Monique se libère 1 - Embarquement pour Cythère - histoire érotique

Je m'appelle Nadine et j'ai 33 ans, mariée en seconde noce avec Yanis, grec de 50 ans.
En un an mon amie, Monique, a dévoilé sa vraie nature. L'oie blanche est devenue une véitable gourgandine. Après lui avoir fait découvrir les plaisirs charnels à deux je l'ai partagée avec mon mari.
On s'est retrouvé plusieurs fois à trois, puis nous avons rencontré et sympathisé avec Olivier, son mari (en tout bien tout honneur) et finalement tous ensemble avons décidé de partager nos vacances en Grèce.

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Dans l'avion pour Athènes, Yanis voyage avec Olivier. De mon côté avec Monique nous papotons et nous nous réjouissons de nos prochaines vacances. Nous reparlons de notre rencontre, de ce que nous avons vécu ces derniers mois, de sa transformation physique et mentale. Les trois heures de vol passent très vite. Nous arrivons au milieu de la nuit à l'hôtel Intercontinental et chaque couple va se reposer dans sa chambre.

Dans le lit, Yanis me parle de son voyage avec Olivier. J'apprends que c'est une lopette et de plus soumis à une vieille bonne femme... Pas étonnant alors, qu'il ne s'intéresse pas à sa femme. On s'endort en blaguant et en pensant qu'on lui fera découvrir les plaisirs du candaulisme et qu'il apprendra ce que veut dire « Va-te faire voir chez les grecs »... d'autant plus vite que Yanis le trouve sympa !

Le lendemain matin on se retrouve dans l'immense salle du petit déjeuner de l'hôtel. Le buffet est aussi beau que grand avec beaucoup de monde c'est une véritable fourmilière. L'ambiance à table est très joyeuse, tous les quatre nous parlons du voyage en avion, de la nuit, de la prochaine croisière, de la vie dans les îles. Après s'être restaurés, Yanis répartit les rôles, il va préparer le bateau et s'occuper des approvisionnements, tandis qu'avec Monique et Olivier je ferai du tourisme au Parthénon et en ville.

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A 16 heures nous arrivons au port et retrouvons mon mari sur son voilier de 15 mètres "Andromaque II". Nous chargeons les bagages et nous nous installons.

A l'avant il y a une cabine avec un grand lit trapézoïdale formé par la proue du navire ; un passage avec une toilette/douche d'un côté et un rangement de l'autre la sépare du carré. Le carré est la pièce à vivre avec le coin des cartes, la cuisine et deux banquettes/couchettes individuelles, en pliant la table centrale, deux autres couchages peuvent être installés au sol entre les banquettes. C'est un bateau très confortable et les parois en acajou vernis donnent une impression de luxe. Nous rangeons nos habits et nous préparons au départ.

Yanis, ancien lieutenant de vaisseau, est un marin confirmé et je suis depuis notre mariage son mousse. Nous avons l'habitude de manier le voilier à deux mais voulons que tous participent et qu'Olivier devienne un vrai "voileux".

Nous quittons Le Pirée au moteur ; dès la sortie du port, nous levons les voiles, la mer est calme et grâce à une bonne brise, sans tirer trop de bords, la côte s'éloigne rapidement. Nous mettons le cap vers une petite île inhabitée face à nous. En une heure et demie nous arrivons dans une crique où Yanis décide de mouiller pour la première nuit.

Nous rejoignons la plage avec l'annexe, en emportant tout ce qu'il faut pour dîner. Arrivée sur le sable je mets tout le monde au diapason en enlevant le maillot.

Le plus naturellement du monde Monique se déshabille sous les yeux exorbités de son mari, il en reste bouche-bée. Au même moment Yanis s'exhibe fièrement, musclé, la peau basanée avec une broussaille noire sur le torse et le ventre au bas duquel pendouille une belle queue d'une quinzaine de centimètres. Olivier assis par terre est paniqué, après un temps de réflexion et la demande répétée de sa femme, il quitte son maillot maladroitement, assis en passant d'une fesse sur l'autre. Ouais, sans être un Apollon il n'est pas mal pour ses 50 ans, un peu maigrichon mais sinon bien foutu.

Je le taquine en faisant un pas de plus dans ma démonstration de mon attachement à sa femme, je la prends par la main, l'embrasse du bout des lèvres et en criant de nous suivre nous courrons vers la mer jusqu'à perde l'équilibre et nous affaler dans l'eau. Nous réapparaissons au loin en nous embrassant à pleine bouche. Yanis éclate de rire et court nous rejoindre en gueulant à Olivier « VIENS !!! » sans qu'il ne bouge.

Le choc doit être double pour lui, d'abord de voir sa femme se foutre à poil en public puis la découvrir un tantinet lesbienne. Tous les trois à 50 mètres de la plage, nous l'appelons, lui faisons des signes. Enfin Yanis va le chercher. Il lui parle longuement, le tire par la main et finalement l'amène jusqu'à nous. Il paraît si pâle de peau et maigrelet à côté de Yanis, nous allons à leur rencontre. Il y a un malaise évident. Pour détendre l'atmosphère, on s'éclabousse, on chahute, on se touche de manière innocente ou accidentelle. Je plonge et jaillis de l'eau tout près d'Olivier, je le prends par le cou, me colle à lui et l'embrasse sur la joue, sa main sur ma fesse marque son premier pas dans le naturisme et le libertinage. Le coucher de soleil est magnifique les teintes virent au jaune puis à l'orange et au rouge grenat. Finalement tout se calme, nous nageons tranquillement et profitons de ce premier bain.

En revenant sur la plage, pour ne pas incommoder Olivier on enfile juste le slip, nous les filles restons les seins à l'air et les gars vont chercher du bois pour faire un feu. Progressivement Olivier se détend et même plaisante de ma proximité avec sa femme. On casse la croûte, tomates, charcuterie, fêta. On parle vacances, fêtes et glissons sur le libertinage quand je prends Monique par l'épaule et l'embrasse sur la bouche. Avant qu'il ne fasse nuit nous rejoignons le bateau.

Avec la fraîcheur du soir nous passons un pull de coton. Dans le carré les hommes penchés sur les cartes, parlent navigation. Sur la banquette opposée avec Monique on se cajole, sans qu'Olivier ne réagisse vraiment bien que nous gardant à l’œil. Les mains passent sous les pulls, on ne se gêne plus pour se bécoter avant d'annoncer que nous allons nous coucher dans la cabine avant.

Olivier émet un vague reproche que nous faisons semblant de ne pas entendre en lui souhaitant « Bonne nuit ! ». Pour éviter quelques remarques Yanis ajoute un « Soyons galants pour cette première nuit ! » tout en le prenant par l'épaule et lui faisant observer la carte.

Les portes restent ouvertes. Peu après, on entend Yanis transformer les banquettes en couchettes, les lumières s'éteignent. Dans la nuit les bruits, les murmures s'amplifient, nous imaginons qu'ils font plus ample connaissance et que Yanis le pousse à se laisser faire. Nous les encourageons et leur faisons comprendre par nos baisers, nos rires et nos gémissements que nous mettons le cap vers Cythère. La journée a été fatigante après quelques caresses quelques bisous, nous nous endormons dans les bras de l'autre.

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Dès 4 heures le soleil se lève et sa lumière inonde la cabine. Au dessus de nos têtes le vasistas est grand ouvert, la fraîcheur de la nuit a fait nous couvrir d'un drap. J'ai le dos de Monique contre moi, ses fesses au creux de mon ventre et mon nez plongé dans ses cheveux. D'un doigt j'effleure son bras, suis la courbe de son sein au téton endormi avant de le prendre en pleine main.

Je l'embrasse dans le cou, d'un souffle j'écarte les cheveux et du bout de la langue lèche sa peau salée avant de lui faire un petit suçon. C'est à ce moment que je sens sur mon épaule la barbe et les lèvres de Yanis, sa main glisse sur mes côtes jusqu'à la taille puis suit le sillon de l'aine jusqu'à mon ventre. Je lui laisse la place, elle se plaque sur mon pubis glabre, sans hésiter son majeur s'enfonce dans ma fente. Il s'humidifie à ma source avant de titiller ma pissette, de replonger dans le vagin et d'exciter le clito.

Monique se réveille par mes baisers et mes caresses. Elle s'étire, se tourne, les yeux mi-clos, me sourit et susurre dans un souffle « Bonjour ! Quel bonheur d'être ainsi réveillée » en me faisant une moue que je frôle de mes lèvres. Je rejette le drap pour la découvrir complètement.

La fraîcheur lui donne la chair de poule, ses mamelons se contractent et durcissent. Elle est délicieusement belle et fraîche. Yanis me lâche et nous observe. Je suis à moitié sur elle, appuyée sur un coude, je frôle son corps d'une main. Elle s'alanguit, s'abandonne à mes baisers. Longtemps nous restons ainsi, sournoisement le dos de sa main touche mon sexe, je fais pression sur elle, sa main se tourne, me caresse délicatement, son doigt touche mon bouton, glisse entre mes lèvres, je n'en peux plus et fais un brusque tête à queue.

Allongées sur le flanc, une jambe sur le lit, un genou relevé, on se fait face. Son entrejambe est chaud, légèrement en sueur, il flaire l'odeur du fauve. Son sexe endormi forme juste une cicatrice rosée au milieu de sa toison blond cendré. Je souffle en continu aussi longtemps que possible sur sa toison humide, avant de suivre sa fente de la pointe de ma langue. Je cherche le bouton, le titille puis tel un socle de charrue creuse le sillon, mes doigts ouvrent la vallée, ma bouche fouille le sexe, l'inonde de salive, ma main glisse entre les fesses jusqu’à toucher franchement l'anus. Depuis quelques temps elle a pris l'habitude de cette privauté. De la même manière elle s'occupe de moi. Ses doigts me pénètrent, deux sur le point G, puis trois profondément, la coquine me pourfend de quatre doigts tout en me foutant le pouce dans le cul.

Tel que nous sommes, je suis seule à apercevoir une ombre à la porte, c'est Olivier ! Il est nu, semble encore endormi, Yanis se lève et le rejoint, le tient par l'épaule, lui parle à l'oreille. Lui nous regarde avec attention, sidéré de voir sa femme prise au sexe. Je me rends compte que les deux ont effectivement fait connaissance cette nuit quand je vois Yanis la tête dans son cou, le caresser sans vraiment le faire bander, il est probablement abasourdi de voir sa femme se faire doigter le cul et bouffer la cramouille.

Yanis me fait un geste de la main avant de parler à nouveau avec Olivier. Je comprends son désir et j'amène Monique à relever les fesses, à mieux s'offrir aux spectateurs. Yanis s'accroupit à ma tête, lui écarte les fesses au point de les déchirer et y plaque sa bouche. Elle gesticule pour s'échapper mais sans grands effets tellement elle est bien tenue. Pour la première fois elle sent la barbe, la bouche, les doigts d'un homme. Il la branle de plus en plus fort jusqu'à ce qu'elle se libère et s'offre à la copulation.

Olivier observe, médusé, appuyé à la cloison de la cabine, la queue en berne. Yanis au contraire semble fort et bande comme un taureau. Je vois sa bite à dix centimètres au dessus de moi, il tient Monique à la taille, lui défonce le vagin d'un coup, ce sont deux, trois coups de boutoir puissants suivi d'un limage méthodique. Rapidement on entend un chuintement très humide.

Il ne s'en satisfait pas et s'intéresse en même temps au cul. Il touche et plante à nouveau deux doigts mouillés sans difficulté.
L'incroyable se produit, elle est prête, elle s'offre mieux, elle attend. Le gourdin luisant de mouille sort de la chatte et pointe l'œillet en provoquant un râle lugubre « Noooon ! ». Je la caresse pour la tranquilliser, lui écarte les fesses en murmurant « Laisse-toi faire ma chérie, tu verras comme c'est bon » j'écarte encore en étirant la rosace. La pointe du braquemart se fixe, pousse, force. L'anneau résiste, se contracte. Je relève la tête, grogne entre mes dents tout en la caressant « Pousse ma chérie, tu vas voir comme ça va aller ». Je tends le cou jusqu'au point de jonction des sexes, je le lèche, le mouille encore, pratiquement le gland a disparu dans un geignement sourd... Puis un cri strident ''Aïïïe'', un souffle rapide.

Ça y est, il y est, elle est déflorée. Elle sanglote, gémit « Arrête, arrête... Ça fait mal... ».
Yanis ne bouge plus, patiemment il la caresse, il attend que les chairs se décontractent, s'assouplissent... Elle retrouve son calme puis lentement il pousse, lentement, pour la première il pénètre la voie étroite. C'est incroyable comme Monique, vierge du cul, le reçoit, comme une vengeance sur les années passées, sur les années perdues. C'est incroyable comme Olivier observe l'inimaginable, sa femme s'offrir, se faire sodomiser, sa femme prendre du plaisir, sa femme jouir, gémir, râler, crier. Je vois les couilles de mon mari se balancer au dessus de mon nez, sa verge avalée et rejetée par les fesses.

Il lui donne le coup de grâce comme le toréro enfonce l'épée dans la nuque de l'animal. Elle s'écroule sur moi. Tout de suite Yanis heureux se relève, il me sourit en allant à la douche, il a la queue encore bien épaisse et légèrement pendante, pleine de mouille, elle goutte.

Je me libère en glissant sur le côté et laissant Monique épuisée les cuisses ouvertes, la tête dans l'oreiller. Je m'assois au bord du lit face à Olivier toujours cloué à la cloison. On se regarde, il a une larme à l'œil, la mine défaite. Je l'embrasse du bout des lèvres, le prends par la main :

— Laissons-la se reposer, viens on va préparer le petit déj' !.