Mon Beauf, cet hétéro canon (9)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
Auteur .
  • • 25 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Tounet39270 ont reçu un total de 75 218 visites.
Récit libertin : Mon Beauf, cet hétéro canon (9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 280 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Mon Beauf, cet hétéro canon (9)
Chapitre 9

Je me levai puis enfilai un short pour le rejoindre. Il était à poil devant un mec d’environ 25 ans qui devait travailler sur le camping vu la tenue qu’il portait.

-Ce soir, nous sommes invités pour un pot d’accueil des nouveaux arrivants sur le camping.

Le mec était rouge pivoine et regardait de temps à autre la queue d’Aloïs qui ballottait quand il marchait. Il nous remit le carton d’invitation et bredouilla à tout à l’heure puis parti presque en courant.

-Je crois que je l’ai troublé.

Une fois la porte refermée, Aloïs vint m’embrasser puis me dit :

-Bon, ce soir j’ai envie de m’amuser un peu, qu’en dis-tu ?
-Oui, je suis d’accord mais tu veux t’amuser comment ?
-Ce soir, je vais te baiser comme jamais mais à plusieurs ça serait encore mieux, tu ne crois pas mon p’tit Cœur ?
-Euh, tu es sûr ? Et tu veux faire comment ?
-On va chasser à deux. Toi tu te sappes plutôt sexy : petit short qui moule bien ton beau petit cul avec un haut bien près du corps. Je sais que tu as ça dans tes affaires, je les ai fouillées l’autre jour et moi je parle ok ?
-Je suis pas très sûr de vouloir.
-Tu faisais pas ta sainte ni touche l’autre jour avec mes potes ?
-Ce n’était pas pareil.
-Putain, tu fais chier. De toute façon, tu es as moi, donc tu fais ce que je te demande. J’ai beau t’appeler p’tit Cœur en privé mais ça ne change rien entre nous, ok ?
-Bien Aloïs.
-Je préfère. Donc ce soir, je veux te baiser et te voir te faire baiser ok ?
-Oui, Aloïs.

Je n’avais pas envie de le décevoir donc je me résignais même si au fond de moi je savais que j’aimais ça. J’avais juste envie d’être juste avec lui ce soir.

-Mais au fait, tu ne travailles pas demain ? dis-je.
-Si, si mais je ne commence que vers 14h, donc j’ai le temps de dormir demain matin. Bon, c’est pas le tout mais à la douche.

Aloïs me poussa direction la salle de bain où il me déshabilla et rentra avec moi dans la cabine de douche. Il alluma l’eau et vint m’embrasser directement. Je sentis sa queue se redresser d’un coup contre mon ventre et ses mains vinrent me caresser les fesses.

-Tu ne t’arrêtes jamais toi ?
-Ben quoi, quand je peux baiser un bon cul je ne vais pas me gêner et je suis toujours chaud même plusieurs fois par jour. Ta sœur, elle, c’est plus rare. Et ne me fais pas croire que tu es déjà fatigué de te prendre ma queue ?
-Non, non loin de là.
-C’est bien ce qu’il me semblait.

Il m’embrassa à nouveau puis me retourna violemment en me faisant cambrer un maximum le cul. Il se mit à genoux et vint me bouffer le cul comme jamais on ne me l’avait fait. Mon dieu, que sa langue est bonne. Entre l’eau qui ruisselait sur mon corps et ses mains qui me caressait le ventre, les tétons, la bite puis le dos ainsi que sa langue dans mon cul, je gémissais comme une vraie chienne en chaleur. Au bout de dix minutes, il me fit me baisser et se releva en me mettant sa queue bien au fond de ma gorge. Il se mit à me pilonner la bouche comme un dingue. J’avais des hauts le cœur tellement il y allait fort. La salive coulait des deux côtés de ma bouche. Il me bloqua la tête avec ses deux mains en me foutant sa queue bien en fond de gorge pendant presque une minute. Les larmes coulaient et je le regardais pour lui faire comprendre que je n’en pouvais plus. Il retira sa bite de ma bouche et me biffla très fort sur le visage.
Il me fit me relever et me retourna violemment. Il me fit cambrer à nouveau et me planta sa queue directement et bien à fond dans mon cul. Je poussai un cri mais il n’en fit pas cas. Il ressortit sa queue et la replanta avec violence mais cette fois-ci ça allait mieux. Et là, il commença à me limer très vite. A chaque coup de rein, je me cognais contre la paroi de la douche. Je le sentais grogner de plaisir et il ne s’arrêtait plus de me défoncer le cul. Il me baisa dans cette position et mon dieu que je ne sentais plus mes jambes durant plus de vingt minutes. Il se retira d’un coup sec et me fit me mettre à genoux devant lui en arrêtant l’eau. Il me fixa d’un regard noir et gicla une dizaine de jets de foutre bien chaud sur le visage. J’en reçu dans les yeux, la bouche, les cheveux. J’en avais partout. Il me regarda avec un regard sadique et me dit :

-Je t’ai baisé comme ça pour m’avoir un peu contrarié tout à l’heure et tu vas rester comme ça le temps que je me lave. Tu n’as pas le droit de lécher mon jus. Tu te laveras après moi. C’est compris p’tit Cœur ?
-Oui Aloïs.
-Bien. Bouges pas, j’ai envie de pisser.

Je n’eu pas le temps de dire quoi que ce soit, qu’il prit sa queue entre ses mains et m’arrosa de son urine. Puis il se lava en me narguant avec sa queue devant mon visage. Celle-ci était en demi molle car je crois que tout cela l’excitait. Une fois qu’il fut sorti de la douche puis essuyé, il me dit que c’était à mon tour et que je devais bien me nettoyer. Je fis donc ce qu’il me demanda puis allai m’habiller. Quand je mis mon short, je me suis rendu compte qu’à l’intérieur de mes poches arrière, celle-ci avaient été découpées. Je préférai ne rien lui demander et je le rejoignis ensuite dans le salon. Lui portait un short chino de couleur vert sapin avec une chemise en lin blanche. Il était très sexy comme ça.

Vers 19h, nous sommes donc partis pour le pot d’accueil qui se trouvait vers le bar du camping. Il me prit la main devant tout le monde pour montrer que j’étais sa propriété et surement aussi pour voir si des mecs matais ce qui lui aurait permit de chasser un peu. Nous sommes arrivés et sommes allés nous servir un verre. Il regardait de tous les côtés puis vit un petit groupe de trois mecs d’environs son âge qui nous matait en se fendant la poire. Je le vis faire un grand sourire et me dit de se suivre toujours en gardant sa main autour de mon épaule. Il s’approcha d’eux puis leur dit :

-Y’a un soucis les mecs ?
-C’est quoi ton problème mec ? dis-l’un d’eux.
-Moi, aucun, c’est vous qui avez l’air de vous foutre un peu de notre gueule.
-Non, non t’inquiètes pas mec. En fait, mon pote a juste dit un truc sur les gays mais rien de bien méchants.
-Ok et quoi donc ?
-Ben non, j’ai vraiment envie de faire des histoires mec.
-T’inquiètes pas je ne le prendrais pas mal, je te rassure. Je ne suis pas gay du tout. Y’a juste lui.
-Euh mais vous avez l’air en couple non ?
-Pas du tout mais si tu me dis ce que ton pote vient de te dire, je te dirai aussi un petit secret.

Il regarda ses potes qui haussèrent des épaules puis dit :

-Ben juste que les gays aiment baiser dès qu’il y a une bonne bite devant eux.
-En fait, c’est pas si drôle, ce n’est pas totalement faux mais y’a aussi des exceptions.
-Alors, c’est quoi ce secret ?
-Eh bien, comme je te l’ai dit, je ne suis pas gay mais le mec qui est avec moi, c’est mon beau-frère que j’encule tous les jours.
-Et mec, c’est chelou ton truc. Et après tu dis de ne pas être gay ?

A ce moment-là, Aloïs mit sa main dans ma poche arrière et je la sentis me caresser le cul (vu que je n’avais pas mis de sous-vêtements). Sa main se rapprochait dangereusement de mon petit trou et il mit le bout du doigt pour me titiller. Je fus surpris et eus un léger sursaut. Les trois mecs me regardèrent bizarrement.

-En plus t’as la main sur son cul et tu dis ne pas être gay ?
-Non, je ne suis pas gay. J’adore juste fourrer son cul. Il a un cul encore mieux que celui d’une meuf. Et si tu savais aussi comme il suce, tu tomberais à la renverse. Et tu veux savoir autre chose ?
-Euh, je ne sais pas trop, on ne se connait pas et là franchement, la conversation devient bizarre.
-Dommage pour toi alors.

Je vis que le mec voulait savoir mais n’osait pas demander. Aloïs le vit aussi et s’approcha de l’oreille du mec en lui disant doucement :

-Là, je suis juste en train de lui titiller la rondelle et crois-moi une fois que tu y a gouté, tu ne peux plus t’en passer. N’hésite surtout pas à venir tester. Tu n’as juste qu’à mettre une main dans ses poches arrière et tu verras que je ne te mens pas.

Le mec se recula un peu en me regardant. Il était rouge au visage. Aloïs repris la parole et dit :

-Bon, moi c’est Aloïs, et lui c’est Baptiste. Et vous ?
-Moi c’est Pierre, et mes potes : Bastien et Nathan.
-Enchanté les mecs.
-Salut, dirent les deux autres.
-Ton beau-frère ne parle pas ?
-Non, il m’obéit donc il attend que je lui dise quoi faire.
-Un peu comme un soumis quoi ?
-C’est un peu ça. Si on allait boire un verre, dis Aloïs.

Il avait toujours sa main dans ma poche arrière et son doigt qui me titillait. Ma queue bandait tellement c’était excitant. Les mecs ont discuté durant presque deux heures en rigolant et surtout en parlant de cul. Je ne savais plus où me mettre. Puis Aloïs arrêta de me titiller pour me faire un léger baiser sur la bouche ce qui surpris les trois autres. Pierre était celui qui nous matait le plus ou je devrais dire matait mon cul à plusieurs reprises.

-N’oublies pas ce que je t’ai dit tout à l’heure, dit Aloïs à Pierre.
-Oui, ok pas de soucis je me souviens.
-Il t’a dit quoi, fit Nathan.
-Je te dirai plus tard.
-Ok.

Bastien me tendit une bière que je pris volontiers car j’avais très soif et j’étais surtout très anxieux. Nous étions un peu éloignés des autres durant la soirée et les quatre mecs continuaient à boire et rigoler. Quand je sentis à nouveau la main d’Aloïs venir dans ma poche et s’insérer près de mon trou. Je ne reconnu pas la main d’Aloïs et tournai la tête immédiatement. Je vis le sourire de Pierre qui enleva aussitôt sa main et dit assez fort.

-Mec, t’avais raison, en regardant Aloïs.
-Eh bien, si tu veux tester, c’est quand tu veux.

Fin du chapitre 9

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Mon Beauf, cet hétéro canon (9)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Tounet39270

Mon Beauf, cet hétéro canon (9) - Récit érotique publié le 04-09-2025
Mon Beauf, cet hétéro canon (8) - Récit érotique publié le 02-09-2025
Mon Beauf, cet hétéro canon (7) - Récit érotique publié le 30-08-2025
Mon Beauf, cet hétéro canon (6) - Récit érotique publié le 29-08-2025
Mon Beauf, cet hétéro canon (5) - Récit érotique publié le 25-08-2025
Mon Beauf, cet hétéro canon (4) - Récit érotique publié le 21-08-2025
Mon Beauf, cet hétéro canon (3) - Récit érotique publié le 19-08-2025
Mon Beauf, cet hétéro canon (2) - Récit érotique publié le 18-08-2025
Mon Beauf, cet hétéro canon (1) - Récit érotique publié le 13-08-2025
Le mariage de ma petite soeur Julie (16) - Récit érotique publié le 10-08-2025