Mères et filles (2)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Mères et filles (2)
Magali et Marianne se ressemblaient étrangement, au physique comme dans leur vie professionnelle et privée. L'une et l'autre étaient menues mais bien proportionnées, souvent coiffées d'un chignon réunissant leur chevelure châtain, en particulier dans leur activité professionnelle, l'une podologue, l'autre dentiste. Magali, âgée de 58 ans ("comme la femme d'Obama", disait-elle), était la mère de Marianne, de 22 ans plus jeune, mais leur complicité faisait fi de l'écart générationnel. Divorcées l'une et l'autre, elles avaient néanmoins accepté une liaison "uniquement pour les bons moments", précisaient-elles. Pas question de vie de couple traditionnelle : elles avaient déjà donné et n'éprouvaient aucune envie de recommencer. L'homme qui partageait leur vie à temps partiel était avant tout un compagnon de vacances ou de soirées, et bien sûr un partenaire sexuel.
Marianne était toujours épatée par le goût intact de sa mère pour le sexe. Dans son esprit, une femme de bientôt 60 ans était définitivement "rangée des voitures". Elle eut cependant l'occasion de vérifier le contraire au cours d'un court voyage qu'elles firent à deux pour visiter la soeur de Magali et donc la tante de Marianne, hospitalisée à une plus d'une centaine de kilomètres. Parties en voiture, elles eurent l'infortune de connaitre une panne sérieuse en rase campagne qui les obligea à une étape imprévue. On était un samedi, le garage campagnard censé les dépanner n'avait pas la pièce et il fallait attendre le lundi suivant pour l'obtenir. Obligées de prendre une chambre dans un hôtel modeste du lieu, elles étaient surtout très embêtées de devoir annuler la visite de la tante car le devoir les rappellerait à leur cabinet la semaine suivante.
Il fallait donc prendre le mal en patience. Heureusement, la campagne était belle et les promenades attrayantes. Mais les deux soirées s'annonçaient longues. Alors qu'elles se trouvaient à table, elles virent débarquer un duo de randonneurs cyclistes d'une trentaine d'années venu faire étape au même endroit. Comme elles étaient seules dans le restaurant, la conversation s'engagea rapidement une fois que les deux hommes, dûment installés, étaient descendus pour le diner. Un courant de sympathie s'installa illico. Sportives dans l'âme, Magali et Marianne étaient aussi cyclistes à l'occasion. Mais ce courant de sympathie se mua vite chez les deux randonneurs comme une tentative de drague alimentée par la disponibilité apparente des deux femmes. Le fait qu'elles soient mère et fille conférait à leurs yeux un attrait supplémentaire. Celles-ci s'en amusèrent d'abord, surtout Magali, peu habituée à être courtisée par des hommes jeunes. Marianne voyait la chose plus sérieusement. Son petit corps avait été quelque peu négligé ces derniers temps et la perspective d'un coup d'un soir ne lui déplaisait pas a priori, surtout que les deux gars étaient loin d'être moches, pas idiots et semblaient surtout vigoureux.
Les quatre sortirent pour une promenade digestive dans la douceur du soir, et profitant du fait que les deux hommes se trouvaient devant, Magali chuchota à l'oreille de sa fille : - Tu en as envie ?
- De... quoi ?
- De baiser, tiens. Tu crois que je ne lis pas dans tes pensées ? Je ne suis pas ta mère pour rien.
- Cela va un peu vite, non ? On les connait à peine, ces deux garçons.
- Justement. Ce sont les meilleurs coups, crois-moi. Tu fais ta petite affaire et le lendemain, ciao. C'est parfait.
Marianne marqua un temps de réflexion. Après tout, sa mère n'avait peut-être pas tort. En un sens, elle lui montrait une liberté de ton assez épatante. Néanmoins, elle ne la voyait pas passer à l'acte. Elle répondit, croyant la défier et la mettre en difficulté : - Ils sont deux. Il y en a un de trop. Tu prends lequel ?
Magali ne put s'empêcher de pouffer de rire.
- C'est toi qui lis dans mes pensées.
Marianne marqua sa surprise :- Tu es prête à... faire l'amour ce soir ?
- Ben tiens, je pense bien. Tu n'imagines quand même pas que je vais laisser passer une occasion pareille, à mon âge. J'espère qu'ils ont une grosse bite car j'ai de la place.
Entendant les rires, les deux randonneurs se retournèrent. Ils ne furent pas long à comprendre que les deux femmes étaient "open". Impression confirmée quand Marianne et Magali les prirent par la main dans un geste d'affection qui préludait à des rapports beaucoup moins romantiques. Il fut tacitement convenu que la soirée se prolongerait au lit. Magali exigea juste de ne pas être séparée de sa fille. Comme une précaution face à deux inconnus. Et c'est ainsi que tous les quatre entrèrent dans la chambre des deux femmes avec pour points communs une forte tension dans le bas-ventre.
L'un des deux randonneurs, un grand sec à queue de cheval, ne fit aucune objection à être pris en charge par la mère. Il avait un faible pour les femmes mûres, voire très mûres, pour leur absence générale de tabous. Il est vrai que l'excroissance spectaculaire sur le devant de son pantalon avait motivé Magali à lui mettre le grappin dessus pour les raisons déjà évoquées. Le deuxième larron, un brun un peu rond et nerveux, fut donc dévolu de fait à Marianne. A dire vrai, celle-ci était surtout préoccupée par la présence de sa mère dans ce contexte intime. Elle l'avait mise devant le fait accompli. Elle n'avait jamais imaginé non seulement faire l'amour devant elle, mais surtout la voir faire de même.
C'est pourtant ce qui allait se produire car on avait atteint un point de non retour. Magali s'était vite mise entièrement nue, étalant sans complexe son corps de femme mûre au ventre un peu renflé sous le nombril mais encore ferme et tout à fait consommable aux yeux du grand sec, dont l'érection majuscule témoignait de son désir. Magali lui témoigna vite son savoir-faire en le suçant et le branlant tandis que Marianne et son chevalier servant en étaient encore au stade du déshabillage progressif. Il est vrai que la fille gardait un oeil sur la mère et quand celle-ci fit coucher son amant avant de s'allonger sur lui tête bêche pour un authentique 69 préliminaire, activé avec conviction par la mature, Marianne comprit qu'elle ne pourrait pas se dérober. Il lui fallait faire de même sur le lit jumeau.
La suite allait montrer un certain mimétisme de positions. Quand Magali se releva pour venir chevaucher son amant provisoire et lui montrer son petit cul en mouvement rotatoire, Marianne fit de même en exposant ses petites fesses bien fendues. Mère et fille se regardèrent le sourire aux lèvres tout en laissant échapper des jappements de plaisir. Elles allongèrent mutuellement les queues en se mettant sur leurs pieds, se retournèrent en même temps pour exposer leurs petits seins aux regards et aux mains des deux mâles après qu'elles eurent dénoué leur chevelure, échangèrent sur la dureté de la bite sur laquelle elles cavalaient mais surtout trouvaient dans cette intimité sexuelle partagée une profonde satisfaction relationnelle, comme si elles se découvraient après plus de trente ans de vie commune, ou presque. Ce que Magali traduisit ainsi entre deux halètements et onomatopées :- J'adore te voir baiser.
Marianne était trop concentrée sur son plaisir pour lui répondre mais cette impression était très partagée. Dans l'activité sexuelle, sa mère avait incroyablement rajeuni au point que sa fille se demanda si elle n'était pas devenue son double.
Mais les deux randonneurs en eurent assez d'être soumis. Ils retournèrent prestement les deux femmes et s'enfoncèrent en elle en missionnaire, non sans précaution, de peur de soumettre ces deux corps menus à un joug trop intrusif. Ils labouraient en profondeur mais sur un rythme moderato, guettant leur réaction. Ce ne fut pas celle qu'ils envisageaient :- Eh les gars, on n'est pas un sucre, secouez-nous un peu, râla Magali.
Et de planter ses talons dans les reins de l'homme à la queue de cheval pour le presser, imitée aussitôt par Marianne.
Ils n'attendaient que ce signal. Une cavalcade effrénée secoua les deux lits jumeaux, ponctuée par les réflexions conjointes des deux femmes comme si elles baisaient en stéréo :- Oui, encore, vas-y, plus fort, ah, oh, hou, mmmhhh, t'arrête pas..., le tout prononcé dans une agitation extrême de cul, de cuisses, de pieds et de mains.
Les deux gars n'en revenaient pas de leur chance. Ils étaient tombés sur deux grandioses salopes. Ils eurent la satisfaction mâle de les faire jouir simultanément, mère et fille ayant adopté jusqu'au bout le mimétisme du plaisir. Ils remplirent leur capote pendant qu'elles se cabraient avec une énergie étonnante pour des petits corps. Ils ressentirent alors dans leurs jambes de cyclistes une décharge électrique qui laissait mal augurer de leur sortie du lendemain. Ils quittèrent le lit en titubant sous le satisfecit exprimé par leur partenaire d'un soir. Lesquelles échangèrent pendant plusieurs minutes avant de trouver le sommeil :- Tu es belle quand tu baises, dit Marianne à sa mère. Qui lui répondit en l'embrassant.
Elles se levèrent très tard. Les cyclistes étaient déjà partis, avec juste un mot glissé sous la porte : "merci". Elles trainèrent tout l'après-midi dans la campagne sans trop évoquer la soirée de la veille. Elles étaient surtout préoccupées par la réparation de leur voiture. Ce fut fait le lendemain et elles s'en retournèrent à leur point de départ sans avoir vu la tante. Mais avec la conscience intime de s'être découvertes mutuellement sous un angle nouveau. Et peut-être pas sans lendemain.
A SUIVRE
Marianne était toujours épatée par le goût intact de sa mère pour le sexe. Dans son esprit, une femme de bientôt 60 ans était définitivement "rangée des voitures". Elle eut cependant l'occasion de vérifier le contraire au cours d'un court voyage qu'elles firent à deux pour visiter la soeur de Magali et donc la tante de Marianne, hospitalisée à une plus d'une centaine de kilomètres. Parties en voiture, elles eurent l'infortune de connaitre une panne sérieuse en rase campagne qui les obligea à une étape imprévue. On était un samedi, le garage campagnard censé les dépanner n'avait pas la pièce et il fallait attendre le lundi suivant pour l'obtenir. Obligées de prendre une chambre dans un hôtel modeste du lieu, elles étaient surtout très embêtées de devoir annuler la visite de la tante car le devoir les rappellerait à leur cabinet la semaine suivante.
Il fallait donc prendre le mal en patience. Heureusement, la campagne était belle et les promenades attrayantes. Mais les deux soirées s'annonçaient longues. Alors qu'elles se trouvaient à table, elles virent débarquer un duo de randonneurs cyclistes d'une trentaine d'années venu faire étape au même endroit. Comme elles étaient seules dans le restaurant, la conversation s'engagea rapidement une fois que les deux hommes, dûment installés, étaient descendus pour le diner. Un courant de sympathie s'installa illico. Sportives dans l'âme, Magali et Marianne étaient aussi cyclistes à l'occasion. Mais ce courant de sympathie se mua vite chez les deux randonneurs comme une tentative de drague alimentée par la disponibilité apparente des deux femmes. Le fait qu'elles soient mère et fille conférait à leurs yeux un attrait supplémentaire. Celles-ci s'en amusèrent d'abord, surtout Magali, peu habituée à être courtisée par des hommes jeunes. Marianne voyait la chose plus sérieusement. Son petit corps avait été quelque peu négligé ces derniers temps et la perspective d'un coup d'un soir ne lui déplaisait pas a priori, surtout que les deux gars étaient loin d'être moches, pas idiots et semblaient surtout vigoureux.
Les quatre sortirent pour une promenade digestive dans la douceur du soir, et profitant du fait que les deux hommes se trouvaient devant, Magali chuchota à l'oreille de sa fille : - Tu en as envie ?
- De... quoi ?
- De baiser, tiens. Tu crois que je ne lis pas dans tes pensées ? Je ne suis pas ta mère pour rien.
- Cela va un peu vite, non ? On les connait à peine, ces deux garçons.
- Justement. Ce sont les meilleurs coups, crois-moi. Tu fais ta petite affaire et le lendemain, ciao. C'est parfait.
Marianne marqua un temps de réflexion. Après tout, sa mère n'avait peut-être pas tort. En un sens, elle lui montrait une liberté de ton assez épatante. Néanmoins, elle ne la voyait pas passer à l'acte. Elle répondit, croyant la défier et la mettre en difficulté : - Ils sont deux. Il y en a un de trop. Tu prends lequel ?
Magali ne put s'empêcher de pouffer de rire.
- C'est toi qui lis dans mes pensées.
Marianne marqua sa surprise :- Tu es prête à... faire l'amour ce soir ?
- Ben tiens, je pense bien. Tu n'imagines quand même pas que je vais laisser passer une occasion pareille, à mon âge. J'espère qu'ils ont une grosse bite car j'ai de la place.
Entendant les rires, les deux randonneurs se retournèrent. Ils ne furent pas long à comprendre que les deux femmes étaient "open". Impression confirmée quand Marianne et Magali les prirent par la main dans un geste d'affection qui préludait à des rapports beaucoup moins romantiques. Il fut tacitement convenu que la soirée se prolongerait au lit. Magali exigea juste de ne pas être séparée de sa fille. Comme une précaution face à deux inconnus. Et c'est ainsi que tous les quatre entrèrent dans la chambre des deux femmes avec pour points communs une forte tension dans le bas-ventre.
L'un des deux randonneurs, un grand sec à queue de cheval, ne fit aucune objection à être pris en charge par la mère. Il avait un faible pour les femmes mûres, voire très mûres, pour leur absence générale de tabous. Il est vrai que l'excroissance spectaculaire sur le devant de son pantalon avait motivé Magali à lui mettre le grappin dessus pour les raisons déjà évoquées. Le deuxième larron, un brun un peu rond et nerveux, fut donc dévolu de fait à Marianne. A dire vrai, celle-ci était surtout préoccupée par la présence de sa mère dans ce contexte intime. Elle l'avait mise devant le fait accompli. Elle n'avait jamais imaginé non seulement faire l'amour devant elle, mais surtout la voir faire de même.
C'est pourtant ce qui allait se produire car on avait atteint un point de non retour. Magali s'était vite mise entièrement nue, étalant sans complexe son corps de femme mûre au ventre un peu renflé sous le nombril mais encore ferme et tout à fait consommable aux yeux du grand sec, dont l'érection majuscule témoignait de son désir. Magali lui témoigna vite son savoir-faire en le suçant et le branlant tandis que Marianne et son chevalier servant en étaient encore au stade du déshabillage progressif. Il est vrai que la fille gardait un oeil sur la mère et quand celle-ci fit coucher son amant avant de s'allonger sur lui tête bêche pour un authentique 69 préliminaire, activé avec conviction par la mature, Marianne comprit qu'elle ne pourrait pas se dérober. Il lui fallait faire de même sur le lit jumeau.
La suite allait montrer un certain mimétisme de positions. Quand Magali se releva pour venir chevaucher son amant provisoire et lui montrer son petit cul en mouvement rotatoire, Marianne fit de même en exposant ses petites fesses bien fendues. Mère et fille se regardèrent le sourire aux lèvres tout en laissant échapper des jappements de plaisir. Elles allongèrent mutuellement les queues en se mettant sur leurs pieds, se retournèrent en même temps pour exposer leurs petits seins aux regards et aux mains des deux mâles après qu'elles eurent dénoué leur chevelure, échangèrent sur la dureté de la bite sur laquelle elles cavalaient mais surtout trouvaient dans cette intimité sexuelle partagée une profonde satisfaction relationnelle, comme si elles se découvraient après plus de trente ans de vie commune, ou presque. Ce que Magali traduisit ainsi entre deux halètements et onomatopées :- J'adore te voir baiser.
Marianne était trop concentrée sur son plaisir pour lui répondre mais cette impression était très partagée. Dans l'activité sexuelle, sa mère avait incroyablement rajeuni au point que sa fille se demanda si elle n'était pas devenue son double.
Mais les deux randonneurs en eurent assez d'être soumis. Ils retournèrent prestement les deux femmes et s'enfoncèrent en elle en missionnaire, non sans précaution, de peur de soumettre ces deux corps menus à un joug trop intrusif. Ils labouraient en profondeur mais sur un rythme moderato, guettant leur réaction. Ce ne fut pas celle qu'ils envisageaient :- Eh les gars, on n'est pas un sucre, secouez-nous un peu, râla Magali.
Et de planter ses talons dans les reins de l'homme à la queue de cheval pour le presser, imitée aussitôt par Marianne.
Ils n'attendaient que ce signal. Une cavalcade effrénée secoua les deux lits jumeaux, ponctuée par les réflexions conjointes des deux femmes comme si elles baisaient en stéréo :- Oui, encore, vas-y, plus fort, ah, oh, hou, mmmhhh, t'arrête pas..., le tout prononcé dans une agitation extrême de cul, de cuisses, de pieds et de mains.
Les deux gars n'en revenaient pas de leur chance. Ils étaient tombés sur deux grandioses salopes. Ils eurent la satisfaction mâle de les faire jouir simultanément, mère et fille ayant adopté jusqu'au bout le mimétisme du plaisir. Ils remplirent leur capote pendant qu'elles se cabraient avec une énergie étonnante pour des petits corps. Ils ressentirent alors dans leurs jambes de cyclistes une décharge électrique qui laissait mal augurer de leur sortie du lendemain. Ils quittèrent le lit en titubant sous le satisfecit exprimé par leur partenaire d'un soir. Lesquelles échangèrent pendant plusieurs minutes avant de trouver le sommeil :- Tu es belle quand tu baises, dit Marianne à sa mère. Qui lui répondit en l'embrassant.
Elles se levèrent très tard. Les cyclistes étaient déjà partis, avec juste un mot glissé sous la porte : "merci". Elles trainèrent tout l'après-midi dans la campagne sans trop évoquer la soirée de la veille. Elles étaient surtout préoccupées par la réparation de leur voiture. Ce fut fait le lendemain et elles s'en retournèrent à leur point de départ sans avoir vu la tante. Mais avec la conscience intime de s'être découvertes mutuellement sous un angle nouveau. Et peut-être pas sans lendemain.
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