Olga, Elodie et Philippe (2) : Les seins d’Olga
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2020 dans la catégorie Plus on est
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Olga, Elodie et Philippe (2) : Les seins d’Olga
AVERTISSEMENT
Ce texte, toujours écrit à quatre mains par ElodieParis et OlgaT, est la suite de celui paru le 14 octobre sur HDS.
Ce récit érotique est fictif, mais s’inspire du vécu des protagonistes. Voici donc le second épisode de ce travail en commun. D’autres suivront.
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2 - Les seins d’Olga
Olga fit signe à Philippe de les rejoindre, Elodie et elle, pour un grand câlin à trois. Elodie le regarda arriver lentement, braguette ouverte, queue libre et dressée. Même dans cet état très particulier, Philippe restait élégant et classe. Quand il fut rentré dans leur cercle et que les trois corps se touchèrent, les sanglots d’Elodie reprirent de plus belle. Le parfum du mari était “Bleu” de Chanel, celui qu’Elodie avait offert à son papa pour Noel. Ce moment d’union magique lui rappela son enfance et une image remonta de nulle part à son cerveau. Celle des émotions fortes qu’elle avait vécues dans son école Montessori, chaque fois que la classe se mettait en cercle.
Philippe posa ses mains rassurantes sur le visage de l’étudiante et il lui fit un baiser sur le front. Son regard était tendre et bienveillant.
- Chut. Calme-toi, ma petite Princesse!
Elle se sentit comme une gamine, bercée par cette voix stable et apaisée. Philippe était l’eau et Olga le feu. Justement cette dernière attrapa la main d’Elodie pour la poser sur la queue dressée de son mari.
- Tu parles d’une petite Princesse, c’est une vraie salope tu veux dire. Tu as vu son orgasme de folie ?
Lui, imperturbable continuait de caresser les cheveux de la blondinette, essayant de la calmer. A l’inverse, Olga guida les gestes d’Elodie pour qu’elle commence à masturber son mari. Le contraste de la douceur de cet homme avec cette queue dressée, monta au fur et à mesure où Olga augmentait la vitesse de la masturbation. Ses doigts, posés sur ceux d’Elodie, imposait le rythme. Philippe impassible reposa un baiser sur le front d’Elodie. Sa force et son assurance était déstabilisante pour l’étudiante. Olga continua sur le même ton :
- Regarde-moi ces yeux de salope qui puent le sexe.
Ce n’était pas la première fois que la blondinette entendait cela, parfois de la part de voyous qui la croisaient dans la rue. Quand ça se produisait, Elodie baissait la tête et accélérait le pas, faisant comme si elle n’avait pas entendu.
Cette fois, tout était différent. La jeune femme frissonna, se sentant toute faible et trahie par son regard. Décidément Olga savait bien lire en elle! Quand Elodie se caressait devant un miroir, elle pouvait voir le scintillement de ses yeux et leur effervescence inhabituelle. Dans ces moments où elle se laissait aller à son excitation, Elodie était une autre, bien différente de l’image de jeune étudiante timide qu’elle donnait en première apparence. C’est ça qu’Olga avait tout de suite compris.
Les mains de Philippe, avec une infinie douceur, immobilisèrent le visage d’Elodie et il planta son regard dans le sien. Elodie ne savait pas et ne voulait pas mentir. Elle voulait plus que tout passer inaperçue et sa spécialité était justement de tout le temps baisser les yeux. Passées les premières secondes de gêne, tandis qu’elle continuait à le masturber, ses pupilles parlèrent en vérité et transparence.
- Ce sont des yeux de Princesse pour moi
Philippe la laissa baisser les yeux et reposa un baiser sur son front, puis un léger et tendre baiser sur les lèvres de la jeune fille. Il avait vu les larmes lui monter et ne voulait pas l’obliger à en dire plus. C’est homme était un vrai gentleman et Elodie effectivement une petite salope avec des yeux qui puaient le sexe. Ayant fait ce constat, la queue de Philippe s’était encore plus tendue et la masturbation accélérée. Olga coupa court à tout
- Déshabille-moi, petite.
Les doigts fins d’Elodie quittèrent à regret la queue du mari pour se poser sur les hanches d’Olga. Philippe quitta le cercle magique et repartit tout content vers son fauteuil. Connaissant si bien son épouse hypersexuelle, Philippe savait que la soirée serait longue. L’acte deux commençait.
Depuis qu’elle avait deviné tout le potentiel d’Elodie, Olga était en feu. Elle s’était occupée de la jeune étudiante et celle-ci avait eu, sous les caresses d’Olga, un orgasme d’une violence inouïe. Olga n’était pas peu fière d’être parvenue à ce résultat, alors que rien ne laissait prévoir que cette petite avait un tel talent.
Tout cela avait encore accru l’excitation d’Olga. La pointe des ses tétons lui faisait mal, tellement ils étaient durs. Sa chatte était béante et elle était trempée. Ah si, à ce moment précis, il y avait eu un mâle vigoureux à proximité ! Elle aurait tendu sa croupe pour se faire baiser, pour dire la vérité pour se faire démonter. Il y avait bien sûr Philippe, son chéri. Mais ils le savaient tous deux: dans ces moments-là, il n’était pas celui qui pouvait la satisfaire. Il lui aurait fallu un étalon vigoureux, endurant, particulièrement bien doté par la nature. Quand son excitation était à son paroxysme, Olga n’avait pas besoin de faire l’amour, mais avait une impérieuse envie de s’offrir, de baiser, d’enchainer les orgasmes.
A défaut, il fallait que cette petite étudiante, à son tour, s’occupe d’elle. Olga était hypersexuelle, jouir était, depuis son adolescence, un besoin vital pour elle. Depuis qu’à l’âge de seize ans, elle avait été dépucelée par un ami de son père, Olga ne comptait pas les amants et les maîtresses.
Elle avait la chance d’avoir rencontré Philippe, l’amour de sa vie. Philippe était candauliste. Non seulement il acceptait l’hypersexualité de son épouse, mais il l’alimentait en amants, la seule condition étant qu’il puisse être présent, assister aux ébats, être le complice et participer. Ce soir, il n’y avait pas d’amant bien monté, seulement cette petite étudiante. Derrière son côté effacé en apparence, Olga avait deviné tout le potentiel de la blondinette. Son instinct ne la trompait pas en général et cette fois-ci en particulier.
Déshabiller Olga? Elodie en avait envie depuis un moment, mais n’avait pas osé. C’est sans hésiter qu'elle obtempéra. Le chemisier couleur chair que portait Olga n’avait laissé aucun doute à Elodie dès leur rencontre devant la porte de l’appartement. De la manière dont il était boutonné, il était évident que cette femme ne portait aucun soutien-gorge. Les deux boutons du haut n’étaient pas fermés et cela permettait de plonger dans le décolleté et de bien deviner les seins de la belle et volcanique quadragénaire.
Elodie, dès qu’elle avait vu Olga, s’était dit qu’elle aimerait tant avoir une poitrine comme cette femme, car elle trouvait ses seins à elle un peu petits. Olga lui avait confié qu’elle avait du 85b, donc pas des gros seins. Elodie, qui aimait les musées, pensa que cette femme, d’origine grecque, lui rappelait ces statues d’Aphrodite nue qui la fascinaient tant. Olga aurait pu être la Vénus de Milo ou à l'Aphrodite de Cnide, réalisée par le sculpteur Praxitèle. Que cette femme était belle et comme elle l’impressionnait!
Elodie sentait l’impatience d’Olga et ouvrit donc les quelques boutons qui étaient encore fermés, puis lui ôta le chemisier.
Olga avait encore sa jupe et ses seins se dressaient fièrement. Les deux femmes se rapprochèrent l’une de l’autre. Olga la serra avec force dans ses bras et planta ses yeux dans ceux de son amante. Elle n’avait pas besoin de parler, son regard transmettait son désir impérieux.
Olga couvrit le visage de la jeune étudiante de baisers, avant de mordre sa lèvre. De son côté, Elodie caressait le dos de sa maîtresse, alors que celle-ci avait les mains sur ses fesses. Olga s’aventura à caresser l’anus d’Elodie, dont les joues devinrent écarlates. Loin de protester contre ce massage anal, Elodie lâcha un petit gémissement apeurée de surprise et d’envie, fermant les yeux, trahissant à quel point elle aimait ça. Olga s’adressa à Philippe:
- Je suis désolée chéri, il va falloir patienter. A défaut de mâle, j’ai envie de tant de choses de cette petite vicieuse
- Prenez votre temps, mes belles. C’est si beau, ce que vous faites.
Elodie, de son côté, caressait avec tendresse le dos d’Olga. Mon Dieu, que sa peau était douce et comme Elodie se sentait apaisée, heureuse. Olga en voulait davantage. Sa main sur la tête d’Elodie, elle la fit descendre vers sa poitrine. Les tétons d’Elodie se dressaient quand elle était excitée. Mais ce qu’elle voyait au sujet d’Olga dépassait ce qu'elle imaginait possible. Les tétons de la belle quadragénaire étaient vraiment en érection.
- Prends mes seins, Elodie !
Elodie comprit qu’elle se devait de la soulager. Elodie s’occupa d’un sein, puis de l’autre. Sa langue s’enroula autour du téton. Olga trouva la jeune étudiante bien experte à ce jeu-là, se demandant si elle n’était pas bien plus expérimentée qu’elle ne voulait le laisser croire
- Mon Dieu, que c’est bon! Tu me rends folle Elodie
Olga pressa la tête d’Elodie contre ses tétons, l’obligeant à les avaler, à les goûter. Au vu de l’excitation d’Olga, Elodie comprit alors qu’il s’agissait d’une zone particulièrement érogène pour Olga. C’était même la zone la plus érogène chez Olga et qui avait fait que, il y a plusieurs années, elle s’était offerte dans l’ascenseur de son immeuble à un parfait inconnu, Rachid, parce que celui-ci s’était attaqué à ses tétons.
Elodie n’était pas peu fière de ce qu’elle était en train de provoquer.
- Hummmm
Elodie ne laissait aucun répit à sa maîtresse. Elle se mit à mordiller les tétons puis ses mains alternaient avec sa langue. Olga se tendait et son plaisir montait en flèche. Voyant l’effet magique de ses caresses Elodie décida de sortir un de ses atouts. Elle se mit à téter Olga comme si elle pouvait allaiter.
La belle Olga, qui maîtrisait jusqu’ici la situation, perdit pied en une seconde.
- Oui, n’arrête pas, continue! Oh chéri, cette petite garce me tue. Rarement on ne s’est occupé comme ça de ma poitrine!
Elodie se rendait compte de l’ascendant qu’elle était en train de prendre. Elle redoublait d’efforts, ne s’accordant aucun répit, alternant caresses et jeux diaboliques avec sa langue et ses lèvres.
Olga avait la tête en arrière, les yeux mi-clos, les lèvres pincées. Olga était en train de prendre son pied, simplement parce qu’Elodie était en train de s’occuper de ses seins. Elodie repartit dans un têtement de sein de folie:
- Oh, Bébé, oui, comme ça. Encore!!!!! Ouiiiiiiiii
Olga prit Elodie avec force dans ses bras. Elle venait à son tour de connaître son premier orgasme de la soirée. Elodie était fière, ravie d’avoir provoqué de si belles émotions.
Elle chercha le regard de Philippe un peu comme celui d’une bonne élève qui vient chercher la reconnaissance de son professeur. Philippe bandait sur son fauteuil, encore plus quand il vit le regard d’Elodie descendre vers son bas ventre. Olga était en spasme dans ses bras et Elodie regardait cette queue comme un appel au meurtre. Philippe avança un peu son bassin pour mieux tendre sa queue vers cette petite bouche timide et ce regard qui traduisait le désir qu’Elodie avait pour cet homme. Il lui adressa un regard complice et prometteur qui fit frissonner Elodie.
L’orgasme avait submergé Olga, comme une vague. Comme toujours dans ces moments-là, elle, qui voulait toujours tout maîtriser, se relâchait, Les traits de son visage traduisaient un plaisir qui avait été intense, infini, et même violent. Dans ces moments-là, Olga se comportait en femelle, insatiable, et qui avait besoin d’autres orgasmes. Depuis des jours, Olga sentait son envie monter. Elle avait espérer que, pour ce week-end, Philippe trouve un amant qui la satisferait. Cela n’avait pu se faire. Olga savait qu’il avait activement recherché, mais le couple s’était imposé des conditions drastiques pour préserver sa réputation.
La venue d’Elodie était en quelque sorte inespérée et l’instinct d’Olga lui avait fait comprendre d’emblée que la jeune étudiante était bien différente de l’apparence de jeune fille timide et sage qu’elle donnait à première vue.
Olga embrassa Elodie, posa ses mains sur ses fesses et lui dit, d’un ton ferme:
- Je croyais t’avoir demandé tout à l’heure de me déshabiller! Tu attends quoi?
Elodie se mit à rougir. Olga avait reprit le contrôle et son ton n’admettait pas de discussion.
Elodie ouvrit la fermeture éclair de la jupe d’Olga, qui tomba aussitôt. Elle s’appuya sur les épaules d’Elodie pour se débarrasser de sa jupe. Olga était enfin nue, ou presque, puisqu’elle avait encore ses talons aiguille qu’elle portait même chez elle et qui mettait en valeur son joli cul.
Elodie resta un instant interdite devant la beauté de cette femme. Elodie admirait ses fesses fermes, ses longues jambes, ses cuisses fuselées. Et il y avait cette chatte, toujours béante, où Elodie ne pouvait manquer ces lèvres et ce clitoris toujours en érection. Elodie apprécia la toison soigneusement entretenue, en ticket de métro.
- Elle est belle ma femme, n’est-ce pas, Princesse?
- Oui, murmura Elodie
- Elle te fait envie?
Elodie fit signe que oui. Elle n’aimait pas trop pas parler. Une fois de plus, Olga prit les choses en mains:
- Et si nous allions à un endroit un peu plus confortable pour ce que nous allons faire?
Ce texte, toujours écrit à quatre mains par ElodieParis et OlgaT, est la suite de celui paru le 14 octobre sur HDS.
Ce récit érotique est fictif, mais s’inspire du vécu des protagonistes. Voici donc le second épisode de ce travail en commun. D’autres suivront.
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2 - Les seins d’Olga
Olga fit signe à Philippe de les rejoindre, Elodie et elle, pour un grand câlin à trois. Elodie le regarda arriver lentement, braguette ouverte, queue libre et dressée. Même dans cet état très particulier, Philippe restait élégant et classe. Quand il fut rentré dans leur cercle et que les trois corps se touchèrent, les sanglots d’Elodie reprirent de plus belle. Le parfum du mari était “Bleu” de Chanel, celui qu’Elodie avait offert à son papa pour Noel. Ce moment d’union magique lui rappela son enfance et une image remonta de nulle part à son cerveau. Celle des émotions fortes qu’elle avait vécues dans son école Montessori, chaque fois que la classe se mettait en cercle.
Philippe posa ses mains rassurantes sur le visage de l’étudiante et il lui fit un baiser sur le front. Son regard était tendre et bienveillant.
- Chut. Calme-toi, ma petite Princesse!
Elle se sentit comme une gamine, bercée par cette voix stable et apaisée. Philippe était l’eau et Olga le feu. Justement cette dernière attrapa la main d’Elodie pour la poser sur la queue dressée de son mari.
- Tu parles d’une petite Princesse, c’est une vraie salope tu veux dire. Tu as vu son orgasme de folie ?
Lui, imperturbable continuait de caresser les cheveux de la blondinette, essayant de la calmer. A l’inverse, Olga guida les gestes d’Elodie pour qu’elle commence à masturber son mari. Le contraste de la douceur de cet homme avec cette queue dressée, monta au fur et à mesure où Olga augmentait la vitesse de la masturbation. Ses doigts, posés sur ceux d’Elodie, imposait le rythme. Philippe impassible reposa un baiser sur le front d’Elodie. Sa force et son assurance était déstabilisante pour l’étudiante. Olga continua sur le même ton :
- Regarde-moi ces yeux de salope qui puent le sexe.
Ce n’était pas la première fois que la blondinette entendait cela, parfois de la part de voyous qui la croisaient dans la rue. Quand ça se produisait, Elodie baissait la tête et accélérait le pas, faisant comme si elle n’avait pas entendu.
Cette fois, tout était différent. La jeune femme frissonna, se sentant toute faible et trahie par son regard. Décidément Olga savait bien lire en elle! Quand Elodie se caressait devant un miroir, elle pouvait voir le scintillement de ses yeux et leur effervescence inhabituelle. Dans ces moments où elle se laissait aller à son excitation, Elodie était une autre, bien différente de l’image de jeune étudiante timide qu’elle donnait en première apparence. C’est ça qu’Olga avait tout de suite compris.
Les mains de Philippe, avec une infinie douceur, immobilisèrent le visage d’Elodie et il planta son regard dans le sien. Elodie ne savait pas et ne voulait pas mentir. Elle voulait plus que tout passer inaperçue et sa spécialité était justement de tout le temps baisser les yeux. Passées les premières secondes de gêne, tandis qu’elle continuait à le masturber, ses pupilles parlèrent en vérité et transparence.
- Ce sont des yeux de Princesse pour moi
Philippe la laissa baisser les yeux et reposa un baiser sur son front, puis un léger et tendre baiser sur les lèvres de la jeune fille. Il avait vu les larmes lui monter et ne voulait pas l’obliger à en dire plus. C’est homme était un vrai gentleman et Elodie effectivement une petite salope avec des yeux qui puaient le sexe. Ayant fait ce constat, la queue de Philippe s’était encore plus tendue et la masturbation accélérée. Olga coupa court à tout
- Déshabille-moi, petite.
Les doigts fins d’Elodie quittèrent à regret la queue du mari pour se poser sur les hanches d’Olga. Philippe quitta le cercle magique et repartit tout content vers son fauteuil. Connaissant si bien son épouse hypersexuelle, Philippe savait que la soirée serait longue. L’acte deux commençait.
Depuis qu’elle avait deviné tout le potentiel d’Elodie, Olga était en feu. Elle s’était occupée de la jeune étudiante et celle-ci avait eu, sous les caresses d’Olga, un orgasme d’une violence inouïe. Olga n’était pas peu fière d’être parvenue à ce résultat, alors que rien ne laissait prévoir que cette petite avait un tel talent.
Tout cela avait encore accru l’excitation d’Olga. La pointe des ses tétons lui faisait mal, tellement ils étaient durs. Sa chatte était béante et elle était trempée. Ah si, à ce moment précis, il y avait eu un mâle vigoureux à proximité ! Elle aurait tendu sa croupe pour se faire baiser, pour dire la vérité pour se faire démonter. Il y avait bien sûr Philippe, son chéri. Mais ils le savaient tous deux: dans ces moments-là, il n’était pas celui qui pouvait la satisfaire. Il lui aurait fallu un étalon vigoureux, endurant, particulièrement bien doté par la nature. Quand son excitation était à son paroxysme, Olga n’avait pas besoin de faire l’amour, mais avait une impérieuse envie de s’offrir, de baiser, d’enchainer les orgasmes.
A défaut, il fallait que cette petite étudiante, à son tour, s’occupe d’elle. Olga était hypersexuelle, jouir était, depuis son adolescence, un besoin vital pour elle. Depuis qu’à l’âge de seize ans, elle avait été dépucelée par un ami de son père, Olga ne comptait pas les amants et les maîtresses.
Elle avait la chance d’avoir rencontré Philippe, l’amour de sa vie. Philippe était candauliste. Non seulement il acceptait l’hypersexualité de son épouse, mais il l’alimentait en amants, la seule condition étant qu’il puisse être présent, assister aux ébats, être le complice et participer. Ce soir, il n’y avait pas d’amant bien monté, seulement cette petite étudiante. Derrière son côté effacé en apparence, Olga avait deviné tout le potentiel de la blondinette. Son instinct ne la trompait pas en général et cette fois-ci en particulier.
Déshabiller Olga? Elodie en avait envie depuis un moment, mais n’avait pas osé. C’est sans hésiter qu'elle obtempéra. Le chemisier couleur chair que portait Olga n’avait laissé aucun doute à Elodie dès leur rencontre devant la porte de l’appartement. De la manière dont il était boutonné, il était évident que cette femme ne portait aucun soutien-gorge. Les deux boutons du haut n’étaient pas fermés et cela permettait de plonger dans le décolleté et de bien deviner les seins de la belle et volcanique quadragénaire.
Elodie, dès qu’elle avait vu Olga, s’était dit qu’elle aimerait tant avoir une poitrine comme cette femme, car elle trouvait ses seins à elle un peu petits. Olga lui avait confié qu’elle avait du 85b, donc pas des gros seins. Elodie, qui aimait les musées, pensa que cette femme, d’origine grecque, lui rappelait ces statues d’Aphrodite nue qui la fascinaient tant. Olga aurait pu être la Vénus de Milo ou à l'Aphrodite de Cnide, réalisée par le sculpteur Praxitèle. Que cette femme était belle et comme elle l’impressionnait!
Elodie sentait l’impatience d’Olga et ouvrit donc les quelques boutons qui étaient encore fermés, puis lui ôta le chemisier.
Olga avait encore sa jupe et ses seins se dressaient fièrement. Les deux femmes se rapprochèrent l’une de l’autre. Olga la serra avec force dans ses bras et planta ses yeux dans ceux de son amante. Elle n’avait pas besoin de parler, son regard transmettait son désir impérieux.
Olga couvrit le visage de la jeune étudiante de baisers, avant de mordre sa lèvre. De son côté, Elodie caressait le dos de sa maîtresse, alors que celle-ci avait les mains sur ses fesses. Olga s’aventura à caresser l’anus d’Elodie, dont les joues devinrent écarlates. Loin de protester contre ce massage anal, Elodie lâcha un petit gémissement apeurée de surprise et d’envie, fermant les yeux, trahissant à quel point elle aimait ça. Olga s’adressa à Philippe:
- Je suis désolée chéri, il va falloir patienter. A défaut de mâle, j’ai envie de tant de choses de cette petite vicieuse
- Prenez votre temps, mes belles. C’est si beau, ce que vous faites.
Elodie, de son côté, caressait avec tendresse le dos d’Olga. Mon Dieu, que sa peau était douce et comme Elodie se sentait apaisée, heureuse. Olga en voulait davantage. Sa main sur la tête d’Elodie, elle la fit descendre vers sa poitrine. Les tétons d’Elodie se dressaient quand elle était excitée. Mais ce qu’elle voyait au sujet d’Olga dépassait ce qu'elle imaginait possible. Les tétons de la belle quadragénaire étaient vraiment en érection.
- Prends mes seins, Elodie !
Elodie comprit qu’elle se devait de la soulager. Elodie s’occupa d’un sein, puis de l’autre. Sa langue s’enroula autour du téton. Olga trouva la jeune étudiante bien experte à ce jeu-là, se demandant si elle n’était pas bien plus expérimentée qu’elle ne voulait le laisser croire
- Mon Dieu, que c’est bon! Tu me rends folle Elodie
Olga pressa la tête d’Elodie contre ses tétons, l’obligeant à les avaler, à les goûter. Au vu de l’excitation d’Olga, Elodie comprit alors qu’il s’agissait d’une zone particulièrement érogène pour Olga. C’était même la zone la plus érogène chez Olga et qui avait fait que, il y a plusieurs années, elle s’était offerte dans l’ascenseur de son immeuble à un parfait inconnu, Rachid, parce que celui-ci s’était attaqué à ses tétons.
Elodie n’était pas peu fière de ce qu’elle était en train de provoquer.
- Hummmm
Elodie ne laissait aucun répit à sa maîtresse. Elle se mit à mordiller les tétons puis ses mains alternaient avec sa langue. Olga se tendait et son plaisir montait en flèche. Voyant l’effet magique de ses caresses Elodie décida de sortir un de ses atouts. Elle se mit à téter Olga comme si elle pouvait allaiter.
La belle Olga, qui maîtrisait jusqu’ici la situation, perdit pied en une seconde.
- Oui, n’arrête pas, continue! Oh chéri, cette petite garce me tue. Rarement on ne s’est occupé comme ça de ma poitrine!
Elodie se rendait compte de l’ascendant qu’elle était en train de prendre. Elle redoublait d’efforts, ne s’accordant aucun répit, alternant caresses et jeux diaboliques avec sa langue et ses lèvres.
Olga avait la tête en arrière, les yeux mi-clos, les lèvres pincées. Olga était en train de prendre son pied, simplement parce qu’Elodie était en train de s’occuper de ses seins. Elodie repartit dans un têtement de sein de folie:
- Oh, Bébé, oui, comme ça. Encore!!!!! Ouiiiiiiiii
Olga prit Elodie avec force dans ses bras. Elle venait à son tour de connaître son premier orgasme de la soirée. Elodie était fière, ravie d’avoir provoqué de si belles émotions.
Elle chercha le regard de Philippe un peu comme celui d’une bonne élève qui vient chercher la reconnaissance de son professeur. Philippe bandait sur son fauteuil, encore plus quand il vit le regard d’Elodie descendre vers son bas ventre. Olga était en spasme dans ses bras et Elodie regardait cette queue comme un appel au meurtre. Philippe avança un peu son bassin pour mieux tendre sa queue vers cette petite bouche timide et ce regard qui traduisait le désir qu’Elodie avait pour cet homme. Il lui adressa un regard complice et prometteur qui fit frissonner Elodie.
L’orgasme avait submergé Olga, comme une vague. Comme toujours dans ces moments-là, elle, qui voulait toujours tout maîtriser, se relâchait, Les traits de son visage traduisaient un plaisir qui avait été intense, infini, et même violent. Dans ces moments-là, Olga se comportait en femelle, insatiable, et qui avait besoin d’autres orgasmes. Depuis des jours, Olga sentait son envie monter. Elle avait espérer que, pour ce week-end, Philippe trouve un amant qui la satisferait. Cela n’avait pu se faire. Olga savait qu’il avait activement recherché, mais le couple s’était imposé des conditions drastiques pour préserver sa réputation.
La venue d’Elodie était en quelque sorte inespérée et l’instinct d’Olga lui avait fait comprendre d’emblée que la jeune étudiante était bien différente de l’apparence de jeune fille timide et sage qu’elle donnait à première vue.
Olga embrassa Elodie, posa ses mains sur ses fesses et lui dit, d’un ton ferme:
- Je croyais t’avoir demandé tout à l’heure de me déshabiller! Tu attends quoi?
Elodie se mit à rougir. Olga avait reprit le contrôle et son ton n’admettait pas de discussion.
Elodie ouvrit la fermeture éclair de la jupe d’Olga, qui tomba aussitôt. Elle s’appuya sur les épaules d’Elodie pour se débarrasser de sa jupe. Olga était enfin nue, ou presque, puisqu’elle avait encore ses talons aiguille qu’elle portait même chez elle et qui mettait en valeur son joli cul.
Elodie resta un instant interdite devant la beauté de cette femme. Elodie admirait ses fesses fermes, ses longues jambes, ses cuisses fuselées. Et il y avait cette chatte, toujours béante, où Elodie ne pouvait manquer ces lèvres et ce clitoris toujours en érection. Elodie apprécia la toison soigneusement entretenue, en ticket de métro.
- Elle est belle ma femme, n’est-ce pas, Princesse?
- Oui, murmura Elodie
- Elle te fait envie?
Elodie fit signe que oui. Elle n’aimait pas trop pas parler. Une fois de plus, Olga prit les choses en mains:
- Et si nous allions à un endroit un peu plus confortable pour ce que nous allons faire?
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56 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Didier. C'est l'histoire d'un week-end qui sera torride et où va se révéler le vrai tempérament de la jeune étudiante.
Il s'agit vraiment d'un texte coconstruit, avec des allers-retours et où chacune a amené ses idées, ses envies, ses fantasmes, ses pratiques et expériences. Je dois dire que ce fut une belle expérience que d'écrire avec Élodie!
Il s'agit vraiment d'un texte coconstruit, avec des allers-retours et où chacune a amené ses idées, ses envies, ses fantasmes, ses pratiques et expériences. Je dois dire que ce fut une belle expérience que d'écrire avec Élodie!
Félicitations à nos deux autrices pour ce second chapitre, présentant la suite de cet ébat saphique, qui permet surtout de lever un peu plus le voile entourant le tempérament de l’héroïne.
Après son orgasme très démonstratif, Elodie, se sentant percée à jour par Olga, se voit néanmoins apaisée par un Philippe qui la déstabilise, la fascine, l’attire...
Toujours autant "dominatrice" mais surtout excitée, Olga, en l’absence d’un vrai mâle pouvant la contenter en cet instant, demande à la jeune étudiante de s’occuper d’elle. Intimidée, Elodie commence l’effeuillage de sa maitresse.
Ayant idéalisé d’entrée sur sa poitrine, digne des statues de déesses grecques, la jeune femme ne peut qu’obtempérer quand Olga lui demande de s’en occuper. Voyant son amante se pâmer de plaisir, Elodie n’a de cesse dès lors de caresser et de sucer les seins d’une Olga, qui malgré un premier et fulgurant orgasme dévastateur, lui intime l’ordre de finir de la dénuder.
Nue désormais, et ne tenant pas à en rester là, Olga provoque le désir d’une Elodie éblouie par la vision de ce corps qui fait tant la fierté de Philippe.
J’ai le sentiment que la soirée, si ce n’est la nuit, risque d’être longue désormais pour Elodie…
Didier
Après son orgasme très démonstratif, Elodie, se sentant percée à jour par Olga, se voit néanmoins apaisée par un Philippe qui la déstabilise, la fascine, l’attire...
Toujours autant "dominatrice" mais surtout excitée, Olga, en l’absence d’un vrai mâle pouvant la contenter en cet instant, demande à la jeune étudiante de s’occuper d’elle. Intimidée, Elodie commence l’effeuillage de sa maitresse.
Ayant idéalisé d’entrée sur sa poitrine, digne des statues de déesses grecques, la jeune femme ne peut qu’obtempérer quand Olga lui demande de s’en occuper. Voyant son amante se pâmer de plaisir, Elodie n’a de cesse dès lors de caresser et de sucer les seins d’une Olga, qui malgré un premier et fulgurant orgasme dévastateur, lui intime l’ordre de finir de la dénuder.
Nue désormais, et ne tenant pas à en rester là, Olga provoque le désir d’une Elodie éblouie par la vision de ce corps qui fait tant la fierté de Philippe.
J’ai le sentiment que la soirée, si ce n’est la nuit, risque d’être longue désormais pour Elodie…
Didier
@ Arthur, réponse à découvrir au fur et à mesure de la lecture des chapitres suivants
Je me pose la question: Elodie est-elle si innocente qu'il y parait au premier abord?
Arthur
Arthur
@ Akisoh: Elodie est magique!
Elodie ose pour le plus grand plaisir de sa partenaire, d'une énergie sexuelle incroyable.
La libido faite femme. Un tour de force que d'exprimer autant de plaisir pour une partie du
corps souvent considérée comme secondaire dans l'acte.
Moi même j'adore lorsque mon amie m'embrasse les tétons ..... Absolument magique.
Merci
La libido faite femme. Un tour de force que d'exprimer autant de plaisir pour une partie du
corps souvent considérée comme secondaire dans l'acte.
Moi même j'adore lorsque mon amie m'embrasse les tétons ..... Absolument magique.
Merci
Merci Nouzha pour cette lecture enthousiaste!
C'est chaud et humide ce texte comme je les aimes
De tout mon cœur je vous dit cheres Olga et Elodie bravo pour cete histoire et merci
. nouzha la lionne
De tout mon cœur je vous dit cheres Olga et Elodie bravo pour cete histoire et merci
. nouzha la lionne
Merci Norbert, le mérite en revient d'abord à Elodie!
Je vous félicite, Mesdames pour la qualité de ce texte! Elodie ne s'est pas trompée en te
proposant une écriture en commun, Olga
Norbert
proposant une écriture en commun, Olga
Norbert
@ Elodie, nos lecteurs seront ravis de lire une seconde série de réponses. Merci de leur
part. Les commentaires de nos lecteurs sont un précieux encouragement et me motivent dans
la poursuite de cet exercice d'écriture à 4 mains, que j'ai découvert grâce à Elodie
J'ajouterai que:
- PP06 mérite le paradis!
- que Yacine est un flatteur, mais qu'il est sincère!
part. Les commentaires de nos lecteurs sont un précieux encouragement et me motivent dans
la poursuite de cet exercice d'écriture à 4 mains, que j'ai découvert grâce à Elodie
J'ajouterai que:
- PP06 mérite le paradis!
- que Yacine est un flatteur, mais qu'il est sincère!
@ Elodie, Olga me fait en effet penser à Aphrodite mais à aussi à d'autres personnages dont
elle a raconté le parcours dans ses textes historiques, dont je recommande la lecture
J'ajoute que j'ai eu le privilège de la connaitre (au sens biblique du terme :-) ) à
l'époque où elle était sous la coupe de Rachid et que ça reste un souvenir extraordinaire
Yacine
elle a raconté le parcours dans ses textes historiques, dont je recommande la lecture
J'ajoute que j'ai eu le privilège de la connaitre (au sens biblique du terme :-) ) à
l'époque où elle était sous la coupe de Rachid et que ça reste un souvenir extraordinaire
Yacine
@ Olga, merci pour l'info; dommage qu'il faille attendre si longtemps, je suis impatient!
@ Elodie: vous méritez, Olga et toi, les plus grands éloges!
Luc
@ Elodie: vous méritez, Olga et toi, les plus grands éloges!
Luc
Bonjour à tous et bon confinement. Je suis retournée chez mes parents dans le sud en
Mars. Je viens de faire un aller retour sur Paris pour récupérer mes affaires d'hivers.
Vive le télétravail.
@ PP6 : je suis sure à 200% qu'Olga et moi vous conduirions au paradis
@ Luc : ceux qui prennent le temps de nous écrivent (et de nous flatter) méritent de
petites attentions en retour.
@ Caroline et Eric : c'est une joie d'inspirer un couple vers de belles émotions
@ Sarah : je fonctionne par cycle et Olga à sut me cueillir à point
@ Yacine : Aphrodite est un très joli compliment pour Olga
@ Jeanne: la perversion est une qualité qui permet de déclencher de belles choses
@ Micky : au plaisir de découvrir vos univers
@ Lucyfer : quel choix tentant de pseudo ;-)
Mars. Je viens de faire un aller retour sur Paris pour récupérer mes affaires d'hivers.
Vive le télétravail.
@ PP6 : je suis sure à 200% qu'Olga et moi vous conduirions au paradis
@ Luc : ceux qui prennent le temps de nous écrivent (et de nous flatter) méritent de
petites attentions en retour.
@ Caroline et Eric : c'est une joie d'inspirer un couple vers de belles émotions
@ Sarah : je fonctionne par cycle et Olga à sut me cueillir à point
@ Yacine : Aphrodite est un très joli compliment pour Olga
@ Jeanne: la perversion est une qualité qui permet de déclencher de belles choses
@ Micky : au plaisir de découvrir vos univers
@ Lucyfer : quel choix tentant de pseudo ;-)
Comme je l'avais promis, le chapitre 3 paraîtra vendredi 6 novembre à 20h00. Merci à
Elodie. C'est un immense plaisir que d'écrire avec elleJe suis convaincue que ce texte
plaira et suscitera beaucoup de réactions. Je n'en dis pas plus, ce sera une surprise!
Elodie. C'est un immense plaisir que d'écrire avec elleJe suis convaincue que ce texte
plaira et suscitera beaucoup de réactions. Je n'en dis pas plus, ce sera une surprise!
Merci Lucyfer!
Bonjour OlgaT,
Très jolie travail collaboratif.
Félicitations à vous deux et merci pour le plaisir apporté.
Lucyfer
Très jolie travail collaboratif.
Félicitations à vous deux et merci pour le plaisir apporté.
Lucyfer
@ Yacine, toujours aussi flatteur!
@ Marie, toujours aussi acerbe!
@ Marie, toujours aussi acerbe!
Un grand merci, Micky! C'est un honneur pour moi et Elodie de recevoir ces compliments de
la part d'une des auteures les plus reconnues de HDS
J'attends avec impatience ton prochain texte!
la part d'une des auteures les plus reconnues de HDS
J'attends avec impatience ton prochain texte!
Olga fait partie de ces auteurs rares capables d'associer élégance du style et crudité du
propos. Son binôme avec Elodie est un modèle du genre. Quant à la thématique des seins,
j'adhère d'autant plus que mon prochain texte les consacrera... mais sur le mode hétéro.
propos. Son binôme avec Elodie est un modèle du genre. Quant à la thématique des seins,
j'adhère d'autant plus que mon prochain texte les consacrera... mais sur le mode hétéro.
C'est peut-être une fiction, mais dans la réalité je n'ai aucun doute de la capacité d'Olga
à pervertir une jeune fille comme Elodie
Jeanne
à pervertir une jeune fille comme Elodie
Jeanne
J'aime beaucoup la comparaison entre Olga et Aphrodite!
Yacine
Yacine
@ Sarah: il me semble. Mais la réponse appartient à Elodie
Merci Caroline et Eric pour votre commentaires. Je suis en effet avec beaucoup de plaisir
vos propres publications, ayant retrouvé dans le parcours de Marie beaucoup de choses que
j'ai vécues.
vos propres publications, ayant retrouvé dans le parcours de Marie beaucoup de choses que
j'ai vécues.
Merci Elodie pour cette réponse. j'en conclus qu'Olga a su ouvrir la boite de Pandore!
Sarah
Sarah
Cette histoire est merveilleuse, comme d'habitude, vous avez divinement bien raconté les
choses.
Cette histoire donne des envies à mon épouse Caroline...
Nous vous remercions pour vos parutions qui nous inspirent et surtout pour vos
commentaires sur les notres.(Plaisirsexbi).
Vivement la suite...
Caroline et Éric
choses.
Cette histoire donne des envies à mon épouse Caroline...
Nous vous remercions pour vos parutions qui nous inspirent et surtout pour vos
commentaires sur les notres.(Plaisirsexbi).
Vivement la suite...
Caroline et Éric
Un grand merci à Patrick (PP06) dont j'adore les récits. Je ne doute pas qu'Elodie les
apprécie, elle aussi
apprécie, elle aussi
Un grand merci à Elodie de prendre soin de répondre aux commentaires de chacun. Olga l'a
toujours fait et c'est très apprécié. Comme plusieurs l'ont dit elles sont des auteures de
talent et le fruit de leur coopération est excellent
Luc
toujours fait et c'est très apprécié. Comme plusieurs l'ont dit elles sont des auteures de
talent et le fruit de leur coopération est excellent
Luc
Olga Elodie, Elodie Olga... comment choisir... je vous aime toutes les deux, alors ensemble
c'est le paradis.
Quel plaisir de vous lire, Merci
c'est le paradis.
Quel plaisir de vous lire, Merci
@ Elodie, nos lecteurs et lectrices seront ravis de ces commentaires. Je prends un très
grand plaisir à cet exercice!
grand plaisir à cet exercice!
Merci à Olga de me donner l'opportunité d'exprimer mes ressentis et ma sensibilité en
harmonie avec vous.
Je vous embrasse tous pour vos commentaires @ Steph et JP, Luc, Jacques du Canada,
Claude, Paul, Yass, Daniel, Maurice, ...
@ Norbert: l'amalgame de nos écritures est la magie de notre alchimie !
@ Carole: l'envie m'a gagnée aussi de faire jouir la belle Olga!
@ Bob-et-Annie: Je suis en effet hyper timide. Philippe, qui se met toujours élégamment
en retrait est incroyablement présent.
@ Marie: merci de poser la question sur Agun, je n'osais pas demander ;-)
@ Anne: je pense que vous allez adorer l'épisode 3 qui suit ...
@ Patrick: merci de cette mise en garde !
@ Sofiane: merci pour ce rappel ;-)
@ Helène: j'ai mis dans ce texte un mix de vécu et d'espoir en ce qui me concerne
@ Sarah: qui dit timidité ne veux pas dire inexpérimentée. Une fois la boite de pandore
ouverte ...
harmonie avec vous.
Je vous embrasse tous pour vos commentaires @ Steph et JP, Luc, Jacques du Canada,
Claude, Paul, Yass, Daniel, Maurice, ...
@ Norbert: l'amalgame de nos écritures est la magie de notre alchimie !
@ Carole: l'envie m'a gagnée aussi de faire jouir la belle Olga!
@ Bob-et-Annie: Je suis en effet hyper timide. Philippe, qui se met toujours élégamment
en retrait est incroyablement présent.
@ Marie: merci de poser la question sur Agun, je n'osais pas demander ;-)
@ Anne: je pense que vous allez adorer l'épisode 3 qui suit ...
@ Patrick: merci de cette mise en garde !
@ Sofiane: merci pour ce rappel ;-)
@ Helène: j'ai mis dans ce texte un mix de vécu et d'espoir en ce qui me concerne
@ Sarah: qui dit timidité ne veux pas dire inexpérimentée. Une fois la boite de pandore
ouverte ...
Comme je le fais toujours, je vais m'efforcer de répondre aux nombreux commentaires, dans
l'ordre d'ancienneté. J'encourage Elodie à le faire également car beaucoup de
commentaires s'adressent également ou uniquement à elle.
@ Yacine, tu as pu en effet le vérifier toi-même à de nombreuses reprises
@ Claude et Luc: le chapitre 3 est déjà écrit, je ferai connaître ici la date de
parution; d'autres sont prévus et je peux vous dire que c'est un immense plaisir que
d'écrire avec Elodie
@ Sofiane, ce que tu dis est vrai, je l'ai raconté sur HDS; tu ne perds jamais aucune
occasion de rappeler le souvenir de ton ami Rachid; ce qui s'est passé est fait, mais je
ne regrette pas le personnage
@ Idriss, je prends en effet un grand plaisir à écrire de tels textes, ainsi que ce
qu'écrit Elodie
@ Anne vous avez parfaitement perçu les choses; pour la suite je ferai savoir ici la date
de parution du chapitre 3, déjà écrit
@ Patrick en effet, je suis bien plus tolérante en fiction que dans la réalité
@ Marie, elle a trouvé que c'est bien écrit
@ Carole, n'est-ce pas?
@ Steph et JP @ Norbert merci. C'est grâce au grand talent d'Elodie
l'ordre d'ancienneté. J'encourage Elodie à le faire également car beaucoup de
commentaires s'adressent également ou uniquement à elle.
@ Yacine, tu as pu en effet le vérifier toi-même à de nombreuses reprises
@ Claude et Luc: le chapitre 3 est déjà écrit, je ferai connaître ici la date de
parution; d'autres sont prévus et je peux vous dire que c'est un immense plaisir que
d'écrire avec Elodie
@ Sofiane, ce que tu dis est vrai, je l'ai raconté sur HDS; tu ne perds jamais aucune
occasion de rappeler le souvenir de ton ami Rachid; ce qui s'est passé est fait, mais je
ne regrette pas le personnage
@ Idriss, je prends en effet un grand plaisir à écrire de tels textes, ainsi que ce
qu'écrit Elodie
@ Anne vous avez parfaitement perçu les choses; pour la suite je ferai savoir ici la date
de parution du chapitre 3, déjà écrit
@ Patrick en effet, je suis bien plus tolérante en fiction que dans la réalité
@ Marie, elle a trouvé que c'est bien écrit
@ Carole, n'est-ce pas?
@ Steph et JP @ Norbert merci. C'est grâce au grand talent d'Elodie
Vous avez parfaitement réussi l'amalgame de vos écritures, Olga et Elodie!
Norbert
Norbert
Cet exercice d'écriture à quatre mains est une réussite. Bravo!
Steph et JP
Steph et JP
@ Bob, un grand merci pour ce commentaire. Oui Philippe aime ça et la façon dont Elodie se
révèle est un plaisir immense, aussi grand que le talent de sa plume
révèle est un plaisir immense, aussi grand que le talent de sa plume
En tant que lesbienne, j'apprécie particulièrement ce récit comme le précédent. On a envie
d'être à la place d'Elodie pour faire jouir la belle Olga!
Carole
d'être à la place d'Elodie pour faire jouir la belle Olga!
Carole
Bonjour
Cette histoire est merveilleuse. On sent bien parfois comment une femme timide et
réservée peut en réalité avoir le feu en elle (Elodie). Cela me rappelle une personne que
vous connaissez bien. Je n'en dirai pas plus. Philippe est probablement un homme heureux
de voir ou de savoir son épouse Olga en de bonnes compagnies, si souvent. L'équilibre se
fait naturellement et vous savez divinement bien raconter les choses.
Nul doute, vous avez du talent !
Bob
Cette histoire est merveilleuse. On sent bien parfois comment une femme timide et
réservée peut en réalité avoir le feu en elle (Elodie). Cela me rappelle une personne que
vous connaissez bien. Je n'en dirai pas plus. Philippe est probablement un homme heureux
de voir ou de savoir son épouse Olga en de bonnes compagnies, si souvent. L'équilibre se
fait naturellement et vous savez divinement bien raconter les choses.
Nul doute, vous avez du talent !
Bob
Et que dit Agun en découvrant ce récit fictif?
Marie
Marie
Une suite de qualité, vraiment très bien écrite. L’action en elle-même est peu
conséquente et pourtant on rentre parfaitement dans ce moment de partage féminin avec une
bonne mise en avant d’Élodie.
Connaissant Olga, je ne peux aussi que m’amuser des mots employés par Philippe qui parle
d’Élodie avec tendresse en l’appelant "Princesse". Cela tient de la fiction tant elle ne
supporterait pas qu’il puisse les dire à une autre femme et cette masturbation risquerait
de mal finir.
Patrick
conséquente et pourtant on rentre parfaitement dans ce moment de partage féminin avec une
bonne mise en avant d’Élodie.
Connaissant Olga, je ne peux aussi que m’amuser des mots employés par Philippe qui parle
d’Élodie avec tendresse en l’appelant "Princesse". Cela tient de la fiction tant elle ne
supporterait pas qu’il puisse les dire à une autre femme et cette masturbation risquerait
de mal finir.
Patrick
Joli texte dans la continuité du premier avec une montée en puissance graduelle pour
chacun des membres de ce trio !
Si l'on perçoit une certaine "impatience" de la part d'Olga, cette dernière parvient à
garder la maitrise face à une Elodie supposée moins expérimentée mais probablement moins
"innocente" qu'elle ne veut bien le laisser paraître... Les deux femmes se désirent sous
l'oeil impassible mais ravi de Philippe, en "embuscade" !! Fournissez nous vite la suite
SVP.....
Anne
chacun des membres de ce trio !
Si l'on perçoit une certaine "impatience" de la part d'Olga, cette dernière parvient à
garder la maitrise face à une Elodie supposée moins expérimentée mais probablement moins
"innocente" qu'elle ne veut bien le laisser paraître... Les deux femmes se désirent sous
l'oeil impassible mais ravi de Philippe, en "embuscade" !! Fournissez nous vite la suite
SVP.....
Anne
bien chaud comme histoire, dommage que ce soit pas du réel, facile d'imaginer l'état de ta
chatte en écrivant. surement celle d'Elodie aussi. un bon mâle se ferait plaisir devant ce
genre de show. tu hurlerais encore plus fort si je te bouffais téton pendant qu'elle
s'occupe de l'autre
chatte en écrivant. surement celle d'Elodie aussi. un bon mâle se ferait plaisir devant ce
genre de show. tu hurlerais encore plus fort si je te bouffais téton pendant qu'elle
s'occupe de l'autre
Merci Jacques du Canada!
@ Olga et Elodie, c'est excellent. A quand la suite?
Luc
Luc
Très belle suite fait par deux bonnes autrices.
Pour avoir une idée de ce qui se passe avec Olga quand on s'occupe de ses seins, il faut
lire le texte suivant : "Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (10)
: Rachid et Olga", paru le 1er janvier 2017
Elle ne connaissait pas Rachid, il l'a baisé dans l'ascenseur de son immeuble
Sofiane
lire le texte suivant : "Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (10)
: Rachid et Olga", paru le 1er janvier 2017
Elle ne connaissait pas Rachid, il l'a baisé dans l'ascenseur de son immeuble
Sofiane
La collaboration entre Olga et Elodie est fructueuse! A quand la suite?
Claude
Claude
Merci à tous pour ces premiers commentaires. Elodie apportera certainement des réponses
de son côté, les commentaires de Sarah et de Daniel s'adressant à elle
Merci tout particulièrement à Maurice, à Paul, notre lecteur anonyme (qui, enthousiasmé,
a laissé deux fois le même commentaire)
@ Yass, merci pour vos compliments et votre enthousisasme. J'ai en effet l'intention de
continuer à publier ici, ce que j'adore. Je suppose qu'il en est de même pour Elodie. Et
je veux dire à nouveau le plaisir que j'ai à écrire avec Elodie
@ Hélène, oui nous avons, chacune, mis beaucoup de vécu dans ces textes
de son côté, les commentaires de Sarah et de Daniel s'adressant à elle
Merci tout particulièrement à Maurice, à Paul, notre lecteur anonyme (qui, enthousiasmé,
a laissé deux fois le même commentaire)
@ Yass, merci pour vos compliments et votre enthousisasme. J'ai en effet l'intention de
continuer à publier ici, ce que j'adore. Je suppose qu'il en est de même pour Elodie. Et
je veux dire à nouveau le plaisir que j'ai à écrire avec Elodie
@ Hélène, oui nous avons, chacune, mis beaucoup de vécu dans ces textes
@ Olga, je confirme que tes seins sont un de tes points les plus érogènes!
Yacine
Yacine
La lecture de cette seconde partie conforte l'impression que j'ai eue en découvrant le
premier chapitre. C'est une fiction, mais Olga et Elodie y ont mis beaucoup de vécu
Hélène
premier chapitre. C'est une fiction, mais Olga et Elodie y ont mis beaucoup de vécu
Hélène
Très très belle histoire
Très très belle histoire
Merci Elodie et Olga pour la progressivité et la sensualité de ce texte
Paul
Paul
Une merveille !!
Vos histoires sont en général si sensuelles, si excitantes, mais celle-ci a quelque chose
de particulier ; ultra sensuelle ; ultra bandante, pour le dire simplement ;
Un nombre infini de mercis pour toutes ces emotions, moments de plaisir que vous nous
avez fait connaître ;
S’il vous plaît, n’arretez jamais !!!
Yass
Vos histoires sont en général si sensuelles, si excitantes, mais celle-ci a quelque chose
de particulier ; ultra sensuelle ; ultra bandante, pour le dire simplement ;
Un nombre infini de mercis pour toutes ces emotions, moments de plaisir que vous nous
avez fait connaître ;
S’il vous plaît, n’arretez jamais !!!
Yass
Je suis les textes d'Olga et je découvre les textes d'Elodie. Je trouve qu'ici, Elodie se
libère en quelque sorte et surmonte ses réserves.
Daniel
libère en quelque sorte et surmonte ses réserves.
Daniel
Elodie s'affirme et prend des initiatives, se montrant sous un autre jour!
Sarah
Sarah
Bravo à deux auteures de talent!
Maurice
Maurice