Mon Beauf, cet hétéro canon (10)

Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Mon Beauf, cet hétéro canon (10)
Chapitre 10
Bastien me tendit une bière que je pris volontiers car j’avais très soif et j’étais surtout très anxieux. Nous étions un peu éloignés des autres durant la soirée et les quatre mecs continuaient à boire et rigoler. Quand je sentis à nouveau la main d’Aloïs venir dans ma poche et s’insérer près de mon trou. Je ne reconnus pas la main d’Aloïs et tournai la tête immédiatement. Je vis le sourire de Pierre qui enleva aussitôt sa main et dit assez fort.
-Mec, t’avais raison, en regardant Aloïs.
-Eh bien, si tu veux tester, c’est quand tu veux.
-Je ne dis pas non mais je ne sais pas si j’y arriverai avec un mec.
-T’inquiètes pas pour ça, quand tu auras vu son cul, tu ne penseras plus du tout au fait que ce soit un mec. Et tes potes ne voudraient pas tester eux aussi ?
-J’essaierai de voir avec eux mais je ne pense pas. Au pire, ils materont mais je ne pense pas qu’ils voudront coucher avec un mec.
-Je me disais la même chose aussi mais crois-moi, cette petite salope m’a bien allumée et depuis j’y ai prit goût et pour rien au monde je ne regrette. Si tu veux, fais style que tu vas aux toilettes du camping et je t’envoie Baptiste pour qu’il s’occupe de ta queue. Pendant ce temps je resterais avec tes potes pour les occuper.
-Faut voir. Et il en dit quoi ton pote ?
-Il n’a rien à dire. Il m’obéit au doigt et à l’œil.
-Ok. Bon tu me l’envoie dans deux minutes alors que je ne poirote pas comme un con tout seul dans les chiottes.
Pierre parti le premier et Aloïs me prit le bras et me dit à l’oreille :
-Si tu t’occupes bien de lui et qu’il a envie de te baiser, c’est ok mais en ma présence. Donc tu as le droit de le pomper et qu’il te fasse une bonne faciale mais s’il veut t’enculer tu dis ok mais au mobil home devant moi s’est compris ?
-Oui Aloïs.
-Bien, tu peux y aller et régales toi bien.
Je suis donc arrivé devant les toilettes du camping et Pierre m’attendait devant avec un air un peu dégouté. Je le regarde et lui dit :
-Qu’est-ce qui se passe ?
-C’est l’horreur là-dedans et ça pue grave.
-Et donc, tu veux faire ça dehors ?
-Non, je me disais que tu pouvais venir dans ma tente ? Comme ça on sera au calme.
-T’as une tente juste pour toi ?
-Non, c’est une grande tente que je partage avec les mecs mais ils ne vont pas nous déranger.
-Sûr ?
-Oui, allé, suis-moi, on n’est pas loin.
Nous avons traversé deux allées pour arriver vers sa tente. Il l’ouvrit et me fit rentrer. Il vint s’allonger sur un des matelas qui se trouvait au sol et me fixa en me disant.
-Tu veux faire comment.
-Si tu veux, baisses ton short ou enlève-le et je te pompe.
-Ah ouai, direct.
-Tu veux peut-être que je le fasse pour toi ?
-Et pourquoi pas, fais toi plaisir.
Il se redressa un peu sur les coudes pendant que je baissais son short. Une fois enlevé, j’approchai ma bouche contre son boxer que je commençai a lécher tout en le fixant droit dans les yeux. Puis je fis descendre tout doucement celui-ci pour découvrir une bite à demi bandée très bien entretenu et plutôt épaisse. Je mis un coup de langue sur ses couilles et vint ensuite prendre sa bite en bouche que je suçais doucement en l’aspirant. Sa bite commença à durcir d’un coup et je me retrouvai avec une queue majestueuse.
-Impressionné ? Elle te plaît ?
-Elle est énorme, j’adore.
-23cm x 6 rien que pour toi.
-Putain la vache.
Puis je me remis à le sucer de plus belle et de plus en plus vite. Il me regardait lui aussi en ouvrant légèrement la bouche mais sans rien dire. Il avait un regard qui en disait long. Il ne gémissait pas mais je voyais qu’il aimait ça. Je repris sa bite bien à fond et c’est à ce moment-là qu’il appuya ma tête pour que je prenne sa queue le plus loin possible.
-Putain, ouai comme ça. Je suis sûr que tu peux la prendre toute entière. Il ne reste plus grand-chose et jamais aucune meuf n’y est arrivée. Je crève d’envie de te la mettre en fond de gorge.
Il me retourna en m’allongeant sur le dos et vint positionner sa queue directement dans ma bouche. Il se mit littéralement à faire des pompes dans ma gorge et d’un coup me la planta bien profondément. J’en avais les larmes qui coulaient des yeux et de la salive qui coulait le long de mes joues.
-Ouai comme ça. Je savais que tu y arriverais. Putain, t’es vraiment une bonne suceuse. Ta bouche est délicieuse et je vais te la remplir.
Je fis non de la tête car je ne pouvais pas bouger mais j’essayais avec mes mains de le repousser pour lui dire non mais il me baisait littéralement comme un fou et était beaucoup plus fort que moi. Pendant plus d’un quart d’heure, il se défoulait en me baisant la bouche et en me la mettant le plus profond possible. Il continua ce traitement encore quelques minutes quand il la planta encore en fond de gorge et se mit à juter des litres de sperme bien chaud et crémeux. Il y en avait tellement que je ne pouvais pas faire autrement que de tout avaler. Je le sentais trembler tellement sa jouissance était intense puis il se retira et s’allongea en soupirant.
-Putain, tu pompes comme un chef.
-Merde, Aloïs ne voulait pas que j’avale. Je vais me faire démonter quand il va le savoir.
-T’inquiètes pas, je suis clean.
-C’est pas le problème.
-T’es pas obligé de lui dire.
-Je sais mais toi non plus tu ne dois pas le lui dire. Jamais ok ?
-Promis, je ne dirai rien. Mais pour que je ne lui dise rien, je veux voir à quoi ressemble ton cul.
-Si je te montre mon cul, tu me promets de ne rien dire ?
-Croix de bois, croix de fer, si je mens, j’irai en enfer.
Je me relevai en défis mon jean en me retournant pour qu’il matte mon cul.
-Ah ouai quand même. T’as vraiment un boule d’enfer.
Sans que je ne m’y attende, il agrippa mon cul avec ses deux mains et commença à passer son doigt le long de ma raie. Je me déplaçai un peu et remis mon jean et lui dit :
-Si tu veux tester, par contre, il faudra le faire devant Aloïs.
-Tu déconnes ?
-Oh non. A toi de voir si tu veux me baiser. Et crois-moi j’ai grave envie que tu me baises.
-Et au fait, tu as aimé mon jus ?
-J’ai adoré mais tu ne dois rien dire ok ?
-Oui, promis. Tu devrais quand même te laver un coup le visage avent de repartir car tu as de la salive et mon jus qui as coulé le long de ta joue. Tu devrais partir maintenant. Et dis à ton mec que je passerai vous voir tous les deux demain matin à 9h.
Au moment de sortir de la tente, Bastien et Nathan arrivait en titubant.
-Putain mac, tu foutais quoi dans notre tente, dis Nathan.
-Rien, euh j’ai juste raccompagné votre pote.
-T’as quoi sur la joue ?
-Rien, c’est rien, dis-je en m’essuyant rapidement.
-Tu parles à qui, dit Pierre en sortant de la tente tout en remettant son boxer où on pouvait encore deviner sa demie molle.
-Putain, les mecs, c’est quoi ce bordel ?
Je partis en courant, sans me retourner, jusqu’au mobile home où Aloïs m’attendait assis sur la terrasse.
-Alors, cette pipe ?
-Vraiment top. Il a une queue énorme et m’a dit de te dire qu’il passera demain matin à 9h pour tester mon cul je suppose.
-J’en étais sûr. Bon maintenant, vas te laver et attends moi à poil sur le lit j’arrive.
Je fis ce qu’il me demanda et l’attendit sur le lit. Il vint me rejoindre avec deux bières dont une qu’il me tendit.
-Santé. Je dois dire, que je suis très fier de toi. Tu m’obéis bien et franchement, si je n’avais pas eu ta sœur, je crois que je ferai de toi ma petite femme.
Je me mis à sourire puis pris une gorgée.
-Pour ce soir, je vais laisser ton beau petit cul tranquille ainsi que ta bouche car je pense que demain, tu vas surement bien te faire défoncer et pas que par lui. Tout en parlant, il se mit lui aussi à poil et vint s’asseoir sur le lit à côté de moi en me serrant dans ses bras. Nous finîmes notre bière puis il vint m’embrasser tendrement. Nous nous sommes allongés moi dans ses bras et sa queue qui durcit contre mon cul. Puis je la sentis qui se frayait un passage vers mon anus.
-Je croyais que tu voulais me laisser tranquille cette nuit ?
-Je sais mais dès que je suis contre toi, c’est plus fort que moi. Tu me fais de l’effet et j’ai toujours envie de toi. Si tu ne veux pas, on ne fait rien mais je n’y suis pour rien si tu me fais bander.
Je ne répondis pas mais pour seule réponse, je pris sa queue avec ma main et la dirigea sur mon petit trou. Je me cambrais pour que sa queue sincère plus facilement et je le sentis gémir dans mon cou puis il vint m’embrasser près de l’épaule. Il commença à faire des allers retours tendres en moi sans être une bête. Il m’enserra de ses bras musclés tout en me caressant le torse. Sa bouche vint près de mon oreille et il me susurra :
-Ce soir, je ne te baise pas, je te fais l’amour et je crois que dorénavant, je prendrais soin de toi et de ton petit cul. Tu es à moi et je ne veux pas t’abîmer.
-Et demain ?
-On verra ça demain mais là, profites ok ?
-Ok.
-Je ne te l’ai pas encore dit mais tu me plais. J’aime ta sœur mais toi tu me plais.
Il me retourna et me faisant écarter les jambes et vint s’installer entre mes cuisses pour être face à moi. Il me fit l’amour tout en m’embrassant. Cela a dut durer vingt minutes de pur bonheur quand il me remplit de son jus. Il me fit me remettre sur le côté tout en laissant sa queue en moi et il s’endormit directement. J’étais vraiment sur un petit nuage et je m’endormis à mon tour.
Fin du chapitre 10.
Bastien me tendit une bière que je pris volontiers car j’avais très soif et j’étais surtout très anxieux. Nous étions un peu éloignés des autres durant la soirée et les quatre mecs continuaient à boire et rigoler. Quand je sentis à nouveau la main d’Aloïs venir dans ma poche et s’insérer près de mon trou. Je ne reconnus pas la main d’Aloïs et tournai la tête immédiatement. Je vis le sourire de Pierre qui enleva aussitôt sa main et dit assez fort.
-Mec, t’avais raison, en regardant Aloïs.
-Eh bien, si tu veux tester, c’est quand tu veux.
-Je ne dis pas non mais je ne sais pas si j’y arriverai avec un mec.
-T’inquiètes pas pour ça, quand tu auras vu son cul, tu ne penseras plus du tout au fait que ce soit un mec. Et tes potes ne voudraient pas tester eux aussi ?
-J’essaierai de voir avec eux mais je ne pense pas. Au pire, ils materont mais je ne pense pas qu’ils voudront coucher avec un mec.
-Je me disais la même chose aussi mais crois-moi, cette petite salope m’a bien allumée et depuis j’y ai prit goût et pour rien au monde je ne regrette. Si tu veux, fais style que tu vas aux toilettes du camping et je t’envoie Baptiste pour qu’il s’occupe de ta queue. Pendant ce temps je resterais avec tes potes pour les occuper.
-Faut voir. Et il en dit quoi ton pote ?
-Il n’a rien à dire. Il m’obéit au doigt et à l’œil.
-Ok. Bon tu me l’envoie dans deux minutes alors que je ne poirote pas comme un con tout seul dans les chiottes.
Pierre parti le premier et Aloïs me prit le bras et me dit à l’oreille :
-Si tu t’occupes bien de lui et qu’il a envie de te baiser, c’est ok mais en ma présence. Donc tu as le droit de le pomper et qu’il te fasse une bonne faciale mais s’il veut t’enculer tu dis ok mais au mobil home devant moi s’est compris ?
-Oui Aloïs.
-Bien, tu peux y aller et régales toi bien.
Je suis donc arrivé devant les toilettes du camping et Pierre m’attendait devant avec un air un peu dégouté. Je le regarde et lui dit :
-Qu’est-ce qui se passe ?
-C’est l’horreur là-dedans et ça pue grave.
-Et donc, tu veux faire ça dehors ?
-Non, je me disais que tu pouvais venir dans ma tente ? Comme ça on sera au calme.
-T’as une tente juste pour toi ?
-Non, c’est une grande tente que je partage avec les mecs mais ils ne vont pas nous déranger.
-Sûr ?
-Oui, allé, suis-moi, on n’est pas loin.
Nous avons traversé deux allées pour arriver vers sa tente. Il l’ouvrit et me fit rentrer. Il vint s’allonger sur un des matelas qui se trouvait au sol et me fixa en me disant.
-Tu veux faire comment.
-Si tu veux, baisses ton short ou enlève-le et je te pompe.
-Ah ouai, direct.
-Tu veux peut-être que je le fasse pour toi ?
-Et pourquoi pas, fais toi plaisir.
Il se redressa un peu sur les coudes pendant que je baissais son short. Une fois enlevé, j’approchai ma bouche contre son boxer que je commençai a lécher tout en le fixant droit dans les yeux. Puis je fis descendre tout doucement celui-ci pour découvrir une bite à demi bandée très bien entretenu et plutôt épaisse. Je mis un coup de langue sur ses couilles et vint ensuite prendre sa bite en bouche que je suçais doucement en l’aspirant. Sa bite commença à durcir d’un coup et je me retrouvai avec une queue majestueuse.
-Impressionné ? Elle te plaît ?
-Elle est énorme, j’adore.
-23cm x 6 rien que pour toi.
-Putain la vache.
Puis je me remis à le sucer de plus belle et de plus en plus vite. Il me regardait lui aussi en ouvrant légèrement la bouche mais sans rien dire. Il avait un regard qui en disait long. Il ne gémissait pas mais je voyais qu’il aimait ça. Je repris sa bite bien à fond et c’est à ce moment-là qu’il appuya ma tête pour que je prenne sa queue le plus loin possible.
-Putain, ouai comme ça. Je suis sûr que tu peux la prendre toute entière. Il ne reste plus grand-chose et jamais aucune meuf n’y est arrivée. Je crève d’envie de te la mettre en fond de gorge.
Il me retourna en m’allongeant sur le dos et vint positionner sa queue directement dans ma bouche. Il se mit littéralement à faire des pompes dans ma gorge et d’un coup me la planta bien profondément. J’en avais les larmes qui coulaient des yeux et de la salive qui coulait le long de mes joues.
-Ouai comme ça. Je savais que tu y arriverais. Putain, t’es vraiment une bonne suceuse. Ta bouche est délicieuse et je vais te la remplir.
Je fis non de la tête car je ne pouvais pas bouger mais j’essayais avec mes mains de le repousser pour lui dire non mais il me baisait littéralement comme un fou et était beaucoup plus fort que moi. Pendant plus d’un quart d’heure, il se défoulait en me baisant la bouche et en me la mettant le plus profond possible. Il continua ce traitement encore quelques minutes quand il la planta encore en fond de gorge et se mit à juter des litres de sperme bien chaud et crémeux. Il y en avait tellement que je ne pouvais pas faire autrement que de tout avaler. Je le sentais trembler tellement sa jouissance était intense puis il se retira et s’allongea en soupirant.
-Putain, tu pompes comme un chef.
-Merde, Aloïs ne voulait pas que j’avale. Je vais me faire démonter quand il va le savoir.
-T’inquiètes pas, je suis clean.
-C’est pas le problème.
-T’es pas obligé de lui dire.
-Je sais mais toi non plus tu ne dois pas le lui dire. Jamais ok ?
-Promis, je ne dirai rien. Mais pour que je ne lui dise rien, je veux voir à quoi ressemble ton cul.
-Si je te montre mon cul, tu me promets de ne rien dire ?
-Croix de bois, croix de fer, si je mens, j’irai en enfer.
Je me relevai en défis mon jean en me retournant pour qu’il matte mon cul.
-Ah ouai quand même. T’as vraiment un boule d’enfer.
Sans que je ne m’y attende, il agrippa mon cul avec ses deux mains et commença à passer son doigt le long de ma raie. Je me déplaçai un peu et remis mon jean et lui dit :
-Si tu veux tester, par contre, il faudra le faire devant Aloïs.
-Tu déconnes ?
-Oh non. A toi de voir si tu veux me baiser. Et crois-moi j’ai grave envie que tu me baises.
-Et au fait, tu as aimé mon jus ?
-J’ai adoré mais tu ne dois rien dire ok ?
-Oui, promis. Tu devrais quand même te laver un coup le visage avent de repartir car tu as de la salive et mon jus qui as coulé le long de ta joue. Tu devrais partir maintenant. Et dis à ton mec que je passerai vous voir tous les deux demain matin à 9h.
Au moment de sortir de la tente, Bastien et Nathan arrivait en titubant.
-Putain mac, tu foutais quoi dans notre tente, dis Nathan.
-Rien, euh j’ai juste raccompagné votre pote.
-T’as quoi sur la joue ?
-Rien, c’est rien, dis-je en m’essuyant rapidement.
-Tu parles à qui, dit Pierre en sortant de la tente tout en remettant son boxer où on pouvait encore deviner sa demie molle.
-Putain, les mecs, c’est quoi ce bordel ?
Je partis en courant, sans me retourner, jusqu’au mobile home où Aloïs m’attendait assis sur la terrasse.
-Alors, cette pipe ?
-Vraiment top. Il a une queue énorme et m’a dit de te dire qu’il passera demain matin à 9h pour tester mon cul je suppose.
-J’en étais sûr. Bon maintenant, vas te laver et attends moi à poil sur le lit j’arrive.
Je fis ce qu’il me demanda et l’attendit sur le lit. Il vint me rejoindre avec deux bières dont une qu’il me tendit.
-Santé. Je dois dire, que je suis très fier de toi. Tu m’obéis bien et franchement, si je n’avais pas eu ta sœur, je crois que je ferai de toi ma petite femme.
Je me mis à sourire puis pris une gorgée.
-Pour ce soir, je vais laisser ton beau petit cul tranquille ainsi que ta bouche car je pense que demain, tu vas surement bien te faire défoncer et pas que par lui. Tout en parlant, il se mit lui aussi à poil et vint s’asseoir sur le lit à côté de moi en me serrant dans ses bras. Nous finîmes notre bière puis il vint m’embrasser tendrement. Nous nous sommes allongés moi dans ses bras et sa queue qui durcit contre mon cul. Puis je la sentis qui se frayait un passage vers mon anus.
-Je croyais que tu voulais me laisser tranquille cette nuit ?
-Je sais mais dès que je suis contre toi, c’est plus fort que moi. Tu me fais de l’effet et j’ai toujours envie de toi. Si tu ne veux pas, on ne fait rien mais je n’y suis pour rien si tu me fais bander.
Je ne répondis pas mais pour seule réponse, je pris sa queue avec ma main et la dirigea sur mon petit trou. Je me cambrais pour que sa queue sincère plus facilement et je le sentis gémir dans mon cou puis il vint m’embrasser près de l’épaule. Il commença à faire des allers retours tendres en moi sans être une bête. Il m’enserra de ses bras musclés tout en me caressant le torse. Sa bouche vint près de mon oreille et il me susurra :
-Ce soir, je ne te baise pas, je te fais l’amour et je crois que dorénavant, je prendrais soin de toi et de ton petit cul. Tu es à moi et je ne veux pas t’abîmer.
-Et demain ?
-On verra ça demain mais là, profites ok ?
-Ok.
-Je ne te l’ai pas encore dit mais tu me plais. J’aime ta sœur mais toi tu me plais.
Il me retourna et me faisant écarter les jambes et vint s’installer entre mes cuisses pour être face à moi. Il me fit l’amour tout en m’embrassant. Cela a dut durer vingt minutes de pur bonheur quand il me remplit de son jus. Il me fit me remettre sur le côté tout en laissant sa queue en moi et il s’endormit directement. J’étais vraiment sur un petit nuage et je m’endormis à mon tour.
Fin du chapitre 10.
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