ODESSA – Janvier 2020 – Chiennes Sacrées

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
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Récit libertin : ODESSA – Janvier 2020 –  Chiennes Sacrées Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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ODESSA – Janvier 2020 – Chiennes Sacrées
ODESSA – Janvier 2019 – Chiennes Sacrées

...
Le lendemain, Viktor m’a écrit.
« Dîner demain. Tenue légère. Il y aura des invités. Tu es à moi. »

Je n’ai pas répondu.
Mais j’ai regardé l’écran pendant une heure.
Mon doigt tremblait. Entre "oui" et "non".
Entre la soie, l’or, les ordres…
Et la liberté.


Chapitre VI – Chiennes Sacrées

Je suis venue.
Bien sûr que je suis venue.

Une part de moi espérait qu’il aurait compris.
Qu’il me parlerait. Me regarderait autrement. Me dirait que j’étais plus qu’un objet.

Mais Viktor ne change pas.

La suite était la même.
Moquette épaisse. Champagne glacé. Bougies tamisées.
Et moi… en lingerie fine, collier de cuir, seins nus sous un manteau de soie.

Quand je suis entrée, ils étaient déjà là.

Trois hommes. Et une fille.
Petite. Blonde. Une poupée.
Elle ne devait pas avoir plus de vingt ans. Des yeux immenses, presque hagards.
Et ce que j’ai vu en elle, je l’ai reconnu tout de suite :
c’était moi, il y a six mois.

Elle portait une nuisette rose trop fine.
Elle était pieds nus. Le regard fuyant.
Et autour de son cou : le même collier que moi.

Les trois hommes attendaient. Trois figures froides, massives, bien au-delà de la cinquantaine. L’un sentait le cigare, l’autre le parfum bon marché, le dernier transpirait la vodka et la graisse. Le genre de types qui payent cher pour ne rien demander.

Viktor a souri.
Il m’a prise par la taille. M’a susurré à l’oreille :
« Ce soir, tu ne seras pas seule. Elle a besoin de toi. Montre-lui. Apprends-lui. »

Et moi… j’ai obéi.
Encore.

Avec Viktor, j’étais devenue autre chose. Plus une amante, pas même une favorite. Juste une créature bien dressée. Utilisée. Décorée. Présentée comme un trophée qu’on souille pour le plaisir des puissants.
Mila et moi portions des robes assorties, en dentelle noire. Transparentes. Pas de culotte. Talons aiguilles. Collier de cuir bien visible.

La soirée a commencé doucement.
Champagne, caresses, doigts dans les cheveux.

Je l’ai prise par la main.
Je l’ai embrassée. Doucement.
Elle a tremblé. Puis s’est laissée faire.
Je l’ai déshabillée. Lentement.
Elle était magnifique. Fragile. Soumise.

Les hommes regardaient. Viktor se branlait déjà.
Moi, j’étais dans un autre état.
J’avais du plaisir, oui.
Mais aussi de la peur.

Car plus je la touchais, plus je la léchais, plus je la faisais gémir…
plus je voyais mon propre reflet, mes propres cris, mes propres nuits sans fin.


Il nous a poussées doucement dans le salon aux bougies. Le parquet grinçait sous nos pas tremblants. Il a murmuré à l’assemblée, presque fier :

— " Messieurs voici Kristina et Mila. Elles sont obéissantes alors faites ce que vous voulez."

Je n’ai pas eu peur. Pas ce genre de peur. Mon corps savait déjà quoi faire. Ma chatte était mouillée avant même qu’on me touche.

Le premier a tiré sur ma robe, l’a fait glisser de mes épaules. Il m’a pelotée comme un sac de viande, me reniflant la gorge, léchant entre mes seins. Il puait le whisky et la sueur. Son ventre frottait contre mon pubis pendant qu’il me poussait à genoux.
À côté de moi, Mila était déjà déshabillée, nue comme une poupée, offerte entre les mains du plus gras des trois. Il lui tapotait les fesses comme on tâte un melon. Elle avait les joues rouges, les yeux baissés. Mais elle n’a pas résisté.
Le troisième m’a attrapée par les cheveux. Sa queue sortait déjà de son pantalon, molle mais grosse. Il me l’a tapée contre le visage, plusieurs fois. J’ai entrouvert les lèvres. Il est entré d’un coup. J’ai manqué d’air. Il m’a tenu la tête, a grogné :

— "Jusqu’au fond, salope."

J’ai obéi. Je l’ai avalé jusqu’à l’étouffement. Ma salive dégoulinait. Mes yeux pleuraient. Je gémissais entre deux spasmes de gorge.

Pendant ce temps, Mila était pliée sur un fauteuil, les fesses écartées, la chatte déjà rouge de coups de langue. L’un la léchait avec une brutalité sans finesse, grognant comme un chien en chaleur. L’autre lui enfonçait deux doigts dans l’anus, sans lubrifiant, juste pour la voir grimacer.

Moi, je me faisais baiser la bouche, toujours à genoux. Le type a joui sans prévenir, m’aspergeant la gorge et le nez. J’ai avalé par réflexe. Une partie a coulé sur mes seins.
Puis ils ont échangé.

Un m’a allongée sur le sol. A écarté mes jambes. M’a pénétrée violemment, sans même me regarder. Son ventre pendait sur mon bas-ventre. Je l’ai senti trembler dès les premières poussées.
Mila, elle, avait un homme dans chaque orifice : un dans la bouche, un dans le cul. Son petit corps frémissait, ses gémissements étouffés entre les coups de reins et les claques sur ses fesses blanches.

Et Viktor… il regardait.

Installé dans un fauteuil de cuir, la queue à la main, il se branlait lentement, les yeux rivés sur nous comme un galeriste devant deux statues en pleine transmutation. Il souriait, haletait, murmurait nos prénoms comme des incantations.

— "Plus fort… ouvrez plus… montrez-leur ce que vous êtes…"

Un des hommes a joui dans mon cul. Sans prévenir. J’ai senti les jets chauds m’inonder. Il a grogné comme une bête, s’est retiré en me tapant la fesse.

Un autre m’a saisie par la gorge, m’a fait m’asseoir sur sa queue. J’étais trempée, soumise, ouverte. Il me faisait rebondir sur lui, les deux mains sur mes hanches, pendant que je le regardais, bouche entrouverte.

Et quand le dernier s’est branlé sur mon visage, ses gouttes se sont mêlées à celles de Mila, à côté de moi. Nos peaux, nos souffles, nos cris… tout s’était fondu.
C’est à ce moment-là que Viktor s’est levé.

Il s’est approché lentement, sa queue luisante dans sa main.

— "Regardez-moi…"

On l’a fait. Mila et moi, à genoux, dégoulinantes de foutre, d’épuisement et de soumission. Nos visages étaient tendus vers lui comme une offrande.

Il a joui sur nous. Longtemps. Fort. Des jets puissants qui nous couvraient la bouche, les joues, les seins. Il haletait comme un possédé.

Quand il s’est arrêté, il nous a regardées, glacé, satisfait.

Puis il a dit, en ricanant :

— "Vous êtes mes chiennes sacrées."

Puis il a tourné les talons. A repris son verre. A parlé affaires avec les hommes comme si de rien n’était.

Et moi… moi je suis restée là, nue, collante, tremblante.
Et pour la première fois… j’ai senti quelque chose se briser.

(à suivre)
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