Monique se révèle 3 - De la confidence à l'amour

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Monique se révèle 3 - De la confidence à l'amour Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Monique se révèle 3 - De la confidence à l'amour
La dernière fois que nous nous sommes vues avec Monique, après s'être aimées, je me suis gentiment moquée de ses sous-vêtements en coton et jersey et lui ai promis d'aller faire quelques emplettes.

Ainsi aujourd'hui après avoir pris le café, nous décidons d'aller jusqu'à la boutique de lingerie de Yanis, mon mari. 

— Bonjour madame Andropoulos quel plaisir de vous voir.
— Bonjour Jacqueline ! Monsieur m'a dit qu'une nouvelle collection est arrivée, avec mon amie nous voudrions y jeter un coup d'œil.
— Bien sûr mesdames, si vous voulez vous donner la peine, allons dans le petit salon nous serons plus tranquilles.

Au fonds de la boutique, la gérante, nous ouvre la porte d'une bonbonnière tout en rose, de riches tissus d'ameublement à fleurs, de beaux papiers peints à rayures, une table ronde avec quatre chaises capitonnées et un canapé de style Louis XVI face à un salon d'essayage couvert de glace et protégé d'un rideau du même tissus que les sièges.

— Prenez place mesdames je vais chercher nos nouveautés.
— Ben dis donc, s'exclame Monique, c'est magnifique chez toi.
— Chez Yanis ma chérie. Il a une riche clientèle bourgeoise qui souhaite rester discrète... Bourgeoise et coquine !

On rigole encore lorsque Jacqueline revient avec une dizaine de cartons au papier glacé blanc à la marque ''Lebaudy''

— Voilà mesdames, c'est une collection très... légère et printanière. Beaucoup de seins-nus, de très jolis strings, des culottes ouvertes, elles sont très prisées par notre clientèle, des serre-tailles tout simple comme celui-ci ou au contraire style corselet. Qu'en pensez-vous mesdames ?
— Qu'en dis-tu Monique ?... Son regard surpris est sa seule réponse alors que je réponds : Pour moi, je voudrais essayer ce redresse-seins avec la culotte ouverte et toi ma chérie qu'est-ce qui te ferait plaisir ?... Regarde ça, c'est assez soft. Ce joli corselet crème à petites fleurs lilas avec son petit slip et son demi-coque. C'est coquin, regarde il te permet de dégager ou non le sein.
— Ça fait pute ! S'écrie Monique.
— OH, NON ! Madame. S'indigne la gérante. Juste coquin comme dit Madame Andropoulos... Essayez-le, vous verrez, vous serez conquise... Si vous permettez que je vérifie votre taille, elle lui prend la base du sein, oui c'est bien ça, un 90B. Pour vous madame Andropoulos voici votre redresse-seins en 90C et je vais chercher en réserve le demi coque pour madame.
— Jacqueline vous nous apporterez aussi des bas couture couleur chair.
— Bien sûr madame.

Pour ne pas choquer, je vais dans la cabine me changer à l'abri des regards. Lorsque Jacqueline revient avec le soutien gorge pour Monique, je sors de la cabine. Je dois dire que le rendu est très osé, avec mon sein juste tenu à la base et mon sexe nu encadré de deux bandes de soie fleurie. Monique ne dit mot malgré ses yeux écarquillés et part se changer derrière le rideau.
Peu après, elle réapparaît transformée, heureuse, souriante, soulignant de ses mains sa poitrine et ses hanches. Je ne peux m'empêcher de lâcher un cri d'admiration. Le résultat est superbe, élégant et sexy avec la taille bien marquée, les hanches arrondies et la poitrine rehaussée par le push-up et sagement protégée par le voile fleuri sur le sein.

— Tu es magnifique ma chérie. Elle continue à se pavaner devant le miroir, bombe le torse, cambre les reins.

La gérante heureuse de l'effet insiste pour resserrer le laçage du serre-taille et faire disparaître le petit bidon « Voilà madame c'est mieux comme ça ! »

— C'est vrai !... Comment ai-je pu m'abandonner.

Elle me regarde, la mine abattue, les yeux brouillés de larmes. Je la réconforte en lui disant qu'une vie nouvelle s'ouvre à elle. Enthousiastes, nous décidons de garder nos achats sur nous. On se rhabille tranquillement et quittons la boutique.
Peu de temps après, nous descendons les Grands Boulevards. Je trouve Monique magnifique en jupe bleu-ciel plissée et blouse blanche, sa veste sur le bras. Le corselet lui donne une taille de guêpe et je profite d'un bisou sous un porche pour dégager ses tétons du soutif en lui disant que c'est beaucoup mieux ainsi... Et beaucoup plus sexy. ajoute-t-elle en voyant pointer ses seins sous le corsage.
— Tu va voir comme c'est hyper excitant de sentir ses tétons frotter au chemisier.


Il fait chaud et nous décidons de nous arrêter à une terrasse. Je choisis une table en première file pour profiter du spectacle. Je m'amuse en lui faisant remarquer les jolies filles, les mecs qui nous regardent. Toute proche d'elle je lui murmure à l'oreille mon admiration, l'embrasse dans le cou, lui relève la jupe sur ses jambes croisées .

Sans que Monique ne s'en rende compte, avec ses jambes découvrant le liseré de ses bas et ses tétons pointant au travers de la blouse, elle est devenue canon, à tel point que la place qui se libère à son côté est de suite occupée par un charmant monsieur. Il ne tarde pas à vouloir nouer la conversation.

C'est probablement la première fois qu'elle se fait draguer ainsi. Elle ne répond pas, fait l'ignorante ou ne sait que répondre. Il serait précipité d'engager la relation avec un inconnu, ne brûlons pas les étapes, dommage le dragueur paraît sympathique. Je mets fin à son malaise en lui proposant de rentrer à la maison. Elle se lève rapidement et avance de quelques pas en attendant que le garçon me rende la monnaie de nos consommations. C'est vrai qu'elle est bandante avec sa taille de guêpe, sa blouse étriquée et sa démarche chaloupée. Je la reprends par le bras, tout en me retournant pour faire un clin d'œil au beau mâle désappointé.

Sur le chemin du retour on parle longuement du passage à la boutique de Yanis, de la lingerie présentée qu'elle n'imaginait pas, de la drague du type, du plaisir de se sentir regardée, désirée.

Dés notre arrivée à la maison je quitte ma robe pour rester en sein-nu et culotte fendue, je reconnais être provocante.

— Oh ma Chérie quelle chaleur, mets-toi à l'aise, regarde-moi.
— Je te regardes !... Elle me sourit et ajoute tout sourire, tu es très... bandante ! Punaise elle me surprend, elle se lâche
— Merci mon amour... Autant que toi !... On s'enlace, je sens la pointe de ses seins au travers du corsage, je lui caresse le fessier en relevant délibérément sa jupe avant d'y mettre une petite tape en ajoutant : Je vais nous faire des citronnades bien fraîches.

Alors que je suis dans la cuisine, quelle n'est pas ma surprise de la voir arriver pieds nus, sûre d'elle-même. Son ensemble fleuri est très sexy, ses tétons à l'air pointent anormalement, j'imagine que la coquine elle se les ait sérieusement tripotés.

— Puis-je t'aider ? Elle se colle à mon dos. On reste un moment ainsi à se trémousser avant de rejeter ma tête en arrière pour recevoir un bisou et d'ajouter
— Oui ma chérie !... Sors-moi les tasses de ce placard et le sucre là, s'il te plaît... Et allons dans le salon.

Les volets sont fermés et le cuir du canapé semble frais. On se regarde droit dans les yeux, tout en sirotant la citronnade, en souriant ou se faisant une moue espiègle.

— Monique, tu es très belle, tu te transformes de jour en jour... J'ai une folle envie de toi !

Elle tombe dans mes bras et on s'embrasse à perdre haleine. Nos langues bataillent, tournent l'une sur l'autre, passent d'une bouche à l'autre. Je lui caresse un téton, le tire un peu, le pince doucement, puis plus fort et encore plus jusqu'à ce qu'elle murmure « Tu me fais mal ! »
« Tu n'aimes pas ? » que je grogne tout en la tétant délicatement sans qu'elle me réponde. Je lèche le téton endolori pour adoucir la brûlure avant de l'exciter de la pointe de la langue.

A son tour elle s'en prend à mon mamelon, l'écrase à peine, le tournicote gentiment. On se regarde amoureusement, on se tire la langue et de la pointe on se taquine l'une l'autre, avant de s'embrasser à nouveau. Enfin je lui susurre « On va dans la chambre ? » Sans répondre Monique se lève et me prend la main.

On court presque jusqu'au lit en se tenant par la main, je me jette au milieu de la couche et lui tends les bras. Elle vient se blottir au creux de mon aisselle, sa poitrine à demi-nue contre moi. Je lui caresse le creux des reins avant de glisser la main dans son slip. En douceur je lui touche les fesses, je sens son souffle sur mon sein et scandé d'un « Oui, oui » qui m'encourage. Je lui saisis la fesse, les doigts bien campés dans le sillon avec l'auriculaire sur son anus.

Sans la brutaliser je la renverse sur le dos, elle me regarde avec sérieux, se débarrasse du soutif comme pour me dire "Je suis prête". Je quitte le mien, l'embrasse sur les lèvres, le cou, la poitrine, je me plie en deux, couvre son ventre de bisous, elle ne cesse de me caresser, me touche les fesses, m'invite peut-être à mieux me mettre. D'un coup mon bassin je pivote et on est en tête à queue. Je sens sa respiration sur mon ventre, j'ai sous mes yeux son mini slip à fleur que doucement je fais glisser sur ses hanches, je plonge mon nez dans sa toison très légèrement parfumée. Je ne précipite rien, je la laisse venir. Son doigt écarte la soie de ma culotte, dessine des arabesques sur mon pubis largement découvert, je me débarrasse du linge et lui offre mon sexe glabre.

Elle m'embrasse le ventre, pose ses lèvres sur le sexe. Je la guide, lui fais voir comment la langue doit pointer le bouton, glisser entre les lèvres, plonger dans le vagin, revenir sur le clito.
Je lui fais voir comment les doigts doivent ouvrir les lèvres puis aller toucher le point G.
Elle reproduit scrupuleusement tous mes gestes, y ajoute un baiser par-ci par-là, toute timidité a disparu.

On passe de l'érotisme à l'indécence. Je viens sur elle, lui chevauche le visage pour lui offrir mon intimité crue, je lui prends les jambes et les passe sous mes aisselles pour lécher la sienne. Et comme je disais avant je la croque, sans retenue. Rapidement son sexe s'inonde, sa toison se mouille, s'étale sur les côtés comme les blés après l'orage. Son sexe qui a mis au monde un enfant, se présente aujourd'hui comme celui d'une jeune fille, rose, à peine froissé. J'écarte les lèvres étroites, le vagin se découvre tout étroit, je lèche les chairs secrètes gorgées de sang, ma salive s'écoule dans le vase d'amour, je taquine le clito, étire le capuchon qui résiste, il est hyper tendu, finalement je dégage à peine le bourgeon qui s'y cache, convaincue qu'il est vierge. Je la sens vibrer de tout son être.

La néophyte avance à grands pas sur le chemin de la luxure, elle me suit pied à pied avec mes baisers, mes léchouilles, elle le fait très bien et je la récompense d'un jet de cyprine, ça l'effraie, elle s'arrête, je l'encourage :

— C'est bon ma chérie, tu me fais jouir, goûte comme ma liqueur est délicieuse.

Je ne sais pas encore si elle aime mais elle revient. Deux doigts sont dans mon vagin et sans difficulté reconnaissent la surface sensible. Elle caresse, chatouille, asticote et je lui envoie un deuxième jet d'élixir. Elle goûte à nouveau, elle lèche longtemps.
De mon côté je la suce, l'excite, la trifouille, je branle, astique, elle me donne tout, tremblante en criant son orgasme lorsque je lui abandonne ma troisième jouissance.
Je reviens face à elle tout en gardant la main sur son sexe.
Elle est rouge comme une pivoine, sa bouche, son menton sont couverts de mouille, de salive comme ceux d'une gourgandine. Je l'embrasse avec force, je retrouve ma saveur dans sa bouche, elle découvre la sienne dans la mienne. Elle pleure et n'a qu'un mot :

— MERCI !

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