ODESSA – Novembre 2019 - Le deuxième Daddy

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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ODESSA – Novembre 2019 - Le deuxième Daddy
ODESSA – Novembre 2019 - Le deuxième Daddy
Chapitre III – Le deuxième Daddy
Mikhaïl m’avait initiée. À l’âge. À la puissance. À l’échange.
Mais un jour, un autre homme est entré dans ma vie.
Plus froid. Plus riche.
Et plus cruel.
Il s’appelait Viktor. Un russe de 58 ans. Un magnat de l’immobilier en Crimée.
Costume sur-mesure, montre suisse, mains larges et sèches comme celles d’un chasseur.
Il n’était pas tendre. Il n’était pas patient.
Il commandait.
Je l’ai rencontré lors d’un gala universitaire. Il m’a regardée comme on regarde un objet précieux, une pièce d’art dont on devine le prix avant de la posséder.
Il ne m’a pas demandé mon nom.
Il m’a simplement dit :
« Ce soir, tu viens avec moi. Tu porteras ce que je te donne. Tu parleras si je te l’autorise. Et tu jouiras quand je le déciderai. »
Je n’ai pas hésité.
J’ai hoché la tête.
Et j’ai suivi.
Dans sa voiture, il m’a tendu une boîte. À l’intérieur : un collier en cuir fin, discret, sans bijou — mais c’était une lanière de soumission. Il me l’a attaché lui-même.
J’ai mouillé instantanément.
Je ne sais pas pourquoi, mais ce geste… cette façon qu’il avait de me transformer en chose — ça m’a rendue folle.
Dans sa suite d’hôtel, il n’a pas attendu.
Il m’a déshabillée comme on déballe un paquet, lentement, méthodiquement.
Puis il a attaché mes poignets derrière mon dos. Une corde douce. Serrée.
Il m’a fait marcher nue sur le tapis. Talons hauts, seins fiers, jambes tremblantes.
Je n’avais plus de prénom. Plus d’avis. J’étais sa salope. Sa chose.
Il m’a fait m’agenouiller.
Il a sorti sa queue. Grosse, lourde, imposante.
Il m’a giflée doucement avec.
Puis il a dit :
« Ouvre. Jusqu’à la gorge. Tu respires quand je te le dis. »
J’ai obéi.
Il m’a baisée dans la bouche. Brutalement. Profondément. J’avais les larmes aux yeux, le mascara qui coulait, la salive qui dégoulinait sur mes seins.
Et j’aimais chaque seconde.
Je me sentais vivante. Dévouée. Avalée.
Puis il m’a traînée sur le lit. A ouvert mes cuisses d’un geste.
Sans lubrifiant. Sans douceur. Il est entré dans mon cul.
J’ai hurlé. Il m’a plaquée. M’a tenu fort. M’a possédée comme une bête.
Ses doigts sont entrés dans ma chatte pendant qu’il me sodomisait. Trois, puis quatre. Il m’a faite jouir à en pleurer, le corps secoué, l’esprit vidé.
Je n’étais plus qu’une masse offerte.
Une pute de luxe pour un seigneur d’acier.
Et lui… il est venu dans mon cul, longuement. En gémissant cette fois.
Il m’a laissé nue, dévastée, marquée.
Et il a dit simplement :
« Tu es parfaite. Tu reviens demain. Et tu n’as pas besoin de culotte. Jamais. »
L'année scolaire terminée et mon diplôme en poche, j’ai fini par ne plus répondre aux messages de Mikhaïl.
Trop lent. Trop tendre.
Ses caresses d’homme blessé ne m’excitaient plus.
Avec Viktor, je n’avais pas besoin de douceur.
Il me couvrait d’argent, de soie, de bijoux.
Mais c’était son regard, glacé et sûr de lui, qui me rendait docile.
C’était sa puissance, sa brutalité, sa maîtrise absolue de mon corps, de ma place, de ma fonction.
Il m’achetait des robes que je ne pouvais porter qu’une seule fois — parce qu’il les déchirait ensuite.
Il m’offrait des escarpins italiens pour mieux m’ordonner de les garder aux pieds pendant qu’il me prenait à quatre pattes, la bouche pleine de foutre.
Il glissait des liasses dans mon sac, des bijoux dans ma gorge, des ordres dans mes reins.
Mais ce qu’il aimait le plus… c’était l’exhibition.
Le premier jeu public a eu lieu dans un restaurant chic de Marioupol.
Il m’avait fait enfiler une robe fendue jusqu’en haut des cuisses. Sans culotte.
Un collier discret autour du cou, mais au bout, sous la table… une petite laisse en cuir, invisible sauf pour lui.
Il avait une télécommande dans la poche.
Un petit plug vibrant, glissé dans mon cul, que j’avais appris à porter comme une marque d’appartenance.
Chaque fois qu’il parlait affaires, il appuyait.
Le plug vibrait fort.
Je souriais, je mordais mes lèvres, je tremblais doucement.
Je mouillais tant que ma robe était tachée sur le satin.
À un moment, il m’a glissé à l’oreille :
« Va aux toilettes. Deux minutes. Tu reviens. Pas seule. »
Je l’ai regardé, les jambes faibles.
Je me suis levée, suis allée au fond du restaurant.
Dans le couloir, un homme m’a suivi.
Viktor l’avait choisi, sans me le dire.
Il m’a plaquée contre le mur des toilettes, a soulevé ma robe.
Je n’ai pas résisté.
Je me suis offerte comme une bonne chienne bien dressée.
Il m’a baisée debout, fort, brutal, pendant que je gémissais son nom à lui :
« Viktor... Viktor... »
Comme une prière sale.
Comme une confession.
---
Quand je suis revenue à table, il a simplement souri.
Il m’a pris la main, l’a embrassée.
Et il a dit :
« Tu progresses. »
C’est tout ce que je voulais entendre.
Mikhaïl n’existait plus.
Viktor était devenu tout.
Soumise
Avec Viktor, tout a changé.
Je n’étais plus sa maîtresse.
J’étais sa chose.
Son jouet préféré. Son outil de contrôle.
Une petite pute bien dressée, précieuse, silencieuse, précieuse justement parce qu’elle se laissait salir sans protester.
Il avait commencé doucement. Un jeu dans un restaurant.
Un plug, une vibration, une laisse.
Puis, un inconnu dans les toilettes.
Et puis, un soir, il m’a dit :
« Ce soir, tu souris, tu obéis, tu n’es plus à moi. Tu es à eux. »
C’était dans un appartement luxueux, avec vue sur la Mer Noire
Un salon vaste, éclairé aux bougies. Trois hommes en costume.
Des clients. Riches. Slaves. Froids. La cinquantaine.
Je portais une robe en dentelle noire, transparente. Pas de culotte.
Collier serré. Poitrine nue. Talons très hauts.
Il m’a poussée au milieu de la pièce, les bras dans le dos, regard au sol.
Puis il a dit calmement, devant eux :
« C’est Kristina. Elle est propre, soumise, entraînée. Faites ce que vous voulez. Elle aime ça. »
Je n’ai pas eu peur.
Je m’étais préparée à ça.
Je mouillais déjà.
Le premier m’a prise dans la bouche. Fort. Sans ménagement. Il a cogné ma gorge jusqu’à ce que mes yeux pleurent.
Le second a soulevé ma robe, a enfoncé deux doigts dans ma chatte trempée.
Le troisième me léchait l’anus pendant que je me faisais enfoncer la gorge.
Et Viktor…
Assis dans un fauteuil en cuir sombre. Verre de cognac dans une main, son sexe sorti de son pantalon dans l’autre.
Il se caressait lentement, me regardait comme un collectionneur devant sa pièce maîtresse.
Puis tout est allé vite.
On m’a mise à genoux.
Ils ont tourné et le premier m’a prise dans le cul, violemment.
Le second s’est installé dans ma bouche, à nouveau.
Le troisième a écarté ma chatte et m’a pénétrée avec deux doigts, puis trois, puis quatre.
Mes cris étaient étouffés, mon ventre contracté.
Je jouissais sans fin.
Mon corps n’était plus à moi. Il était à eux. Offert. Étiré. Inondé.
Le premier a joui profondément dans mon cul, en grognant.
Je l’ai senti gicler fort, brûlant. Il s’est retiré lentement, laissant sa semence couler le long de mes cuisses.
Le second a tiré mes cheveux, a baisé ma gorge jusqu’au fond, puis a déchargé dans ma bouche, me forçant à avaler tout.
Je l’ai fait. Sans réfléchir. Par obéissance. Par automatisme.
Le troisième s’est branlé contre ma chatte dégoulinante, a éjaculé sur mes lèvres, mon ventre, mes seins.
Et là, Viktor s’est levé.
Il s’est approché.
« Regarde-moi. »
Je l’ai regardé, à genoux, dégoulinante de foutre, les cheveux collés, le visage marqué.
Il s’est caressé devant moi, lentement, puis plus fort.
Son regard était noir, intense, déformé par le plaisir.
Il a gémi mon prénom une dernière fois.
Et a joui sur mon visage.
Longuement. Violent. En haletant.
Le sperme chaud m’a coulé sur les joues, les paupières, les lèvres.
Il a reculé.
J’étais seule. À genoux.
Recouverte.
Et soudain…
Quelque chose s’est figé en moi.
J’ai senti un vide. Une honte, douce mais présente.
Pas la honte du sexe. Je ne regrette rien de ce que j’ai fait.
Mais une prise de conscience.
Jusqu’ici, j’étais actrice. Offerte, mais volontaire.
Là… j’avais été outil.
Et Viktor ne m’a même pas regardée en sortant de la pièce.
Il s’est rhabillé, a parlé affaires, a ri.
Comme si je n’étais qu’un passage dans le contrat.
Je suis restée là. Silencieuse.
Le sperme séchait sur mes lèvres.
Et pour la première fois… j’ai eu envie de me relever seule.
Entre les jambes, entre deux mondes
Je suis restée là, à genoux, nue, couverte de foutre et de silence.
La porte avait claqué. Viktor était reparti avec ses associés.
Rien ne restait que l’odeur, le sperme, mes cuisses tremblantes.
Et cette sensation étrange dans ma poitrine…
Pas de douleur. Pas encore. Mais un doute. Une cassure.
Je me suis levée lentement. J’ai titubé jusqu’à la salle de bains.
J’ai regardé mon visage dans le miroir.
Rouge. Sale. Belle, malgré tout.
Une putain de luxe, oui. Une œuvre d’abandon.
Mais à qui j’appartenais vraiment ?
Viktor m’avait transformée. Il m’avait habillée, soumise, offerte, utilisée.
Et moi… j’avais tout accepté. Avec fierté. Avec envie.
J’avais joui mille fois. J’avais crié son nom. Avalé chaque ordre comme une caresse.
Mais ce soir-là, ce n’était pas du plaisir.
Ce n’était pas du sexe.
C’était du pouvoir. Froid. Calculé. Dégradant.
Et ce n’était même plus pour lui. C’était pour ses affaires.
Je suis restée là. À genoux. Nue. Souillée. Le sperme séchait sur ma peau, sur mes seins, entre mes cuisses. L’air était lourd, encore chargé de leur sueur et de nos gémissements. Viktor parlait affaires, comme si rien ne s’était passé. Comme si je n’étais qu’un meuble.
Mais je n’étais pas brisée. Pas encore.
Je me suis levée lentement, suis allée à la salle de bains. J’avais du foutre jusque dans les cheveux. Ça collait. Je sentais encore leurs mains sur mes hanches, leurs doigts dans ma gorge, leurs bites dans mon cul. Et mon corps… tremblait encore. Pas de peur. Pas vraiment de plaisir non plus. Juste une sorte d'écho sale, animal.
Devant le miroir, j’étais belle. Détruite, mais belle. Ma peau rougie, mon maquillage détruit, ma bouche encore gonflée. Une œuvre d’art profanée.
Je me suis lavée longtemps. L’eau brûlante me faisait mal, mais je n’ai pas reculé. Je voulais que tout disparaisse. Les traces. Les odeurs. Les preuves. Mais même après le savon, le corps garde la mémoire. Et moi, j’ai joui, seule, en silence, sous le jet, en pensant à eux.
C’est ça, le pire. Je me dégoûtais, mais je mouillais.
C’était ça, mon piège.
Je ne savais plus distinguer la jouissance de l’humiliation.
---
Le lendemain, Viktor m’a écrit.
« Dîner demain. Tenue légère. Il y aura des invités. Tu es à moi. »
Je n’ai pas répondu.
Mais j’ai regardé l’écran pendant une heure.
Mon doigt tremblait. Entre "oui" et "non".
Entre la soie, l’or, les ordres…
Et la liberté.
(à suivre)
Pas là juste pour les jolies photos...
Tu l'as lue ? alors lâche un mot, un avis, un claque ou un frisson. Merci
Chapitre III – Le deuxième Daddy
Mikhaïl m’avait initiée. À l’âge. À la puissance. À l’échange.
Mais un jour, un autre homme est entré dans ma vie.
Plus froid. Plus riche.
Et plus cruel.
Il s’appelait Viktor. Un russe de 58 ans. Un magnat de l’immobilier en Crimée.
Costume sur-mesure, montre suisse, mains larges et sèches comme celles d’un chasseur.
Il n’était pas tendre. Il n’était pas patient.
Il commandait.
Je l’ai rencontré lors d’un gala universitaire. Il m’a regardée comme on regarde un objet précieux, une pièce d’art dont on devine le prix avant de la posséder.
Il ne m’a pas demandé mon nom.
Il m’a simplement dit :
« Ce soir, tu viens avec moi. Tu porteras ce que je te donne. Tu parleras si je te l’autorise. Et tu jouiras quand je le déciderai. »
Je n’ai pas hésité.
J’ai hoché la tête.
Et j’ai suivi.
Dans sa voiture, il m’a tendu une boîte. À l’intérieur : un collier en cuir fin, discret, sans bijou — mais c’était une lanière de soumission. Il me l’a attaché lui-même.
J’ai mouillé instantanément.
Je ne sais pas pourquoi, mais ce geste… cette façon qu’il avait de me transformer en chose — ça m’a rendue folle.
Dans sa suite d’hôtel, il n’a pas attendu.
Il m’a déshabillée comme on déballe un paquet, lentement, méthodiquement.
Puis il a attaché mes poignets derrière mon dos. Une corde douce. Serrée.
Il m’a fait marcher nue sur le tapis. Talons hauts, seins fiers, jambes tremblantes.
Je n’avais plus de prénom. Plus d’avis. J’étais sa salope. Sa chose.
Il m’a fait m’agenouiller.
Il a sorti sa queue. Grosse, lourde, imposante.
Il m’a giflée doucement avec.
Puis il a dit :
« Ouvre. Jusqu’à la gorge. Tu respires quand je te le dis. »
J’ai obéi.
Il m’a baisée dans la bouche. Brutalement. Profondément. J’avais les larmes aux yeux, le mascara qui coulait, la salive qui dégoulinait sur mes seins.
Et j’aimais chaque seconde.
Je me sentais vivante. Dévouée. Avalée.
Puis il m’a traînée sur le lit. A ouvert mes cuisses d’un geste.
Sans lubrifiant. Sans douceur. Il est entré dans mon cul.
J’ai hurlé. Il m’a plaquée. M’a tenu fort. M’a possédée comme une bête.
Ses doigts sont entrés dans ma chatte pendant qu’il me sodomisait. Trois, puis quatre. Il m’a faite jouir à en pleurer, le corps secoué, l’esprit vidé.
Je n’étais plus qu’une masse offerte.
Une pute de luxe pour un seigneur d’acier.
Et lui… il est venu dans mon cul, longuement. En gémissant cette fois.
Il m’a laissé nue, dévastée, marquée.
Et il a dit simplement :
« Tu es parfaite. Tu reviens demain. Et tu n’as pas besoin de culotte. Jamais. »
L'année scolaire terminée et mon diplôme en poche, j’ai fini par ne plus répondre aux messages de Mikhaïl.
Trop lent. Trop tendre.
Ses caresses d’homme blessé ne m’excitaient plus.
Avec Viktor, je n’avais pas besoin de douceur.
Il me couvrait d’argent, de soie, de bijoux.
Mais c’était son regard, glacé et sûr de lui, qui me rendait docile.
C’était sa puissance, sa brutalité, sa maîtrise absolue de mon corps, de ma place, de ma fonction.
Il m’achetait des robes que je ne pouvais porter qu’une seule fois — parce qu’il les déchirait ensuite.
Il m’offrait des escarpins italiens pour mieux m’ordonner de les garder aux pieds pendant qu’il me prenait à quatre pattes, la bouche pleine de foutre.
Il glissait des liasses dans mon sac, des bijoux dans ma gorge, des ordres dans mes reins.
Mais ce qu’il aimait le plus… c’était l’exhibition.
Le premier jeu public a eu lieu dans un restaurant chic de Marioupol.
Il m’avait fait enfiler une robe fendue jusqu’en haut des cuisses. Sans culotte.
Un collier discret autour du cou, mais au bout, sous la table… une petite laisse en cuir, invisible sauf pour lui.
Il avait une télécommande dans la poche.
Un petit plug vibrant, glissé dans mon cul, que j’avais appris à porter comme une marque d’appartenance.
Chaque fois qu’il parlait affaires, il appuyait.
Le plug vibrait fort.
Je souriais, je mordais mes lèvres, je tremblais doucement.
Je mouillais tant que ma robe était tachée sur le satin.
À un moment, il m’a glissé à l’oreille :
« Va aux toilettes. Deux minutes. Tu reviens. Pas seule. »
Je l’ai regardé, les jambes faibles.
Je me suis levée, suis allée au fond du restaurant.
Dans le couloir, un homme m’a suivi.
Viktor l’avait choisi, sans me le dire.
Il m’a plaquée contre le mur des toilettes, a soulevé ma robe.
Je n’ai pas résisté.
Je me suis offerte comme une bonne chienne bien dressée.
Il m’a baisée debout, fort, brutal, pendant que je gémissais son nom à lui :
« Viktor... Viktor... »
Comme une prière sale.
Comme une confession.
---
Quand je suis revenue à table, il a simplement souri.
Il m’a pris la main, l’a embrassée.
Et il a dit :
« Tu progresses. »
C’est tout ce que je voulais entendre.
Mikhaïl n’existait plus.
Viktor était devenu tout.
Soumise
Avec Viktor, tout a changé.
Je n’étais plus sa maîtresse.
J’étais sa chose.
Son jouet préféré. Son outil de contrôle.
Une petite pute bien dressée, précieuse, silencieuse, précieuse justement parce qu’elle se laissait salir sans protester.
Il avait commencé doucement. Un jeu dans un restaurant.
Un plug, une vibration, une laisse.
Puis, un inconnu dans les toilettes.
Et puis, un soir, il m’a dit :
« Ce soir, tu souris, tu obéis, tu n’es plus à moi. Tu es à eux. »
C’était dans un appartement luxueux, avec vue sur la Mer Noire
Un salon vaste, éclairé aux bougies. Trois hommes en costume.
Des clients. Riches. Slaves. Froids. La cinquantaine.
Je portais une robe en dentelle noire, transparente. Pas de culotte.
Collier serré. Poitrine nue. Talons très hauts.
Il m’a poussée au milieu de la pièce, les bras dans le dos, regard au sol.
Puis il a dit calmement, devant eux :
« C’est Kristina. Elle est propre, soumise, entraînée. Faites ce que vous voulez. Elle aime ça. »
Je n’ai pas eu peur.
Je m’étais préparée à ça.
Je mouillais déjà.
Le premier m’a prise dans la bouche. Fort. Sans ménagement. Il a cogné ma gorge jusqu’à ce que mes yeux pleurent.
Le second a soulevé ma robe, a enfoncé deux doigts dans ma chatte trempée.
Le troisième me léchait l’anus pendant que je me faisais enfoncer la gorge.
Et Viktor…
Assis dans un fauteuil en cuir sombre. Verre de cognac dans une main, son sexe sorti de son pantalon dans l’autre.
Il se caressait lentement, me regardait comme un collectionneur devant sa pièce maîtresse.
Puis tout est allé vite.
On m’a mise à genoux.
Ils ont tourné et le premier m’a prise dans le cul, violemment.
Le second s’est installé dans ma bouche, à nouveau.
Le troisième a écarté ma chatte et m’a pénétrée avec deux doigts, puis trois, puis quatre.
Mes cris étaient étouffés, mon ventre contracté.
Je jouissais sans fin.
Mon corps n’était plus à moi. Il était à eux. Offert. Étiré. Inondé.
Le premier a joui profondément dans mon cul, en grognant.
Je l’ai senti gicler fort, brûlant. Il s’est retiré lentement, laissant sa semence couler le long de mes cuisses.
Le second a tiré mes cheveux, a baisé ma gorge jusqu’au fond, puis a déchargé dans ma bouche, me forçant à avaler tout.
Je l’ai fait. Sans réfléchir. Par obéissance. Par automatisme.
Le troisième s’est branlé contre ma chatte dégoulinante, a éjaculé sur mes lèvres, mon ventre, mes seins.
Et là, Viktor s’est levé.
Il s’est approché.
« Regarde-moi. »
Je l’ai regardé, à genoux, dégoulinante de foutre, les cheveux collés, le visage marqué.
Il s’est caressé devant moi, lentement, puis plus fort.
Son regard était noir, intense, déformé par le plaisir.
Il a gémi mon prénom une dernière fois.
Et a joui sur mon visage.
Longuement. Violent. En haletant.
Le sperme chaud m’a coulé sur les joues, les paupières, les lèvres.
Il a reculé.
J’étais seule. À genoux.
Recouverte.
Et soudain…
Quelque chose s’est figé en moi.
J’ai senti un vide. Une honte, douce mais présente.
Pas la honte du sexe. Je ne regrette rien de ce que j’ai fait.
Mais une prise de conscience.
Jusqu’ici, j’étais actrice. Offerte, mais volontaire.
Là… j’avais été outil.
Et Viktor ne m’a même pas regardée en sortant de la pièce.
Il s’est rhabillé, a parlé affaires, a ri.
Comme si je n’étais qu’un passage dans le contrat.
Je suis restée là. Silencieuse.
Le sperme séchait sur mes lèvres.
Et pour la première fois… j’ai eu envie de me relever seule.
Entre les jambes, entre deux mondes
Je suis restée là, à genoux, nue, couverte de foutre et de silence.
La porte avait claqué. Viktor était reparti avec ses associés.
Rien ne restait que l’odeur, le sperme, mes cuisses tremblantes.
Et cette sensation étrange dans ma poitrine…
Pas de douleur. Pas encore. Mais un doute. Une cassure.
Je me suis levée lentement. J’ai titubé jusqu’à la salle de bains.
J’ai regardé mon visage dans le miroir.
Rouge. Sale. Belle, malgré tout.
Une putain de luxe, oui. Une œuvre d’abandon.
Mais à qui j’appartenais vraiment ?
Viktor m’avait transformée. Il m’avait habillée, soumise, offerte, utilisée.
Et moi… j’avais tout accepté. Avec fierté. Avec envie.
J’avais joui mille fois. J’avais crié son nom. Avalé chaque ordre comme une caresse.
Mais ce soir-là, ce n’était pas du plaisir.
Ce n’était pas du sexe.
C’était du pouvoir. Froid. Calculé. Dégradant.
Et ce n’était même plus pour lui. C’était pour ses affaires.
Je suis restée là. À genoux. Nue. Souillée. Le sperme séchait sur ma peau, sur mes seins, entre mes cuisses. L’air était lourd, encore chargé de leur sueur et de nos gémissements. Viktor parlait affaires, comme si rien ne s’était passé. Comme si je n’étais qu’un meuble.
Mais je n’étais pas brisée. Pas encore.
Je me suis levée lentement, suis allée à la salle de bains. J’avais du foutre jusque dans les cheveux. Ça collait. Je sentais encore leurs mains sur mes hanches, leurs doigts dans ma gorge, leurs bites dans mon cul. Et mon corps… tremblait encore. Pas de peur. Pas vraiment de plaisir non plus. Juste une sorte d'écho sale, animal.
Devant le miroir, j’étais belle. Détruite, mais belle. Ma peau rougie, mon maquillage détruit, ma bouche encore gonflée. Une œuvre d’art profanée.
Je me suis lavée longtemps. L’eau brûlante me faisait mal, mais je n’ai pas reculé. Je voulais que tout disparaisse. Les traces. Les odeurs. Les preuves. Mais même après le savon, le corps garde la mémoire. Et moi, j’ai joui, seule, en silence, sous le jet, en pensant à eux.
C’est ça, le pire. Je me dégoûtais, mais je mouillais.
C’était ça, mon piège.
Je ne savais plus distinguer la jouissance de l’humiliation.
---
Le lendemain, Viktor m’a écrit.
« Dîner demain. Tenue légère. Il y aura des invités. Tu es à moi. »
Je n’ai pas répondu.
Mais j’ai regardé l’écran pendant une heure.
Mon doigt tremblait. Entre "oui" et "non".
Entre la soie, l’or, les ordres…
Et la liberté.
(à suivre)
Pas là juste pour les jolies photos...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est excellent!
Fabuleusement bien écrit, dès les premiers mots du récit, les images défilent immédiatement.
J'ai bien sur lu vos autres histoires, toutes aussi intenses et excitantes mais ici, le niveau est clairement monté de plusieurs crans. Et cette phrase que je n'arrive pas à m'enlever de la tête; "une oeuvre d'art profanée".
La suite des ces aventures nous dira sans doute si c'est la liberté que vous avez choisi et c'est avec une impatience non dissimulée que je vais dès à présent attendre un autre texte.
J'aurais évidemment beaucoup d'autres questions.
Au plaisir de vous lire à nouveau.
Arnorn
Fabuleusement bien écrit, dès les premiers mots du récit, les images défilent immédiatement.
J'ai bien sur lu vos autres histoires, toutes aussi intenses et excitantes mais ici, le niveau est clairement monté de plusieurs crans. Et cette phrase que je n'arrive pas à m'enlever de la tête; "une oeuvre d'art profanée".
La suite des ces aventures nous dira sans doute si c'est la liberté que vous avez choisi et c'est avec une impatience non dissimulée que je vais dès à présent attendre un autre texte.
J'aurais évidemment beaucoup d'autres questions.
Au plaisir de vous lire à nouveau.
Arnorn

