ODESSA – Octobre 2019 - Le Professeur

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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ODESSA – Octobre 2019 - Le Professeur
ODESSA – Octobre 2019 - Le Professeur
Chapitre II – Le professeur
À l'université, je suivais un cours de dessin, cour de modèle vivant. Nous devions dessiner des objets et choses inanimés mais nous avions aussi des cours de modèles vivants. Ces séances me troublaient intensément. Femme ou homme arrivait en peignoir, le retirait le plus naturellement et prenait des poses parfois très provocantes.
Le professeur s’appelait Mikhaïl. Il devait avoir dans les 50 ans. Grand, sec, toujours habillé d’un costume gris trop grand, l’air fatigué… mais ses yeux, eux, étaient d’un noir profond. Intelligents. Durs. Et parfois… presque tendres.
Il avait remarqué mon trouble pendant ces séances de dessin de nue.
Il parlait peu. Mais quand il me regardait dessiner, je sentais son regard sur mes poignets, sur mes seins sous la chemise, sur la ligne de mon cou. Il me corrigeait à voix basse, se penchait derrière moi, son souffle effleurait ma nuque. Je tremblais.
Et un jour, il m’a dit :
« Reste après le cours. »
Il y avait quelque chose dans sa voix. Ce ton calme, grave, presque sec.
Il ne me caressait pas, il me tenait. Il ne me parlait pas, il me fixait des règles.
Mikhaïl, mon professeur d’arts plastiques à l’université d’Odessa. Cinquante-deux ans, costume froissé, mains tachées d’encre. Un homme à l’ancienne.
Le genre qui ne demande rien deux fois.
Le genre qui ne vous flatte jamais, mais dont la main dans le bas de votre dos vous fait trembler plus qu’un discours d’amour.
Je venais à ses cours les cuisses nues sous mes jupes, sans culotte parfois. Je dessinais mal exprès. Je cherchais la remarque, le reproche, la punition — même si je ne l’aurais jamais admis.
Il me regardait comme un homme regarde une femme. Mais il y avait autre chose. Une tension. Une attente. Une présence.
Et cette façon qu’il avait de dire mon prénom… Kristina, avec son accent lourd, chargé, un peu triste.
Comme s’il avait compris.
Comme s’il savait.
Je ne parle jamais de ce que j’ai perdu à 13 ans.
Mais je crois que les hommes comme lui le sentent.
Ils comprennent pourquoi je viens à eux. Pourquoi j’ouvre les jambes si vite, mais le cœur si lentement.
Je cherche quelque chose.
Pas la douceur. Pas la sécurité.
Mais l’autorité. L’expérience. Le silence chaud d’un homme mûr qui me prend sans me demander.
Et Mikhaïl… il savait exactement quoi faire de moi.
Je suis restée. Seule. Les autres étudiants sont partis. Il a verrouillé la porte.
Il m’a demandé de lui montrer mes dessins. Je les ai posés sur le bureau. Il les a regardés sans dire un mot. Puis, il a levé les yeux vers moi :
« Tu dessines mieux quand tu es excitée. Tu le sais, n’est-ce pas ? », a-t-il dit en décrochant un croquis punaisé au mur.
Je n’ai rien répondu.
Alors, calmement, sans hâte, il a ouvert son pantalon. Son sexe est apparu, déjà à moitié dur, lourd, sombre.
« Dessine-le », a-t-il ordonné.
Sa voix était grave. Ma gorge s’est serrée. Mais j’ai obéi.
J’ai attrapé mon carnet et un fusain. Mes doigts tremblaient un peu. Il s’est assis, jambes écartées, le sexe en main.
Pendant que je traçais les premières lignes, il se caressait lentement. Ses mouvements étaient calmes, assurés, presque mécaniques.
Ses yeux ne me quittaient pas.
Le silence était épais, traversé seulement par le frottement du fusain et le son doux de sa peau sous sa paume.
J’avais chaud. Mon ventre contracté.
Je dessinais son sexe qui se tendait, les veines saillantes, la courbe épaisse. J’y mettais tout. Le désir, la peur, l’envie.
Quand j’ai levé les yeux, il m’a dit simplement :
" Déshabilles toi ! "
Je n’ai rien dit. Mais je me suis approchée. J’ai défait un bouton. Puis un autre.
Ma chemise s’est ouverte. Lentement. J’étais nue en dessous. Je ne portais jamais de soutien-gorge dans ses cours. Pour lui.
Il s’est levé. Est venu derrière moi. Sa main s’est posée sur ma hanche. Puis sur ma gorge. Il m’a collée contre le tableau. Mon téton dur a frotté la craie. J’ai gémi doucement.
Il m’a soulevée, comme une poupée. M’a posée sur son bureau. Et il s’est agenouillé.
Il a écarté mes jambes. A léché ma chatte sans pitié, comme s’il voulait m’effacer toute pensée. Sa langue était rapide, précise. Il me suçait avec l’expérience de quelqu’un qui connaît toutes les faiblesses d’un corps féminin. Il murmurait des choses en russe, entre mes lèvres ouvertes, entre mes gémissements.
Quand j’ai joui, je l’ai griffé. Fort. Il a souri.
Sa queue sortie. Épaisse. Lourde. Avec une allure presque brutale. Il ne portait pas de préservatif. Il a craché dans sa main, m’a regardée :
« Tu veux ? »
J’ai hoché la tête, haletante :
« Oui… s’il te plaît… »
Il m’a pénétrée d’un coup sec. J’ai hurlé. Mais je l’ai accueilli jusqu’au fond. Chaque va-et-vient résonnait dans la pièce vide. Il me prenait avec toute la force d’un homme frustré, solitaire, possédé. Il voulait me punir. Me remercier. Me marquer.
Je mouillais à flots. Je dégoulinais sur son bureau, sur ses doigts, sur ses couilles.
Il m’a retournée brutalement. M’a prise en levrette. Mon visage contre les dessins. Il a craché sur mon anus. L’a enfoncé d’un doigt. Puis deux. Et je me suis ouverte. Sans peur. Sans honte.
« Sale petite étudiante… » a-t-il murmuré en me pilonnant.
J’ai joui une seconde fois. Plus fort. Plus salement. Le genre d’orgasme qui laisse des traces.
Puis il s’est vidé en moi, en grognant. Long. Chaud. Profond.
Il s’est essuyé, s’est rhabillé sans rien dire.
Moi, j’étais nue sur son bureau. Encore tremblante. Il a juste dit :
« Reviens lundi. Mais porte une jupe cette fois. »
Avec Mikhaïl, tout s’est installé naturellement. Pas besoin de parler.
Il avait plus de trente ans de plus que moi.
Il enseignait. Moi, je le regardais comme on regarde une réponse.
Il savait que j’aimais les montres brillantes, les sacs en cuir qui sentent la richesse, les robes fines qu’on ne porte qu’une fois. Il ne me jugeait pas. Au contraire. Il aimait m’offrir.
Il aimait posséder.
Un jour, après m’avoir prise sur son bureau — mes cheveux emmêlés, ma culotte roulée en boule près des pinceaux — il a sorti une petite boîte. Un bijou. Simple. Discret. Mais cher. Très cher.
Il l’a posé sur mon ventre nu et m’a dit :
« Tu l’as mérité. »
Et j’ai joui à nouveau. Juste avec ses mots.
J’aime ça.
Pas parce que je suis intéressée. Mais parce que je sais ce que je vaux.
Je suis belle, jeune, souple, affamée.
Il est vieux, puissant, respecté, riche.
Ça s’équilibre.
Il aime mes jambes longues, mes lèvres rouges, mon petit rire pervers quand je viens m’asseoir sur ses genoux, sans culotte, juste pour lui faire sentir que je suis prête.
Je l’appelle parfois Monsieur.
D’autres fois, Daddy — juste pour voir ses yeux s’assombrir d’un coup.
Il me donne. Je me donne.
Mais moi, je me donne vraiment.
Quand je m’allonge nue sur ses draps en soie, jambes ouvertes, corps huilé, les poignets noués comme il aime… je ne triche pas.
Je suis là, offerte. Corps, gorge, fesses, âme.
Il peut faire ce qu’il veut. Me baiser lentement, brutalement, dans toutes les positions. Me punir. Me gâter.
Et après, quand il m’enveloppe dans sa chemise, me serre contre lui… je me sens bien.
Pas amoureuse. Non.
(à suivre)
Pas là juste pour les jolies photos...
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Chapitre II – Le professeur
À l'université, je suivais un cours de dessin, cour de modèle vivant. Nous devions dessiner des objets et choses inanimés mais nous avions aussi des cours de modèles vivants. Ces séances me troublaient intensément. Femme ou homme arrivait en peignoir, le retirait le plus naturellement et prenait des poses parfois très provocantes.
Le professeur s’appelait Mikhaïl. Il devait avoir dans les 50 ans. Grand, sec, toujours habillé d’un costume gris trop grand, l’air fatigué… mais ses yeux, eux, étaient d’un noir profond. Intelligents. Durs. Et parfois… presque tendres.
Il avait remarqué mon trouble pendant ces séances de dessin de nue.
Il parlait peu. Mais quand il me regardait dessiner, je sentais son regard sur mes poignets, sur mes seins sous la chemise, sur la ligne de mon cou. Il me corrigeait à voix basse, se penchait derrière moi, son souffle effleurait ma nuque. Je tremblais.
Et un jour, il m’a dit :
« Reste après le cours. »
Il y avait quelque chose dans sa voix. Ce ton calme, grave, presque sec.
Il ne me caressait pas, il me tenait. Il ne me parlait pas, il me fixait des règles.
Mikhaïl, mon professeur d’arts plastiques à l’université d’Odessa. Cinquante-deux ans, costume froissé, mains tachées d’encre. Un homme à l’ancienne.
Le genre qui ne demande rien deux fois.
Le genre qui ne vous flatte jamais, mais dont la main dans le bas de votre dos vous fait trembler plus qu’un discours d’amour.
Je venais à ses cours les cuisses nues sous mes jupes, sans culotte parfois. Je dessinais mal exprès. Je cherchais la remarque, le reproche, la punition — même si je ne l’aurais jamais admis.
Il me regardait comme un homme regarde une femme. Mais il y avait autre chose. Une tension. Une attente. Une présence.
Et cette façon qu’il avait de dire mon prénom… Kristina, avec son accent lourd, chargé, un peu triste.
Comme s’il avait compris.
Comme s’il savait.
Je ne parle jamais de ce que j’ai perdu à 13 ans.
Mais je crois que les hommes comme lui le sentent.
Ils comprennent pourquoi je viens à eux. Pourquoi j’ouvre les jambes si vite, mais le cœur si lentement.
Je cherche quelque chose.
Pas la douceur. Pas la sécurité.
Mais l’autorité. L’expérience. Le silence chaud d’un homme mûr qui me prend sans me demander.
Et Mikhaïl… il savait exactement quoi faire de moi.
Je suis restée. Seule. Les autres étudiants sont partis. Il a verrouillé la porte.
Il m’a demandé de lui montrer mes dessins. Je les ai posés sur le bureau. Il les a regardés sans dire un mot. Puis, il a levé les yeux vers moi :
« Tu dessines mieux quand tu es excitée. Tu le sais, n’est-ce pas ? », a-t-il dit en décrochant un croquis punaisé au mur.
Je n’ai rien répondu.
Alors, calmement, sans hâte, il a ouvert son pantalon. Son sexe est apparu, déjà à moitié dur, lourd, sombre.
« Dessine-le », a-t-il ordonné.
Sa voix était grave. Ma gorge s’est serrée. Mais j’ai obéi.
J’ai attrapé mon carnet et un fusain. Mes doigts tremblaient un peu. Il s’est assis, jambes écartées, le sexe en main.
Pendant que je traçais les premières lignes, il se caressait lentement. Ses mouvements étaient calmes, assurés, presque mécaniques.
Ses yeux ne me quittaient pas.
Le silence était épais, traversé seulement par le frottement du fusain et le son doux de sa peau sous sa paume.
J’avais chaud. Mon ventre contracté.
Je dessinais son sexe qui se tendait, les veines saillantes, la courbe épaisse. J’y mettais tout. Le désir, la peur, l’envie.
Quand j’ai levé les yeux, il m’a dit simplement :
" Déshabilles toi ! "
Je n’ai rien dit. Mais je me suis approchée. J’ai défait un bouton. Puis un autre.
Ma chemise s’est ouverte. Lentement. J’étais nue en dessous. Je ne portais jamais de soutien-gorge dans ses cours. Pour lui.
Il s’est levé. Est venu derrière moi. Sa main s’est posée sur ma hanche. Puis sur ma gorge. Il m’a collée contre le tableau. Mon téton dur a frotté la craie. J’ai gémi doucement.
Il m’a soulevée, comme une poupée. M’a posée sur son bureau. Et il s’est agenouillé.
Il a écarté mes jambes. A léché ma chatte sans pitié, comme s’il voulait m’effacer toute pensée. Sa langue était rapide, précise. Il me suçait avec l’expérience de quelqu’un qui connaît toutes les faiblesses d’un corps féminin. Il murmurait des choses en russe, entre mes lèvres ouvertes, entre mes gémissements.
Quand j’ai joui, je l’ai griffé. Fort. Il a souri.
Sa queue sortie. Épaisse. Lourde. Avec une allure presque brutale. Il ne portait pas de préservatif. Il a craché dans sa main, m’a regardée :
« Tu veux ? »
J’ai hoché la tête, haletante :
« Oui… s’il te plaît… »
Il m’a pénétrée d’un coup sec. J’ai hurlé. Mais je l’ai accueilli jusqu’au fond. Chaque va-et-vient résonnait dans la pièce vide. Il me prenait avec toute la force d’un homme frustré, solitaire, possédé. Il voulait me punir. Me remercier. Me marquer.
Je mouillais à flots. Je dégoulinais sur son bureau, sur ses doigts, sur ses couilles.
Il m’a retournée brutalement. M’a prise en levrette. Mon visage contre les dessins. Il a craché sur mon anus. L’a enfoncé d’un doigt. Puis deux. Et je me suis ouverte. Sans peur. Sans honte.
« Sale petite étudiante… » a-t-il murmuré en me pilonnant.
J’ai joui une seconde fois. Plus fort. Plus salement. Le genre d’orgasme qui laisse des traces.
Puis il s’est vidé en moi, en grognant. Long. Chaud. Profond.
Il s’est essuyé, s’est rhabillé sans rien dire.
Moi, j’étais nue sur son bureau. Encore tremblante. Il a juste dit :
« Reviens lundi. Mais porte une jupe cette fois. »
Avec Mikhaïl, tout s’est installé naturellement. Pas besoin de parler.
Il avait plus de trente ans de plus que moi.
Il enseignait. Moi, je le regardais comme on regarde une réponse.
Il savait que j’aimais les montres brillantes, les sacs en cuir qui sentent la richesse, les robes fines qu’on ne porte qu’une fois. Il ne me jugeait pas. Au contraire. Il aimait m’offrir.
Il aimait posséder.
Un jour, après m’avoir prise sur son bureau — mes cheveux emmêlés, ma culotte roulée en boule près des pinceaux — il a sorti une petite boîte. Un bijou. Simple. Discret. Mais cher. Très cher.
Il l’a posé sur mon ventre nu et m’a dit :
« Tu l’as mérité. »
Et j’ai joui à nouveau. Juste avec ses mots.
J’aime ça.
Pas parce que je suis intéressée. Mais parce que je sais ce que je vaux.
Je suis belle, jeune, souple, affamée.
Il est vieux, puissant, respecté, riche.
Ça s’équilibre.
Il aime mes jambes longues, mes lèvres rouges, mon petit rire pervers quand je viens m’asseoir sur ses genoux, sans culotte, juste pour lui faire sentir que je suis prête.
Je l’appelle parfois Monsieur.
D’autres fois, Daddy — juste pour voir ses yeux s’assombrir d’un coup.
Il me donne. Je me donne.
Mais moi, je me donne vraiment.
Quand je m’allonge nue sur ses draps en soie, jambes ouvertes, corps huilé, les poignets noués comme il aime… je ne triche pas.
Je suis là, offerte. Corps, gorge, fesses, âme.
Il peut faire ce qu’il veut. Me baiser lentement, brutalement, dans toutes les positions. Me punir. Me gâter.
Et après, quand il m’enveloppe dans sa chemise, me serre contre lui… je me sens bien.
Pas amoureuse. Non.
(à suivre)
Pas là juste pour les jolies photos...
Tu l'as lue ? alors lâche un mot, un avis, un claque ou un frisson. Merci
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle tension; excellent.
J'adore. Terriblement erotique et excitant. Au plaisir d'échanger, si vous voulez. Il m'arrive de sévir ici de temps en temps, moi aussi...

