Mon Beauf, cet hétéro canon (8)

Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Mon Beauf, cet hétéro canon (8)
Chapitre 8
Je vis une main passer près de ma tête et c’était celle de Corentin qui prit la grosse queue de mon beauf pour la sortir de ma bouche et la branler un peu. Je sentais son corps appuyer sur le mien puis l’impensable se produisit : Corentin prit la queue d’Aloïs en bouche et commencer à la sucer tout en me donnant des coups de reins. Je suis resté stupéfait puis regardais mon beauf qui avait la tête en arrière et qui n’avait pas fait attention à ce qui se passait. Sans crier, Corentin me remplit le cul de tout son jus puis se retira sans retirer la main de la queue d’Aloïs. Il me poussa violemment au sol puis repris la pipe sur Aloïs qui entendit le bruit que je fis en tombant. Il baissa sa tête et vit Corentin le sucer de toute ses forces. Je pense que cela a dut l’exciter à mort car je l’ai entendu pousser un cri de jouissance énorme. Corentin avait du sperme qui coulait le long de sa lèvre mais n’interrompit pas sa pipe tant que la bite de son pote ne fut pas nettoyée. Il regarda ensuite Aloïs et ouvrit la bouche pour lui montrer qu’il avait tout avalé.
-Putain de merde mec, mais qu’est-ce que tu as foutu ? (dit Aloïs).
Aloïs releva son pote et le colla contre le mur avec rage. Je ne l’ai jamais vu dans cet état de colère.
-Réponds-moi, putain ?
-Je n’en sais rien, c’est venu dans l’excitation.
-Mais arrêtes tes conneries, on ne suce pas un mec et on n’avale pas son jus comme tu viens de le faire ? C’est quoi ton problème. Oh pis merde, casses-toi de chez moi, tu me dégoutes.
-Mais, laisses-moi juste t’expliquer !
-Casses-toi !
Corentin pris ses affaires, s’habilla et partit. Avant de fermer la porte, il me regarda et je vis couler une larme.
-Putain, mais ça casse les couilles !
Je ne savais pas quoi dire. Puis je lui demandai :
-Je peux faire quelque chose pour toi Aloïs ?
-Quoi ? Non, rien ! Va prendre ta douche et va dans le lit, je t’y retrouve tout à l’heure.
Je partis donc prendre ma douche et je le vis prendre son portable et envoyer un message. Une fois la douche prise, je partis me mettre dans le lit sans parler. Il vint me rejoindre trente minutes plus tard après être passé par la salle de bain. Il vint se mettre dans le lit sur le dos et ouvrit son bras pour que je vienne m’installer contre son torse. Je me blottis contre lui sans rien dire et ma main caressait son torse musclé. Il se détendit un peu et referma son bras contre moi et me caressa le dos tendrement.
-Je n’arrive toujours pas comprendre ce qui lui a prit de faire ça bordel de merde ? Tu y comprends quelque chose toi ?
-Ben euh, non, pas vraiment. Je l’ai juste vu s’emparer de ta belle queue comme un dingue pour te pomper.
-Oui mais c’est mon pote putain. Ce n’est pas une fiote. Il a eu pleins de meufs. Je ne comprends rien du tout.
-Il a peut-être vraiment été excité comme il te l’a dit et dans le feu de l’action, …
-Non, je le connais trop bien pour qu’il me fasse ça. Il avait le regard d’une salope. Tiens, il avait le même regard que toi quand tu me pompes. J’ai trop les nerfs, faut que j’arrive à me calmer. Pour le moment, y’a qu’une chose pour me faire oublier tout ça et me calmer alors suces ma bite petite salope et après je te défonce ton petit cul.
Je ne me fis pas prier et m’installa entre ses jambes pour prendre sa queue en bouche qui se réveilla dans ma bouche en très peu de temps. Il me prit la tête et commença à me baiser la bouche comme si c’était un jouet. J’en avais mal à la mâchoire mais je n’osais rien dire de peur de le mettre en colère. Il me fit m’allonger sur le dos et vint se placer au-dessus de moi pour me baiser la bouche encore plus profondément. Ma salive coulait sur mes joues et j’ai cru m’étouffer plus d’une fois. Après quinze bonnes minutes de ce pilonnage, il me mit à quatre pattes et vint m’enculer comme un dingue ce qui me fit pousser un cri.
-Putain, fermes ta gueule et encaisse en silence.
Il mit ma tête dans les coussins pour ne pas m’entendre et me mit des coups de reins de plus en plus fort avec une rage immense. Je l’entendais grogner comme une bête et je sentais sa sueur me couler dans le dos tellement il y allait fort. Il ne changea pas de position et me baisa comme ça pendant vingt minutes. Je mordais le coussin tellement j’avais envie de crier. Dans un dernier grand coup de reins, je sentis tout son sperme se déverser au fond de mes entrailles. Il s’écroula sur le dos. Il me fit me renverser dans le lit et me prit dans ses bras et il s’endormit comme ça assez rapidement.
Le lendemain matin, je sentais que quelque chose me titillait mon petit trou. J’ouvris les yeux et tournai la tête en direction d’Aloïs qui me regardait avec un regard plus que charmeur.
-Ah tu te réveilles enfin ? Ça va faire une heure que je te tripote le cul mais rien. Il suffisait juste que je te présente mon gland contre ton petit trou pour que monsieur se réveille.
-Bonjour Aloïs.
-Bonjour toi, me dit-il en venant m’embrasser à pleine bouche.
Je fus surpris par ce geste tendre de sa part et me laissai aller. Il me retourna pour que l’on soit face à face tout en m’embrassant et me faisant rapprocher de son corps. Il me caressait le dos, puis les fesses. Je sentais sa queue bien dure contre la mienne. Puis il s’arrêta et me regarda droit dans les yeux en me disant :
-Bon, je ne te l’ai pas encore dit mais ta sœur (Claire) va revenir plus tôt que prévue. Tu vas devoir retourner dormir sur le canapé à partir de ce soir.
-Mais, elle ne devait rentrer qu’en fin de semaine prochaine ?
-Oui, je sais, mais elle m’a laissé un vocal ce matin pour m’annoncer la nouvelle.
-Ah ok. Du coup, je vais me retrouver chez vous seul avec elle sans pouvoir t’accompagner à ton taf ?
-Sois pas déçu. J’ai déjà tout prévu.
-C’est-à-dire ?
-Normalement, je devais partir en déplacement dans quinze jours mais je peux changer mes plans et du coup faire en sorte de partir ce soir jusqu’à vendredi. Y’a de la route à faire pour aller dans les Vosges. Et je dirais en même temps que je t’embarque avec moi comme ça ça te fera quelques vacances pendant que j’irai bosser. Mais surtout, il faut que tu fasses celui qui ne savait rien, ok ?
-Trop bien, oui ok. Mais du coup, je vais faire quoi en t’attendant ?
-Mon déplacement n’est que sur une journée et demi donc je pourrais profiter de ton petit cul le reste de la semaine. Ça te va ?
-Oui Aloïs.
Il m’embrassa à nouveau tout en me faisant basculer cette fois-ci au-dessus de lui. Il me caressa le torse avec une main et mon cul avec l’autre. J’ondulais du bassin sur lui pour que sa queue masse ma raie. Je le voyais fermer les yeux de temps en temps pour me montrer qu’il aimait ça. Cette fois-ci, ce n’était pas brutale mais plutôt très sensuel. Je pris donc les choses en mains en prenant sa queue entre mes doigts en la masturbant tout doucement et en l’approchant de plus en plus de mon petit trou qui ne désirait que ça. Je me relevai lentement tout en le regardant et glissa sa queue dans mon cul. Il se mordit les lèvres en fermant les yeux. Il mit ses mains sur mes hanches et me laissa faire des allers retours sur cette queue bien dure. A chaque fois que je la prenais bien au fond de mes entrailles, je sentais ses couilles buter contre mon cul. Nous avons fait ça pendant bien quinze minutes tout en nous regardant droit dans les yeux. C’était l’extase. Je me mis ensuite sur le dos en écartant les cuisses pour lui faire comprendre que je voulais qu’il vienne en moi tout en me regardant à nouveau. Il vint placer sa queue dans mon cul pendant que je mettais mes jambes sur ses épaules. Il attrapa donc les cuisses et commença ses vas et viens le plus doucement possible ce qui me faisait bander de plus en plus car je ne l’avais encore jamais vu comme ça. Mes mains se positionnaient contre ses fesses pour sentir sa pénétration encore plus forte. Il se rapprocha de ma bouche et m’embrassa en faisant des mouvements de langues qui me firent chavirer. Cela me provoqua une éjaculation que je n’avais pas sentis venir. Mon cul se resserra contre sa verge et je l’entendis hurler de joie en déversant son foutre tout au fond de moi. Il s’écroula ensuite sur moi et sa main vint caresser sa joue. Il ne bougea pas pendant cinq minutes puis m’embrassa à nouveau. Il se retira et se mit sur le côté pour me dire :
-C’était juste incroyable. C’est dingue, même avec ta sœur, je n’ai jamais ressenti une telle chose.
-Comment ça ?
-Je ne sais pas mais c’était tellement bon. Je crois que c’est le meilleur orgasme que j’ai eu jusqu’à présent.
Il m’embrassa à nouveau puis se leva en me regardant.
-Bon, allé lève-toi. Je te prépare ton petit déjeuner et ensuite on fait un peu de ménage avant qu’elle arrive car c’est un peu le bordel dans l’appart et ça put le sexe.
Nous avons donc pris notre petit-dej en discutant. Je ne me sentais pas son vide couilles à ce moment là puis nous avons nettoyer et aéré l’appartement dans tous les recoins. De temps en temps, il venait m’enlacer et m’embrasser. Vers midi, Claire appela pour dire qu’elle serait de retour plus tôt, vers 15h. Nous sommes allés nous doucher tous les deux ensembles et pour le remercier de cette journée je lui ai taillé une pipe pendant que l’eau coulait. J’étais à genoux sous la douche pendant que lui avait les deux mains sur la paroi et gémissant. Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il m’inonde la bouche de son jus si délicieux.
Nous sommes allés nous habiller puis il a préparé sa valise pour une semaine en me disant de ne rien préparer car je devais faire celui qui ne savait rien.
L’après-midi se déroula très vite. A 15h30, Claire arriva et posa ses bagages dans la chambre. Elle n’était là que depuis 10 minutes qu’elle se mit en colère car elle vit la valise d’Aloïs. Ils se sont disputés pendant plus d’une demi-heure et je ne savais plus où me mettre. Une fois le calme revenu, je les ai entendu baiser dans la chambre. J’étais un peu jaloux je dois dire à ce moment-là.
Quand ils sont revenus vers moi, ma sœur était un peu plus détendue et souriante.
-Désolé p’tit frère de m’être emportée tout à l’heure.
-T’inquiètes pas ce n’est pas grave.
-Au fait ma chérie, j’ai une idée pour que ton frère profite un peu plus de ses vacances ? dit Aloïs.
-Ah oui, quoi donc ?
-Ben, si ton frère est d’accord, je peux l’emmener avec moi dans les Vosges cette semaine et pendant que je vais taffer, lui pourra profiter d’aller se balader, de voir un peu du paysage. Ça lui changera de rester ici à se faire chier dans le coin ? Tu en dis quoi toi, Baptiste ?
-Ben euh, je ne voudrais pas te déranger ?
-Si je te le propose, c’est que ça me fait plaisir.
-Je vois que tous les deux vous vous êtes rapprocher un peu, ça fait plaisir à voir, dit ma sœur en souriant. Et moi, du coup, je me retrouve toute seule ?
-Tu vas bosser cette semaine donc il ne te verra pas beaucoup. Et oui, on a enfin pu discuter un peu le soir tous les deux. On a peut-être 13 ans d’écart mais j’ai l’impression d’avoir un petit frère aussi maintenant.
-C’est pas faux. Tu en penses quoi p’tit frère alors ?
-Euh, oui ça serait top en plus je ne connais pas par là-bas. Et ça me permettra de penser à autre chose que les cours qui reprennent la semaine suivante.
-Eh bien, ne perds pas de temps, vas faire ton sac car on part d’ici trente minutes.
Je partis faire mon sac le plus rapidement possible, on a bu un petit café avec ma sœur et Aloïs s’éclipsa à la salle de bain avant de partir. Nous fîmes aurevoir à ma sœur et direction la voiture. Claire embrassa passionnément Aloïs puis il démarra. Arrivé à la sortie de la ville, il se gara sur un parking et attendit.
-Tu fais quoi lui dis-je ?
-Ben, j’avais envie de t’embrasser p’tit Cœur ?
Je n’eu pas le temps de répondre qu’il m’attrapa la tête et m’embrassa. Je fus surpris du surnom qu’il me donna puis il démarra à nouveau.
-Au fait, on va dormir où ? Et p’tit Cœur ?
-Alors, j’ai réservé un petit cottage dans un camping à Corcieux. Et pour le surnom, j’en avais juste envie là tout de suite. Donc c’est soit ça ou alors tu préfères que je t’appelle sale batard ?
-Non, non mais je ne m’y attendais vraiment pas.
-D’autres questions monsieur, je veux tout savoir ?
-Non, non.
Nous avons mis plus de trois heures à arriver plus le temps de passer à l’accueil pour prendre la clé du cottage car il y avait du monde, cela m’a épuisé. Arrivé sur place, l’endroit était superbe. Un super cottage pour quatre personnes avec petite terrasse sur pilotis qui donnait sur un grand étang.
Je n’eu pas le temps de poser mes affaires qu’il me porta jusque dans la chambre. Il me déposa au sol et commença par me déshabiller puis il se déshabilla à son tour. Il me poussa sur le lit puis vint me rejoindre. Il me monta dessus puis vint m’embrasser dans le coup puis avec sa langue, parcouru tout mon torse pour remonter jusqu’à ma bouche pour m’embrasser. Je me suis agrippé à lui et lui rendis son baiser. Il se redressa ensuite puis me regarda.
-Putain, tu me rends dingue toi. Je n’ai jamais baisé autant une nana qu’avec toi. J’ai l’impression que tu m’as envoûté.
-Pffuu, t’es nul. Ça te passera quand je serais parti la semaine prochaine.
-J’en suis pas sûr. Je ne sais pas pourquoi mais dès que je te vois, j’ai envie de toi.
Je n’eu pas le temps de répondre qu’il me mit sur le côté et vint se placer derrière moi en me chuchotant à l’oreille :
-T’inquiètes pas, je me suis lavé la queue juste avant de partir. Je ne voulais pas que tu ais le goût de ta sœur quand je l’ai baisé pour la calmer.
Puis je sentis sa queue pointée le bout de son gland près de mon petit trou. Il la fit pousser tout doucement pour qu’elle rentre en douceur et j’en ai gémit tellement il faisait ça bien. Il commença à me limer tout doucement puis ses coups de reins devinrent plus rapide mais très doux à la fois. J’avais envie de sa queue dans ma bouche alors je me suis extirpé et je me suis jeté sur sa queue bien dure. Je la pris directement en gorge profonde ce qui le fit pousser un cri d’extase. Je lui ai ensuite sucé comme un acharné et au bout de dix minutes de ce traitement, je me suis mis à quatre pattes sur le lit et l’ai regardé sans rien dire. Il a compris tout de suite et est venu me planter sa queue bien à fond et d’un coup sec. C’est ce que je voulais absolument. Au bout d’un bon quart d’heure à me faire limer comme ça, il ressortit sa queue et me la replanta d’un coup violent ce qui me fit crier de joie et lui s’est mit à éjaculer une bonne dizaine de jets de son bon jus.
-Putain, une fois de plus, je viens de te prouver que tu m’appartenais vu que je viens encore de te féconder.
C’est à ce moment là que quelqu’un sonna à la porte. Aloïs se leva et parti ouvrir à poil sans aucune gêne. Après cinq minutes, il m’appela :
-P’tit Cœur, vient voir s’il te plaît.
Je me levai puis enfilai un short pour le rejoindre. Il était à poil devant un mec d’environ 25 ans qui devait travailler sur le camping vu la tenue qu’il portait.
-Ce soir, nous sommes invités pour un pot d’accueil des nouveaux arrivants sur le camping.
Le mec était rouge pivoine et regardait de temps à autre la queue d’Aloïs qui ballottait quand il marchait. Il nous remit le carton d’invitation et bredouilla à tout à l’heure puis parti presque en courant.
-Je crois que je l’ai troublé…
Fin du chapitre 8
Je vis une main passer près de ma tête et c’était celle de Corentin qui prit la grosse queue de mon beauf pour la sortir de ma bouche et la branler un peu. Je sentais son corps appuyer sur le mien puis l’impensable se produisit : Corentin prit la queue d’Aloïs en bouche et commencer à la sucer tout en me donnant des coups de reins. Je suis resté stupéfait puis regardais mon beauf qui avait la tête en arrière et qui n’avait pas fait attention à ce qui se passait. Sans crier, Corentin me remplit le cul de tout son jus puis se retira sans retirer la main de la queue d’Aloïs. Il me poussa violemment au sol puis repris la pipe sur Aloïs qui entendit le bruit que je fis en tombant. Il baissa sa tête et vit Corentin le sucer de toute ses forces. Je pense que cela a dut l’exciter à mort car je l’ai entendu pousser un cri de jouissance énorme. Corentin avait du sperme qui coulait le long de sa lèvre mais n’interrompit pas sa pipe tant que la bite de son pote ne fut pas nettoyée. Il regarda ensuite Aloïs et ouvrit la bouche pour lui montrer qu’il avait tout avalé.
-Putain de merde mec, mais qu’est-ce que tu as foutu ? (dit Aloïs).
Aloïs releva son pote et le colla contre le mur avec rage. Je ne l’ai jamais vu dans cet état de colère.
-Réponds-moi, putain ?
-Je n’en sais rien, c’est venu dans l’excitation.
-Mais arrêtes tes conneries, on ne suce pas un mec et on n’avale pas son jus comme tu viens de le faire ? C’est quoi ton problème. Oh pis merde, casses-toi de chez moi, tu me dégoutes.
-Mais, laisses-moi juste t’expliquer !
-Casses-toi !
Corentin pris ses affaires, s’habilla et partit. Avant de fermer la porte, il me regarda et je vis couler une larme.
-Putain, mais ça casse les couilles !
Je ne savais pas quoi dire. Puis je lui demandai :
-Je peux faire quelque chose pour toi Aloïs ?
-Quoi ? Non, rien ! Va prendre ta douche et va dans le lit, je t’y retrouve tout à l’heure.
Je partis donc prendre ma douche et je le vis prendre son portable et envoyer un message. Une fois la douche prise, je partis me mettre dans le lit sans parler. Il vint me rejoindre trente minutes plus tard après être passé par la salle de bain. Il vint se mettre dans le lit sur le dos et ouvrit son bras pour que je vienne m’installer contre son torse. Je me blottis contre lui sans rien dire et ma main caressait son torse musclé. Il se détendit un peu et referma son bras contre moi et me caressa le dos tendrement.
-Je n’arrive toujours pas comprendre ce qui lui a prit de faire ça bordel de merde ? Tu y comprends quelque chose toi ?
-Ben euh, non, pas vraiment. Je l’ai juste vu s’emparer de ta belle queue comme un dingue pour te pomper.
-Oui mais c’est mon pote putain. Ce n’est pas une fiote. Il a eu pleins de meufs. Je ne comprends rien du tout.
-Il a peut-être vraiment été excité comme il te l’a dit et dans le feu de l’action, …
-Non, je le connais trop bien pour qu’il me fasse ça. Il avait le regard d’une salope. Tiens, il avait le même regard que toi quand tu me pompes. J’ai trop les nerfs, faut que j’arrive à me calmer. Pour le moment, y’a qu’une chose pour me faire oublier tout ça et me calmer alors suces ma bite petite salope et après je te défonce ton petit cul.
Je ne me fis pas prier et m’installa entre ses jambes pour prendre sa queue en bouche qui se réveilla dans ma bouche en très peu de temps. Il me prit la tête et commença à me baiser la bouche comme si c’était un jouet. J’en avais mal à la mâchoire mais je n’osais rien dire de peur de le mettre en colère. Il me fit m’allonger sur le dos et vint se placer au-dessus de moi pour me baiser la bouche encore plus profondément. Ma salive coulait sur mes joues et j’ai cru m’étouffer plus d’une fois. Après quinze bonnes minutes de ce pilonnage, il me mit à quatre pattes et vint m’enculer comme un dingue ce qui me fit pousser un cri.
-Putain, fermes ta gueule et encaisse en silence.
Il mit ma tête dans les coussins pour ne pas m’entendre et me mit des coups de reins de plus en plus fort avec une rage immense. Je l’entendais grogner comme une bête et je sentais sa sueur me couler dans le dos tellement il y allait fort. Il ne changea pas de position et me baisa comme ça pendant vingt minutes. Je mordais le coussin tellement j’avais envie de crier. Dans un dernier grand coup de reins, je sentis tout son sperme se déverser au fond de mes entrailles. Il s’écroula sur le dos. Il me fit me renverser dans le lit et me prit dans ses bras et il s’endormit comme ça assez rapidement.
Le lendemain matin, je sentais que quelque chose me titillait mon petit trou. J’ouvris les yeux et tournai la tête en direction d’Aloïs qui me regardait avec un regard plus que charmeur.
-Ah tu te réveilles enfin ? Ça va faire une heure que je te tripote le cul mais rien. Il suffisait juste que je te présente mon gland contre ton petit trou pour que monsieur se réveille.
-Bonjour Aloïs.
-Bonjour toi, me dit-il en venant m’embrasser à pleine bouche.
Je fus surpris par ce geste tendre de sa part et me laissai aller. Il me retourna pour que l’on soit face à face tout en m’embrassant et me faisant rapprocher de son corps. Il me caressait le dos, puis les fesses. Je sentais sa queue bien dure contre la mienne. Puis il s’arrêta et me regarda droit dans les yeux en me disant :
-Bon, je ne te l’ai pas encore dit mais ta sœur (Claire) va revenir plus tôt que prévue. Tu vas devoir retourner dormir sur le canapé à partir de ce soir.
-Mais, elle ne devait rentrer qu’en fin de semaine prochaine ?
-Oui, je sais, mais elle m’a laissé un vocal ce matin pour m’annoncer la nouvelle.
-Ah ok. Du coup, je vais me retrouver chez vous seul avec elle sans pouvoir t’accompagner à ton taf ?
-Sois pas déçu. J’ai déjà tout prévu.
-C’est-à-dire ?
-Normalement, je devais partir en déplacement dans quinze jours mais je peux changer mes plans et du coup faire en sorte de partir ce soir jusqu’à vendredi. Y’a de la route à faire pour aller dans les Vosges. Et je dirais en même temps que je t’embarque avec moi comme ça ça te fera quelques vacances pendant que j’irai bosser. Mais surtout, il faut que tu fasses celui qui ne savait rien, ok ?
-Trop bien, oui ok. Mais du coup, je vais faire quoi en t’attendant ?
-Mon déplacement n’est que sur une journée et demi donc je pourrais profiter de ton petit cul le reste de la semaine. Ça te va ?
-Oui Aloïs.
Il m’embrassa à nouveau tout en me faisant basculer cette fois-ci au-dessus de lui. Il me caressa le torse avec une main et mon cul avec l’autre. J’ondulais du bassin sur lui pour que sa queue masse ma raie. Je le voyais fermer les yeux de temps en temps pour me montrer qu’il aimait ça. Cette fois-ci, ce n’était pas brutale mais plutôt très sensuel. Je pris donc les choses en mains en prenant sa queue entre mes doigts en la masturbant tout doucement et en l’approchant de plus en plus de mon petit trou qui ne désirait que ça. Je me relevai lentement tout en le regardant et glissa sa queue dans mon cul. Il se mordit les lèvres en fermant les yeux. Il mit ses mains sur mes hanches et me laissa faire des allers retours sur cette queue bien dure. A chaque fois que je la prenais bien au fond de mes entrailles, je sentais ses couilles buter contre mon cul. Nous avons fait ça pendant bien quinze minutes tout en nous regardant droit dans les yeux. C’était l’extase. Je me mis ensuite sur le dos en écartant les cuisses pour lui faire comprendre que je voulais qu’il vienne en moi tout en me regardant à nouveau. Il vint placer sa queue dans mon cul pendant que je mettais mes jambes sur ses épaules. Il attrapa donc les cuisses et commença ses vas et viens le plus doucement possible ce qui me faisait bander de plus en plus car je ne l’avais encore jamais vu comme ça. Mes mains se positionnaient contre ses fesses pour sentir sa pénétration encore plus forte. Il se rapprocha de ma bouche et m’embrassa en faisant des mouvements de langues qui me firent chavirer. Cela me provoqua une éjaculation que je n’avais pas sentis venir. Mon cul se resserra contre sa verge et je l’entendis hurler de joie en déversant son foutre tout au fond de moi. Il s’écroula ensuite sur moi et sa main vint caresser sa joue. Il ne bougea pas pendant cinq minutes puis m’embrassa à nouveau. Il se retira et se mit sur le côté pour me dire :
-C’était juste incroyable. C’est dingue, même avec ta sœur, je n’ai jamais ressenti une telle chose.
-Comment ça ?
-Je ne sais pas mais c’était tellement bon. Je crois que c’est le meilleur orgasme que j’ai eu jusqu’à présent.
Il m’embrassa à nouveau puis se leva en me regardant.
-Bon, allé lève-toi. Je te prépare ton petit déjeuner et ensuite on fait un peu de ménage avant qu’elle arrive car c’est un peu le bordel dans l’appart et ça put le sexe.
Nous avons donc pris notre petit-dej en discutant. Je ne me sentais pas son vide couilles à ce moment là puis nous avons nettoyer et aéré l’appartement dans tous les recoins. De temps en temps, il venait m’enlacer et m’embrasser. Vers midi, Claire appela pour dire qu’elle serait de retour plus tôt, vers 15h. Nous sommes allés nous doucher tous les deux ensembles et pour le remercier de cette journée je lui ai taillé une pipe pendant que l’eau coulait. J’étais à genoux sous la douche pendant que lui avait les deux mains sur la paroi et gémissant. Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il m’inonde la bouche de son jus si délicieux.
Nous sommes allés nous habiller puis il a préparé sa valise pour une semaine en me disant de ne rien préparer car je devais faire celui qui ne savait rien.
L’après-midi se déroula très vite. A 15h30, Claire arriva et posa ses bagages dans la chambre. Elle n’était là que depuis 10 minutes qu’elle se mit en colère car elle vit la valise d’Aloïs. Ils se sont disputés pendant plus d’une demi-heure et je ne savais plus où me mettre. Une fois le calme revenu, je les ai entendu baiser dans la chambre. J’étais un peu jaloux je dois dire à ce moment-là.
Quand ils sont revenus vers moi, ma sœur était un peu plus détendue et souriante.
-Désolé p’tit frère de m’être emportée tout à l’heure.
-T’inquiètes pas ce n’est pas grave.
-Au fait ma chérie, j’ai une idée pour que ton frère profite un peu plus de ses vacances ? dit Aloïs.
-Ah oui, quoi donc ?
-Ben, si ton frère est d’accord, je peux l’emmener avec moi dans les Vosges cette semaine et pendant que je vais taffer, lui pourra profiter d’aller se balader, de voir un peu du paysage. Ça lui changera de rester ici à se faire chier dans le coin ? Tu en dis quoi toi, Baptiste ?
-Ben euh, je ne voudrais pas te déranger ?
-Si je te le propose, c’est que ça me fait plaisir.
-Je vois que tous les deux vous vous êtes rapprocher un peu, ça fait plaisir à voir, dit ma sœur en souriant. Et moi, du coup, je me retrouve toute seule ?
-Tu vas bosser cette semaine donc il ne te verra pas beaucoup. Et oui, on a enfin pu discuter un peu le soir tous les deux. On a peut-être 13 ans d’écart mais j’ai l’impression d’avoir un petit frère aussi maintenant.
-C’est pas faux. Tu en penses quoi p’tit frère alors ?
-Euh, oui ça serait top en plus je ne connais pas par là-bas. Et ça me permettra de penser à autre chose que les cours qui reprennent la semaine suivante.
-Eh bien, ne perds pas de temps, vas faire ton sac car on part d’ici trente minutes.
Je partis faire mon sac le plus rapidement possible, on a bu un petit café avec ma sœur et Aloïs s’éclipsa à la salle de bain avant de partir. Nous fîmes aurevoir à ma sœur et direction la voiture. Claire embrassa passionnément Aloïs puis il démarra. Arrivé à la sortie de la ville, il se gara sur un parking et attendit.
-Tu fais quoi lui dis-je ?
-Ben, j’avais envie de t’embrasser p’tit Cœur ?
Je n’eu pas le temps de répondre qu’il m’attrapa la tête et m’embrassa. Je fus surpris du surnom qu’il me donna puis il démarra à nouveau.
-Au fait, on va dormir où ? Et p’tit Cœur ?
-Alors, j’ai réservé un petit cottage dans un camping à Corcieux. Et pour le surnom, j’en avais juste envie là tout de suite. Donc c’est soit ça ou alors tu préfères que je t’appelle sale batard ?
-Non, non mais je ne m’y attendais vraiment pas.
-D’autres questions monsieur, je veux tout savoir ?
-Non, non.
Nous avons mis plus de trois heures à arriver plus le temps de passer à l’accueil pour prendre la clé du cottage car il y avait du monde, cela m’a épuisé. Arrivé sur place, l’endroit était superbe. Un super cottage pour quatre personnes avec petite terrasse sur pilotis qui donnait sur un grand étang.
Je n’eu pas le temps de poser mes affaires qu’il me porta jusque dans la chambre. Il me déposa au sol et commença par me déshabiller puis il se déshabilla à son tour. Il me poussa sur le lit puis vint me rejoindre. Il me monta dessus puis vint m’embrasser dans le coup puis avec sa langue, parcouru tout mon torse pour remonter jusqu’à ma bouche pour m’embrasser. Je me suis agrippé à lui et lui rendis son baiser. Il se redressa ensuite puis me regarda.
-Putain, tu me rends dingue toi. Je n’ai jamais baisé autant une nana qu’avec toi. J’ai l’impression que tu m’as envoûté.
-Pffuu, t’es nul. Ça te passera quand je serais parti la semaine prochaine.
-J’en suis pas sûr. Je ne sais pas pourquoi mais dès que je te vois, j’ai envie de toi.
Je n’eu pas le temps de répondre qu’il me mit sur le côté et vint se placer derrière moi en me chuchotant à l’oreille :
-T’inquiètes pas, je me suis lavé la queue juste avant de partir. Je ne voulais pas que tu ais le goût de ta sœur quand je l’ai baisé pour la calmer.
Puis je sentis sa queue pointée le bout de son gland près de mon petit trou. Il la fit pousser tout doucement pour qu’elle rentre en douceur et j’en ai gémit tellement il faisait ça bien. Il commença à me limer tout doucement puis ses coups de reins devinrent plus rapide mais très doux à la fois. J’avais envie de sa queue dans ma bouche alors je me suis extirpé et je me suis jeté sur sa queue bien dure. Je la pris directement en gorge profonde ce qui le fit pousser un cri d’extase. Je lui ai ensuite sucé comme un acharné et au bout de dix minutes de ce traitement, je me suis mis à quatre pattes sur le lit et l’ai regardé sans rien dire. Il a compris tout de suite et est venu me planter sa queue bien à fond et d’un coup sec. C’est ce que je voulais absolument. Au bout d’un bon quart d’heure à me faire limer comme ça, il ressortit sa queue et me la replanta d’un coup violent ce qui me fit crier de joie et lui s’est mit à éjaculer une bonne dizaine de jets de son bon jus.
-Putain, une fois de plus, je viens de te prouver que tu m’appartenais vu que je viens encore de te féconder.
C’est à ce moment là que quelqu’un sonna à la porte. Aloïs se leva et parti ouvrir à poil sans aucune gêne. Après cinq minutes, il m’appela :
-P’tit Cœur, vient voir s’il te plaît.
Je me levai puis enfilai un short pour le rejoindre. Il était à poil devant un mec d’environ 25 ans qui devait travailler sur le camping vu la tenue qu’il portait.
-Ce soir, nous sommes invités pour un pot d’accueil des nouveaux arrivants sur le camping.
Le mec était rouge pivoine et regardait de temps à autre la queue d’Aloïs qui ballottait quand il marchait. Il nous remit le carton d’invitation et bredouilla à tout à l’heure puis parti presque en courant.
-Je crois que je l’ai troublé…
Fin du chapitre 8
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