Prof-élève, quelques années plus tard
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Prof-élève, quelques années plus tard
Le problème d'une femme qui a retrouvé son indépendance après une séparation est de concilier ses obligations de mère avec sa vie sexuelle. La garde alternée permet certes quelques échappatoires mais ce n'est pas si simple. Célia, blonde et mince trentenaire, commençait à le comprendre. Elle se trouvait face à plusieurs alternatives. Soit recourir à un site de rencontre, avec son caractère aléatoire et vaguement humiliant pour une femme dont chacun s'accordait à reconnaitre un physique avantageux, le genre beauté froide hitchcockienne, Tippi Hedren ou Grace Kelly. Soit s'en remettre au hasard d'une drague dans un lieu public, étant entendu qu'elle se refusait aux sollicitations de collègues, le lieu de travail étant prohibé. Soit suivre sa voisine libertine Corinne qui l'avait déjà entrainée une fois dans une aventure sulfureuse et éphémère, expérience inoubliable qui avait fait exploser ses tabous mais la mettait sous une forme de dépendance (lire "les plaisirs de l'automobile").
Elle n'avait toujours pas tranché mais ce dont elle était certaine, c'est qu'il était hors de question de laisser son corps en veilleuse. Corinne lui avait fait comprendre qu'elle avait besoin d'aller au mâle. Pas pour une nouvelle liaison durable, merci, elle avait donné, mais pour quelques bonnes parties de cul sans lendemain pour satisfaire son système hormonal que le jeune homme d'un soir avait si bien réveillé dans le monospace de sa voisine.
Elle en était là de ses réflexions un jour qu'elle déambulait dans la rue, sans but précis, de vitrines en vitrines, lorsqu'elle tomba nez à nez avec un homme qu'elle n'avait pas vu depuis son année de terminale. C'était son ancien prof de math, M. Verbiest, qu'elle avait tant apprécié et qui l'avait amenée à une mention très bien au bac scientifique. Il n'avait pas changé. Il y avait en lui un côté débraillé, chevelu, homme des bois, pour ne pas dire des cavernes, qui ne l'avait pas rendu très sexy aux yeux de ses élèves féminines, Célia comprise, d'autant qu'il était plutôt bourru. Mais il avait un don pédagogique tel que son aspect physique rébarbatif passait au second plan. Célia l'aborda franchement :
- Bonjour M. Verbiest, vous vous souvenez de moi ? Célia, votre élève de terminale en 201...
L'homme paru sortir de sa rêverie et déclara :
- Ah oui, je me souviens, très bonne élève. Qu'êtes-vous devenue ?
Célia raconta son parcours professionnel, omettant ses déboires privés. Le prof l'écoutait avec attention, le regard un peu étonné, comme s'il constatait l'évolution physique de cette jeune femme désormais totalement sortie de l'adolescence. Au bout de quelques minutes, il lui dit :
- Si on allait prendre un verre quelque part au lieu de rester planté dans la rue ?
Célia accepta sans barguigner. Elle n'avait rien à faire de précis et visiblement, le prof non plus. Ils trouvèrent une table en terrasse et chacun y alla de ses souvenirs, de son évolution, de ses projets. M. Verbiest lui demanda de l'appeler Eddy, son prénom usuel. Plus la conversation se prolongeait et plus Célia voyait non plus le prof mais le mâle très sexué, de dix ans plus âgé qu'elle mais auquel elle trouvait un charme inattendu, à la virilité manifeste. Ses quelques cheveux blancs et sa barbe mal rasée n'avaient rien pour lui déplaire, au contraire. D'autant qu'ils s'étaient trouvés un point commun : la séparation de leur conjoint.
Comme lors de cette fameuse soirée en boite où Corinne l'avait entrainée et où elle avait pris un verre avec le jeune homme blond qui allait devenir son amant conjoncturel, Célia sentit pendant la conversation ses cuisses s'écarter sous la table dans un mouvement spasmodique. A l'évidence, sa petite culotte commençait à s'humidifier sous sa mini jupe. Elle voyait bien qu'Eddy commençait à regarder ses seins qui pointaient libres sous le léger chemisier, après qu'il eut, elle s'en était aperçue, maté ses cuisses largement découvertes sur le chemin du café. Il n'était pas insensible à son charme, c'était clair et net. Il ne voyait plus l'élève mais la femme. Dans le jeu de regards qui commença à poindre au bout de deux heures de conversation pouvait se lire le désir réciproque. Pour le prof, c'était très inattendu qu'une beauté pareille puisse s'intéresser à sa queue car c'était bien ce que le regard de Célia laissait percevoir. Et c'était le cas. Le côté un peu bestial de l'ancien prof, si éloigné des canons de la beauté masculine, et particulièrement de celle de son ex, était justement ce qui faisait mouiller son ex élève. Elle devinait un corps poilu, une grosse bite, un baiseur animal qui la secouerait comme un prunier et c'est exactement ce dont elle avait besoin.
Il était l'heure de dîner, déjà. Eddy proposa de gagner le restaurant attenant au bar mais Célia répliqua :
- J'ai une meilleure idée. J'ai préparé un excellent ragoût de mouton qui devait me faire le week-end mais j'en ai trop pour moi. Venez le partager chez moi.
M. Verbiest s'empressa d'accepter la proposition. C'était à l'évidence la promesse d'une soirée très sexuelle et ça faisait justement un moment qu'il n'avait pas baisé. Et c'est ainsi qu'après un court voyage dans la voiture de Célia, pendant lequel elle exhiba ses cuisses nues sans vergogne, il entra dans son appartement déserté, déjà en érection.
********
D'emblée, elle invita son ancien prof à s'asseoir dans le canapé pendant qu'elle allait dans la cuisine réchauffer le ragoût, non sans être passée entre temps aux toilettes pour retirer sa petite culotte dont l'humidité la gênait aux entournures et qu'elle glissa dans la panière de linge sale. Il refusa le verre qu'elle lui proposait car il avait déjà pas mal bu et il ne voulait pas avoir envie de pisser en pleine action. D'ailleurs, il commença par aller aux toilettes et en sortant, tomba sur son ancienne élève, un tablier autour du cou, en train de s'affairer autour de sa plaque chauffante. Mû par une impulsion subite, il s'avança vers elle et l'enlaça par derrière en l'embrassant dans le cou, ses mains posées sur ses seins dont il perçut aussitôt l'érection des pointes. Le contact de la bite sur ses fesses avait électrisée Célia. Elle interrompit son ouvrage et se laissa aller. Les mains du prof se baladèrent jusqu'à l'entre-cuisses et il s'exclama :
- Bon dieu mais tu es trempée ! Laisse tomber la cuisine, que je te soulage.
Le couple gagna la chambre en butant d'un mur à l'autre, bouche contre bouche. Célia en perdit en route ses sandales, son tablier, chemisier et sa mini jupe et Eddy sa chemise, révélant un torse au pelage épais, tout le contraire de celui, imberbe, de son ex. Ils basculèrent sur le lit, impatients de copuler. Célia l'aida à se débarrasser de son jean et poussa une exclamation en voyant surgir un bâton de berger, là encore tout le contraire de la queue ficelle de son ancien compagnon.
- On dirait que je te fais peur, rigola le prof de math. On va faire un cours de géométrie et je vais te mettre mon cylindre dans ton triangle isocèle.
Célia gloussa. Toujours le même, le type qui faisait si souvent rire ses élèves. Mais là maintenant, c'est entre ses cuisses qu'elle le voulait. Il lui donna d'abord sa bite à sucer, à genoux sur le lit, tout en se penchant vers son minou qu'il honora de sa langue. Célia faillit s'étouffer tant il était volumineux mais sa raideur l'enthousiasma, tant elle était porteuse de félicités. La langue experte de son amant lui offrit un premier orgasme qui la fit se mettre en arc de cercle, la main entre les dents. Il comprit dès lors qu'il n'allait pas s'embêter avec cette femelle en chaleur. L'ancienne élève gracile, sage et appliquée cachait bien son jeu.
Celle-ci fourragea dans sa table de nuit pour en sortir un préservatif, pas vraiment frais car il résidait là depuis des lustres, au cas où, mais qui ferait le job. Dûment coiffé, le prof prit les affaires en mains :
- Attrape tes pieds et écarte les, je vais t'enfiler lentement pour que tu t'habitues à ma queue.
Célia s'exécuta. La précaution n'était pas inutile, non seulement en raison du volume de la bite, mais aussi parce qu'elle manquait d'entrainement, si on peut dire. En vérité, elle était tellement chaude que la pénétration fut beaucoup plus aisée qu'imaginée. Très vite, le prof fut engagé totalement et commença à labourer, insistant sur les parois vaginales et ne négligeant pas la profondeur. Comme il l'avait subodoré, Célia n'était pas du genre passif. C'était une remueuse du cul. Une couineuse et une brameuse. Il comprit qu'il pouvait se montrer bestial. Il la tourna, la retourna, lui asséna de virulents coups de bite sans craindre d'abîmer sa structure légère, la stimula de propos crus auxquels elle répondait pas d'incessants "encore, encore, t'arrête pas". Non, il n'avait pas envie de s'arrêter, la limite étant juste sa propre jouissance mais il avait une maîtrise suffisante de lui-même pour répondre à sa demande. Il lui fit quelques propositions auxquelles elle accéda sans barguigner :
- J'ai envie de ton petit cul. Tu me le donnes ?
Célia s'en doutait car cela faisait un moment qu'il tournait autour de son petit trou qu'il doigtait pendant qu'elle le chevauchait avec d'amples mouvements de hanches, fouillée dans ses profondeurs les plus intimes. Lors d'une interruption du coït, il l'avait mise à quatre pattes pour lui lécher la raie, ce qui lui avait procuré une délicieuse sensation. Elle s'était même étonnée de sa propre cochonnerie car jamais aucun homme ne lui avait fait ça et surtout pas son ex, si classique dans l'accouplement. Mais elle n'avait jamais été sodomisée et la perspective l'effrayait un peu vu le calibre du bonhomme. Autant elle avait savouré d'être aussi bien remplie dans son vagin, sensation inédite pour elle, autant elle craignait que son anatomie ne soit cette fois rétive à une intromission aussi envahissante. Elle l'en informa. Il courut au frigo chercher une plaquette de beurre et en garnit abondamment le délicat anus. Célia poussa un petit cri devant la fraicheur du beurre mais le massage anal fut si habile qu'elle se plia sans rechigner à ses directives, en s'aplatissant sur le lit, jambes très écartées.
La pénétration, malgré le beurre, fut un peu laborieuse mais il prit son temps et quand il entra, Célia eut une sensation à la fois étrange et plaisante. Très vite, ce fut elle qui vint à sa rencontre après s'être redressée sur ses genoux. La manière dont elle tournicotait de la croupe subjugua le prof de math. La jolie blonde avait l'enculade enthousiaste. Il la vit même glisser une main entre ses cuisses pour se frotter la vulve afin d'augmenter son plaisir. Elle se retournait pour l'encourager, "allez allez vas-y continue c'est bon". Il était maintenant au bord de l'éjaculation. Elle dut le sentir car elle l'apostropha :
- Non, pas comme ça, je veux te voir jouir en moi.
Décidément, l'ancienne élève ne cessait de le surprendre. Elle se lâchait vraiment. Il y avait longtemps qu'il n'avait pas baisé aussi glorieusement. Obéissant, il se retira et la regarda s'allonger, cuisses ouvertes, vulve palpitante, yeux pétillants, la langue sur les lèvres :
- Viens, continue à me secouer, j'adore ça. Et jouis.
Il la pénétra en même temps qu'il plongea son regard dans le sien, bras tendus, très classique. Elle lui mit aussitôt ses mains sur ses fesses, accompagnant d'une forte pression ses virulentes poussées. Elle ne pouvait pas mieux lui prouver le plaisir que lui procurait sa baise. Parfois, elle quittait son regard et relevait la tête pour observer l'activité de sa bite, haletante, extasiée. Petit à petit, il accéléra son rythme et les halètements de Célia se muèrent en cris rauques, venus des profondeurs de son ventre. Il cogna tellement dur que la tête blonde en sortit du lit et il dut la ramener vigoureusement sur la couche pour poursuivre son travail de sape. "Encore, encore, encore !" s'exclamait-elle. Mais il ne pouvait pas durer éternellement à ce rythme et quand les talons de Célia se mirent à frapper ses fesses, il gicla. Un baquet de sperme remplit son préservatif. Il poussa un long râle et ce fut celui-ci qui atteignit la blonde au cervelet. Son orgasme la fit chavirer, la mettant au bord de la syncope. Il sentit son vagin l'essorer comme une trayeuse un pis de vache. Elle l'avait anéanti. Il bascula sur le dos, rincé tandis qu'elle goûtait les dernières ondes de son plaisir, alanguie et rassasiée.
*******
Ce fut pendant quelques jours, quelques semaines même, une liaison torride. Dès que Célia n'avait plus ses enfants à garder, elle allait baiser toutes affaires cessantes. Elle était devenue si rayonnante que son entourage croyait qu'elle avait trouvé l'âme soeur, à commencer par son ex. Mais ni elle, ni M. Verbiest n'envisageaient une vie de couple. Ils se retrouvaient simplement pour quelques sorties... et le cul. Seule Corinne, la voisine initiatrice, était vraiment au fait de cette relation. Le jour où elle glissa à Célia "tu devrais me le présenter", celle-ci ne balança pas longtemps. Après tout, elle lui devait bien ça, à Corinne. La rencontre eut lieu chez Célia un jour sans garde d'enfant et se termina le plus logiquement du monde par un plan à trois. Pour une fois, Célia abandonna l'essentiel à la quinquagénaire et put observer tout à loisir les couilles ballottantes et les pénétrations frénétiques de son amant entre les cuisses de sa voisine, laquelle adressait en même temps à la jolie blonde un regard éperdu de reconnaissance. Célia s'aperçut en cette circonstance qu'elle aimait regarder un couple faire l'amour en "live". L'expression du plaisir chez Corinne, sur son visage comme dans sa bouche, et la tension extrême du prof pour procurer de l'extase à sa partenaire, ravissaient la voyeuse de circonstance. Elle ne put résister à l'envie de mettre la main aux couilles du baiseur et de stimuler la quinquagénaire du verbe, lâchant quelques mots crus à son intention, inhabituels dans sa bouche. Cette union entre la pulpeuse fausse blonde et le faune fut tellement réussie que M. Verbiest lui consacra l'essentiel de son temps sexuel disponible, au détriment de Célia.
Mais celle-ci ne s'en formalisa pas. Le temps avait fait son oeuvre et elle était heureuse de passer le témoin, si on ose dire, à sa bienfaitrice. Ainsi vont les relations sexuelles. Du reste, Célia était l'objet depuis quelque temps d'une drague assidue de son prof de fitness, dont la lourde musculature avait tout pour la séduire. Puisqu'elle était devenue une femme libre, autant en profiter, non ?
Elle n'avait toujours pas tranché mais ce dont elle était certaine, c'est qu'il était hors de question de laisser son corps en veilleuse. Corinne lui avait fait comprendre qu'elle avait besoin d'aller au mâle. Pas pour une nouvelle liaison durable, merci, elle avait donné, mais pour quelques bonnes parties de cul sans lendemain pour satisfaire son système hormonal que le jeune homme d'un soir avait si bien réveillé dans le monospace de sa voisine.
Elle en était là de ses réflexions un jour qu'elle déambulait dans la rue, sans but précis, de vitrines en vitrines, lorsqu'elle tomba nez à nez avec un homme qu'elle n'avait pas vu depuis son année de terminale. C'était son ancien prof de math, M. Verbiest, qu'elle avait tant apprécié et qui l'avait amenée à une mention très bien au bac scientifique. Il n'avait pas changé. Il y avait en lui un côté débraillé, chevelu, homme des bois, pour ne pas dire des cavernes, qui ne l'avait pas rendu très sexy aux yeux de ses élèves féminines, Célia comprise, d'autant qu'il était plutôt bourru. Mais il avait un don pédagogique tel que son aspect physique rébarbatif passait au second plan. Célia l'aborda franchement :
- Bonjour M. Verbiest, vous vous souvenez de moi ? Célia, votre élève de terminale en 201...
L'homme paru sortir de sa rêverie et déclara :
- Ah oui, je me souviens, très bonne élève. Qu'êtes-vous devenue ?
Célia raconta son parcours professionnel, omettant ses déboires privés. Le prof l'écoutait avec attention, le regard un peu étonné, comme s'il constatait l'évolution physique de cette jeune femme désormais totalement sortie de l'adolescence. Au bout de quelques minutes, il lui dit :
- Si on allait prendre un verre quelque part au lieu de rester planté dans la rue ?
Célia accepta sans barguigner. Elle n'avait rien à faire de précis et visiblement, le prof non plus. Ils trouvèrent une table en terrasse et chacun y alla de ses souvenirs, de son évolution, de ses projets. M. Verbiest lui demanda de l'appeler Eddy, son prénom usuel. Plus la conversation se prolongeait et plus Célia voyait non plus le prof mais le mâle très sexué, de dix ans plus âgé qu'elle mais auquel elle trouvait un charme inattendu, à la virilité manifeste. Ses quelques cheveux blancs et sa barbe mal rasée n'avaient rien pour lui déplaire, au contraire. D'autant qu'ils s'étaient trouvés un point commun : la séparation de leur conjoint.
Comme lors de cette fameuse soirée en boite où Corinne l'avait entrainée et où elle avait pris un verre avec le jeune homme blond qui allait devenir son amant conjoncturel, Célia sentit pendant la conversation ses cuisses s'écarter sous la table dans un mouvement spasmodique. A l'évidence, sa petite culotte commençait à s'humidifier sous sa mini jupe. Elle voyait bien qu'Eddy commençait à regarder ses seins qui pointaient libres sous le léger chemisier, après qu'il eut, elle s'en était aperçue, maté ses cuisses largement découvertes sur le chemin du café. Il n'était pas insensible à son charme, c'était clair et net. Il ne voyait plus l'élève mais la femme. Dans le jeu de regards qui commença à poindre au bout de deux heures de conversation pouvait se lire le désir réciproque. Pour le prof, c'était très inattendu qu'une beauté pareille puisse s'intéresser à sa queue car c'était bien ce que le regard de Célia laissait percevoir. Et c'était le cas. Le côté un peu bestial de l'ancien prof, si éloigné des canons de la beauté masculine, et particulièrement de celle de son ex, était justement ce qui faisait mouiller son ex élève. Elle devinait un corps poilu, une grosse bite, un baiseur animal qui la secouerait comme un prunier et c'est exactement ce dont elle avait besoin.
Il était l'heure de dîner, déjà. Eddy proposa de gagner le restaurant attenant au bar mais Célia répliqua :
- J'ai une meilleure idée. J'ai préparé un excellent ragoût de mouton qui devait me faire le week-end mais j'en ai trop pour moi. Venez le partager chez moi.
M. Verbiest s'empressa d'accepter la proposition. C'était à l'évidence la promesse d'une soirée très sexuelle et ça faisait justement un moment qu'il n'avait pas baisé. Et c'est ainsi qu'après un court voyage dans la voiture de Célia, pendant lequel elle exhiba ses cuisses nues sans vergogne, il entra dans son appartement déserté, déjà en érection.
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D'emblée, elle invita son ancien prof à s'asseoir dans le canapé pendant qu'elle allait dans la cuisine réchauffer le ragoût, non sans être passée entre temps aux toilettes pour retirer sa petite culotte dont l'humidité la gênait aux entournures et qu'elle glissa dans la panière de linge sale. Il refusa le verre qu'elle lui proposait car il avait déjà pas mal bu et il ne voulait pas avoir envie de pisser en pleine action. D'ailleurs, il commença par aller aux toilettes et en sortant, tomba sur son ancienne élève, un tablier autour du cou, en train de s'affairer autour de sa plaque chauffante. Mû par une impulsion subite, il s'avança vers elle et l'enlaça par derrière en l'embrassant dans le cou, ses mains posées sur ses seins dont il perçut aussitôt l'érection des pointes. Le contact de la bite sur ses fesses avait électrisée Célia. Elle interrompit son ouvrage et se laissa aller. Les mains du prof se baladèrent jusqu'à l'entre-cuisses et il s'exclama :
- Bon dieu mais tu es trempée ! Laisse tomber la cuisine, que je te soulage.
Le couple gagna la chambre en butant d'un mur à l'autre, bouche contre bouche. Célia en perdit en route ses sandales, son tablier, chemisier et sa mini jupe et Eddy sa chemise, révélant un torse au pelage épais, tout le contraire de celui, imberbe, de son ex. Ils basculèrent sur le lit, impatients de copuler. Célia l'aida à se débarrasser de son jean et poussa une exclamation en voyant surgir un bâton de berger, là encore tout le contraire de la queue ficelle de son ancien compagnon.
- On dirait que je te fais peur, rigola le prof de math. On va faire un cours de géométrie et je vais te mettre mon cylindre dans ton triangle isocèle.
Célia gloussa. Toujours le même, le type qui faisait si souvent rire ses élèves. Mais là maintenant, c'est entre ses cuisses qu'elle le voulait. Il lui donna d'abord sa bite à sucer, à genoux sur le lit, tout en se penchant vers son minou qu'il honora de sa langue. Célia faillit s'étouffer tant il était volumineux mais sa raideur l'enthousiasma, tant elle était porteuse de félicités. La langue experte de son amant lui offrit un premier orgasme qui la fit se mettre en arc de cercle, la main entre les dents. Il comprit dès lors qu'il n'allait pas s'embêter avec cette femelle en chaleur. L'ancienne élève gracile, sage et appliquée cachait bien son jeu.
Celle-ci fourragea dans sa table de nuit pour en sortir un préservatif, pas vraiment frais car il résidait là depuis des lustres, au cas où, mais qui ferait le job. Dûment coiffé, le prof prit les affaires en mains :
- Attrape tes pieds et écarte les, je vais t'enfiler lentement pour que tu t'habitues à ma queue.
Célia s'exécuta. La précaution n'était pas inutile, non seulement en raison du volume de la bite, mais aussi parce qu'elle manquait d'entrainement, si on peut dire. En vérité, elle était tellement chaude que la pénétration fut beaucoup plus aisée qu'imaginée. Très vite, le prof fut engagé totalement et commença à labourer, insistant sur les parois vaginales et ne négligeant pas la profondeur. Comme il l'avait subodoré, Célia n'était pas du genre passif. C'était une remueuse du cul. Une couineuse et une brameuse. Il comprit qu'il pouvait se montrer bestial. Il la tourna, la retourna, lui asséna de virulents coups de bite sans craindre d'abîmer sa structure légère, la stimula de propos crus auxquels elle répondait pas d'incessants "encore, encore, t'arrête pas". Non, il n'avait pas envie de s'arrêter, la limite étant juste sa propre jouissance mais il avait une maîtrise suffisante de lui-même pour répondre à sa demande. Il lui fit quelques propositions auxquelles elle accéda sans barguigner :
- J'ai envie de ton petit cul. Tu me le donnes ?
Célia s'en doutait car cela faisait un moment qu'il tournait autour de son petit trou qu'il doigtait pendant qu'elle le chevauchait avec d'amples mouvements de hanches, fouillée dans ses profondeurs les plus intimes. Lors d'une interruption du coït, il l'avait mise à quatre pattes pour lui lécher la raie, ce qui lui avait procuré une délicieuse sensation. Elle s'était même étonnée de sa propre cochonnerie car jamais aucun homme ne lui avait fait ça et surtout pas son ex, si classique dans l'accouplement. Mais elle n'avait jamais été sodomisée et la perspective l'effrayait un peu vu le calibre du bonhomme. Autant elle avait savouré d'être aussi bien remplie dans son vagin, sensation inédite pour elle, autant elle craignait que son anatomie ne soit cette fois rétive à une intromission aussi envahissante. Elle l'en informa. Il courut au frigo chercher une plaquette de beurre et en garnit abondamment le délicat anus. Célia poussa un petit cri devant la fraicheur du beurre mais le massage anal fut si habile qu'elle se plia sans rechigner à ses directives, en s'aplatissant sur le lit, jambes très écartées.
La pénétration, malgré le beurre, fut un peu laborieuse mais il prit son temps et quand il entra, Célia eut une sensation à la fois étrange et plaisante. Très vite, ce fut elle qui vint à sa rencontre après s'être redressée sur ses genoux. La manière dont elle tournicotait de la croupe subjugua le prof de math. La jolie blonde avait l'enculade enthousiaste. Il la vit même glisser une main entre ses cuisses pour se frotter la vulve afin d'augmenter son plaisir. Elle se retournait pour l'encourager, "allez allez vas-y continue c'est bon". Il était maintenant au bord de l'éjaculation. Elle dut le sentir car elle l'apostropha :
- Non, pas comme ça, je veux te voir jouir en moi.
Décidément, l'ancienne élève ne cessait de le surprendre. Elle se lâchait vraiment. Il y avait longtemps qu'il n'avait pas baisé aussi glorieusement. Obéissant, il se retira et la regarda s'allonger, cuisses ouvertes, vulve palpitante, yeux pétillants, la langue sur les lèvres :
- Viens, continue à me secouer, j'adore ça. Et jouis.
Il la pénétra en même temps qu'il plongea son regard dans le sien, bras tendus, très classique. Elle lui mit aussitôt ses mains sur ses fesses, accompagnant d'une forte pression ses virulentes poussées. Elle ne pouvait pas mieux lui prouver le plaisir que lui procurait sa baise. Parfois, elle quittait son regard et relevait la tête pour observer l'activité de sa bite, haletante, extasiée. Petit à petit, il accéléra son rythme et les halètements de Célia se muèrent en cris rauques, venus des profondeurs de son ventre. Il cogna tellement dur que la tête blonde en sortit du lit et il dut la ramener vigoureusement sur la couche pour poursuivre son travail de sape. "Encore, encore, encore !" s'exclamait-elle. Mais il ne pouvait pas durer éternellement à ce rythme et quand les talons de Célia se mirent à frapper ses fesses, il gicla. Un baquet de sperme remplit son préservatif. Il poussa un long râle et ce fut celui-ci qui atteignit la blonde au cervelet. Son orgasme la fit chavirer, la mettant au bord de la syncope. Il sentit son vagin l'essorer comme une trayeuse un pis de vache. Elle l'avait anéanti. Il bascula sur le dos, rincé tandis qu'elle goûtait les dernières ondes de son plaisir, alanguie et rassasiée.
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Ce fut pendant quelques jours, quelques semaines même, une liaison torride. Dès que Célia n'avait plus ses enfants à garder, elle allait baiser toutes affaires cessantes. Elle était devenue si rayonnante que son entourage croyait qu'elle avait trouvé l'âme soeur, à commencer par son ex. Mais ni elle, ni M. Verbiest n'envisageaient une vie de couple. Ils se retrouvaient simplement pour quelques sorties... et le cul. Seule Corinne, la voisine initiatrice, était vraiment au fait de cette relation. Le jour où elle glissa à Célia "tu devrais me le présenter", celle-ci ne balança pas longtemps. Après tout, elle lui devait bien ça, à Corinne. La rencontre eut lieu chez Célia un jour sans garde d'enfant et se termina le plus logiquement du monde par un plan à trois. Pour une fois, Célia abandonna l'essentiel à la quinquagénaire et put observer tout à loisir les couilles ballottantes et les pénétrations frénétiques de son amant entre les cuisses de sa voisine, laquelle adressait en même temps à la jolie blonde un regard éperdu de reconnaissance. Célia s'aperçut en cette circonstance qu'elle aimait regarder un couple faire l'amour en "live". L'expression du plaisir chez Corinne, sur son visage comme dans sa bouche, et la tension extrême du prof pour procurer de l'extase à sa partenaire, ravissaient la voyeuse de circonstance. Elle ne put résister à l'envie de mettre la main aux couilles du baiseur et de stimuler la quinquagénaire du verbe, lâchant quelques mots crus à son intention, inhabituels dans sa bouche. Cette union entre la pulpeuse fausse blonde et le faune fut tellement réussie que M. Verbiest lui consacra l'essentiel de son temps sexuel disponible, au détriment de Célia.
Mais celle-ci ne s'en formalisa pas. Le temps avait fait son oeuvre et elle était heureuse de passer le témoin, si on ose dire, à sa bienfaitrice. Ainsi vont les relations sexuelles. Du reste, Célia était l'objet depuis quelque temps d'une drague assidue de son prof de fitness, dont la lourde musculature avait tout pour la séduire. Puisqu'elle était devenue une femme libre, autant en profiter, non ?
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