Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (36) : nos retrouvailles

- Par l'auteur HDS Olga T -
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (36) : nos retrouvailles Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (36) : nos retrouvailles
La situation ne pouvait plus durer. Hassan avait constaté que, si je ne refusais pas d'avoir des rapports avec lui, je marquais des distances qui, pour lui étaient insupportables, en refusant tout préliminaires, tout baiser, toute caresse, me contentant de lui laisser faire son affaire et d'attendre que ce soit fini, qu'il ait accompli son devoir conjugal.

Il avait parfaitement compris que je n'avais plus pour lui aucun sentiment.

Dans une première phase, il s'y était résigné, en espérant que le temps fasse son oeuvre. Pour détourner son attention, j'avais demandé l'aide de mon amie Christine, qui avait consenti à devenir la maîtresse d'Hassan dans l'objectif qu'il m'oublie un peu, mais aussi de me laisser plus de liberté pour retrouver Philippe.

Le tournant fut quand Hassan trouva, dans l'armoire à pharmacie, les contraceptifs que je prenais en cachette.

Il entra en fureur, à un point tel que j'ose à peine le raconter ici. Il hurlait :

- Olga, salope ! Viens ici tout de suite !

- Que me veux-tu ? Encore tirer ton coup ? Allez, vas-y et fais vite !

Provocatrice, je me suis approchée, je l'ai regardé droit dans les yeux. J'ai fait tomber ma robe, j'étais nue, le défiant.


Une violente gifle est partie. Je me suis retrouvée au sol, ma joue devait porter les traces de ses doigts.

Il m'a prise par le bras brutalement, pour me relever. J'ai pensé qu'il allait me battre.

- Tu veux me cogner, sale brute ! Vas-y, tu es le plus fort mais saches que tu en assumeras toutes les conséquences ! Tu ne me fais pas peur, sale lâche !

- Ce n'est pas l'envie qui me manque de te rouer de coups, catin, mais je ne tomberai pas dans ton piège pour que tu ailles à la police ensuite. Je veux seulement te montrer quelque chose.

Il m'a prise par le poignet pour m'entrainer de force. Il me faisait très mal. Un moment je suis tombée, il ne s'est pas arrêté pour autant, il a pris mes deux bras et me traînait sur le sol. Il allait tellement vite que j?ai heurté assez violemment et à plusieurs reprises des obstacles :

- Aïe, doucement tu me fais mal ! Laisses-moi me relever, je te suivrai !

- Tu es très bien au sol, c?est la place d'une roulure comme toi.

Arrivés à la salle de bains, il me remit enfin sur pied. Il me montra une boite de pilules :

- C'est quoi, ça ? Salope, je sais maintenant que tu me trompes ! Avec qui ?

- Il ne s?agit pas de ça. Je ne veux pas, comme tu en as l'intention, que tu me mettes en permanence enceinte. J'ai le droit de décider de ma fécondité.

Hassan vida la boite dans la cuvette des WC.

- Nous en avons parlé avant notre mariage et tu étais d'accord ! Ne t'avise pas de recommencer à prendre ça derrière mon dos. Tu as encore plus de dix ans avant ta ménopause et je compte bien te faire le plus d'enfants possibles. Tu entends femme ? Et prends garde qu'un autre homme ne t'approche pas. Tu sais que je ne suis pas candauliste et que je ne supporterais pas d'être cocu !

- Il me semble que, de ton côté, tu ne te gênes pas et je ne te le reproche pas, tu es libre. Tu passes du bon temps avec mon amie Christine !

- Et alors, j'ai une épouse qui se comporte avec moi comme si elle était une poupée en plastique. Tu écartes les cuisses et tu attends que j'ai fini mon affaire.

- Avoir à ton entière disposition une vide-couilles parfaitement passive, ça plait à ton instinct de mâle dominateur. Pour le reste, ne me demande pas d'avoir pour toi des sentiments que je ne ressens plus.


- Tu finiras par y revenir ! En attendant, mets-toi à 4 pattes que je te la mette bien profond. Ça m'étonnerait que tu ne prennes pas ton pied, salope ! Je vais te démonter !

Ses doigts pénétrèrent sans ménagement ma chatte :

- Et en plus tu es excitée, ta chatte est trempée. Tu es vraiment une chienne !

Je dois avouer qu'il fallait que je fasse d'immenses efforts pour ne pas exprimer ma jouissance, ce qui aurait été un triomphe pour Hassan. Ce n?était pas évident, car il était toujours l'amant si performant dont j'avais été amoureuse.

Ce jour-là, je l'avoue, je me suis laissée allée. Il se déchaînait. Il me prenait en levrette et me traitait comme un étalon l'aurait fait avec une jument. Il me pilonnait, je lui demandais d'y aller avec force, bien au fond, de me démonter. J'ai eu honte, mais, alors que je voulais éviter de lui faire ce plaisir, j'ai eu ce jour-là plusieurs orgasmes dévastateurs.

La façon qu'avait Hassan de me traiter, comme une femelle qu'il fallait saillir et qu'il baisait et enculait avec brutalité, sans préliminaires, correspondait à mes envies. Je le provoquais d'ailleurs pour qu'il en soit ainsi. C'était sans doute une manière de me punir de mes fautes, et notamment la principale, celle d'avoir sacrifié ma vie commune avec Philippe, l'homme de ma vie, avec qui j'aspirais profondément d'effacer cette malheureuse parenthèse et de renouer le fil de notre couple si particulier.
Certains jugeront très sévèrement mon comportement et diront que j?ai fait souffrir successivement les deux seuls hommes qui avaient des sentiments profonds pour moi.

Cela devenait de plus en plus en plus difficile, mais je continuais à voir Philippe. Je m'affichais de plus en plus avec lui, avec la volonté de finir avec ces mensonges et de quitter le domicile conjugal. J'en avais assez des rendez-vous furtifs chez Philippe, à son bureau, à l'hôtel. Je ne voulais plus être sa maîtresse, je voulais redevenir son épouse, ce que je n'aurais jamais dû cesser d'être.


Nous prenions de plus en plus de risques et j'ai eu envie de faire venir Philippe chez moi. Avec l'idée de provoquer un clash définitif avec Hassan pour retrouver ma liberté et mon homme. J'avais fini par dire toute la vérité à Philippe sur le comportement d?Hassan, que je lui avais assez largement caché jusqu'à présent. Sa réaction fût immédiate.


- Maintenant je comprends les marques que j'ai vues sur ton corps, ces hématomes, la sensibilité de ta chatte et de ton anus. Pourquoi tu ne m'as rien dit alors que ça dure depuis des mois ? Je ne te comprends pas, Olga, tu es maso ou quoi ? Tu veux quoi ? Le pousser à bout pour qu'il te roue de coups ? Tu es folle, ma chérie ! Dès la première fois, il fallait prendre les filles et le quitter ! J'avais souhaité que tu prennes le temps de la réflexion afin de ne pas prendre de décisions sur un coup de tête. Mais jamais je ne pouvais imaginer qu'il se comporte ainsi et surtout que tu te laisses faire !


- Je ne voulais pas que tu me reprennes par pitié. Et puis je l'avoue, au fond de moi, je me disais que c'était une punition méritée pour le mal que je t'ai fait et que j'ai aussi fait à Hassan. Et tu sais bien aussi que je ressens du plaisir à être ainsi traitée par un mâle.

- Je connais cette tendance en toi et je veux la combattre, car rien ne doit atteindre ta dignité et ta liberté, qui sont bafouées depuis des mois par Hassan. Je veux que nous reprenions notre vie commune pas parce que je veux te libérer d?Hassan et de sa brutalité envers toi, mais tout simplement parce que je t'aime. Et cette fois, nous nous referons plus les erreurs du passé, aussi bien moi que toi. Tu es d'accord, Olga ?

- Bien sûr que je suis d'accord. Je suis heureuse, je t'aime mon bébé.

La décision était prise et devenait urgente. Faute de contraceptifs, si je le laissais faire, Hassan aurait vite fait de parvenir à ses fins et de me mettre à nouveau enceinte.
J'avais donc discrètement et peu à peu transféré mes affaires chez Philippe chez qui j'irai vivre avec les filles, en attendant de récupérer un domicile qui était en fait le mien. Mais auparavant, je voulais m'offrir un ultime plaisir, une revanche sur Hassan, en faisant venir « chez nous » Philippe, pour vivre mon adultère au domicile conjugal. Ça peut paraitre puéril, mais après les mois que je venais de vivre, je ressentais ce besoin de cocufier Hassan dans son propre lit.

ADULTERE AU DOMICILE CONJUGAL

Pour endormir la méfiance d'Hassan, après la violente scène que m'avaient valu mes pilules contraceptives, je m'étais montrée soudainement tendre. Je lui avais proposé que, pour nous retrouver, nous puissions être quelques jours seuls sans les enfants, que mon amie Christelle avait accepté de garder.

J'avais mis ça en place évidemment pas pour Hassan, mais pour Philippe, que je voulais recevoir dans le lit conjugal et que j'avais bien l'intention de suivre, enfin décidée à quitter définitivement Hassan. Je mettais à profit une période où Hassan était censé être en déplacement professionnel.

Dès son arrivée, Philippe m'embrassa puis m'amena à la chambre qu'il connaissait si bien, pour m'avoir si souvent honoré dans ce lit ou avoir vu mes amants me faire jouir sous leur joug.

Il passa ses mains sous mon pull chaud. Il remonta le pull jusqu'à ma tête puis je levais les bras et le laissa me l'ôter. Dessous, je ne portais qu'un petit soutien-gorge blanc avec des dentelles discrètes.

De mon côté, j'avais enlevé la chemise de Philippe, qui se retrouvait en jeans.

Je poussais Philippe sur le lit et je mis assise sur lui. J'avais encore mon soutien-gorge et ma petite culotte. Philippe avait les mains sur mes cuisses. Ma vulve trempée se rapprochait de la tête de mon homme. J'avais envie de prendre la direction des opérations. Philippe était à moi, cette position le symbolisait.

- On dirait que je te fais de l'effet, Monsieur T.

- Tu es tout simplement merveilleuse. En particulier la vision de ta poitrine. J'ai toujours aimé tes petits seins. La maternité a transformé ta poitrine. Tes seins sont plus gros, fermes, ils sont magnifiques.

Il se mit assis sur le lit, passa une main derrière mon dos et dégrafa le sous-vêtement en un tour de main habile de connaisseur, pendant que je l?embrassais fougueusement et que je frottais ma vulve contre sa formidable érection.
Je n?avais plus que ma culotte blanche et j?étais impatiente qu?il me l?enlève, qu?il se débarrasse de son jeans, pour que nous puissions enfin nous aimer.

J?étais à genoux sur le lit, uniquement vêtue de cette culotte trempée de désir, Philippe torse nu, portant toujours ce jeans serré où son érection était formidable. J'avais follement envie de lui. J'ai desserré sa ceinture, ouvert sa braguette et commencé à m'attaquer à l'objet de mon désir.

- Philippe, mon amour, Hassan était en déplacement depuis plusieurs jours, il ne m'a plus touché. Je suis en période favorable. Tu sais ce que je veux, que tu me fasses un enfant, mon amour. Féconde-moi ! Je suis à toi et cette fois c'est pour la vie !

- Je vais te faire un enfant, le symbole de notre amour.

Il me releva, me prit dans ses bras, me serra contre lui, pour que je sente bien son désir. Ses mains étaient sur mes fesses, mes seins tendus de désir contre sa poitrine. Nous nous embrassions fougueusement, prenant tout notre temps, malgré le désir que nous ayons l'un pour l'autre, oubliant qu'Hassan ne saurait tarder à revenir de son déplacement.

Il n?y avait plus que Philippe et moi, rien d?autre n?existait désormais, nous étions seuls au monde. Nous nous regardions, éperdus de désir et d?amour.

- Oh Philippe, je t'aime comme je n'ai jamais aimé. Je suis à toi, rien qu'à toi. Tu peux disposer de moi.

- Ton amour ne devra être qu'à moi désormais. Quant à ton corps, j'en disposerai, tu seras ma reine du plaisir. Je veux continuer à te voir jouir. Sous mon contrôle.

- Oui, mon chéri. Prends-moi maintenant !

Il voulait prendre tout son temps. Il me fit mettre debout et je me retrouvais, au bord du lit, dans ses bras, mes seins contre sa poitrine, ma chatte, encore protégée par ma culotte désormais trempée d'excitation contre l'érection de Philippe. Ses mains étaient sur mes fesses, il me serrait contre lui. Il savourait l'instant, me couvrant de baisers et me disant tout son amour.

- Tu es une merveille, Basilissa moy. Je n'en reviens pas que ces trésors sont à moi à nouveau alors que j'avais failli les perdre.

- Je suis définitivement à toi, Kardia moy. Tu peux faire de moi tout ce que tu veux.

- Et je ne m'en priverais pas. Ce corps est fait pour le plaisir, je ne serai pas égoiste. Je veux que des lèvres te donnent le frisson, que des mains innombrables te caressent, que des verges t'honorent.
- Oh oui mon chéri. Mais maintenant c?est de toi dont j'ai envie !

Il fit enfin tomber ma culotte et son pantalon, puis me poussa sur le lit.

Philippe s'installa entre mes jambes et posa ses lèvres sur mon ventre chaud puis, après avoir écarté ma petite main qui bien-sûr n'opposa aucune résistance, entreprit de descendre plus bas afin de brouter avec bonheur son gazon soyeux tout en respirant à fond mon odeur intime. Descendant toujours, il écarta mes cuisses pour observer, sans encore la toucher, ma vulve rose palpitante et déjà bien humide. Il alla ensuite poser doucement ses lèvres sur la partie si tendre de l'intérieur de ma cuisse droite. Il descendait le long de ma cuisse puis remontait, traversait la zone du petit minou sans le toucher puis redescendait embrasser et lécher l'intérieur de la cuisse gauche. J'étais aux anges!
Sans prévenir, il s'est arrêté pour sucer avidement mon petit clito. Je poussais un « Aaaaah » instinctif.

Que c'était bon une telle tendresse, un tel désir, après des semaines de saillies brutales, où, pour mon mari, je n?étais plus qu?une femelle et un vagin.

Sa langue lâcha ensuite mon bouton nerveux pour aller plonger dans mon puits délicieux. Alternativement, d?une grosse langue râpeuse, il léchait de bas en haut et de haut en bas ma fleur à vif puis d?une petite langue fouineuse, il plongeait le plus profond possible dans son intimité. Ses mains ne restaient pas inactives, elles profitaient de la situation pour caresser mes cuisses et pétrir mes fesses.

Je me mordais les lèvres et ne pouvais plus contenir mes gémissements. J'appuyais sur la tête de Philippe pour l'encourager à continuer. Il n'avait pas besoin d'encouragements.

Sa langue courrait sur ma vulve, débordait sur l'extérieur des grandes lèvres pour s'égarer sur le début des cuisses et revenir de plus belle brouter le mont de Vénus.

Pour amplifier mes sensations, il fit pénétrer deux doigts dans mon antre parfaitement lubrifié et en fouillait les limbes pour titiller de l?intérieur mon clitoris que sa bouche suçait à l?extérieur, puis entamait un lent mouvement de va-et-vient.

Je me cambrais, bloquait ma respiration pour ne pas gémir. Sa bouche ne quittait plus mon clito, un troisième doigt avait rejoint les deux premiers et leur pénétration se faisait de plus en plus intense. Sa main libre massait un petit sein tendu de désir.

Je lui attrapais la tête à deux mains et le plaqua le visage contre mon bas ventre. Je criais, je haletais, soupirais et gémissait crescendo.

- Oh oui ! ! C?est ça ! C?est bon ! Non arrêtes ! C?est trop fort ! Aaaaahhh ! »


J'enchainais les orgasmes et j'essayais de repousser sa tête d'entre mes jambes. Il avait ferré sa proie et n'entendait pas la lâcher comme ça. Il tentait de prolonger le supplice de plaisir le plus longtemps possible et de boire toute la cyprine qui sortait de ma chatte. Je me laissais faire quelques instants avant de me dégager d'un violent coup de rein en arrière et, dans un cri, de me replier sur le côté, les mains entre mes jambes, le corps secoué de tremblements convulsifs.

Philippe n'en n?avait pas fini avec moi.

- Je vais t'enculer à sec, ma putain adorée. Je veux ton cul !

Il mit son sexe dans l'axe et poussa sur le sphincter. J'adore être prise par la porte étroite, mais cette fois c'était sans préparation.

- Ooooh nooon ! Doucement ! Chéri, tu me fais mal ! Tu sais, ça fait des semaines qu'il me prend de force par là. C'est devenu très sensible. Aaaaaah ! »

En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, son gland avait franchi l'obstacle et je sentais mes sensations revenir, je retrouvais le bonheur d'être enculée. Parce que pour lui, j'avais du désir.

- Ca va c?est bon ! Vas-y ! Encore ! »

Il continuait à s'enfoncer lentement dans mon rectum en faisant de petits retours en arrière pour améliorer la lubrification du conduit.

- Oh putain ! C?est bon ! Vas-y défonces-moi ! »

Il allait de plus en plus loin, de plus en plus vite. Je ne criais plus, je semblais en apnée, la tête dans l'oreiller. Mes doigts s'agitaient frénétiquement sur mon clito et mes reins pris de soubresauts incontrôlés.

Philippe éjacula alors en moi dans un cri rauque, je l'accompagnais d?un hurlement assourdi par l'oreiller. Nous reprenions nos esprits, allongés côte à côte.

- Ouahou ! ! J'en veux encore !!!

- D'accord mais attend un peu que j'ai rechargé les batteries s'il te plait. Parce que je ne suis plus habitué à ce rythme moi.

- Tu as voulu être mon amant, alors il faut assumer !

Nous avons poursuivi cette après-midi de folie qui m'a fait rajeunir de plusieurs années. J'ai le souvenir flou de corps emmêlés, imbriqués, de mes seins qui bougent dans tous les sens, d'une chevelure décoiffée, de douches embuées, de rires, de cris de plaisir jusqu'au bout de la nuit. Philippe, reprenant le contrôle du lit conjugal, avait ce jour-là, revisité plusieurs fois tous mes orifices naturels. Je sais que c'est ce jour-là que nous avons conçu Sofia, ma troisième fille, fruit de mes amours avec Philippe.
J'étais plantée sur son phallus qui me torpillait. Il contemplait mes seins fermes tressautant au rythme de notre cavalcade sexuelle.

LA RUPTURE

C'est alors que je crus deviner l'ombre d'un voyeur dans le couloir. Je réalisais que c'était Hassan qui arrivait juste au moment où Philippe était en train de se vider dans ma chatte. Je l'avais complétement oublié, je n'ai plus pensé qu'il devait rentrer dans la soirée.

Effrayée, un peu honteuse aussi, je me suis blottie, je me suis lovée dans les bras de Philippe. Le moment de vérité était enfin arrivé.

- Salope, putain ! On m'avait prévenu que tu ne changerais jamais, démone ! Mais jamais je n'aurais imaginé que ce soit avec toi, Philippe ! Tu as gagné la bataille, Philippe, personne ne pouvait l'imaginer. Tu vas pouvoir redonner libre cours à son hypersexualité et à ton candaulisme. Jusqu'à ce que la situation t'échappe à nouveau. Crois-moi, tu le regretteras, personne ne peut maîtriser les instincts de cette femelle. Il fallait utiliser mes méthodes pour y arriver.

- Hassan, la manière dont tu as traité Olga est insupportable. Elle n'est pas un objet, elle est une femme libre et digne. C'est elle qui a choisi et tu l'as aidé à faire son choix. Un choix définitif cette fois !

Je lisais la colère dans les yeux du mari bafoué. J'avais profondément et sincèrement aimé cet homme. Il était le père de ma seconde fille. Il avait été maladroit, brutal, insupportable mais n'aurait pas mérité d'être traité ainsi. Nous avions fauté en ne lui avouant pas la vérité, même si nous avions l'intention de le faire.

J?avais peur que les deux hommes se battent, et je craignais pour Philippe, plus âgé, moins musclé. Je ne voulais pas qu'Hassan lève la main sur lui.

- Hassan, ne t'en prends pas à Philippe. Je suis la seule responsable, c'est moi qui me suis offerte à lui. Je me suis rendue compte, trop tard je l'avoue, que je ne pouvais me passer de lui. Si tu veux punir quelqu?un, prends-toi en à-moi si tu en as envie, pas à lui !

- Il n'est pas question que tu la touches. Ce que tu lui fais subir depuis des semaines, je veux que ça se termine et qu'Olga me suive. Ca suffit maintenant, Hassan, ce comportement de macho !

- Je devrais te démolir le portrait Philippe et ça serait facile pour moi, mais cette putain ne mérite pas que nous nous battions pour elle. Tu la veux, elle est à toi ! Je ne veux plus d'elle, elle me dégoûte !

J?essayais d'approcher d?Hassan et de lui expliquer :

- Je te demande pardon Hassan, mais je t'avais dit que je ne pouvais me passer de Philippe. J'ai essayé mais c'est impossible. Je l?aime.

- Ne m'approche pas catin !

Il m'envoya une violente gifle, puis se contint.

- Si je m'écoutais, je te donnerai la correction que tu mérites, chienne et que tu cherches depuis des semaines ! Mais ça ne changerait rien. Allez-vous-en. Philippe prends cette pute avec toi, je ne veux plus la voir.

- Mais nous sommes chez moi ici.

- Crois-tu que je l?ignore ? Je quitterai cette maison plus tard, après le divorce et tu pourras t'y installer avec ton prochain mari, avant que tu ne le bafoues à nouveau, puisque c'est ça qui lui plait. Mais ce soir, je veux avoir le plaisir de te jeter dehors, femme !

Philippe, comprenant qu?il valait mieux obtempérer, me prit par la main. Lui s?était habillé en vitesse. Pour ma part, j?étais nue.

- Un instant, je ne peux pas sortir ainsi !

- Bien sûr que si, catin. Je veux te mettre à la porte comme ça, toute nue ! Ne discute pas, j'ai bien le droit à ce petit plaisir. Dehors, il ne fait pas froid et comme tu as en permanence le feu au cul, ça devrait aller.

C'est dans ces conditions-là que se terminait mon couple avec Hassan.

Je prenais les choses avec philosophie :

- Tu sais Philippe que c'est au moins la troisième fois de ma vie que je me retrouve mise dehors, toute nue !

- Oui tu m'as raconté. La femme d'un de tes amants, un prof, lorsque tu étais lycéenne et qui vous avait surprise. Tu as été chez le concierge obtenir des vêtements et tu l'as payé en nature !

- Il y a eu aussi ce terrible moment où mon père m'a chassé de la maison (voir récit 2). Il faut dire que je l'avais bien cherché par mes impertinences et mes provocations.

Cette fois-là fut différente. Les automobilistes qui nous croisaient à cette heure avancée de la soirée se rinçaient l'oeil, d'autant que Philippe, tout en conduisant, me caressait. J'avais les jambes sur le parebrise. Et arrivés chez Philippe, nous croisâmes une voisine qui eut le choc de sa vie en me voyant dans l'ascenseur, dans le plus simple appareil, dans les bras de Philippe !
Notre divorce avec Hassan fut long, compliqué et douloureux, par le canal de nos avocats.

Hassan avait fait en sorte que ce soit moi qui quitte le domicile conjugal. Si l'adultère n'est plus un motif de divorce, ma conduite et mon revirement, ma liaison était avec mon ex-mari ne mettaient pas le juge des affaires familiales dans une posture favorable à ma cause.

Malgré les prétentions initiales d'Hassan, qui voulait me priver de l'autorité parentale, je réussis cependant à conserver la garde de notre fille, Hassan bénéficiant assez largement d'une garde alternée. Pendant longtemps, ce fût Philippe qui lui amenait Leila, il ne voulait plus me croiser.
Récemment, Hassan a fini par me pardonner et par être moins intransigeant qu'il ne l'avait été.

Nos relations ont fini par se normaliser puis par se réchauffer, sans que cela ne soit sentimental. Cette page-là est définitivement tournée. J'en parlerai ultérieurement.

Philippe et moi nous sommes à nouveau mariés en 2014, peu après la naissance de notre cadette. Nous avons instauré dans notre couple un nouvel équilibre, qui n'est pas parfait et qui a connu récemment (voir récit n°17) un dérapage grave, tant de ma part que de celle de Philippe : lors de vacances au pays, je m'étais offerte à N. sans accord ou information préalable de Philippe. Quant à Philippe, il a rencontré Théodora. De ce double adultère, il y a des conséquences que nous surmonterons, dans l'intérêt des enfants.

Mais ceci est une autre histoire et, en attendant, notre couple impossible, celui de Philippe le candauliste et d'Olga l'hypersexuelle, tient contre vents et marées.

Les avis des lecteurs

Merci beaucoup, rachid741!

Encore une fois ce récit démontre votre amour, l'amant idéal pour vous aurait été un amant qui aime les deux Philipe et toi
J'ai vécu cela et je dois dire que j'ai particulièrement aimé cette période de ma vie, rien de mieux qu'une complicité dans un trouple, j'espère que vous connaitrez cela
Tu as l'air d'aimer beaucoup la sodomie, je dois dire qu'au début je n'étais pas fan de sodomiser une femme ou un homme mais une amie m'a appris à aimer le faire
Quoi qu'il en soit je vais continuer à lire vos tribulations de couple et j'y trouve un véritable plaisir
merci à vous deux

Oh oui, Manon, et inattendu!

Histoire Libertine
Ce fut un dénouement heureux en définitive.
Manon

@ Jacques du Canada, pardon je n'avais pas vu le message (non signé, mais j'ai reconnu) Je confirme ce que vous dites: j'ai une chance immense d'avoir un compagnon comme Philippe!

Merci Léon, c'est exact!

Histoire Erotique
Léon Je ne sais pas aujourd’hui mais la complicité n’as pas toujours été là!
Quand Dre Olga a plusieurs reprises disait à Philippe: ne me demande pas de choisir. On peut déduire quel aurait été son choix s’il lui avait effectivement demandé de choisir. Je pense qu’il y avait plus de complicité de la part de Philippe que du côté de Dre Olga.
Philippe tout au long des récits à démontré un amour inconditionnel à Olga. La réciproque n’était pas toujours là.
Dre Olga est vraiment chanceuse d’avoir Philippe comme conjoint.

Histoire Erotique
Bonjour chère olga
Il y'a un truc que j'ai compris avec tes aventures depuis la période du blog ( hélas, ... ) tu montres que l'on peut faire la différence entre les envies sexuelle et l'amour, car au delà des " supers mâles " bien montés, tu prends toujours autant de plaisir avec Philippe. ... ton complément idéal car il y'a l'amour et la complicité qui sont les ciments d'un couple unis. ... malgrés des envies irrésistibles de ton tempérament
Léon

@ Paul, ton analyse est juste. On ne peut réécrire l'histoire, donc impossible de répondre. Je ne suis pas certaine que j'aurais eu la force de quitter Hassan, j'étais piégée, isolée, sous surveillance. J'y serais peut-être arrivée, mais ça aurait été difficile. Peut-être, pour oublier la vie qui m'imposait et qui m'étouffait, aurais-je cédé aux avances insistantes de Kamel, puisqu'à ce moment-là Hassan lui faisait confiance. Mais heureusement, Philippe était là et m'a sorti de làa, de même j'ai bénéficié de l'aide décisive de Christine.
@ nos lecteurs du couple anonyme, oui très probablement. Oui Hassan aurait pu, au nom de ce que la loi appelle "le délai de viduité". Heureusement il n'a pas été jusque là. Je dois dire que Philippe est un vrai père pour mes filles mais j'ajouterai que Sofia est la consécration de notre amour.

C'est lors de cet ultime adultère dans le lit conjugal que vous avez conçu votre 3ème fille? (Sofia, je crois) ? Hassan aurait pu contester la paternité de Philippe!

Histoire Erotique
Il faut saluer la force de l'amour incroyable de Philippe pour Olga, qui a permis de reconstituer leur couple. Mais en même temps, c'est l'attitude d'Hassan qui a été décisive. Il a perdu l'amour d'Olga par son intransigeance, pour avoir voulu l'enfermer, lui imposer une autre culture, pour l'avoir considérée d'abord comme un ventre, et enfin et surtout pour sa brutalité.
Que se serait-il passé sans cette volonté de Philippe, son amour? Aurais-tu fini par quitter Hassan? Paul

Je ne suis pas surprise de l'attitude de Kamel, comme de Jeanne.
Je sais moi que je dis la vérité et je pense qu'Hassan le sait désormais. Il m'a appelé aujourd'hui pour me le dire, je serai toi, Kamel, je l'éviterai.
Quant à Jeanne, tu m'inspires surtout de la pitié, tant ton coeur est rempli de haine. Je ne te répondrai plus!

@ Marc, je pense avoir répondu dans des posts précédents. Autant que je me souvienne, j'ai toujours été provocatrice pour pousser les gens à bout et être punie. Ado, je voulais recevoir des fessées et tout particulièrement de la part de mon père. C'était mon complexe d'Oedipe qui me poussait à ça. Les séances SM vécues sous la période Rachid ont développé ça. Depuis que nous sommes à nouveau ensemble, Philipe cherche à maîtriser ces tendances chez moi.
@ Fabienne, ça dépend. Quand c'est fait sans volonté de faire mal, je prends beaucoup de plaisir, quelle que soit la taille de la queue qui m'encule. Honnêtement, le "calibre" de Philippe est idéal pour une sodomie. Et pendant cette période, Hassan, particulièrement gâté par la nature, qui me prenait sans préparartion et très brutalement, me faisait très mal. Les larmes me coulaient, mais, par orgueil je refusais de supplier, de me plaindre, d'exprimer ma douleur. Mais c'était terrible, plusieurs fois j'ai cru que je devais aller à l'hôpital.
@ Alice, tu as raison. Je n'ai pas osé, je ne voulais pas envenimer les choses. je me disais qu'au vu de ma réputation, on ne me croirait pas. Et surtout j'ai retardé le plus possible le moment d'informer Philippe, je tentais de trouver des explications sur la sensibilité de mon anus ou les traces sur mon corps.

Histoire Libertine
Je rejoins l'opinion de Jeanne au sujet de Kamel alias KZ et de Jeanne. Ils sont lamentables et se couvrent de honte. Nous, ses fidèles lectrices et lecteurs, nous aimons Olga et admirons son parcours. C'est vrai que Philippe était le mari qu'il lui fallait. Nous attendons la suite. Bon vent, ma belle! Julie

Histoire Libertine
@ Olga, je ne me suis jamais cachée des sentiments que j'avais et que j'ai encore pour Philippe. C'est un homme et tu ne le mérites pas. Je lui reproche sa faiblesse et son aveuglement en ce qui te concerne. C'est dommage. Bonne continuation en espérant qu'il finira par comprendre. Sa récente rencontre avec cette jeune femme, Théodora je crois, pourrait changer la donne. Je l'espère en tout cas. Jeanne

Histoire Libertine
Merci Olga pour la réponse. Je persiste à dire que tu aurais du en parler à tes proches ( Philippe, Christine) et aller à la police, au minimum pour une main courante, surtout dans la perspective d'un divorce avec Hassan, dont tu pouvais t'attendre qu'il ne se passerait pas bien du tout. Alice
PS: je trouve que les commentaires de Kamel et de Jeanne transpirent la rancœur et une vraie méchanceté.

Histoire Libertine
Tu aimes te faire enculer? Quelle est la différence quand c'est Philippe ou quand c'était Hassan? Fabienne.

Histoire Erotique
Puisque tu veux qu'on dise tout, allons-y, Olga! Je reconnais qu'il y a tentative de relation adultère entre nous, mais à ton initiative. Tu te souviens de ce dîner chez vous, où tu me faisais du pied sous la table? Tu as enlevé ta chaussure et tu m'as caressé à travers mon pantalon, én me regardant dans les yeux, jusqu'à ce que j'éjacule? Et une autre fois où nous étions assis l'un à côté de l'autre, ta main s'est égarée, puis tu as été cherché la mienne pour la poser sur ta cuisse. Le soir des noces, tu m'avais proposé de te rejoindre le lendemain quand Hassan serait absent. J'ai refusé et je l'ai prévenu. Volilà ce qui s'est passé. Hassan lui ne savait plus qui croire, il était perdu. KZ

Merci Christine, il va naturellement nier et me faire porter la responsabilité. Mais à ce moment-là, j'étais en plein dans la reconquête de Philippe et je savais que celui-ci n'aurait en aucun cas toléré d'écart de ma part avec Kamel. Dans d'autres circonstances, peut-être en effet aurais-je cédé à ses multiples tentatives, d'autant qu'à ce moment-là j'étais sous étroite surveillance de Hassan et de la cousine Hassna, que j'étais en manque de relations avec d'autres hommes qu'Hassan et que j'avais peu l'occasion de rencontrer d'autres personnes. ce n'est qu'à cause d'une audace folle lors du mariage que Philippe et moi sommes redevenus amants et ce n'est que grâce à toi, Christine, et grâce à Christellle que l'éteau s'est dessérré et que j'ai pu entretenir cette laision adultère avec Philippe.
Comme je l'ai déja dit, je partage les soupçons de Christine sur ce qu'ont pu tirer Rachid et Kamel de la mise à disposition de mes charmes pendant cette période, mais je ne peux rien affirmer à ce sujet, j'ai du mal aussi à penser que c'était de l'altruisme.

Merci pour leurs commentaires à Julie (oui c'est pour moi un souvenir très fort), à Steph et JP qui me semblent s'épanouir dans le candaulisme, à notre lecteur anonyme qui m'a laissé son adresse mail et à qui j'ai envoyé un message.
@ Domije crois savoir que, s'il ne vient pas voir directement, Hassan a demandé à des proches de lire ce qui est écrit à son sujet. Nous avions d'ailleurs parlé après le mariage de l'attitude de Kamel, j'avais informé Hassan des tentatives de son frère, lui avait la version de Kamel qui prétendait que c'est moi qui l'avait provoqué. Je n'ai plus eu aucun contact avec Kamel depuis cette discussion avec Hassan. Quant à Jeanne, Domi a raison, elle me déteste car elle elle est jalouse. Ancienne collègue de Philippe, elle avait en effet des visées sur lui, non partagées. Elle m'en veut par conséquent.
@ Alice, il y a eu des gifles, quelquefois violentes, il me serrait les poignets. Il y a eu aussi quelques hématomes sur le corps, et quelquefois, je lui ai ramené la cravache, mais il arrêtait rapidement. Je l'ai aussi poussé à m'adminsitrer des fessées. Il s'est vite rendu compte que je prenais du plaisir à ces pratiques sm que j'avais découvertes lors des séances organisées par Rachid et Marie C.J'ai toujours aimé recevoir une bonne fessée. Je prenais mon pied et ça calmait Hassan, qui, ensuite, me baisait et m'enculait avec la dernière brutalité. Nous n'avions pu les rapports d'un couple, mais uniquement des rapports de domination, où j'étais la soumise.

Histoire Erotique
Je ne suis d'accord ni avec Kamel, ni avec Jeanne, mais il faut reconnaitre, en tant qu'homme, qu'Hassan a su se maîtriser. Je ne suis pas certain que, poussé à bout comme il a été, je n'aurais pas craqué . Au fond n'est-ce pas ce que tu recherchais, Olga, recevoir de la part de Hassan une sévère correction? Marc

Histoire Erotique
Un récit qui m'a beaucoup excité. J'avoue m'être branlé. J'ai adoré en particulier le long passage où Olga a droit à un cunilingues d'exception et où Philippe la doigtait. Comme le dit Olga, elle n'était plus qu'une "femelle et un vagin" Michel

Histoire Libertine
Je suis heureuse, Olga, qu'enfin tu remettes Kamel à sa place. Tu m'avais, à ce moment là parlé de son attitude, un véritable harcèlement de sa part et que j'avais remarqué le soir du mariage. Hassan méritait cent fois d'être cocu, mais pas avec cet individu, qui avait bien profité de toi au même titre que Rachid. Tu sais ce que j'en pense, je n'en dirai pas plus, seulement que lui et Rachid ne mettaient pas ton corps à disposition par altruisme.
J'avais été soulagée, connaissant ta faiblesse dans ces cas-là, que tu ne lui aies pas cédé, car il voulait à nouveau t'avoir sous la main. Dans le même temps, tu avais renoué avec Philippe et vous viviez une formidable histoire d'amour. Il fallait et il faut toujours tenir les prédateurs loin de toi. Kamel en fait parti et j'espère qu'on n'entendra pas plus parler de lui! Christine.

Histoire Erotique
Ce texte est beau, au contact de Philippe tu es de nouveau une femme épanouie. Je ne comprend pas cet acharnement de Jeanne à voir en vous une femme dans coeur, que cache cette attitude ? Kamel, vous méritez une bonne correction de votre frère, bravo Olga pour votre courage ... Que vous soyez toujours entouré d'amour pour le plaisir de Philippe ... et aussi pour le nôtre simple lecteur. Domi

Le fait que vous ayez su reconstituer votre couple, qui a traversé bien des épreuves, est la preuve de la force de vos sentiments. Comme il est dit dans d'autres commentaires, votre histoire n'est pas qu'un récit érotique, souvent torride. C'est d'abord une histoire d'amour. Vous prouvez que le candaulisme ne peut durer qu'avec des sentiments amoureux forts. De ce point de vue, Philippe et Olga sont un modèle pour nous, qui, attirés par votre exemple, sommes aussi devenus un couple candauliste. Steph et JP

Histoire Libertine
@Olga: Hassan ne t'a jamais frappé? Philippe parle de traces, d'hèmatomes? Tu aurais du aller à la police. Alice

Histoire Libertine
J'ai adoré cette scène avec Philippe. Cette fois ce que tu nous décris, c'est én même temps une baise torride, mais c'est aussi votre complicité. Tu te donnes complétement, vous faites l'amour. C'est beau, romantique, excitant. Julie

Histoire Erotique
Bonjour Olga, je découvre vos histoires et donc vos témoignages avec attention et passion. Votre histoire d'amour avec Philippe est extraordinaire vous avez su tout deux exprimer vos désirs pour le plus grand plaisir de l'autre et avec une grande complicité. Si beaucoup ne comprennent pas votre relation et vous jette la pierre ce sont les premiers a trompé leur conjoint et vivre dans le mensonge. Je suis admiratif de votre mode de vie et vous souhaite le plus grand bonheur a tout les deux! je suis FAN!!!

Histoire Libertine
Oui, Anna elle aime ça. Je suis convaincue qu'elle a tout fait pour pousser Hassan à bout. Kamel a raison de souligner que la plupart des hommes n'auraient pas accepté un tel comportement, y compris ceux qui s'excitent avec les ébats d'Olga. La chance incroyable d'Olga c'est l'aveuglement de Philippe pour elle. Jeanne

@ Kamel, tu ferais bien de te faire oublier.
Je ne voulais pas le dire, mais tu m'y contrains par ton attitude: à plusieurs reprises, tu m'as draguée et proposé de devenir ta maîtresse. Je me souviens particulièrement le soir de nos noces, nous dansions, tu me serrais, je sentais ton érection, ton désir contre moi. Tu m'as dit "Je te connais, tu ne peux pas te contenter d'un seul homme, c'est impossible. Tu me manques, je crève d'envie. Tu vas tromper mon frère, autant que ce soit avec moi, ça restera en famille. Je sais que tu as envie, allons dans un coin discret, que je te saute. Et je viendrai te voir le plus souvent possible, Hassan me fait confiance. Je te procurerai des mâles, tu veux, salope?" J'avoue que l'espace d'un instant j'aia été tenté, pour punir Hassan. Mais je t'ai repoussé, parce que j'avais décidé de tromper Hassan le soir de son mariage, mais avec Philippe, pas avec toi.

Cher Jacques du Canada, c'est la sagesse qui parle par votre bouche. Oui, Philippe est l'homme de ma vie et je l'aime, malgré mes moments d'égarement. Il est pour moi un véritable trésor, l'homme qui m'apporte amour et liberté.

@ Anna Oui, je l'avoue avec honte, j'aime être traitée comme une chienne et être prise avec brutalité. Et il est vrai qu'il m'est arrivé, pendant cette période, malgré moi, de jouir sous les assauts brutaux, presque bestiaux de Hassan
@ Luc, oui c'était une ultime provocation, inutile et dangereuse. Mais j'y tenais, symboliquement, pour punir Hassan. Je voulais que ce macho sache qu'il était cocu et que celui qui m'avait conquise, reconquise était cet ancien mari qu'il avait tant méprisé.

@ Paul, merci pour le commentaire sur la photo et sur le texte!
@ Christine, tu as été plus qu'une complice, nous te devons beaucoup ma chérie. sans toi, nous n'y serions pas arrivés. C'était la moindre des choses que tu prennes ton pied, je savais que l'hypersexuelle que tu es apprécierait un tel amant, d'autant plus qu'il était frustré par mon attitude! Bises

Histoire Libertine
On sent dans le texte à plusieurs reprises qu'Hassan contient très difficilement sa colère et sa violence. On peut d'ailleurs souligner que la manière dont il t'a traitée ( des gifles violentes, des rapports sexuels brutaux, avec la volonté de te faire mal) si ce n'est pas de la violence, ça y ressemble! Ce qu'on peut légitiment te reprocher, n'est pas de ne pas avoir résisté, car il avait la force. Mais c'est de ne pas én avoir tiré les conséquences et d'avoir mis autant de temps pour le quitter. C'est pour moi incompréhensible! Gaëlle.

Histoire Erotique
Pour en revenir au texte, le passage qui décrit le dernier adultère ( c'est le terme puisqu'elle est, à ce moment là encore l'épouse d'un autre et que ça se passe à leur domicile et dans le lit du mari trompé) d'Olga avec Philippe est d'un érotisme torride. Certainement l'un de tes plus beaux textes, Olga. Paul

Histoire Erotique
@ Jacques du Canada, vous avez raison, cette nouvellé photo de profil est d'une incroyable sensualité. C'est aussi comme ça que je vois Olga. Paul

Histoire Erotique
Le choix vous l’aviez Dre Olga! Vous avez tout simplement choisi l’option inacceptable pour Philippe. Il faut maintenant vivre avec les conséquences.
Il faut vous rappeler que Philippe est l’homme de votre vie. Ils sont rares les hommes qui vont accepter vos exigences sexuelle, en accepter les conséquences,tout en vous donnant autant d’amour.
Jacques du Canada

Histoire Erotique
@ Olga, je ne veux ni excuser, encore moins justifier. Je pense juste que c'est la conséquence d'une incompatibilité que j'avais sentie dès le départ. Hassan avait beaucoup investi dans cette relation. Lui qui avait toujours voulu garder sa liberté, il était tombé follement amoureux. Il a voulu le mariage, faire des enfants avec celle qu'il pensait être la femme de sa vie, construire une famille. Pour ça, il s'est fâché avec beaucoup d'amis, de membres de notre famille et dans la communauté. Lui, si religieux, était désormais perçu presque comme un mécréant. C'était un terrible malentendu, dont vous êtes tous les deux responsables. Il faut juste avoir ça en tête quand on prétend le juger. Quel homme ici n'aurait pas été en colère, sachant qu'il a su dans l'ensemble se maîtriser.
Promis, je ne t'importunerais plus. KZ

Histoire Erotique
Il était temps en effet! Mais cette ultime provocation consistant à cocufier Hassan dans le lit conjugal avec le risque assumé qu'il vous surprenne én train de copuler, était-ce bien nécessaire? Je te suis depuis l'époque de votre blog, mais sur ce coup-là, je ne comprends pas. Luc

Histoire Libertine
Manifestement, tu aimes les étreintes brutales. Tu prenais encore ton pied avec Hassan? Anna

@ Jacques du Canada, oui cette photo a été prise par Philippe, elle est magnifique en effet.
En ce qui concerne votre second message, que puis-je vous dire d'autre que vous avez raison et que j'ai eu beaucoup de chance de ne pas perdre Philippe, même si j'ai dû cette fois accepter un compromis qui ne me plait pas. Je n'avais pas le choix.

@ Maurice, j'ai pourtant encore commis des erreurs par la suite
@ Sarah, j'avais préparé le texte sur word et ça fait ça quand on fait "copié-collé" j'ai corrigé ce que j'ai pu
@ Jeanne, je crois m'être expliquée dans le texte
@ Kamel (KZ) tu cherches en vain à trouver des excuses à ton frère. j'ai des torts, c'est vrai, mais il était loin l'homme qui m'avait séduite.
@ Domi, un grand merci! Bises

Histoire Libertine
Entièrement d'accord avec Domi. L'attitude d'Hassan ne mérite ni excuses, ni explications. Olga avait ( enfin) compris qui était l'homme de sa vie: Philippe. En même temps, elle avait honte de son attitude passée, elle ne voulait pas être reprise par pitié, mais retrouver sa place par amour. Je crois aussi, elle l'écrit et me l'a dit, que continuer à vivre auprès de Hassan était pour elle une "punition" pour le passé. Il n'y avait pas moyen de lui enlever ça de la tête. C'est la scène terrible qu'Hassan lui a faite lorsqu'il a découvert qu'elle prenait en cachette la pilule, qui a provoqué ( enfin) la rupture. En ce qui me concerne, je suis heureuse d'avoir été complice d'Olga et Philippe. Et j'avoue avoir passé de très bons moments én même temps! Christine

Histoire Erotique
Il était temps, une femme n'est pas une poule ... pondeuse!
Et encore moins un défouloir pour machos, une dame est un joyau que l'on doit montrer et non cacher... bon vol et merci pour ce récit.
Domi

Histoire Erotique
Mon frère Hassan s'est très mal comporté, c'est indiscutable. Je peux juste dire qu'il a été pousé à bout, même si ça ne l'excuse pas. Il ne méritait pas ça. Je me sens responsable car c'est à cause de moi notamment que sa route a croisé celle d'Olga. Pour son malheur. Je l'ai mis en garde plusieurs fois, il ne voulait rien entendre. Quand il a compris la vraie personnalité d'Olga, dominée par sa libido, instable dans ses sentiments, c'était trop tard, c'était juste le soir de leur mariage. D'où son attitude et sa colère. KZ

Histoire Erotique
Vous ne vouliez pas réveiller Philippe pour avoir “l’impress de plus le tromper” Dre Olga. (Voir récit #17)
Philippe vous a surpris. Il n’a pas aimé!
Vous avez commis l’adultère et ce, en connaissance de cause. La suite n’a été que la répercussion de votre agissement.
Vous saviez a ce moment là que vous aviez manqué à votre engagement.
En tant que je suis concerné il n’y a pas eu de deuxième adultère car vous saviez ce qui résulterait de votre inconduite avec N. Vous etes allé loin avec N.
Je pense que vous allez mettre au monde dans les prochains jours la preuve de votre adultère avec N et les conséquences de celle-ci.
D’aileur Dre Olga tous vos enfants, lorsque vous les regardez Philippe et vous doivent vous rappeler les ci-beaux moments de leurs conceptions. C’esr encore plus beau de des vidéos ça madame
Jacques du Canada

Histoire Libertine
Pourquoi avoir tant attendu pour quitter Hassan et surtout pourquoi l'avais-tu épousé si tu ne l'aimais plus et que tu avais finalement compris que c'est Philippe que tu voulais? Ce n'est pas sérieux, ni responsable. Jeanne

Histoire Erotique
Quelle belle photo Dre Olga.
Elle démontre la finesse des lignes du corps féminin. Une sensualité extraordinaire en est dégagée.
Cette photo transmet la très belle beauté du modèle. J’imagi que c’est vous qui en etes le modèle et que seul Philippe puisse avoir réussi un tel chef d’œuvre.
Il vous représente tel que je vous imagine avec toute la classe qui vous est attribuée.
Jacques du Canada

Histoire Libertine
C'est amusant à différents endroits les apostrophes sont remplacées par des points d'interrogation! Sarah

Histoire Erotique
c'est l'épilogue qu'on pouvait pressentir. En espérant que tu aies su en tirer la leçon dans ton comportement envers Philippe; Maurice



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (36) : nos retrouvailles
Histoire sexe : Une rose rouge
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