Monique se révèle 5 - L'amour à trois. - histoire érotique

Depuis un moment, dans le salon, Yanis, mon mari, danse une sorte de lambada très sensuelle, collé au dos de Monique, mon amie, lui en chemise débraillée et pantalon, elle en sous-vêtements, les seins et le ventre à l'air .

Pour Monique, l'oie blanche, être dans les bras d'un homme autres que ceux de son mari est une première ; pour Yanis, libertin jusqu'au bout des doigts, avoir contre lui une "presque vierge" est exaltant. Libertin mais patient comme un chat... Il sait que l'oiseau ne lui échappera plus. Elle se laisse conduire, appuyée au torse du danseur, la tête renversée sur son épaule, les yeux fermés, les bras relevés le tenant par le cou.

Elle pousse un petit cri de surprise quand il se laisse tomber sur le canapé et l'entraîne assise à califourchon sur ses genoux. Elle est à sa merci, sa poitrine se soulève, ses cuisses s'écartent Dans un grognement de vainqueur, il lui mord le cou, ses mains courent des seins au ventre, voulant être là et là à la fois, ses doigts jouent à tirailler les tétons, fouiller la toison, exciter le bouton d'amour sous les suppliques « S'il vous plaît... S'il vous plaît... » Arrêtez ou continuez qui sait ?.
Elle semble perdue, quand Yanis la renverse sur le canapé. je la rassure d'un sourire, d'une caresse sur la joue, d'un baiser sur le sein. Elle s'abandonne les bras ballants dans une position indécente, un pied au sol et l'autre jambe sur le dossier du siège. Elle laisse l'homme lui baiser le ventre puis instinctivement l'accompagne.

Je m'amuse à les voir et m'agenouille à leurs côtés. Je caresse le sein de l'une, défais la ceinture de l'autre, ouvre la braguette, la verge jaillit du boxer bien dure. Je gobe le gros fruit rouge, le suce à grand bruit, affalée entre les cuisses, une main toujours sur le sein de Monique, l'autre sous la chemise trouve les pectoraux bombés et velus, d'un poil doux et bouclé. Je taquine le téton comme un bouton de sonnette, il grossit, je le pince, le roule, le triture... En réaction, l'homme bloque mon crâne d'une main et d'un coup de reins, m'enfonce sa queue jusqu'à la glotte me provoquant un énorme "Beeeeuurck".

Je me relève d'un bond, toussant, crachant, les yeux larmoyants ; il me regarde goguenard, le museau barbouillé de bave au dessus du ventre de la femme à bout de souffle.

J'entraîne le trio dans notre chambre. Dans le couloir je défais ma robe, Yanis abandonne sa chemise et nous entrons dans la suite avec Monique juste en serre-taille et bas. Il s'allonge sur le dos entre nous deux.
Elle a retrouvé un peu de dynamisme, au dessus de lui, on se "bisouille", on le taquine, on le mordille, on s'attaque à son sexe. J'encourage Monique à le sucer mais visiblement elle manque d'expérience alors je lui souris en murmurant « Regarde ! ».
Je masse en douceur les deux gros fruits, prends le tronc en main, la pointe de ma langue vibre telle celle d'un serpent sur le bourgeon. Puis ce sont mes lèvres qui entrent en action en glissant sur le gland, en coulissant sur le membre, je reviens lécher l'urètre sur toute sa longueur, la griffer de mes dents tandis que mon petit doigt tente de pénétrer le méat. J'avale la verge le plus possible et commence un long et rapide va-et-vient en régurgitant un flot de salive qui s'écoule sur les couilles, je les masse de plus en plus fort jouant avec elles comme avec des dés. J'arrête de sucer pour branler, puis le reprend en bouche et à nouveau en main.

Je regarde la néophyte, lui sourit et lui passe le manche. Nos deux bouches s'activent sur le membre, on lèche ensemble le tronc, l'une suce la pointe, l'autre bouffe les couilles. Elle semble bien se débrouiller sous des grognements sourds. Peu à peu tout s'accélère, il est temps de passer à d'autres jeux... Je relève la tête de mon amante, lui murmure en souriant « Aimons-nous ! ».

Alors je m'allonge sur le dos et lui demande de venir sur moi comme nous en avons l'habitude. En levrette, mon bras la tient par la taille,je veux la faire jouir comme jamais. Elle qui ne connaît probablement que la position du missionnaire, je veux la voir prise comme une chienne.

Ainsi offerte, Yanis comprend mon attente. Sans l'effrayer, il la câline, la couvre de bisous, sa main file entre les cuisses, la prend au sexe, son pouce presse l'anus.
Elle pousse un petit « Non ! » que je réprime tout de suite « Tss ! Tss ! Laisse-toi faire ». Je la serre contre moi, Yanis se lève et debout au pied du lit il se positionne, je lèche encore la vulve, l'inonde de salive puis je prends le pénis, le fais circuler du clito au périnée avant de le fixer sur le vagin. Yanis la tient aux hanches et avec précaution comme pour une vierge, il la pénètre. Elle creuse les reins, s'immobilise, suspend sa respiration. Je vois le gland disparaître, le membre s'enfoncer lentement, inexorablement... Ça y est, elle est prise, je relâche la pression sur ses reins, elle se décontracte, pose sa tête sur mon ventre, je sens son souffle régulier. L'homme commence à la limer, doucement, profondément, puis accélère.

Monique subit couchée sur mon ventre. Monique accompagne la saillie. Sa respiration suit le rythme du coït dans un souffle bruyant. L'homme la laboure maintenant avec force, ses « Han ! Han ! » s'accordent aux « Oui ! Oui ! » de la femme. Il se penche sur son dos, s'en prend à ses tétons, les martyrise. Ses coups de boutoir secouent tout le corps. Un coup plus violent la projette en avant telle une poupée de son. Il la relève par les hanches, la bouscule et continue de la baiser jusqu'à rugir. Il s'immobilise, reprend son souffle, se vide en elle, puis satisfait il l'abandonne et vire sur le dos. Monique se relève pour s'allonger entre nous deux. Elle est en nage, les joues rouges, le maquillage ruiné. Je lui caresse les cheveux, la peigne de mes doigts. A bout de souffle elle murmure «  Jamais je n'ai connu ça ! »

On reste un moment sans bouger, je la caresse négligemment, trouve son ventre plein de mouille, en bonne élève, elle répète mes caresses son majeur sur mon clito et à entendre les grognements de Yanis, je sais qu'elle s'occupe également de lui. Au milieu des soupirs de bien-être, j'entends sa plainte

— ... Pourquoi tant de temps perdu, pourquoi n'avoir connu que si piètre amant.
— Il n'est jamais trop tard ma chérie, que je réponds. C'est le premier jour de ta nouvelle vie...

Yanis la serre dans ses bras, l'embrasse tendrement sur la bouche, il lui demande doucement de le sucer. Elle semble réticente mais le bras se referme et la relève sur la verge qui repose dans une mare blanchâtre. Elle est d'abord réticente puis pointe sa langue dans la flaque de sperme, Yanis l'encourage, elle lèche le tronc puis gobe le gland, il l'incite encore, enfin elle suce et avale et même après un moment le pompe, gloutonne.

En même temps elle s'offre cuisses ouvertes, le sexe trempé, je lui fais son premier cunni de femme libertine et en même temps mon doigt pointe l'anus. Elle se crispe, s'agite pour éviter ce toucher. Je n'insiste pas, elle y viendra d'elle-même

...ooOoo...

Après la première fois il y en eut beaucoup d'autres. Monique devenait une amante passionnée autant à deux qu'à trois. Yanis était content de cette nouvelle relation et après en avoir beaucoup parlé nous lui proposons de partager nos prochaines vacances.

— Monique ! Viens avec nous... que je supplie. Viens sur le bateau avec nous !
— Comment ça ??? Et Olivier... mon mari ???
— Faisons vite connaissance ! S'écrie mon mari, et qu'il vienne aussi
— Oh oui ma chérie... Venez avec nous !.

Comme pour forcer la main ou me laisser la convaincre, Yanis nous laisse toutes les deux. Je prends Monique dans mes bras et comme deux amoureuses nous nous bécotons. Je lui parle d'amour, de vacances, des îles. Je la sens encore réticente

— Mais avec Olivier ?
— Avec Olivier ! On fera en fonction de... On verra... Il faut qu'on se rencontre
— Euhh !
— En tout bien tout honneur ma chérie... En amis... Pour faire connaissance comme dit Yanis.

Elle semble presque convaincue, on s'embrasse, on se caresse en amoureuses, on se murmure des mots doux. Peu après Yanis revient chargé d'une bouteille de champagne et de trois coupes :

— Ah, je vois avec plaisir que vous êtes d'accord... Alors buvons à l'amour, buvons à nos prochaines vacances.
— Mais... Monique dans mes bras reste inquiète... Comment voyez-vous ça ?
— C'est très simple, mon bateau est au Pirée, Nous embarquons tous les quatre, nous naviguons d'île en île, nous faisons la fête de port en port jusqu'à Santorin où nous avons une propriété.
— Oui et Olivier ?
— Nous avons une cabine et le carré où nous pouvons dormir chacun de notre côté.
— Non mais... le voyage...
— La maison offre tout, tu le convaincs et sinon... Tu viens seule !!!

Assis tous les trois sur le lit on parle encore un moment quand Yanis me renverse en arrière. C'est un amant merveilleux. J'aime sa douceur et sa force, son attention et son autorité, j'aime ses caresses, sentir sa barbe sur mon ventre, dans mon cou. J'aime comme il butine mon minou, comme il prépare mon petit trou. Aucune gêne entre nous. Il se permet tout et j'accepte tout.

Je vois Monique étonnée de nos jeux. Je la prends dans mes bras, ce sont de tendres baisers, elle réagit de mieux en mieux, se frotte à moi.
J'ai ma petite idée, je me mets tête-bêche sur elle. Sans imaginer la suite, tout de suite elle me suce comme une gourgandine, Yanis vient alors à mes fesses et de nouveau me doigte le fion à 10 centimètres de ses yeux. Je grogne d'une voix rauque affirmant mon plaisir « Ouais vous deux ensemble !... Bouffe-moi la chatte !... Éclate-moi le cul... »

Il est temps que je lui fasse découvrir de nouveaux jeux. Je passe ses jambes sous mes aisselles. J'ai ses fesses et son ventre nus sous mes lèvres. Mes cheveux s'étalent sur ses cuisses, je bise la vulve, taquine le bourgeon, lèche le périnée et pour la première fois je pointe le petit trou. Elle se contracte, en se plaignant d'un « Nooon » en sourdine. Rien ne m'arrête, je lui embrasse le cul comme Yanis me l'embrasse, je lui touche le cul comme Yanis me le touche. Je la caresse de mes cheveux, la lèche de partout, elle se détend et se laisse explorer, le doigt mouillé fait des ronds concentriques et pointe l'orifice au moment ou Yanis m'encule... et je pense "Maintenant ma chérie découvre les plaisirs de Sodome !"

Il est en place, je sens le gland sur ma rosace, nos poussées se conjuguent, la pointe s'enfonce et d'un coup est en moi. J'aime cette sensation de déchirement, de pénétration forcée, d'occupation. Le temps de m'y habituer et le tronc glisse lentement dans l'anneau.. Yanis est monté comme un taureau avec des couilles volumineuses et pendantes. Elles me frappent à chaque coup. J'imagine Monique quand les testicules atterrissent sur son nez... je ne peux m'empêcher de geindre « Ouais plus fort ! »

D'un côté sa bouche me tiraille la chatte.
De l'autre ses mains me guident, son mandrin me façonne, mon fourreau se graisse. Son ahanement se fait plus rapide, un coup plus violent que les autres, un rugissement, il s'immobilise, il se vide au fond de mes entrailles. Monique observe, bouche bée, sidérée. La verge se dégage, sort accompagnée d'un filet de sperme qui coule sur le périnée.
Un moment de silence, un moment de plénitude puis on se retourne, je me retrouve allongée entre les deux... J'embrasse Yanis comme pour le remercier, me tourne vers Monique lui murmure « Hummm... C'était bon ! »
Après l'orage le calme revient, on ne parle pas trop, nous passons sous la douche. Monique se rhabille pensive et disposée à nous suivre.

Dans le mois suivant nous rencontrons Olivier. La communication passe bien et après deux visites il est décidé que nous partions ensemble en vacances.