Petites vengeances féminines (2)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Petites vengeances féminines (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Petites vengeances féminines (2)
(Préambule : cette histoire se déroule il y a trois ans, avant un temps où le covid avait bouleversé les rapports humains).
Précédent épisode : découvrant que leur conjoint les a trompées, deux trentenaires quittent brutalement le domicile conjugal pour vivre un moment de liberté sexuelle, l'une sous l'influence de l'autre. Une première étape leur a fait connaitre le "coup d'un soir".
***********
Au réveil, Amélie et Sophie étaient un peu mâchées par le rude traitement sexuel que leur avaient fait subir les deux techniciens en mission. Encore nues sur leur lit, elles engagèrent un dialogue.
- On a perdu l'entrainement, remarqua Amélie.
- Je ne te le fais pas dire, répondit Sophie. Mais quand même, que c'était bon. J'avais vraiment besoin de ça pour me remettre les idées en place. Enfin, les idées... Le corps surtout. J'ai l'impression d'avoir retrouvé mon corps qui s'était endormi. Et tu sais pas quoi ? Je n'ai qu'une envie : remettre ça.
- Eh ben dis donc, qui l'eût cru ? Moi qui te voyais un peu coincée du cul...
- Mais je l'étais ! C'est toi qui m'a permis de me décoincer. Jamais je n'aurais fait ça toute seule. Il fallait que je te regarde baiser pour baiser moi-même.
- Ouais, enfin, tu ne m'as pas attendue. Tu as commencé dans la salle de bains.
- Oui mais parce que tu étais là, à côté, en plein 69. Te voir m'a débloquée. Je me suis même vue dans la glace, tu te rends compte ? Je ne me reconnaissais plus. C'était une autre fille. Je me suis vue jouir.
- Et moi je t'ai entendue. Dis donc, tu n'es pas discrète.
- Toi non plus. Que tu es vulgaire quand tu baises !

Les deux amies éclatèrent de rire. Puis elles se relayèrent sous la douche et descendirent prendre leur petit déjeuner. Elles décidèrent d'un plan de route vers la côte méditerranéenne. Plus exactement une station où Amélie avait passé des vacances et conservé un beau souvenir. Sur le chemin, elles optèrent pour une chambre d'hôte. Un rapide coup de fil les assura d'une possibilité pour deux nuits.
Elles furent accueillies à l'arrivée par une grande et élégante femme blonde d'entre deux âges qui se présenta comme Corinne et se montra enchantée d'accueillir deux jeunes femmes d'apparence avenante. D'emblée, elle les suspecta d'être lesbiennes, ce qui ne la dérangeait pas outre mesure. Mais au fil de la conversation, Amélie et Sophie finirent par avouer qu'elles étaient voisines et en rupture conjugale, a priori provisoire.
Puis elles allèrent se promener le long de la côte et l'air marin leur fit du bien. En cette saison, la station était encore peu fréquentée.
- Cela m'étonnerait qu'on fasse des rencontres ici, constata Amélie.
- Pas grave. On se reposera, répondit Sophie.

Au retour dans la maison d'hôte, les deux amies furent accueillies non par Corinne mais par un grand type de leur âge, bien bâti, cheveux ras et peau bronzée. Elles ne furent pas longues à comprendre que c'était l'amant de Corinne. Il leur conseilla un restaurant pour le soir et quand elles rentrèrent dans l'intention de se coucher tôt, la maison semblait déjà endormie. Corinne n'avait pas réapparu.
Il était aux environs de 23h et les deux amies cherchaient le sommeil lorsqu'elles perçurent des bruits curieux émanant de l'étage en dessous, celui de la propriétaire.
- On dirait un chat qui miaule, murmura Amélie.
Effectivement, les bruits évoquaient celui d'un félidé, sauf qu'il était fort et répétitif. Si c'était un chat, c'était vraiment un gros chat. Mais le miaulement fut soudain interrompu par des éclat de voix féminine ne laissant place à aucune ambiguïté :- Oui oui encore encore vas-y t'arrête pas !
Puis le miaulement se mua en râle profond accompagné d'un grognement mâle. D'où la conclusion d'Amélie :- Je crois que nos hôtes viennent de baiser, et même de bien baiser.
- Exact, et ils se sont bien fichus d'être discrets.
- La dame a trouvé un bel étalon, faut croire.
- Oui et ça donne envie. Bon, faut qu'on dorme quand même, conclut Sophie, l'esprit échauffé... et pas seulement l'esprit.

*******Le lendemain, Corinne les accueillit tout sourire au petit-déjeuner, vêtue d'une robe courte mettant ses jolies jambes en valeur.
- Alors, mesdames, bien dormi ?
- Oui, mais vous nous avez mis de l'ambiance, gloussa Amélie.
Corinne pouffa.
- Excusez-nous. Damien est un chaud lapin et si je veux le garder, je dois bien lui donner ce qu'il attend, vu notre différence d'âge.
- Je n'ai pas l'impression qu'il vous ait beaucoup forcée, riposta Sophie.
Corinne partit d'un rire cristallin.
- J'aime faire l'amour, je le reconnais. Surtout avec des hommes plus jeunes que moi. J'aime quand c'est dur... et que ça dure. Et vous, vous n'aimez pas ça ?

Les deux amies opinèrent en même temps et il ne fallut pas longtemps avant qu'elles racontent d'une part la raison de leur fugue et d'autre part l'impromptu hôtelier de l'avant-veille. Ce qui impressionna Corinne :- En même temps, dans la même chambre ? Mais vous êtes libertines, alors ?
- D'occasion. On est open, répondit Amélie.
- Et... même ici ? demanda ingénument Corinne.
- Partout. On veut vivre au moins un temps notre liberté sexuelle.
Corinne répondit par un sourire, qui se voulait approbateur. Elle ne tarda pas à évoquer son jeune amant, le plaisir qu'il lui procurait. Et au détour de la conversation, elle lâcha :- Si ça vous tente, je peux lui demander de trouver deux copains.
Amélie et Sophie se regardèrent. C'était l'imprévu type. Laconiques, elles répondirent simplement :- Faut voir.

*****
Corinne les conduisit l'après-midi à un "spot" de surfeurs. Son amant pratiquait en effet ce sport avec un certain succès puisqu'il était en même temps formateur. Vêtu d'une combinaison qui mettait son corps sculptural en valeur, il présenta les deux amies à deux élèves âgés d'une vingtaine d'années, deux gaillards blonds, un peu tatoués et finement musclés. Le courant passa très vite. Amélie, la rondelette à queue de cheval et Sophie, la sylphide à coupe au carré eurent l'heur de plaire aux deux jeunots, prévenus par le prof qu'elles étaient "des femmes qui baisent". Et comme ils n'avaient pas baisé depuis un bail, c'était une occasion à ne pas laisser passer. Il fut convenu de retrouvailles le soir même chez Corinne autour d'une raclette, spécialité maison.

Pour ce faire, les deux amies s'habillèrent le plus sexy possible. Cette fois, c'étaient elles qui devaient assumer la différence d'âge face à deux garçons à la virilité manifeste et jugés tous les deux "très désirables".
- On se passera de soutif, ça fait tout de suite bonne impression, rigola Amélie en enfilant un tee shirt moulant.
- On va avoir l'air de deux salopes, reconnut Sophie en se tortillant pour enfiler une jupette étroite qui lui faisait des jambes interminables.
- Mets quand même un slip, gloussa Amélie dont le pantacourt moulait le fessier rebondi d'une manière assez indécente car elle était nue dessous.
Néanmoins, les deux amies optèrent pour une stratégie. Pas question de dérouler le tapis rouge devant les deux surfeurs.
- On va les prendre un peu de haut. Du style "vous êtes un peu jeunes pour nous", déclara Amélie.

De fait, une fois les retrouvailles célébrées autour de la raclette de Corinne et de Damien, les deux amies se gardèrent bien de jouer les séductrices. Elles participèrent à la conversation animée par Corinne et son amant comme deux visiteuses de passage, écoutant les interventions des deux surfeurs avec une politesse affectée. Elles feignaient d'ignorer leur regard fixe sur les plantureux nichons d'Amélie et sur le petit cul moulé de Sophie quand elle se levait de table. Le vin blanc aidant, les esprits se détendirent. Corinne et Damien se montraient de plus en plus amoureux. Il lui ouvrit le chemisier pour lui peloter un sein à travers son soutien-gorge tout en l'embrassant, faisant régner à table une tension érotique qui finit par déteindre sur les deux amies. Mais lorsque le couple hôte se leva pour gagner le canapé voisin afin de prolonger leurs ébats, Amélie et Sophie comprirent qu'elles ne pouvaient plus rester inertes. Corinne venait d'emboucher la queue tendue de Damien quand les deux amies se levèrent à leur tour et vinrent s'asseoir sur les genoux des deux surfeurs :- Alors, les gars, vous ne montrez votre savoir-faire ou pas. On vous prévient, on a horreur d'être déçues, asséna Amélie.

Mis au défi, les deux gaillards sentirent en même temps une bouffée de testostérone envahir leurs entrailles. Amélie et Sophie se retrouvèrent transportées à bras d'homme vers deux fauteuils club pour une séance de pelotage puis de déshabillage, les mettant néanmoins en retard sur le couple Corinne-Damien désormais nu et en pleine fornication, elle allongée un pied sur le dossier du canapé, l'autre autour des reins de son amant dans un clapotis de sexes en fusion.
Mais le retard fut vite comblé. A genoux sur le fauteuil et complètement à poil, Amélie reçut par derrière l'un des deux surfeurs dûment capoté tandis que, tout aussi nue, Sophie s'empalait sur l'autre surfeur assis au fond du deuxième fauteuil, lui offrant le spectacle de son cul mignon et virevoltant tandis qu'elle même observait le fessier en mouvement de Damien entre les cuisses fuselées et très écartées de Corinne. Comme bien on pense, la pièce s'était emplie des bruits de l'amour, les miaulements de Corinne répondant aux râles d'Amélie et aux couinements de Sophie. Celle-ci ne vivait que pour son sexe et la bite qui l'honorait, une bite tonique, épaisse, visiteuse mais dont Amélie la détacha pour venir la remplacer sans vergogne afin de s'infliger à son tour le supplice délicieux du pal vaginal.

Sophie ne protesta pas car déjà, l'autre surfeur l'attrapait pour la loger dans le fauteuil. Les bras derrière ses genoux écartés, il la pilonnait les yeux dans les yeux, lisant dans son regard une reconnaissance infinie, ce qui alla droit à son égo de jeune mâle.
- T'arrête pas, surtout, lâcha-t-elle néanmoins entre deux râles. Tout son être était concentré sur cette jeune bite qui la fouillait inlassablement, la faisant sentir très femme, très femelle même, plus femelle qu'elle ne l'avait jamais été dans le passé.
Un cri strident parcourut la pièce. Corinne venait de jouir. Sophie aperçut Damien qui arrosait sa maitresse de son sperme épais et copieux. La scène n'avait pas échappé à Amélie puisqu'elle s'était retournée entre temps à la différence majeure qu'elle était désormais sodomisée et faisait danser sa queue de cheval en tressautant sur l'organe mâle fiché en elle. La jouissance anale conjuguée avec l'orgasme de Corinne la fit crier à son tour de plaisir. Seule Sophie restait en lice. Les deux autres couples assistèrent à la fin de ses ébats. Désormais allongée sur le tapis, écartelée, bavant d'extase, elle reçut une ultime rafale de coups de bite qui la mit au bord de la syncope. Elle fut à son tour arrosée de sperme jusque dans les sourcils tandis que son surfeur basculait sur le dos en gémissant avec ces mots :- Putain que tu es bonne !

*******Après cette séance très immorale et néanmoins jouissive pour les protagonistes, Amélie et Sophie ramassèrent leurs vêtements et regagnèrent leur chambre, encore sous l'effet de leur délire érotique.
- Tu m'as mise dans un joli pétrin avec cette partouze, tu m'as même fait changer de mec en cours de baise, commenta Sophie à Amélie.
- Quel pétrin ? Ce n'est jamais qu'une histoire de cul. Personne n'est censé savoir.
- Oui mais moi je sais.
- Tu n'attendais que ça mais tu ne voulais pas te l'avouer. Maintenant, assume. Et dors.
Et Amélie se mit à ronfler, sa chair juteuse étalée sur le lit, encore palpitante des assauts virils qui l'avaient fait jouir de son corps. Sophie fut un peu plus longue à trouver le sommeil. Trop d'événements en trop peu de temps avaient chamboulé sa vie.

Le lendemain, la matinée était déjà bien avancée quand Amélie ouvrit un oeil. Son oreille capta illico, à l'étage en-dessous, le bruit caractéristique d'un couple en train de baiser. Pas le miaulement habituel de Corinne mais une série de couinements. Après une série de "oui oui oui" suivie de "je viens je viens je viens", Amélie, un peu chamboulée, prit une douche, se rhabilla et rejoignit la salle du petit-déjeuner où Sophie et Damien sirotait leur café. Amélie nota que Sophie ne portait qu'un simple tee shirt couvrant à peine ses fesses et son sexe. Il remarqua aussi une lueur dans son regard et celui de Damien qui ne la trompa pas. Ces deux-là, à l'évidence, venaient de baiser ensemble.
- Où est Corinne ? demanda Amélie.
- Partie faire des courses, répondit laconiquement Damien.

Puis celui-ci s'esquiva, laissant les deux amies face à face.
- Qu'est-ce que vous avez fait ? demanda ingénument Amélie.
- Devine.
- Si moi je suis une grosse salope, toi tu es bien une petite salope, répliqua Amélie.
- Je suis à bonne école, non ?
- Comment tu as pu faire ça ?
- J'étais en train de préparer mon café quand Damien est arrivé derrière moi et a collé sa queue contre mes fesses. Maintenant, dès qu'un homme me touche, je flambe comme de l'amadou. C'est de ta faute. J'étais habillée comme ça. Il n'a eu qu'à me trousser. Il m'a hissée sur le bord de l'évier, m'a léchée et m'a enfilée. Je n'ai rien pu faire.
- Ma pauvre ! Je te plains !
- On a fini au lit. J'avais peur que Corinne revienne et je me suis donnée à fond pour qu'il jouisse.
- Ah ça, j'ai entendu. Mais tu ne me feras jamais croire qu'il t'a forcée. Avoue-le, que tu en avais envie, de ce mec ?
- Ben oui. Il est beau, non ? Il a une très belle queue. Et il avait vraiment envie de moi aussi. Depuis le début, il me l'a dit. Tu es jalouse ?
- Mais non. Je suis réaliste, tu es une bien plus belle fille que moi et tu n'auras jamais que l'embarras du choix.

La conversation se poursuivit pendant qu'Amélie prenait son petit-déjeuner. Puis les deux amies rejoignirent leur chambre pour plier leurs affaires. Ni l'une ni l'autre n'avaient envie de s'attarder et de se retrouver face à Corinne. Quand celle-ci réapparut, elles avaient déjà rangé leur valise dans le coffre de leur voiture et les adieux furent brefs, bien que l'hôtesse leur ait fait des appels du pied pour rester.
- Non, non, il faut qu'on rentre maintenant, s'excusèrent-elles.
Et elles ne dirent même pas au-revoir à Damien, qui n'avait pas réapparu.
- Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait? finit par demander Sophie à Amélie.
- Je crois qu'on a eu notre dose de liberté, non ?
- Oui, je crois aussi.
- Donc, on rentre au bercail.

Et elles remirent cap au nord. Mais l'une et l'autre savaient que rien ne serait plus comme avant dans leur vie de couple. La puissante intimité qui était née entre elles ne pouvait pas rester sans lendemain. Bien sûr, la vie conjugale reprendrait ses droits, avec ses plaisirs et ses contraintes. Mais l'une comme l'autre savaient qu'il y aurait parfois une échappée belle... ensemble.

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