Mon Beauf, cet hétéro canon (11) - histoire érotique

Chapitre 11

-Ce soir, je ne te baise pas, je te fais l’amour et je crois que dorénavant, je prendrais soin de toi et de ton petit cul. Tu es à moi et je ne veux pas t’abîmer.
-Et demain ?
-On verra ça demain mais là, profites ok ?
-Ok.
-Je ne te l’ai pas encore dit mais tu me plais. J’aime ta sœur mais toi tu me plais.

Il me retourna et me faisant écarter les jambes et vint s’installer entre mes cuisses pour être face à moi. Il me fit l’amour tout en m’embrassant. Cela a dut durer vingt minutes de pur bonheur quand il me remplit de son jus. Il me fit me remettre sur le côté tout en laissant sa queue en moi et il s’endormit directement. J’étais vraiment sur un petit nuage et je m’endormis à mon tour.

J’ai dormi ce soir-là comme une marmotte. Je me suis donc réveillé avec une bonne odeur de café qui se dégageait du mobile home. Le temps d’émergé, je me suis rendu compte que je n’étais pas seul dans la chambre. Aloïs me dévisageait avec un grand sourire tout en parlant avec Pierre.

-Ah quand même tu te réveilles enfin, me dis Aloïs.
-Mmmmm il est quelle heure ?
-Il est déjà 9h45 mais j’ai décidé de te laisser dormir donc nous avons discuté un peu avec Pierre.
-Euh, et de quoi vous avez parlez ?
-De ta pipe d’hier soir et qu’il avait voulu voir ton beau petit cul. Et que ses potes ont captés ce que vous avez fait et ils n’arrêtent pas de le charrier depuis.
-Ok, j’ai le droit de prendre un café et d’aller prendre une douche avant de commencer.
-Mais bien sûr mon lapin.
-Après, si t’es pas en forme, on peut remettre ça, me dis Pierre.
-Non, non t’inquiètes pas ça va. Je veux juste être bien réveillé.

Aloïs est allé me chercher un bol de café puis vint me l’apporter au lit tout en m’embrassant pas la même occasion. Puis il s’installa à côté de moi pour me faire des papouilles dans le dos. Je regardais Pierre et je me rendis compte que son short était déformé par une bonne érection. Je ne fus pas le seul à le remarquer car Aloïs dit :

-Eh ben mon cochon, t’es en forme à ce que je vois.
-Ben écoutes, je ne sais pas si c’est le souvenir de la pipe hier soir et de son petit cul mais en tout cas c’est bandant. Je n’ai pas l’habitude de faire ça avec des mecs mais putain, j’ai grave envie.
-Eh je suis là aussi.
-Oui mon lapin. Bon tu as bientôt fini ton café ?
-Oui, et je pars à la douche donc ne commencez pas sans moi.

Je suis donc allé me laver en prenant un peu de temps pour pouvoir me réveiller correctement. Lorsque je suis revenu dans la chambre, je les vis tous les deux en boxer allongés sur le lit. Tous les deux se caressaient chacun de leur côté et moi j’étais complètement nu. Je me suis mis à genoux sur le lit et me suis approché tout doucement entre les deux en touchant leur paquet directement. Je leur retirai chacun leur tour leur sous-vêtement et je me suis mis à les branler doucement en les regardant et me léchant les lèvres.
Je pris le sexe d’Aloïs directement en bouche en le suçant doucement et en y mettant des coups de langue tout en titillant le bout de son gland. Avec mon autre main, je continuais de branler Pierre qui me regardait avec d’énormes yeux remplis de désir. Après plus de cinq minutes de ce traitement, je me mis à sucer Pierre tout en le regardant droit dans les yeux. Je le voyais de temps en temps les fermer. Je crois qu’il devait prendre son pied. Pendant que je le suçais avec gourmandise, Aloïs vint se placer derrière moi en mettant ses deux mains sur mes fesses pour bien les écarter et je le sentis me lécher tel un affamé. Je gémissais tout en ayant la bite de Pierre en bouche et pour lui faire plaisir comme la veille, je le pris bien en fond de gorge ce qui cette fois-ci le fit grogner. Tout en me léchant la rondelle, je sentais qu’il commençait à me doigter mais en y mettant deux doigts d’un coup. Il faisait des allers retours avec ses doigts tout en continuant avec sa langue qu’il enfonçait en même temps.

-Tu veux goûter son petit cul ? dis Aloïs à Pierre.
-Avec grand plaisir.

Ils changèrent donc de place et je pris donc la bite de mon beau-frère en bouche tout en le fixant. Il me caressait la joue en même temps et je sentis ensuite Pierre commencer à me manger le cul comme un fou. Ce traitement dura bien plus de dix minutes et Pierre s’amusait à me doigter de plus en plus fort. Il s’arrêta, j’entendis le son d’un emballage de capote et enfin, je sentis enfin son gland contre ma rosette. Je lui dis :

-Vas-y doucement s’il te plaît, c’est la première fois qu’une bite aussi grosse et épaisse me pénétrera.
-Ok, je vais y aller doucement alors.
-Cool, merci.

Il y alla doucement au début tout en poussant. Une fois le gland rentré, il se stoppa le temps de m’habituer. J’avais toujours la queue d’Aloïs en bouche et je le voyais avec un grand sourire. Je crois que cela lui plaît de me voir me faire prendre par quelqu’un d’autre devant lui. Tout en continuant ma pipe, Pierre continuait de rentrer sa queue et tout doucement, il arriva à la mettre tout entière en me faisant pousser des gémissements de plus en plus fort. Il ressortit sa queue puis la remis avec douceur et cette fois-ci elle rentra d’un coup. Il se mit ensuite à mettre des coups de reins avec douceur puis un peu plus fort le temps que je m’habitue bien.
Il me fit me cambrer un peu plus et d’un seul coup, ses coups de reins devinrent plus fort et plus rapide ce qui me fit lâcher la bite d’Aloïs pour me mettre à crier comme une chienne. Aloïs me biffla le visage pour que je reprenne sa queue en bouche puis se releva pour me baiser la bouche dans le même rythme que les coups de reins de Pierre. J’avais le cul défoncé et la bouche grande ouverte avec de la salive qui coulait de chaque côté de mes joues sans que je ne puisse faire quoi que ce soit. J’avais du mal à respirer mais cela n’empêchait pas mon beau-frère de continuer. Il se stoppa d’un coup puis se releva. Il prit la place de Pierre qui resta à côté de lui pour regarder la queue d’Aloïs rentrer d’un coup sec et me pilonner comme un bourrin.

-Putain mec, son cul, c’est vraiment de la balle.
-Je ne t’avais pas mentis là-dessus.

Aloïs enleva sa queue de mon cul puis écarta mes fesses.

-Regardes son trou comme on l’a bien élargi. Si tu veux, on se le fait à deux.
-Comment ça ?
-Ben une double pénétration.
-Tu déconnes ? T’es sûr ?
-Oh oui et ce ne sera pas sa première fois. N’est-ce pas mon lapin.
-Mmmmm oui.
-Tu vois, il n’attend que ça.
-Putain les mecs. Je n’ai jamais connu ça auparavant.

Aloïs fit s’allonger Pierre sur lequel je vins m’empaler. Je commençais à le chevaucher tel un poney. Puis je sentis les mains d’Aloïs pour me faire comprendre de stopper mes allers retours et me cambrer un peu plus pour qu’il puisse commencer à insérer sa queue. Son gland commençait à se frayer un passage puis d’un coup, sa queue s’engouffra bien au fond. Les deux bites commençaient à me limer doucement et je criais de bonheur. Ma tête se rapprocha de celle de Pierre qui m’embrassa à pleine bouche. Il embrassait comme un Dieu. Je sentais Aloïs se défouler sur mon cul. J’avais l’impression qu’un marteau piqueur me défonçait. Cela dura comme ça durant plus de dix minutes. Je dégoulinais tellement c’était intense. Puis mon Beauf se retira d’un coup et me fit mettra à quatre pattes au bord du lit et se releva avec Pierre. Chacun leur tour, il me pilonnait le cul comme des bêtes en rut. De temps en temps, je recevais des claques sur le cul tout en me faisant traiter de bonne chienne. Aloïs prit la parole :

-Je ne vais pas tarder à juter. Tu veux mon jus dans ton cul mon lapin ?
-Oh oui, fécondes-moi. Je suis tout à toi.
-Mmmm, je savais que tu me dirais ça. Pierre, tu peux lui faire une bonne faciale si tu veux. Mais pas dans la bouche ok ?
-Ouai pas de problème.

Pierre s’installa devant moi, enleva sa capote puis me mis sa queue directement en bouche pour que je le suce encore un peu. Pendant ce temps-là, Aloïs me pilonnait comme un malade. Puis dans un dernier coup de rein violent et bien profond, il se mit à grogner de plaisir et je sentis une bonne dizaine de jet de foutre bien épais me remplir mes entrailles. Il s’écroula sur moi un instant puis se remit à me mettre des coups de reins en tassant bien son jus de plus en plus. De son côté, Pierre se retira de ma bouche à temps. Au moment où il se retira, Il se mit à déverser une quantité de jus phénoménal. J’avais le visage recouvert et je le regardais ensuite droit dans les yeux en me léchant les lèvres pour goûter un peu son jus comme la veille et je lui fis un clin d’œil ce qui le fit sourire.
Il s’écroula ensuite sur le lit ainsi que Aloïs. Je pris une serviette qui se trouvait au pied du lit pour m’essuyer le visage et Aloïs m’attrapa par le bras pour que je m’allonge sur lui.

-Alors, tu as trouvé comment cette première fois ?
-C’était vraiment ouf les mecs ? Je n’ai jamais connu une chose pareille. Vous m’avez tué et franchement je ne regrette pas du tout malgré ma réticence au départ.
-Pas déçu alors ?
-Pas du tout bien au contraire. Bon les mecs, je vais devoir vous laisser mais ça vous dérange si je vous emprunte la salle de bain avant pour me doucher vite fait ?
-Pas du tout, fais comme chez toi et si tu veux je t’envoie Baptiste pour te savonner le dos.
-Non ça va aller.
-Mais si ça sera le petit cadeau en plus.

Il se leva et Aloïs me mis une claque au cul pour me dire de le suivre. Il rentra dans la douche pendant que je fermais la porte de la salle de bain et je le suivis à l’intérieure. Il fit couler l’eau et me plaqua contre la paroi de douche pour me rouler une pelle d’enfer.

-Putain, qu’est-ce que tu fais ?
-Tu n’aimes pas ?
-Si mais Aloïs est à côté.
-Et alors ?
-S’il voit ça, il me fera la misère et je ne veux pas d’histoire tu comprends. Il m’a dit de te suivre pour t’aider à te laver alors profites ok ?
-Avoues que tu as kiffer mon baiser ?
-Je ne dirais rien du tout.
-Ok, embrasses-moi tout de suite où je lui avoue que tu as avaler tout mon jus hier soir !
-Tu n’oserais pas ?
-Tu veux voir ? Al…

Je lui mis la main sur la bouche pour le faire taire puis je l’embrassais sur les lèvres. Il me prit la tête entre ses mains et inséra sa langue bien au fond de ma bouche. Je fis de même mais me ressaisis rapidement. Il eut un très large sourire et me dit :

-Je savais que tu kiffais.
-Je n’ai rien dit.
-Peut-être mais je l’ai senti. Et regardes comme tu rougis quand je te dis ça.
-Pffuuuu t’es nul.

Je me mis ensuite à le savonner puis nous sommes sortit de la douche propre. Je rejoignis Aloïs sur le lit pendant que Pierre s’habillait. Mon beauf se leva et parti à la cuisine pour boire un coup. Pierre sortit de sa poche un papier avec un stylo et gribouilla sur celui-ci. Il me mit le papier dans la main puis parti en me faisant un clin d’œil. Je l’entendis saluer Aloïs et je regardais le papier. Son numéro était inscrit dessus avec l’inscription : « Appelles-moi stp ».

Fin du chapitre 11.