Matures en folie
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2017 dans la catégorie Plus on est
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Matures en folie
Comme elles le faisaient deux ou trois fois par an, Muriel et Viviane s'étaient donné rendez-vous dans un salon de thé du centre-ville pour évoquer leurs joies et leurs soucis du quotidien. Amies de longue date, toutes deux quinquagénaires et divorcées, physiquement assez proches avec leurs cheveux blonds cendrés, leurs formes opulentes et leurs vêtements parfois un brin excentriques, elles se rejoignaient aussi dans leur vie sexuelle, souvent "diversifiée" et assez peu conforme à la morale traditionnelle (lire le texte "deux grands-mères cochonnes"). Dans l'état actuel, Muriel avait deux liaisons parallèles, l'une avec un trentenaire marié, l'autre avec un sexagénaire divorcé et aisé, tous deux se satisfaisant d'une situation qui ne les liaient guère à leur maitresse en dehors des "bons moments", disaient-ils. En clair, des parties de baise dont Muriel n'était pas avare en dépit de la frustration que lui occasionnait le départ de ses amants après consommation. En particulier le trentenaire qui la faisait vraiment jouir.
Quant à Viviane, elle avait noué depuis peu une aventure avec un Belge qui lui apportait la fantaisie érotique à laquelle elle aspirait après deux expériences malheureuses, ses amants s'étant révélés nuls au lit. Revers de la médaille : l'éloignement du Belge, qui espaçait trop souvent à son goût leurs torrides parties de jambes en l'air. C'est de cette situation qu'elle entretenait Muriel devant leur tasse de thé :- Albert (le prénom du Belge) a vraiment réveillé ma libido qui était en train de sombrer mais quand il est parti, je me retrouve le bec dans l'eau, si je puis dire. Bien sûr, il y a mon gode mais franchement, ça ne vaut pas une bonne bite bien chaude et bien dure, hein ?
- Je ne te le fais pas dire...
- Tu as de la chance d'avoir deux fers au feu, toi, tu ne risques pas le chômage technique.
- Que tu crois. Je passe parfois plusieurs semaines sans voir personne. Et j'en suis au même point que toi : le gode pour compenser. Ou autre chose...
- Ah bon ? Quoi donc ?
- Tu le gardes pour toi, hein ?
- Bien sûr, tu me connais. Discrétion totale.
- Bon, voilà. Je me suis fais une copine à la salle de gym, Laurence, une ophtalmo pleine de fric. Elle est mariée à un architecte et tous les deux sont des libertins notoires. Après une séance, on en est venues je ne sais plus comment à parler de cul. Elle m'a dit qu'elle organisait des soirées privées et quand elle a su que j'étais libre de corps et d'esprit, elle m'a proposé de venir.
- Donc, si je comprends bien, elle organisait des partouzes.
- Oui mais d'un genre particulier : rien qu'avec des femmes mûres, de préférence moins belles qu'elle. Il faut dire que malgré son âge, la cinquantaine, c'est un vrai canon. Tu verrais ce corps ! Elle doit faire un 38 à tout casser alors moi, avec mon 42, je lui allais très bien. Bon, je dois reconnaitre qu'elle m'a fait des compliments sur mon corps en me disant que je plairais beaucoup à ses chatons.
- Ses chatons ?
- Oui, c'est comme ça qu'elle appelle ses hardeurs. En fait, ce sont des jeunes mecs amateurs de matures qu'elle recrute sur internet après les avoir essayés elle-même.
- Des escort boys ?
- Non, elle ne les paie pas, elle n'a pas envie de se voir accusée de proxénétisme. Ce sont des gars qui aiment les gros nichons comme les miens ou des nanas bien salopes comme toi.
- Merci ! Ce n'est pas parce qu'on aime le sexe qu'on est une salope.
- Je plaisante. Mais tu vois l'esprit.
- Et ces mecs, c'est quel genre ?
- Des mitraillettes. Des turbines rotatives. Des arrosoirs à sperme. Des chats maigres de la bite qui n'arrêtent pas de te faire miauler. Une soirée avec eux, tu mets trois jours à t'en remettre.
- Eh ben dis donc, ça fait envie ! Et c'est combien, le ticket d'entrée ?
- Rien du tout. Juste ma recommandation, du moment que tu ne fais pas d'ombre physiquement à Laurence. Avec tes rondeurs, ça ne risque pas, même si je pense que tu plairais beaucoup à ces étalons.
- Et les autres nanas, c'est qui ?
- C'est un club fermé. Il y a Roselyne, une fausse rouquine de 60 balais qui s'est mise sur le tard au libertinage avec son mari; Martine, 60 ans également, célibataire, une sportive tout en muscles et en tendons, une grosse santé au plumard; Pascale, la cinquantaine, cheveux très courts, un peu forte, libertine elle aussi et puis moi. Et toi si tu veux. En principe, le nombre de mecs est équivalent à celui des femmes. Plus le mari de Laurence, qui vient surtout pour mater.
- En attendant le retour de mon Belge, c'est tentant. Surtout que j'ai vraiment envie de baiser en ce moment. Ras le bol du gode. Envie de sucer quelque chose de chaud et de ferme...
- Bon, c'est vu, j'en parle ce soir à Laurence. Prépare des ovules...
**********
Une semaine plus tard, c'est une Viviane morte de trouille qui accompagnait Muriel dans la grande maison bourgeoise de Laurence où devait se dérouler la soirée. Son amie avait eu beau la rassurer en lui disant que rien ne l'obligeait à "consommer", Viviane aurait sans aucun doute renoncé si Muriel ne l'avait pas emmenée. Elle s'était confortée en revêtant ses sous-vêtements les plus affriolants, espérant ainsi accroitre sa séduction face à l'entourage féminin, tant elle craignait de ne "pas être à la hauteur".
Mais tout se passa contrairement à toute prévision de sa part. Muriel avait omis (sciemment) de lui dire un fait essentiel : dès l'entrée, chacun était invité (fermement) à se mettre entièrement nu. Hommes comme femmes étaient ainsi mis d'emblée sur un pied d'égalité. Viviane n'eut même pas le temps de paniquer, ou de regretter de ranger ses jolis dessous : dès qu'elle eut posé culotte (et le reste), elle se sentit une autre femme. Un regard circulaire auprès des autres invitées la renseigna : en dehors de l'hôtesse Laurence, agréable et rassurante blonde aux petits seins haut plantés et au fessier rebondi, mais aussi de son amie Muriel, sculpturale beauté mature, elle n'avait pas de quoi faire de complexe. Roselyne, Martine et Pascale, qui lui furent présentées alors qu'elles étaient déjà nues, présentaient les corps les plus naturels du monde, avec leurs défauts et leurs atouts, selon que l'on considérait tel ou tel aspect plastique.
Mais ce qui intéressa surtout Viviane, ce furent les hommes. Tous jeunes, guère plus de la trentaine, secs, musculeux, bien membrés avec un pénis ballottant au repos entre leurs cuisses, souriant de toutes leurs dents, certains à peaux foncées, d'autres claires. Ils étaient six, un pour chaque femme en plus du mari de Laurence, quinquagénaire un peu replet qui servait à tout le monde un punch préparé dans une grande bassine. Ces jeunes hommes et ces femmes mûres déambulant nus un verre à la main, tout en devisant de choses superficielles, avait quelque chose d'irréel. Parfois, une main glissait sur une fesse, une hanche, un sein et même un sexe. La température montait insensiblement et Viviane elle-même ressentait progressivement dans son bas-ventre une chaleur qui lui faudrait bien éteindre tôt ou tard, d'une manière ou d'une autre. Déjà, des couples commençaient à se former et l'un des jeunes hommes, prénommé Kevin, superbe mulâtre aux yeux clairs, lui resservit à boire avant de la prendre par la main et de l'entrainer vers un des canapés du salon. Il se présenta, l'interrogea, laissa courir un doigt sur un sein généreux qu'il complimenta et lui prit la main qu'il déposa sur son pénis, en semi érection. Viviane voulut la retirer mais le jeune homme la maintint fermement et elle céda. Le pénis grossissait, grossissait si bien que Viviane, par instinct, se mit à l'astiquer tandis que le jeune homme l'embrassait tout en empaumant ses seins lourds. Puis il se dégagea, s'agenouilla devant elle et vint lover sa tête entre ses cuisses ouvertes. Sa langue trouva tout de suite son clitoris qu'il titilla et suçota pendant de longues minutes durant lesquelles Viviane s'abandonna en soupirant d'aise.
Lorsqu'elle ouvrait les yeux, son regard passait de la tête frisée du jeune homme en plein cunni aux accouplements qui commençait à s'opérer dans le salon. Sur un canapé, Muriel était en plein 69 sur un gaillard allongé sur elle. Viviane avait une vue panoramique sur les couilles en ballotage du jeune homme et sur son pénis tenu en main par Muriel tout en tétant le gland. A côté, une rouquine qu'elle identifia comme Roselyne, subissait en roucoulant le même traitement qu'elle, à savoir un cunni royal produit par un black au crâne rasé. Les autres échappaient à sa vue mais des cris de plaisir firent comprendre à Viviane que la partouze avait réellement commencé dans une autre pièce et qu'elle n'allait pas tarder à s'y mettre à son tour. De fait, le jeune homme se releva, la prit par la main et l'entraina dans une petite salle dépourvue de meubles mais nantie d'une sorte de grand matelas occupant presque toute la surface au sol, et sur laquelle trois couples avaient commencé à baiser. Elle reconnut Laurence, l'hôtesse, prise en levrette par un très bel eurasien sous le regard de son mari qui la mitraillait de son appareil photo; Pascale, chevauchant avec ardeur un autre jeune homme dont elle ne voyait pas le visage mais seulement les pieds et les grosses couilles écrasées par le cul plantureux de la quinquagénaire dont l'agilité rotative épata Viviane. Et enfin Martine, vue de profil, subissant en missionnaire et en se tenant par les pieds les assauts vigoureux d'un jeune mâle qu'elle fustigeait pour l'inciter à accélérer son rythme.
Viviane se laissa allonger par son futur amant, le regarda coiffer sa capote sans avoir eu le temps de le sucer et après un petit jeu de fausses pénétrations qui l'énerva, lui prit résolument la queue et l'attira dans son antre brûlant en lui emprisonnant les reins de ses jambes.
- Allez, vas-y, baise moi maintenant, baise moi dur ! s'entendit-elle souffler, totalement désinhibée par l'ambiance.
L'autre ne se le fit pas dire deux fois et se mit à l'assaisonner de coups de bite qui eurent pour principal mérite d'éteindre l'incendie de son bas-ventre au profit d'un bien être inouï qui la prit des orteils à la racine des cheveux.
- Ne t'arrête pas, ne t'arrête pas ! lâcha-t-elle, craignant de son jeune amant une éjaculation précoce.
Mais le jeune homme n'avait aucune intention d'en rester là. Il la retourna, la prit en levrette ce qui permit à Viviane d'embrasser du regard l'étendue du matelas où Muriel et Roselyne prenaient à leur tour leur plaisir. Son amie se faisait justement fouiller en levrette devant elle, ses seins lourds ballottant entre ses bras, proférant des "oh" et des "ah" et des "mmh" chaque fois que le gland cognait sa matrice et croisa le regard de Viviane, en proie à la même extase.
- Tu baises, hein ? lança Muriel. Hein, dis que tu baises !
- Oui oui je baise !
- Et c'est bon, hein ?
- Oui oui c'est bon !
Le reste se perdit en onomatopées, soupirs, exclamations diverses émanant des femelles possédées sur le matelas par leurs jeunes et vigoureux amants dont elles célébraient parfois crument la virilité. "Jusqu'aux couilles, jusqu'aux couilles", gueula l'une d'elles, que Viviane identifia comme étant la tonique Martine.
C'est alors que Laurence, l'hôtesse, déclara à la compagnie :- Allez, maintenant, on change tous de partenaire !
Initiative astucieuse venant au bon moment puisqu'aucun des hommes n'avait encore éjaculé. Tous se retirèrent bon gré mal gré mais le pénis encore bien érigé et prêt à resservir. Viviane eut alors la satisfaction narcissique de voir arriver vers elle deux garçons, l'Eurasien à la pine fine et le black rasé doté au contraire d'un chibre hors norme. Tous deux se disputèrent l'accès à son entrecuisses si bien qu'elle fut sommée de choisir entre les deux. Choix difficile : le sexe effilé de l'Eurasien lui convenait parfaitement, surtout en prévision d'une sodomie plus que probable vu la tournure de la partouze, mais elle aurait aussi savouré entre ses dents et entre ses cuisses le beau braquemard du black, qui avait fait bramer de plaisir son amie Muriel. Elle opta pour une forme de sagesse en choisissant l'Eurasien, au grand dépit du black qui s'orienta sur Martine, provisoirement délaissée. Rapidement honorée, celle-ci célébra aussitôt bruyamment la prestation de son chevalier servant en lui pétrissant les fesses, alors que Viviane en était encore aux papouilles avec son Eurasien au point qu'elle se demanda si elle n'avait pas fait le mauvais choix.
La suite allait lui démontrer le contraire. L'Eurasien, prénommé Eric, se révéla un expert en matière de sexualité féminine. Il la touchait là où il fallait et quand il fallait. Sa langue était d'une agilité diabolique. Viviane lui signifia plusieurs fois qu'il était temps qu'il la baise, qu'elle n'attendait que ça, qu'il n'avait pas le droit de la faire languir plus longtemps mais l'autre continuait son petit jeu, ignorant les cuisses écartées en V de sa partenaire provisoire. Quand enfin il la pénétra, d'une poussée longue et rectiligne, Viviane exprima un couinement qui couvrit presque les onomatopées de Martine écartelée par son amant noir. Les autres couples s'étaient interrompus pour observer les deux ébats torrides se déroulant sur le matelas. Muriel s'approcha de son amie pour l'encourager, la stimuler, l'exciter, laissant sa main flatter les couilles de l'Eurasien pendant qu'il besognait. Mais comme Viviane l'avait prévu, l'homme se dégagea et la retourna afin de la prendre, dit-il, "par le cul".
Viviane était trop excitée et chamboulée pour négocier quoi que ce soit. Cette bite la rendait folle et peu importait l'endroit où elle s'activait : l'essentiel était qu'elle soit en elle. Elle était tellement chaude que l'Eurasien franchit très vite le sas des sphincters et se mit à lui limer le rectum avec énergie, subjugué par le fessier somptueux de la quinquagénaire que celle-ci agitait avec frénésie. Elle avait toujours été assez fière de sa croupe comme de ses seins lourds et bien accrochés et cet hommage rendu par un beau mec à la partie la plus charnue de son anatomie lui allait droit à l'ego.
Du coup, comme par mimétisme, les autres couples adoptèrent le même registre. Laurence, Roselyne, Martine, Pascale et Muriel se mirent à quatre pattes et le cul en l'air, exigeant de leur amant le même traitement à l'exception notable de Muriel, qui excipa d'une fragilité au niveau anal pour réclamer une levrette des plus classique. Les autres couinèrent à l'unisson de Viviane dès que le gland eut pénétré leur petit trou comme des automobilistes klaxonnant ensemble dans un embouteillage. Tout cela ne devait pas durer et de fait, les premières giclées de sperme éclaboussèrent dos et matelas. Une puissante odeur de semence mâle envahit la pièce. Seul le black, qui avait honoré Muriel en levrette, et le mulâtre prénommé Kevin restèrent gaillards et donc objet de toutes les attentions de femelles pour la plupart nullement rassasiées.
Mais deux hommes pour six femmes, ça faisait un peu déséquilibré et à l'impossible nul n'est tenu. Aussi Laurence décida-t-elle, en bonne maîtresse de cérémonie, de procéder à un tirage au sort. Elle sortit un jeu de belote et distribua six cartes, du valet au 10, avec atout. Les deux cartes les plus fortes -le valet et le neuf- auraient droit à une séance supplémentaire avec le black et le mulâtre. Le sort désigna dans l'ordre Muriel et Viviane, avec priorité du choix pour la première. Comme Muriel avait déjà été honorée par le black, elle choisit l'autre, au grand plaisir de Viviane, qui fantasmait depuis un bon moment sur l'opulent braquemard de l'homme au crâne rasé. Les huit autres protagonistes se mirent en cercle auprès des deux couples élus, invités à s'ébattre sous leurs yeux et leurs commentaires. En d'autres temps, Viviane aurait été tétanisée par la situation. Mais depuis un bon moment, elle n'était qu'une femelle en chaleur vivant dans une bulle de sexe. Avant que son partenaire ne se soit coiffé d'un nouveau préservatif, elle le suçait avidement, se gorgeant de ce gland proéminent qui lui remplissait la bouche. Muriel agissait de même dans une parfaite symétrie. Jusqu'au moment où Laurence, qui se caressait la chatte en observant les préliminaires, déclara :- Allez les gars, baisez les maintenant, sinon on vous saute dessus.
Et c'est ainsi que Viviane et Muriel basculèrent sur le dos, côte à côte et cuisses ouvertes, en se tenant par la main. Quand Viviane fut pénétrée, elle eut l'impression d'un pieu brûlant entrant dans son tréfonds. Après la fine pine de l'Eurasien, ce gourdin de chair lui fit un effet boeuf. Elle se sentait terriblement et bénéfiquement remplie. Entourant les reins de son amant pour se servir d'un appui, elle rua à sa rencontre en bramant de plaisir tout en cramponnant la main de Muriel qui, par osmose, se mit elle aussi à gueuler. Autour des deux couples, les commentaires salaces fusèrent, ce qui n'était évidemment pas de nature à calmer les ébats. "Mets-lui le doigt dans le cul" s'exclama Laurence à l'endroit de Muriel, qui s'exécuta aussitôt. Pascale et Martine y allèrent même d'une menotte câline sur les couilles des deux baiseurs, ce qui ne fit qu'accélérer le rythme de ceux-ci et par conséquent augmenter les décibels des récipiendaires.Les esprits étaient tellement échauffés que Laurence et Roselyne tentèrent de ranimer la flamme de deux jeunes mâles ayant éjaculé depuis peu. Elles y mirent une telle énergie buccale que les deux étalons présentèrent une érection honorable, à défaut d'être spectaculaire. C'était largement suffisant pour se faire chevaucher par les deux insatiables matures qui cavalèrent allègrement jusqu'à ce qu'elles laissent la place, avec beaucoup de générosité, à Martine et Pascale qui attendaient leur tour.
Pendant ce temps, Muriel et Viviane prenaient un pied majuscule, les ongles plantés dans les fesses de leur amant dont le staccato frénétique eut finalement raison de leur endurance. Les deux amies furent copieusement arrosées de leur sperme et gagnèrent ensemble la salle de bains pour se soulager et se laver.
- Quelle partie de cul ! souffla Muriel. Je suis vannée. Ce n'est plus de mon âge, ces acrobaties.
- Tu te défends encore très bien, rassure-toi. Mais je ne suis pas très fraiche non plus. J'ai l'impression d'avoir été creusée de l'intérieur. Quelle bite il a, ce garçon ! Il s'appelle comment au fait ?
- Barnabé je crois. Il est de la Guadeloupe. Une île de super baiseurs, j'en sais quelque chose...
- Ah bon ?
- Oui. J'y suis allée deux fois en vacances avec une copine. C'est d'ailleurs le cas de le dire car elle et moi, on en a vu des pines pendant une semaine... et des belles. On était dans un village de vacances qui qui s'est révélé un vrai baisodrome.
- Cochonne ! Mais tu me fais envie.
- Si tu veux, on peut programmer ça pour de futures vacances.
- On verra. En attendant, il faut que je me refasse une petite santé. Et j'ai faim. Il y a à manger ici ?
Et c'est ainsi que les deux amies (rhabillées) gagnèrent la cuisine où Laurence avait préparé à l'avance quelques agapes pour ses invités. A l'exception de Pascale et Martine, qui "finissaient" leurs jeunes amants sur le matelas, tous les autres étaient réunis, toujours nus, autour de la table où quelques sandwiches avaient été préparés par le discret mari de Laurence. Mais Viviane avait déjà la tête ailleurs. Elle pensait à ces vacances en Guadeloupe avec Muriel. Une belle perspective...
Quant à Viviane, elle avait noué depuis peu une aventure avec un Belge qui lui apportait la fantaisie érotique à laquelle elle aspirait après deux expériences malheureuses, ses amants s'étant révélés nuls au lit. Revers de la médaille : l'éloignement du Belge, qui espaçait trop souvent à son goût leurs torrides parties de jambes en l'air. C'est de cette situation qu'elle entretenait Muriel devant leur tasse de thé :- Albert (le prénom du Belge) a vraiment réveillé ma libido qui était en train de sombrer mais quand il est parti, je me retrouve le bec dans l'eau, si je puis dire. Bien sûr, il y a mon gode mais franchement, ça ne vaut pas une bonne bite bien chaude et bien dure, hein ?
- Je ne te le fais pas dire...
- Tu as de la chance d'avoir deux fers au feu, toi, tu ne risques pas le chômage technique.
- Que tu crois. Je passe parfois plusieurs semaines sans voir personne. Et j'en suis au même point que toi : le gode pour compenser. Ou autre chose...
- Ah bon ? Quoi donc ?
- Tu le gardes pour toi, hein ?
- Bien sûr, tu me connais. Discrétion totale.
- Bon, voilà. Je me suis fais une copine à la salle de gym, Laurence, une ophtalmo pleine de fric. Elle est mariée à un architecte et tous les deux sont des libertins notoires. Après une séance, on en est venues je ne sais plus comment à parler de cul. Elle m'a dit qu'elle organisait des soirées privées et quand elle a su que j'étais libre de corps et d'esprit, elle m'a proposé de venir.
- Donc, si je comprends bien, elle organisait des partouzes.
- Oui mais d'un genre particulier : rien qu'avec des femmes mûres, de préférence moins belles qu'elle. Il faut dire que malgré son âge, la cinquantaine, c'est un vrai canon. Tu verrais ce corps ! Elle doit faire un 38 à tout casser alors moi, avec mon 42, je lui allais très bien. Bon, je dois reconnaitre qu'elle m'a fait des compliments sur mon corps en me disant que je plairais beaucoup à ses chatons.
- Ses chatons ?
- Oui, c'est comme ça qu'elle appelle ses hardeurs. En fait, ce sont des jeunes mecs amateurs de matures qu'elle recrute sur internet après les avoir essayés elle-même.
- Des escort boys ?
- Non, elle ne les paie pas, elle n'a pas envie de se voir accusée de proxénétisme. Ce sont des gars qui aiment les gros nichons comme les miens ou des nanas bien salopes comme toi.
- Merci ! Ce n'est pas parce qu'on aime le sexe qu'on est une salope.
- Je plaisante. Mais tu vois l'esprit.
- Et ces mecs, c'est quel genre ?
- Des mitraillettes. Des turbines rotatives. Des arrosoirs à sperme. Des chats maigres de la bite qui n'arrêtent pas de te faire miauler. Une soirée avec eux, tu mets trois jours à t'en remettre.
- Eh ben dis donc, ça fait envie ! Et c'est combien, le ticket d'entrée ?
- Rien du tout. Juste ma recommandation, du moment que tu ne fais pas d'ombre physiquement à Laurence. Avec tes rondeurs, ça ne risque pas, même si je pense que tu plairais beaucoup à ces étalons.
- Et les autres nanas, c'est qui ?
- C'est un club fermé. Il y a Roselyne, une fausse rouquine de 60 balais qui s'est mise sur le tard au libertinage avec son mari; Martine, 60 ans également, célibataire, une sportive tout en muscles et en tendons, une grosse santé au plumard; Pascale, la cinquantaine, cheveux très courts, un peu forte, libertine elle aussi et puis moi. Et toi si tu veux. En principe, le nombre de mecs est équivalent à celui des femmes. Plus le mari de Laurence, qui vient surtout pour mater.
- En attendant le retour de mon Belge, c'est tentant. Surtout que j'ai vraiment envie de baiser en ce moment. Ras le bol du gode. Envie de sucer quelque chose de chaud et de ferme...
- Bon, c'est vu, j'en parle ce soir à Laurence. Prépare des ovules...
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Une semaine plus tard, c'est une Viviane morte de trouille qui accompagnait Muriel dans la grande maison bourgeoise de Laurence où devait se dérouler la soirée. Son amie avait eu beau la rassurer en lui disant que rien ne l'obligeait à "consommer", Viviane aurait sans aucun doute renoncé si Muriel ne l'avait pas emmenée. Elle s'était confortée en revêtant ses sous-vêtements les plus affriolants, espérant ainsi accroitre sa séduction face à l'entourage féminin, tant elle craignait de ne "pas être à la hauteur".
Mais tout se passa contrairement à toute prévision de sa part. Muriel avait omis (sciemment) de lui dire un fait essentiel : dès l'entrée, chacun était invité (fermement) à se mettre entièrement nu. Hommes comme femmes étaient ainsi mis d'emblée sur un pied d'égalité. Viviane n'eut même pas le temps de paniquer, ou de regretter de ranger ses jolis dessous : dès qu'elle eut posé culotte (et le reste), elle se sentit une autre femme. Un regard circulaire auprès des autres invitées la renseigna : en dehors de l'hôtesse Laurence, agréable et rassurante blonde aux petits seins haut plantés et au fessier rebondi, mais aussi de son amie Muriel, sculpturale beauté mature, elle n'avait pas de quoi faire de complexe. Roselyne, Martine et Pascale, qui lui furent présentées alors qu'elles étaient déjà nues, présentaient les corps les plus naturels du monde, avec leurs défauts et leurs atouts, selon que l'on considérait tel ou tel aspect plastique.
Mais ce qui intéressa surtout Viviane, ce furent les hommes. Tous jeunes, guère plus de la trentaine, secs, musculeux, bien membrés avec un pénis ballottant au repos entre leurs cuisses, souriant de toutes leurs dents, certains à peaux foncées, d'autres claires. Ils étaient six, un pour chaque femme en plus du mari de Laurence, quinquagénaire un peu replet qui servait à tout le monde un punch préparé dans une grande bassine. Ces jeunes hommes et ces femmes mûres déambulant nus un verre à la main, tout en devisant de choses superficielles, avait quelque chose d'irréel. Parfois, une main glissait sur une fesse, une hanche, un sein et même un sexe. La température montait insensiblement et Viviane elle-même ressentait progressivement dans son bas-ventre une chaleur qui lui faudrait bien éteindre tôt ou tard, d'une manière ou d'une autre. Déjà, des couples commençaient à se former et l'un des jeunes hommes, prénommé Kevin, superbe mulâtre aux yeux clairs, lui resservit à boire avant de la prendre par la main et de l'entrainer vers un des canapés du salon. Il se présenta, l'interrogea, laissa courir un doigt sur un sein généreux qu'il complimenta et lui prit la main qu'il déposa sur son pénis, en semi érection. Viviane voulut la retirer mais le jeune homme la maintint fermement et elle céda. Le pénis grossissait, grossissait si bien que Viviane, par instinct, se mit à l'astiquer tandis que le jeune homme l'embrassait tout en empaumant ses seins lourds. Puis il se dégagea, s'agenouilla devant elle et vint lover sa tête entre ses cuisses ouvertes. Sa langue trouva tout de suite son clitoris qu'il titilla et suçota pendant de longues minutes durant lesquelles Viviane s'abandonna en soupirant d'aise.
Lorsqu'elle ouvrait les yeux, son regard passait de la tête frisée du jeune homme en plein cunni aux accouplements qui commençait à s'opérer dans le salon. Sur un canapé, Muriel était en plein 69 sur un gaillard allongé sur elle. Viviane avait une vue panoramique sur les couilles en ballotage du jeune homme et sur son pénis tenu en main par Muriel tout en tétant le gland. A côté, une rouquine qu'elle identifia comme Roselyne, subissait en roucoulant le même traitement qu'elle, à savoir un cunni royal produit par un black au crâne rasé. Les autres échappaient à sa vue mais des cris de plaisir firent comprendre à Viviane que la partouze avait réellement commencé dans une autre pièce et qu'elle n'allait pas tarder à s'y mettre à son tour. De fait, le jeune homme se releva, la prit par la main et l'entraina dans une petite salle dépourvue de meubles mais nantie d'une sorte de grand matelas occupant presque toute la surface au sol, et sur laquelle trois couples avaient commencé à baiser. Elle reconnut Laurence, l'hôtesse, prise en levrette par un très bel eurasien sous le regard de son mari qui la mitraillait de son appareil photo; Pascale, chevauchant avec ardeur un autre jeune homme dont elle ne voyait pas le visage mais seulement les pieds et les grosses couilles écrasées par le cul plantureux de la quinquagénaire dont l'agilité rotative épata Viviane. Et enfin Martine, vue de profil, subissant en missionnaire et en se tenant par les pieds les assauts vigoureux d'un jeune mâle qu'elle fustigeait pour l'inciter à accélérer son rythme.
Viviane se laissa allonger par son futur amant, le regarda coiffer sa capote sans avoir eu le temps de le sucer et après un petit jeu de fausses pénétrations qui l'énerva, lui prit résolument la queue et l'attira dans son antre brûlant en lui emprisonnant les reins de ses jambes.
- Allez, vas-y, baise moi maintenant, baise moi dur ! s'entendit-elle souffler, totalement désinhibée par l'ambiance.
L'autre ne se le fit pas dire deux fois et se mit à l'assaisonner de coups de bite qui eurent pour principal mérite d'éteindre l'incendie de son bas-ventre au profit d'un bien être inouï qui la prit des orteils à la racine des cheveux.
- Ne t'arrête pas, ne t'arrête pas ! lâcha-t-elle, craignant de son jeune amant une éjaculation précoce.
Mais le jeune homme n'avait aucune intention d'en rester là. Il la retourna, la prit en levrette ce qui permit à Viviane d'embrasser du regard l'étendue du matelas où Muriel et Roselyne prenaient à leur tour leur plaisir. Son amie se faisait justement fouiller en levrette devant elle, ses seins lourds ballottant entre ses bras, proférant des "oh" et des "ah" et des "mmh" chaque fois que le gland cognait sa matrice et croisa le regard de Viviane, en proie à la même extase.
- Tu baises, hein ? lança Muriel. Hein, dis que tu baises !
- Oui oui je baise !
- Et c'est bon, hein ?
- Oui oui c'est bon !
Le reste se perdit en onomatopées, soupirs, exclamations diverses émanant des femelles possédées sur le matelas par leurs jeunes et vigoureux amants dont elles célébraient parfois crument la virilité. "Jusqu'aux couilles, jusqu'aux couilles", gueula l'une d'elles, que Viviane identifia comme étant la tonique Martine.
C'est alors que Laurence, l'hôtesse, déclara à la compagnie :- Allez, maintenant, on change tous de partenaire !
Initiative astucieuse venant au bon moment puisqu'aucun des hommes n'avait encore éjaculé. Tous se retirèrent bon gré mal gré mais le pénis encore bien érigé et prêt à resservir. Viviane eut alors la satisfaction narcissique de voir arriver vers elle deux garçons, l'Eurasien à la pine fine et le black rasé doté au contraire d'un chibre hors norme. Tous deux se disputèrent l'accès à son entrecuisses si bien qu'elle fut sommée de choisir entre les deux. Choix difficile : le sexe effilé de l'Eurasien lui convenait parfaitement, surtout en prévision d'une sodomie plus que probable vu la tournure de la partouze, mais elle aurait aussi savouré entre ses dents et entre ses cuisses le beau braquemard du black, qui avait fait bramer de plaisir son amie Muriel. Elle opta pour une forme de sagesse en choisissant l'Eurasien, au grand dépit du black qui s'orienta sur Martine, provisoirement délaissée. Rapidement honorée, celle-ci célébra aussitôt bruyamment la prestation de son chevalier servant en lui pétrissant les fesses, alors que Viviane en était encore aux papouilles avec son Eurasien au point qu'elle se demanda si elle n'avait pas fait le mauvais choix.
La suite allait lui démontrer le contraire. L'Eurasien, prénommé Eric, se révéla un expert en matière de sexualité féminine. Il la touchait là où il fallait et quand il fallait. Sa langue était d'une agilité diabolique. Viviane lui signifia plusieurs fois qu'il était temps qu'il la baise, qu'elle n'attendait que ça, qu'il n'avait pas le droit de la faire languir plus longtemps mais l'autre continuait son petit jeu, ignorant les cuisses écartées en V de sa partenaire provisoire. Quand enfin il la pénétra, d'une poussée longue et rectiligne, Viviane exprima un couinement qui couvrit presque les onomatopées de Martine écartelée par son amant noir. Les autres couples s'étaient interrompus pour observer les deux ébats torrides se déroulant sur le matelas. Muriel s'approcha de son amie pour l'encourager, la stimuler, l'exciter, laissant sa main flatter les couilles de l'Eurasien pendant qu'il besognait. Mais comme Viviane l'avait prévu, l'homme se dégagea et la retourna afin de la prendre, dit-il, "par le cul".
Viviane était trop excitée et chamboulée pour négocier quoi que ce soit. Cette bite la rendait folle et peu importait l'endroit où elle s'activait : l'essentiel était qu'elle soit en elle. Elle était tellement chaude que l'Eurasien franchit très vite le sas des sphincters et se mit à lui limer le rectum avec énergie, subjugué par le fessier somptueux de la quinquagénaire que celle-ci agitait avec frénésie. Elle avait toujours été assez fière de sa croupe comme de ses seins lourds et bien accrochés et cet hommage rendu par un beau mec à la partie la plus charnue de son anatomie lui allait droit à l'ego.
Du coup, comme par mimétisme, les autres couples adoptèrent le même registre. Laurence, Roselyne, Martine, Pascale et Muriel se mirent à quatre pattes et le cul en l'air, exigeant de leur amant le même traitement à l'exception notable de Muriel, qui excipa d'une fragilité au niveau anal pour réclamer une levrette des plus classique. Les autres couinèrent à l'unisson de Viviane dès que le gland eut pénétré leur petit trou comme des automobilistes klaxonnant ensemble dans un embouteillage. Tout cela ne devait pas durer et de fait, les premières giclées de sperme éclaboussèrent dos et matelas. Une puissante odeur de semence mâle envahit la pièce. Seul le black, qui avait honoré Muriel en levrette, et le mulâtre prénommé Kevin restèrent gaillards et donc objet de toutes les attentions de femelles pour la plupart nullement rassasiées.
Mais deux hommes pour six femmes, ça faisait un peu déséquilibré et à l'impossible nul n'est tenu. Aussi Laurence décida-t-elle, en bonne maîtresse de cérémonie, de procéder à un tirage au sort. Elle sortit un jeu de belote et distribua six cartes, du valet au 10, avec atout. Les deux cartes les plus fortes -le valet et le neuf- auraient droit à une séance supplémentaire avec le black et le mulâtre. Le sort désigna dans l'ordre Muriel et Viviane, avec priorité du choix pour la première. Comme Muriel avait déjà été honorée par le black, elle choisit l'autre, au grand plaisir de Viviane, qui fantasmait depuis un bon moment sur l'opulent braquemard de l'homme au crâne rasé. Les huit autres protagonistes se mirent en cercle auprès des deux couples élus, invités à s'ébattre sous leurs yeux et leurs commentaires. En d'autres temps, Viviane aurait été tétanisée par la situation. Mais depuis un bon moment, elle n'était qu'une femelle en chaleur vivant dans une bulle de sexe. Avant que son partenaire ne se soit coiffé d'un nouveau préservatif, elle le suçait avidement, se gorgeant de ce gland proéminent qui lui remplissait la bouche. Muriel agissait de même dans une parfaite symétrie. Jusqu'au moment où Laurence, qui se caressait la chatte en observant les préliminaires, déclara :- Allez les gars, baisez les maintenant, sinon on vous saute dessus.
Et c'est ainsi que Viviane et Muriel basculèrent sur le dos, côte à côte et cuisses ouvertes, en se tenant par la main. Quand Viviane fut pénétrée, elle eut l'impression d'un pieu brûlant entrant dans son tréfonds. Après la fine pine de l'Eurasien, ce gourdin de chair lui fit un effet boeuf. Elle se sentait terriblement et bénéfiquement remplie. Entourant les reins de son amant pour se servir d'un appui, elle rua à sa rencontre en bramant de plaisir tout en cramponnant la main de Muriel qui, par osmose, se mit elle aussi à gueuler. Autour des deux couples, les commentaires salaces fusèrent, ce qui n'était évidemment pas de nature à calmer les ébats. "Mets-lui le doigt dans le cul" s'exclama Laurence à l'endroit de Muriel, qui s'exécuta aussitôt. Pascale et Martine y allèrent même d'une menotte câline sur les couilles des deux baiseurs, ce qui ne fit qu'accélérer le rythme de ceux-ci et par conséquent augmenter les décibels des récipiendaires.Les esprits étaient tellement échauffés que Laurence et Roselyne tentèrent de ranimer la flamme de deux jeunes mâles ayant éjaculé depuis peu. Elles y mirent une telle énergie buccale que les deux étalons présentèrent une érection honorable, à défaut d'être spectaculaire. C'était largement suffisant pour se faire chevaucher par les deux insatiables matures qui cavalèrent allègrement jusqu'à ce qu'elles laissent la place, avec beaucoup de générosité, à Martine et Pascale qui attendaient leur tour.
Pendant ce temps, Muriel et Viviane prenaient un pied majuscule, les ongles plantés dans les fesses de leur amant dont le staccato frénétique eut finalement raison de leur endurance. Les deux amies furent copieusement arrosées de leur sperme et gagnèrent ensemble la salle de bains pour se soulager et se laver.
- Quelle partie de cul ! souffla Muriel. Je suis vannée. Ce n'est plus de mon âge, ces acrobaties.
- Tu te défends encore très bien, rassure-toi. Mais je ne suis pas très fraiche non plus. J'ai l'impression d'avoir été creusée de l'intérieur. Quelle bite il a, ce garçon ! Il s'appelle comment au fait ?
- Barnabé je crois. Il est de la Guadeloupe. Une île de super baiseurs, j'en sais quelque chose...
- Ah bon ?
- Oui. J'y suis allée deux fois en vacances avec une copine. C'est d'ailleurs le cas de le dire car elle et moi, on en a vu des pines pendant une semaine... et des belles. On était dans un village de vacances qui qui s'est révélé un vrai baisodrome.
- Cochonne ! Mais tu me fais envie.
- Si tu veux, on peut programmer ça pour de futures vacances.
- On verra. En attendant, il faut que je me refasse une petite santé. Et j'ai faim. Il y a à manger ici ?
Et c'est ainsi que les deux amies (rhabillées) gagnèrent la cuisine où Laurence avait préparé à l'avance quelques agapes pour ses invités. A l'exception de Pascale et Martine, qui "finissaient" leurs jeunes amants sur le matelas, tous les autres étaient réunis, toujours nus, autour de la table où quelques sandwiches avaient été préparés par le discret mari de Laurence. Mais Viviane avait déjà la tête ailleurs. Elle pensait à ces vacances en Guadeloupe avec Muriel. Une belle perspective...
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