Promotion canapé... masculine

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Promotion canapé... masculine Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Promotion canapé... masculine
Cet après-midi là, Mylène Wagtmans ne masqua pas sa mauvaise humeur. Arrivée à l'aéroport en compagnie de son chargé de système d'information prénommé Kléber, elle apprit que son vol vers Pointe à Pitre était annulé pour cause de grève. Impossible de repousser son rendez-vous avec le responsable de sa filiale guadeloupéenne. Il y avait urgence et elle devrait se résigner à attendre sur place la fin de la grève. A force de manifester son mécontentement et de menacer la compagnie de représailles, elle obtint une chambre d'hôtel dans l'hôtel quatre étoiles de l'aéroport en attendant la suite des événements, a priori le lendemain. L'inconvénient étant que l'hôtel ne disposait plus que d'une chambre double. Elle devrait donc cohabiter le temps d'une nuit avec son jeune informaticien. Pas terrible pour une patronne très à cheval sur son statut. Mais à la guerre comme à la guerre.

Kléber n'était pas plus emballé. Mme Wagtmans était une patronne à poigne et il ne se sentait avec elle aucune affinité, bien qu'elle soit encore belle femme avec sa crinière auburn, sa peau laiteuse, ses yeux émeraude et son corps soigneusement entretenu. En dépit de rides au front, elle portait fièrement ses cinquante ans, âge qu'il avait découvert grâce à son accès sur les fiches personnelles, et qu'elle cachait soigneusement. Lorsqu'il avait appris qu'il devrait l'accompagner aux Antilles, ce qui l'avait un peu surpris puisqu'il n'était pas le chef, lequel s'était apparemment dérobé, il s'était dit que la découvrir en maillot de bain vaudrait au moins le voyage. Bikini ou une pièce ? Il était peu probable qu'elle boycotterait la piscine de l'hôtel. En tout cas, lui avait emporté son slip Arena. A 29 ans, ce déplacement inattendu fit un peu jaser dans la boite où les quadras étaient nombreux, mais il n'en eut cure.

-Bon, mon petit Kléber, on va passer un peu de temps ensemble et je compte sur vous. Soyez sage, hein ? lui avait-elle dit, sans sourire.

- Cela va sans dire, madame, lui avait-il répondu, peu enclin à profiter de la situation.

Ils dinèrent ensemble, elle le nez sur son téléphone portable, et finirent par se rendre à la chambre faute d'occupation autre. Après avoir regardé un épisode de série télé couchés sur leur lit respectif, elle déclara :

- Je vais prendre une douche et me coucher.

Il en profita pour se déshabiller, ne conservant que son boxer et son tee shirt. Elle apparut vêtue d'une serviette nouée autour de la poitrine, lui arrivant juste au-dessus du secteur stratégique et, ô surprise, s'en délesta prestement avant de se glisser sous la couette, nue.

- J'ai horreur des pyjamas mais n'en profitez pas pour vous rincer l'oeil, hein ? lui dit-elle, toujours aussi peu avenante.

- Bien sûr madame.

Il eut un peu de mal à s'endormir. Les événements de la journée l'avaient énervé et il entendait sa patronne se tourner et se retourner dans son lit, sans doute énervée elle aussi. Finalement, c'est lui qui se réveilla en second. Il l'entendait dans la salle de bain se préparer à descendre en salle pour le petit-déjeuner, comme il avait été convenu, et il s'habilla sommairement, pensant revenir se laver ensuite.

Elle sortit de la salle de bain non maquillée, la mine sombre. La journée s'annonçait décidément austère. Une fois passés par le buffet, ils s'assirent face à face sans parler. C'est elle qui prit la parole en premier.

- Kléber, je vais vous poser une question et j'espère que vous allez y répondre. Etes-vous homosexuel ?

- Hein ? Pardon ? Euh, non, pas du tout.

- Alors, êtes-vous en couple avec une fille de votre âge ?

- Pas pour le moment, non ?

- Vous êtes jeune, plutôt beau mec je le reconnais, trop tôt pour connaitre des problèmes sexuels. Qu'est-ce qui vous déplait chez moi ? Je suis trop vieille ?

Kléber reste sa tasse de café en l'air. Quelle était cette question ? Un piège qui risquait d'abréger sa carrière dans l'entreprise de madame Wagtmans ? Il décida de dire ce qu'elle avait envie d'entendre.

- Mais pas du tout madame. Vous êtes encore très belle.

- Je n'aime pas le "encore", ça sous-entend que le temps joue contre moi. Dites plutôt "toujours".

- Oui, toujours, c'est de que je voulais dire, excusez-moi.

- Bien, vous êtes excusé. Nous avons hélas toute une matinée devant nous avant que ce fichu vol ne se programme à nouveau.

- J'ai apporté de la lecture.

- Lire ? Décidément, je vais finir par croire que vous n'aimez pas les femmes. ( Elle marqua une pause et dit) Que diriez-vous plutôt si on passait ce temps libre imprévu à baiser ?

Kléber faillti en avaler son café de travers. Reprenant ses esprits, il dit :

- Excusez-moi madame Wagtmans mais monsieur Wagtmans ne serait sans doute pas d'accord.

- Mon mari ? Pfff. Il ne baise pas et il n'a d'ailleurs jamais baisé. Le cul n'a jamais été son truc. Moi-même, il y a des lustres que je n'ai pas baisé. Trop de boulot, trop de soucis. Pour une fois que j'ai l'occasion de me faire bien ramoner, j'aimerais bien en profiter. Vous savez maintenant pourquoi je vous ai choisi pour m'accompagner à Pointe à Pitre. Si vous vous montrez à la hauteur, je saurai m'en souvenir. Appelez-moi Mylène, plus par mon nom.

La mauvaise humeur devant la chambre double unique à l'hôtel de l'aéroport était donc feinte. C'était juste un prélude à des parties de jambes en l'air exotiques. Madame Wagtmans faisait très probablement porter de vastes cornes à son mari. Elle avait bien précisé "baiser" et non "faire l'amour". Il devrait lui offrir la totale et bien la "ramoner" comme elle disait. Il se leva de table après elle, l'accompagna vers l'ascenseur puis à la chambre. Cette fois, ce fut lui qui entra dans la salle de bain pour prendre une douche. Il remarqua un tube de gel sur le lavabo. La patronne était prévoyante contre toute sècheresse vaginale.

Lorsqu'il en sortit, une serviette autour des reins, elle l'attendait nue allongée sur son lit. Il embrassa son corps du regard, les seins larges étalés sur son torse, à la pointre dressée, les épaules couverte de taches de rousseur, le ventre légèrement bombé, les cuisses fines et nerveuses, le publis bien taillé. Elle le regarda un air de défi et se retourna pour lui offrir la vue de son cul ferme et bombé à la raie profonde, jugeant sans doute qu'il s'agissait de son principal atout sexuel, ce qu'il approuva in petto.

Il s'allongea à côté d'elle. Il bandait déjà et elle y mit la main. Son visage s'était subitement détendu, révélant sa dentition impeccable dans un sourire bienveillant et rare.

- Tu bandes pour moi. Tu as une queue splendide, grosse comme je les aime. Tu vas bien me baiser, je le sens. Ne me ménage surtout pas. Je ne suis pas en sucre. J'aime quand c'est physique. Sois viril. Sois cochon. On baise, hein ?

Kléber eut presque l'impression de passer un examen d'embauche. Sauf qu'il était déjà embauché et que sa patronne était à poil, cuisses ouvertes, en attente. Mais baiser sa cheffe d'entreprise, sans jamais y avoir été préparé, ne tombait pas sous le sens. Il marqua un temps d'hésitation. Et si c'était un piège diabolique ? Et si elle n'allait pas crier au viol ? Avec toutes ces histoires me too, il avait appris à se méfier et c'était même la raison pour laquelle il n'avait pas baisé depuis au moins trois mois, sa dernière conquête l'ayant congédié comme un sac de ligne sale.

- Alors, quoi, tu viens oui ou non ?

Elle le tutoyait comme un amant. Il se décida à commencer par un cunnilingus, moins invasif qu'une pénétration qui serait forcément massive fut la taille de son pénis. Il était habile de la langue, les dames le lui avaient souvent dit. Et de fait, Mylène se mit à ronronner en ondulant légèrement des hanches. Sa fente avait un léger goût de gel, signe qu'elle avait pris ses précautions dès le matin, sûre de son coup. Puis elle releva la tête après un gros soupir :

- Tu lèches bien, mais je ne suis pas une gouine. Je veux du concret, du dur. Viens, je suis à point.

Kléber la pénétra d'abord prudemment, bras tendus, observant son regard, sa bouche, son attitude en modérant ses coups de boutoir. Mais une forte pression des talons de Mylène sur ses fesses et des objurgations à y aller "plus vite, plus fort" le décidèrent. Elle voulait de l'ardeur, elle allait l'avoir. Il haussa puissamment son rythme, tout en surveillant la montée de son sperme et il eut aussitôt la satisfaction de la faire bramer de plaisir. Ses seins dansaient la samba sur son torse, son bas-ventre venait à sa rencontre à grands coups de fesses et sa bouche béante émettait des sons gutturaux. Kléber comprit que sa quinquagénaire de patronne allait lui procurer une satisfaction sexuelle bien supérieure à celle de ses dernières copines légèrement coincées du cul.

Il en eut la confirmation lorsqu'après avoir connu son premier orgasme, elle se dégagea, le fit allonger, et le chevaucha en faisant danser sa chevelure auburn au rythme de ses hanches puis, se retournant, lui offrant le spectacle de son cul splendide en mouvement, les deux globes agités au point d'ouvrir son anus, ce dont il profita pour y loger son pouce. Il constata qu'il était aussi bien lubrifié que la vulve, signe que Mylène l'avait également enduit de gel en prévision de. Il décolla vigoureusement ses fesses du matelas pour lui offrir le marteau piqueur inversé dans un bruit de claquement de peaux mélangé avec ses exclamations de femelle comblée. Tournant son visage vers lui, elle lui cria "encore encore comme ça t'arrête pas" avant son deuxième orgasme, ce qui permit à Kléber de souffler un peu, satisfait d'avoir pu encore conserver son sperme.

- Tu es inépuisable, un coup en or, lui souffla-t-elle, le torse encore remué de ses halètements. Il en profita pour empaumer et lécher ses seins qu'il trouvait beaux dans leur juteuse maturité.

- Et si tu me prenais par derrière maintenant, dit-elle après avoir repris ses esprits. Tu m'as mis le feu au corps.

Elle se mit à quatre pattes au bord de son lit, l'invitant à la pénétrer debout. Mais Kléber avait une idée en tête. Elle voulait qu'il soit cochon. Transgressif. Baiseur. Eh bien, elle allait voir.

Après voir à nouveau logé son pouce dans son anus, il y mit son gland.

- Mais... qu'est-ce que tu fais ? Non pas là. Non pas ça ! s'exclama-t-elle en se tournant vers lui.

- Je vais t'enculer, la prévint-il.

- Non ! Non ! Nooonnn....

Mais le refus mourut dès que le pénis de Kléber fut totalement entré dans son tréfonds intime et commença le fameux "ramonage" auquel elle avait inspiré. Il éprouva alors le double plaisir de fendre un beau cul et de sodomiser sa patronne, au nom de tous ses employés qui avaient eu à subir les vicissitudes de son autorité, parfois même au point d'être licenciés. "Putain, j'encule madame Wagtmans", se dit-il alors qu'elle gémissait de plus en plus fort, mais sans le repousser, bien au contraire, puisqu'elle remuait sa croupe en signe manifeste d'adhésion.

- Tu aimes ça, te faire enculer, hein ? lui jeta-t-il à l'oreille, le torse collé à son dos. Tu l'avais bien préparé, ton petit trou, hein ?

Elle répondit par un râle qui valait assentiment, galopant vers un orgasme anal au point qu'elle lui cria :

- Jouis maintenant ! Jouis dans mon cul !

Il ne demandait pas mieux car il se sentait au bout du bout. Il la couvrit en même temps comme un chien sa chienne, soufflant dans sa chevelure auburn, et elle s'aplatit, vaincue, rincée, comblée, tandis qu'il dégonflait lentement et s'échappait de son antre béante. Elle se releva vivement, courut vers les toilettes pour soulager ses entrailles. Il lui serait dès lors difficile de considérer Kléber comme un employé ordinaire...

*****

C'est alors qu'une alerte sonna sur le téléphone portable de Mylène. La grève étant terminée, le vol vers Pointe à Pitre était annoncé dans une heure. Les deux amants se douchèrent et se rhabillèrent en catastrophe avant de partir en courant vers la salle d'embarquement. Une fois dans l'avion, ils purent enfin se remettre de leurs émotions. Mylène devenait pleine d'attentions pour Kléber. Rien à voir avec son comportement de patronne. Elle osa même une légère caresse sur son pénis comme si elle lui rendait hommage. Et de fait, une fois arrivés à destination, il la trouva plus détendue, plus ouverte. Ils baisèrent d'ailleurs une fois arrivés dans leur hôtel et elle claironna son plaisir au point d'alerter le couloir et les chambres voisines. Il la trouvait de plus en plus bandante avec sa peau laiteuse, ses taches de rousseur, ses formes pleines, ses initiatives et ses mouvements incessants dans leurs ébats. Rien à voir avec les planches à pain de ses dernières relations sexuelles.

Est-ce parce qu'elle était bien et même copieusement baisée ? Sa visite dans son agence guadeloupéenne se déroula dans la meilleure ambiance. Le gérant, qui s'attendait à être viré vu ses médiocres résultats, fut au contraire conforté et encouragé, à sa grande surprise. Les deux amants passèrent une bonne partie de leur temps à la piscine de l'hôtel et à la plage. Mylène avait effectivement emporté un maillot une pièce mais Kléber lui fit acheter un bikini "quatre triangles" masquant sommairement seins, sexe et raie des fesses que la quinquagénaire hésita à porter. Mais les regards libidineux des mâles présents au bord du bassin ou à la plage la confortèrent. Kléber exigea qu'elle entre dans la chambre de l'hôtel dans cette tenue minimaliste pour avoir le plaisir de l'en débarrasser d'un geste d'autant plus rapide que le tissu était vraiment très léger. Mylène était devenue tellement accro au pénis de son jeune amant qu'elle ne mettait même plus de gel dans ses orifices intimes tant elle était réceptive. Et le soir, elle sortait à poil sous ses robes légères pour avoir le plaisir d'être caressée sous la table, cuisses ouvertes, par le pied nu de Kléber.

Mais les meilleurs choses ont une fin. Il fallut bien reprendre l'avion avec quelques coups de soleil. A peine de retour, Mylène sembla redevenir Mme Wagtmans. Plus de caresse furtive sur le pénis. Plus de doux regards reconnaissants. Kléber était redevenu l'informaticien de son entreprise. Il ne s'en étonna qu'à moitié et rentra dans sa coquille. L'essentiel était de préserver son emploi. Elle serait capable de le virer pour avoir été vue à poil. Entre autres. Il passa plusieurs jours sans la voir ni l'entendre, sauf dans des réunions avec d'autres services, où elle manifestait la même autorité. Y compris à son égard.

Toutefois, au bout d'un mois, il apprit que son chef de service venait d'être remercié. On supposa qu'il payait de ne pas avoir accompagné la patronne en Guadeloupe. Toujours est-il que Kléber fut convoqué par Mme Wagtmans. Elle lui annonça qu'il devenait le nouveau chef des systèmes d'information. A moins de trente ans, la promotion était spectaculaire et on jasa. Et reconnaissons qu'on avait raison de jaser. L'annonce à Kléber fut faite avec un sourire très professionnel par sa patronne. Il la remercia en la vouvoyant. Il considéra que sa queue avait bien travaillé, aussi bien que ses compétences en informatique.

Mais il s'écoula à peine deux jours avant qu'il reçoive un SMS :

- Je viens chez toi ce soir. Sois à la hauteur.

Il en conclut logiquement que les "promotions canapés" ne concernaient pas que les jeunes femmes avec leurs patrons mâles quinquagénaires.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Super, une suite ?

Un récit très original, qui inverse le jeu habituel. Et on se dit: "pourquoi pas?"
Merci Micky pour ce récit "transgressif" et si bien écrit.

Histoire Erotique
Micky,
Pour une fois les rôles sont inversés, je trouve ce concept peu commun fort intéressant.
Merci une fois encore pour cette histoire de femme mure assumant pleinement sa sexualité.
Didier

Histoire Erotique
Très bon et bien écrit ! J'ai fort apprécié.



Texte coquin : Promotion canapé... masculine
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