensible, et je sens mon sexe palpiter, les muscles de mon vagin se contracter involontairement, comme s'ils appelaient à être remplis. Un gémissement étouffé m'échappe, bas et rauque, et je cambre le dos, soulevant mes hanches du transat pour mieux presser contre ma main.
Mes seins se balancent doucement au rythme de mes mouvements légers, leurs courbes pleines et douces captant la lumière du soleil, tandis que la goutte de sueur glisse jusqu'à mon nombril, me faisant frissonner de la tête aux pieds. L'air est chargé d'une tension palpable, le chant des oiseaux semble se taire pour laisser place à ma respiration haletante.
Marcel s'arrête au bord de la terrasse, son ombre s'étendant sur moi comme une caresse invisible. Je l'entends déglutir bruyamment, sa voix sortant enfin, rauque et tremblante : « Mademoiselle... qu'est-ce que vous... vous devriez pas... » Mais il ne finit pas sa phrase, figé là, ses yeux rivés sur ma main qui bouge contre l’étoffei, sur mes seins exposés qui se soulèvent à chaque souffle.
Je devine son regard comme une brûlure, attisant le feu en moi, et je continue, plus audacieuse, glissant un doigt sous le tissu pour toucher directement ma peau nue, effleurant mes lèvres humides, étalant ma moiteur sur mon clitoris enflammé. Le plaisir monte en flèche, des vagues chaudes irradiant de mon bas-ventre, faisant contracter mes cuisses autour de ma main. Son odeur à lui – sueur masculine, terre et herbe – parvient jusqu'à moi, me rendant folle, et j'imagine ses mains calleuses remplaçant les miennes, explorant mon corps avec une urgence refoulée.
Il fait un pas en avant, hésitant, sa respiration s'accélérant autant que la mienne. « C'est pas bien, mademoiselle... mais... bon Dieu... » murmure-t-il, sa voix cassée par le désir, et je vois la bosse proéminente dans son pantalon, tendue contre le tissu usé, trahissant son excitation grandissante.
Mon pouls s'emballe, le plaisir approchant d'un sommet, mais je retiens l'orgasme, prolongeant ce moment pour le laisser intervenir, pour qu'il craque sous la pression de cette invitation silencieuse. Mes caresses deviennent plus insistantes, un doigt s'insinue légèrement à l'entrée de mon vagin, je sens les parois humides et chaudes se refermer autour, tandis que mon pouce continue de titiller mon clitoris, envoyant des spasmes de délice à travers tout mon corps. Je gémis plus fort, cette fois intentionnellement, un son doux et invitant qui flotte dans l'air lourd.
Je perçois le poids de son hésitation, son ombre projetée sur mon corps en feu, mais l'excitation qui bouillonne en moi me pousse à briser le silence. Mes doigts continuent leur danse sous le tissu trempé de mon bas de bikini, pressant contre mon clitoris gonflé, envoyant des vagues de plaisir qui me font haleter. Mes seins nus se soulèvent au rythme de ma respiration saccadée, mes mamelons durcis comme des perles roses sous le soleil impitoyable, et une moiteur chaude s'écoule entre mes cuisses, rendant chaque frottement plus glissant, plus intense.
L'air est saturé de l'odeur de l'herbe coupée, mêlée à celle de ma sueur et de mon désir musqué, un parfum enivrant qui semble attirer Marcel comme un aimant. Je sens son regard brûlant sur moi, sur ma main qui bouge avec une audace croissante, et cela ne fait qu'amplifier les spasmes qui contractent mon vagin, vide et palpitant, avide d'être comblé.
Enfin, d'une voix haletante, rauque de plaisir retenu, je murmure : « Marcel... venez... aidez-moi. Touchez-moi, s'il vous plaît. J'en ai besoin... maintenant. »
Les mots sortent comme un souffle, chargés d'une urgence qui me surprend moi-même, mon corps cambré sur le transat, mes hanches se soulevant légèrement pour accentuer l'invitation. Mes doigts ralentissent mais ne s'arrêtent pas, effleurant mes lèvres intimes gonflées, étalant ma moiteur sur le tissu fin qui colle à ma peau. Je sens une contraction profonde dans mon ventre, un feu qui monte, et mes tétons se tendent encore plus, sensibles au moindre courant d'air, imaginant déjà ses mains rugueuses sur eux.
Il hésite un instant, ses yeux écarquillés, fixés sur mes seins ronds et fermes qui ondulent doucement, sur ma main qui continue de me caresser avec une lenteur provocante. Sa respiration est lourde, audible par-dessus le chant des oiseaux lointains, et je vois la bosse dans son pantalon s'accentuer, tendue contre le tissu usé, trahissant un désir qu'il ne peut plus cacher.
« Mademoiselle... c'est pas... on devrait pas... » balbutie-t-il, mais sa voix manque de conviction, et il fait un pas de plus, s'agenouillant maladroitement au bord du transat. Ses mains tremblantes, calleuses des années de travail au jardin, effleurent d'abord ma cuisse, hésitantes, comme s'il testait la réalité de ce moment. Sa peau est chaude, rugueuse contre la mienne si douce, et ce simple contact envoie une décharge électrique jusqu'à mon sexe, faisant pulser mon clitoris sous mes doigts.
« Oui, comme ça... touchez-moi, Marcel, » je gémis, guidant sa main plus haut, vers mon bas de bikini trempé. Il obéit, ses doigts épais remplaçant les miens, pressant à travers le tissu contre mes lèvres humides, frottant avec une maladresse qui m'excite encore plus. Je perçois la texture rugueuse de sa paume contre ma chair sensible, et un frisson me traverse, mes cuisses s'écartent instinctivement pour lui offrir un meilleur accès.
Mon vagin se contracte, avide, et une nouvelle vague de moiteur s'écoule, imbibant ses doigts à travers le tissu. Pendant ce temps, son autre main remonte vers mon sein, le prenant en coupe, son pouce effleurant mon mamelon durci, le pinçant doucement, envoyant des éclairs de plaisir qui se répercutent jusqu'à mon bas-ventre.
« Oh... oui, Marcel, là... plus fort, » je souffle, ma voix entrecoupée de gémissements, mon corps se tordant sous ses caresses, l'odeur de sa sueur masculine se mélangeant à celle de mon excitation, rendant l'air épais et enivrant.
Il grogne quelque chose d'inintelligible, son souffle chaud contre ma peau, et je sens sa main chercher, se glisser sous le tissu pour toucher directement ma chair nue. Ses doigts calleux écartent mes lèvres intimes, explorant ma moiteur, un doigt s'insinuant lentement à l'entrée de mon vagin, me remplissant enfin d'une pression délicieuse.
Je halète, mes hanches se soulevent pour l'accueillir plus profondément, sentant les parois humides de mon sexe se refermer autour de lui, pulsant au rythme de ses mouvements. L'autre main malaxe mon sein, tirant sur le mamelon, le faisant rouler entre ses doigts, tandis que des ondes de plaisir irradient de ma poitrine à mon clitoris, qu'il frotte maintenant avec son pouce, en cercles insistants.
« Vous êtes si... humide, mademoiselle... si chaude, » murmure-t-il, sa voix rauque, empreinte d'un désir brut qui m'enflamme. Mes sensations sont amplifiées : la rugosité de ses doigts contre ma douceur, la chaleur du soleil sur ma peau nue, les bruits de succion humide que font ses caresses, et cette odeur terreuse, animale, qui nous enveloppe.
Le désir qui m'envahit est trop intense pour que je reste passive, et tandis que les doigts de Marcel explorent ma moiteur sous le tissu trempé de mon bas de bikini, pressant contre mes lèvres gonflées et frottant mon clitoris en cercles maladroits mais délicieux, je sens une urgence nouvelle me submerger.
Mon corps tremble sous ses caresses, mes seins nus se soulevant au rythme de mes halètements, mes mamelons durcis comme des pointes sensibles qui pulsent à chaque effleurement de sa main libre. L'air est lourd de nos odeurs mêlées – sa sueur terreuse, masculine, et ma propre excitation musquée, un parfum salé et enivrant qui imprègne la terrasse ensoleillée. Mon vagin se contracte, avide, tandis que des vagues de chaleur irradient de mon bas-ventre, rendant mes cuisses tremblantes et humides.
D'un mouvement fluide, je me tourne sur le transat, m'agenouillant face à lui, mes seins ronds et fermes se balançant légèrement devant son visage rougi.
« Laissez-moi vous goûter, Marcel... vous le méritez, » je murmure d'une voix rauque, mes yeux plongeant dans les siens, chargés d'un désir brut qui le fait déglutir.
Mes mains descendent vers son pantalon usé, défont la ceinture avec une hâte contenue, libérent son sexe tendu, épais et veiné, qui jaillit devant moi, durci par l'excitation refoulée. Il est plus imposant que je ne l'imaginais, avec une peau tannée et un gland luisant de pré-sperme, dégageant une odeur musquée, animale, qui m'attire irrésistiblement.
Je le prends en main, sentant sa chaleur palpiter contre ma paume douce, et je commence à le caresser lentement, de haut en bas, mes doigts glissant sur sa longueur rigide, étalant la perle de liquide à son extrémité pour lubrifier chaque mouvement.
Pendant ce temps, Marcel ne s'arrête pas : ses doigts, glissés sous mon bikini, continuent de me caresser avec plus d'assurance, un doigt s'insinuant profondément dans mon vagin humide, explorant les parois chaudes et serrées qui se referment autour de lui en spasmes rythmiques. Son pouce presse contre mon clitoris gonflé, en cercles insistants, envoyant des éclairs de plaisir qui me font gémir contre son membre.
« Oh... mademoiselle... c'est... trop bon, » grogne-t-il, sa voix cassée, ses hanches se poussant involontairement vers moi tandis que je penche la tête pour le prendre en bouche.
Mes lèvres s'entrouvrent, enveloppant son gland chaud, et je le suce doucement d'abord, ma langue tournoyant autour de lui, goûtant son sel amer et masculin qui se mélange à ma salive. Je sens sa texture veinée contre ma langue, et je l'aspire plus profondément, mes joues se creusant tandis que je le fais glisser dans ma gorge, alternant succions lentes et rapides; mes mains caressent la base de son sexe et ses testicules lourds, pendants, que je malaxe doucement pour intensifier son plaisir.
Ses caresses à lui deviennent plus frénétiques : deux doigts maintenant plongés en moi, entrant et sortant avec un bruit humide de succion, courbés pour frotter ce point sensible à l'intérieur de mon vagin qui me fait frémir. Mon corps réagit violemment, mes cuisses tremblent, une moiteur abondante s'écoule autour de ses doigts, rendant chaque pénétration plus glissante, plus profonde.
Je sens l'orgasme monter, des contractions puissantes autour de ses doigts, tandis que mes gémissements vibrent sur son membre, le faisant grossir encore dans ma bouche. L'ambiance est électrique : le soleil brûlant sur ma peau nue, les sons de nos respirations haletantes, les bruits obscènes de ma fellation et de ses doigts dans ma chair trempée, et cette odeur entêtante de désir partagé qui nous enveloppe comme un nuage.
Ses hanches bougent maintenant, poussant doucement dans ma bouche, et je le laisse faire, savourant la sensation de plénitude, mon propre plaisir culminant sous ses attouchements experts.
Je sens l'orgasme approcher comme une vague montante, mes lèvres serrées autour du sexe de Marcel, le suçant avec une ferveur croissante tandis que ses doigts s'enfoncent plus profondément en moi, courbés pour frotter ce point sensible qui me fait trembler de la tête aux pieds.
Mon corps est un brasier : mes seins nus se pressent contre ses cuisses, mes mamelons frottant contre sa peau rugueuse à chaque mouvement, envoyant des décharges de plaisir qui se répercutent jusqu'à mon clitoris gonflé, que son pouce malaxe sans relâche.
L'air est saturé de nos essences mêlées – le sel de son précum sur ma langue, l'odeur musquée de son excitation masculine, et ma propre moiteur qui s'écoule autour de ses doigts, qui rend chaque pénétration glissante et bruyante, un son obscène qui résonne dans le silence de la terrasse ensoleillée. Je gémis autour de son membre, les vibrations le faisant gonfler encore, pulsant contre mon palais, tandis que mes mains caressent ses testicules lourds, les pressant doucement pour l'amener au bord du gouffre avec moi.
« Mademoiselle... je... je vais... » grogne-t-il, sa voix rauque et brisée, ses hanches se poussant plus fort dans ma bouche, mais je ne le laisse pas se retirer, accélérant le rythme de mes succions, ma langue tournoyant autour de son gland sensible, aspirant chaque goutte de son désir.
Au même instant, ses doigts accélèrent en moi, trois maintenant, étirant mes parois humides et chaudes, frottant avec une urgence qui fait contracter mon vagin en spasmes violents. Le plaisir monte en flèche, une chaleur explosive irradie de mon bas-ventre, fait trembler mes cuisses et cambrer mon dos.
Je sens l'orgasme me submerger la première, un cri étouffé autour de son sexe tandis que des vagues puissantes me traversent. Mon sexe se resserre autour de ses doigts comme un étau, une giclée chaude s'échappant de moi, trempant sa main et le transat en dessous. Mes seins se tendent, mes mamelons durcissent au maximum, et des frissons me parcourent la peau, amplifiés par le soleil qui chauffe ma nudité exposée.
C'est alors qu'il explose à son tour, son grognement animal résonne dans l'air, son membre tressaute dans ma bouche tandis que des jets chauds et salés se déversent sur ma langue, remplissant ma gorge d'un goût amer et épais. Je l'avale avidement, prolongeant son extase en continuant de le sucer doucement, trayant chaque goutte restante.
Nos corps tremblent à l'unisson, connectés dans cette extase partagée, ses doigts encore en moi, recueillant les dernières contractions de mon orgasme, tandis que je lèche les vestiges de son plaisir sur sa peau sensible. L'air semble vibrer autour de nous, chargé d'une satisfaction lourde, nos respirations haletantes se synchronisant progressivement, l'odeur de nos fluides mêlés imprégnant la brise tiède.
Je me retire lentement, un filet de salive et de semence reliant encore mes lèvres à son sexe ramolli, et je le regarde avec un sourire repu, mon corps encore parcouru de frissons résiduels, ma peau luisante de sueur et d'humidité.
Je laisse les derniers frissons de l'orgasme me parcourir, mon corps luisant de sueur et d'humidité, mes seins nus se soulevant au rythme de ma respiration qui s'apaise lentement. Le goût salé de Marcel persiste sur ma langue, un rappel enivrant de notre échange, et je vois son sexe ramolli pendre de son pantalon ouvert, son visage rougi par l'effort et le plaisir, ses yeux encore voilés de désir.
L'air de la terrasse est lourd de notre accomplissement, mais une étincelle d'excitation persiste en moi, un besoin de prolonger ce moment interdit dans un lieu plus secret, plus intime. Je me lève du transat, mes jambes encore tremblantes, le tissu trempé de mon bas de bikini collant à mes cuisses humides, et je tends la main vers lui avec un sourire complice.
« Venez, Marcel... Allons dans la remise. C'est plus discret, et personne ne nous dérangera là-bas. J'ai envie de plus... d’explorer sans retenue. »
Il hésite une seconde, jetant un regard nerveux autour du jardin ensoleillé, mais le désir l'emporte ; il remonte maladroitement son pantalon sans le fermer complètement et me suit, ses pas lourds sur l'herbe fraîchement coupée. Je marche devant lui, nue au-dessus de la taille, sentant le soleil caresser mes seins fermes et sensibles, mes mamelons encore dressés par l'excitation résiduelle.
Chaque pas fait frotter le tissu mouillé contre mon sexe toujours gonflé, ravivant des picotements de plaisir, et je sais qu'il fixe mon dos, mes fesses moulées par le bikini minimaliste, imaginant ce qui va suivre. L'odeur de l'herbe se mêle à celle de nos corps, un parfum terreux et charnel qui m'enivre, tandis que nous nous dirigeons vers le fond du jardin, où la petite cabane en bois se dresse, cachée derrière un bosquet d'arbres, ses murs usés par le temps et entourés d'outils rouillés.
J'ouvre la porte grinçante, et nous entrons dans l'ombre fraîche, l'air confiné chargé d'odeurs de bois sec, de terre humide et d'huile de moteur – un contraste excitant avec la chaleur extérieure. La lumière filtre par les interstices des planches, projetant des rais dorés sur nos corps, et je ferme la porte derrière nous, nous isolant dans cet espace exigu, rempli de râteaux, de pelles et de sacs de terreau empilés.
Le risque demeure : quiconque s’approche pourrait nous entendre et nous surprendre, mais cette vulnérabilité ne fait qu'attiser le feu. Je me tourne vers Marcel, pressant mon corps contre le sien, mes seins nus écrasés contre sa chemise défraîchie, sentant la rugosité du tissu contre mes mamelons sensibles.
« Ici, on peut être nous-mêmes... Touchez-moi encore, Marcel. Montrez-moi ce que vous voulez vraiment, » je murmure, ma voix basse et haletante, mes mains descendant pour rouvrir son pantalon, libérant son sexe est à nouveau dur sous mes doigts.
Il grogne, ses mains calleuses agrippent mes hanches, il me pousse contre une étagère branlante qui fait cliqueter les outils. Ses lèvres trouvent mon cou, y déposant des baisers rugueux, tandis que ses doigts glissent sous mon bikini, effleurant à nouveau ma moiteur persistante, un doigt s'insinuant lentement pour raviver les flammes. Je gémis doucement, sentant mon vagin se contracter autour de lui, humide et prêt, l'excitation montant à nouveau comme la marée, amplifiée par le confinement et le danger. L'espace étroit nous force à nous coller ensemble, nos sueurs se mélangeant, et son érection pulse contre mon ventre, chaude et insistante.
L'urgence du désir nous enveloppe dans l'étroitesse de la cabane, nos corps pressés l'un contre l'autre, ma peau nue contre sa chemise imprégnée de sueur, mes seins fermes écrasés contre son torse, mes mamelons frottant contre le tissu rugueux à chaque respiration. L'air confiné est chargé d'odeurs entêtantes – bois sec, terre humide, et ce parfum musqué de nos excitations mêlées qui rend chaque inspiration enivrante.
Marcel grogne doucement, ses mains calleuses serrant mes hanches, son érection épousant mon ventre à travers son pantalon ouvert, chaude et insistante. Mais je veux prolonger ce moment, explorer les préliminaires dans cet espace caché où le risque d'être découverts ajoute une dose d'adrénaline. Je pose une main sur sa poitrine pour le retenir, mes lèvres effleurent son oreille, et je murmure d'une voix rauque, haletante : « Pas encore... Explorez-moi avec votre bouche, Marcel. Léchez-moi partout, goûtez-moi, pendant que je me caresse. Faites-moi trembler ici, dans le secret. »
Il obéit avec une avidité surprenante, ses yeux brillants dans la pénombre, et il me pousse doucement contre l'étagère, les outils cliquetant légèrement derrière moi comme un avertissement excitant.
Je m'appuie là, écartant les cuisses pour lui offrir un accès total, mon bas de bikini encore en place mais trempé, collant à mes lèvres gonflées. Il s'agenouille devant moi, ses mains rugueuses remontant le long de mes cuisses, effleurant ma peau sensible, envoyant des frissons qui font durcir mes tétons un peu plus.
Sa bouche commence par mon ventre plat, ses lèvres chaudes et sèches déposant des baisers humides, sa langue traçant des cercles lents autour de mon nombril, goûtant la sueur salée qui perle sur ma peau. Je gémis doucement, ma main descendant vers mon bikini, glissant sous le tissu pour caresser mon clitoris gonflé, en cercles lents qui amplifient chaque sensation.
« Oui... comme ça, Marcel... plus bas, » je souffle, ma voix entrecoupée, sentant mon vagin palpiter d'anticipation, une moiteur chaude s'écoulant déjà, rendant mes doigts glissants.
Sa langue descend, effleurant l'intérieur de mes cuisses, léchant la peau douce et sensible, son souffle chaud contre ma chair me fait frissonner. Il écarte le tissu de mon bikini d'une main tremblante, exposant mes lèvres intimes, gonflées et luisantes, et sa bouche se pose enfin sur moi, sa langue large et rugueuse lapant lentement mes plis humides, goûtant ma saveur musquée avec un grognement de satisfaction.
Chaque coup de langue est précis, alternant entre des lents va-et-vient sur mes lèvres et des cercles autour de mon clitoris, qu'il aspire doucement en bouche, le suçant avec une douceur qui me fait cambrer le dos contre l'étagère. Je sens les vibrations de ses murmures contre ma chair, « Si douce... si bonne, mademoiselle... », et cela m'enflamme, mes doigts accélérent sur mon clitoris tandis que sa langue s'insinue plus profondément, explorant l'entrée de mon vagin, léchant avidement la moiteur qui s'y accumule.
L'odeur de mon excitation remplit la cabane, mêlée à celle de la terre et du bois, un parfum primal qui nous enivre tous les deux, et j'entends le bruit humide de sa bouche sur moi, des succions et des lapements qui résonnent dans l'espace confiné, amplifiés par les murs proches.
Pendant ce temps mes doigts s'activent et frottent mon clitoris en rythme avec sa langue, envoyant des ondes de plaisir qui irradient jusqu'à mes seins, que je malaxe de l'autre main, pinçant mes mamelons durcis pour intensifier les sensations.
Mon corps tremble, mes cuisses se serrent autour de sa tête, le maintenant en place tandis que des spasmes commencent à contracter mon vagin, avide, pulsant contre sa langue intrusive.
Il ne s'arrête pas aux zones intimes ; ses mains remontent pour caresser mes fesses, et sa bouche explore plus loin, léchant le creux de mes cuisses, remontant même vers mes seins qu'il atteint en se redressant légèrement, sa langue tournoyant autour d'un mamelon, le suçant avec force, le mordillant doucement, tandis que ses doigts prennent le relais en bas, frottant mes lèvres humides.
Je halète, mes gémissements plus forts maintenant, résonnant dans la cabane, le risque d'être entendus me rendant encore plus folle, mon orgasme approchant comme une tempête, mes hanches se poussant contre sa bouche et ses doigts pour plus de profondeur, plus de friction.
Le plaisir monte en moi comme une tempête imminente, la langue de Marcel lape avidement ma vulve, sa bouche chaude et rugueuse aspire mon clitoris gonflé tandis que mes doigts accélèrent leur danse circulaire sur cette perle sensible, envoyant des éclairs de feu à travers mon bas-ventre.
Mon vagin se contracte en spasmes affamés autour de sa langue intrusive, une moiteur abondante s'écoule sur son menton, imprégnant l'air confiné de la cabane d'un parfum musqué, salé et terreux qui se mélange à l'odeur de bois sec et d'huile rouillée.
Mes seins nus se soulèvent à un rythme erratique et je gémis plus fort, mes cuisses tremblant autour de sa tête, le maintenant en place alors que des ondes de chaleur irradient jusqu'à mes orteils. Mais juste au bord de l'extase, une urgence me saisit – je veux le sentir en moi, pleinement, maintenant, dans cette posture animale et risquée, contre le mur branlant de la cabane où chaque mouvement fait trembler les étagères.
D'un geste décidé, je repousse doucement sa tête, mes doigts emmêlés dans ses cheveux gris clairsemés, humides de ma propre excitation.
« Pas comme ça... pas encore, » je halète.
Ma voix rauque et essoufflée, chargée d'un désir impérieux lui fait lever les yeux vers moi, surpris mais enflammé. Son visage est luisant de ma moiteur, ses lèvres gonflées et rouges, et je vois son érection tendue contre son pantalon ouvert, palpitante, prête à exploser.
Je l'attire vers moi d'une main ferme sur son col de chemise défraîchie, le relevant sur ses pieds maladroits, nos corps se collant dans l'espace exigu.
« Prenez-moi debout, Marcel... contre le mur, tout de suite. Je veux vous sentir me remplir, fort et profond, » je murmure contre son oreille, ma respiration chaude effleurant sa peau tannée, tandis que je le pousse en arrière contre les étagères instables, qui grincent sous la pression, les outils cliquetant comme un avertissement excitant.
Il grogne, un son rauque et guttural qui vibre dans sa poitrine, ses mains calleuses agrippant mes hanches nues avec une force surprenante pour son âge, me plaquant contre le mur de bois rugueux.
Le contact froid et irrégulier des planches contre mon dos nu me fait frissonner, contrastant avec la chaleur brûlante de son corps pressé contre le mien, ses muscles tendus sous sa chemise imprégnée de sueur. Je sens son odeur masculine – terre, herbe coupée et désir refoulé – m'envelopper comme un nuage enivrant, amplifiant chaque sensation.
Mes seins s’écrasent contre son torse, mes mamelons durs roulant contre le tissu rêche, envoyant des picotements électriques jusqu'à mon sexe toujours gonflé et humide. D'une main, je descends pour guider son membre rigide, épais et veiné, le positionnant à l'entrée de mon vagin palpitant, sentant son gland chaud et luisant de précum effleurer mes lèvres intimes, étalant ma moiteur sur lui comme une invitation glissante.
« Oui... mademoiselle... comme vous voulez, » balbutie-t-il, sa voix cassée par l'excitation, ses yeux plongeant dans les miens avec une faim brute qui me fait fondre. Il pousse d'un coup de reins ferme, me pénétrant d'un seul mouvement profond, son sexe épais étirant mes parois humides et chaudes, me remplissant complètement jusqu'à ce que je sente ses testicules lourds claquer contre mes fesses.
Un cri m'échappe, un mélange de douleur délicieuse et de plaisir intense, alors que mon vagin se referme autour de lui en spasmes avides, serrant sa longueur rigide comme pour le retenir à jamais. La sensation est irrésistible : sa verge veinée frottant contre mes parois sensibles, atteignant des points profonds qui me font haleter, tandis que le mur branle derrière moi, les étagères tremblant au rythme de ses coups, des pots et des outils tintant en un fond sonore chaotique et excitant, comme si la cabane elle-même jouissait avec moi.
Il bouge lentement, sortant presque entièrement pour mieux replonger, chaque pénétration accompagnée d'un bruit humide de succion, ma moiteur abondante lubrifiant chaque va-et-vient, coulant le long de mes cuisses et sur ses testicules. Je m'accroche à ses épaules, mes ongles s'enfonçant dans sa chair à travers la chemise, cambrant le dos pour mieux l'accueillir, mes seins rebondissant contre lui à chaque poussée, mes mamelons frottant douloureusement contre le tissu, amplifiant les vagues de plaisir qui irradient de mon bas-ventre.
« Plus fort... oh, Marcel, plus profond ! » je gémis, ma voix résonnant dans la cabane, mêlée au grincement du bois et à nos respirations haletantes. Il obéit, accélérant le rythme, ses mains descendant pour agripper mes fesses, les écartant légèrement pour plonger plus loin, son gland cognant contre mon col utérin à chaque coup, envoyant des éclairs d’extase qui me font contracter autour de lui, traire son membre avec une force instinctive.
L'ambiance est électrique : l'ombre de la cabane nous enveloppe, les rais de soleil bas filtrant par les fissures illuminent nos corps en sueur, l'odeur de nos fluides mêlés – salé, musqué, avec une note de terre humide – rendent l'air épais et enivrant.
Un nouvel orgasme se construit, mes parois vaginales pulsent autour de sa verge, mes cuisses tremblent contre les siennes, et ses grognements deviennent plus animaux, ses poussées plus erratiques, comme s'il luttait pour se retenir. Chaque détail m'enflamme : la rugosité de ses mains sur ma peau douce, la chaleur de son souffle sur mon cou, les bruits obscènes de nos chairs qui claquent, et cette sensation de plénitude absolue alors qu'il me possède debout, contre ce mur instable qui menace de céder sous notre passion.
Chaque coup de reins de Marcel me remplit d'une plénitude brûlante, son sexe épais étire mes parois humides et chaudes, frottant contre des points sensibles qui me font haleter et gémir contre le mur rugueux. Mes seins nus rebondissent à chaque poussée, mes tétons dressés frôlant sa chemise défraîchie, envoyant des éclairs de plaisir à travers mon corps en sueur.
L'air est saturé d'odeurs : sueur masculine, ma propre excitation musquée, et l'odeur terreuse du bois et de la poussière qui nous entourent, un mélange enivrant qui amplifie chaque sensation. Les étagères grincent derrière moi, les outils cliquettent au rythme de nos mouvements, et le risque que tout s'effondre ou que quelqu'un nous entende ajoute une dose d'inconnu qui fait pulser mon clitoris encore plus fort.
Mais soudain j’ai envie de prendre le contrôle, sentir son corps sous le mien, dominer ce moment interdit dans cet espace secret où nos désirs se déchaînent sans retenue.
D'une voix rauque, entrecoupée de gémissements, je murmure contre son oreille, mes lèvres effleurant sa peau tannée : « Allongez-vous, Marcel... sur le sol. Je veux vous chevaucher, vous sentir en moi, contrôler chaque mouvement. »
Il grogne, un son rauquel qui vibre dans sa poitrine, et après une dernière poussée profonde qui me fait trembler, il se retire lentement, son sexe luisant de ma moiteur glissant hors de moi, laissant un vide palpitant que je suis impatiente de combler à nouveau.
Je le pousse doucement en arrière, mes mains sur ses épaules, et il s'allonge sur le sol poussiéreux de la cabane, la terre sèche et les petits graviers crissant sous son dos. Le clair-obscur nous enveloppe, les rais de soleil filtrant à travers les fissures des planches illuminent son corps allongé, sa chemise ouverte révélant son torse musclé, couvert de sueur, et son membre rigide dressé vers moi, veiné et luisant, prêt à m'accueillir.
Je m'agenouille au-dessus de lui, mes cuisses écartées de part et d'autre de ses hanches, mon bas de bikini toujours poussé sur le côté, exposant mes lèvres intimes gonflées et trempées, une goutte de ma moiteur tombant sur son ventre alors que je me positionne. Mes seins ronds et fermes se balancent devant son visage, mes mamelons roses et durs captant la lumière dorée, et je vois ses yeux affamés les dévorer, ses mains calleuses remontant pour les saisir, les malaxant avec une urgence qui me fait gémir.
Je prends son sexe en main, sentant sa chaleur palpiter contre ma paume, et je le guide à l'entrée de mon vagin, frottant son gland contre mes lèvres intimes, étalant ma moiteur sur lui avant de m'abaisser lentement, le prenant en moi. La sensation est exquise : son membre épais s'enfonçant, centimètre par centimètre, étirant mes parois serrées, me remplissant jusqu'à ce que je sois assise complètement sur lui, ses testicules pressés contre mes fesses, une plénitude profonde qui me fait cambrer le dos et rejeter la tête en arrière avec un soupir de délice.
Je commence à bouger, d'abord lentement, mes hanches roulant en cercles, sentant chaque angle de sa verge frotter contre mes parois sensibles, atteignant des points qui envoient des ondes de plaisir irradier jusqu'à mon clitoris.
Mes mains s'appuient sur son torse pour me stabiliser, mes ongles s'enfoncent dans sa peau à travers la chemise, tandis que je monte et descends, contrôlant le rythme, chaque descente claquant mes fesses contre ses cuisses avec un bruit humide et charnel.
La poussière du sol s'élève autour de nous, collant à ma peau en sueur, une sensation brute et terreuse qui ajoute à l'animalité du moment, nos corps fusionnant dans l'ombre et la saleté.
« Oh, Marcel... vous êtes si dur en moi... c’est si bon, » je gémis, ma voix résonne dans la cabane, mêlée au crissement de la terre sous lui et aux grognements rauques qu'il émet à chaque poussée ascendante de ses hanches, rencontrant mes mouvements pour s'enfoncer plus profondément.
Ses mains lâchent mes seins pour agripper mes fesses, les écartant légèrement, ses doigts rugueux s'enfoncent dans ma chair douce, guidant mes va-et-vient pour accélérer le rythme. Mon vagin se contracte, pulsant en spasmes avides, une chaleur explosive monte en moi, amplifiée par le frottement de mon clitoris contre son pubis à chaque descente.
L'ambiance est sauvage : l'odeur de nos fluides mêlés, salés et musqués, se mélange à celle de la poussière et du bois pourri ; les bruits de nos chairs qui claquent, de nos respirations haletantes, et des outils qui tremblent sur les étagères à proximité ; et la sensation de la terre sous mes genoux, rugueuse et froide contre ma peau brûlante.
Mes seins rebondissent frénétiquement maintenant, et il se redresse légèrement pour en capturer un dans sa bouche, suçant mon mamelon avec force, le mordillant, envoyant des éclairs de plaisir qui se répercutent jusqu'à mon sexe, me rapprochant dangereusement du bord.
Chaque mouvement de mes hanches sur sa bite envoie des vagues de plaisir, irradiant de mon vagin serré autour de lui. Mes parois humides et chaudes pulsent en rythme avec ses poussées ascendantes. L'ombre nous enveloppe, les rais de soleil filtrant par les fissures illuminant nos corps fusionnés, et l'odeur de poussière se mêle à celle de nos fluides – salé, musqué, avec une note de sueur masculine qui m'enivre.
Je ralentis délibérément mes mouvements, mes hanches roulent maintenant en cercles lents et langoureux, gardant son sexe profondément enfoui en moi, sentant chaque veine de sa verge palpiter contre mes parois contractées, une plénitude chaude et insistante qui me fait frissonner de la tête aux pieds.
Mon vagin l’enserre comme un étau de velours, épousant doucement sa longueur sans le laisser s'échapper, et je sens une nouvelle vague de moiteur s'écouler, lubrifiant nos chairs unies, coulant le long de ses testicules pressés contre moi.
« Pas trop vite, Marcel... laissons ça durer, » je murmure d'une voix rauque, essoufflée, mes yeux plongeant dans les siens, voilés de désir et de surprise. Je me penche en avant, mes seins nus se pressant contre son torse, mes mamelons durs roulant contre sa chemise imprégnée de sueur, envoyant des picotements électriques jusqu'à mon clitoris qui frotte subtilement contre son pubis à chaque roulement de hanches.
Mes lèvres trouvent les siennes dans un baiser profond, explorateur, ma bouche s'ouvre pour accueillir sa langue, goûtant le sel de sa peau tannée, l'arrière-goût musqué de mon propre désir qu'il a léché plus tôt, un mélange enivrant qui me fait gémir dans sa bouche.
Nos langues dansent, lentes et affamées, explorant chaque recoin – la sienne large contre la mienne douce et agile – tandis que je continue de le garder en moi, mes mouvements minimaux mais intenses, sentant son gland cogner doucement contre mon col utérin à chaque ajustement.
Ses mains remontent dans mon dos, ses paumes rugueuses caressent ma peau moite, traçant des sillons de feu le long de ma colonne vertébrale, et je sens son cœur battre follement contre ma poitrine, synchronisé avec le mien. Le baiser s'intensifie, nos souffles se mélangent en halètements chauds, mes lèvres mordillant les siennes, suçant sa langue comme pour le dévorer, tout en maintenant cette connexion intime plus bas.
Mon vagin emprisonne son membre, prolongeant le plaisir à l'infini dans cette bulle d'ombre et de poussière. L'ambiance est d'une intimité suffocante : les bruits étouffés de nos baisers humides, le crissement subtil de la terre sous nos corps, l'odeur de nos essences mêlées qui imprègne l'air confiné, et cette sensation de vulnérabilité partagée qui rend chaque toucher plus électrique, plus profond.
L'intimité de notre baiser s'intensifie, nos langues entrelacées dans une danse lente et passionnée, explorant chaque recoin de nos bouches avec une avidité qui me fait frissonner. Son goût salé, mêlé à l'arrière-goût musqué de mon propre désir, m'enivre, tandis que mon vagin serre son membre rigide profondément enfoui en moi, pulsant doucement autour de lui comme pour le retenir éternellement.
Mes seins nus se pressent contre son torse, mes mamelons durcis frottent contre le tissu rugueux de sa chemise, envoyant des ondes électriques jusqu'à mon clitoris qui effleure subtilement son pubis à chaque roulement lent de mes hanches. La poussière du sol colle à ma peau moite, une sensation et brute qui contraste avec la chaleur veloutée de notre connexion.
Mais le désir bouillonne trop fort pour que je prolonge indéfiniment ; une urgence brûlante monte en moi, avide de libération. Je romps le baiser avec un gémissement rauque, mes lèvres gonflées et humides effleurant les siennes une dernière fois, et je me redresse légèrement, mes mains s'appuyant sur son torse pour reprendre le contrôle.
« Maintenant, Marcel... laissons-nous aller ensemble, » je murmure, ma voix essoufflée et chargée de promesse, tandis que j'accélère le rythme de mes hanches, montant et descendant sur son sexe avec une vigueur renouvelée. Chaque descente est plus rapide, plus profonde, son membre épais étirant mes parois humides et chaudes, frottant contre mon point G.
Un bruit de succion humide résonne dans la cabane à chaque impact de mes fesses contre ses cuisses. Mon vagin se contracte autour de lui en spasmes avides, trayant sa longueur veinée, et je ne peux empêcher une moiteur abondante s'écouler, lubrifiant nos mouvements frénétiques, coulant le long de ses testicules jusqu’au sol poussiéreux.
Ses grognements deviennent plus animaux, ses mains agrippent mes fesses pour me guider, il pousse ses hanches vers le haut à chacune de mes descentes, cognant son gland contre mon col utérin avec une force qui me fait crier de plaisir.
Mes seins rebondissent follement, mes mamelons durcis captant les rais de soleil filtrant par les fissures, et je sens l'orgasme monter en moi comme une vague irrésistible, des contractions puissantes serrant son sexe, mon clitoris frotté contre lui à chaque mouvement envoyant des éclairs de feu à travers tout mon corps.
« Oh... je viens... Marcel, jouissez en moi ! » je halète, ma voix résonnant dans l'espace exigu, mêlée au crissement de la terre sous nous et aux grincements des étagères qui tremblent à proximité.
Il explose le premier, un rugissement animal s'échappant de sa gorge tandis que son membre tressaute en moi, des jets chauds et épais de sperme me remplissent, se répandant contre mes parois palpitantes, une sensation chaude et visqueuse qui déclenche mon propre orgasme.
Je jouis autour de lui dans un cri étouffé, mon vagin se contracte violemment, aspirant chaque goutte de son extase tandis que des vagues puissantes me traversent; mes cuisses tremblent, une giclée chaude s'échappe de moi pour se mêler à son sperme, coulant le long de nos corps unis dans la poussière.
Nos tremblements se synchronisent, nos corps secoués par l'extase partagée, la sueur et les fluides nous liant dans une intimité brute et animale, l'odeur de notre union imprégnant l'air d’un souvenir indélébile. Je m'effondre sur lui, haletante, sentant son sperme chaud s'écouler lentement de moi, nos cœurs battant à se rompre dans le clair-obscur de la cabane.
Je laisse les derniers spasmes me faire frémir, mon corps tremblant contre celui de Marcel, nos sueurs mêlées collant à la poussière du sol, une sensation visqueuse et intime qui me fait frissonner de satisfaction résiduelle.
Mon vagin, encore sensible et gonflé, pulse doucement autour du vide qu'il a laissé, et mes seins nus, luisants de sueur, se soulèvent au rythme de ma respiration haletante ; mes mamelons effleurent son torse tandis que je reste allongée sur lui, savourant notre fusion post-coïtale dans l'ombre confinée.
Soudain, un bruit de roues qui crissent sur le gravier de l'allée rompt la quiétude. Je relève la tête, mon cœur s'accélérant légèrement, et je réalise que le jour a basculé vers le soir : la lumière filtrant par les fissures des planches s'est muée en un crépuscule orangé, l'ombre s'allonge dans la cabane comme un voile de nuit naissante.
Ce sont mes parents qui rentrent, leurs voix étouffées portant déjà depuis l'allée, discutant de leur journée en ville. Une bouffée d'adrénaline me traverse, mêlée à un frisson d'excitation interdite. Mon corps, encore en feu, réagit instinctivement : une dernière contraction dans mon bas-ventre, comme un écho de plaisir, et une moiteur chaude qui s'écoule un peu plus entre mes cuisses.
Je serre Marcel une dernière fois dans mes bras, pressant mon corps nu contre le sien, mes seins doux et fermes s'écrasant contre sa poitrine, mes lèvres effleurant son cou tanné pour un baiser rapide, chargé de tendresse et de complicité.
« Chut... c'était incroyable, Marcel. On se revoit bientôt, » je murmure à son oreille, ma voix basse et rauque, sentant son cœur battre fort contre le mien. Son odeur masculine – terre, herbe et sueur – m'enveloppe une dernière fois. Il hoche la tête, un peu étourdi, ses mains calleuses caressant brièvement mon dos avant que je ne me dégage doucement, un sourire complice aux lèvres.
Je me rhabille rapidement, glissant mon bas de bikini trempé en place, sentant le tissu coller à mes lèvres intimes encore gonflées et sensibles, imprégné de nos fluides mêlés, une sensation humide et persistante qui me fait frissonner. J'enfile mon haut de bikini, nouant les ficelles d'un geste vif, mes seins se lovant dans le tissu rouge, toujours tendus par l'excitation résiduelle. Puis, j'attrape un vieux drap de bain abandonné sur une étagère et je l'enroule autour de ma taille comme une jupe improvisée, couvrant les traces de notre après-midi : la poussière sur mes genoux, la moiteur entre mes cuisses, et cette lueur repue dans mes yeux.
Je sors discrètement de la cabane, refermant la porte grinçante derrière moi sans un bruit, laissant Marcel à l'intérieur pour qu'il se rhabille et s'éclipse par l'arrière du jardin. L'air du soir est frais contre ma peau, une brise marine portant l'odeur de la nuit naissante, et je marche d'un pas léger vers la terrasse, feignant une nonchalance parfaite.
Mon corps porte encore les marques de notre passion – une légère rougeur sur mes seins, une chaleur persistante entre mes jambes, et ce sperme qui s'écoule subtilement, me rappelant à chaque pas notre secret. Mes parents sont là, déchargeant des sacs de courses, et je m'approche avec un sourire innocent, les bras ouverts.
« Papa, Maman ! Vous rentrez tôt ! » je lance d'une voix joyeuse, comme la bonne fille obéissante que je suis censée être, les embrassant sur les joues, mon drap de bain serré autour de moi, masquant tout signe de ma journée libertine. Ils me serrent en retour, me demandant comment s'est passée ma journée au soleil, et je réponds avec un rire léger, « Oh, juste à bronzer et à me détendre... rien de spécial. »
Mais intérieurement, mon pouls bat encore la chamade, et je sais que ce n'est pas fini : Marcel est toujours là, quelque part dans l'ombre, et notre liaison ne fait que commencer.
Le bruit régulier de la tondeuse mécanique résonne dans le jardin. C’est Marcel, le vieux jardinier qui travaille pour ma famille depuis que je suis petite. Il doit avoir dans les soixante ans, avec ses cheveux gris clairsemés et sa peau tannée par des années passées sous le soleil. Il porte une chemise à carreaux défraîchie et un pantalon de travail usé. De là où je suis, je vois ses bras musclés, tendus par l’effort de pousser la machine sur la pelouse impeccablement entretenue. Il ne me regarde pas, concentré sur sa tâche, mais je ne peux m’empêcher de l’observer, curieuse, un sourire en coin sur les lèvres.
L’air est lourd, chargé de l’odeur de l’herbe fraîchement coupée, mêlée à une légère brise marine qui vient de la côte pas si loin. Je repose mon verre et m’étire langoureusement, laissant mes bras s’élever au-dessus de ma tête, cambrant légèrement le dos. Mon bikini glisse un peu sur ma hanche, dévoilant une fine bande de peau. Je sais que je joue un peu, que je teste les limites, mais l’ennui de cette journée d’été me pousse à chercher une distraction. Mon regard revient sur Marcel. Il s’est arrêté un instant pour s’essuyer le front avec un vieux mouchoir, et je remarque ses yeux qui, l’espace d’une seconde, se posent sur moi avant de se détourner rapidement.
Un frisson me parcourt, pas de froid, mais d’une étrange excitation. Je me redresse un peu plus, croisant les jambes de manière à accentuer la courbe de mes cuisses. Je prends une gorgée de limonade, laissant le liquide frais couler lentement sur mes lèvres, une goutte glissant sur mon menton avant de tomber sur ma poitrine. Je ne l’essuie pas tout de suite, savourant cette sensation de fraîcheur sur ma peau brûlante.
« Il fait chaud aujourd’hui, hein, Marcel ? » je lance d’une voix légère, presque chantante, brisant le silence entre nous.
Il sursaute légèrement, comme s’il ne s’attendait pas à ce que je lui parle. Il tourne la tête vers moi, un peu gêné, et marmonne un « Oui, mademoiselle, très chaud » avant de reprendre son travail, le dos un peu plus raide qu’avant. Sa réponse me fait sourire. Je sens une tension subtile s’installer, un jeu qui commence à peine.
Je me lève lentement, laissant le transat grincer sous moi. Je m’approche du bord de la terrasse, les mains sur les hanches, et je regarde le jardin avec un air faussement pensif. Mon bikini est si ajusté que je sens le tissu frotter contre ma peau à chaque mouvement. Je sais que ma silhouette est bien en vue, et je me demande ce que Marcel pense, s’il ose vraiment regarder ou s’il fait semblant de m’ignorer.
« Vous travaillez dur, Marcel. Vous voulez un verre d’eau ou quelque chose de frais ? » je propose, en me tournant légèrement vers lui, un sourire innocent sur le visage.
Il s’arrête à nouveau, hésitant. Ses yeux rencontrent brièvement les miens avant de descendre, juste une fraction de seconde, sur mon corps. Puis il secoue la tête, un peu trop vite. « Non, merci, mademoiselle. J’ai ma gourde. Faut que je finisse ça. »
Je décide de ne pas insister pour l'instant et je retourne vers mon transat, sentant le regard de Marcel me suivre discrètement tandis que je m'éloigne. Le bruit de la tondeuse reprend, régulier et hypnotique, comme un fond sonore à cette journée languissante. L'herbe coupée libère une odeur verte et fraîche qui se mêle à la chaleur lourde de l'air, imprégnant mes narines d'une senteur terreuse qui éveille quelque chose d’élémentaire en moi. Mon cœur bat un peu plus fort, excité par le petit jeu que j'ai initié, cette danse subtile entre l'innocence et la provocation.
Je m'allonge à nouveau sur le transat, le tissu chaud contre ma peau, et je ferme les yeux un instant, savourant la caresse du soleil sur mon corps. Mes doigts glissent lentement le long de mes épaules, effleurant la fine bretelle de mon haut de bikini. D'un geste discret, presque imperceptible, je défais le nœud à l'arrière de mon cou, puis celui dans mon dos. Le tissu rouge se détache doucement, mettant mes seins à l'air libre. Ils sont fermes, ronds, avec des mamelons roses qui se dressent légèrement sous la brise tiède, sensibles au moindre courant d'air.
Une vague vulnérabilité m'envahit, mêlée à une excitation croissante – ma peau nue exposée, même si je fais semblant de ne pas y prêter attention. Je ne regarde pas vers Marcel, mais je sais qu'il est là, à quelques mètres, poussant sa machine avec une régularité qui pourrait trahir une distraction.
Je m'étire langoureusement, cambrant le dos pour que mes seins se soulèvent, offerts au soleil. Une goutte de sueur perle entre eux, glissant lentement vers mon ventre plat, traçant un chemin humide qui me fait frissonner. L'ambiance est chargée : le ronronnement de la tondeuse, le chant distant des oiseaux, et cette odeur d'herbe qui semble amplifier chaque sensation sur ma peau.
Je sens mes tétons durcir un peu plus, réagissant à l'idée qu'il pourrait me voir, que ses yeux blasés par les ans pourraient s'attarder sur ma poitrine découverte. Mon bas de bikini, lui, reste en place, mais je sens une chaleur humide s'y installer, un désir naissant qui pulse doucement entre mes cuisses.
Du coin de l'œil, sans tourner la tête, j'aperçois Marcel qui s'approche progressivement de la terrasse, sa tondeuse traçant des lignes nettes sur la pelouse. Il fait mine de se concentrer sur son travail, mais je remarque ses gestes un peu plus lents, ses pauses plus fréquentes pour ajuster sa machine. Soudain, il s'arrête net, comme figé. Je sais qu'il m'a vue – mes seins nus, baignés de soleil, offerts.
Un silence s'installe, seulement brisé par le bourdonnement lointain d'une abeille. Mon pouls s'accélère, une bouffée d'adrénaline me traverse, rendant ma peau hypersensible. Mes mamelons se contractent sous l'effet de l'excitation, et une moiteur traîtresse humidifie l'intérieur de mes cuisses.
Mademoiselle... euh... vous... » balbutie-t-il enfin, sa voix rauque et hésitante, teintée d'un mélange de gêne et de quelque chose de plus primal. Il s'approche du bord de la terrasse, ses mains tremblantes sur la poignée de la tondeuse qu'il a arrêtée.
Ses yeux, habituellement fuyants, sont maintenant rivés sur moi, descendant inexorablement vers ma poitrine exposée. Je vois sa gorge se serrer, son visage rougir sous sa peau tannée, et une bosse naissante se dessiner sous son pantalon de travail usé. L'air semble plus épais, chargé d'une tension électrique qui me fait haleter légèrement.« Je suis là, vous savez… ».
Je ne bouge pas tout de suite, laissant le moment s'étirer, savourant cette puissance que j'exerce sur lui. Mes seins se soulèvent au rythme de ma respiration accélérée, et je sens une vague de chaleur irradier de mon ventre vers mon sexe, qui palpite doucement contre le tissu fin de mon bikini. Enfin, je tourne la tête vers lui, un sourire innocent aux lèvres, feignant la surprise. « Oh, Marcel... je bronzais juste un peu. Il fait si chaud, vous ne trouvez pas ? »
Il déglutit bruyamment, incapable de détacher son regard. « C'est... c'est pas prudent, mademoiselle. Si quelqu'un voit... » Mais sa voix manque de conviction, et je vois ses mains se crisper, comme s'il luttait contre l'envie de s'approcher plus. L'odeur de sa sueur, mêlée à celle de l'herbe, parvient jusqu'à moi, un parfum masculin et terreux qui attise mon désir. Mon corps réagit instinctivement : mes cuisses se serrent légèrement, frottant le tissu contre mon clitoris sensible, envoyant des ondes de plaisir subtiles.
Je sens le poids de son regard sur moi, chargé d'une confusion palpable, mais je décide de ne pas pousser plus loin pour l'instant. Au lieu de cela, je lui offre un sourire doux, presque rassurant, et je murmure d'une voix légère : « Allez, Marcel, retournez à votre travail. La pelouse n'attend pas, et moi, je vais continuer à profiter du soleil. »
Ma poitrine nue se soulève au rythme de ma respiration, mes mamelons encore dressés sous l'effet de la brise et de cette tension invisible qui nous relie. Il hoche la tête, marmonnant un « Bien, mademoiselle » à peine audible, avant de se détourner, ses épaules un peu voûtées, comme s'il luttait contre une force intérieure. Le bruit de la tondeuse reprend bientôt, plus hésitant qu'avant, mais il s'éloigne progressivement, me tournant le dos pour tracer de nouvelles lignes sur l'herbe verte.
Une fois qu'il est suffisamment loin, son attention rivée sur sa tâche, je laisse échapper un soupir de satisfaction. Mon corps est en feu, une chaleur insistante pulsant entre mes cuisses, attisée par ce petit spectacle que je lui ai offert. Allongée sur le transat, seins nus offerts au ciel bleu, je glisse une main le long de mon ventre plat, effleurant ma peau moite de sueur.
Mes doigts descendent plus bas, jusqu'au tissu fin de mon bas de bikini, qui colle légèrement à ma chair humide. D'un geste lent, discret, je commence à me caresser à travers le tissu, pressant doucement contre mon clitoris sensible. Une onde de plaisir me traverse immédiatement, faisant durcir mes tétons un peu plus, et je mords ma lèvre inférieure pour étouffer un gémissement naissant.
Le tissu est si mince qu'il ne fait qu'amplifier les sensations : je ressens la pression de mes doigts contre mes lèvres intimes, gonflées par l'excitation accumulée. Je bouge en cercles lents, savourant la friction humide qui se crée, mon bassin se soulevant imperceptiblement du transat. L'odeur de l'herbe fraîchement coupée se mélange à celle de ma propre excitation, un parfum musqué et intime qui m'enivre.
Du coin de l'œil, je surveille Marcel : il pousse sa machine avec régularité, mais je remarque ses regards furtifs par-dessus son épaule, comme s'il ne pouvait s'empêcher de vérifier si je suis toujours là, exposée et audacieuse. Cela ne fait qu'intensifier mon plaisir, imaginant ses yeux sur moi, son désir refoulé alimentant le mien.
Mon autre main remonte vers un sein, pinçant doucement un mamelon entre le pouce et l'index, envoyant des éclairs de sensation jusqu'à mon bas-ventre. J’accélère légèrement le rythme de mes caresses, le tissu maintenant trempé, glissant contre ma peau. Un frisson me parcourt, et je ferme les yeux un instant, laissant l'imagination prendre le relais : et s'il se retournait complètement ? Et s'il approchait, attiré par ce spectacle interdit ? Mon souffle se fait plus court, des vagues de chaleur montent en moi, approchant d'un pic que je retiens encore, pour prolonger ce moment de pure volupté solitaire.
Soudain, la tondeuse s'arrête à nouveau, et j'entends ses pas se rapprocher, hésitants. Il a dû remarquer quelque chose – mon corps qui se cambre légèrement, mes mouvements subtils. Mon cœur bat la chamade, mais je ne m'arrête pas tout de suite, laissant la tension culminer.
Je sens les pas de Marcel se rapprocher, lourds et hésitants sur l'herbe, mais je fais mine de ne rien entendre, les yeux mi-clos, comme plongée dans mon propre monde de plaisir. Mon corps est tendu, ma main toujours posée sur le tissu fin de mon bas de bikini, pressant en cercles lents contre mon clitoris gonflé. Chaque mouvement envoie des ondes électriques à travers mon ventre, faisant durcir mes mamelons nus au point qu'ils en deviennent presque douloureux, dressés vers le ciel ensoleillé.
La sueur perle sur ma peau, traçant des rivières humides entre mes seins fermes et ronds, et je sens une moiteur chaude s'intensifier entre mes cuisses, le tissu collant maintenant à mes lèvres intimes, trempées de désir. L'odeur de l'herbe coupée se mélange à celle de ma propre excitation, un parfum musqué et salé qui m'enivre, accompagné par le bruit des pas de Marcel, de plus en plus proche.
Je continue mes caresses, feignant l'ignorance totale, mais mon cœur bat à tout rompre, anticipant sa réaction. Mes doigts accélèrent légèrement, frottant le tissu contre ma chair sensible, et je sens mon sexe palpiter, les muscles de mon vagin se contracter involontairement, comme s'ils appelaient à être remplis. Un gémissement étouffé m'échappe, bas et rauque, et je cambre le dos, soulevant mes hanches du transat pour mieux presser contre ma main.
Mes seins se balancent doucement au rythme de mes mouvements légers, leurs courbes pleines et douces captant la lumière du soleil, tandis que la goutte de sueur glisse jusqu'à mon nombril, me faisant frissonner de la tête aux pieds. L'air est chargé d'une tension palpable, le chant des oiseaux semble se taire pour laisser place à ma respiration haletante.
Marcel s'arrête au bord de la terrasse, son ombre s'étendant sur moi comme une caresse invisible. Je l'entends déglutir bruyamment, sa voix sortant enfin, rauque et tremblante : « Mademoiselle... qu'est-ce que vous... vous devriez pas... » Mais il ne finit pas sa phrase, figé là, ses yeux rivés sur ma main qui bouge contre l’étoffei, sur mes seins exposés qui se soulèvent à chaque souffle.
Je devine son regard comme une brûlure, attisant le feu en moi, et je continue, plus audacieuse, glissant un doigt sous le tissu pour toucher directement ma peau nue, effleurant mes lèvres humides, étalant ma moiteur sur mon clitoris enflammé. Le plaisir monte en flèche, des vagues chaudes irradiant de mon bas-ventre, faisant contracter mes cuisses autour de ma main. Son odeur à lui – sueur masculine, terre et herbe – parvient jusqu'à moi, me rendant folle, et j'imagine ses mains calleuses remplaçant les miennes, explorant mon corps avec une urgence refoulée.
Il fait un pas en avant, hésitant, sa respiration s'accélérant autant que la mienne. « C'est pas bien, mademoiselle... mais... bon Dieu... » murmure-t-il, sa voix cassée par le désir, et je vois la bosse proéminente dans son pantalon, tendue contre le tissu usé, trahissant son excitation grandissante.
Mon pouls s'emballe, le plaisir approchant d'un sommet, mais je retiens l'orgasme, prolongeant ce moment pour le laisser intervenir, pour qu'il craque sous la pression de cette invitation silencieuse. Mes caresses deviennent plus insistantes, un doigt s'insinue légèrement à l'entrée de mon vagin, je sens les parois humides et chaudes se refermer autour, tandis que mon pouce continue de titiller mon clitoris, envoyant des spasmes de délice à travers tout mon corps. Je gémis plus fort, cette fois intentionnellement, un son doux et invitant qui flotte dans l'air lourd.
Je perçois le poids de son hésitation, son ombre projetée sur mon corps en feu, mais l'excitation qui bouillonne en moi me pousse à briser le silence. Mes doigts continuent leur danse sous le tissu trempé de mon bas de bikini, pressant contre mon clitoris gonflé, envoyant des vagues de plaisir qui me font haleter. Mes seins nus se soulèvent au rythme de ma respiration saccadée, mes mamelons durcis comme des perles roses sous le soleil impitoyable, et une moiteur chaude s'écoule entre mes cuisses, rendant chaque frottement plus glissant, plus intense.
L'air est saturé de l'odeur de l'herbe coupée, mêlée à celle de ma sueur et de mon désir musqué, un parfum enivrant qui semble attirer Marcel comme un aimant. Je sens son regard brûlant sur moi, sur ma main qui bouge avec une audace croissante, et cela ne fait qu'amplifier les spasmes qui contractent mon vagin, vide et palpitant, avide d'être comblé.
Enfin, d'une voix haletante, rauque de plaisir retenu, je murmure : « Marcel... venez... aidez-moi. Touchez-moi, s'il vous plaît. J'en ai besoin... maintenant. »
Les mots sortent comme un souffle, chargés d'une urgence qui me surprend moi-même, mon corps cambré sur le transat, mes hanches se soulevant légèrement pour accentuer l'invitation. Mes doigts ralentissent mais ne s'arrêtent pas, effleurant mes lèvres intimes gonflées, étalant ma moiteur sur le tissu fin qui colle à ma peau. Je sens une contraction profonde dans mon ventre, un feu qui monte, et mes tétons se tendent encore plus, sensibles au moindre courant d'air, imaginant déjà ses mains rugueuses sur eux.
Il hésite un instant, ses yeux écarquillés, fixés sur mes seins ronds et fermes qui ondulent doucement, sur ma main qui continue de me caresser avec une lenteur provocante. Sa respiration est lourde, audible par-dessus le chant des oiseaux lointains, et je vois la bosse dans son pantalon s'accentuer, tendue contre le tissu usé, trahissant un désir qu'il ne peut plus cacher.
« Mademoiselle... c'est pas... on devrait pas... » balbutie-t-il, mais sa voix manque de conviction, et il fait un pas de plus, s'agenouillant maladroitement au bord du transat. Ses mains tremblantes, calleuses des années de travail au jardin, effleurent d'abord ma cuisse, hésitantes, comme s'il testait la réalité de ce moment. Sa peau est chaude, rugueuse contre la mienne si douce, et ce simple contact envoie une décharge électrique jusqu'à mon sexe, faisant pulser mon clitoris sous mes doigts.
« Oui, comme ça... touchez-moi, Marcel, » je gémis, guidant sa main plus haut, vers mon bas de bikini trempé. Il obéit, ses doigts épais remplaçant les miens, pressant à travers le tissu contre mes lèvres humides, frottant avec une maladresse qui m'excite encore plus. Je perçois la texture rugueuse de sa paume contre ma chair sensible, et un frisson me traverse, mes cuisses s'écartent instinctivement pour lui offrir un meilleur accès.
Mon vagin se contracte, avide, et une nouvelle vague de moiteur s'écoule, imbibant ses doigts à travers le tissu. Pendant ce temps, son autre main remonte vers mon sein, le prenant en coupe, son pouce effleurant mon mamelon durci, le pinçant doucement, envoyant des éclairs de plaisir qui se répercutent jusqu'à mon bas-ventre.
« Oh... oui, Marcel, là... plus fort, » je souffle, ma voix entrecoupée de gémissements, mon corps se tordant sous ses caresses, l'odeur de sa sueur masculine se mélangeant à celle de mon excitation, rendant l'air épais et enivrant.
Il grogne quelque chose d'inintelligible, son souffle chaud contre ma peau, et je sens sa main chercher, se glisser sous le tissu pour toucher directement ma chair nue. Ses doigts calleux écartent mes lèvres intimes, explorant ma moiteur, un doigt s'insinuant lentement à l'entrée de mon vagin, me remplissant enfin d'une pression délicieuse.
Je halète, mes hanches se soulevent pour l'accueillir plus profondément, sentant les parois humides de mon sexe se refermer autour de lui, pulsant au rythme de ses mouvements. L'autre main malaxe mon sein, tirant sur le mamelon, le faisant rouler entre ses doigts, tandis que des ondes de plaisir irradient de ma poitrine à mon clitoris, qu'il frotte maintenant avec son pouce, en cercles insistants.
« Vous êtes si... humide, mademoiselle... si chaude, » murmure-t-il, sa voix rauque, empreinte d'un désir brut qui m'enflamme. Mes sensations sont amplifiées : la rugosité de ses doigts contre ma douceur, la chaleur du soleil sur ma peau nue, les bruits de succion humide que font ses caresses, et cette odeur terreuse, animale, qui nous enveloppe.
Le désir qui m'envahit est trop intense pour que je reste passive, et tandis que les doigts de Marcel explorent ma moiteur sous le tissu trempé de mon bas de bikini, pressant contre mes lèvres gonflées et frottant mon clitoris en cercles maladroits mais délicieux, je sens une urgence nouvelle me submerger.
Mon corps tremble sous ses caresses, mes seins nus se soulevant au rythme de mes halètements, mes mamelons durcis comme des pointes sensibles qui pulsent à chaque effleurement de sa main libre. L'air est lourd de nos odeurs mêlées – sa sueur terreuse, masculine, et ma propre excitation musquée, un parfum salé et enivrant qui imprègne la terrasse ensoleillée. Mon vagin se contracte, avide, tandis que des vagues de chaleur irradient de mon bas-ventre, rendant mes cuisses tremblantes et humides.
D'un mouvement fluide, je me tourne sur le transat, m'agenouillant face à lui, mes seins ronds et fermes se balançant légèrement devant son visage rougi.
« Laissez-moi vous goûter, Marcel... vous le méritez, » je murmure d'une voix rauque, mes yeux plongeant dans les siens, chargés d'un désir brut qui le fait déglutir.
Mes mains descendent vers son pantalon usé, défont la ceinture avec une hâte contenue, libérent son sexe tendu, épais et veiné, qui jaillit devant moi, durci par l'excitation refoulée. Il est plus imposant que je ne l'imaginais, avec une peau tannée et un gland luisant de pré-sperme, dégageant une odeur musquée, animale, qui m'attire irrésistiblement.
Je le prends en main, sentant sa chaleur palpiter contre ma paume douce, et je commence à le caresser lentement, de haut en bas, mes doigts glissant sur sa longueur rigide, étalant la perle de liquide à son extrémité pour lubrifier chaque mouvement.
Pendant ce temps, Marcel ne s'arrête pas : ses doigts, glissés sous mon bikini, continuent de me caresser avec plus d'assurance, un doigt s'insinuant profondément dans mon vagin humide, explorant les parois chaudes et serrées qui se referment autour de lui en spasmes rythmiques. Son pouce presse contre mon clitoris gonflé, en cercles insistants, envoyant des éclairs de plaisir qui me font gémir contre son membre.
« Oh... mademoiselle... c'est... trop bon, » grogne-t-il, sa voix cassée, ses hanches se poussant involontairement vers moi tandis que je penche la tête pour le prendre en bouche.
Mes lèvres s'entrouvrent, enveloppant son gland chaud, et je le suce doucement d'abord, ma langue tournoyant autour de lui, goûtant son sel amer et masculin qui se mélange à ma salive. Je sens sa texture veinée contre ma langue, et je l'aspire plus profondément, mes joues se creusant tandis que je le fais glisser dans ma gorge, alternant succions lentes et rapides; mes mains caressent la base de son sexe et ses testicules lourds, pendants, que je malaxe doucement pour intensifier son plaisir.
Ses caresses à lui deviennent plus frénétiques : deux doigts maintenant plongés en moi, entrant et sortant avec un bruit humide de succion, courbés pour frotter ce point sensible à l'intérieur de mon vagin qui me fait frémir. Mon corps réagit violemment, mes cuisses tremblent, une moiteur abondante s'écoule autour de ses doigts, rendant chaque pénétration plus glissante, plus profonde.
Je sens l'orgasme monter, des contractions puissantes autour de ses doigts, tandis que mes gémissements vibrent sur son membre, le faisant grossir encore dans ma bouche. L'ambiance est électrique : le soleil brûlant sur ma peau nue, les sons de nos respirations haletantes, les bruits obscènes de ma fellation et de ses doigts dans ma chair trempée, et cette odeur entêtante de désir partagé qui nous enveloppe comme un nuage.
Ses hanches bougent maintenant, poussant doucement dans ma bouche, et je le laisse faire, savourant la sensation de plénitude, mon propre plaisir culminant sous ses attouchements experts.
Je sens l'orgasme approcher comme une vague montante, mes lèvres serrées autour du sexe de Marcel, le suçant avec une ferveur croissante tandis que ses doigts s'enfoncent plus profondément en moi, courbés pour frotter ce point sensible qui me fait trembler de la tête aux pieds.
Mon corps est un brasier : mes seins nus se pressent contre ses cuisses, mes mamelons frottant contre sa peau rugueuse à chaque mouvement, envoyant des décharges de plaisir qui se répercutent jusqu'à mon clitoris gonflé, que son pouce malaxe sans relâche.
L'air est saturé de nos essences mêlées – le sel de son précum sur ma langue, l'odeur musquée de son excitation masculine, et ma propre moiteur qui s'écoule autour de ses doigts, qui rend chaque pénétration glissante et bruyante, un son obscène qui résonne dans le silence de la terrasse ensoleillée. Je gémis autour de son membre, les vibrations le faisant gonfler encore, pulsant contre mon palais, tandis que mes mains caressent ses testicules lourds, les pressant doucement pour l'amener au bord du gouffre avec moi.
« Mademoiselle... je... je vais... » grogne-t-il, sa voix rauque et brisée, ses hanches se poussant plus fort dans ma bouche, mais je ne le laisse pas se retirer, accélérant le rythme de mes succions, ma langue tournoyant autour de son gland sensible, aspirant chaque goutte de son désir.
Au même instant, ses doigts accélèrent en moi, trois maintenant, étirant mes parois humides et chaudes, frottant avec une urgence qui fait contracter mon vagin en spasmes violents. Le plaisir monte en flèche, une chaleur explosive irradie de mon bas-ventre, fait trembler mes cuisses et cambrer mon dos.
Je sens l'orgasme me submerger la première, un cri étouffé autour de son sexe tandis que des vagues puissantes me traversent. Mon sexe se resserre autour de ses doigts comme un étau, une giclée chaude s'échappant de moi, trempant sa main et le transat en dessous. Mes seins se tendent, mes mamelons durcissent au maximum, et des frissons me parcourent la peau, amplifiés par le soleil qui chauffe ma nudité exposée.
C'est alors qu'il explose à son tour, son grognement animal résonne dans l'air, son membre tressaute dans ma bouche tandis que des jets chauds et salés se déversent sur ma langue, remplissant ma gorge d'un goût amer et épais. Je l'avale avidement, prolongeant son extase en continuant de le sucer doucement, trayant chaque goutte restante.
Nos corps tremblent à l'unisson, connectés dans cette extase partagée, ses doigts encore en moi, recueillant les dernières contractions de mon orgasme, tandis que je lèche les vestiges de son plaisir sur sa peau sensible. L'air semble vibrer autour de nous, chargé d'une satisfaction lourde, nos respirations haletantes se synchronisant progressivement, l'odeur de nos fluides mêlés imprégnant la brise tiède.
Je me retire lentement, un filet de salive et de semence reliant encore mes lèvres à son sexe ramolli, et je le regarde avec un sourire repu, mon corps encore parcouru de frissons résiduels, ma peau luisante de sueur et d'humidité.
Je laisse les derniers frissons de l'orgasme me parcourir, mon corps luisant de sueur et d'humidité, mes seins nus se soulevant au rythme de ma respiration qui s'apaise lentement. Le goût salé de Marcel persiste sur ma langue, un rappel enivrant de notre échange, et je vois son sexe ramolli pendre de son pantalon ouvert, son visage rougi par l'effort et le plaisir, ses yeux encore voilés de désir.
L'air de la terrasse est lourd de notre accomplissement, mais une étincelle d'excitation persiste en moi, un besoin de prolonger ce moment interdit dans un lieu plus secret, plus intime. Je me lève du transat, mes jambes encore tremblantes, le tissu trempé de mon bas de bikini collant à mes cuisses humides, et je tends la main vers lui avec un sourire complice.
« Venez, Marcel... Allons dans la remise. C'est plus discret, et personne ne nous dérangera là-bas. J'ai envie de plus... d’explorer sans retenue. »
Il hésite une seconde, jetant un regard nerveux autour du jardin ensoleillé, mais le désir l'emporte ; il remonte maladroitement son pantalon sans le fermer complètement et me suit, ses pas lourds sur l'herbe fraîchement coupée. Je marche devant lui, nue au-dessus de la taille, sentant le soleil caresser mes seins fermes et sensibles, mes mamelons encore dressés par l'excitation résiduelle.
Chaque pas fait frotter le tissu mouillé contre mon sexe toujours gonflé, ravivant des picotements de plaisir, et je sais qu'il fixe mon dos, mes fesses moulées par le bikini minimaliste, imaginant ce qui va suivre. L'odeur de l'herbe se mêle à celle de nos corps, un parfum terreux et charnel qui m'enivre, tandis que nous nous dirigeons vers le fond du jardin, où la petite cabane en bois se dresse, cachée derrière un bosquet d'arbres, ses murs usés par le temps et entourés d'outils rouillés.
J'ouvre la porte grinçante, et nous entrons dans l'ombre fraîche, l'air confiné chargé d'odeurs de bois sec, de terre humide et d'huile de moteur – un contraste excitant avec la chaleur extérieure. La lumière filtre par les interstices des planches, projetant des rais dorés sur nos corps, et je ferme la porte derrière nous, nous isolant dans cet espace exigu, rempli de râteaux, de pelles et de sacs de terreau empilés.
Le risque demeure : quiconque s’approche pourrait nous entendre et nous surprendre, mais cette vulnérabilité ne fait qu'attiser le feu. Je me tourne vers Marcel, pressant mon corps contre le sien, mes seins nus écrasés contre sa chemise défraîchie, sentant la rugosité du tissu contre mes mamelons sensibles.
« Ici, on peut être nous-mêmes... Touchez-moi encore, Marcel. Montrez-moi ce que vous voulez vraiment, » je murmure, ma voix basse et haletante, mes mains descendant pour rouvrir son pantalon, libérant son sexe est à nouveau dur sous mes doigts.
Il grogne, ses mains calleuses agrippent mes hanches, il me pousse contre une étagère branlante qui fait cliqueter les outils. Ses lèvres trouvent mon cou, y déposant des baisers rugueux, tandis que ses doigts glissent sous mon bikini, effleurant à nouveau ma moiteur persistante, un doigt s'insinuant lentement pour raviver les flammes. Je gémis doucement, sentant mon vagin se contracter autour de lui, humide et prêt, l'excitation montant à nouveau comme la marée, amplifiée par le confinement et le danger. L'espace étroit nous force à nous coller ensemble, nos sueurs se mélangeant, et son érection pulse contre mon ventre, chaude et insistante.
L'urgence du désir nous enveloppe dans l'étroitesse de la cabane, nos corps pressés l'un contre l'autre, ma peau nue contre sa chemise imprégnée de sueur, mes seins fermes écrasés contre son torse, mes mamelons frottant contre le tissu rugueux à chaque respiration. L'air confiné est chargé d'odeurs entêtantes – bois sec, terre humide, et ce parfum musqué de nos excitations mêlées qui rend chaque inspiration enivrante.
Marcel grogne doucement, ses mains calleuses serrant mes hanches, son érection épousant mon ventre à travers son pantalon ouvert, chaude et insistante. Mais je veux prolonger ce moment, explorer les préliminaires dans cet espace caché où le risque d'être découverts ajoute une dose d'adrénaline. Je pose une main sur sa poitrine pour le retenir, mes lèvres effleurent son oreille, et je murmure d'une voix rauque, haletante : « Pas encore... Explorez-moi avec votre bouche, Marcel. Léchez-moi partout, goûtez-moi, pendant que je me caresse. Faites-moi trembler ici, dans le secret. »
Il obéit avec une avidité surprenante, ses yeux brillants dans la pénombre, et il me pousse doucement contre l'étagère, les outils cliquetant légèrement derrière moi comme un avertissement excitant.
Je m'appuie là, écartant les cuisses pour lui offrir un accès total, mon bas de bikini encore en place mais trempé, collant à mes lèvres gonflées. Il s'agenouille devant moi, ses mains rugueuses remontant le long de mes cuisses, effleurant ma peau sensible, envoyant des frissons qui font durcir mes tétons un peu plus.
Sa bouche commence par mon ventre plat, ses lèvres chaudes et sèches déposant des baisers humides, sa langue traçant des cercles lents autour de mon nombril, goûtant la sueur salée qui perle sur ma peau. Je gémis doucement, ma main descendant vers mon bikini, glissant sous le tissu pour caresser mon clitoris gonflé, en cercles lents qui amplifient chaque sensation.
« Oui... comme ça, Marcel... plus bas, » je souffle, ma voix entrecoupée, sentant mon vagin palpiter d'anticipation, une moiteur chaude s'écoulant déjà, rendant mes doigts glissants.
Sa langue descend, effleurant l'intérieur de mes cuisses, léchant la peau douce et sensible, son souffle chaud contre ma chair me fait frissonner. Il écarte le tissu de mon bikini d'une main tremblante, exposant mes lèvres intimes, gonflées et luisantes, et sa bouche se pose enfin sur moi, sa langue large et rugueuse lapant lentement mes plis humides, goûtant ma saveur musquée avec un grognement de satisfaction.
Chaque coup de langue est précis, alternant entre des lents va-et-vient sur mes lèvres et des cercles autour de mon clitoris, qu'il aspire doucement en bouche, le suçant avec une douceur qui me fait cambrer le dos contre l'étagère. Je sens les vibrations de ses murmures contre ma chair, « Si douce... si bonne, mademoiselle... », et cela m'enflamme, mes doigts accélérent sur mon clitoris tandis que sa langue s'insinue plus profondément, explorant l'entrée de mon vagin, léchant avidement la moiteur qui s'y accumule.
L'odeur de mon excitation remplit la cabane, mêlée à celle de la terre et du bois, un parfum primal qui nous enivre tous les deux, et j'entends le bruit humide de sa bouche sur moi, des succions et des lapements qui résonnent dans l'espace confiné, amplifiés par les murs proches.
Pendant ce temps mes doigts s'activent et frottent mon clitoris en rythme avec sa langue, envoyant des ondes de plaisir qui irradient jusqu'à mes seins, que je malaxe de l'autre main, pinçant mes mamelons durcis pour intensifier les sensations.
Mon corps tremble, mes cuisses se serrent autour de sa tête, le maintenant en place tandis que des spasmes commencent à contracter mon vagin, avide, pulsant contre sa langue intrusive.
Il ne s'arrête pas aux zones intimes ; ses mains remontent pour caresser mes fesses, et sa bouche explore plus loin, léchant le creux de mes cuisses, remontant même vers mes seins qu'il atteint en se redressant légèrement, sa langue tournoyant autour d'un mamelon, le suçant avec force, le mordillant doucement, tandis que ses doigts prennent le relais en bas, frottant mes lèvres humides.
Je halète, mes gémissements plus forts maintenant, résonnant dans la cabane, le risque d'être entendus me rendant encore plus folle, mon orgasme approchant comme une tempête, mes hanches se poussant contre sa bouche et ses doigts pour plus de profondeur, plus de friction.
Le plaisir monte en moi comme une tempête imminente, la langue de Marcel lape avidement ma vulve, sa bouche chaude et rugueuse aspire mon clitoris gonflé tandis que mes doigts accélèrent leur danse circulaire sur cette perle sensible, envoyant des éclairs de feu à travers mon bas-ventre.
Mon vagin se contracte en spasmes affamés autour de sa langue intrusive, une moiteur abondante s'écoule sur son menton, imprégnant l'air confiné de la cabane d'un parfum musqué, salé et terreux qui se mélange à l'odeur de bois sec et d'huile rouillée.
Mes seins nus se soulèvent à un rythme erratique et je gémis plus fort, mes cuisses tremblant autour de sa tête, le maintenant en place alors que des ondes de chaleur irradient jusqu'à mes orteils. Mais juste au bord de l'extase, une urgence me saisit – je veux le sentir en moi, pleinement, maintenant, dans cette posture animale et risquée, contre le mur branlant de la cabane où chaque mouvement fait trembler les étagères.
D'un geste décidé, je repousse doucement sa tête, mes doigts emmêlés dans ses cheveux gris clairsemés, humides de ma propre excitation.
« Pas comme ça... pas encore, » je halète.
Ma voix rauque et essoufflée, chargée d'un désir impérieux lui fait lever les yeux vers moi, surpris mais enflammé. Son visage est luisant de ma moiteur, ses lèvres gonflées et rouges, et je vois son érection tendue contre son pantalon ouvert, palpitante, prête à exploser.
Je l'attire vers moi d'une main ferme sur son col de chemise défraîchie, le relevant sur ses pieds maladroits, nos corps se collant dans l'espace exigu.
« Prenez-moi debout, Marcel... contre le mur, tout de suite. Je veux vous sentir me remplir, fort et profond, » je murmure contre son oreille, ma respiration chaude effleurant sa peau tannée, tandis que je le pousse en arrière contre les étagères instables, qui grincent sous la pression, les outils cliquetant comme un avertissement excitant.
Il grogne, un son rauque et guttural qui vibre dans sa poitrine, ses mains calleuses agrippant mes hanches nues avec une force surprenante pour son âge, me plaquant contre le mur de bois rugueux.
Le contact froid et irrégulier des planches contre mon dos nu me fait frissonner, contrastant avec la chaleur brûlante de son corps pressé contre le mien, ses muscles tendus sous sa chemise imprégnée de sueur. Je sens son odeur masculine – terre, herbe coupée et désir refoulé – m'envelopper comme un nuage enivrant, amplifiant chaque sensation.
Mes seins s’écrasent contre son torse, mes mamelons durs roulant contre le tissu rêche, envoyant des picotements électriques jusqu'à mon sexe toujours gonflé et humide. D'une main, je descends pour guider son membre rigide, épais et veiné, le positionnant à l'entrée de mon vagin palpitant, sentant son gland chaud et luisant de précum effleurer mes lèvres intimes, étalant ma moiteur sur lui comme une invitation glissante.
« Oui... mademoiselle... comme vous voulez, » balbutie-t-il, sa voix cassée par l'excitation, ses yeux plongeant dans les miens avec une faim brute qui me fait fondre. Il pousse d'un coup de reins ferme, me pénétrant d'un seul mouvement profond, son sexe épais étirant mes parois humides et chaudes, me remplissant complètement jusqu'à ce que je sente ses testicules lourds claquer contre mes fesses.
Un cri m'échappe, un mélange de douleur délicieuse et de plaisir intense, alors que mon vagin se referme autour de lui en spasmes avides, serrant sa longueur rigide comme pour le retenir à jamais. La sensation est irrésistible : sa verge veinée frottant contre mes parois sensibles, atteignant des points profonds qui me font haleter, tandis que le mur branle derrière moi, les étagères tremblant au rythme de ses coups, des pots et des outils tintant en un fond sonore chaotique et excitant, comme si la cabane elle-même jouissait avec moi.
Il bouge lentement, sortant presque entièrement pour mieux replonger, chaque pénétration accompagnée d'un bruit humide de succion, ma moiteur abondante lubrifiant chaque va-et-vient, coulant le long de mes cuisses et sur ses testicules. Je m'accroche à ses épaules, mes ongles s'enfonçant dans sa chair à travers la chemise, cambrant le dos pour mieux l'accueillir, mes seins rebondissant contre lui à chaque poussée, mes mamelons frottant douloureusement contre le tissu, amplifiant les vagues de plaisir qui irradient de mon bas-ventre.
« Plus fort... oh, Marcel, plus profond ! » je gémis, ma voix résonnant dans la cabane, mêlée au grincement du bois et à nos respirations haletantes. Il obéit, accélérant le rythme, ses mains descendant pour agripper mes fesses, les écartant légèrement pour plonger plus loin, son gland cognant contre mon col utérin à chaque coup, envoyant des éclairs d’extase qui me font contracter autour de lui, traire son membre avec une force instinctive.
L'ambiance est électrique : l'ombre de la cabane nous enveloppe, les rais de soleil bas filtrant par les fissures illuminent nos corps en sueur, l'odeur de nos fluides mêlés – salé, musqué, avec une note de terre humide – rendent l'air épais et enivrant.
Un nouvel orgasme se construit, mes parois vaginales pulsent autour de sa verge, mes cuisses tremblent contre les siennes, et ses grognements deviennent plus animaux, ses poussées plus erratiques, comme s'il luttait pour se retenir. Chaque détail m'enflamme : la rugosité de ses mains sur ma peau douce, la chaleur de son souffle sur mon cou, les bruits obscènes de nos chairs qui claquent, et cette sensation de plénitude absolue alors qu'il me possède debout, contre ce mur instable qui menace de céder sous notre passion.
Chaque coup de reins de Marcel me remplit d'une plénitude brûlante, son sexe épais étire mes parois humides et chaudes, frottant contre des points sensibles qui me font haleter et gémir contre le mur rugueux. Mes seins nus rebondissent à chaque poussée, mes tétons dressés frôlant sa chemise défraîchie, envoyant des éclairs de plaisir à travers mon corps en sueur.
L'air est saturé d'odeurs : sueur masculine, ma propre excitation musquée, et l'odeur terreuse du bois et de la poussière qui nous entourent, un mélange enivrant qui amplifie chaque sensation. Les étagères grincent derrière moi, les outils cliquettent au rythme de nos mouvements, et le risque que tout s'effondre ou que quelqu'un nous entende ajoute une dose d'inconnu qui fait pulser mon clitoris encore plus fort.
Mais soudain j’ai envie de prendre le contrôle, sentir son corps sous le mien, dominer ce moment interdit dans cet espace secret où nos désirs se déchaînent sans retenue.
D'une voix rauque, entrecoupée de gémissements, je murmure contre son oreille, mes lèvres effleurant sa peau tannée : « Allongez-vous, Marcel... sur le sol. Je veux vous chevaucher, vous sentir en moi, contrôler chaque mouvement. »
Il grogne, un son rauquel qui vibre dans sa poitrine, et après une dernière poussée profonde qui me fait trembler, il se retire lentement, son sexe luisant de ma moiteur glissant hors de moi, laissant un vide palpitant que je suis impatiente de combler à nouveau.
Je le pousse doucement en arrière, mes mains sur ses épaules, et il s'allonge sur le sol poussiéreux de la cabane, la terre sèche et les petits graviers crissant sous son dos. Le clair-obscur nous enveloppe, les rais de soleil filtrant à travers les fissures des planches illuminent son corps allongé, sa chemise ouverte révélant son torse musclé, couvert de sueur, et son membre rigide dressé vers moi, veiné et luisant, prêt à m'accueillir.
Je m'agenouille au-dessus de lui, mes cuisses écartées de part et d'autre de ses hanches, mon bas de bikini toujours poussé sur le côté, exposant mes lèvres intimes gonflées et trempées, une goutte de ma moiteur tombant sur son ventre alors que je me positionne. Mes seins ronds et fermes se balancent devant son visage, mes mamelons roses et durs captant la lumière dorée, et je vois ses yeux affamés les dévorer, ses mains calleuses remontant pour les saisir, les malaxant avec une urgence qui me fait gémir.
Je prends son sexe en main, sentant sa chaleur palpiter contre ma paume, et je le guide à l'entrée de mon vagin, frottant son gland contre mes lèvres intimes, étalant ma moiteur sur lui avant de m'abaisser lentement, le prenant en moi. La sensation est exquise : son membre épais s'enfonçant, centimètre par centimètre, étirant mes parois serrées, me remplissant jusqu'à ce que je sois assise complètement sur lui, ses testicules pressés contre mes fesses, une plénitude profonde qui me fait cambrer le dos et rejeter la tête en arrière avec un soupir de délice.
Je commence à bouger, d'abord lentement, mes hanches roulant en cercles, sentant chaque angle de sa verge frotter contre mes parois sensibles, atteignant des points qui envoient des ondes de plaisir irradier jusqu'à mon clitoris.
Mes mains s'appuient sur son torse pour me stabiliser, mes ongles s'enfoncent dans sa peau à travers la chemise, tandis que je monte et descends, contrôlant le rythme, chaque descente claquant mes fesses contre ses cuisses avec un bruit humide et charnel.
La poussière du sol s'élève autour de nous, collant à ma peau en sueur, une sensation brute et terreuse qui ajoute à l'animalité du moment, nos corps fusionnant dans l'ombre et la saleté.
« Oh, Marcel... vous êtes si dur en moi... c’est si bon, » je gémis, ma voix résonne dans la cabane, mêlée au crissement de la terre sous lui et aux grognements rauques qu'il émet à chaque poussée ascendante de ses hanches, rencontrant mes mouvements pour s'enfoncer plus profondément.
Ses mains lâchent mes seins pour agripper mes fesses, les écartant légèrement, ses doigts rugueux s'enfoncent dans ma chair douce, guidant mes va-et-vient pour accélérer le rythme. Mon vagin se contracte, pulsant en spasmes avides, une chaleur explosive monte en moi, amplifiée par le frottement de mon clitoris contre son pubis à chaque descente.
L'ambiance est sauvage : l'odeur de nos fluides mêlés, salés et musqués, se mélange à celle de la poussière et du bois pourri ; les bruits de nos chairs qui claquent, de nos respirations haletantes, et des outils qui tremblent sur les étagères à proximité ; et la sensation de la terre sous mes genoux, rugueuse et froide contre ma peau brûlante.
Mes seins rebondissent frénétiquement maintenant, et il se redresse légèrement pour en capturer un dans sa bouche, suçant mon mamelon avec force, le mordillant, envoyant des éclairs de plaisir qui se répercutent jusqu'à mon sexe, me rapprochant dangereusement du bord.
Chaque mouvement de mes hanches sur sa bite envoie des vagues de plaisir, irradiant de mon vagin serré autour de lui. Mes parois humides et chaudes pulsent en rythme avec ses poussées ascendantes. L'ombre nous enveloppe, les rais de soleil filtrant par les fissures illuminant nos corps fusionnés, et l'odeur de poussière se mêle à celle de nos fluides – salé, musqué, avec une note de sueur masculine qui m'enivre.
Je ralentis délibérément mes mouvements, mes hanches roulent maintenant en cercles lents et langoureux, gardant son sexe profondément enfoui en moi, sentant chaque veine de sa verge palpiter contre mes parois contractées, une plénitude chaude et insistante qui me fait frissonner de la tête aux pieds.
Mon vagin l’enserre comme un étau de velours, épousant doucement sa longueur sans le laisser s'échapper, et je sens une nouvelle vague de moiteur s'écouler, lubrifiant nos chairs unies, coulant le long de ses testicules pressés contre moi.
« Pas trop vite, Marcel... laissons ça durer, » je murmure d'une voix rauque, essoufflée, mes yeux plongeant dans les siens, voilés de désir et de surprise. Je me penche en avant, mes seins nus se pressant contre son torse, mes mamelons durs roulant contre sa chemise imprégnée de sueur, envoyant des picotements électriques jusqu'à mon clitoris qui frotte subtilement contre son pubis à chaque roulement de hanches.
Mes lèvres trouvent les siennes dans un baiser profond, explorateur, ma bouche s'ouvre pour accueillir sa langue, goûtant le sel de sa peau tannée, l'arrière-goût musqué de mon propre désir qu'il a léché plus tôt, un mélange enivrant qui me fait gémir dans sa bouche.
Nos langues dansent, lentes et affamées, explorant chaque recoin – la sienne large contre la mienne douce et agile – tandis que je continue de le garder en moi, mes mouvements minimaux mais intenses, sentant son gland cogner doucement contre mon col utérin à chaque ajustement.
Ses mains remontent dans mon dos, ses paumes rugueuses caressent ma peau moite, traçant des sillons de feu le long de ma colonne vertébrale, et je sens son cœur battre follement contre ma poitrine, synchronisé avec le mien. Le baiser s'intensifie, nos souffles se mélangent en halètements chauds, mes lèvres mordillant les siennes, suçant sa langue comme pour le dévorer, tout en maintenant cette connexion intime plus bas.
Mon vagin emprisonne son membre, prolongeant le plaisir à l'infini dans cette bulle d'ombre et de poussière. L'ambiance est d'une intimité suffocante : les bruits étouffés de nos baisers humides, le crissement subtil de la terre sous nos corps, l'odeur de nos essences mêlées qui imprègne l'air confiné, et cette sensation de vulnérabilité partagée qui rend chaque toucher plus électrique, plus profond.
L'intimité de notre baiser s'intensifie, nos langues entrelacées dans une danse lente et passionnée, explorant chaque recoin de nos bouches avec une avidité qui me fait frissonner. Son goût salé, mêlé à l'arrière-goût musqué de mon propre désir, m'enivre, tandis que mon vagin serre son membre rigide profondément enfoui en moi, pulsant doucement autour de lui comme pour le retenir éternellement.
Mes seins nus se pressent contre son torse, mes mamelons durcis frottent contre le tissu rugueux de sa chemise, envoyant des ondes électriques jusqu'à mon clitoris qui effleure subtilement son pubis à chaque roulement lent de mes hanches. La poussière du sol colle à ma peau moite, une sensation et brute qui contraste avec la chaleur veloutée de notre connexion.
Mais le désir bouillonne trop fort pour que je prolonge indéfiniment ; une urgence brûlante monte en moi, avide de libération. Je romps le baiser avec un gémissement rauque, mes lèvres gonflées et humides effleurant les siennes une dernière fois, et je me redresse légèrement, mes mains s'appuyant sur son torse pour reprendre le contrôle.
« Maintenant, Marcel... laissons-nous aller ensemble, » je murmure, ma voix essoufflée et chargée de promesse, tandis que j'accélère le rythme de mes hanches, montant et descendant sur son sexe avec une vigueur renouvelée. Chaque descente est plus rapide, plus profonde, son membre épais étirant mes parois humides et chaudes, frottant contre mon point G.
Un bruit de succion humide résonne dans la cabane à chaque impact de mes fesses contre ses cuisses. Mon vagin se contracte autour de lui en spasmes avides, trayant sa longueur veinée, et je ne peux empêcher une moiteur abondante s'écouler, lubrifiant nos mouvements frénétiques, coulant le long de ses testicules jusqu’au sol poussiéreux.
Ses grognements deviennent plus animaux, ses mains agrippent mes fesses pour me guider, il pousse ses hanches vers le haut à chacune de mes descentes, cognant son gland contre mon col utérin avec une force qui me fait crier de plaisir.
Mes seins rebondissent follement, mes mamelons durcis captant les rais de soleil filtrant par les fissures, et je sens l'orgasme monter en moi comme une vague irrésistible, des contractions puissantes serrant son sexe, mon clitoris frotté contre lui à chaque mouvement envoyant des éclairs de feu à travers tout mon corps.
« Oh... je viens... Marcel, jouissez en moi ! » je halète, ma voix résonnant dans l'espace exigu, mêlée au crissement de la terre sous nous et aux grincements des étagères qui tremblent à proximité.
Il explose le premier, un rugissement animal s'échappant de sa gorge tandis que son membre tressaute en moi, des jets chauds et épais de sperme me remplissent, se répandant contre mes parois palpitantes, une sensation chaude et visqueuse qui déclenche mon propre orgasme.
Je jouis autour de lui dans un cri étouffé, mon vagin se contracte violemment, aspirant chaque goutte de son extase tandis que des vagues puissantes me traversent; mes cuisses tremblent, une giclée chaude s'échappe de moi pour se mêler à son sperme, coulant le long de nos corps unis dans la poussière.
Nos tremblements se synchronisent, nos corps secoués par l'extase partagée, la sueur et les fluides nous liant dans une intimité brute et animale, l'odeur de notre union imprégnant l'air d’un souvenir indélébile. Je m'effondre sur lui, haletante, sentant son sperme chaud s'écouler lentement de moi, nos cœurs battant à se rompre dans le clair-obscur de la cabane.
Je laisse les derniers spasmes me faire frémir, mon corps tremblant contre celui de Marcel, nos sueurs mêlées collant à la poussière du sol, une sensation visqueuse et intime qui me fait frissonner de satisfaction résiduelle.
Mon vagin, encore sensible et gonflé, pulse doucement autour du vide qu'il a laissé, et mes seins nus, luisants de sueur, se soulèvent au rythme de ma respiration haletante ; mes mamelons effleurent son torse tandis que je reste allongée sur lui, savourant notre fusion post-coïtale dans l'ombre confinée.
Soudain, un bruit de roues qui crissent sur le gravier de l'allée rompt la quiétude. Je relève la tête, mon cœur s'accélérant légèrement, et je réalise que le jour a basculé vers le soir : la lumière filtrant par les fissures des planches s'est muée en un crépuscule orangé, l'ombre s'allonge dans la cabane comme un voile de nuit naissante.
Ce sont mes parents qui rentrent, leurs voix étouffées portant déjà depuis l'allée, discutant de leur journée en ville. Une bouffée d'adrénaline me traverse, mêlée à un frisson d'excitation interdite. Mon corps, encore en feu, réagit instinctivement : une dernière contraction dans mon bas-ventre, comme un écho de plaisir, et une moiteur chaude qui s'écoule un peu plus entre mes cuisses.
Je serre Marcel une dernière fois dans mes bras, pressant mon corps nu contre le sien, mes seins doux et fermes s'écrasant contre sa poitrine, mes lèvres effleurant son cou tanné pour un baiser rapide, chargé de tendresse et de complicité.
« Chut... c'était incroyable, Marcel. On se revoit bientôt, » je murmure à son oreille, ma voix basse et rauque, sentant son cœur battre fort contre le mien. Son odeur masculine – terre, herbe et sueur – m'enveloppe une dernière fois. Il hoche la tête, un peu étourdi, ses mains calleuses caressant brièvement mon dos avant que je ne me dégage doucement, un sourire complice aux lèvres.
Je me rhabille rapidement, glissant mon bas de bikini trempé en place, sentant le tissu coller à mes lèvres intimes encore gonflées et sensibles, imprégné de nos fluides mêlés, une sensation humide et persistante qui me fait frissonner. J'enfile mon haut de bikini, nouant les ficelles d'un geste vif, mes seins se lovant dans le tissu rouge, toujours tendus par l'excitation résiduelle. Puis, j'attrape un vieux drap de bain abandonné sur une étagère et je l'enroule autour de ma taille comme une jupe improvisée, couvrant les traces de notre après-midi : la poussière sur mes genoux, la moiteur entre mes cuisses, et cette lueur repue dans mes yeux.
Je sors discrètement de la cabane, refermant la porte grinçante derrière moi sans un bruit, laissant Marcel à l'intérieur pour qu'il se rhabille et s'éclipse par l'arrière du jardin. L'air du soir est frais contre ma peau, une brise marine portant l'odeur de la nuit naissante, et je marche d'un pas léger vers la terrasse, feignant une nonchalance parfaite.
Mon corps porte encore les marques de notre passion – une légère rougeur sur mes seins, une chaleur persistante entre mes jambes, et ce sperme qui s'écoule subtilement, me rappelant à chaque pas notre secret. Mes parents sont là, déchargeant des sacs de courses, et je m'approche avec un sourire innocent, les bras ouverts.
« Papa, Maman ! Vous rentrez tôt ! » je lance d'une voix joyeuse, comme la bonne fille obéissante que je suis censée être, les embrassant sur les joues, mon drap de bain serré autour de moi, masquant tout signe de ma journée libertine. Ils me serrent en retour, me demandant comment s'est passée ma journée au soleil, et je réponds avec un rire léger, « Oh, juste à bronzer et à me détendre... rien de spécial. »
Mais intérieurement, mon pouls bat encore la chamade, et je sais que ce n'est pas fini : Marcel est toujours là, quelque part dans l'ombre, et notre liaison ne fait que commencer.
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