Quadrille

Récit érotique écrit par CDuvert [→ Accès à sa fiche auteur]
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Quadrille
Laure s'étira langoureusement sur le canapé du salon. Enfin seule. Son père et sa belle-mère étaient partis pour le week-end et son beau-frère Antoine avait annoncé qu'il passerait la soirée avec son père à lui. La maison lui appartenait donc jusqu'au lendemain.
Elle avait attendu ce moment toute la semaine. La tension accumulée au travail, les regards insistants de son patron, tout cela l'avait maintenue dans un état d'excitation latente qu'elle n'avait pas pu satisfaire.
Laure attrapa la télécommande et lança l'application de streaming. Elle connaissait déjà le film qu'elle voulait regarder. Un de ces films pornographiques au scénario minimal mais aux scènes explicites qui l'excitaient particulièrement. La scène s'afficha sur le grand écran du salon. Un homme et deux femmes s'adonnaient à des caresses dans un décor luxueux.
— Putain, c'est bon, murmura-t-elle en glissant une main sous son débardeur.
Elle caressa doucement ses seins, pinçant légèrement ses tétons qui durcissaient sous ses doigts. Sa respiration s'accéléra tandis que sur l'écran, les ébats devenaient plus intenses. Les gémissements des actrices emplissaient le salon.
Ce que Laure ignorait, c'est que Thomas, le meilleur ami de son beau-frère, venait d'entrer. Antoine lui avait prêté un jeu vidéo et lui avait dit d'aller le récupérer directement chez lui, lui donnant le code de la porte d'entrée. Thomas s'était figé dans le couloir en entendant les sons caractéristiques provenant du salon.
Poussé par une curiosité malsaine, il s'était approché silencieusement. De là où il se tenait, il pouvait voir parfaitement Laure allongée sur le canapé. Elle avait maintenant relevé son débardeur, exposant ses seins parfaits à l'air libre. Sa main droite s'activait sous sa jupe, qu'elle avait relevée jusqu'à la taille.
Thomas sentit son sexe durcir instantanément dans son jean. Il connaissait Laure depuis des années, l'avait toujours trouvée attirante mais n'avait jamais osé l'approcher. La voir ainsi, vulnérable et offerte à son regard, provoquait en lui une excitation presque douloureuse.
Laure gémissait maintenant sans retenue. Elle avait complètement oublié où elle se trouvait. Ses doigts s'enfonçaient profondément dans son sexe trempé tandis que son autre main malaxait ses seins. Les acteurs à l'écran étaient maintenant engagés dans une pénétration brutale qui la fascinait.
— Oui, comme ça, baise-moi comme ça, murmurait-elle, imaginant être à la place de l'actrice.
Thomas n'avait pas bougé d'un centimètre. Il observait, hypnotisé, la scène qui se déroulait devant lui. Il sentait son membre palpiter douloureusement contre la toile de son jean. Sans réfléchir, il l'avait libéré et le caressait maintenant au même rythme que les doigts de Laure.
L'odeur de son excitation parvenait jusqu'à lui. Cette fragrance intime, musquée et sauvage, le rendait fou. Il voulait la goûter, s'abreuver à la source de ce nectar qu'il imaginait couler entre ses cuisses.
Laure écarta davantage les jambes. Dans cette position, Thomas pouvait apercevoir ses doigts luisants qui allaient et venaient entre ses lèvres gonflées. Sa culotte avait été repoussée sur le côté, révélant son intimité sans pudeur.
— Putain, je vais jouir, haleta-t-elle en accélérant le mouvement de ses doigts.
Son corps se tendit comme un arc. Ses cuisses se refermèrent brièvement avant de s'écarter à nouveau, offrant à Thomas la vue de son sexe palpitant sous les spasmes de l'orgasme. Ses gémissements s'étaient transformés en cris rauques qui résonnaient dans la pièce.
Thomas ne put se contenir plus longtemps. Il éjacula violemment, mordant son poing pour ne pas révéler sa présence. Son sperme jaillit en longs jets qu'il tenta maladroitement de contenir dans sa main.
Mais dans sa précipitation, il heurta un vase posé sur une console dans le couloir. Le bruit, bien que léger, suffit à alerter Laure qui se redressa brusquement.
— Il y a quelqu'un ? demanda-t-elle, le souffle court et le visage encore rougi par l'orgasme.
Thomas resta immobile, retenant sa respiration. Son cœur battait si fort qu'il était persuadé qu'elle pouvait l'entendre.
Laure se leva, rajustant rapidement sa jupe et son débardeur. Elle s'avança vers le couloir, le corps encore frémissant des sensations qui l'avaient traversée.
— Antoine ? C'est toi ?
Thomas savait qu'il était pris au piège. Il ne pouvait ni s'enfuir ni se cacher. Alors il fit la seule chose qui lui vint à l'esprit. Il avança d'un pas, se révélant à la lumière du salon.
— Salut Laure. Désolé, ton beau-frère m'avait dit de venir chercher un jeu. Je... je ne savais pas que tu étais là.
Les yeux de Laure s'écarquillèrent d'horreur et d'humiliation. Puis son regard descendit vers le jean de Thomas, encore ouvert, révélant son sexe à peine dissimulé par son t-shirt.
— Depuis combien de temps tu es là ? demanda-t-elle, la voix tremblante.
Thomas déglutit difficilement, son regard plongé dans celui de Laure. Il savait qu'il était inutile de mentir.
— Assez longtemps pour tout voir, avoua-t-il d'une voix rauque. Tout.
Le visage de Laure s'empourpra davantage. Une vague de honte la submergea, immédiatement suivie par un frisson d'excitation qu'elle ne put contrôler. Thomas avait vu ses gestes les plus intimes, avait entendu ses gémissements, avait été témoin de son orgasme.
— Tu te branlais en me regardant ? demanda-t-elle abruptement, fixant la bosse encore visible sous son t-shirt.
Thomas ne chercha pas à nier. Son membre tressaillit sous le regard de Laure.
— Oui. Tu es tellement belle quand tu prends du plaisir.
Il fit un pas vers elle, le souffle court.
— Laisse-moi remplacer tes doigts par ma langue, murmura-t-il. J'ai envie de te goûter depuis si longtemps.
Laure sentit son sexe se contracter à ces mots. Elle était encore humide, encore sensible de son récent orgasme, et l'idée de sentir la langue de Thomas contre sa chair la faisait déjà trembler.
— Tu crois que tu peux m'espionner et ensuite exiger des faveurs ? souffla-t-elle, essayant de paraître offensée malgré le désir qui l'envahissait.
Thomas s'approcha encore, jusqu'à ce que leurs corps se frôlent. Elle pouvait sentir son odeur masculine mêlée à celle plus âcre du sperme sur sa main.
— Ce n'est pas une exigence, c'est une supplication, chuchota-t-il à son oreille. Je veux te faire jouir plus fort que tu ne l'as jamais fait.
Ses lèvres frôlèrent le cou de Laure, qui frissonna violemment.
— Laisse-moi te montrer.
Sans attendre sa réponse, Thomas posa ses mains sur ses hanches et l'attira contre lui. Son érection, déjà revenue, pressa contre le ventre de Laure. Il l'embrassa dans le cou, léchant la peau salée par la sueur de son plaisir précédent.
— Je t'ai vue te toucher, souffla-t-il contre sa peau. J'ai vu tes doigts s'enfoncer dans ta chatte trempée. J'ai senti ton odeur jusqu'ici. Maintenant je veux te goûter.
Laure gémit malgré elle. Ses paroles crues l'électrisaient. Elle s'abandonna à son étreinte, laissant sa tête basculer en arrière pour lui offrir son cou.
Thomas fit glisser ses mains sous le débardeur de Laure, caressant sa peau brûlante. Il remonta jusqu'à ses seins, qu'il empauma avec fermeté, pinçant ses tétons entre ses doigts.
— Tes seins sont magnifiques, si durs pour moi, murmura-t-il avant de relever brutalement le vêtement pour les exposer à nouveau.
Il se pencha et prit un téton dans sa bouche, le suçant avidement. Laure gémit plus fort, ses mains s'agrippant aux cheveux de Thomas.
— Tu me rends folle, haleta-t-elle. C'est dégueulasse ce que tu as fait.
— Oui, acquiesça-t-il entre deux succions. Et ça t'excite, n'est-ce pas ? Savoir que je t'ai vue dans ton moment le plus intime.
Laure ne répondit pas, mais son corps parlait pour elle. Sa respiration s'était accélérée, ses cuisses se frottaient l'une contre l'autre, cherchant à apaiser le feu qui renaissait entre elles.
Thomas s'agenouilla devant elle, remontant sa jupe jusqu'à sa taille. Sa culotte était trempée, souillée par les sécrétions de son orgasme précédent.
— Regarde comme tu mouilles, murmura-t-il en frottant son pouce contre le tissu humide. Ta petite chatte me réclame déjà.
D'un geste brusque, il arracha la culotte, qui céda dans un craquement de tissu. Laure sursauta mais ne protesta pas. L'air frais sur son sexe exposé lui arracha un gémissement.
Thomas écarta ses cuisses et contempla son intimité luisante. Les lèvres gonflées étaient d'un rose soutenu, brillantes d'humidité. Son clitoris dépassait légèrement, encore sensible de sa récente stimulation.
— Ta chatte est si belle, si parfaite, souffla-t-il avant de se pencher pour y déposer un baiser léger.
Laure tressaillit violemment. Elle agrippa les cheveux de Thomas, ne sachant pas si elle voulait le repousser ou l'attirer plus près.
Thomas lécha lentement toute la longueur de sa fente, savourant son goût musqué. Sa langue s'attarda sur son clitoris, le caressant en cercles légers avant de descendre pour s'enfoncer dans son entrée trempée.
— Oh putain, gémit Laure en écartant davantage les jambes. Ta langue... c'est tellement bon.
Thomas sourit contre sa chair. Il intensifia ses caresses, alternant entre de longues lappées sur toute sa vulve et des succions précises sur son bouton de plaisir. Ses mains remontèrent le long des cuisses de Laure pour agripper fermement ses fesses, la maintenant contre sa bouche vorace.
Laure sentait ses jambes faiblir. Le plaisir montait en elle par vagues successives, chaque coup de langue de Thomas l'amenant plus près de l'explosion.
— Viens sur le canapé, ordonna Thomas en se redressant, le menton luisant de ses sécrétions.
Il la guida vers le salon, où le film pornographique tournait toujours. Les gémissements des acteurs formaient une bande sonore obscène à leur propre étreinte.
Laure s'allongea sur le canapé, écartant largement les cuisses pour Thomas qui s'agenouilla devant elle. Il reprit son festin avec une ferveur redoublée, sa langue s'enfonçant profondément dans sa chair avant de remonter torturer son clitoris.
— Tu aimes ça, hein ? haleta-t-il contre son sexe. Tu aimes ma langue dans ta petite chatte trempée ?
— Oui, gémit Laure. Oui, j'adore ça. Lèche-moi, fais-moi jouir encore, s'il te plaît.
Thomas introduisit un doigt en elle, puis deux, les courbant pour atteindre ce point sensible à l'intérieur de son vagin. Sa langue continuait de torturer son clitoris, alternant entre de légères caresses et des succions plus intenses.
Laure se cambra violemment, ses hanches ondulant contre la bouche de Thomas. Elle était proche, si proche. Son corps entier se tendait vers cette libération qu'elle sentait monter inexorablement.
— Je vais jouir, cria-t-elle, ses doigts s'enfonçant dans les cheveux de Thomas. Je vais jouir sur ta langue !
Thomas intensifia ses mouvements, sa langue dansant sur son clitoris tandis que ses doigts martelaient son point G. Il sentit les parois de Laure se contracter autour de lui, son corps se raidir sous la vague de plaisir qui la submergeait.
Laure hurla, son orgasme explosant avec une intensité qui la fit trembler de la tête aux pieds. Son sexe pulsait contre la bouche de Thomas, libérant un flot de cyprine qu'il léchait avidement, prolongeant son plaisir jusqu'à ce qu'elle le repousse, trop sensible pour supporter davantage de stimulation.
Thomas se redressa, admirant le spectacle de Laure, allongée devant lui, les jambes écartées, le souffle court, les joues rougies par l'orgasme. Son sexe dressé formait une bosse
impressionnante sous son jean.
— Je crois que je mérite une récompense, non ? murmura-t-il en défaisant sa ceinture.
Laure se redressa sur un coude, regardant Thomas libérer son membre turgescent. Elle n'avait jamais vu le meilleur ami de son beau-frère sous cet angle. Son sexe était impressionnant, épais et veiné, la tête déjà luisante de liquide pré-séminal.
— Viens ici, souffla-t-elle en l'attirant vers elle. Montre-moi ce que tu sais faire avec cette belle queue.
Thomas grimpa sur le canapé, se positionnant entre ses jambes. Il frotta son gland contre la fente humide de Laure, la taquinant, savourant la sensation de sa chair chaude contre lui.
— Je vais te baiser comme la salope que tu es, gronda-t-il à son oreille. Je vais te faire crier mon nom.
— Alors fais-le, le provoqua Laure en mordillant son lobe. Baise-moi, remplis-moi. Montre-moi que tu sais faire autre chose que d'espionner les filles.
Thomas poussa d'un coup sec, s'enfonçant profondément en elle. Laure cria, ses ongles s'enfonçant dans le dos de Thomas. Il était si épais, si dur en elle, remplissant chaque recoin de son intimité.
— Ta chatte est si serrée, si chaude, grogna-t-il en commençant à bouger. Si tu savais depuis combien de temps je rêve de ça.
Leurs corps s'entrechoquaient violemment, le bruit obscène de leurs chairs humides se mêlant aux gémissements du film toujours en cours. Thomas pilonnait Laure sans retenue, ses hanches claquant contre ses fesses à chaque poussée.
— Plus fort, supplia Laure, ses jambes s'enroulant autour de la taille de Thomas. Défonce-moi, baise-moi comme une chienne.
Thomas redoubla d'ardeur, son bassin martelant celui de Laure. Il glissa une main entre leurs corps pour caresser son clitoris, intensifiant son plaisir.
— Tu vas jouir encore pour moi ? haleta-t-il. Tu vas serrer ma queue dans ta petite chatte trempée ?
Laure sentait un nouvel orgasme monter en elle, encore plus puissant que les précédents. Son corps entier vibrait sous les assauts de Thomas. Elle n'était plus que sensations, que plaisir brut.
— Oui, cria-t-elle. Je vais jouir, je vais jouir sur ta grosse bite !
Son corps se contracta violemment, son dos s'arquant sur le canapé tandis que l'orgasme déferlait en elle. Ses parois vaginales se resserrèrent rythmiquement autour du sexe de Thomas, le pressant, l'aspirant plus profondément en elle.
Thomas ne put résister à cette étreinte. Il s'enfonça une dernière fois et explosa en elle, son sperme chaud jaillissant par saccades au plus profond de son intimité.
— Putain, Laure, grogna-t-il en s'effondrant sur elle. Tu es adorable.
Ils restèrent ainsi enlacés, le souffle court, leurs corps moites de sueur. Sur l'écran, le film continuait, ignoré.
— Mon beau-frère va te tuer s'il l'apprend, murmura Laure contre son cou.
Thomas rit doucement, son sexe encore logé en elle.
— Alors il ne doit pas l'apprendre, répondit-il en l'embrassant dans le cou. Et puis, je n'en ai pas fini avec toi.
Il se retira lentement, observant son sperme qui coulait entre les cuisses de Laure. Cette vision ranima son désir presque instantanément.
— Tourne-toi, ordonna-t-il d'une voix rauque. Je veux voir ce joli cul.
Laure obéit, excitée par ce nouveau Thomas dominateur qu'elle découvrait. Elle se mit à quatre pattes sur le canapé, cambrant les reins pour lui offrir une vue imprenable sur son intimité souillée par leurs fluides mêlés.
Thomas caressa ses fesses rondes, les écartant pour mieux admirer son œuvre. Son pouce frôla l'orifice anal de Laure, qui frissonna à ce contact.
— Tu n'as jamais été prise ici ? demanda-t-il en appuyant légèrement.
Le silence qui suivit la question de Thomas fut brisé par le bruit de la porte d'entrée qui s'ouvrait. Laure se figea, le corps encore cambré, les fesses offertes à Thomas.
— Merde, c'est Antoine, souffla-t-elle, paniquée.
Thomas n'eut pas le temps de se rhabiller. Des pas résonnèrent dans le couloir et soudain, Antoine apparut à l'entrée du salon. Il s'immobilisa, le regard rivé sur la scène qui s'offrait à lui : sa belle-soeur à quatre pattes sur le canapé, son meilleur ami agenouillé derrière elle, son sexe encore luisant de leurs fluides mêlés.
— Qu'est-ce que... commença Antoine, les yeux écarquillés.
Laure tenta maladroitement de se couvrir, mais il était trop tard. Son beau-frère avait tout vu : son corps nu, le sperme qui coulait entre ses cuisses, la main de Thomas posée possessivement sur sa fesse.
Un silence lourd s'installa, rompu uniquement par les gémissements obscènes provenant toujours du film pornographique à l'écran.
— Antoine, je peux t'expliquer, balbutia Thomas, cherchant frénétiquement ses vêtements éparpillés.
Antoine resta immobile. Son regard passa de sa belle-soeur à son ami, puis s'attarda sur l'écran de télévision où un trio s'adonnait à des ébats frénétiques. Contre toute attente, un sourire étrange se dessina sur ses lèvres.
— Pas besoin d'explications, dit-il d'une voix rauque. Je comprends parfaitement ce qui se passe ici.
Il ferma la porte du salon derrière lui et avança vers le canapé. Laure remarqua alors la bosse qui déformait son jean.
— Antoine, qu'est-ce que tu fais ? demanda-t-elle, troublée par l'attitude de son beau-frère.
— Ce que je fais ? répondit-il en déboutonnant lentement sa chemise. Je rentre plus tôt que prévu et je trouve ma belle-soeur et mon meilleur pote en train de baiser sur le canapé familial. La vraie question, c'est : qu'est-ce que vous comptiez faire si je n'étais pas rentré ?
Thomas et Laure échangèrent un regard confus. La situation prenait une tournure inattendue.
— Écoute mec, commença Thomas, ce n'est pas ce que tu crois...
Antoine éclata de rire.
— Vraiment ? Ce n'est pas ma belle-soeur à poil sur le canapé avec ton sperme qui coule entre ses cuisses ?
Il s'approcha davantage, désormais torse nu. Son corps musclé brillait légèrement sous la lumière tamisée du salon.
— Tu sais, Thomas, reprit-il en fixant Laure qui n'avait toujours pas bougé, j'ai toujours su que tu la matais. Et toi, petite belle-soeur, si tu savais le nombre de fois où j'ai entendu tes petits gémissements à travers la cloison quand tu te caresses la nuit...
Laure rougit violemment. L'idée que son beau-frère l'ait entendue pendant ses moments intimes aurait dû la horrifier, mais étrangement, une vague de chaleur envahit son bas-ventre.
Antoine déboucla sa ceinture et baissa son jean, révélant une impressionnante érection qui tendait son boxer.
— Alors, puisque les jeux sont faits, pourquoi s'arrêter maintenant ? lança-t-il en libérant son sexe tendu.
Thomas regarda alternativement Laure et Antoine, incrédule.
— Tu... tu veux te taper ta belle-soeur ? demanda-t-il, choqué.
Antoine sourit.
— Non, répondit-il en s'approchant. Je veux qu'on se la tape ensemble.
Il s'agenouilla devant Laure qui n'avait pas bougé, toujours à quatre pattes sur le canapé. Son visage se retrouva à quelques centimètres du sien.
— Qu'en dis-tu, petite belle-soeur ? murmura-t-il. Deux bites pour toi toute seule. N'est-ce pas ce que tu regardais justement sur l'écran ?
Laure déglutit difficilement. Elle savait qu'elle aurait du être révoltée, horrifiée par la proposition de son beau-frère. Mais une excitation malsaine montait en elle, incontrôlable. L'interdit se présentait à elle, et son corps y répondait avec une ardeur qui la surprenait elle-même.
— Tu es malade, souffla-t-elle sans conviction.
— Peut-être, répondit Antoine en approchant son sexe de ses lèvres. Mais je vois bien comment tu me regardes. Tu en as envie autant que moi.
Sans attendre sa réponse, il pressa son gland contre les lèvres de Laure qui, à sa propre surprise, les entrouvrit pour l'accueillir. La sensation de cette chair chaude et dure dans sa bouche lui arracha un gémissement.
Thomas observait la scène, partagé entre choc et excitation. Voir Laure sucer avidement le sexe de son propre beau-frère était à la fois perturbant et incroyablement érotique. Son membre se durcit à nouveau.
— Putain, c'est dingue, murmura-t-il en s'approchant du canapé.
Antoine sourit en voyant le sexe de son ami se dresser.
— Qu'est-ce que tu attends ? lança-t-il à Thomas. Sa chatte est libre.
Thomas hésita un instant, puis céda à ses pulsions. Il se repositionna derrière Laure, écartant ses fesses pour contempler son intimité luisante. D'un coup de reins, il la pénétra à nouveau, arrachant un gémissement étouffé à Laure dont la bouche était pleine du sexe de son beau-frère.
— Sa bouche est si chaude, grogna Antoine en agrippant les cheveux de sa belle-soeur pour guider ses mouvements. Suce-moi plus fort, petite salope.
Laure obéit, intensifiant ses succions. La vulgarité de la situation, d'être prise des deux côtés par son beau-frère et le meilleur ami de celui-ci, décuplait son excitation. Elle sentait le sexe de Thomas marteler son point G tandis que celui d'Antoine s'enfonçait profondément dans sa gorge.
— Ta belle-soeur est une vraie chienne, haleta Thomas en augmentant la cadence de ses coups de reins. Sa chatte me serre comme si elle voulait me traire.
— Je sais, répondit Antoine en fixant le visage de Laure, déformé par l'effort. J'ai toujours su qu'elle cachait une petite salope sous ses airs de fille sage.
Laure gémissait autour du membre d'Antoine, savourant cette double pénétration. Chaque poussée de Thomas la projetait en avant, enfonçant plus profondément le sexe de son beau-frère dans sa gorge. Des larmes perlaient au coin de ses yeux, mais c'étaient des larmes de plaisir.
— Change de place avec moi, ordonna soudain Antoine à Thomas. Je veux goûter sa chatte.
Les deux hommes se retirèrent simultanément. Laure se sentit brusquement vide, haletante, ses lèvres gonflées par la fellation brutale.
— Allonge-toi, lui ordonna son beau-frère en la poussant sur le dos.
Laure s'exécuta, écartant largement les cuisses. Antoine s'agenouilla entre elles, contemplant l'intimité luisante de sa belle-soeur, souillée par le sperme de Thomas.
— Ta chatte est magnifique, murmura-t-il avant de se pencher pour y passer sa langue.
Laure cria sous la caresse de cette langue qui explorait chaque recoin de son sexe. Antoine la léchait avidement, savourant le mélange de ses sécrétions et du sperme de Thomas.
— Le goût de ta cyprine mélangée au foutre de mon pote, c'est putain de bon, grogna-t-il contre sa vulve.
Thomas s'approcha de la tête de Laure, présentant son sexe humide à ses lèvres.
— Nettoie-moi, ordonna-t-il en tapotant son gland contre ses lèvres.
Laure ouvrit la bouche, accueillant ce membre qui venait de la pilonner. Le goût de son propre sexe mêlé aux résidus de sperme l'excita davantage. Elle suça Thomas avec ardeur, tandis que son beau-frère continuait de la dévorer, sa langue s'attardant sur son clitoris gonflé.
— Je vais te baiser maintenant, annonça Antoine en se redressant, le menton luisant des fluides de sa belle-soeur.
Il positionna son sexe à l'entrée de Laure et poussa d'un coup sec, s'enfonçant jusqu'à la garde. Laure hurla autour du membre de Thomas, son corps arqué sous l'assaut.
— Sa chatte est si serrée, putain, grogna Antoine en commençant à la marteler. Je comprends pourquoi tu ne pouvais pas résister, mec.
Thomas intensifia ses mouvements, s'enfonçant plus profondément dans la gorge de Laure.
— Elle aime ça, la petite salope, répondit-il. Regarde comme elle nous avale tous les deux.
Laure était perdue dans un océan de sensations. Être possédée simultanément par ces deux hommes, par son propre beau-frère et son ami, dépassait tout ce qu'elle avait pu imaginer. C'était sale, interdit, pervers, et pourtant si intensément bon.
— Je vais jouir, prévint Antoine, ses coups de reins devenant erratiques. Je vais remplir ta petite chatte de mon sperme, belle-soeurette.
Laure gémit plus fort, ses hanches ondulant pour accueillir chaque poussée. L'idée que son propre beau-frère allait éjaculer en elle aurait dû la répugner, mais au contraire, cela intensifia son excitation. Elle sentit un orgasme monumental monter en elle, dévastateur.
— Moi aussi je vais jouir, haleta Thomas. Je vais te remplir la bouche, salope.
Les deux hommes atteignirent leur paroxysme presque simultanément. Antoine s'enfonça une dernière fois et déversa son sperme au plus profond de sa belle-soeur, tandis que Thomas inondait sa bouche de sa semence chaude. Laure explosa à son tour, son corps secoué de spasmes violents alors que l'orgasme le plus intense de sa vie déferlait en elle.
Thomas se retira, admirant le spectacle de Laure qui avalait goulûment sa semence, quelques gouttes s'échappant au coin de ses lèvres. Antoine resta en elle, savourant les contractions de son vagin autour de son membre encore dur.
— Putain, c'était incroyable, souffla Antoine en se retirant lentement, observant son sperme qui s'écoulait de l'intimité rougie de sa belle-soeur.
Laure reprenait difficilement son souffle, son corps couvert de sueur, ses cheveux collés à son front. Elle aurait dû se sentir honteuse, souillée, mais une étrange satisfaction l'envahissait.
— On a à peine commencé, murmura-t-elle en se redressant, léchant sensuellement ses lèvres encore luisantes du sperme de Thomas. La nuit est longue, et je veux tout essayer.
Antoine et Thomas échangèrent un regard complice, leurs sexes déjà en train de durcir à nouveau.
— Tout ? demanda Antoine avec un sourire carnassier. Tu es sûre de pouvoir nous suivre, petite belle-soeur ?
Laure se mit à genoux sur le canapé, caressant les deux membres qui reprenaient vie sous ses doigts.
— J'ai toujours fantasmé d'être prise par deux hommes en même temps, murmura-t-elle. Une double pénétration. Je vous veux tous les deux en moi.
Thomas caressa ses seins, pinçant ses tétons dressés.
— Tu entends ça, Antoine ? Ta belle-soeur veut qu'on la défonce ensemble. Une vraie petite chienne en chaleur.
Antoine s'approcha, glissant sa main entre les cuisses de Laure pour recueillir un peu de son sperme qui s'en écoulait. Il l'étala lentement autour de son anus, faisant frissonner sa belle-soeur.
— Je vais te prendre ici, souffla-t-il à son oreille. Tu vas sentir ma queue s'enfoncer dans ton cul pendant que Thomas pilonne ta chatte. Tu vas hurler de plaisir, petite belle-soeur.
Laure gémit lorsque le doigt d'Antoine pénétra son anus, enduit du mélange gluant de leurs fluides. Une douleur fulgurante se mêla à une excitation inédite. Thomas la plaqua contre sa poitrine, un sein dans la bouche, tandis que son beau-frère préparait méthodiquement son orifice réticent.
— Respire, salope, grogna Antoine en insérant un second doigt. Je vais te déchirer ce petit cul de vierge.
Laure mordit l'épaule de Thomas pour étouffer son cri. La brûlure s'atténua progressivement, remplacée par une sensation de plénitude perverse. Son clitoris palpitait, trahissant son excitation croissante.
— Elle est prête, annonça Antoine en crachant dans sa paume pour lubrifier son membre imposant. À mon signal…
Thomas positionna son sexe à l'entrée trempée de Laure, maintenue écartée par les mains baladeuses de son beau-frère. L'instant suspendu dura une éternité. Puis, d'un mouvement synchronisé, les deux hommes pénétrèrent simultanément.
Laure hurla, son corps traversé d'un éclair de plaisir-douleur. Les deux sexes emplissaient chaque recoin de son être, Antoine s'enfonçant dans son rectum avec une brutalité calculée tandis que Thomas occupait son vagin jusqu'à la garde.
— Regarde-toi, gronda Antoine en agrippant ses cheveux pour lui montrer le miroir mural. Une vraie chienne à deux queues.
Laure vit son reflet déformé par le plaisir : visage congestionné, seins secoués par les poussées synchronisées, bouche ouverte sur un cri silencieux. La vulgarité de l'image la fit jouir instantanément, son vagin se contractant follement autour de Thomas.
— Putain, elle vient déjà ! s'exclama ce dernier en accélérant son rythme. Serre-moi comme ça, salope !
Antoine lui emboîta le pas, chaque coup de reins enfonçant Laure plus profondément sur le membre de Thomas. Le claquement de leurs chairs résonnait en écho aux gémissements du film oublié.
— Tu sens ma queue dans ton cul, belle-soeurette ? murmura Antoine en lui mordant l'épaule. Tu vas marcher bizarrement pendant une semaine.
Laure ne pouvait que hoqueter en réponse. Les sensations contradictoires - la brûlure anale, le frottement vaginal, les mains qui meurtrissaient sa chair - fusionnaient en un cocktail explosif. Son clitoris, écrasé entre leurs corps en mouvement, irradiait des vagues de plaisir continues.
Soudain, Thomas se retira brutalement. Avant que Laure ne proteste, il lui écarta la bouche et y enfonça son sexe ruisselant.
— Nettoie ma bite, ordonna-t-il en lui maintenant la tête enfoncée sur son entrejambe.
Antoine en profita pour allonger ses coups de reins, atteignant des profondeurs inexplorées. Laure suffoquait, le nez écrasé contre les testicules de Thomas, tandis que son rectum s'adaptait progressivement à l'énorme membre de son beau-frère.
— Elle aime ça, la petite vicieuse, ricana Antoine en giflant ses fesses rougies. Son cul se détend... Elle réclame plus !
Laure sentit un nouvel orgasme monter, plus violent que tous les précédents. Ses muscles se contractèrent simultanément autour des deux sexes, provoquant des grognements bestiaux chez ses partenaires.
— Je vais... je vais... hurla-t-elle, la phrase s'achevant en un gargouillis étouffé par le sexe de Thomas.
Antoine sortit brutalement de son anus pour se masturber frénétiquement. Une giclade de sperme frappa le dos de Laure au moment où Thomas inondait sa gorge. Son propre orgasme la projeta dans un blanc éblouissant, son corps secoué de convulsions incontrôlables.
— Regarde comme elle déborde, murmura Antoine en étalant le sperme sur ses fesses tremblantes. Une vraie fontaine à foutre.
Épuisée mais comblée comme jamais auparavant, Laure s'effondra entre les corps moites de son beau-frère et de Thomas. Ses orifices, dilatés et endoloris, pulsaient encore au rythme des orgasmes violents qui l'avaient traversée. Le sperme mêlé des deux hommes s'écoulait lentement entre ses cuisses tremblantes, souillant davantage le canapé déjà ravagé par leurs ébats frénétiques.
— C'était... incroyable, haleta-t-elle en passant une main dans ses cheveux trempés de sueur.
Antoine se redressa sur un coude, admirant le corps dévasté de sa belle-soeur. Des marques rouges ornaient ses hanches là où ses doigts s'étaient enfoncés durant la double pénétration. Ses tétons, gonflés et irrités, témoignaient des succions brutales qu'ils avaient subies.
— Tu m'impressionnes, petite belle-soeur, murmura-t-il en caressant distraitement son ventre. Je ne t'aurais jamais cru capable de prendre autant.
Thomas, allongé de l'autre côté, observait le plafond d'un air pensif. Son sexe, toujours semi-rigide malgré les multiples éjaculations, reposait lourdement sur sa cuisse. Il tourna la tête vers Laure, un sourire énigmatique se dessinant sur ses lèvres.
— Tu sais ce qui serait encore plus excitant ? lança-t-il en laissant sa main glisser entre les cuisses de Laure pour y récolter leurs fluides mêlés.
— Quoi ? gémit-elle, frissonnant sous la caresse de ces doigts qui ranimaient déjà son désir.
— Inviter quelqu'un d'autre à se joindre à nous, répondit Thomas en portant ses doigts souillés à sa bouche, les léchant avec une délectation ostentatoire. Une autre fille. Une de tes amies.
Laure écarquilla les yeux, son sexe se contractant involontairement à cette suggestion. L'idée de partager cette débauche avec une amie, d'être observée par elle pendant qu'elle se faisait prendre par son propre beau-frère, provoqua en elle une vague d'excitation inattendue.
— Sarah, souffla-t-elle spontanément. Ma collègue de bureau.
Thomas et Antoine échangèrent un regard complice.
— Raconte-nous, ordonna Antoine en pinçant doucement un téton de sa belle-soeur. Comment est-elle ?
Laure ferma les yeux, imaginant sa collègue dans cette situation.
— Elle est rousse, avec des seins plus gros que les miens. Elle a toujours des décolletés provocants au bureau. Les hommes se retournent sur elle quand elle passe.
— Et tu crois qu'elle accepterait de se joindre à nous ? demanda Thomas, son sexe durcissant visiblement à la description.
— Elle m'a avoué un jour, après quelques verres, qu'elle fantasmait sur les plans à plusieurs, murmura Laure en se mordant la lèvre. Elle m'a même dit qu'elle me trouvait sexy.
Antoine émit un grognement appréciateur.
— Appelle-la maintenant, ordonna-t-il. Dis-lui de venir pour une soirée cinéma ou un truc du genre.
— Maintenant ? s'étonna Laure.
— Oui, maintenant, confirma Thomas. On veut voir si tu es capable d'aller jusqu'au bout de tes fantasmes, salope.
Ces mots crus firent frissonner Laure. Elle se redressa, cherchant son téléphone dans son sac abandonné près du canapé. Ses jambes tremblaient encore quand elle composa le numéro de Sarah.
— Allô, Sarah ? C'est Laure. Ça te dirait de passer à la maison ce soir ? Je suis seule et... Non, juste pour boire un verre, rien de spécial.
Thomas et Antoine observaient la scène avec amusement, leurs mains caressant nonchalamment leurs sexes qui se raidissaient à nouveau.
Vingt minutes plus tard, la sonnette retentit. Laure, qui s'était rapidement douchée et habillée d'une simple robe d'été sans sous-vêtements, sentit son cœur s'accélérer. Antoine et Thomas s'étaient dissimulés dans la cuisine, nus mais prêts à intervenir au signal convenu.
— Sarah ! s'exclama Laure en ouvrant la porte, tentant de masquer sa nervosité.
La rousse flamboyante qui se tenait devant elle portait une jupe moulante qui épousait parfaitement ses formes généreuses et un chemisier blanc entrouvert qui laissait deviner la naissance de ses seins.
— J'espère que je ne dérange pas, dit Sarah en entrant. Tu avais l'air bizarre au téléphone.
— Non, pas du tout, répondit Laure en la guidant vers le salon. J'ai ouvert du vin, tu en veux ?
Sarah acquiesça, ses yeux s'attardant sur le canapé dérangé et les coussins éparpillés.
— Tu as eu de la visite ? demanda-t-elle avec un sourire narquois.
Laure rougit, consciente que l'odeur de sexe imprégnait encore la pièce malgré la fenêtre ouverte.
— En fait, avoua-t-elle en s'approchant de son amie, j'ai quelque chose à te proposer.
Sarah haussa un sourcil, intriguée par le ton de sa collègue.
— Je t'écoute, dit-elle en portant le verre de vin à ses lèvres.
Laure inspira profondément.
— Tu te souviens de cette soirée où tu m'as parlé de tes fantasmes ? Quand tu m'as dit que tu aimerais essayer une expérience... multiple ?
Les yeux de Sarah s'écarquillèrent légèrement.
— Oui, bien sûr, répondit-elle prudemment. Pourquoi ?
Au lieu de répondre, Laure s'approcha d'elle et, dans un geste d'une audace qui la surprit elle-même, posa ses lèvres sur celles de Sarah. La rousse se figea un instant avant de répondre au baiser, sa langue venant caresser celle de Laure avec une douceur qui contrastait avec la brutalité des étreintes précédentes.
— J'ai deux hommes dans la cuisine, murmura Laure contre ses lèvres. Ils m'ont baisée toute la soirée et maintenant ils veulent te rencontrer.
Sarah recula légèrement, les joues rougies d'excitation.
— Deux hommes ? souffla-t-elle. Qui ?
Laure hésita un instant.
— Mon beau-frère et son meilleur ami, avoua-t-elle finalement.
Un éclair d'incrédulité traversa le regard de Sarah.
— Ton beau-frère ? Tu as couché avec ton propre beau-frère ?
Laure hocha la tête, s'attendant à voir son amie partir en courant. Mais contre toute attente, Sarah laissa échapper un gémissement étouffé.
— C'est le truc le plus pervers que j'aie jamais entendu, murmura-t-elle en se mordant la lèvre. Et ça m'excite terriblement.
Laure sourit, soulagée. D'un geste lent, elle saisit la main de Sarah et la guida entre ses cuisses nues sous sa robe.
— Sens comme je suis encore trempée de leur sperme, chuchota-t-elle. Ils m'ont prise ensemble, l'un dans la chatte, l'autre dans le cul. Je n'ai jamais joui aussi fort de ma vie.
Sarah frémit, ses doigts s'enfonçant instinctivement dans l'intimité humide de Laure.
— Appelle-les, souffla-t-elle d'une voix rauque. Je veux les voir.
Laure sourit et lança un regard vers la cuisine.
— Vous pouvez venir, lança-t-elle. Elle est d'accord.
Antoine et Thomas apparurent, entièrement nus, leurs sexes déjà dressés en anticipation. Sarah les dévisagea avec un mélange de stupeur et de désir, sa main toujours enfouie sous la robe de Laure.
— Sarah, voici mon beau-frère Antoine et son ami Thomas, présenta Laure. Messieurs, voici Sarah, ma collègue dont je vous parlais.
Antoine s'approcha, son imposante virilité oscillant à chaque pas.
— Enchanté, Sarah, dit-il en saisissant sa main libre pour la porter à ses lèvres. J'espère que tu es aussi gourmande que ma belle-soeur.
Thomas contourna le canapé pour se placer derrière la rousse, collant son torse contre son dos.
— On va bien s'occuper de toi, promit-il en défaisant lentement les boutons de son chemisier. Tu n'as qu'à te laisser faire.
Sarah frémit, prise en sandwich entre les deux hommes tandis que Laure observait la scène, se délectant de l'expression de désir qui s'inscrivait sur le visage de son amie.
— Déshabille-la, ordonna Antoine à sa belle-soeur. Montre-nous ce qu'elle cache sous ces vêtements.
Laure s'exécuta avec empressement, aidant Thomas à retirer le chemisier de Sarah pour révéler un soutien-gorge en dentelle noire qui contenait difficilement sa poitrine généreuse. Ses mains glissèrent ensuite le long des hanches de son amie pour faire descendre sa jupe, dévoilant un string assorti qui disparaissait entre ses fesses rondes.
— Magnifique, commenta Antoine en caressant les seins de Sarah à travers la dentelle. Tu avais raison, petite belle-soeur, elle est parfaite.
Sarah gémit sous les attentions des trois paires de mains qui exploraient désormais son corps. Thomas défaisait son soutien-gorge tandis que Laure s'agenouillait devant elle pour faire glisser son string le long de ses jambes. Antoine s'emparait de sa bouche dans un baiser vorace.
— Je veux voir les deux filles ensemble, déclara Thomas une fois Sarah complètement nue. Je veux les voir se lécher.
Antoine acquiesça, libérant les lèvres gonflées de Sarah.
— Sur le canapé, ordonna-t-il. Toi d'abord, Laure. Sur le dos.
Laure obéit, s'allongeant sur le canapé et écartant largement les cuisses, exposant son sexe encore luisant des fluides des deux hommes. Sarah, guidée par Antoine, se positionna au-dessus d'elle dans un 69 parfait, offrant sa vulve déjà humide au visage de Laure.
— Léchez-vous, salopes, grogna Thomas en se masturbant devant le spectacle.
Les deux femmes ne se firent pas prier. La langue de Laure s'aventura dans les replis intimes de son amie tandis que celle de Sarah plongeait dans son intimité souillée, goûtant le mélange de sa cyprine et du sperme des deux hommes.
Antoine se positionna derrière Sarah, admirant ses fesses offertes alors qu'elle se penchait pour lécher Laure. D'un coup de reins brutal, il la pénétra, arrachant un cri étouffé à la rousse.
— Ta collègue est aussi serrée que toi, commenta-t-il à l'attention de sa belle-soeur. Je vais la défoncer comme je t'ai défoncée tout à l'heure.
Thomas ne resta pas inactif. Il s'approcha du visage de Laure, présentant son sexe à ses lèvres qu'elle ouvrit avidement pour l'accueillir. La scène était désormais complète : Sarah léchant Laure qui suçait Thomas pendant qu'Antoine pilonnait Sarah.
Les gémissements et les bruits de succion emplissaient la pièce, créant une symphonie obscène de plaisir brut. Les corps s'entremêlaient dans une chorégraphie lubrique, passant d'une position à l'autre sans jamais rompre le contact.
— Je veux la double, gémit soudain Sarah en relevant la tête du sexe de Laure. Comme vous l'avez fait à Laure. Je veux vous sentir tous les deux en moi.
Antoine et Thomas échangèrent un regard satisfait. Ils n'avaient pas espéré une telle aubaine pour leur première rencontre.
— Mets-toi à quatre pattes, ordonna Antoine à la rousse. Je vais te préparer.
Sarah s'exécuta avec empressement, cambrant les reins pour offrir ses deux orifices. Antoine cracha entre ses fesses, lubrifiant son anus avant d'y insérer doucement un doigt, puis deux.
— Regarde comme elle est affamée, commenta-t-il à l'attention de Thomas. Son petit cul s'ouvre déjà pour nous.
Laure, libérée du poids de Sarah, se redressa pour observer la scène. Voir son amie se faire préparer à la sodomie par son beau-frère l'excitait au-delà du raisonnable. Elle s'approcha, se glissant sous Sarah pour atteindre son clitoris de sa langue, l'aidant à se détendre davantage.
— C'est ça, encourage-la, approuva Thomas en caressant les cheveux de Laure. Prépare-la bien pour nous.
Quand Antoine jugea l'anus de Sarah suffisamment dilaté, il s'allongea sur le dos sur le tapis du salon.
— Viens t'empaler sur ma queue, ordonna-t-il à la rousse. Je veux te voir chevaucher.
Sarah ne se fit pas prier. Elle s'agenouilla au-dessus d'Antoine, guidant son imposant membre jusqu'à son sexe trempé avant de s'abaisser lentement, l'accueillant centimètre par centimètre en elle.
— Oh mon Dieu, gémit-elle en le sentant la remplir entièrement. C'est énorme.
Thomas se positionna derrière elle, son sexe rigide pressant contre l'orifice préparé par Antoine.
— Maintenant, tu vas prendre les deux, annonça-t-il en commençant à pousser.
Laure, fascinée, s'agenouilla près de la tête d'Antoine pour observer de près la pénétration. Elle vit le gland de Thomas forcer la résistance de l'anus de Sarah, s'enfonçant progressivement dans cette étroitesse interdite.
— Respire profondément, conseilla-t-elle à son amie en lui caressant les seins. Ça va passer.
Sarah haletait, le visage crispé par le mélange de douleur et de plaisir alors que Thomas continuait sa progression implacable.
— Putain, c'est serré, grogna-t-il en s'immobilisant une fois entièrement engainé.
Les deux hommes restèrent immobiles un moment, laissant à Sarah le temps de s'adapter à cette double invasion. Puis, comme mus par un signal invisible, ils commencèrent à bouger en alternance, l'un se retirant quand l'autre s'enfonçait.
— C'est... c'est... bégaya Sarah, incapable de former une phrase cohérente sous l'assaut de sensations qui la submergeaient.
Laure, excitée par le spectacle, se glissa sous le trio pour lécher le point de jonction entre les sexes d'Antoine et de Sarah, goûtant la cyprine abondante qui s'en écoulait.
L'orgie atteignait son paroxysme. Les quatre corps entremêlés bougeaient à l'unisson, chacun donnant et recevant du plaisir dans une débauche sans retenue. Sarah hurlait son plaisir, son corps traversé d'orgasmes successifs tandis que les deux hommes accéléraient leurs va-et-vient.
— Je vais jouir, prévint Antoine, ses coups de reins devenant frénétiques.
— Moi aussi, grogna Thomas en s'enfonçant brutalement dans l'anus de Sarah.
Les deux hommes explosèrent simultanément, inondant les entrailles de la rousse de leur semence brûlante. Sarah se raidit, traversée par un ultime orgasme qui la fit s'effondrer sur la poitrine d'Antoine.
Laure, toujours à genoux près d'eux, observait avec fascination le sperme qui s'écoulait des orifices dilatés de son amie. Sans qu'on le lui demande, elle s'approcha pour lécher ces fluides mêlés, nettoyant délicatement Sarah qui gémissait faiblement sous cette dernière caresse.
Épuisés mais satisfaits, les quatre participants s'affalèrent sur le tapis du salon, leurs corps luisants de sueur enchevêtrés dans un abandon post-orgasmique.
— Je n'aurais jamais cru que ma première orgie serait avec ma collègue de bureau, son beau-frère et son meilleur ami, murmura Sarah en caressant distraitement le ventre de Laure.
Antoine rit doucement, son sexe reposant mollement contre sa cuisse.
— Et ce n'est que le début, promit-il en échangeant un regard entendu avec Thomas. La nuit est encore jeune.
Elle avait attendu ce moment toute la semaine. La tension accumulée au travail, les regards insistants de son patron, tout cela l'avait maintenue dans un état d'excitation latente qu'elle n'avait pas pu satisfaire.
Laure attrapa la télécommande et lança l'application de streaming. Elle connaissait déjà le film qu'elle voulait regarder. Un de ces films pornographiques au scénario minimal mais aux scènes explicites qui l'excitaient particulièrement. La scène s'afficha sur le grand écran du salon. Un homme et deux femmes s'adonnaient à des caresses dans un décor luxueux.
— Putain, c'est bon, murmura-t-elle en glissant une main sous son débardeur.
Elle caressa doucement ses seins, pinçant légèrement ses tétons qui durcissaient sous ses doigts. Sa respiration s'accéléra tandis que sur l'écran, les ébats devenaient plus intenses. Les gémissements des actrices emplissaient le salon.
Ce que Laure ignorait, c'est que Thomas, le meilleur ami de son beau-frère, venait d'entrer. Antoine lui avait prêté un jeu vidéo et lui avait dit d'aller le récupérer directement chez lui, lui donnant le code de la porte d'entrée. Thomas s'était figé dans le couloir en entendant les sons caractéristiques provenant du salon.
Poussé par une curiosité malsaine, il s'était approché silencieusement. De là où il se tenait, il pouvait voir parfaitement Laure allongée sur le canapé. Elle avait maintenant relevé son débardeur, exposant ses seins parfaits à l'air libre. Sa main droite s'activait sous sa jupe, qu'elle avait relevée jusqu'à la taille.
Thomas sentit son sexe durcir instantanément dans son jean. Il connaissait Laure depuis des années, l'avait toujours trouvée attirante mais n'avait jamais osé l'approcher. La voir ainsi, vulnérable et offerte à son regard, provoquait en lui une excitation presque douloureuse.
Laure gémissait maintenant sans retenue. Elle avait complètement oublié où elle se trouvait. Ses doigts s'enfonçaient profondément dans son sexe trempé tandis que son autre main malaxait ses seins. Les acteurs à l'écran étaient maintenant engagés dans une pénétration brutale qui la fascinait.
— Oui, comme ça, baise-moi comme ça, murmurait-elle, imaginant être à la place de l'actrice.
Thomas n'avait pas bougé d'un centimètre. Il observait, hypnotisé, la scène qui se déroulait devant lui. Il sentait son membre palpiter douloureusement contre la toile de son jean. Sans réfléchir, il l'avait libéré et le caressait maintenant au même rythme que les doigts de Laure.
L'odeur de son excitation parvenait jusqu'à lui. Cette fragrance intime, musquée et sauvage, le rendait fou. Il voulait la goûter, s'abreuver à la source de ce nectar qu'il imaginait couler entre ses cuisses.
Laure écarta davantage les jambes. Dans cette position, Thomas pouvait apercevoir ses doigts luisants qui allaient et venaient entre ses lèvres gonflées. Sa culotte avait été repoussée sur le côté, révélant son intimité sans pudeur.
— Putain, je vais jouir, haleta-t-elle en accélérant le mouvement de ses doigts.
Son corps se tendit comme un arc. Ses cuisses se refermèrent brièvement avant de s'écarter à nouveau, offrant à Thomas la vue de son sexe palpitant sous les spasmes de l'orgasme. Ses gémissements s'étaient transformés en cris rauques qui résonnaient dans la pièce.
Thomas ne put se contenir plus longtemps. Il éjacula violemment, mordant son poing pour ne pas révéler sa présence. Son sperme jaillit en longs jets qu'il tenta maladroitement de contenir dans sa main.
Mais dans sa précipitation, il heurta un vase posé sur une console dans le couloir. Le bruit, bien que léger, suffit à alerter Laure qui se redressa brusquement.
— Il y a quelqu'un ? demanda-t-elle, le souffle court et le visage encore rougi par l'orgasme.
Thomas resta immobile, retenant sa respiration. Son cœur battait si fort qu'il était persuadé qu'elle pouvait l'entendre.
Laure se leva, rajustant rapidement sa jupe et son débardeur. Elle s'avança vers le couloir, le corps encore frémissant des sensations qui l'avaient traversée.
— Antoine ? C'est toi ?
Thomas savait qu'il était pris au piège. Il ne pouvait ni s'enfuir ni se cacher. Alors il fit la seule chose qui lui vint à l'esprit. Il avança d'un pas, se révélant à la lumière du salon.
— Salut Laure. Désolé, ton beau-frère m'avait dit de venir chercher un jeu. Je... je ne savais pas que tu étais là.
Les yeux de Laure s'écarquillèrent d'horreur et d'humiliation. Puis son regard descendit vers le jean de Thomas, encore ouvert, révélant son sexe à peine dissimulé par son t-shirt.
— Depuis combien de temps tu es là ? demanda-t-elle, la voix tremblante.
Thomas déglutit difficilement, son regard plongé dans celui de Laure. Il savait qu'il était inutile de mentir.
— Assez longtemps pour tout voir, avoua-t-il d'une voix rauque. Tout.
Le visage de Laure s'empourpra davantage. Une vague de honte la submergea, immédiatement suivie par un frisson d'excitation qu'elle ne put contrôler. Thomas avait vu ses gestes les plus intimes, avait entendu ses gémissements, avait été témoin de son orgasme.
— Tu te branlais en me regardant ? demanda-t-elle abruptement, fixant la bosse encore visible sous son t-shirt.
Thomas ne chercha pas à nier. Son membre tressaillit sous le regard de Laure.
— Oui. Tu es tellement belle quand tu prends du plaisir.
Il fit un pas vers elle, le souffle court.
— Laisse-moi remplacer tes doigts par ma langue, murmura-t-il. J'ai envie de te goûter depuis si longtemps.
Laure sentit son sexe se contracter à ces mots. Elle était encore humide, encore sensible de son récent orgasme, et l'idée de sentir la langue de Thomas contre sa chair la faisait déjà trembler.
— Tu crois que tu peux m'espionner et ensuite exiger des faveurs ? souffla-t-elle, essayant de paraître offensée malgré le désir qui l'envahissait.
Thomas s'approcha encore, jusqu'à ce que leurs corps se frôlent. Elle pouvait sentir son odeur masculine mêlée à celle plus âcre du sperme sur sa main.
— Ce n'est pas une exigence, c'est une supplication, chuchota-t-il à son oreille. Je veux te faire jouir plus fort que tu ne l'as jamais fait.
Ses lèvres frôlèrent le cou de Laure, qui frissonna violemment.
— Laisse-moi te montrer.
Sans attendre sa réponse, Thomas posa ses mains sur ses hanches et l'attira contre lui. Son érection, déjà revenue, pressa contre le ventre de Laure. Il l'embrassa dans le cou, léchant la peau salée par la sueur de son plaisir précédent.
— Je t'ai vue te toucher, souffla-t-il contre sa peau. J'ai vu tes doigts s'enfoncer dans ta chatte trempée. J'ai senti ton odeur jusqu'ici. Maintenant je veux te goûter.
Laure gémit malgré elle. Ses paroles crues l'électrisaient. Elle s'abandonna à son étreinte, laissant sa tête basculer en arrière pour lui offrir son cou.
Thomas fit glisser ses mains sous le débardeur de Laure, caressant sa peau brûlante. Il remonta jusqu'à ses seins, qu'il empauma avec fermeté, pinçant ses tétons entre ses doigts.
— Tes seins sont magnifiques, si durs pour moi, murmura-t-il avant de relever brutalement le vêtement pour les exposer à nouveau.
Il se pencha et prit un téton dans sa bouche, le suçant avidement. Laure gémit plus fort, ses mains s'agrippant aux cheveux de Thomas.
— Tu me rends folle, haleta-t-elle. C'est dégueulasse ce que tu as fait.
— Oui, acquiesça-t-il entre deux succions. Et ça t'excite, n'est-ce pas ? Savoir que je t'ai vue dans ton moment le plus intime.
Laure ne répondit pas, mais son corps parlait pour elle. Sa respiration s'était accélérée, ses cuisses se frottaient l'une contre l'autre, cherchant à apaiser le feu qui renaissait entre elles.
Thomas s'agenouilla devant elle, remontant sa jupe jusqu'à sa taille. Sa culotte était trempée, souillée par les sécrétions de son orgasme précédent.
— Regarde comme tu mouilles, murmura-t-il en frottant son pouce contre le tissu humide. Ta petite chatte me réclame déjà.
D'un geste brusque, il arracha la culotte, qui céda dans un craquement de tissu. Laure sursauta mais ne protesta pas. L'air frais sur son sexe exposé lui arracha un gémissement.
Thomas écarta ses cuisses et contempla son intimité luisante. Les lèvres gonflées étaient d'un rose soutenu, brillantes d'humidité. Son clitoris dépassait légèrement, encore sensible de sa récente stimulation.
— Ta chatte est si belle, si parfaite, souffla-t-il avant de se pencher pour y déposer un baiser léger.
Laure tressaillit violemment. Elle agrippa les cheveux de Thomas, ne sachant pas si elle voulait le repousser ou l'attirer plus près.
Thomas lécha lentement toute la longueur de sa fente, savourant son goût musqué. Sa langue s'attarda sur son clitoris, le caressant en cercles légers avant de descendre pour s'enfoncer dans son entrée trempée.
— Oh putain, gémit Laure en écartant davantage les jambes. Ta langue... c'est tellement bon.
Thomas sourit contre sa chair. Il intensifia ses caresses, alternant entre de longues lappées sur toute sa vulve et des succions précises sur son bouton de plaisir. Ses mains remontèrent le long des cuisses de Laure pour agripper fermement ses fesses, la maintenant contre sa bouche vorace.
Laure sentait ses jambes faiblir. Le plaisir montait en elle par vagues successives, chaque coup de langue de Thomas l'amenant plus près de l'explosion.
— Viens sur le canapé, ordonna Thomas en se redressant, le menton luisant de ses sécrétions.
Il la guida vers le salon, où le film pornographique tournait toujours. Les gémissements des acteurs formaient une bande sonore obscène à leur propre étreinte.
Laure s'allongea sur le canapé, écartant largement les cuisses pour Thomas qui s'agenouilla devant elle. Il reprit son festin avec une ferveur redoublée, sa langue s'enfonçant profondément dans sa chair avant de remonter torturer son clitoris.
— Tu aimes ça, hein ? haleta-t-il contre son sexe. Tu aimes ma langue dans ta petite chatte trempée ?
— Oui, gémit Laure. Oui, j'adore ça. Lèche-moi, fais-moi jouir encore, s'il te plaît.
Thomas introduisit un doigt en elle, puis deux, les courbant pour atteindre ce point sensible à l'intérieur de son vagin. Sa langue continuait de torturer son clitoris, alternant entre de légères caresses et des succions plus intenses.
Laure se cambra violemment, ses hanches ondulant contre la bouche de Thomas. Elle était proche, si proche. Son corps entier se tendait vers cette libération qu'elle sentait monter inexorablement.
— Je vais jouir, cria-t-elle, ses doigts s'enfonçant dans les cheveux de Thomas. Je vais jouir sur ta langue !
Thomas intensifia ses mouvements, sa langue dansant sur son clitoris tandis que ses doigts martelaient son point G. Il sentit les parois de Laure se contracter autour de lui, son corps se raidir sous la vague de plaisir qui la submergeait.
Laure hurla, son orgasme explosant avec une intensité qui la fit trembler de la tête aux pieds. Son sexe pulsait contre la bouche de Thomas, libérant un flot de cyprine qu'il léchait avidement, prolongeant son plaisir jusqu'à ce qu'elle le repousse, trop sensible pour supporter davantage de stimulation.
Thomas se redressa, admirant le spectacle de Laure, allongée devant lui, les jambes écartées, le souffle court, les joues rougies par l'orgasme. Son sexe dressé formait une bosse
impressionnante sous son jean.
— Je crois que je mérite une récompense, non ? murmura-t-il en défaisant sa ceinture.
Laure se redressa sur un coude, regardant Thomas libérer son membre turgescent. Elle n'avait jamais vu le meilleur ami de son beau-frère sous cet angle. Son sexe était impressionnant, épais et veiné, la tête déjà luisante de liquide pré-séminal.
— Viens ici, souffla-t-elle en l'attirant vers elle. Montre-moi ce que tu sais faire avec cette belle queue.
Thomas grimpa sur le canapé, se positionnant entre ses jambes. Il frotta son gland contre la fente humide de Laure, la taquinant, savourant la sensation de sa chair chaude contre lui.
— Je vais te baiser comme la salope que tu es, gronda-t-il à son oreille. Je vais te faire crier mon nom.
— Alors fais-le, le provoqua Laure en mordillant son lobe. Baise-moi, remplis-moi. Montre-moi que tu sais faire autre chose que d'espionner les filles.
Thomas poussa d'un coup sec, s'enfonçant profondément en elle. Laure cria, ses ongles s'enfonçant dans le dos de Thomas. Il était si épais, si dur en elle, remplissant chaque recoin de son intimité.
— Ta chatte est si serrée, si chaude, grogna-t-il en commençant à bouger. Si tu savais depuis combien de temps je rêve de ça.
Leurs corps s'entrechoquaient violemment, le bruit obscène de leurs chairs humides se mêlant aux gémissements du film toujours en cours. Thomas pilonnait Laure sans retenue, ses hanches claquant contre ses fesses à chaque poussée.
— Plus fort, supplia Laure, ses jambes s'enroulant autour de la taille de Thomas. Défonce-moi, baise-moi comme une chienne.
Thomas redoubla d'ardeur, son bassin martelant celui de Laure. Il glissa une main entre leurs corps pour caresser son clitoris, intensifiant son plaisir.
— Tu vas jouir encore pour moi ? haleta-t-il. Tu vas serrer ma queue dans ta petite chatte trempée ?
Laure sentait un nouvel orgasme monter en elle, encore plus puissant que les précédents. Son corps entier vibrait sous les assauts de Thomas. Elle n'était plus que sensations, que plaisir brut.
— Oui, cria-t-elle. Je vais jouir, je vais jouir sur ta grosse bite !
Son corps se contracta violemment, son dos s'arquant sur le canapé tandis que l'orgasme déferlait en elle. Ses parois vaginales se resserrèrent rythmiquement autour du sexe de Thomas, le pressant, l'aspirant plus profondément en elle.
Thomas ne put résister à cette étreinte. Il s'enfonça une dernière fois et explosa en elle, son sperme chaud jaillissant par saccades au plus profond de son intimité.
— Putain, Laure, grogna-t-il en s'effondrant sur elle. Tu es adorable.
Ils restèrent ainsi enlacés, le souffle court, leurs corps moites de sueur. Sur l'écran, le film continuait, ignoré.
— Mon beau-frère va te tuer s'il l'apprend, murmura Laure contre son cou.
Thomas rit doucement, son sexe encore logé en elle.
— Alors il ne doit pas l'apprendre, répondit-il en l'embrassant dans le cou. Et puis, je n'en ai pas fini avec toi.
Il se retira lentement, observant son sperme qui coulait entre les cuisses de Laure. Cette vision ranima son désir presque instantanément.
— Tourne-toi, ordonna-t-il d'une voix rauque. Je veux voir ce joli cul.
Laure obéit, excitée par ce nouveau Thomas dominateur qu'elle découvrait. Elle se mit à quatre pattes sur le canapé, cambrant les reins pour lui offrir une vue imprenable sur son intimité souillée par leurs fluides mêlés.
Thomas caressa ses fesses rondes, les écartant pour mieux admirer son œuvre. Son pouce frôla l'orifice anal de Laure, qui frissonna à ce contact.
— Tu n'as jamais été prise ici ? demanda-t-il en appuyant légèrement.
Le silence qui suivit la question de Thomas fut brisé par le bruit de la porte d'entrée qui s'ouvrait. Laure se figea, le corps encore cambré, les fesses offertes à Thomas.
— Merde, c'est Antoine, souffla-t-elle, paniquée.
Thomas n'eut pas le temps de se rhabiller. Des pas résonnèrent dans le couloir et soudain, Antoine apparut à l'entrée du salon. Il s'immobilisa, le regard rivé sur la scène qui s'offrait à lui : sa belle-soeur à quatre pattes sur le canapé, son meilleur ami agenouillé derrière elle, son sexe encore luisant de leurs fluides mêlés.
— Qu'est-ce que... commença Antoine, les yeux écarquillés.
Laure tenta maladroitement de se couvrir, mais il était trop tard. Son beau-frère avait tout vu : son corps nu, le sperme qui coulait entre ses cuisses, la main de Thomas posée possessivement sur sa fesse.
Un silence lourd s'installa, rompu uniquement par les gémissements obscènes provenant toujours du film pornographique à l'écran.
— Antoine, je peux t'expliquer, balbutia Thomas, cherchant frénétiquement ses vêtements éparpillés.
Antoine resta immobile. Son regard passa de sa belle-soeur à son ami, puis s'attarda sur l'écran de télévision où un trio s'adonnait à des ébats frénétiques. Contre toute attente, un sourire étrange se dessina sur ses lèvres.
— Pas besoin d'explications, dit-il d'une voix rauque. Je comprends parfaitement ce qui se passe ici.
Il ferma la porte du salon derrière lui et avança vers le canapé. Laure remarqua alors la bosse qui déformait son jean.
— Antoine, qu'est-ce que tu fais ? demanda-t-elle, troublée par l'attitude de son beau-frère.
— Ce que je fais ? répondit-il en déboutonnant lentement sa chemise. Je rentre plus tôt que prévu et je trouve ma belle-soeur et mon meilleur pote en train de baiser sur le canapé familial. La vraie question, c'est : qu'est-ce que vous comptiez faire si je n'étais pas rentré ?
Thomas et Laure échangèrent un regard confus. La situation prenait une tournure inattendue.
— Écoute mec, commença Thomas, ce n'est pas ce que tu crois...
Antoine éclata de rire.
— Vraiment ? Ce n'est pas ma belle-soeur à poil sur le canapé avec ton sperme qui coule entre ses cuisses ?
Il s'approcha davantage, désormais torse nu. Son corps musclé brillait légèrement sous la lumière tamisée du salon.
— Tu sais, Thomas, reprit-il en fixant Laure qui n'avait toujours pas bougé, j'ai toujours su que tu la matais. Et toi, petite belle-soeur, si tu savais le nombre de fois où j'ai entendu tes petits gémissements à travers la cloison quand tu te caresses la nuit...
Laure rougit violemment. L'idée que son beau-frère l'ait entendue pendant ses moments intimes aurait dû la horrifier, mais étrangement, une vague de chaleur envahit son bas-ventre.
Antoine déboucla sa ceinture et baissa son jean, révélant une impressionnante érection qui tendait son boxer.
— Alors, puisque les jeux sont faits, pourquoi s'arrêter maintenant ? lança-t-il en libérant son sexe tendu.
Thomas regarda alternativement Laure et Antoine, incrédule.
— Tu... tu veux te taper ta belle-soeur ? demanda-t-il, choqué.
Antoine sourit.
— Non, répondit-il en s'approchant. Je veux qu'on se la tape ensemble.
Il s'agenouilla devant Laure qui n'avait pas bougé, toujours à quatre pattes sur le canapé. Son visage se retrouva à quelques centimètres du sien.
— Qu'en dis-tu, petite belle-soeur ? murmura-t-il. Deux bites pour toi toute seule. N'est-ce pas ce que tu regardais justement sur l'écran ?
Laure déglutit difficilement. Elle savait qu'elle aurait du être révoltée, horrifiée par la proposition de son beau-frère. Mais une excitation malsaine montait en elle, incontrôlable. L'interdit se présentait à elle, et son corps y répondait avec une ardeur qui la surprenait elle-même.
— Tu es malade, souffla-t-elle sans conviction.
— Peut-être, répondit Antoine en approchant son sexe de ses lèvres. Mais je vois bien comment tu me regardes. Tu en as envie autant que moi.
Sans attendre sa réponse, il pressa son gland contre les lèvres de Laure qui, à sa propre surprise, les entrouvrit pour l'accueillir. La sensation de cette chair chaude et dure dans sa bouche lui arracha un gémissement.
Thomas observait la scène, partagé entre choc et excitation. Voir Laure sucer avidement le sexe de son propre beau-frère était à la fois perturbant et incroyablement érotique. Son membre se durcit à nouveau.
— Putain, c'est dingue, murmura-t-il en s'approchant du canapé.
Antoine sourit en voyant le sexe de son ami se dresser.
— Qu'est-ce que tu attends ? lança-t-il à Thomas. Sa chatte est libre.
Thomas hésita un instant, puis céda à ses pulsions. Il se repositionna derrière Laure, écartant ses fesses pour contempler son intimité luisante. D'un coup de reins, il la pénétra à nouveau, arrachant un gémissement étouffé à Laure dont la bouche était pleine du sexe de son beau-frère.
— Sa bouche est si chaude, grogna Antoine en agrippant les cheveux de sa belle-soeur pour guider ses mouvements. Suce-moi plus fort, petite salope.
Laure obéit, intensifiant ses succions. La vulgarité de la situation, d'être prise des deux côtés par son beau-frère et le meilleur ami de celui-ci, décuplait son excitation. Elle sentait le sexe de Thomas marteler son point G tandis que celui d'Antoine s'enfonçait profondément dans sa gorge.
— Ta belle-soeur est une vraie chienne, haleta Thomas en augmentant la cadence de ses coups de reins. Sa chatte me serre comme si elle voulait me traire.
— Je sais, répondit Antoine en fixant le visage de Laure, déformé par l'effort. J'ai toujours su qu'elle cachait une petite salope sous ses airs de fille sage.
Laure gémissait autour du membre d'Antoine, savourant cette double pénétration. Chaque poussée de Thomas la projetait en avant, enfonçant plus profondément le sexe de son beau-frère dans sa gorge. Des larmes perlaient au coin de ses yeux, mais c'étaient des larmes de plaisir.
— Change de place avec moi, ordonna soudain Antoine à Thomas. Je veux goûter sa chatte.
Les deux hommes se retirèrent simultanément. Laure se sentit brusquement vide, haletante, ses lèvres gonflées par la fellation brutale.
— Allonge-toi, lui ordonna son beau-frère en la poussant sur le dos.
Laure s'exécuta, écartant largement les cuisses. Antoine s'agenouilla entre elles, contemplant l'intimité luisante de sa belle-soeur, souillée par le sperme de Thomas.
— Ta chatte est magnifique, murmura-t-il avant de se pencher pour y passer sa langue.
Laure cria sous la caresse de cette langue qui explorait chaque recoin de son sexe. Antoine la léchait avidement, savourant le mélange de ses sécrétions et du sperme de Thomas.
— Le goût de ta cyprine mélangée au foutre de mon pote, c'est putain de bon, grogna-t-il contre sa vulve.
Thomas s'approcha de la tête de Laure, présentant son sexe humide à ses lèvres.
— Nettoie-moi, ordonna-t-il en tapotant son gland contre ses lèvres.
Laure ouvrit la bouche, accueillant ce membre qui venait de la pilonner. Le goût de son propre sexe mêlé aux résidus de sperme l'excita davantage. Elle suça Thomas avec ardeur, tandis que son beau-frère continuait de la dévorer, sa langue s'attardant sur son clitoris gonflé.
— Je vais te baiser maintenant, annonça Antoine en se redressant, le menton luisant des fluides de sa belle-soeur.
Il positionna son sexe à l'entrée de Laure et poussa d'un coup sec, s'enfonçant jusqu'à la garde. Laure hurla autour du membre de Thomas, son corps arqué sous l'assaut.
— Sa chatte est si serrée, putain, grogna Antoine en commençant à la marteler. Je comprends pourquoi tu ne pouvais pas résister, mec.
Thomas intensifia ses mouvements, s'enfonçant plus profondément dans la gorge de Laure.
— Elle aime ça, la petite salope, répondit-il. Regarde comme elle nous avale tous les deux.
Laure était perdue dans un océan de sensations. Être possédée simultanément par ces deux hommes, par son propre beau-frère et son ami, dépassait tout ce qu'elle avait pu imaginer. C'était sale, interdit, pervers, et pourtant si intensément bon.
— Je vais jouir, prévint Antoine, ses coups de reins devenant erratiques. Je vais remplir ta petite chatte de mon sperme, belle-soeurette.
Laure gémit plus fort, ses hanches ondulant pour accueillir chaque poussée. L'idée que son propre beau-frère allait éjaculer en elle aurait dû la répugner, mais au contraire, cela intensifia son excitation. Elle sentit un orgasme monumental monter en elle, dévastateur.
— Moi aussi je vais jouir, haleta Thomas. Je vais te remplir la bouche, salope.
Les deux hommes atteignirent leur paroxysme presque simultanément. Antoine s'enfonça une dernière fois et déversa son sperme au plus profond de sa belle-soeur, tandis que Thomas inondait sa bouche de sa semence chaude. Laure explosa à son tour, son corps secoué de spasmes violents alors que l'orgasme le plus intense de sa vie déferlait en elle.
Thomas se retira, admirant le spectacle de Laure qui avalait goulûment sa semence, quelques gouttes s'échappant au coin de ses lèvres. Antoine resta en elle, savourant les contractions de son vagin autour de son membre encore dur.
— Putain, c'était incroyable, souffla Antoine en se retirant lentement, observant son sperme qui s'écoulait de l'intimité rougie de sa belle-soeur.
Laure reprenait difficilement son souffle, son corps couvert de sueur, ses cheveux collés à son front. Elle aurait dû se sentir honteuse, souillée, mais une étrange satisfaction l'envahissait.
— On a à peine commencé, murmura-t-elle en se redressant, léchant sensuellement ses lèvres encore luisantes du sperme de Thomas. La nuit est longue, et je veux tout essayer.
Antoine et Thomas échangèrent un regard complice, leurs sexes déjà en train de durcir à nouveau.
— Tout ? demanda Antoine avec un sourire carnassier. Tu es sûre de pouvoir nous suivre, petite belle-soeur ?
Laure se mit à genoux sur le canapé, caressant les deux membres qui reprenaient vie sous ses doigts.
— J'ai toujours fantasmé d'être prise par deux hommes en même temps, murmura-t-elle. Une double pénétration. Je vous veux tous les deux en moi.
Thomas caressa ses seins, pinçant ses tétons dressés.
— Tu entends ça, Antoine ? Ta belle-soeur veut qu'on la défonce ensemble. Une vraie petite chienne en chaleur.
Antoine s'approcha, glissant sa main entre les cuisses de Laure pour recueillir un peu de son sperme qui s'en écoulait. Il l'étala lentement autour de son anus, faisant frissonner sa belle-soeur.
— Je vais te prendre ici, souffla-t-il à son oreille. Tu vas sentir ma queue s'enfoncer dans ton cul pendant que Thomas pilonne ta chatte. Tu vas hurler de plaisir, petite belle-soeur.
Laure gémit lorsque le doigt d'Antoine pénétra son anus, enduit du mélange gluant de leurs fluides. Une douleur fulgurante se mêla à une excitation inédite. Thomas la plaqua contre sa poitrine, un sein dans la bouche, tandis que son beau-frère préparait méthodiquement son orifice réticent.
— Respire, salope, grogna Antoine en insérant un second doigt. Je vais te déchirer ce petit cul de vierge.
Laure mordit l'épaule de Thomas pour étouffer son cri. La brûlure s'atténua progressivement, remplacée par une sensation de plénitude perverse. Son clitoris palpitait, trahissant son excitation croissante.
— Elle est prête, annonça Antoine en crachant dans sa paume pour lubrifier son membre imposant. À mon signal…
Thomas positionna son sexe à l'entrée trempée de Laure, maintenue écartée par les mains baladeuses de son beau-frère. L'instant suspendu dura une éternité. Puis, d'un mouvement synchronisé, les deux hommes pénétrèrent simultanément.
Laure hurla, son corps traversé d'un éclair de plaisir-douleur. Les deux sexes emplissaient chaque recoin de son être, Antoine s'enfonçant dans son rectum avec une brutalité calculée tandis que Thomas occupait son vagin jusqu'à la garde.
— Regarde-toi, gronda Antoine en agrippant ses cheveux pour lui montrer le miroir mural. Une vraie chienne à deux queues.
Laure vit son reflet déformé par le plaisir : visage congestionné, seins secoués par les poussées synchronisées, bouche ouverte sur un cri silencieux. La vulgarité de l'image la fit jouir instantanément, son vagin se contractant follement autour de Thomas.
— Putain, elle vient déjà ! s'exclama ce dernier en accélérant son rythme. Serre-moi comme ça, salope !
Antoine lui emboîta le pas, chaque coup de reins enfonçant Laure plus profondément sur le membre de Thomas. Le claquement de leurs chairs résonnait en écho aux gémissements du film oublié.
— Tu sens ma queue dans ton cul, belle-soeurette ? murmura Antoine en lui mordant l'épaule. Tu vas marcher bizarrement pendant une semaine.
Laure ne pouvait que hoqueter en réponse. Les sensations contradictoires - la brûlure anale, le frottement vaginal, les mains qui meurtrissaient sa chair - fusionnaient en un cocktail explosif. Son clitoris, écrasé entre leurs corps en mouvement, irradiait des vagues de plaisir continues.
Soudain, Thomas se retira brutalement. Avant que Laure ne proteste, il lui écarta la bouche et y enfonça son sexe ruisselant.
— Nettoie ma bite, ordonna-t-il en lui maintenant la tête enfoncée sur son entrejambe.
Antoine en profita pour allonger ses coups de reins, atteignant des profondeurs inexplorées. Laure suffoquait, le nez écrasé contre les testicules de Thomas, tandis que son rectum s'adaptait progressivement à l'énorme membre de son beau-frère.
— Elle aime ça, la petite vicieuse, ricana Antoine en giflant ses fesses rougies. Son cul se détend... Elle réclame plus !
Laure sentit un nouvel orgasme monter, plus violent que tous les précédents. Ses muscles se contractèrent simultanément autour des deux sexes, provoquant des grognements bestiaux chez ses partenaires.
— Je vais... je vais... hurla-t-elle, la phrase s'achevant en un gargouillis étouffé par le sexe de Thomas.
Antoine sortit brutalement de son anus pour se masturber frénétiquement. Une giclade de sperme frappa le dos de Laure au moment où Thomas inondait sa gorge. Son propre orgasme la projeta dans un blanc éblouissant, son corps secoué de convulsions incontrôlables.
— Regarde comme elle déborde, murmura Antoine en étalant le sperme sur ses fesses tremblantes. Une vraie fontaine à foutre.
Épuisée mais comblée comme jamais auparavant, Laure s'effondra entre les corps moites de son beau-frère et de Thomas. Ses orifices, dilatés et endoloris, pulsaient encore au rythme des orgasmes violents qui l'avaient traversée. Le sperme mêlé des deux hommes s'écoulait lentement entre ses cuisses tremblantes, souillant davantage le canapé déjà ravagé par leurs ébats frénétiques.
— C'était... incroyable, haleta-t-elle en passant une main dans ses cheveux trempés de sueur.
Antoine se redressa sur un coude, admirant le corps dévasté de sa belle-soeur. Des marques rouges ornaient ses hanches là où ses doigts s'étaient enfoncés durant la double pénétration. Ses tétons, gonflés et irrités, témoignaient des succions brutales qu'ils avaient subies.
— Tu m'impressionnes, petite belle-soeur, murmura-t-il en caressant distraitement son ventre. Je ne t'aurais jamais cru capable de prendre autant.
Thomas, allongé de l'autre côté, observait le plafond d'un air pensif. Son sexe, toujours semi-rigide malgré les multiples éjaculations, reposait lourdement sur sa cuisse. Il tourna la tête vers Laure, un sourire énigmatique se dessinant sur ses lèvres.
— Tu sais ce qui serait encore plus excitant ? lança-t-il en laissant sa main glisser entre les cuisses de Laure pour y récolter leurs fluides mêlés.
— Quoi ? gémit-elle, frissonnant sous la caresse de ces doigts qui ranimaient déjà son désir.
— Inviter quelqu'un d'autre à se joindre à nous, répondit Thomas en portant ses doigts souillés à sa bouche, les léchant avec une délectation ostentatoire. Une autre fille. Une de tes amies.
Laure écarquilla les yeux, son sexe se contractant involontairement à cette suggestion. L'idée de partager cette débauche avec une amie, d'être observée par elle pendant qu'elle se faisait prendre par son propre beau-frère, provoqua en elle une vague d'excitation inattendue.
— Sarah, souffla-t-elle spontanément. Ma collègue de bureau.
Thomas et Antoine échangèrent un regard complice.
— Raconte-nous, ordonna Antoine en pinçant doucement un téton de sa belle-soeur. Comment est-elle ?
Laure ferma les yeux, imaginant sa collègue dans cette situation.
— Elle est rousse, avec des seins plus gros que les miens. Elle a toujours des décolletés provocants au bureau. Les hommes se retournent sur elle quand elle passe.
— Et tu crois qu'elle accepterait de se joindre à nous ? demanda Thomas, son sexe durcissant visiblement à la description.
— Elle m'a avoué un jour, après quelques verres, qu'elle fantasmait sur les plans à plusieurs, murmura Laure en se mordant la lèvre. Elle m'a même dit qu'elle me trouvait sexy.
Antoine émit un grognement appréciateur.
— Appelle-la maintenant, ordonna-t-il. Dis-lui de venir pour une soirée cinéma ou un truc du genre.
— Maintenant ? s'étonna Laure.
— Oui, maintenant, confirma Thomas. On veut voir si tu es capable d'aller jusqu'au bout de tes fantasmes, salope.
Ces mots crus firent frissonner Laure. Elle se redressa, cherchant son téléphone dans son sac abandonné près du canapé. Ses jambes tremblaient encore quand elle composa le numéro de Sarah.
— Allô, Sarah ? C'est Laure. Ça te dirait de passer à la maison ce soir ? Je suis seule et... Non, juste pour boire un verre, rien de spécial.
Thomas et Antoine observaient la scène avec amusement, leurs mains caressant nonchalamment leurs sexes qui se raidissaient à nouveau.
Vingt minutes plus tard, la sonnette retentit. Laure, qui s'était rapidement douchée et habillée d'une simple robe d'été sans sous-vêtements, sentit son cœur s'accélérer. Antoine et Thomas s'étaient dissimulés dans la cuisine, nus mais prêts à intervenir au signal convenu.
— Sarah ! s'exclama Laure en ouvrant la porte, tentant de masquer sa nervosité.
La rousse flamboyante qui se tenait devant elle portait une jupe moulante qui épousait parfaitement ses formes généreuses et un chemisier blanc entrouvert qui laissait deviner la naissance de ses seins.
— J'espère que je ne dérange pas, dit Sarah en entrant. Tu avais l'air bizarre au téléphone.
— Non, pas du tout, répondit Laure en la guidant vers le salon. J'ai ouvert du vin, tu en veux ?
Sarah acquiesça, ses yeux s'attardant sur le canapé dérangé et les coussins éparpillés.
— Tu as eu de la visite ? demanda-t-elle avec un sourire narquois.
Laure rougit, consciente que l'odeur de sexe imprégnait encore la pièce malgré la fenêtre ouverte.
— En fait, avoua-t-elle en s'approchant de son amie, j'ai quelque chose à te proposer.
Sarah haussa un sourcil, intriguée par le ton de sa collègue.
— Je t'écoute, dit-elle en portant le verre de vin à ses lèvres.
Laure inspira profondément.
— Tu te souviens de cette soirée où tu m'as parlé de tes fantasmes ? Quand tu m'as dit que tu aimerais essayer une expérience... multiple ?
Les yeux de Sarah s'écarquillèrent légèrement.
— Oui, bien sûr, répondit-elle prudemment. Pourquoi ?
Au lieu de répondre, Laure s'approcha d'elle et, dans un geste d'une audace qui la surprit elle-même, posa ses lèvres sur celles de Sarah. La rousse se figea un instant avant de répondre au baiser, sa langue venant caresser celle de Laure avec une douceur qui contrastait avec la brutalité des étreintes précédentes.
— J'ai deux hommes dans la cuisine, murmura Laure contre ses lèvres. Ils m'ont baisée toute la soirée et maintenant ils veulent te rencontrer.
Sarah recula légèrement, les joues rougies d'excitation.
— Deux hommes ? souffla-t-elle. Qui ?
Laure hésita un instant.
— Mon beau-frère et son meilleur ami, avoua-t-elle finalement.
Un éclair d'incrédulité traversa le regard de Sarah.
— Ton beau-frère ? Tu as couché avec ton propre beau-frère ?
Laure hocha la tête, s'attendant à voir son amie partir en courant. Mais contre toute attente, Sarah laissa échapper un gémissement étouffé.
— C'est le truc le plus pervers que j'aie jamais entendu, murmura-t-elle en se mordant la lèvre. Et ça m'excite terriblement.
Laure sourit, soulagée. D'un geste lent, elle saisit la main de Sarah et la guida entre ses cuisses nues sous sa robe.
— Sens comme je suis encore trempée de leur sperme, chuchota-t-elle. Ils m'ont prise ensemble, l'un dans la chatte, l'autre dans le cul. Je n'ai jamais joui aussi fort de ma vie.
Sarah frémit, ses doigts s'enfonçant instinctivement dans l'intimité humide de Laure.
— Appelle-les, souffla-t-elle d'une voix rauque. Je veux les voir.
Laure sourit et lança un regard vers la cuisine.
— Vous pouvez venir, lança-t-elle. Elle est d'accord.
Antoine et Thomas apparurent, entièrement nus, leurs sexes déjà dressés en anticipation. Sarah les dévisagea avec un mélange de stupeur et de désir, sa main toujours enfouie sous la robe de Laure.
— Sarah, voici mon beau-frère Antoine et son ami Thomas, présenta Laure. Messieurs, voici Sarah, ma collègue dont je vous parlais.
Antoine s'approcha, son imposante virilité oscillant à chaque pas.
— Enchanté, Sarah, dit-il en saisissant sa main libre pour la porter à ses lèvres. J'espère que tu es aussi gourmande que ma belle-soeur.
Thomas contourna le canapé pour se placer derrière la rousse, collant son torse contre son dos.
— On va bien s'occuper de toi, promit-il en défaisant lentement les boutons de son chemisier. Tu n'as qu'à te laisser faire.
Sarah frémit, prise en sandwich entre les deux hommes tandis que Laure observait la scène, se délectant de l'expression de désir qui s'inscrivait sur le visage de son amie.
— Déshabille-la, ordonna Antoine à sa belle-soeur. Montre-nous ce qu'elle cache sous ces vêtements.
Laure s'exécuta avec empressement, aidant Thomas à retirer le chemisier de Sarah pour révéler un soutien-gorge en dentelle noire qui contenait difficilement sa poitrine généreuse. Ses mains glissèrent ensuite le long des hanches de son amie pour faire descendre sa jupe, dévoilant un string assorti qui disparaissait entre ses fesses rondes.
— Magnifique, commenta Antoine en caressant les seins de Sarah à travers la dentelle. Tu avais raison, petite belle-soeur, elle est parfaite.
Sarah gémit sous les attentions des trois paires de mains qui exploraient désormais son corps. Thomas défaisait son soutien-gorge tandis que Laure s'agenouillait devant elle pour faire glisser son string le long de ses jambes. Antoine s'emparait de sa bouche dans un baiser vorace.
— Je veux voir les deux filles ensemble, déclara Thomas une fois Sarah complètement nue. Je veux les voir se lécher.
Antoine acquiesça, libérant les lèvres gonflées de Sarah.
— Sur le canapé, ordonna-t-il. Toi d'abord, Laure. Sur le dos.
Laure obéit, s'allongeant sur le canapé et écartant largement les cuisses, exposant son sexe encore luisant des fluides des deux hommes. Sarah, guidée par Antoine, se positionna au-dessus d'elle dans un 69 parfait, offrant sa vulve déjà humide au visage de Laure.
— Léchez-vous, salopes, grogna Thomas en se masturbant devant le spectacle.
Les deux femmes ne se firent pas prier. La langue de Laure s'aventura dans les replis intimes de son amie tandis que celle de Sarah plongeait dans son intimité souillée, goûtant le mélange de sa cyprine et du sperme des deux hommes.
Antoine se positionna derrière Sarah, admirant ses fesses offertes alors qu'elle se penchait pour lécher Laure. D'un coup de reins brutal, il la pénétra, arrachant un cri étouffé à la rousse.
— Ta collègue est aussi serrée que toi, commenta-t-il à l'attention de sa belle-soeur. Je vais la défoncer comme je t'ai défoncée tout à l'heure.
Thomas ne resta pas inactif. Il s'approcha du visage de Laure, présentant son sexe à ses lèvres qu'elle ouvrit avidement pour l'accueillir. La scène était désormais complète : Sarah léchant Laure qui suçait Thomas pendant qu'Antoine pilonnait Sarah.
Les gémissements et les bruits de succion emplissaient la pièce, créant une symphonie obscène de plaisir brut. Les corps s'entremêlaient dans une chorégraphie lubrique, passant d'une position à l'autre sans jamais rompre le contact.
— Je veux la double, gémit soudain Sarah en relevant la tête du sexe de Laure. Comme vous l'avez fait à Laure. Je veux vous sentir tous les deux en moi.
Antoine et Thomas échangèrent un regard satisfait. Ils n'avaient pas espéré une telle aubaine pour leur première rencontre.
— Mets-toi à quatre pattes, ordonna Antoine à la rousse. Je vais te préparer.
Sarah s'exécuta avec empressement, cambrant les reins pour offrir ses deux orifices. Antoine cracha entre ses fesses, lubrifiant son anus avant d'y insérer doucement un doigt, puis deux.
— Regarde comme elle est affamée, commenta-t-il à l'attention de Thomas. Son petit cul s'ouvre déjà pour nous.
Laure, libérée du poids de Sarah, se redressa pour observer la scène. Voir son amie se faire préparer à la sodomie par son beau-frère l'excitait au-delà du raisonnable. Elle s'approcha, se glissant sous Sarah pour atteindre son clitoris de sa langue, l'aidant à se détendre davantage.
— C'est ça, encourage-la, approuva Thomas en caressant les cheveux de Laure. Prépare-la bien pour nous.
Quand Antoine jugea l'anus de Sarah suffisamment dilaté, il s'allongea sur le dos sur le tapis du salon.
— Viens t'empaler sur ma queue, ordonna-t-il à la rousse. Je veux te voir chevaucher.
Sarah ne se fit pas prier. Elle s'agenouilla au-dessus d'Antoine, guidant son imposant membre jusqu'à son sexe trempé avant de s'abaisser lentement, l'accueillant centimètre par centimètre en elle.
— Oh mon Dieu, gémit-elle en le sentant la remplir entièrement. C'est énorme.
Thomas se positionna derrière elle, son sexe rigide pressant contre l'orifice préparé par Antoine.
— Maintenant, tu vas prendre les deux, annonça-t-il en commençant à pousser.
Laure, fascinée, s'agenouilla près de la tête d'Antoine pour observer de près la pénétration. Elle vit le gland de Thomas forcer la résistance de l'anus de Sarah, s'enfonçant progressivement dans cette étroitesse interdite.
— Respire profondément, conseilla-t-elle à son amie en lui caressant les seins. Ça va passer.
Sarah haletait, le visage crispé par le mélange de douleur et de plaisir alors que Thomas continuait sa progression implacable.
— Putain, c'est serré, grogna-t-il en s'immobilisant une fois entièrement engainé.
Les deux hommes restèrent immobiles un moment, laissant à Sarah le temps de s'adapter à cette double invasion. Puis, comme mus par un signal invisible, ils commencèrent à bouger en alternance, l'un se retirant quand l'autre s'enfonçait.
— C'est... c'est... bégaya Sarah, incapable de former une phrase cohérente sous l'assaut de sensations qui la submergeaient.
Laure, excitée par le spectacle, se glissa sous le trio pour lécher le point de jonction entre les sexes d'Antoine et de Sarah, goûtant la cyprine abondante qui s'en écoulait.
L'orgie atteignait son paroxysme. Les quatre corps entremêlés bougeaient à l'unisson, chacun donnant et recevant du plaisir dans une débauche sans retenue. Sarah hurlait son plaisir, son corps traversé d'orgasmes successifs tandis que les deux hommes accéléraient leurs va-et-vient.
— Je vais jouir, prévint Antoine, ses coups de reins devenant frénétiques.
— Moi aussi, grogna Thomas en s'enfonçant brutalement dans l'anus de Sarah.
Les deux hommes explosèrent simultanément, inondant les entrailles de la rousse de leur semence brûlante. Sarah se raidit, traversée par un ultime orgasme qui la fit s'effondrer sur la poitrine d'Antoine.
Laure, toujours à genoux près d'eux, observait avec fascination le sperme qui s'écoulait des orifices dilatés de son amie. Sans qu'on le lui demande, elle s'approcha pour lécher ces fluides mêlés, nettoyant délicatement Sarah qui gémissait faiblement sous cette dernière caresse.
Épuisés mais satisfaits, les quatre participants s'affalèrent sur le tapis du salon, leurs corps luisants de sueur enchevêtrés dans un abandon post-orgasmique.
— Je n'aurais jamais cru que ma première orgie serait avec ma collègue de bureau, son beau-frère et son meilleur ami, murmura Sarah en caressant distraitement le ventre de Laure.
Antoine rit doucement, son sexe reposant mollement contre sa cuisse.
— Et ce n'est que le début, promit-il en échangeant un regard entendu avec Thomas. La nuit est encore jeune.
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Extra
Heureusement que mon sexe était à l'air libre car j'aurai dû m'acheter de nouveaux vêtements tellement cette histoire m'a fait bander grave !

