Mission professionnelle et tentation de l'adultère
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Mission professionnelle et tentation de l'adultère
Quand Florence apprit qu'elle était à nouveau sélectionnée pour la mission itinérante de son entreprise, au titre d'agent administratif, elle éprouva un sentiment mitigé. Certes, c'était gratifiant d'être ainsi distinguée, y compris sur le plan financier car la prime n'était pas négligeable. Mais à 41 ans, épouse et mère de deux adolescents, cette échappée du foyer pendant deux semaines représentait un sacrifice familial indéniable. Mais il y avait aussi l'expérience de la précédente mission du même genre un an plus tôt durant la même période pré estivale. Entourée d'hommes de tous âges, elle avait été l'objet d'attentions plus que soutenues et n'avait dû qu'à la peur de l'adultère de ne pas céder à l'appel pressant de son bas-ventre. En particulier à l'intention d'un bel homme de son âge, barbu et musclé, en rut manifeste, qui lui avait multiplié ses hommages sous des formes diverses à seules fins de la mettre dans son lit. Et qui avait accepté son échec avec fair-play. Elle en avait tiré un mélange de fierté et de regret, ce sentiment-là étant cependant un peu plus fort que l'autre, et cela à cause de Colette, sa collègue, seule femme avec elle de la mission.
De dix ans plus âgée qu'elle, cultivant un look bcbg, toujours élégante, soignant un brushing impeccable, elle avait cédé sans trop résister à un godelureau qui aurait pu être son fils, et ceci en dépit d'un mariage dont elle ne cessait de souligner le confort. Florence faisait chambre commune avec Colette à l'hôtel et avait dû un soir aller au cinéma afin de permettre à sa collègue un moment d'intimité. Mais en rentrant après le film, Florence avait découvert sur l'un des deux lits jumeaux le couple encore en pleine action, près du bouquet final. Jambes et bras tendus entre les cuisses dodues de Colette, le gaillard lui assénait des coups de bite d'une telle virulence que Colette bramait de plaisir à chaque contact, les chevilles croisées sur le dos de son amant, le brushing dévasté, jusqu'à ce qu'il lui éjacule un véritable jet de baleine en pleine figure, ce dont elle se barbouilla avec volupté.
Cette image irréelle hanta longtemps l'esprit de Florence et ce ne sont pas les franches explications de Colette le lendemain qui chassèrent son trouble profond.
- Ne me juge pas. A mon âge, quand on a l'occasion de s'envoyer en l'air avec un gars jeune et bien membré, on serait bien bête de refuser. Et mon mari n'en saura jamais rien, à moins que tu ne vendes la mèche.
- Non, non, ne t'inquiète pas, ça restera entre nous.
Une complicité nouvelle était née entre les deux collègues et un accord avait été trouvé pour que Florence soit absente de la chambre quand Colette retrouverait son amant. Celle-ci espérait d'ailleurs que sa collègue cèderait elle aussi au démon du sexe, histoire de se sentir moins seule :- Ce gars qui mate tous les jours ton décolleté que, par parenthèse, tu laisses bien ouvert, qu'est-ce que tu attends pour le mettre entre tes cuisses ?
La quadragénaire avait rosi sous son casque de cheveux châtains. Il était de fait que sa robe à boutons dévoilait de plus en plus son profond sillon mammaire, l'orgueil de son mari mais aussi le sien. Florence portait souvent de genre de robe dont l'amplitude ne soulignait pas trop ses formes généreuses, sauf quand elle défaisait un ou deux boutons de plus. Colette, qui l'avait vu nue dans les allées et venues entre la chambre et la salle de bain, lui avait avoué qu'elle enviait ses seins lourds et bien accrochés, "tout pour plaire aux hommes mais tu ne les montres pas assez", lui avait-elle dit. Et Florence avait fini par en tenir compte, ce qui lui avait valu aussitôt des rencontres de plus en plus fréquentes avec les éléments mâles de la mission. Sans qu'elle n'en ait jamais tiré parti.
******Un an plus tard, Florence retrouva Colette dans un lieu différent mais dans le même contexte d'entreprise. La différence était qu'une autre femme était venue se greffer sur leur duo, une grande duduche prénommée Sandrine, blonde et divorcée, qui bénéficiait quant à elle d'une chambre seule. Elle ne fit pas mystère aux deux autres qu'elle comptait mettre à profit sa liberté de femme non mariée, et la présence mâle copieuse, pour "baiser le plus souvent possible". Ce qui incita Colette à marquer d'emblée son territoire avec le jeune homme qui avait été son amant un an plus tôt, et toujours présent. Mais elle tint à Florence un discours inattendu que l'intéressée accueillit d'abord avec réticence :- Pas question qu'on recommence le cinéma de l'an dernier. Tu ne vas pas t'obliger à passer les soirées dehors pendant que je fais l'amour. Ou tu restes et tu participes, je ne suis pas jalouse et il y en a pour deux. Ou tu te décides enfin à te laisser emballer par ton barbu, qui est toujours là et qui continue à te tourner autour. Et on se retrouve tous les quatre dans la chambre.
Florence fut secouée par cette mise en demeure. A moins d'échanger son lit avec Sandrine, qui ne l'accepterait sûrement pas, il n'y avait pas moyen de s'échapper. Mais au fond d'elle-même, la cour assidue de Jérôme, le barbu musclé, commençait à l'émouvoir. Elle répondait par des chatteries à ses tentatives de drague et laissait bailler sa robe quand il venait la voir à son bureau. Elle avait même défait les boutons du bas afin qu'il puisse subrepticement mater ses cuisses lorsqu'elle faisait tourner sa chaise. Après un mouvement un peu brusque de la secrétaire, il put apercevoir fugitivement son slip. Il sut qu'il allait la baiser, enfin, cette femelle aux appâts si juteux. Et ne plus se contenter de mater les deux gros roberts calés dans le soutien-gorge pigeonnant dont les bonnets étaient complaisamment exposés.
Pour elle, la question était la suivante : devait-elle céder tout de suite ou un peu plus tard , ou pas du tout ? Céder à son bas-ventre, de plus en plus humide, ou donner encore la primeur à son esprit d'épouse ? Elle balançait encore quand, après avoir une nouvelle fois tué le temps au cinéma, elle regagna sa chambre en espérant qu'elle serait vide. Peine perdue. Non seulement Colette était présente avec son jeune amant mais ils en étaient encore au stade des préliminaires, nus, assis face à face, se bécotant et se masturbant mutuellement.
- Ah te voilà, déclara Colette. Fous-toi à poil et viens nous rejoindre.
Comme Florence manifestait l'intention de se retirer, Colette insista :- Ne fais pas l'idiote. Tu n'es pas obligée de baiser si tu n'en as pas envie. Mais reste, regarde-nous.
Florence céda. La curiosité l'emporta sur sa morale. Le couple semblait l'avoir attendue pour passer à l'action car le jeune homme, dûment capoté, pénétra aussitôt Colette avec une ardeur qui subjugua la voyeuse obligatoire, toujours debout au bord du lit. Le petit cul de mâle dansait, virevoltait, fouillait inlassablement la quinquagénaire qui lui signifiait verbalement son enthousiasme tout en lui talonnant les reins. Quand il la prit par derrière, les deux femmes se regardèrent et le plaisir intense que Florence découvrit sur le visage de sa collègue fut comme une décharge électrique dans son bas-ventre. Colette s'en aperçut et lui dit entre deux râles :- Enlève-moi cette fichue robe et mets lui la main aux couilles.
Dans un état second, Florence s'exécuta, défit un à un ses boutons mais conserva son slip et son soutien-gorge, derniers remparts contre sa plongée dans le stupre. Elle s'assit néanmoins derrière le couple fornicateur et laissa sa main empaumer les couilles ballottantes du jeune homme. Ce contact fut si électrisant que son autre main entra dans son slip. Le contact de sa vulve trempée l'édifia. Elle était bel et bien dans le besoin de bite. Et quand le jeune homme se retourna, lui mettant sous les yeux son organe plantureux, comme dans un réflexe, elle l'emboucha avec d'autant plus de volupté qu'il avait retiré son préservatif pour mieux goûter sa bouche. Tout en se faisant sucer, il fit sauter la fermeture de son soutif et libéra les deux obus qu'il palpa avec ferveur. Ce fut pour Florence le déclic. On ne touchait pas ses seins sans conséquence.
- Elle est mûre, baise-la, souffla Colette, assise en tailleur sur le lit, et qui tendit au jeune homme un autre préservatif fraichement sorti de son étui.
Florence se laissa allonger et le reçut entre ses cuisses comme une délivrance. Emballé par les deux gros nichons étalés dont les mouvements de houle épousaient ses coups de boutoir, le gaillard la creusa pendant de longues minutes, stimulé s'il en était besoin par les mains de Colette qui poussait ses fesses au même rythme, comme pour l'enfoncer encore plus profondément dans Florence :- Vas-y à fond, elle en a besoin, soufflait-elle.
Florence en perdit littéralement la boule, incapable de maitriser les mouvements spasmodiques de son bassin et l'agitation de ses pieds, tantôt dirigés vers le plafond, tantôt calés sur le dos de son amant. Elle ne retrouva son inertie qu'après un orgasme fulgurant qui la laissa bouleversée, échevelée et cramoisie tandis que le jeune homme se retirait pour enfiler sans débander Colette, lui debout au bord du lit, elle les pieds sur ses épaules. C'est elle qui eut droit; après de furieux coups de bite, à son éjaculation massive, laquelle arrosa en partie Florence positionnée juste à côté, encore assommée par la scène dont elle venait d'être actrice sans y avoir été vraiment préparée. Ainsi donc, c'était fait : elle était passée "de l'autre côté".
*****C'est quand son mari lui passa son coup de téléphone habituel, le lendemain, qu'elle prit conscience de son adultère. Mentir n'était pas son habitude mais la préservation de son couple nécessitait de passer sous silence cette prise de pouvoir de son bas-ventre. Or, il était devenu totalitaire. Quand le barbu Jérôme l'aborda une nouvelle fois et lui proposa de l'inviter à dîner, elle fut incapable de refuser. Mais elle l'assortit d'une condition : que Colette soit présente "avec son ami". Un diner à quatre serait, dans son esprit, moins compromettant, au cas où un esprit malveillant surprendrait cette réunion. Cependant, le dîner marqua une tension érotique croissante. Colette et son jeune amant ne faisaient pas mystère de leurs ébats, du plaisir qu'ils y trouvaient et de l'accouplement qui suivrait le repas. Ils se caressaient sous la table et les gloussements de Colette finirent par porter sur le système de Florence. Quand le pied déchaussé de Jérôme toucha le sien, insistant, pressant, elle ne le repoussa pas. Et quand il remonta le long de son mollet, une réaction instinctive lui fit écarter les cuisses, ce qu'il perçut nettement. Les pointes de ses seins étaient devenues dures et elle redressa le torse, généreusement découvert par un déboutonnage accentué au cours du dîner. L'oeil coquin de Jérôme ne perdait pas une miette de son appétit sexuel croissant. Colette était tout aussi avertie et quand elle déclara, une fois l'addition réglée, "allez, tous au lit maintenant", Florence n'émit aucune objection. Elle avait trop envie de baiser pour résister. Et baiser était bien le mot.
Assise aux côtés de Jérôme au volant de la voiture commune, elle le laissa prendre sa main pour la poser sur sa braguette. Il était déjà dur. Derrière, le couple roucoulait, quasiment en préliminaires, et un coup d'oeil de Florence l'avertit que Colette masturbait déjà son jeune amant.
L'arrivée dans la chambre fut marquée par une volée de vêtements, dispersés dans toute la pièce. Florence se retrouva toute nue en un clin d'oeil, jusqu'aux pieds que Jérôme prit à pleines mains pour les écarter et plonger le museau dans sa vulve trempée. Sur le lit voisin, l'autre couple n'en était même pas resté aux préliminaires et aux claquements des peaux comme aux râles de Colette, Florence comprit qu'elle était déjà pénétrée. Entendre un couple faire l'amour à quelques centimètres pour la deuxième fois en deux jours, c'était déjà pour la quadragénaire un événement considérable. Mais pour l'heure, ce qui lui importait, c'était cette langue fouilleuse dans son vagin qui lui procurait de délicieuses sensations. La main crispée sur la nuque de son lécheur, elle s'abandonnait, relevant parfois la tête pour vérifier la véracité de ce cunnilingus extra conjugal. Elle connut un premier orgasme qui la mit en arc de cercle, pâmée de plaisir. Il se retira la figure barbouillée de son jus et coiffa un préservatif sans se presser, mesurant son pouvoir. Le spectacle de sa bite large, tendue, légèrement recourbée, sur fond de cris d'extase de Colette et de clapotis de sexes joints, déclenchèrent chez Florence un écartement des cuisses révélant à la fois sa souplesse et son désir.
- Tu en as envie, hein ? sourit Jérôme en se tapotant la queue.
- S'il te plait, viens, j'en peux plus.
- Tu veux vraiment que je te baise ?
- Oui, oui...
- Dis-le.
- Oui, baise-moi, je t'en supplie. Donne-la moi.
- Quoi ? Tu veux quoi ?
- Ta bite. Ta queue. Tout. Alleeeez !
Et Jérôme pénétra Florence debout, elle au bord du lit, jusqu'à la garde tant elle était fondante. Un cri de ventre sortit de sa bouche tandis que l'homme lui prenait les pieds pour les poser sur ses clavicules, la pliant en deux pour une pénétration d'une profondeur inouïe qui la mit au bord de la syncope. S'en apercevant, il s'interrompit brièvement le temps qu'elle reprenne ses esprits puis poursuivit son forage, plus lent mais tout aussi profond tandis qu'elle lui adressait un regard d'une reconnaissance infinie. Complètement décoiffée, le feu aux joues et le ventre en ébullition, elle s'efforça de bouger pour montrer son adhésion cependant qu'il labourait ses parois vaginales en se tordant les reins. Les yeux de Florence devinrent vitreux, elle émit un curieux gargouillis et il s'immobilisa pour la laisser savourer son orgasme.
Retiré, toujours en érection, il la laissa récupérer avant de la retourner et la prendre en levrette, à l'instar de l'autre couple sur le lit voisin. Florence put alors visualiser la pénétration de profil du jeune homme dans la croupe mouvante de Colette, cambrée, seins pendants. C'était exactement ce qu'elle vivait présentement et cette projection la fit à nouveau jubiler. Puis Colette s'effondra, exténuée de plaisir, et le jeune homme se retourna vers Florence, la queue devant sa bouche, décapotée et gobée illico. Florence se retrouva "prise par les deux bouts", situation inédite pour elle mais parfaitement conforme à ses besoins immédiats. Elle ne se formalisa même pas quand le jeune homme éjacula dans sa bouche un jet puissant qui la fit tousser mais qu'elle avala d'un trait. Et quand Jérôme monta d'un cran pour la sodomiser, elle accepta sans sourciller la douleur initiale avant d'accompagner de la croupe ses va et viens jusqu'à ce qu'il jouisse à son tour. Elle s'abandonna alors et rejoignit Colette dans une torpeur post coïtum, ne réalisant pas encore vraiment qu'elle s'était comportée comme une "grandiose salope", expression que lui asséna plus tard Colette sans s'attirer le démenti de l'intéressée...
********Les jours suivants, Florence fut prise d'une véritable frénésie érotique. Rien qu'à la voir marcher, seins dressés, croupe louvoyante, lèvres humides, oeil pétillant, tout en elle disait : "je baise". Son sexe était devenu d'une sensibilité extrême, inédite. Dès qu'elle se touchait, elle flambait. Elle ne pensait plus qu'à la bite de Jérôme, au moment où elle la retrouverait et s'en gaverait. Son appétit sexuel était tel que le jeune amant de Colette fut appelé parfois en renfort pour "épauler" Jérôme quand les ruades crieuses de Florence, ou sa bouche de plus en plus experte, l'avaient fait éjaculer prématurément. Colette ne s'en formalisa pas. De dix ans plus âgée que sa collègue, elle n'avait plus la même capacité à enchainer les orgasmes. Elle joua les assistantes, stimulant Florence par le verbe et son partenaire du moment par sa main. Florence était dans une telle disposition qu'un jour de canicule, elle omit de porter un slip et un soutien-gorge sous sa robe à boutons. Le mouvement de ses mamelles sous la toile légère mit le feu aux mâles de son entourage et Jérôme dut très vite marquer son territoire. La tirant par la main, et sans attendre le soir, il la fit entrer dans un bureau, ferma à clé, sortit son engin, troussa sa robe jusqu'au nombril et l'enfila sur la table recta, sans préliminaire, le nez dans ses roberts découverts. Florence connut un tel plaisir qu'elle en mordit l'épaule de son barbu jusqu'au sang, ce qui le fit crier de douleur. Il en porta longtemps les stigmates.
*****Malheureusement, le propre des missions est de s'interrompre et vint le jour où Florence et Colette durent se rendre à l'aéroport pour prendre l'avion du retour. Les adieux avec leurs chevaliers servants fut aussi douloureux que tumultueux. C'était comme si elles avaient voulu faire des provisions de sperme. Mais à l'arrivée, une fois leurs bagages récupérés, leurs époux respectifs les attendaient. Florence n'avait plus sa robe à bouton mais un ensemble jean chemisier beaucoup plus sage et Colette une robe stricte assortie à son brushing irréprochable. Qui aurait pu croire à ce moment que ces deux femmes mûres avaient vécu les jours précédents une véritable folie érotique ? Personne et surtout pas leurs conjoints, tout heureux de retrouver leur moitié. Rentrée chez elle, Florence retrouva ses habitudes de femme mariée et de mère, ses contraintes et ses plaisirs domestiques. Elle fit l'amour avec son mari après le coucher, non sans plaisir, mais dans un classicisme très éloigné de ses ébats de mission. Elle ne connut l'orgasme qu'en pensant à Jérôme, au jeune amant de Colette, à leurs échanges de bites si dures, si toniques, et sombra dans le sommeil après avoir joui. Mais le lendemain, sa vie routinière recommençait. Désormais, elle savait qu'une autre Florence était née. Et qu'un jour ou l'autre, elle réapparaitrait.
De dix ans plus âgée qu'elle, cultivant un look bcbg, toujours élégante, soignant un brushing impeccable, elle avait cédé sans trop résister à un godelureau qui aurait pu être son fils, et ceci en dépit d'un mariage dont elle ne cessait de souligner le confort. Florence faisait chambre commune avec Colette à l'hôtel et avait dû un soir aller au cinéma afin de permettre à sa collègue un moment d'intimité. Mais en rentrant après le film, Florence avait découvert sur l'un des deux lits jumeaux le couple encore en pleine action, près du bouquet final. Jambes et bras tendus entre les cuisses dodues de Colette, le gaillard lui assénait des coups de bite d'une telle virulence que Colette bramait de plaisir à chaque contact, les chevilles croisées sur le dos de son amant, le brushing dévasté, jusqu'à ce qu'il lui éjacule un véritable jet de baleine en pleine figure, ce dont elle se barbouilla avec volupté.
Cette image irréelle hanta longtemps l'esprit de Florence et ce ne sont pas les franches explications de Colette le lendemain qui chassèrent son trouble profond.
- Ne me juge pas. A mon âge, quand on a l'occasion de s'envoyer en l'air avec un gars jeune et bien membré, on serait bien bête de refuser. Et mon mari n'en saura jamais rien, à moins que tu ne vendes la mèche.
- Non, non, ne t'inquiète pas, ça restera entre nous.
Une complicité nouvelle était née entre les deux collègues et un accord avait été trouvé pour que Florence soit absente de la chambre quand Colette retrouverait son amant. Celle-ci espérait d'ailleurs que sa collègue cèderait elle aussi au démon du sexe, histoire de se sentir moins seule :- Ce gars qui mate tous les jours ton décolleté que, par parenthèse, tu laisses bien ouvert, qu'est-ce que tu attends pour le mettre entre tes cuisses ?
La quadragénaire avait rosi sous son casque de cheveux châtains. Il était de fait que sa robe à boutons dévoilait de plus en plus son profond sillon mammaire, l'orgueil de son mari mais aussi le sien. Florence portait souvent de genre de robe dont l'amplitude ne soulignait pas trop ses formes généreuses, sauf quand elle défaisait un ou deux boutons de plus. Colette, qui l'avait vu nue dans les allées et venues entre la chambre et la salle de bain, lui avait avoué qu'elle enviait ses seins lourds et bien accrochés, "tout pour plaire aux hommes mais tu ne les montres pas assez", lui avait-elle dit. Et Florence avait fini par en tenir compte, ce qui lui avait valu aussitôt des rencontres de plus en plus fréquentes avec les éléments mâles de la mission. Sans qu'elle n'en ait jamais tiré parti.
******Un an plus tard, Florence retrouva Colette dans un lieu différent mais dans le même contexte d'entreprise. La différence était qu'une autre femme était venue se greffer sur leur duo, une grande duduche prénommée Sandrine, blonde et divorcée, qui bénéficiait quant à elle d'une chambre seule. Elle ne fit pas mystère aux deux autres qu'elle comptait mettre à profit sa liberté de femme non mariée, et la présence mâle copieuse, pour "baiser le plus souvent possible". Ce qui incita Colette à marquer d'emblée son territoire avec le jeune homme qui avait été son amant un an plus tôt, et toujours présent. Mais elle tint à Florence un discours inattendu que l'intéressée accueillit d'abord avec réticence :- Pas question qu'on recommence le cinéma de l'an dernier. Tu ne vas pas t'obliger à passer les soirées dehors pendant que je fais l'amour. Ou tu restes et tu participes, je ne suis pas jalouse et il y en a pour deux. Ou tu te décides enfin à te laisser emballer par ton barbu, qui est toujours là et qui continue à te tourner autour. Et on se retrouve tous les quatre dans la chambre.
Florence fut secouée par cette mise en demeure. A moins d'échanger son lit avec Sandrine, qui ne l'accepterait sûrement pas, il n'y avait pas moyen de s'échapper. Mais au fond d'elle-même, la cour assidue de Jérôme, le barbu musclé, commençait à l'émouvoir. Elle répondait par des chatteries à ses tentatives de drague et laissait bailler sa robe quand il venait la voir à son bureau. Elle avait même défait les boutons du bas afin qu'il puisse subrepticement mater ses cuisses lorsqu'elle faisait tourner sa chaise. Après un mouvement un peu brusque de la secrétaire, il put apercevoir fugitivement son slip. Il sut qu'il allait la baiser, enfin, cette femelle aux appâts si juteux. Et ne plus se contenter de mater les deux gros roberts calés dans le soutien-gorge pigeonnant dont les bonnets étaient complaisamment exposés.
Pour elle, la question était la suivante : devait-elle céder tout de suite ou un peu plus tard , ou pas du tout ? Céder à son bas-ventre, de plus en plus humide, ou donner encore la primeur à son esprit d'épouse ? Elle balançait encore quand, après avoir une nouvelle fois tué le temps au cinéma, elle regagna sa chambre en espérant qu'elle serait vide. Peine perdue. Non seulement Colette était présente avec son jeune amant mais ils en étaient encore au stade des préliminaires, nus, assis face à face, se bécotant et se masturbant mutuellement.
- Ah te voilà, déclara Colette. Fous-toi à poil et viens nous rejoindre.
Comme Florence manifestait l'intention de se retirer, Colette insista :- Ne fais pas l'idiote. Tu n'es pas obligée de baiser si tu n'en as pas envie. Mais reste, regarde-nous.
Florence céda. La curiosité l'emporta sur sa morale. Le couple semblait l'avoir attendue pour passer à l'action car le jeune homme, dûment capoté, pénétra aussitôt Colette avec une ardeur qui subjugua la voyeuse obligatoire, toujours debout au bord du lit. Le petit cul de mâle dansait, virevoltait, fouillait inlassablement la quinquagénaire qui lui signifiait verbalement son enthousiasme tout en lui talonnant les reins. Quand il la prit par derrière, les deux femmes se regardèrent et le plaisir intense que Florence découvrit sur le visage de sa collègue fut comme une décharge électrique dans son bas-ventre. Colette s'en aperçut et lui dit entre deux râles :- Enlève-moi cette fichue robe et mets lui la main aux couilles.
Dans un état second, Florence s'exécuta, défit un à un ses boutons mais conserva son slip et son soutien-gorge, derniers remparts contre sa plongée dans le stupre. Elle s'assit néanmoins derrière le couple fornicateur et laissa sa main empaumer les couilles ballottantes du jeune homme. Ce contact fut si électrisant que son autre main entra dans son slip. Le contact de sa vulve trempée l'édifia. Elle était bel et bien dans le besoin de bite. Et quand le jeune homme se retourna, lui mettant sous les yeux son organe plantureux, comme dans un réflexe, elle l'emboucha avec d'autant plus de volupté qu'il avait retiré son préservatif pour mieux goûter sa bouche. Tout en se faisant sucer, il fit sauter la fermeture de son soutif et libéra les deux obus qu'il palpa avec ferveur. Ce fut pour Florence le déclic. On ne touchait pas ses seins sans conséquence.
- Elle est mûre, baise-la, souffla Colette, assise en tailleur sur le lit, et qui tendit au jeune homme un autre préservatif fraichement sorti de son étui.
Florence se laissa allonger et le reçut entre ses cuisses comme une délivrance. Emballé par les deux gros nichons étalés dont les mouvements de houle épousaient ses coups de boutoir, le gaillard la creusa pendant de longues minutes, stimulé s'il en était besoin par les mains de Colette qui poussait ses fesses au même rythme, comme pour l'enfoncer encore plus profondément dans Florence :- Vas-y à fond, elle en a besoin, soufflait-elle.
Florence en perdit littéralement la boule, incapable de maitriser les mouvements spasmodiques de son bassin et l'agitation de ses pieds, tantôt dirigés vers le plafond, tantôt calés sur le dos de son amant. Elle ne retrouva son inertie qu'après un orgasme fulgurant qui la laissa bouleversée, échevelée et cramoisie tandis que le jeune homme se retirait pour enfiler sans débander Colette, lui debout au bord du lit, elle les pieds sur ses épaules. C'est elle qui eut droit; après de furieux coups de bite, à son éjaculation massive, laquelle arrosa en partie Florence positionnée juste à côté, encore assommée par la scène dont elle venait d'être actrice sans y avoir été vraiment préparée. Ainsi donc, c'était fait : elle était passée "de l'autre côté".
*****C'est quand son mari lui passa son coup de téléphone habituel, le lendemain, qu'elle prit conscience de son adultère. Mentir n'était pas son habitude mais la préservation de son couple nécessitait de passer sous silence cette prise de pouvoir de son bas-ventre. Or, il était devenu totalitaire. Quand le barbu Jérôme l'aborda une nouvelle fois et lui proposa de l'inviter à dîner, elle fut incapable de refuser. Mais elle l'assortit d'une condition : que Colette soit présente "avec son ami". Un diner à quatre serait, dans son esprit, moins compromettant, au cas où un esprit malveillant surprendrait cette réunion. Cependant, le dîner marqua une tension érotique croissante. Colette et son jeune amant ne faisaient pas mystère de leurs ébats, du plaisir qu'ils y trouvaient et de l'accouplement qui suivrait le repas. Ils se caressaient sous la table et les gloussements de Colette finirent par porter sur le système de Florence. Quand le pied déchaussé de Jérôme toucha le sien, insistant, pressant, elle ne le repoussa pas. Et quand il remonta le long de son mollet, une réaction instinctive lui fit écarter les cuisses, ce qu'il perçut nettement. Les pointes de ses seins étaient devenues dures et elle redressa le torse, généreusement découvert par un déboutonnage accentué au cours du dîner. L'oeil coquin de Jérôme ne perdait pas une miette de son appétit sexuel croissant. Colette était tout aussi avertie et quand elle déclara, une fois l'addition réglée, "allez, tous au lit maintenant", Florence n'émit aucune objection. Elle avait trop envie de baiser pour résister. Et baiser était bien le mot.
Assise aux côtés de Jérôme au volant de la voiture commune, elle le laissa prendre sa main pour la poser sur sa braguette. Il était déjà dur. Derrière, le couple roucoulait, quasiment en préliminaires, et un coup d'oeil de Florence l'avertit que Colette masturbait déjà son jeune amant.
L'arrivée dans la chambre fut marquée par une volée de vêtements, dispersés dans toute la pièce. Florence se retrouva toute nue en un clin d'oeil, jusqu'aux pieds que Jérôme prit à pleines mains pour les écarter et plonger le museau dans sa vulve trempée. Sur le lit voisin, l'autre couple n'en était même pas resté aux préliminaires et aux claquements des peaux comme aux râles de Colette, Florence comprit qu'elle était déjà pénétrée. Entendre un couple faire l'amour à quelques centimètres pour la deuxième fois en deux jours, c'était déjà pour la quadragénaire un événement considérable. Mais pour l'heure, ce qui lui importait, c'était cette langue fouilleuse dans son vagin qui lui procurait de délicieuses sensations. La main crispée sur la nuque de son lécheur, elle s'abandonnait, relevant parfois la tête pour vérifier la véracité de ce cunnilingus extra conjugal. Elle connut un premier orgasme qui la mit en arc de cercle, pâmée de plaisir. Il se retira la figure barbouillée de son jus et coiffa un préservatif sans se presser, mesurant son pouvoir. Le spectacle de sa bite large, tendue, légèrement recourbée, sur fond de cris d'extase de Colette et de clapotis de sexes joints, déclenchèrent chez Florence un écartement des cuisses révélant à la fois sa souplesse et son désir.
- Tu en as envie, hein ? sourit Jérôme en se tapotant la queue.
- S'il te plait, viens, j'en peux plus.
- Tu veux vraiment que je te baise ?
- Oui, oui...
- Dis-le.
- Oui, baise-moi, je t'en supplie. Donne-la moi.
- Quoi ? Tu veux quoi ?
- Ta bite. Ta queue. Tout. Alleeeez !
Et Jérôme pénétra Florence debout, elle au bord du lit, jusqu'à la garde tant elle était fondante. Un cri de ventre sortit de sa bouche tandis que l'homme lui prenait les pieds pour les poser sur ses clavicules, la pliant en deux pour une pénétration d'une profondeur inouïe qui la mit au bord de la syncope. S'en apercevant, il s'interrompit brièvement le temps qu'elle reprenne ses esprits puis poursuivit son forage, plus lent mais tout aussi profond tandis qu'elle lui adressait un regard d'une reconnaissance infinie. Complètement décoiffée, le feu aux joues et le ventre en ébullition, elle s'efforça de bouger pour montrer son adhésion cependant qu'il labourait ses parois vaginales en se tordant les reins. Les yeux de Florence devinrent vitreux, elle émit un curieux gargouillis et il s'immobilisa pour la laisser savourer son orgasme.
Retiré, toujours en érection, il la laissa récupérer avant de la retourner et la prendre en levrette, à l'instar de l'autre couple sur le lit voisin. Florence put alors visualiser la pénétration de profil du jeune homme dans la croupe mouvante de Colette, cambrée, seins pendants. C'était exactement ce qu'elle vivait présentement et cette projection la fit à nouveau jubiler. Puis Colette s'effondra, exténuée de plaisir, et le jeune homme se retourna vers Florence, la queue devant sa bouche, décapotée et gobée illico. Florence se retrouva "prise par les deux bouts", situation inédite pour elle mais parfaitement conforme à ses besoins immédiats. Elle ne se formalisa même pas quand le jeune homme éjacula dans sa bouche un jet puissant qui la fit tousser mais qu'elle avala d'un trait. Et quand Jérôme monta d'un cran pour la sodomiser, elle accepta sans sourciller la douleur initiale avant d'accompagner de la croupe ses va et viens jusqu'à ce qu'il jouisse à son tour. Elle s'abandonna alors et rejoignit Colette dans une torpeur post coïtum, ne réalisant pas encore vraiment qu'elle s'était comportée comme une "grandiose salope", expression que lui asséna plus tard Colette sans s'attirer le démenti de l'intéressée...
********Les jours suivants, Florence fut prise d'une véritable frénésie érotique. Rien qu'à la voir marcher, seins dressés, croupe louvoyante, lèvres humides, oeil pétillant, tout en elle disait : "je baise". Son sexe était devenu d'une sensibilité extrême, inédite. Dès qu'elle se touchait, elle flambait. Elle ne pensait plus qu'à la bite de Jérôme, au moment où elle la retrouverait et s'en gaverait. Son appétit sexuel était tel que le jeune amant de Colette fut appelé parfois en renfort pour "épauler" Jérôme quand les ruades crieuses de Florence, ou sa bouche de plus en plus experte, l'avaient fait éjaculer prématurément. Colette ne s'en formalisa pas. De dix ans plus âgée que sa collègue, elle n'avait plus la même capacité à enchainer les orgasmes. Elle joua les assistantes, stimulant Florence par le verbe et son partenaire du moment par sa main. Florence était dans une telle disposition qu'un jour de canicule, elle omit de porter un slip et un soutien-gorge sous sa robe à boutons. Le mouvement de ses mamelles sous la toile légère mit le feu aux mâles de son entourage et Jérôme dut très vite marquer son territoire. La tirant par la main, et sans attendre le soir, il la fit entrer dans un bureau, ferma à clé, sortit son engin, troussa sa robe jusqu'au nombril et l'enfila sur la table recta, sans préliminaire, le nez dans ses roberts découverts. Florence connut un tel plaisir qu'elle en mordit l'épaule de son barbu jusqu'au sang, ce qui le fit crier de douleur. Il en porta longtemps les stigmates.
*****Malheureusement, le propre des missions est de s'interrompre et vint le jour où Florence et Colette durent se rendre à l'aéroport pour prendre l'avion du retour. Les adieux avec leurs chevaliers servants fut aussi douloureux que tumultueux. C'était comme si elles avaient voulu faire des provisions de sperme. Mais à l'arrivée, une fois leurs bagages récupérés, leurs époux respectifs les attendaient. Florence n'avait plus sa robe à bouton mais un ensemble jean chemisier beaucoup plus sage et Colette une robe stricte assortie à son brushing irréprochable. Qui aurait pu croire à ce moment que ces deux femmes mûres avaient vécu les jours précédents une véritable folie érotique ? Personne et surtout pas leurs conjoints, tout heureux de retrouver leur moitié. Rentrée chez elle, Florence retrouva ses habitudes de femme mariée et de mère, ses contraintes et ses plaisirs domestiques. Elle fit l'amour avec son mari après le coucher, non sans plaisir, mais dans un classicisme très éloigné de ses ébats de mission. Elle ne connut l'orgasme qu'en pensant à Jérôme, au jeune amant de Colette, à leurs échanges de bites si dures, si toniques, et sombra dans le sommeil après avoir joui. Mais le lendemain, sa vie routinière recommençait. Désormais, elle savait qu'une autre Florence était née. Et qu'un jour ou l'autre, elle réapparaitrait.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire vulgaire mais on ne peut que s attendre à ça avec ce genre d auteur.une seule chambre pour deux collègues cette société est au bord de la faillite ou quoi ou cette histoire ne tiens pas la route tout est basé sur cette absurdité.
Et bien mon cher Micky,dans l'ensemble de vos écrits, vous aimez les putes & vous savez leur rendre hommage!
arnojan
arnojan