Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (50) : Olga et les routiers (2 : nuit

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (50) : Olga et les routiers (2 : nuit Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2018 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (50) : Olga et les routiers (2 : nuit
Lors de notre retour de vacances 2014, Philippe m’avait réservé une belle surprise.

C’était une belle nuit d’été.

Après m’avoir « plus que chauffé », Philippe a arrêté la voiture et m’a offerte à quatre routiers, bien décidés à profiter de cette aubaine inattendue. Et moi aussi !

Ordonnateur de la soirée, Philippe a d’abord voulu que je taille une pipe à ces quatre hommes. Ceux qui suivent mes récits savent que je suis une grande spécialiste de la fellation.

LA FELLATRICE
Je prends entre mes lèvres leurs belles tiges, bien dures et dressées vers le ciel, savourant de toute ma bouche et à tour de rôle, la raideur de ces mâles, qui respirent la testostérone.

J'ai maintenant l'impression de sucer des barres en métal, tellement ces gaillards bandent ardemment.

Les quatre hommes sont enchantés, ils jouent avec moi, ma bouche devient un sexe. Ils donnent, reprennent, je cherche, j’attrape, il m’en faut toujours une. Je le fais parce que j’en ai envie, mais je sais aussi combien cela plait à Philippe.

Les grognements, les propos en Espagnol et en Portugais, tout m’excite, ils me dominent complétement.

Je comprends un peu l’Espagnol et le Portugais, mais il n’est pas difficile de suivre ce qu’ils disent :
• Que puta!

• Ela é boa!

• Cadela !

Miguel s’est mis à tapoter sa queue raide sur un de mes nichons, le faisant trembler comme de la gelée. Il agaçait mon téton durci avec le bout de sa queue. Il jouit enfin, accélère le mouvement de sa branlette et son sperme a giclé sur mes seins, dégoulinant sur mon ventre.

José, puis Pedro dirigent leurs jets sur mes seins. Pedro a plusieurs jets très puissants. Il dirige le dernier vers mes cheveux. J’en ai désormais partout !

Marc, le colosse, est nu, en espadrilles. Il est le dernier à résister. Il se retient. Sa grosse bite demande plus d’attention.

Quelle queue ! Enorme ! Son gland est turgescent et quelques gouttes nacrées s'en échappent. Je la goûte par petites touches de ma langue gourmande. Hum... comme c'est bon ! C'est salé ! C'est du miel chaud qui coule dans ma bouche.

Sa queue m'excite. J'engouffre sa queue, en m'écartelant la bouche. Elle est si grosse ! Quelle érection ! Je n'en avale que la moitié. Alors, du plat de ma langue, je le surprends en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement. Ces couilles frétillent sous la pression de ma langue.

Puis, je lui prends la queue d'une main, et de l'autre, je lui caresse doucement le gland du bout de mes doigts, après l'avoir bien humecté de ma salive. Je sens sous mes doigts la douceur sublime de cette queue, gonflée à l'extrême, qui s'offre à moi.

La vision de ce gland brillant et la chaleur de sa bite dans ma main, attisent tous mes sens.

Je mouille. Ma chatte est trempée. J'ai envie de branler mon clito, de fouiller ma chatte avec mes doigts mais je suis toute à cette queue.

Alors, je me mets à le branler doucement. Il coule encore. Je lèche la queue de Marc avec application. Je me mets à le pomper en cadence. Je m'enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier.

Il se sert de moi, un bon moment, me tient la tête, me « baise la bouche », entre, sort, de plus en plus vite.

Marc a finalement giclé sur mon visage, en longs jets visqueux. Il a promené sa queue repue sur ma bouche pulpeuse, mes joues, pour me couvrir presque tendrement de son nectar divin. Je gémissais de plaisir, du plaisir d’être leur chose.

Il me colle à lui, me maintient, m’oblige à rester entre ses cuisses, le long de ses couilles, caresse mes cheveux, souillés de sperme. Il me conduit de ses couilles à ses cuisses, me guide fort, je continue à lécher. Le jus coule sur mon visage.

J’étais couverte de sperme, maculée, une vraie bacchante et j’ai adoré ça. J’ai adoré être un réceptacle à sperme, sentir les foutres gluants tout tièdes sur ma peau frissonnante.

Tout le monde se lave, l’eau, les serviettes sont là.

Les hommes pensent que ça ne suffit pas. Je suis d’accord avec eux, je veux autre chose et ils le savent.

Ils parlent de moi entre eux, je ne saisis pas mais je devine…
Marc domine :
• Reste allongée sur le dos, ouvre bien tes jambes, mets tes bras en arrière, sous la nuque, relève tes seins, offre toi totalement, sois disponible et laisse toi faire...Tu es belle à poil comme ça... prête pour eux ! ! Ça me plaît grave !

Les trois autres sont assis autour de moi, me caressent, me fouillent encore, reviennent me donner une bite à sucer. Je suce, sans réfléchir, naturelle. Je m’ouvre, j’ai le clito ultrasensible, ma chatte est béante, trempée.

On y rentre facilement plusieurs doigts tellement ça glisse. Je prends beaucoup de plaisir, je regarde les étoiles.

DES RENFORTS
Marc revient. Il est accompagné !

Trois autres routiers, des Italiens, entre 55 et 60 ans. Ils ont le même physique que mes 4 amants du moment : gros, trapus, épaules larges et sans aucun doute bien pourvus par la nature.

Philippe lui a demandé de les choisir, connaissant mon goût pour ce genre de types.

Ils sont en short, torse nu, jambes nues, si je regarde mieux, ils n’ont pas de slip !

Marc, qui parle parfaitement le Français, dit :
• Olga, Voici Fernando, Arnaldo, Franco !! Ils ont une immense envie que tu les suces aussi, dépêche-toi ! Vite. J’ai dit que tu es bonne, que tu fais jouir, après on te baisera comme tu le mérites, en vraie salope. Ton mari est d’accord, sept bites dans ton cul, tu vas être heureuse. Une acharnée comme toi, on ne peut pas la laisser partir comme ça !

Philippe a tout délégué à ce Marc.

Les Italiens sont déjà sur moi.

Tous les shorts sont tombés, les hommes sont prêts. Marc dirige :
• Viens salope, viens, lève-toi ! Allez debout ! D’abord tu me suces un peu
Je me penche sur sa bite, je suce … Après tout c’est agréable.

• Bien, allez, va voir Fernando ! Vas lui tailler une pipe !

Je prends Fernando, je mets sa main dans ma chatte, je me cramponne à lui, je descends en léchant son ventre, je lape son sexe très gros, court et large.

Je le pompe, j’aspire, je ne décolle pas, je garde sa bite tout le temps en bouche.

Je veux remplir parfaitement mon rôle de vide-couille.

Je fais très vite, je prends ses couilles à pleine main, un doigt dans son cul, entre ses grosses fesses, je sais que c’est une méthode efficace… !

• Che puttana! È così buono! Sì! Ah!

Je ferme les yeux : deux violentes éjaculations s’écrasent sur mon visage et mes cheveux. Je rouvre les yeux, deux autres jets tout aussi violents et copieux viennent de jaillir. J’en ai plein les yeux, je dégouline littéralement de sperme.

Un grognement, un râle, Fernando gicle à nouveau sur mon visage !!!

• C’est le tour d’Arnaldo, maintenant, sois plus chienne ! Comme pour nous ! Montre-nous ! Lèche lui les fesses, il aime ça.

Même scénario. Je guide sa main sur mes seins, ma chatte, je me l’enfonce, je prends l’autre, la mets dans mon cul, guidant son index pour me pénétrer.

Je passe derrière lui, lui lèche les fesses à bons coups de langue, je reviens vite sur sa queue.

J’avale en gloutonne, gourmande, ma langue parcourt, tourbillonne, je pompe, je suce, vite, vite.

• Prendi questa troia sporca !

Impossible de me résister. C’est trop fort... Il gicle sur mon visage! Gagné !! Je lui souris aussi.

• Franco, viens, pour toi je vais être la chatte qu’ils veulent, viens donne-moi ta belle queue !

Toujours à quatre pattes, parce que c’est ça qu’ils veulent voir avant tout, mon cul !!

• Franco, viens dans ma bouche comme pour me baiser, tu comprends ??? Je suis obéissante, je vais te sucer comme jamais personne ne l’a fait. Enfonce bien ta bite, donne, baise ma bouche. Je vais te boire, j’ai envie, tu m’excites, tu as une belle queue ! Tu es beau, tu me plais, tu seras le premier à me baiser tout à l’heure !

J’ouvre la bouche, je lui tends celle-ci, je le gobe, je le laisse aller, venir, je serre fort sa queue de mes lèvres.

Je l’aide, il ne se retient plus, me bouscule, brutal, encouragé par la promesse de baise, j’aime encore plus.

Tout en caressant ses grosses couilles, j’approche ma bouche du soc massif, posant délicatement mes lèvres sur la chair à vif, léchant à petits coups de langue le gland violacé à la peau si fine, lui arrachant des gémissements. Je lape l'énorme bourgeon, telle une gourmande, puis c'est la totalité de la longueur de la colonne de chair que ma langue explore. Ma bouche monte, descend, faisant glisser ma langue sur chaque millimètre de cette masse de chair dure. Son sexe est tout luisant de ma salive.

J’ouvre la bouche en grand et enfourne le bout de la verge, faisant tournoyer ma langue sur le méat entrouvert de l’énorme pénis, suçant sa queue avec application. Il sent mon souffle chaud sur son nœud turgescent, il me saisit à la nuque et tire ma tête vers son sexe dardé, me contraignant à l’absorber au maximum, mais je ne peux à peine en avaler la moitié. J’essaie de fourrer le plus possible cette friandise dans ma bouche sans pour autant périr étouffée, mettant toute mon ardeur à le satisfaire. Je suis à deux doigts de vomir quand son gland écrase ma luette.

Les autres sont rivés aux mouvements de ce cul offert, avant arrière, écarté, sous leurs regards, le spectacle est sûrement bandant, les mains se tendent, je sens une bite arriver !! Je repousse. Pas si vite ! Pas encore !

Par contre j’accepte tous les doigts, les majeurs, les index, les pouces…
C’est super !!! Je jouis!! Je coule. Je me retourne. Toujours souriante…
Les contractions de la verge de Franco sous ma langue, les spasmes de plus en plus rapprochés, annoncent une éjaculation torrentielle.

• Deglutisci, cagna! Piccola puttana!

Il a un gémissement rauque et lâche des jets saccadés jusqu’au fond de ma gorge.

Je crois rêver lorsque je ressens dans ma bouche la puissance des jets qu'il m'envoie. Il n'arrête plus et ma bouche est bientôt pleine de sperme, j'ai l'impression que je vais étouffer.

Ses jets sont si forts que je ne peux les contenir et que la moitié sort de ma bouche. J’arrive à expulser cette véritable lance de mes lèvres avant de pouvoir déglutir et avaler une bonne dose de sa semence. Je continue de le masturber tandis qu’il gicle toujours. Il semble apprécier, car je vois son sourire béat. Je dégouline de sperme, mon visage, mes cheveux et mes seins sont couverts de foutre. Il se vide au maximum. Nous restons un long moment sans parler, je viens de goûter sa liqueur avec une certaine jubilation, en appréciant la saveur.

Par provocation, je le nettoie avec ma langue entièrement, amoureusement, pour que les autres me voient bien faire.

ENFIN BAISEE !

Miguel et Marc viennent me voir...

• Tu es prête, petite vicieuse ? Tu es chaude, vraiment salope, quel bonheur de t’avoir. On a tous envie de fourrer notre queue dans ta si belle chatte, ton cul aussi ?? D’accord ??

• Vous voulez vraiment ??

• OUI, disent-ils de bon cœur
Philippe me fait signe :
• Dis leur : OK
• Alors, mes gros salauds chéris : C’est OUIIIIII !! Je veux jouir, beaucoup, vous demander plein de choses pendant, choisir mon ordre. Je veux en sucer un pendant que l’autre me baise. Tous je veux vous vider les couilles. Si vous ne bandez pas, j’arrête. Vous êtes contents de moi ? Ca vous va ?? Mes salauds, vous êtes des vrais chiens en rut !

Marc traduit. Ils poussent des hurlements de joie !!!

• Un instant : tous des capotes, pas d’enculage, hein ! Sauf si moi je le demande, ou bien mon mari !

Philippe me montre la boîte de capotes !! Le pervers !! Il a tout prévu !

La troisième partie de nuit va commencer. Il est 2H00 du matin. Ils vont tous me baiser avec le plein accord de Philippe, mais aussi le mien, sur cette aire de repos.

Je suis intégralement nue, parfaitement consentante, prête à tout leur donner. Je veux être gentille, docile, malléable, à leur entière disposition et autoriser tous leurs caprices.

Les capotes ont été distribuées, trois pour chacun.

A quelques pas, un banc, plus loin une table en bois avec deux bancs plats. Je me dirige vers le premier banc qui a un dossier. C’est la pleine lune, parfaitement éclairée, je chaloupe, je tortille les fesses et les hanches, me retourne vers eux, me caresse la chatte, les seins.

Je me trémousse, je veux les torturer, décupler les désirs. Je veux « des vrais fauves ».

Philippe me dispose les mains en appui sur le dossier, met les serviettes sur le banc. A genoux sur le banc, cul offert tendu vers mes pervers, je suis largement ouverte. Dans cette position, je peux sucer devant et, en même temps, me faire prendre facilement en levrette.

Ma chatte est à hauteur parfaite pour qu’ils ne fassent aucun effort et en profitent bien.

• Franco, viens vite, mon chéri, viens baiser Olga !! Je t’ai dit tu seras mon premier. Tu as été le plus résistant tout à l’heure pour la pipe.

Ils sont tous là, tout près, entretiennent les queues dressées, impatients.

• Un dans ma bouche, vite !

Ils viennent tous devant moi. J’ai six bites dressées devant les yeux. J’en prends une au hasard, je pompe cette bite, je la suce avec respect, la cajole de la langue, sans l’aide des mains, sinon je tombe.

L’homme me retient sous les bras, me tire à lui, comme ça j’ai le nez enfoui dans son ventre. Je léchouille, j’adore faire.

Franco, plonge rudement sa bite dans ma chatte trempée, ultra luisante. Je bouge mon cul pour lui, me remplis de cette queue.

• Fouille-moi bien salaud, prends-moi fort !!

Il me bourre avec violence. Ma bouche est pleine aussi d’une autre queue. C’est bon. Je commence mon show… !

• Une autre bite, Vite !

Elle vient, s’engage dans ma bouche, comme chez elle. Prend sa place. Je suce, inhale, gobe, lèche encore...Tous ont compris que je vais les faire juter, inutile de se précipiter !

• Olga, mon amour, tu es un magnifique objet de plaisir.

• Elle aime sucer et baiser la Française !

• Oui allez-y, il suffit de se présenter, donner une queue, elle en redemande !!!

Franco jouit et envoie quelques saccades, dans son préservatif. Dommage, j’aurais aimé qu’il se vide dans ma chatte, mais c’est trop dangereux, j’ai assez joué avec le feu pendant ces vacances.

Un autre me prend ! Un nouveau bâton, je sens les grosses cuisses contre mes fesses.

Des grognements, des mots en Espagnol. Les mains puissantes pétrissent mes hanches pour s’appuyer et pénétrer, bien à fond.

Là aussi effet garanti, 3 ou 4 minutes... . Il jouit ! La queue tressaute en moi, je redouble mes mouvements, frétille du cul autour de cette queue encore dure.

• Vite un autre, dans ma bouche, ma chatte, Vite mes chéris, Olga vous veut tous ! J’ai envie, Venez ! Encore !

J’utilise des mots crus, je m’affole toute seule.

Les hommes tour à tour, m’offrent leurs sexes bandés ou pas, me baisent, ils disent des choses sur moi. Je ne comprends pas tout, je constate qu’ils sont satisfaits.

Apparaît Marc qui, lui, parle français.

• Je vais lécher ta chatte, ma garce, j’ai envie de plonger ma bite dans ton petit trou du cul.

Philippe lui fait signe que non.

• Baise moi fort devant, enfile bien ta queue, fais-moi jouir, je veux sentir tes couilles battre mon cul, je promets si je jouis vite, tu pourras me baiser aussi longtemps que tu veux !

• OK, ma cochonne de garce, alors descends du banc, je te baise comme moi je veux. Et sans capote, je veux te remplir, femelle !

J’ai soudain oublié mes bonnes résolutions. Je sais que je ne devrais pas. Je regarde Philippe, lui faisant comprendre que je veux. Philippe finit par donner son accord, il sait bien que j’en ai envie.

Marc m’allonge, me tourne, me couche sur le dos, lui sur moi, presque en missionnaire.

Son gros gland repousse les lèvres de ma vulve. Centimètre après centimètre, la tige pharaonique progresse dans ma gaine de velours. Quelle sensation extraordinaire de se sentir envahir par une telle massue !

Son pieu massif bute enfin tout au fond de moi, abouté au col de l’utérus, je ne peux pas en absorber d’avantage et pourtant ma chatte ne touche pas son pubis. Je deviens folle, pose mes mains sur sa poitrine et me poignarde comme une morte de faim sur cette colonne de chair.

Je me pince les tétons, je jouis continuant à me ramoner le vagin avec sa superbe trique. J’ai un orgasme très violent. Je ferme les yeux et jouis plusieurs fois comme une malade.

Ma chatte s’est tellement habituée à son gabarit qu'elle avale sa belle queue épaisse quasiment jusqu’au bout. Ses magnifiques couilles n'ont pas encore craché leur jus. Marc est endurant. Il relève mes cuisses, accrochées hautes sur son cou. Là, bien calé, il me pénètre très profond, me suçant les seins, ses couilles battent mon entre jambes et le bas de mon cul. Puis il me baise en levrette à quatre pattes. Je jouis encore et encore !!!

Les six autres sont là assis autour, en voyeurs. Je leur souris encore, pleine de promesses pour chacun, je prends les bites, par deux, je branle doucement, pour les garder en forme. Ils sont enchantés, a Française continue de les satisfaire.

Marc se retire enfin, après de très longs jets dans ma chatte. Il discute avec Philippe. Je vais vite savoir la suite qu’on me réserve.

(A suivre)

Les avis des lecteurs

@ Thallium, j'en suis ravie!

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Partager un plaisir avec toi un rêve qui se réalise 😘

Thallium

@ Thallium, c'est un plaisir pour moi!

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Olga,

Je vais retrouver mon addiction a tes récits tu sais

Thallium



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (50) : Olga et les routiers (2 : nuit
Histoire sexe : Une rose rouge
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