Mères et filles (fin)

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Mères et filles (fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mères et filles (fin)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Cette histoire qui s'inscrit dans une série fait néanmoins suite à une autre, "Quand la mère inspire la fille", parue le 16 novembre dernier).

Corinne et sa fille Claire avait enfin atteint l'hôtel club sur la côte espagnole où elles étaient censées passer quelques jours de vacances. Le mari et père, encore retenu par son travail, devait arriver incessamment mais sans date précise.
Dans ce genre de station balnéaire, les activités communes se limitent aux "quatre B" : bronzer, (se) baigner, bouffer et... baiser. La plupart des clients de l'hôtel étaient là pour ça et rien d'autre. Y compris ceux d'âge mûr, même si le quatrième B était moins pratiqué que les trois autres. La présence de ces deux femmes seules, la jeune et la moins jeune, n'en finissait pas d'intriguer, en particulier au bord de la piscine, secteur stratégique puisqu'elle placée au coeur même de l'hôtel et cernée par les chambres disposées en U. Il suffisait de passer la tête par la fenêtre de celles-ci pour apercevoir les corps presque nus, allongés sur le dos ou à plat ventre, en train d'absorber les UV pour revenir plus tard avec le critère numéro un des vacances réussies : le bronzage. Et la motivation principale pour l'Espagne.

Corinne et Claire ne faisaient pas exception. Leur maillot de bain aurait à peine fait fléchir une balance de préparatrice en pharmacie tant il était léger. Leur soutien-gorge dissimulait les aréoles de leurs seins, mais rien d'autre, et tenait par le miracle de deux petits cordons attachés autour du cou et dans le dos. Très aisés à défaire pour se dorer le dos sans marques. Leur slip se limitait à deux triangles de toile masquant à peine la raie des fesses et dévoilant le haut de leur pubis rasé tout en moulant étroitement leur sexe. Les hommes dévoraient des yeux ces apparitions très ressemblantes de chevelure et de corps, l'une, la plus âgée des deux, toutefois plus pulpeuse que l'autre, en se demandant où étaient les mâles censés les honorer. Et de conclure, très à tort, qu'elles étaient lesbiennes.

Corinne et Claire avaient parfaitement conscience de l'intérêt érotique qu'elles suscitaient, mais aussi de l'ambiguïté qu'elles provoquaient. Et s'en amusaient. C'est ainsi que Corinne déambulait au bord de l'eau, lascive, seins hauts, fesses mouvantes, les cordons du slip très lâches pour que le tissu léger descende juste au niveau du coccyx. Lorsqu'elle sortait de l'eau, le soutif dévoilait un sein vite recouvert et le slip la moitié de la raie des fesses, tout aussi vite remonté. Mais rien n'avait échappé aux yeux exorbités des mâles présents, ni à ceux colériques de leurs épouses.
Claire avait peine à dissimuler son rire au cinéma de sa mère. Mais elle se demandait en même temps si, à force de jouer à ce petit jeu d'allumeuse, elle n'allait pas finir par récolter ce qu'elle semait.
*********Chaque fin d'après-midi peu avant le dîner, un apéritif était organisé par l'hôtel... mais compris dans le prix de la pension. Il avait pour principale vertu de réunir les résidents afin qu'ils fassent connaissance et éventuellement nouent des relations. Ils se rassemblaient logiquement par affinités linguistiques, l'hôtel étant très international. C'est ainsi que Corinne et Claire se retrouvèrent à converser avec un couple de Genevois et un autre de Liégeois. Pierrette et Daniel, les Suisses, étaient âgés d'une cinquantaine d'années. La femme rappelait à Corinne son amie Françoise avec son corps un peu trapu aux formes épanouies, sa faconde, une liberté de ton sympathique tranchant avec la discrétion de son mari, un grand sec à la chevelure poivre et sel, qui lutinait visiblement Claire, il est vrai très sommairement vêtue d'une robe au ras du bonbon et sans soutif. Laure et Frank, les Belges, étaient encore trentenaires. Laure ressemblait étrangement, selon Corinne, à sa collègue Elise : même petite taille, même yeux clairs, même petits seins et même cambrure très accusée qui lui faisait un fessier plus gros que réel mais ô combien érotique. Frank était lui aussi de petite taille, brun de peau et de poil, visiblement musclé et particulièrement volubile. Il entreprit Corinne pour lui dire :- Je suis un fan de séries sur Netflix et je vous vois comme un condensé de Laura Linney dans Ozark et Anna Gunn dans Breaking Bad, s'amusa-t-il.
Corinne, qui avait vu les deux séries, apprécia le compliment mais répondit :- Merci mais je ne suis pas vénales comme vos personnages de fiction.
Les rires fusèrent et la glace fut définitivement rompue.
- Et vous êtes seules, vraiment ? interrogea Laure.
- Non, répondit Corinne, j'attends mon mari mais... tiens le voilà justement.

De fait, Christophe apparut, tout pimpant dans un bermuda et une chemise à fleurs, très dans le ton. Embrassades, accolades, présentations à l'entourage. Et dans la foulée, les trois couples plus Claire rejoignirent une table commune. Chacun raconta plus ou moins sa vie. Au dessert, après avoir pas mal picolé, Pierrette et son mari avouèrent être libertins. Laure et Frank dirent ne pas l'être mais reconnurent avoir expérimenté l'échangisme. Corinne et Christophe ignorèrent le regard inquiet de leur fille pour admettre leur goût du candaulisme, ce qui suscita un débat très épicé.
La discussion se prolongea auprès de la piscine jusqu'au moment où le personnel fit remarquer qu'il fallait protéger le repos des dormeurs alentours. On décida alors de partir dans la station pour de véritables lieux de nuit festive. On dansa, on se frotta un peu aussi, et pas forcément entre couples, Claire étant particulièrement visée par le Belge et le Suisse. Sans recevoir de sa part une opposition virulente, de peur de paraitre la moins relax du groupe.

Et quand Pierrette proposa :- Et si on finissait la soirée dans notre chambre ?
Personne n'y fit objection, tant la volonté était forte de préserver cette soirée d'une tension où se mélangeait l'été, l'alcool, la fête et désormais... le sexe.
Car tous les protagonistes à part Claire, encore sur la réserve, avaient envie de baiser. La question était juste de savoir : avec qui. Dans la chambre, le boute en train Pierrette ouvrit le mini bar et on s'échangea quelques doses en s'observant. Laure, la Belge, se tenait à la fenêtre, comme pour regarder la piscine. Daniel, le grand Suisse, se positionna derrière elle, lui murmura à l'oreille et se mit à lui caresser les seins. Elle se retourna, posa son verre et l'embrassa pleine bouche en posant sa main sur le pénis déjà bien visible sous la toile du pantalon léger. Les conversations s'étaient arrêtées dans la chambre. Laure retroussa sa robe, apparut en string et se baissa pour débraguetter Daniel dont la queue horizontale surgit. Elle le pompa illico accroupie en le regardant dans les yeux puis l'attira sur le lit après s'être délestée souplement de son string. Elle apparut dans sa nudité bronzée à l'exception de ses fesses bien rondes, bien fendues, véritable appel à la main de l'homme et même davantage.

Le quinquagénaire suisse se dévêtit, laborieusement, et rejoignit la jeune femme sur le lit. Les autres protagonistes firent alors cercle autour du couple pour assister de près à ses ébats, comme au spectacle, à commencer par leurs deux légitimes, à savoir Frank le Belge et Pierrette la Suissesse. Christophe avait enlacé Corinne par derrière et la caressait tout en observant la scène, comme les autres. La tension était palpable dans la chambre où seuls les bruits de succion brisaient le silence. Conscient de l'intérêt qu'il suscitait, le duo en rajoutait dans les préliminaires, comme pour exacerber l'impatience des voyeurs. L'érection du Suisse était impressionnante et quand la jeune Belge lui posa son préservatif, la tension monta encore d'un cran. Placée dans le prolongement du lit, Claire n'était pas la moins fébrile. Cette situation était tellement inédite pour elle qu'elle se demandait si elle allait pouvoir tenir jusqu'au bout. C'était comme si le Sexe, avec une majuscule, lui sautait à la figure.

Mais quand Daniel pénétra enfin Laure en missionnaire, provoquant des soupirs dans l'assistance, la danse frénétique de son cul blanc et les exclamations de la Liégeoise mirent la jeune fille dans un émoi tel qu'elle glissa la main dans son mini slip et commença à se masturber. Entre temps, Pierrette s'était mise complètement à poil, exposant sans complexe ses rondeurs et, bousculée en travers du lit, recevait l'hommage buccal du mari de Laure. Corinne et Christophe ne pouvaient plus faire autrement que les imiter, d'autant que ce n'était pas l'envie qui leur manquait après une séparation prolongée. Et dans les minutes qui suivirent, Claire fut la seule à ne pas être honorée pendant que les deux couples forniquaient sur le lit XXL dans un méli mélo de corps en fusion, gémissant, clapotant, s'exaltant dans un jeu de pieds en l'air et de fessiers virevoltants.

Corinne et Christophe n'ayant pas trouvé de place avaient pris possession du fauteuil club de la chambre, lui assis, elle le chevauchant à grands coups de hanches et de soupirs de plaisir. Claire était à peine surprise de voir ses parents faire l'amour dans cette authentique partouze dont elle était désormais la seule spectatrice. Fascinée, elle posait son regard d'un couple à l'autre. L'attitude de la plantureuse Suissesse, à quatre pattes en travers du lit pendant que le Belge trapu la besognait debout en cadence, l'épatait par la crudité de ses propos prononcés avec l'accent des bords du lac Léman. Ses gros seins suivaient le rythme des coups de bite à en donner le vertige. Une bite dont le volume effraya Claire, étonnée que la plantureuse Suissesse ne crie pas de douleur; Au contraire, elle venait chercher le gourdin avec force roulements de hanches, instillant dans l'esprit de la jeune fille qu'un organe mâle plantureux et un vagin bien ouvert étaient faits pour s'entendre.

Quant à l'autre couple, il avait changé de position. Laure se trouvait également prise par derrière car Daniel était visiblement fasciné par sa croupe, qu'il ne quittait pas des yeux. Claire ne se trouvait qu'à quelques centimètres du visage de la jeune Belge dont elle pouvait observer les variations de l'expression, tantôt crispée, tantôt radieuse, bouche ouverte ou langue entre les dents, souffle court, haleine chaude, totalement concentrée sur le pénis qui la comblait. Visiblement ravie d'être l'objet de l'attention de Claire, elle lâcha :- Ah c'est bon, ah c'est bon, tu peux pas savoir comme c'est bon !

Elle cria, signe qu'elle avait connu l'orgasme et se cambra, déclenchant l'éjaculation du Suisse, au bout de son rouleau.

Claire tourna ensuite les yeux vers ses parents. Corinne n'avait rien perdu des ébats du lit puisqu'elle cavalait maintenant sur la bite de Christophe, dos à lui. Ses cheveux blonds et raides battaient ses épaules à la cadence du reste de son corps, seins et hanches en particulier. Claire avait déjà vu sa mère baiser mais encore jamais avec son père, seulement avec des amants de circonstance dans le cadre du fameux candaulisme dont le couple se revendiquait. L'extase de sa mère lui plut et elle la trouva belle dans l'amour. Elle ne pouvait pas voir le pénis de son père, totalement englouti par sa mère qui donnait l'impression de visser son bassin sur l'organe mâle, fiché au plus profond.

Mais un cri la détourna à nouveau vers le lit. Pierrette, la blonde aux cheveux courts, venait de jouir à son tour. Puis elle éclata de rire, attitude que Claire jugea incongrue.
- Ah tu m'as fait prendre mon pied, petit cochon, lança-t-elle au trentenaire Belge. Mais dis donc, tu bandes toujours ! Tu es un sacré baiseur, toi.
Puis se tournant vers Claire :- Eh toi, ça va ? Tu t'es bien rincée l'oeil ? Tu n'as pas envie d'y passer aussi ? Eh les gars, c'est pas normal de la laisser en plan, la petite. Qu'est-ce que vous attendez pour la baiser ? Elle n'attend que ça. Regardez-la, elle a la main dans sa culotte.

Claire retira vivement cette main mais elle ne pouvait pas dire le contraire de la pulpeuse Suissesse. Elle avait littéralement le feu au cul. Et quand Frank, le Liégeois, s'avança vers elle la bite horizontale et bestiale dans ce corps faunesque abondamment velu, elle sut qu'elle allait capituler sans condition. Le vide de son bas-ventre était devenu insupportable et cette espèce de manche de pioche ne l'effrayait plus. Il était même providentiel.
- Baise ma fille mais baise la bien.
C'était la voix de Corinne, qui, sans rompre l'union avec Christophe, n'avait rien perdu des récents échanges. Quand Frank prit Claire par la main pour l'entrainer vers le lit, elle ne résista pas. Elle se laissa allonger et ouvrir les cuisses pour laisser place à la bouche du Belge. Elle gémissait, se tordait, relevait parfois la tête pour regarder son lécheur en action quand elle vit apparaitre sa mère dans son champ de vision.
- Alors, ma chérie, ça va bien ? Tu prends du plaisir ?
Claire se contenta d'un oui de la tête. Et Frank se releva, formidable d'une érection toujours gainée de latex. C'est alors que Corinne prit l'engin en main et le guida vers la cible offerte en disant au Belge :- Vas-y doucement, laisse-toi guider, elle est encore étroite.

C'était exagéré car Claire était loin d'en être à son premier rapport sexuel. Mais l'attention était touchante et Frank la pénétra prudemment tandis que Corinne saisissait les pieds de sa fille pour bien ouvrir son compas.
- Allez, vas-y maintenant, à fond, secoue là, montre ce que c'est qu'un vrai homme, dit la quadragénaire au Belge, qui ne demandait pas mieux. Les mains posées sur le lit et les yeux dans ceux de la jeune fille, il se mit à la labourer avec d'autant plus d'aisance qu'elle était fondante, ses chairs intimes humidifiées par la masturbation, le cunnilingus et surtout la vision de ces trois couples sans tabous. L'angle très ouvert de ses cuisses par Corinne permit à Frank de l'atteindre dans ses profondeurs les plus intimes et elle poussa un cri guttural qui surprit les autres protagonistes, provisoirement réduits au rôle de voyeurs. Christophe se montra même inquiet pour sa fille mais il se rassura quand Corinne lâcha ses chevilles qui se croisèrent sur le dos de son amant, lui permettant de ruer à sa rencontre en bramant de plaisir.
- Elle baise, ta fille, dit Corinne à son mari, attendrie, ça la change des godelureaux qui croient lui donner du plaisir.

De fait, il suffisait de regarder le visage de Claire pour comprendre qu'elle prenait son panard. Non seulement sous l'action virulente du trentenaire belge mais aussi sous l'effet de l'atmosphère érotique surchauffée qui avait survolté sa libido. Quand Frank la retourna pour la prendre par derrière, elle se retrouva nez à nez avec Laure qui venait d'être pénétrée... par Christophe. Père et fille se regardèrent, conscients de l'incongruité de la situation. En voyant le visage de sa fille s'agiter de droite à gauche, secouant ses bouclettes, sa bouche en banane, son petit cul frénétique, en entendant ses exclamations de plaisir, Christophe comprit que l'adolescente était devenue une vraie femme. Pendant qu'il se régalait de la croupe somptueuse de Laure roulant sous ses yeux, Claire mélangeait son haleine à celle de la trentenaire liégeoise dont le regard devenait un peu vitreux quand elle ouvrait les paupières.
- Papa lui fait drôlement du bien, conclut Claire in petto.
Elle ne résista pas à la tentation de l'embrasser sur les lèvres, réflexe saphique peu dans ses habitudes mais elle n'était plus vraiment elle-même.

En tournant la tête, elle vit les deux Suisses en train de se masturber mutuellement tout en observant l'union des deux couples de circonstance. Si Claire avait pu voir Corinne placée dans son dos, elle l'aurait découverte en train de caresser les couilles de Frank et de lui mettre son pouce dans l'anus histoire de lui donner du coeur à l'ouvrage. Mais elle ne sentait que le souffle tiède du Belge sur sa nuque.
- T'arrête pas surtout, continue comme ça, réussit-elle à lui dire entre deux halètements.
Mais il était du genre endurant et pour prolonger ce coït rare, il s'allongea et invita Claire à le chevaucher. Son vagin était devenu tellement souple, tellement aqueux, qu'elle s'enfonça d'un trait jusqu'à la garde. L'autre se régalait de ce corps parfait aux pointes de seins bien érigées, au ventre plat tandis que les mains de Claire fourrageaient les poils de la poitrine du Belge dont elle appréciait de plus en plus le style animal, si éloigné de ses premières expériences sexuelles.

C'est dans cette position qu'elle découvrit un nouveau couple : celui de sa mère avec le grand Suisse. A côté sur le lit, ils avaient adopté une curieuse position face à face, assis en tailleur, complètement emboités. Que sa mère fasse l'amour avec un autre homme devant son père, devenu observateur attentif, ne la surprit plus. Elle avait déjà vu des scènes semblables. Qu'elle entende Christophe demander à Corinne ses impressions, l'encourager, lui dire même son amour, l'étonnait davantage mais sans nuire pour autant à son propre plaisir sur le barreau de chair planté en elle. Et c'est ainsi que mère et fille baisèrent côte à côte, lancées l'une et l'autre vers un orgasme puissant, la tête parfois rejetée en arrière, leurs cheveux dans le dos, la croupe exaltée, le verbe haut dans un timbre de voix similaire. Pour les deux mâles, c'était irrésistible et ils éjaculèrent simultanément en grognant tandis que les deux femelles ressentaient le même frisson, gémissant d'extase et basculant sur le côté, bouche contre bouche et regard illuminé. Christophe expulsa également sa semence dans sa main ou ce qu'il en restait après avoir été essoré par Laure.
Puis le silence se fit dans la chambre, seulement rompu par des soupirs d'extase. A part les locataires de la chambre, chacun se rhabilla sans commentaire, l'esprit encore embrumé de sexe. Christophe et Corinne regagnèrent leurs pénates, prirent une douche et se couchèrent après avoir embrassé Claire, qui retrouva son lit dans la pièce voisine. Mais si ses parents s'endormirent rapidement, elle fut longue à trouver le sommeil. Elle prenait maintenant conscience qu'elle avait participé à une vraie partouze en compagnie de ses parents, ce qui était loin d'être banal. Ce serait désormais son secret. Mais ce qui l'interpellait encore plus, c'est qu'elle avait connu l'orgasme avec un homme aux antipodes de ses canons de beauté masculine. "Au fond, c'est ça, baiser, se dit-elle, c'est le corps qui prend le pas sur la tête".
Elle se demanda comment le reste du séjour allait se passer. Quelle serait son attitude avec Frank ? Voudrait-il encore la faire jouir ? Sa femme serait-elle d'accord ? Et surtout, elle, Claire, en aurait-elle envie ? C'est sur ces questions sans réponses qu'elle finit par s'endormir. Demain serait un autre jour...

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