Monique se révèle 4 - La rencontre avec Yanis

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Monique se révèle 4 - La rencontre avec Yanis
Depuis presque un an, nous avons pris l'habitude avec Monique de nous rencontrer chaque semaine pour voir une exposition ou un film, pour faire du shopping ou l'amour. Depuis des mois elle a jeté aux oubliettes ses préjugés, ses interdits, elle se moque même des observations de son mari ou de son fils quant à son comportement et de ses tenues. S'ils savaient combien cette transformation allait bien au delà des apparences...
De mon côté je parlais avec Yanis, mon mari, de nos rencontres. Je lui racontais comment nous nous aimions. On s'amusait de ses réactions, on imaginait la prochaine étape jusqu'au point de passer à un plan à trois.
...ooOoo...
Ce jour de printemps un peu à notre habitude, avec Monique on s'est retrouvées à la maison pour nous aimer.
Ce jour de printemps on est resté longtemps l'une contre l'autre, elle s'endormit dans mes bras juste habillée de son serre-taille à fleur lilas et de ses bas. A son insu Yanis est arrivé. Je l'ai réveillée en lui caressant le dos :
— Ça va ma chérie ?... Tu as bien dormi ?...
— Oh ! Oui, merveilleusement près de toi... Embrasse-moi !. Je l'embrasse tendrement, on se câline profitant du plaisir d'être ensemble.
— ... N'aie pas peur, Yanis est là ! Que je lui murmure les lèvres sur sa bouche.
— Oh ! Mon Dieu... Elle me repousse affolée, roule sur le ventre et se cache dans l'oreiller.
— Mais NOOON ! ma Chérie, ne t'inquiète pas. Je lui ai déjà parlé de toi, de nous, de notre relation, il n'y a pas de mal, il est dans le salon. Allez, habille-toi on va le retrouver.
Je lui tends sa jupe et sa blouse, l'aide à s'habiller et on retrouve mon mari assis dans un canapé. Dès qu'il nous voit, il bondit et accourt vers nous, il nous accueille avec le plus grand sourire en nous prenant toutes deux par la main.
— Entrez, entrez !... Bonjour Monique ! Avec empressement il la conduit vers le canapé et la fait asseoir près de lui, ils se regardent, s'observent, puis il ajoute avec tendresse. Je suis très heureux de vous rencontrer, Nadine m'a beaucoup parlé de vous... Je suis content de connaître par la même occasion la maman de John, le responsable administratif de mon affaire. C'est un garçon très efficace qui par ailleurs fait le bonheur de ma fille.
Elle paraît étonnée ne connaissant probablement pas la situation de son fils, tout au moins sa relation avec Yanis. Content de son effet de surprise, il se rapproche jusqu'à lui toucher le genou
— Monique que puis-je vous offrir ?.... Un vin doux ?... Un vin de chez moi, prenez un Samos, vous verrez c'est très bon... Puis se tournant vers moi : Nadine, ma chérie sers-nous un Samos et un whisky pour moi s'il te plait.
En la couvrant d'attentions le bandit tisse sa toile autour de l'oie blanche. Séducteur, entreprenant, hypnotiseur, il passe son bras sur son épaule tout en gardant une de ses mains, puis à voix basse :
— Merci Monique, vous m'avez offert un magnifique tableau érotique et une très belle présentation de ma dernière création, ce corselet blanc à petites fleurs vous va à merveille.
Quand je me reviens pour apporter les apéritifs, je la vois rouge comme une pivoine, elle ne pipe mot alors que la main de Yanis a disparu sous sa jupe, le visage est plongé dans sa chevelure. Elle semble perdue, ne réagit pas. Satisfait de son premier pas Yanis renforce son étreinte.Je m'amuse à troubler leur relation en souhaitant à haute voix « Bonne Santé !!! ».
Affolée de son abandon, comme prise en faute, elle se redresse d'un coup, trinque rapidement et boit son apéritif d'un trait. Elle se lève s'arrachant du bras qui la tient :
— Excusez-moi, dit-elle paniquée... Mais je dois rentrer... Je suis attendue à la maison.
— Mais bien sûr Monique ! Répond-il calmement... Mais faites-moi le plaisir de repasser à la boutique quand vous voudrez avec Nadine et nous prendrons plus de temps pour faire connaissance.
Monique ne prête plus attention à rien, elle est déjà sortie du salon mais au moment d'ouvrir la porte palière Yanis marque un point de plus en la retenant fermement par la taille et en l'embrassant longuement à la commissure des lèvres. Elle s'enfuit troublée sans même m'embrasser.
...ooOoo...
Mon mari, impatient, me fait accélérer les choses et j'invite Monique à me retrouver directement à la boutique dès mardi matin.
Jacqueline a à peine ouvert le magasin que je suis sur place. A 11 heures comme prévu Monique arrive, je l'accueille et la conduis dans le petit salon où j'ai préparé café et viennoiseries.
On s'installe dans le canapé, toute proche l'une de l'autre. On se tient par la main, on se regarde heureuses de se retrouver. On n'a pas besoin de parler de la dernière fois, c'est présent dans nos esprits. En prenant le café, je lui rappelle le chemin parcouru depuis son premier passage à la boutique, ses essayages, sa découverte des seins nus, des culottes fendues, la drague de l'inconnu à la terrasse de café, nos après-midis d'amour et finalement la rencontre de mon mari. Elle m'avoue combien elle a aimé ce dernier moment et combien elle l'a trouvé charmant.
Je me rends compte que l'oie n'est plus aussi blanche que ça et je lui propose de faire quelques essayages de sous-vêtements. J'ai préparé cinq parures en 90B du plus sage au plus audacieux.
Pour respecter sa pudeur je la laisse se déshabiller dans la cabine derrière le rideau en lui passant le premier ensemble de soie et dentelle blanche, très élégant, très classique. Après avoir vu le trois pièces, elle passe le suivant, un peu semblable à sa dernière acquisition avec un soutien-gorge qui permet de dégager ou non les tétons, un ensemble de satin bleu avec une culotte très ajustée qui avec un froissé s'enfonce dans les fesses. Alors qu'elle vient vers moi, les tétons cachés je l'embrasse doucement sur les lèvres et dégage les tétons :
— C'est beaucoup mieux comme ça ma chérie !
Comme nous restons très proches l'une de l'autre, je pince en tirant le mamelon, en la faisant gémir, « Et encore mieux ainsi ! » que j'ajoute en l'embrassant à pleine bouche. Elle retourne rayonnante à la cabine en tortillant du croupion; de dos mais sans tirer le rideau elle passe le troisième ensemble. C'est une coque rouge qui soutient juste le dessous du sein et le laisse nu aux ¾, avec un porte-jarretelles et un string en voile. Monique vient vers moi en faisant une petite moue contrariée « C'est osé ! » Au moment où elle repart vers la cabine on frappe à la porte, elle a juste le temps de fermer le rideau que Yanis entre dans le salon :
— Ma chérie, c'est Yanis, il n'y a pas de problème !
— Bonjour Monique, l'interpelle-t-il de l'autre côté du rideau. Vous permettez, je voudrais vous inviter avec Nadine à déjeuner.... Puis-je rester pour voir vos essayages ?
— …
— Ma chérie !
Pour l'encourager je la rejoins dans la cabine où je la retrouve entièrement nue. Semblable à une biche effrayée, je la câline, la tranquillise, nous prenons le temps, je l'aide à passer l'ensemble suivant, un trois pièces de soie gris-perle, très joli qui habille... mais si peu. D'un regard elle me dit : « Je suis prête ». Je tire le rideau.
Yanis attend assis dans un fauteuil, un café à la main face à la cabine d'essayage. Comme lors d'une présentation de mode j'annonce : « Je ne cache rien » et Monique en escarpins joue le jeu en avançant jusqu'à Yanis faisant demi tour devant lui telle une mannequin et retournant vers la cabine où les miroirs renvoient son image puis refait un aller-retour.
Je referme le rideau derrière elle. On pouffe de rire, je la sens détendue, heureuse de son effet et elle accepte de passer la dernière pièce : un corset de satin noir qui emprisonne la taille et libère totalement le ventre et les seins. Avant d'ouvrir le rideau je lui demande si elle est chiche de se planter devant lui ? Sans répondre elle ouvre grand le rideau. J'annonce l'article « Nuit torride ». Elle avance, revient jusqu'à moi puis retourne jusqu'à Yanis. Face à lui, les mains sur les hanches, elle écarte les pieds et s'immobilise avec un léger déhanché.
Yanis n'a qu'à se pencher pour embrasser son gazon pubien. La coquine s'en retourne immédiatement sans lui laisser le temps de humer la toison. C'est moi qui ferme le rideau derrière elle. On éclate de rire avant de s'embrasser longuement :
— Lequel prends-tu ma chérie.
— C'est vrai, tu m'en offres un ?... Alors celui-ci « Je ne cache rien ».
Elle le met, se rhabille et réapparaît face à Yanis, sûre d'elle, sa blouse laisse deviner sa poitrine. Il l'aide à mettre sa veste, la maintient par les épaules et l'embrasse dans le cou.
— Merci... dit-elle dans un souffle et après un silence elle ajoute : Yanis !
— Merci à toi !
Tous les trois nous quittons la boutique, la gérante nous remet deux cartons en nous tenant la porte de la boutique :
— Au revoir monsieur Andropoulos, au revoir mesdames.
— Au revoir Jacqueline ! puis se tournant vers Monique il ajoute : Nous t'offrons également « Nuit torride » en noir naturellement, couleur de la nuit.
— Si je comprends il faudra qu'il en soit ainsi.
— Tu as tout compris Monique... Mesdames j'ai réservé une table chez « Lapérouse » sur les quais.
Par chance un taxi passe et nous emmène. Arrivés sur place, on nous installe à l'étage, dans un petit salon décoré de boiseries et de miroirs style 18ème siècle, outre la table ronde et les trois chaises, il y a un canapé. Monique est intriguée par les graffitis gravés sur les glaces ''Zoé... Lulu... Merci Loulou...'' Il y a aussi des cœurs avec des initiales. Yanis s'approche d'elle par derrière, il la prend par les épaules et murmure :
— On dit que les Cocottes gravaient leurs initiales de la bague que le monsieur venait d'offrir pour s'assurer que c'était du diamant.
Il l'embrasse dans l'oreille et la conduit à table en lui tenant la chaise. Le champagne est servi suivi du repas. Le cadre, la discrétion du service et l'intimité du salon font que notre conversation devient rapidement libertine, Yanis parle beaucoup d'érotisme, de philosophie du boudoir. Elle est conquise.
Les esprits s'échauffent mais la tenue reste correcte.
Le repas est parfait et à la fin du déjeuner on demande un taxi. Dans la voiture il est assis entre nous deux, ses mains se posent sur nos genoux, glissent entre les jambes, je lui permets de remonter sur le bas jusqu'à atteindre ma chaire nue alors que Monique garde les jambes serrées.
En arrivant à l'appartement, il aide notre invitée à quitter sa veste et l'accompagne jusqu'au canapé pour prendre place dans un fauteuil face à elle.
J'apporte le café, les deux s'observent sans vraiment se parler... Je vois Monique désemparée devant la chute inévitable. Pour détendre l'atmosphère je mets un disque de musique douce et l'invite à danser. Enlacées au cou et à la taille, je dodeline contre elle. Je sens ses seins contre ma poitrine. Elle a sa tête sur mon épaule, je sens sa respiration dans mon cou, elle s'abandonne, oublie l'environnement. Ma main se colle à son postérieur, remonte la jupe jusqu'à toucher sa fesse. Elle balance son bassin d'avant en arrière, m'invite à la caresser, mon indexe suit le vallonnement de ses fesses. Le spectacle qu'elle offre est très osé, c'est le moment que choisit Yanis pour nous rejoindre, en se collant à son dos.
Il la tient par les hanches et accentue son mouvement de bassin. Elle se laisse guider. C'est moi qui déboutonne la blouse, c'est Yanis qui la retire, c'est moi qui ouvre la fermeture éclair latéral de la jupe, c'est Yanis qui la descend. Elle est en sous-vêtements entre nous deux habillés. Je reste encore un moment puis je les laisse. Je les regarde danser une sorte de lambada alanguie, l'un derrière l'autre, lui les mains sur ses hanches, elle les bras relevés sur son cou, ainsi arquée, ses seins se dressent de manière arrogante. Elle s'offre à ses baisers.
De mon côté je parlais avec Yanis, mon mari, de nos rencontres. Je lui racontais comment nous nous aimions. On s'amusait de ses réactions, on imaginait la prochaine étape jusqu'au point de passer à un plan à trois.
...ooOoo...
Ce jour de printemps un peu à notre habitude, avec Monique on s'est retrouvées à la maison pour nous aimer.
Ce jour de printemps on est resté longtemps l'une contre l'autre, elle s'endormit dans mes bras juste habillée de son serre-taille à fleur lilas et de ses bas. A son insu Yanis est arrivé. Je l'ai réveillée en lui caressant le dos :
— Ça va ma chérie ?... Tu as bien dormi ?...
— Oh ! Oui, merveilleusement près de toi... Embrasse-moi !. Je l'embrasse tendrement, on se câline profitant du plaisir d'être ensemble.
— ... N'aie pas peur, Yanis est là ! Que je lui murmure les lèvres sur sa bouche.
— Oh ! Mon Dieu... Elle me repousse affolée, roule sur le ventre et se cache dans l'oreiller.
— Mais NOOON ! ma Chérie, ne t'inquiète pas. Je lui ai déjà parlé de toi, de nous, de notre relation, il n'y a pas de mal, il est dans le salon. Allez, habille-toi on va le retrouver.
Je lui tends sa jupe et sa blouse, l'aide à s'habiller et on retrouve mon mari assis dans un canapé. Dès qu'il nous voit, il bondit et accourt vers nous, il nous accueille avec le plus grand sourire en nous prenant toutes deux par la main.
— Entrez, entrez !... Bonjour Monique ! Avec empressement il la conduit vers le canapé et la fait asseoir près de lui, ils se regardent, s'observent, puis il ajoute avec tendresse. Je suis très heureux de vous rencontrer, Nadine m'a beaucoup parlé de vous... Je suis content de connaître par la même occasion la maman de John, le responsable administratif de mon affaire. C'est un garçon très efficace qui par ailleurs fait le bonheur de ma fille.
Elle paraît étonnée ne connaissant probablement pas la situation de son fils, tout au moins sa relation avec Yanis. Content de son effet de surprise, il se rapproche jusqu'à lui toucher le genou
— Monique que puis-je vous offrir ?.... Un vin doux ?... Un vin de chez moi, prenez un Samos, vous verrez c'est très bon... Puis se tournant vers moi : Nadine, ma chérie sers-nous un Samos et un whisky pour moi s'il te plait.
En la couvrant d'attentions le bandit tisse sa toile autour de l'oie blanche. Séducteur, entreprenant, hypnotiseur, il passe son bras sur son épaule tout en gardant une de ses mains, puis à voix basse :
— Merci Monique, vous m'avez offert un magnifique tableau érotique et une très belle présentation de ma dernière création, ce corselet blanc à petites fleurs vous va à merveille.
Quand je me reviens pour apporter les apéritifs, je la vois rouge comme une pivoine, elle ne pipe mot alors que la main de Yanis a disparu sous sa jupe, le visage est plongé dans sa chevelure. Elle semble perdue, ne réagit pas. Satisfait de son premier pas Yanis renforce son étreinte.Je m'amuse à troubler leur relation en souhaitant à haute voix « Bonne Santé !!! ».
Affolée de son abandon, comme prise en faute, elle se redresse d'un coup, trinque rapidement et boit son apéritif d'un trait. Elle se lève s'arrachant du bras qui la tient :
— Excusez-moi, dit-elle paniquée... Mais je dois rentrer... Je suis attendue à la maison.
— Mais bien sûr Monique ! Répond-il calmement... Mais faites-moi le plaisir de repasser à la boutique quand vous voudrez avec Nadine et nous prendrons plus de temps pour faire connaissance.
Monique ne prête plus attention à rien, elle est déjà sortie du salon mais au moment d'ouvrir la porte palière Yanis marque un point de plus en la retenant fermement par la taille et en l'embrassant longuement à la commissure des lèvres. Elle s'enfuit troublée sans même m'embrasser.
...ooOoo...
Mon mari, impatient, me fait accélérer les choses et j'invite Monique à me retrouver directement à la boutique dès mardi matin.
Jacqueline a à peine ouvert le magasin que je suis sur place. A 11 heures comme prévu Monique arrive, je l'accueille et la conduis dans le petit salon où j'ai préparé café et viennoiseries.
On s'installe dans le canapé, toute proche l'une de l'autre. On se tient par la main, on se regarde heureuses de se retrouver. On n'a pas besoin de parler de la dernière fois, c'est présent dans nos esprits. En prenant le café, je lui rappelle le chemin parcouru depuis son premier passage à la boutique, ses essayages, sa découverte des seins nus, des culottes fendues, la drague de l'inconnu à la terrasse de café, nos après-midis d'amour et finalement la rencontre de mon mari. Elle m'avoue combien elle a aimé ce dernier moment et combien elle l'a trouvé charmant.
Je me rends compte que l'oie n'est plus aussi blanche que ça et je lui propose de faire quelques essayages de sous-vêtements. J'ai préparé cinq parures en 90B du plus sage au plus audacieux.
Pour respecter sa pudeur je la laisse se déshabiller dans la cabine derrière le rideau en lui passant le premier ensemble de soie et dentelle blanche, très élégant, très classique. Après avoir vu le trois pièces, elle passe le suivant, un peu semblable à sa dernière acquisition avec un soutien-gorge qui permet de dégager ou non les tétons, un ensemble de satin bleu avec une culotte très ajustée qui avec un froissé s'enfonce dans les fesses. Alors qu'elle vient vers moi, les tétons cachés je l'embrasse doucement sur les lèvres et dégage les tétons :
— C'est beaucoup mieux comme ça ma chérie !
Comme nous restons très proches l'une de l'autre, je pince en tirant le mamelon, en la faisant gémir, « Et encore mieux ainsi ! » que j'ajoute en l'embrassant à pleine bouche. Elle retourne rayonnante à la cabine en tortillant du croupion; de dos mais sans tirer le rideau elle passe le troisième ensemble. C'est une coque rouge qui soutient juste le dessous du sein et le laisse nu aux ¾, avec un porte-jarretelles et un string en voile. Monique vient vers moi en faisant une petite moue contrariée « C'est osé ! » Au moment où elle repart vers la cabine on frappe à la porte, elle a juste le temps de fermer le rideau que Yanis entre dans le salon :
— Ma chérie, c'est Yanis, il n'y a pas de problème !
— Bonjour Monique, l'interpelle-t-il de l'autre côté du rideau. Vous permettez, je voudrais vous inviter avec Nadine à déjeuner.... Puis-je rester pour voir vos essayages ?
— …
— Ma chérie !
Pour l'encourager je la rejoins dans la cabine où je la retrouve entièrement nue. Semblable à une biche effrayée, je la câline, la tranquillise, nous prenons le temps, je l'aide à passer l'ensemble suivant, un trois pièces de soie gris-perle, très joli qui habille... mais si peu. D'un regard elle me dit : « Je suis prête ». Je tire le rideau.
Yanis attend assis dans un fauteuil, un café à la main face à la cabine d'essayage. Comme lors d'une présentation de mode j'annonce : « Je ne cache rien » et Monique en escarpins joue le jeu en avançant jusqu'à Yanis faisant demi tour devant lui telle une mannequin et retournant vers la cabine où les miroirs renvoient son image puis refait un aller-retour.
Je referme le rideau derrière elle. On pouffe de rire, je la sens détendue, heureuse de son effet et elle accepte de passer la dernière pièce : un corset de satin noir qui emprisonne la taille et libère totalement le ventre et les seins. Avant d'ouvrir le rideau je lui demande si elle est chiche de se planter devant lui ? Sans répondre elle ouvre grand le rideau. J'annonce l'article « Nuit torride ». Elle avance, revient jusqu'à moi puis retourne jusqu'à Yanis. Face à lui, les mains sur les hanches, elle écarte les pieds et s'immobilise avec un léger déhanché.
Yanis n'a qu'à se pencher pour embrasser son gazon pubien. La coquine s'en retourne immédiatement sans lui laisser le temps de humer la toison. C'est moi qui ferme le rideau derrière elle. On éclate de rire avant de s'embrasser longuement :
— Lequel prends-tu ma chérie.
— C'est vrai, tu m'en offres un ?... Alors celui-ci « Je ne cache rien ».
Elle le met, se rhabille et réapparaît face à Yanis, sûre d'elle, sa blouse laisse deviner sa poitrine. Il l'aide à mettre sa veste, la maintient par les épaules et l'embrasse dans le cou.
— Merci... dit-elle dans un souffle et après un silence elle ajoute : Yanis !
— Merci à toi !
Tous les trois nous quittons la boutique, la gérante nous remet deux cartons en nous tenant la porte de la boutique :
— Au revoir monsieur Andropoulos, au revoir mesdames.
— Au revoir Jacqueline ! puis se tournant vers Monique il ajoute : Nous t'offrons également « Nuit torride » en noir naturellement, couleur de la nuit.
— Si je comprends il faudra qu'il en soit ainsi.
— Tu as tout compris Monique... Mesdames j'ai réservé une table chez « Lapérouse » sur les quais.
Par chance un taxi passe et nous emmène. Arrivés sur place, on nous installe à l'étage, dans un petit salon décoré de boiseries et de miroirs style 18ème siècle, outre la table ronde et les trois chaises, il y a un canapé. Monique est intriguée par les graffitis gravés sur les glaces ''Zoé... Lulu... Merci Loulou...'' Il y a aussi des cœurs avec des initiales. Yanis s'approche d'elle par derrière, il la prend par les épaules et murmure :
— On dit que les Cocottes gravaient leurs initiales de la bague que le monsieur venait d'offrir pour s'assurer que c'était du diamant.
Il l'embrasse dans l'oreille et la conduit à table en lui tenant la chaise. Le champagne est servi suivi du repas. Le cadre, la discrétion du service et l'intimité du salon font que notre conversation devient rapidement libertine, Yanis parle beaucoup d'érotisme, de philosophie du boudoir. Elle est conquise.
Les esprits s'échauffent mais la tenue reste correcte.
Le repas est parfait et à la fin du déjeuner on demande un taxi. Dans la voiture il est assis entre nous deux, ses mains se posent sur nos genoux, glissent entre les jambes, je lui permets de remonter sur le bas jusqu'à atteindre ma chaire nue alors que Monique garde les jambes serrées.
En arrivant à l'appartement, il aide notre invitée à quitter sa veste et l'accompagne jusqu'au canapé pour prendre place dans un fauteuil face à elle.
J'apporte le café, les deux s'observent sans vraiment se parler... Je vois Monique désemparée devant la chute inévitable. Pour détendre l'atmosphère je mets un disque de musique douce et l'invite à danser. Enlacées au cou et à la taille, je dodeline contre elle. Je sens ses seins contre ma poitrine. Elle a sa tête sur mon épaule, je sens sa respiration dans mon cou, elle s'abandonne, oublie l'environnement. Ma main se colle à son postérieur, remonte la jupe jusqu'à toucher sa fesse. Elle balance son bassin d'avant en arrière, m'invite à la caresser, mon indexe suit le vallonnement de ses fesses. Le spectacle qu'elle offre est très osé, c'est le moment que choisit Yanis pour nous rejoindre, en se collant à son dos.
Il la tient par les hanches et accentue son mouvement de bassin. Elle se laisse guider. C'est moi qui déboutonne la blouse, c'est Yanis qui la retire, c'est moi qui ouvre la fermeture éclair latéral de la jupe, c'est Yanis qui la descend. Elle est en sous-vêtements entre nous deux habillés. Je reste encore un moment puis je les laisse. Je les regarde danser une sorte de lambada alanguie, l'un derrière l'autre, lui les mains sur ses hanches, elle les bras relevés sur son cou, ainsi arquée, ses seins se dressent de manière arrogante. Elle s'offre à ses baisers.
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