Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (51) : Olga et les routiers (3 : une nuit bien remplie).

- Par l'auteur HDS Olga T -
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Récit libertin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (51) : Olga et les routiers (3 : une nuit bien remplie). Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2018 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (51) : Olga et les routiers (3 : une nuit bien remplie).
De retour de vacances 2014 très « chaudes», nous nous sommes arrêtés sur une aire de repos, où Philippe m’offre à sept routiers en rut. La soirée a déjà été chaude et n’est pas encore terminée. Je sais bien alors que, pour les prochaines semaines, il va falloir être sage. Alors j’entends bien profiter au maximum de ce magnifique et inattendu cadeau de mon mari candauliste.

M’OFFRIR, ENCORE ET ENCORE

Marc revient vers moi. Depuis un moment, il a pris le contrôle de la soirée.

Philippe, en connaisseur, se contente de mater, d’encourager et lui a donné les pleins pouvoirs. Il a compris que je suis en de bonnes mains.

Marc me porte dans ses bras, m’amène sur la table, encadrée par les deux bancs.

Il m’allonge, ouvre mes cuisses : il est indispensable que je reste offerte, disponible.

• Bon, ma petite cochonne gourmande, tu vas encore être très gentille avec nous ?? Tu veux nous faire plaisir ?

• Oui bien sûr, Marc, je veux bien ;

• Alors c’est moi qui dirige, Philippe m’a dit que tu obéis très bien, il est d’accord pour qu’on te fasse tout. Il n’a mis qu’une seule condition : que tu prennes ton pied !

• C’est vrai, je cède si je me sens bien, tu voudrais quoi ?

• Je dirige, tu fais, c’est tout. Mais tu fais tout, tout de suite, quand je le dis. Il paraît que ça te plaît, ce genre de situations.

• D’accord, J’obéis.

• Branle-toi salope, caresse-toi pour nous. Fais-toi jouir, écarte ta chatte grande, à 2 mains, montre-nous, je veux te voir te plier, t’entendre miauler !

J’adore me masturber en présence de mâles, je sais que ça les rend fous de désir. Je débute une branlette lascive, impudique, libidineuse, lubrique. Tous les sept sont assis sur les deux bancs, de chaque côté de la table. Philippe n’en perd pas une miette, fasciné par un spectacle qu’il connait pourtant si bien.

Je titille mon clito, j’ouvre ma chatte à deux mains, je me caresse doucement, puis de plus en plus fort. Je m’offre en spectacle.

Mes cuisses sont grandes ouvertes. Je suis offerte, impudique, avec ma main caressant sans relâche mon sexe.

J’accélère, je me lâche, je me prends au jeu. Mes mains vibrent sur mon clitoris et de ma bouche sortaient des petits gémissements.

Le silence règne, mes spectateurs matent mon corps et mes mouvements, en écoutant mon souffle. Je suis tendue à en exploser. Je resserre les cuisses. Mon corps se raidit.

Je retiens mon souffle jusqu'à rester plusieurs secondes en apnée ! Je sais que je vais jouir. Je m’excite comme une folle sur mon sexe et j'entends les petits clapotis caractéristiques d'une forte excitation.

Puis je jouis, je jouis, je jouis, le corps totalement tendu, tremblante, vibrante, dans un râle à la fois profond et aigue :

• ouiiiiiiiii !

• Lèche-toi les doigts ! Mouille aussi ton petit trou, je veux qu’il glisse comme ta chatte...

J’ai encore envie. J’obéis à Marc, à ses demandes. Je caresse mes seins, je les pince, chez moi c’est une des meilleures façons de m’exciter. Je me retourne sur le ventre, j’ouvre mon cul, me soulevant légèrement.

• Soulève-toi. Offre ton cul à lécher à chacun de nous.

Je sens les langues me fouiller, le cul et la moule. J’écarte mes fesses pour mieux offrir ma chatte, mais aussi mon trou de balle, qui ruissellent des salives.

• Bien, ma cochonne, très bien, c’est vrai que tu es vraiment bonne, on va faire mieux. Tu restes sur la table, tu te penches en avant, tu attrapes les bites, tu les suces encore, tu les connais bien, les autres voient bien ton cul de chatte en chaleur. Fais bien voir, sois plus putain ! Dis-moi que ça te plait. Olga dis-le, à haute voix, je veux t’entendre dire que tu aimes nous sucer !

• Oui, je veux vous sucer tous, j’adore ça.

• Tu aimes ces bites ?

• Oui, j’aime toutes vos bites !

• Elles sont bonnes ?

• Oui, très bonnes, je les aime en bouche j’aime les lécher, J’ai envie de les boire …

• C’est bien, ton mari a raison !!!! Tu es la plus grande des salopes !

• Plus encore, on va tirer au sort celui qui va t’enculer, chienne ! Pas moi, je suis trop gros. Tu suceras les autres en même temps. Comme tout à l’heure.

• Oui je ne demande que votre plaisir, j’ai envie d’une bite dans le cul

ENCORE ET TOUJOURS FELLATRICE

Pour que la position soit bonne, je suis transportée à pleines mains, par tous, un peu à côté.

Tout est arrangé. Marc n’entend pas rester spectateur :

• A genoux Olga ! Penche toi comme tout à l’heure, Viens lécher mes couilles, suce les une par une, fais-moi bander ! Dis-moi des saloperies, que tu aimes ma bite, je vais me vider dans ta bouche puisque je peux pas t’enculer, je risquerai de t’estropier !

• Elle est grosse, elle me plaît, je veux la servir, la faire jouir, je vais vider tes couilles de vicieux jusqu’à la dernière goutte, je suis TA salope, TA chienne, Ta soumise, Tu me donnes à qui tu veux pour m’enculer, j’aime que tu commandes, je suis super heureuse.

• Suce !

Je laisse Marc se vider pleinement dans ma bouche, j’avale bien tout, je bois, je garde la bite au chaud.

Je vais continuer avec Miguel. Il a été le premier qui m’avait vue, au tout début de la soirée. Il se branle de me voir disponible pour lui, se met en état, derrière moi. Il m’attrape le cul, me remonte un peu, d’un seul coup, m’enfonce sa bite courte mais large dans le cul, direct, de suite, glisse jusqu’à la garde.

• Aides le, petite pute, bouge, enfouis le ! C’est bon ? Dis-nous !

• OUI, c’est bon, OUI, c’est chaud ! Oh j’avais envie d’être prise par là depuis le début de la soirée !

• Bouge je te dis, montre comme tu aimes !! Enfile-toi bien dessus. Miguel, reste comme ça ! Laisses là faire ! Je veux voir comment cette débauchée aime ta bite dans son cul. Elle va te faire jouir.

J’entreprends une danse des fesses qui serrent la queue de Miguel, je fais les mouvements autour de sa bite, je serre, je le branle avec mon cul.

Les hommes applaudissent, ils rient, se congratulent, la Française continue à tenir toutes ses promesses.

C’est au tour de José.

• José, Remplis là, Olga demandes lui !!

• OUI, José, allez-y, je veux vous sentir jouir, José, encule-moi maintenant, maintenant …

Il gicle dans mon cul, se soulage, continue à me tenir, pour bien décharger. Il grogne.

• Les gars, faites-vous sucer, maintenant elle a envie de boire, je le sens !

Je demande :
• Une autre, Venez, donnez-moi vos bites, je veux boire vos jus, Marc traduis !

• T’inquiète, ils ont compris ce que tu veux !

Je suis excitée à outrance. Je sens tout mon corps s'embraser. J'engouffre une queue en m'écartelant la bouche. Elle est si grosse ! Quelle érection ! Je n'en avale que la moitié. Alors, du plat de ma langue, je le surprends en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement. Ses couilles frétillent sous la pression de ma langue.

Miguel n’a toujours pas joui. Je lui prends la queue d'une main, et de l'autre, je lui caresse doucement le gland du bout de mes doigts, après l'avoir bien humecté de ma salive. Petit jeu de bave, de mouille et de glisse. Je sens sous mes doigts la douceur sublime de cette queue gonflée à l'extrême qui s'offre à moi. La vision de ce gland brillant et la chaleur de sa bite dans ma main, attisent tous mes sens.

Je leur demande qu’ils me giclent dans la bouche. Alors, je me mets à pomper en cadence. Je m'enfonce la queue le plus profondément possible dans le gosier. Je sens la queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Jeu de coulisse. Je l'enfonce jusqu'à l'étouffement. Elle m'excite ; ça me rend folle. Je pompe. Je pompe.

Le mec gémit mais ne jouit toujours pas.

Il faut que je le branle activement pour le faire gicler dans ma bouche. C'est ça que je veux. Alors, je prends mes deux mains ; l'une branlant sur toute la longueur de la bite, l'autre par mouvements circulaires sur le gland. Et pour recueillir son sperme, je le suce activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres suceuses. Je le veux dans ma bouche. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m'active avec détermination et application. Je branle. Je suce. Je branle. Je suce. Il monte. Il souffle. Il gémit. Il ne résiste plus. Il lâche un long cri sonore et décharge dans ma bouche.

Une giclée d'une pression inouïe m'inonde l'arrière gorge. Je tousse. Je pleure ; mais de joie. Animé de spasmes, il n'en finit pas d'inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il me regarde stupéfait par la vision de ce spectacle et voit disparaitre peu à peu la mousse blanche de ma bouche. De ma langue, je lèche le contour de mes lèvres, sans rien laisser perdre de son sperme.

L’une après l’autre, les queues se vident dans ma bouche, sans aucune retenue.

« Mes hommes » sont comblés, je les gâte avec amour, ma soumission est parfaite. Je dépasse tous leurs souhaits.


PAR LA VOIE ETROITE

Marc continue à être l’ordonnateur de cette nuit de partouze.

• Tu prétends obéir, il faut une autre preuve ! Ton cul est bien ouvert, tous doivent en profiter ! Fernando, Arnaldo, amigos, venez enculer ma cochonne, elle est à vous. Elle ne me refuse plus rien.

Je suis douce, souriante, soumise à ce mâle :

• Oui, Marc, mais doucement, s’il te plaît.

• On verra ça ! Bien sûr, ma pute, sois vicieuse, cajole moi ces bites, ils doivent plus avoir grand-chose... Tu as tout vidé.

La suite sera surréaliste. Au lieu d’être sur le banc, cul offert, Marc me fait mettre debout, penchée en avant, cinq routiers me retiennent.

Fernando plonge son gland à l’entrée. Ils me poussent vers lui. Je rentre moi-même la bite avec ma main et l’amène au fond de mon cul. Elle me remplit.

Comme pour José tout à l’heure, je serre, je le branle. Ca glisse tout seul. Pendant dix minutes, il me sosomise.

En même temps, j’ai les mains libres, je me caresse fort la chatte, je m’excite, je lèche les ventres et les poitrines de ces vicieux, criant mon plaisir.

• Tu vois, c’est bon les queues de routiers, Dis-le encore, petite putain !

• OUI, je jouis ce soir, vous êtes les meilleurs, j’aime ça, dis leur... Un vrai cadeau je suis super contente... Et toi, Philippe, mon chéri, ça te plait ?

• Tu sais que j’adore ça ! Ce soir, je suis servi ! Allez-y, les gars, vous la rendez heureuse et moi aussi !

A peine dit, la bite de Fernando gonfle, je la sens bien, il se vide, rageur, agrippé à mes hanches, me fouille le cul de gauche à droite.

Il embrasse, me mord le dos et sort.

• Arnaldo vas- y !! Toi tu la fais hurler, sois brutal, pas de précaution, cette chienne adore ça, elle l’a dit, elle veut être déchirée devant nous, tu l’épuises. Après toi, elle doit être crevée.

• J’ai entendu, je suis prête. Arnaldo, casse-moi le cul !

Arnaldo entre sans prévenir, s’enfonce jusqu’à la garde, me fait mal, c’est lui qui a la une longue bite. Il va et vient, ses lourdes couilles tapent sur mes fesses.

Il glisse, lui aussi est chez lui, dans mon cul.

Je sens tous ses coups de butoir. Il me prend sans aucune douceur.

Il tient mes seins, pince les tétons, collé contre mon dos. Il ouvre bien mes fesses, sa bite est au fond, dans mon cul, ça me chauffe, je mouille devant.

• Pedro, José, elle a besoin d’une bonne fessée pour accélérer, je la sens mollir !. Olga, place-toi, comme il faut. Garde Arnaldo dans le cul, donne tes fesses, je veux rien entendre sinon dire que tu aimes...toute façon ton mari l’a dit

Je suis penchée en avant, une bite dans le derrière, trois devant la bouche, soutenue par mes vicieux, Marc en maître de cérémonie, mon mari à deux pas.


Pedro et José me tapent sur les fesses à tour de rôle. De petites claques, sèches, des caresses, des claques plus fortes. J’obéis, j’essaie d’éviter, ce qui fait bouger mon cul plus encore.

• On change ! Pas de raison, tu es trop bonne Olga, trop bonne, vraiment tu me plais. Miguel, Franco, Fernand, à votre tour, une bonne fessée pour punir cette traînée !

Les trois hommes, ensemble, me claquent.

J’atteins le sommet de ma jouissance avec ces routiers, mûrs et rugueux, Comme une folle, j’astique mon clito, j’entre les doigts dans ma chatte, je suce encore ceux qui sont devant moi.

Je jouis, j’explose, je tremble. Je m’écroule littéralement, repue, brisée par le plaisir, à la limite de la perte de connaissance. Avant, Arnaldo s’est soulagé copieusement dans mon cul, à grands jets.

Philippe me récupère. J’étais particulièrement « arrangée » : le visage, les cheveux, les seins couverts de sperme, sans parler de ce qui coulait de ma chatte et de mon anus. Je devais ressembler à Messaline après une nuit de débauche à Suburre, dans les bas-fonds de Rome !

Philippe n’est pourtant pas rebuté.

Il me prend dans ses bras et m’embrasse longuement, sous les applaudissements de mes amants d’un soir.

• Je ne te dégoute pas mon chéri ? Tu as vu dans quel état je me suis mise ? Je dois sentir la putain. D’ailleurs, j’en suis une, je me suis comportée ainsi ce soir.

• Non tu n’es pas une putain. Tu es ma femme et je t’aime. Je suis fier de toi, tu t’es surpassée ce soir.

• Je t’aime, Philippe, tu me rends heureuse, tu sais !

• Les gars, vous avez de l’eau en quantité suffisante ? Nous avons encore plusieurs heures de route à faire.

Je me lave grâce à l’eau dont disposent ces voyageurs bien organisés. Je suis à nouveau propre, présentable mais totalement épuisée, après avoir enchainé les orgasmes.

Mes « hommes » se sont rafraîchis eux aussi. Ils sont heureux.

Ils parlent de moi, ma connaissance de l’Italien, du Portugais, de l’Espagnol me permet de comprendre ce qu’ils disent.

Ils éclatent de rire, ils font des signes, disent des mots comme baiser, sucer.

Je suis assise dans l’herbe, sur une serviette, toujours totalement nue, en lotus, j’attends.

Mes sept routiers se placent en cercle autour de moi. Très près, pour me sentir encore.

J’aime être là, je me sens toujours convoitée. Marc traduit, la conversation tourne aux commentaires sur la soirée. Ils disent leur contentement d’avoir rencontré une femme comme moi, si gentille, si bonne avec eux. Ils ont aimé mon cul, ma chatte, ma bouche, mes seins, ma peau douce.

Certains me caressent encore un peu, la main entre mes cuisses, j’ouvre, j’accueille...Je caresse les bites flasques, les ventres, leurs cuisses, passe la main sous les couilles.

Je les flatte encore tendrement. Je renouvelle ma joie d’avoir goûté leurs bites et baisé avec eux. J’ai aimé leur foutre. Ils m’applaudissent et m’embrassent. Je les embrasse tous dans le cou, un bisou sur les lèvres, un petit coup de langue. Je dis le merveilleux plaisir que j’ai eu, ce cadeau de mon mari pour eux et pour moi.

Philippe est applaudi. C’est pour lui que j’ai tout accepté ce soir-là. Je sais que, lui aussi, mon mari candauliste adoré, a apprécié tout particulièrement cette nuit qu’il m’a offerte.

Je suis heureuse qu’à aucun moment il ne lui a été manqué de respect ce soir-là. Personne ne s’est permis le moindre jugement à son encontre. C’est assez rare pour être souligné.

Je me lève et je pars nue vers la voiture…

• Bye, mes gentils cochons, bon souvenir !

Nous repartons pour un trajet de nuit. Je fais le voyage jusque chez nous entièrement nue, profondément endormie, morte de plaisir et de fatigue.

Je sais bien que mon mari ralentit près des camions, surtout dans les zones éclairées, les stations-services….

A 7 h du matin je rentre chez nous, ayant remis ma robe… Repue !! J’ai dormi une bonne partie de la journée, après une bonne douche.

Voilà une soirée qui restera dans les annales de notre couple candauliste !

Les avis des lecteurs

@ Thallium, oui, dans ces moments-là, quand je suis bien baisée

Histoire Erotique
Olga,

Salope amoureuse des queues toi qui aime les mots crus dans certaines circonstances

Thallium

@ Cher Thallium, Épicurienne!

Histoire Erotique
Olga toujours aussi gourmande

Thallium

@ Thallium, tu aurais été le bienvenu!

Histoire Erotique
Olga,

J'aurais bien été le huitième a te dérouiller mais je ne sais si j'aurais eu l'autonomie des routiers ou tenue la distance.

Tu es une autoroute a bite qui se parcours de long en large

Merci pour ce superbe récit

Thallium

Peut-être, mais ça reste une soirée inoubliable

Histoire Erotique
Vous avez pris, ce soir là, à tout point de vue, des risques considérables
Arthur

c'est ce que j'ai constaté cher Jean-Philippe

quelle séance, inachevée en plus : Olga : vous n'êtes que luxure mais aussi que don de soi.
jj'aime beaucoup

Histoire Erotique
@ olga sur que t'as adoré ça ils t'ont tiré très fort et nature en te remplissant tout ce
que tu mérites. avoue surtout que t'as regretté que Marc ne s'occupe pas de ton cul. les
autres avaient fait le passage t’aurais pu crier comme jamais. je m'en serais pas priver à
sa place et c'est ton Phil qui se serait occupé de me graisser le pieux pour te la mettre
Idriss

@ Idriss, j'avoue que j'ai adoré ça!

Histoire Erotique
les routiers un classique pour les nympho comme toi. c'était pas tes premiers ni tes
derniers. tu t'es prises de bonnes grosses et ils y ont aller fort comme il faut. le Marc
aurait du aussi te passer par derrière, aucun risque qu'il t'abime tu peux tout prendre
Idriss

Merci Yacine, je prends cela pour un compliment!

Histoire Erotique
Tu es quand même une sacrée garce. Et je peux en témoigner, une fellatrice exceptionnelle!
Yacine

C'est exact, Claude. Dommage qu'il y eut ce dérapage avec les conséquences qu'il a eu

Histoire Erotique
Si on oublie la liaison de Philippe avec Ambre, cet èté te fut très bénéfique!
Claude

C'est exact, Sarah, ce fut à l'origine d'une grave crise de notre couple, car je n'ai pas apprécié que Philippe ait cette liaison derrière mon dos

Histoire Libertine
Ces vacances dans leur ensemble furent bien remplies. Meme si la relation entre Philippe et Ambre ne fut pas sans conséquences.
Sarah

@ Luc, oui j'aime ça!
@ Christine, tu me connais bien!Tu sais combien j'aime me masturber. je pense d'ailleurs consacrer un article à ce sujet, je pense que ça intéressera certains de mes lecteurs et de mes lectrices!
@ Steph et JP, c'est comme ça en effet que les choses doivent se passer!

Je confirme, Luc, Olga n'a jamais assez de sperme : dans sa bouche, dans son cul, sur sa peau...

@ Mohamed: exact! Comment pourrais-je oublier ce séjour?
@ La chipie: je suis entièrement d'accord et j'avoue que j'adore voir deux hommes faire l'amour, surtout quand celui qui se fait enculer est mon chéri. J'ai souvent pratiquer le gode-ceinture avec lui, et il a fini par assumer sa bisexualité

Histoire Libertine
Les hommes aiment sodomiser les femmes, je trouve normal à notre tour d'avoir le droit de sodomiser les hommes !!!!! Pourquoi que dans 1 sens et pas dans l'autre ???? On a les meme organes (à part gyneco), le meme sang qui coule dans nos veines, à mes yeux la femme est l'égale de l'homme donc elle a le droit de sodomiser son conjoint question de principe !!!! Ca ne fera pas de lui 1 homosexuel ou 1 debile pour autant !!!!

La chipie

Histoire Erotique
@ Henri ça explique pourquoi Olga aime que son chéri se fasse lui aussi enculer!
@ Olga, tu avais aimé votre séjour en Tunisie il y a 3 ans!
Mohamed

Histoire Libertine
J'attends avec impatience demain car c'est demain n'est ce pas que sort la suite ???
Effectivement il y a du monde qui part au Canada coté francais.

La chipie

Je suis heureuse que tout malentendu soit dissipé entre La Chipie et Jacques du Canada!
@ Maurice et La Chipie: oui une sacrée nuit. J'ai beaucoup apprécié ce respect pour Philippe dont parle très justement Patrick
@ Merci à Micky dont j'ai moi aussi découvert les récits, j'ai beaucoup aimé!
@ Laure, oui ça a précédé plusieurs semaines de "disette" comme tu dis, ce sont des moments que nous nous imposons, pour éviter les dérapages (on y arrive pas toujours) Pas facile!
@ Anna et Henri: oui j'aime ça, même si ce n'est pas la même jouissance qu'un coit. J'ai découvert ça dès mon initiation. Ce que je ressens: et bien je prends mon pied!

Histoire Erotique
À la Chipie
Je vous ai bien compris!
Pour l’hôpital je peux même imaginer vos problèmes. Au Québec nous vivons sensiblement la même chose. Mais je pense que c’est pire chez vous car beaucoup d’infirmières françaises viennent travailler au Québec. Comme je disais ça prend des saints et du monde très dévoués pour travailler dans les hôpitaux.
Quand à votre situation conjugale je vous souhaite le plus de bonheur possible avec votre famille et surtout votre conjoint car les enfants finissent par partir et les conjoints eux demeurent ensemble.( Si Dieu le veut)
Avec tout mon respect
Jacques du Canada

Histoire Libertine
Quand j'ai dis que ce n'était pas rose tout les jours je parlais pour l'hopital evidemment. Mon mari je le rends chèvre mais il m'aime et me supporte quand meme !!!! ;)

La chipie

Patrick a raison: nous avons aimé la façon dont ces hommes se sont comportés, y compris envers le mari candauliste. Respect et reconnaissance.
La faire bien jouir, elle, parce que c'est aussi ce qu'attend le mari.
C'est ce que nous attendons des hommes qui croisent le chemin d'un couple candauliste
Steph et JP

Histoire Libertine
Ce récit evoque certaines de tes pratiques préférées, à commencer par la fellation, la sodomie, sans oublier les étreintes brutales de préférence en levrette.
Ce texte contient aussi une scène de masturbation de toute beauté. Tu sais trouver les mots pour évoquer ce plaisir rare que nous savons ous donner, nous les femmes.
Christine

Histoire Erotique
Une autre chose que j'ai remarqué: tu aimes etre couverte de sperme!
Luc

Histoire Libertine
Pas de soucis Jacques du Canada. J'espère que vous m'avez bien compris autant pour mon mari que pour l'hopital ?? Car croyez moi ce n'est pas rose tout les jours.

La chipie

Histoire Libertine
Et après ça, combien de temps de " disette" ? Ca n'a pas du etre facile à vivre, pour toi, comme pour Philippe!
Laure

Histoire Erotique
À la chipie
Mille excuses j’ai mal interprété. Je relierai deux fois avant de m’emporter. Je retire tout avec humiliation.
Jacques du Canada

Histoire Libertine
J'ai oublié 1 mot : vis à vis de Phi. Oups

Comment ai-je pu passer à côté de cette auteure ? Je la découvre avec ravissement. Elle allie crudité et précision de l'écriture, sens du dialogue et de la métaphore érotique. Je n'ai pas fini de la lire.

Histoire Erotique
Sacrée nuit. A leurs manières ils ont été respectueux meme vis à Philippe.

La chipie

Histoire Libertine
C'est ce qui s'appelle profiter jusqu'au bout! :-)
Anna

Histoire Erotique
Ce Marc s’est révélé un chef d’orchestre positivement redoutable. Il a eu l’intelligence de se tourner vers Philippe qui en quelques mots a su lui confirmer tout votre potentiel sexuel pour qu’il le libère pleinement. Et vous ne manquiez pas d’hommes pour si bien l’exprimer. Vos fesses devaient être particulière rouge et sensible après autant de fessées. Heureusement que vous aimez tant ça. Je suis presque surpris qu’à la fin, après tout ce spectacle que vous lui aviez offert, Marc n’ait pas au moins essayé de vous sodomiser à son tour.

En tous les cas, une belle fin de récit que tous ces hommes sachant se montrer reconnaissant pour la femme qui s’était donné à eux, mais aussi pour le mari qui leur avait offerte.

Patrick

Histoire Libertine
Tu pratiques depuis longtemps la sodomie? Qu'est-ce qui te plait quand tu te fais casser le cul?
Anna

Histoire Erotique
Manifestement, tu aimes te faire enculer!
Henri

Histoire Erotique
Un superbe épilogue pour cette nuit de plaisir!
Maurice



Texte coquin : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (51) : Olga et les routiers (3 : une nuit bien remplie).
Histoire sexe : Une rose rouge
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