Mon Beauf, cet hétéro canon (3)

Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Mon Beauf, cet hétéro canon (3)
Chapitre 3
Il me fit un doux baiser sur le front et je pus me coller contre lui bien confortablement dans ses bras bien que j’eusse très mal au cul. Mais j’étais le plus heureux : il m’avait enfin baisé et cela allait se reproduire. Je ne mis pas longtemps pour m’endormir dans ses bras sa queue qu’il avait replanter dans mon cul pour que je garde bien son jus.
J’ai dormi ce soir-là comme un bébé dans ses bras musclés. Le lendemain matin, je fus réveillé par de grands coups sur la joue. Je me suis réveillé et je le vis devant moi la bite à la main.
-Ah quand même ! J’ai cru que tu n’allais pas te réveiller. C’est l’heure de ton biberon. Dépêche-toi car je n’ai pas que ça à foutre.
Pas le temps de répondre qu’il me mit sa queue déjà bien raide directement au fond de ma gorge en maintenant bien ma tête pour que je ne recule pas.
-C’est bien, t’es une bonne salope.
Il commença par me limer la bouche en s’allongeant au-dessus de moi. J’en avais les larmes aux yeux tellement il y allait fort. Il ne fut pas trop long à venir. Au bout de cinq minutes de baise intense dans ma bouche, il se mit à crier puis éjacula sept gros jets de jus bien au fond de ma gorge. Il me fit ensuite nettoyer sa queue puis parti à la salle de bain. Je l’entendis me dire :
-Maintenant que tu as eu ton lait chaud, va me faire un café et ensuite tu iras te laver. Aujourd’hui, tu vas m’accompagner. Si j’ai besoin de me vider durant la journée, tu seras là pour ça.
-Mais, …
-Tu fermes ta gueule ok ? Maintenant que tu es ma propriété, tu vas faire tout ce que je te dis. T’as beau être mon beau-frère, tu restes ma salope attitrée. La prochaine fois que tu réponds, tu t’en prends encore une compris ?
-Oui Aloïs.
Je ne me fis pas prier et je me suis levé avec la bouche endolorie pour aller lui préparer son café. Une fois lavé, il vint s’asseoir et me dis d’aller me laver car je puais.
-Tu t’habilles avec quelque chose de facile à enlever si j’ai envie de t’enculer. Et pas de sous-vêtements.
Je ne dis rien et parti me laver et faire tout ce qu’il me disait. Moi qui voulais qu’il me baise, je ne m’attendais pas du tout à ce que je devienne sa chienne bien soumise. D’habitude je déteste ça mais là, j’étais comme hypnotisé par ce mec. Je pris donc ma douche et me fis un lavement pour être bien propre de partout. Je parti ensuite chercher un short jogging que j’avais pris dans mon sec avec un T-shirt et bien entendu sans boxer.
Je revins ensuite vers lui. Il finissait son café et se leva d’un coup. Il mit sa main dans mon short au niveau de mon cul et me mit directement deux doigts.
-C’est bien. Maintenant, on y va car on a une heure de route avant d’arriver dans l’entreprise avec laquelle j’ai rendez-vous.
Il m’ouvrit la porte puis nous nous dirigeâmes vers sa voiture. Il n’y eut pas un mot dans la voiture durant tout le trajet puis il se gara et sortit de la voiture.
-Tu m’attends ici sagement, ok ?
-Aloïs ?
-Quoi ?
-Est-ce que j’ai le droit de sortir juste pour fumer un coup ?
-Ah, ça c’est bien. Tu commences à devenir docile et tu me demandes si tu as le droit de faire des choses. J’aime ça. Ok pour cette fois-ci. Par contre, tu restes près de la voiture.
-Merci Aloïs.
Il partit sans se retourner et je sortis moi aussi de la voiture pour fumer. Je suis resté toute la matinée dans la voiture à attendre sagement. Puis vers les alentours de midi, je reçu un message de sa part qui me disait qu’il mangeait avec le directeur et qu’il en avait pour une heure et que pendant se temps-là, il fallait que je me doigte bien car il voulait se vider les couilles après. Je reçu même une photo de sa bite bien dure qu’il avait dût prendre dans les toilettes de l’entreprise. Rien qu’avec cette photo, je me mis à bander directement sans me toucher. Pour lui prouver que je faisais ce qu’il m’avait demandé, je descendis légèrement mon short et commença à me titiller la rondelle. Je fis une photo et lui envoya directement. Je continuais à me doigter pendant plus de vingt minutes en regardant la photo qu’il m’avait envoyé mais je ne fis pas attention à ce qui se passait sur le côté. Un mec d’une quarantaine d’année me matait. Je fut surpris et remonta mon short immédiatement. Il me fit comprendre d’ouvrir la fenêtre ce que je fis rouge de honte. Je le regardais de plus près. Il était plutôt pas mal pour un mec de 40 ans. Bien carré, les cheveux rasés avec des yeux verts. Je le vis remettre sa queue en place dans son costard.
-Salut (me dit-il).
-Bonjour.
-Vous savez que vous êtes sur un lieu privé ?
-Je suis désolé mais j’attends quelqu’un justement qui se trouve à l’intérieur.
-Ok ok. En tout cas, faîtes attention car il y a des caméras un peu partout.
-Merci du conseil. Je ferai attention.
-En tout cas, très joli cul pour un mec, je dois dire.
Il me fit un sourire et me tendit une carte de visite puis partis en se retournant de temps en temps. Je regardai la carte et je lus dessus : « Jean-Charles Mottet, chargé de recrutement. » Il y avait aussi son numéro perso avec l’inscription « appelles moi ». Je remis la carte dans ma poche puis sortit refumer une clope. Après dix minutes d’attente, je vis Aloïs sortir du bâtiment me rejoindre dans la voiture.
-Tu as fais ce que je t’ai demandé ?
-Oui Aloïs.
-Bien, tournes-toi que je vérifie ça.
Je fis ce qu’il me demandait et il me mit trois doigts directement bien profonds.
-T’es vraiment une bonne chienne toi.
Il démarra la voiture puis après trente minutes de route, il prit la direction d’un petit chemin blanc menant dans les bois. Il sortit de la voiture et je pus distinguer son pantalon déformé par son érection.
-Fous toi à poil et mets tes deux mains sur le capot tout de suite.
Je sortis à mon tour de la voiture et enleva mon T-shirt et mon short et mis mes deux mains contre le capot de la voiture. Il baissa son pantalon et son boxer et vin coller sa queue contre ma raie où il y fit des allers-retours en gémissant. Je sentais déjà sa mouille coulée contre mon petit trou tout humide. Sans me le dire, Il me pénétra d’un coup sec. Il ressortit sa queue et la remit d’un coup bien fort puis il commença à se déchaîner dans mon cul. Je gémissais de bonheur tellement il savait s’y prendre. Ce mec est un Dieu. Il maintenait mes hanches et me pilonnait de plus en plus fort et de plus en plus vite. Ma queue frottait contre le capot et je me mis à gicler des litres de foutre ce qui fit contracter mon petit trou déjà bien dilaté par sa bite et il déchargea bien profondément en moi en râlant.
-Nettoie ma bite petite salope.
Je m’accroupis pour le sucer quand il se mit à gueuler et me mit une baffe monumentale qui me fit m’asseoir au sol.
-Putain, t’as juter contre ma caisse ? Nettoie-moi ça immédiatement.
Il me prit la tête et la colla contre le capot. Je pris mon jus en bouche et lécha le tout pour qu’il n’y ai plus rien. Il me fit me rhabiller puis nous sommes remontés en voiture. Durant le trajet, il s’arrêta et me dit de rester dans la voiture car il avait une petite course à faire et qu’il n’en avait pour quinze minutes max. Il revint avec le sourire puis nous sommes rentrés à l’appart. Quand je suis sorti de la voiture, il m’interpella.
-C’est quoi ça petite merde ?
Là, il me tendait une carte que je reconnu immédiatement. J’avais dû la faire tomber en sortant de la voiture et je me mis à rougir. Il s’approcha de moi et me gifla à nouveau.
-Réponds ou je t’en recolle une.
-C’est un mec qui me la donner tout à l’heure quand je t’attendais sur le parking de l’entreprise.
-Et pourquoi il t’a donné ça ?
-Il m’a vu me doigté.
-Je t’avais dit quoi concernant le fait de voir d’autres mecs ?
-Mais, je n’ai rien fait ?
Une nouvelle gifle. Les larmes commençaient à couler le long de mon visage.
-Tu ne réponds pas putain !!!
-Oui Aloïs.
-Ce soir, tu dormiras sur le canapé, compris ?
-Oui Aloïs.
-Maintenant, fais-moi à manger sale chienne. Et une dernière chose, tu seras puni donc cela veut dire que tu n’auras pas le droit à ma queue tant que je ne l’aurai pas décidé.
Je me mis donc en cuisine pour préparer le repas. Une fois fait, je mis deux couverts à table.
-Tu penses que tu vas manger avec moi ? Tu rêves complètement. Je mange, tu débarrasses et tu attends que j’aille me pieuter pour manger les restes. C’est compris ?
-Oui Aloïs.
A ce moment-là, je me sentais plus bas que terre. Je sais que j’ai envie de lui, d’être sa propriété comme il aime le dire mais là franchement, j’étais abattu. Une fois qu’il eu mangé, il regarda la télé allongée sur le canapé pendant que j’étais assis sur une chaise. Vers minuit, il parti se coucher sans même me regarder.
-Demain matin, tu viens me réveiller à 7h avec un café au lit. J’ai été clair ?
-Oui Aloïs.
-Parfait et j’espère que tu ne me décevras plus.
Il parti se coucher et moi aussi car j’étais plus que fatigué.
Le lendemain matin, je m’étais réveillé plus tôt pour me laver, préparer son petit déjeuner et lui apporter au lit. Il était à poil sur le lit avec une gaule d’enfer. Il me regarda et pris sa bite en main. Il commença à se branler devant moi en me fixant bien dans les yeux. Je le regardais faire et je n’avais qu’une envie, c’est de sauter dessus et de le sucer mais je me retins de le faire tant qu’il ne m’avait pas donné l’autorisation. Il se branla comme ça durant dis longues minutes pour moi puis je vis sa queue se contracter puis juter cinq bons jets de sperme bien crémeux sur son ventre. Il me regardait toujours sans aucune expression sur son visage. Il prit son café puis se leva en direction de la salle de bain. Je fis son lit en attendant puis il en sortit au bout de 20 minutes.
-Bon, je veux bien passer l’éponge pour cette fois-ci mais ne me refais jamais ça. Va à la salle de bain, je t’ai posé un petit cadeau au bord de l’évier. J’aimerai que tu le portes toute la journée car oui, tu reviens avec moi aujourd’hui.
Je parti à la salle de bain et je vis une boîte. Je l’ouvris et y découvris un Lush connecté. Je me suis empressé de me le mettre dans le cul puis je suis retourné vers lui.
-C’est bon, tu l’as mis ?
-Oui, c’est fait Aloïs.
-Montre-moi.
Je baissai mon short sans sous-vêtement puis me baissa en avant pour lui montrer. Une fois fait, je me redressai et attendis. Il s’approcha de moi et me fis une caresse sur les fesses.
-Allez, en voiture. Mais avant, suces-moi.
Je fus surpris mais content. Cela voulait dire que j’étais pardonné. Je mis à genoux, descendis sa fermeture éclair puis sortis sa bite déjà dure. Je la pris directement en bouche et me mis à le sucer comme un affamé. Il me prit la tête de chaque côté puis me baisa la bouche. Tout en le suçant, je lui caressais les couilles ce qu’il le fit gémir et en cinq minutes, il déversa à nouveau tout son jus dans ma bouche que je savourais. Je lui léchai à nouveau son gland baveux de sperme pour le nettoyer puis remis sa belle queue qui débandait dans son boxer et refermais sa fermeture éclair.
Nous sommes sortis de l’appart puis direction la voiture. Arrivés dans celle-ci, il prit ma main et me dit sur un ton calme et apaisant.
-Je suis désolé d’avoir été sévère avec toi mais maintenant que tu es as moi, je ne veux pas que tu ailles voir ailleurs. Je suis très jaloux…
Il me fit un sourire et démarra.
Fin du chapitre 3.
Il me fit un doux baiser sur le front et je pus me coller contre lui bien confortablement dans ses bras bien que j’eusse très mal au cul. Mais j’étais le plus heureux : il m’avait enfin baisé et cela allait se reproduire. Je ne mis pas longtemps pour m’endormir dans ses bras sa queue qu’il avait replanter dans mon cul pour que je garde bien son jus.
J’ai dormi ce soir-là comme un bébé dans ses bras musclés. Le lendemain matin, je fus réveillé par de grands coups sur la joue. Je me suis réveillé et je le vis devant moi la bite à la main.
-Ah quand même ! J’ai cru que tu n’allais pas te réveiller. C’est l’heure de ton biberon. Dépêche-toi car je n’ai pas que ça à foutre.
Pas le temps de répondre qu’il me mit sa queue déjà bien raide directement au fond de ma gorge en maintenant bien ma tête pour que je ne recule pas.
-C’est bien, t’es une bonne salope.
Il commença par me limer la bouche en s’allongeant au-dessus de moi. J’en avais les larmes aux yeux tellement il y allait fort. Il ne fut pas trop long à venir. Au bout de cinq minutes de baise intense dans ma bouche, il se mit à crier puis éjacula sept gros jets de jus bien au fond de ma gorge. Il me fit ensuite nettoyer sa queue puis parti à la salle de bain. Je l’entendis me dire :
-Maintenant que tu as eu ton lait chaud, va me faire un café et ensuite tu iras te laver. Aujourd’hui, tu vas m’accompagner. Si j’ai besoin de me vider durant la journée, tu seras là pour ça.
-Mais, …
-Tu fermes ta gueule ok ? Maintenant que tu es ma propriété, tu vas faire tout ce que je te dis. T’as beau être mon beau-frère, tu restes ma salope attitrée. La prochaine fois que tu réponds, tu t’en prends encore une compris ?
-Oui Aloïs.
Je ne me fis pas prier et je me suis levé avec la bouche endolorie pour aller lui préparer son café. Une fois lavé, il vint s’asseoir et me dis d’aller me laver car je puais.
-Tu t’habilles avec quelque chose de facile à enlever si j’ai envie de t’enculer. Et pas de sous-vêtements.
Je ne dis rien et parti me laver et faire tout ce qu’il me disait. Moi qui voulais qu’il me baise, je ne m’attendais pas du tout à ce que je devienne sa chienne bien soumise. D’habitude je déteste ça mais là, j’étais comme hypnotisé par ce mec. Je pris donc ma douche et me fis un lavement pour être bien propre de partout. Je parti ensuite chercher un short jogging que j’avais pris dans mon sec avec un T-shirt et bien entendu sans boxer.
Je revins ensuite vers lui. Il finissait son café et se leva d’un coup. Il mit sa main dans mon short au niveau de mon cul et me mit directement deux doigts.
-C’est bien. Maintenant, on y va car on a une heure de route avant d’arriver dans l’entreprise avec laquelle j’ai rendez-vous.
Il m’ouvrit la porte puis nous nous dirigeâmes vers sa voiture. Il n’y eut pas un mot dans la voiture durant tout le trajet puis il se gara et sortit de la voiture.
-Tu m’attends ici sagement, ok ?
-Aloïs ?
-Quoi ?
-Est-ce que j’ai le droit de sortir juste pour fumer un coup ?
-Ah, ça c’est bien. Tu commences à devenir docile et tu me demandes si tu as le droit de faire des choses. J’aime ça. Ok pour cette fois-ci. Par contre, tu restes près de la voiture.
-Merci Aloïs.
Il partit sans se retourner et je sortis moi aussi de la voiture pour fumer. Je suis resté toute la matinée dans la voiture à attendre sagement. Puis vers les alentours de midi, je reçu un message de sa part qui me disait qu’il mangeait avec le directeur et qu’il en avait pour une heure et que pendant se temps-là, il fallait que je me doigte bien car il voulait se vider les couilles après. Je reçu même une photo de sa bite bien dure qu’il avait dût prendre dans les toilettes de l’entreprise. Rien qu’avec cette photo, je me mis à bander directement sans me toucher. Pour lui prouver que je faisais ce qu’il m’avait demandé, je descendis légèrement mon short et commença à me titiller la rondelle. Je fis une photo et lui envoya directement. Je continuais à me doigter pendant plus de vingt minutes en regardant la photo qu’il m’avait envoyé mais je ne fis pas attention à ce qui se passait sur le côté. Un mec d’une quarantaine d’année me matait. Je fut surpris et remonta mon short immédiatement. Il me fit comprendre d’ouvrir la fenêtre ce que je fis rouge de honte. Je le regardais de plus près. Il était plutôt pas mal pour un mec de 40 ans. Bien carré, les cheveux rasés avec des yeux verts. Je le vis remettre sa queue en place dans son costard.
-Salut (me dit-il).
-Bonjour.
-Vous savez que vous êtes sur un lieu privé ?
-Je suis désolé mais j’attends quelqu’un justement qui se trouve à l’intérieur.
-Ok ok. En tout cas, faîtes attention car il y a des caméras un peu partout.
-Merci du conseil. Je ferai attention.
-En tout cas, très joli cul pour un mec, je dois dire.
Il me fit un sourire et me tendit une carte de visite puis partis en se retournant de temps en temps. Je regardai la carte et je lus dessus : « Jean-Charles Mottet, chargé de recrutement. » Il y avait aussi son numéro perso avec l’inscription « appelles moi ». Je remis la carte dans ma poche puis sortit refumer une clope. Après dix minutes d’attente, je vis Aloïs sortir du bâtiment me rejoindre dans la voiture.
-Tu as fais ce que je t’ai demandé ?
-Oui Aloïs.
-Bien, tournes-toi que je vérifie ça.
Je fis ce qu’il me demandait et il me mit trois doigts directement bien profonds.
-T’es vraiment une bonne chienne toi.
Il démarra la voiture puis après trente minutes de route, il prit la direction d’un petit chemin blanc menant dans les bois. Il sortit de la voiture et je pus distinguer son pantalon déformé par son érection.
-Fous toi à poil et mets tes deux mains sur le capot tout de suite.
Je sortis à mon tour de la voiture et enleva mon T-shirt et mon short et mis mes deux mains contre le capot de la voiture. Il baissa son pantalon et son boxer et vin coller sa queue contre ma raie où il y fit des allers-retours en gémissant. Je sentais déjà sa mouille coulée contre mon petit trou tout humide. Sans me le dire, Il me pénétra d’un coup sec. Il ressortit sa queue et la remit d’un coup bien fort puis il commença à se déchaîner dans mon cul. Je gémissais de bonheur tellement il savait s’y prendre. Ce mec est un Dieu. Il maintenait mes hanches et me pilonnait de plus en plus fort et de plus en plus vite. Ma queue frottait contre le capot et je me mis à gicler des litres de foutre ce qui fit contracter mon petit trou déjà bien dilaté par sa bite et il déchargea bien profondément en moi en râlant.
-Nettoie ma bite petite salope.
Je m’accroupis pour le sucer quand il se mit à gueuler et me mit une baffe monumentale qui me fit m’asseoir au sol.
-Putain, t’as juter contre ma caisse ? Nettoie-moi ça immédiatement.
Il me prit la tête et la colla contre le capot. Je pris mon jus en bouche et lécha le tout pour qu’il n’y ai plus rien. Il me fit me rhabiller puis nous sommes remontés en voiture. Durant le trajet, il s’arrêta et me dit de rester dans la voiture car il avait une petite course à faire et qu’il n’en avait pour quinze minutes max. Il revint avec le sourire puis nous sommes rentrés à l’appart. Quand je suis sorti de la voiture, il m’interpella.
-C’est quoi ça petite merde ?
Là, il me tendait une carte que je reconnu immédiatement. J’avais dû la faire tomber en sortant de la voiture et je me mis à rougir. Il s’approcha de moi et me gifla à nouveau.
-Réponds ou je t’en recolle une.
-C’est un mec qui me la donner tout à l’heure quand je t’attendais sur le parking de l’entreprise.
-Et pourquoi il t’a donné ça ?
-Il m’a vu me doigté.
-Je t’avais dit quoi concernant le fait de voir d’autres mecs ?
-Mais, je n’ai rien fait ?
Une nouvelle gifle. Les larmes commençaient à couler le long de mon visage.
-Tu ne réponds pas putain !!!
-Oui Aloïs.
-Ce soir, tu dormiras sur le canapé, compris ?
-Oui Aloïs.
-Maintenant, fais-moi à manger sale chienne. Et une dernière chose, tu seras puni donc cela veut dire que tu n’auras pas le droit à ma queue tant que je ne l’aurai pas décidé.
Je me mis donc en cuisine pour préparer le repas. Une fois fait, je mis deux couverts à table.
-Tu penses que tu vas manger avec moi ? Tu rêves complètement. Je mange, tu débarrasses et tu attends que j’aille me pieuter pour manger les restes. C’est compris ?
-Oui Aloïs.
A ce moment-là, je me sentais plus bas que terre. Je sais que j’ai envie de lui, d’être sa propriété comme il aime le dire mais là franchement, j’étais abattu. Une fois qu’il eu mangé, il regarda la télé allongée sur le canapé pendant que j’étais assis sur une chaise. Vers minuit, il parti se coucher sans même me regarder.
-Demain matin, tu viens me réveiller à 7h avec un café au lit. J’ai été clair ?
-Oui Aloïs.
-Parfait et j’espère que tu ne me décevras plus.
Il parti se coucher et moi aussi car j’étais plus que fatigué.
Le lendemain matin, je m’étais réveillé plus tôt pour me laver, préparer son petit déjeuner et lui apporter au lit. Il était à poil sur le lit avec une gaule d’enfer. Il me regarda et pris sa bite en main. Il commença à se branler devant moi en me fixant bien dans les yeux. Je le regardais faire et je n’avais qu’une envie, c’est de sauter dessus et de le sucer mais je me retins de le faire tant qu’il ne m’avait pas donné l’autorisation. Il se branla comme ça durant dis longues minutes pour moi puis je vis sa queue se contracter puis juter cinq bons jets de sperme bien crémeux sur son ventre. Il me regardait toujours sans aucune expression sur son visage. Il prit son café puis se leva en direction de la salle de bain. Je fis son lit en attendant puis il en sortit au bout de 20 minutes.
-Bon, je veux bien passer l’éponge pour cette fois-ci mais ne me refais jamais ça. Va à la salle de bain, je t’ai posé un petit cadeau au bord de l’évier. J’aimerai que tu le portes toute la journée car oui, tu reviens avec moi aujourd’hui.
Je parti à la salle de bain et je vis une boîte. Je l’ouvris et y découvris un Lush connecté. Je me suis empressé de me le mettre dans le cul puis je suis retourné vers lui.
-C’est bon, tu l’as mis ?
-Oui, c’est fait Aloïs.
-Montre-moi.
Je baissai mon short sans sous-vêtement puis me baissa en avant pour lui montrer. Une fois fait, je me redressai et attendis. Il s’approcha de moi et me fis une caresse sur les fesses.
-Allez, en voiture. Mais avant, suces-moi.
Je fus surpris mais content. Cela voulait dire que j’étais pardonné. Je mis à genoux, descendis sa fermeture éclair puis sortis sa bite déjà dure. Je la pris directement en bouche et me mis à le sucer comme un affamé. Il me prit la tête de chaque côté puis me baisa la bouche. Tout en le suçant, je lui caressais les couilles ce qu’il le fit gémir et en cinq minutes, il déversa à nouveau tout son jus dans ma bouche que je savourais. Je lui léchai à nouveau son gland baveux de sperme pour le nettoyer puis remis sa belle queue qui débandait dans son boxer et refermais sa fermeture éclair.
Nous sommes sortis de l’appart puis direction la voiture. Arrivés dans celle-ci, il prit ma main et me dit sur un ton calme et apaisant.
-Je suis désolé d’avoir été sévère avec toi mais maintenant que tu es as moi, je ne veux pas que tu ailles voir ailleurs. Je suis très jaloux…
Il me fit un sourire et démarra.
Fin du chapitre 3.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
L’histoire avait bien démarré mais là c’est vraiment lourd et violent.
Le début était canon, dommage que cela dérape vers cette soumission violente qui n apporte rien.
Le début était canon, dommage qu'on parte vers cette soumission violente qui n apporte pas grand chose
Ça devient lourd et trop violent 👎

