Quand la mère inspire la fille (2)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Quand la mère inspire la fille (2)
Arrivée à l'improviste chez ses parents, Claire a découvert sa mère Corinne en plein acte sexuel avec un inconnu sous le regard de son père complice. D'abord choquée, elle a fini par comprendre sa mère et accepté de l'accompagner en vacances en Espagne en attendant que le père les rejoigne.
******La route vers l'Espagne s'annonçait longue et il fut convenu d'une étape juste après la frontière, d'autant que Corinne était la seule à conduire, Claire n'ayant pas encore son permis. Pendant le trajet, la mère et la fille conversaient à bâtons rompus. Elles n'avaient pas parlé sexe depuis leur conversation au petit-déjeuner, au lendemain de cette fameuse soirée où Claire avait surpris sa mère en train de faire l'amour avec un gigolo avec l'assentiment de son père. C'est Claire qui lança le sujet :- Dis-moi, tu m'as eue assez tard. Avant de connaitre papa, tu as eu beaucoup d'amants ?
- Un certain nombre, oui. Pourquoi cette question ?
- Simple curiosité. Quand je t'ai vue avec Rachid, j'ai compris que tu avais une sacrée expérience. A côté, je suis vraiment nunuche.
- Tu n'as que 20 ans. A ton âge, je n'en savais pas beaucoup plus que toi. C'est venu avec le temps.
- Tu as déjà fait l'amour avec plusieurs hommes à la fois ?
- Joker. Je ne vais pas te raconter toute ma vie sexuelle. D'ailleurs, ce serait un peu long. Mais au fait, toi, tu as déjà eu combien de partenaires ?
- Joker. Ce n'est pas parce que tu es ma mère que je vais tout te dire.
- Simple curiosité. Mais tu aimes ça, au moins ?
- Si j'aime ça ? Mais j'adore ça ! Du moins avec un mec qui sait y faire.
- Ce n'est pas toujours évident, c'est vrai. Mais quand c'est bien fait, quand le corps exulte, c'est la meilleure chose au monde. Meilleure que la bouffe, meilleure que les voyages, le cinoche, tout.
- Mais c'est mieux quand on est amoureuse, non ?
- Oui, bien sûr, mais tu l'as vu, je peux prendre mon pied sans faire l'amour, en baisant. Avec ton père, on a trouvé le truc avec ce deuxième homme qui me baise. Il jouit et moi aussi. Le sexe ne se fait pas forcément à deux.
- C'est bien ce que j'ai compris mais je n'en suis pas là. Au fond, je suis encore très classique, très fleur bleue.
- Si tu aimes le sexe, tu évolueras forcément. Moi aussi, j'ai été fleur bleue. Mais des rencontres ont tout changé.
- Ah bon ? Tu peux me raconter ?
- Non, pas maintenant. On va s'arrêter déjeuner et on reprendra une autre fois.
*****En fait, la conversation "sexe" en resta là et les deux femmes arrivèrent en Espagne en fin d'après-midi après un fastidieux voyage, seulement distrait par les coups de klaxon de camionneurs émoustillés par les deux belles paires de cuisses généreusement découvertes qu'ils pouvaient apercevoir en contre-plongée. A la recherche d'un hôtel d'étape, pas évidente en plein été, elles finirent pas trouver un gite un peu luxueux quoique légèrement rétro. En l'absence de chambres à deux lits, elles prirent possession d'une suite avec deux pièces séparées par une porte. L'hôtel comportait en son sous-sol une boite de nuit. Corinne et Claire décidèrent qu'après le diner tardif, elles iraient danser une petite heure pour se préparer au sommeil.
Mais l'arrivée de ces deux grandes blondes en mini short et débardeur ne passa pas inaperçue. Corinne et Claire furent bientôt entourées de mâles aiguillonnés par ces deux femelles très sexuées et étonnamment semblables, sans penser dans l'éclairage tamisé de la boite qu'il s'agissait de la mère et la fille. Dès qu'elles mirent les pieds sur la piste de danse, elles furent entourées, courtisées et finalement émoustillées par cet emballement imprévu. La barrière de la langue ne fut qu'un obstacle mineur car la séduction réciproque s'accommode du sabir et du charabia. Un quadra brun de peau et de poil, que Claire trouva étonnamment ressemblant avec l'acteur Sergi Lopez, fit son siège. La perspective de se taper une fille de 20 ans le surmotivait. De son côté, Claire n'était pas insensible à son charme très viril, à ces poils qui débordaient de sa chemise ouverte, à son sourire enjôleur et bientôt à ses mains caressantes.
De son côté, Corinne était elle aussi l'objet d'attentions soutenues mais marquait encore ses distances avec deux jeunes gars visiblement en compétition pour l'emballer. Elle surveillait Claire et observait avec amusement le forcing de l'Ibère pour séduire sa fille. Et quand celle-ci vint lui dire que, finalement, elle allait se coucher maintenant, Corinne, pas dupe, lui glissa à l'oreille :- J'ai des préservatifs dans le sac de voyage. Et laisse la clé sur la porte, que je puisse rentrer.
Claire avait envie de baiser et son amant de circonstance ne fut pas déçu par sa conquête. Ce n'est pas tous les jours qu'une fille vous met le doigt dans le trou du cul pendant que vous la besognez et la main aux couilles lorsqu'elle vous chevauche. Claire appliquait à la lettre les attitudes sexuelles de sa mère, à l'exception de la sodomie pour laquelle elle ne se sentait pas encore prête. Mais l'Espagnol avait rarement baisé une fille aussi ardente, aussi mouvante, aussi douée pour le plaisir. De son côté, Claire se régalait de la virilité de son "coup d'un soir", de son animalité velue et bien sûr de la raideur de sa queue, courte mais épaisse que sa bouche avait préparée longuement à l'intromission. Ce fut un accouplement court mais intense qui la laissa rayonnante et apaisée. Il la quitta un baiser sur les lèvres après avoir reluqué une dernière fois son corps parfait et alangui, bientôt gagné par le sommeil.
********La nuit était déjà bien avancée quand Claire se réveilla, alertée par un bruit de voix dans la chambre voisine, celle par laquelle on entrait dans la suite, la sienne étant dans le prolongement et isolée par une porte. A moitié endormie, elle se leva avec l'intention d'uriner et ouvrit la porte de sa chambre. Ce qu'elle vit la réveilla illico. Sa mère était à quatre pattes sur le lit, un homme derrière elle en train de la fouiller de sa queue. Grand et maigre, les cheveux réunis en catogan, un de ces types qu'elle avait vus tourner autour de sa mère sur la piste de danse. Mais ce qui stupéfia Claire, c'est que sa mère, tout en étant besognée, tenait à la main son téléphone portable et se filmait en train de baiser, assortissant l'acte de commentaires particulièrement salaces, visiblement à l'intention d'un interlocuteur à l'autre bout du fil. Emergeant de sa torpeur, Claire comprit très vite que celui-ci était son père...
Comme le soir où elle avait découvert celui-ci, sa mère et le dénommé Rachid en plein trio, Claire ne put s'empêcher de regarder. De voir sa mère son téléphone portable à la main tout en forniquant avec ce jeune Espagnol la figeait sur place, sans même qu'elle prenne la peine d'enfiler un vêtement. Besognée en missionnaire, Corinne filmait de bas en haut son amant d'un soir, faisant passer l'écran de sa tête à son bas-ventre. Entre deux "ahh" et "ohh", elle interrogeait son mari via le microphone :- Tu le vois bien ? Tu vois comme il me baise ? Tu vois sa queue ?
Et Claire entendit la voix de son père répondre par l'affirmative puis l'inviter à changer de position. Alors, Corinne imposa à son amant de s'allonger, l'enfourcha et se mit à faire aller et venir son cul en le filmant une main derrière son dos, au ras des couilles. Puis elle fixa alternativement son visage en proie au plaisir et celui de son amant, que cette situation ne semblait guère inhiber, à en juger par sa manière de pétrir les seins de sa partenaire et de ruer sous elle au risque de lui faire lâcher son smartphone, ce qui se produisit d'ailleurs. Corinne l'oublia brièvement pour manifester un orgasme bruyant que l'auditeur perçut malgré l'image fixée sur le plafond. Corinne récupéra le téléphone et dit :- Il m'a fait jouir ! Mais il bande encore.
Et la voix répondit :- Qu'il te prenne par derrière maintenant.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Corinne se mit à quatre pattes en travers du lit et tandis que le jeune homme la possédait, fit glisser le smartphone sous elle, entre ses jambes, afin de bien montrer la jonction des deux sexes, la réalité de leur copulation. Elle alterna ce plan avec celui de son visage et l'homme debout en train de la pilonner. Le visionneur ne pouvait rien manquer et Claire l'entendit clairement dire "allez, remue bien ton cul !".
C'est alors que Corinne aperçut Claire, nue dans son champ de vision. En train de se masturber. Elle en informa illico son interlocuteur :- Claire nous regarder baiser ! Et elle se branle.
- Donne-lui ton téléphone et qu'elle vous filme elle-même.
Claire était dans un état érotique trop puissant pour refuser. Son sexe était encore excité par la séance intense qu'elle avait vécue un peu plus tôt avec "Sergi Lopez". La vision du couple forniquant, et l'incroyable liaison téléphonique avec son père, lui avaient mis le corps en ébullition. Elle saisit le smartphone tendu par sa mère d'une main tremblante et obéit à ses injonctions :- Filme son cul !
Claire cadra le fessier nerveux de l'Espagnol, ses couilles ballottantes contre la vulve, la main de sa mère frottant son clitoris avant de se mettre de profil pour témoigner de la longueur du pénis entrant et sortant à cadence soutenue de l'antre féminin. Obéissant à une nouvelle demande, elle filma le couple de face avec un gros plan sur le visage de Corinne, déformé par un rictus de plaisir, captant en direct une série de mots crus à l'intention du voyeur auditif qu'elle imagina se masturber frénétiquement au spectacle de son épouse dans l'attitude de la chienne en chaleur, cheveux oscillants, seins pendants, croupe louvoyante.
- Fais-toi enculer maintenant, dit la voix.
- Non, il est trop gros et j'aime trop sa bite dans ma chatte, répondit Corinne.
- Alors, fais-lui baiser Claire.
Celle-ci crut avoir mal entendu. Son père avait dit ça ? Quel dépravé ! Elle s'attendait à entendre sa mère protester. Au contraire, elle déclara :- Elle n'attend que ça.
Le couple se désunit et Claire découvrit une queue en effet proéminente, bien plus grosse que celle de son amant précédent, conforme d'une certaine façon à la longueur de ses membres inférieurs. Le regard luisant de désir de l'inconnu en disait long. Un morceau de roi s'offrait à lui car l'attitude de Corinne ne laissait place à aucune ambiguïté. Elle tirait sa fille vers le lit, la poussant à s'allonger. Il aurait été cependant facile à Claire de résister, de se dégager, de protester. Mais cette bite la fascinait. Quand le jeune homme s'avança, instinctivement, elle ouvrit les cuisses. La chatte était encore bien ouverte des ébats précédents et le jeune homme entra sans difficulté, engageant son pénis jusqu'au pubis. Claire poussa un long gémissement et croisa ses chevilles sur le dos de son nouvel amant qui entreprit de la creuser sans hâte mais en profondeur. Claire fut prise d'un mouvement spasmodique des reins, des pieds, des mains et c'est entre deux manifestations d'extase qu'elle s'aperçut que sa mère, la main sur son smartphone, ne perdait pas une miette de son accouplement. L'écran passait de son visage à son ventre et de même pour son amant, disparaissant parfois de sa vue parce que fixant les roulements de hanches de l'Espagnol, la contraction de ses petites fesses, l'agitation de ses couilles. Claire vit cependant qu'elle se masturbait de sa main libre. Et entendit la voix de son père s'adressant au jeune homme via le téléphone :- Allez, allez, go, go, fuck her !
De fait, son rythme s'accéléra, encouragé par la main de Corinne qui poussait son arrière train et il finit par gicler d'abondance après avoir tiré sur sa capote, arrosant de son sperme la jolie poitrine de Claire qui s'était cabrée, en proie à un orgasme violent, inédit.
Un silence succéda à ce bouquet final, seulement rompu par les halètements de Claire. Le jeune homme se retira discrètement, adressa un mot en espagnol à Corinne, se rhabilla et s'éclipsa. Claire aurait bien gardé le jeune homme un peu avec elle. Elle trouva cette issue un peu trop rapide mais tel était le voeu de Corinne. Elle proposa à sa fille de prendre une douche, ce qu'elle accepta. Et chacune revint se coucher dans son lit, comme si elles venaient de connaitre un événement banal, ce qui était évidemment loin d'être le cas. La liaison téléphonique était rompue.
*****Le lendemain matin, mère et fille se retrouvèrent au petit-déjeuner. C'est à peine si elles commentèrent leur soirée prolongée. Cela appartenait désormais à leur histoire commune. C'est seulement dans la voiture, sur le chemin de leur résidence espagnole, qu'elles se lâchèrent.
- Tu m'as fait faire un truc incroyable, dit Claire à sa mère au volant.
- Et alors ? Est-ce que ça t'a plu ou pas ?
- Je dois reconnaitre que oui. Mais tu es vraiment une belle salope. Et papa un beau salaud.
- Les chiens ne font pas des chats.
Claire ne put s'empêcher de rire. Elle venait de découvrir une autre facette de son être. Très immorale. Mais quand même moins que sa mère. Leur relation future ne pourrait plus rester la même. Une complicité inédite était née. Qu'est-ce que l'avenir leur réservait désormais, à commencer pendant ces vacances espagnoles ?
******La route vers l'Espagne s'annonçait longue et il fut convenu d'une étape juste après la frontière, d'autant que Corinne était la seule à conduire, Claire n'ayant pas encore son permis. Pendant le trajet, la mère et la fille conversaient à bâtons rompus. Elles n'avaient pas parlé sexe depuis leur conversation au petit-déjeuner, au lendemain de cette fameuse soirée où Claire avait surpris sa mère en train de faire l'amour avec un gigolo avec l'assentiment de son père. C'est Claire qui lança le sujet :- Dis-moi, tu m'as eue assez tard. Avant de connaitre papa, tu as eu beaucoup d'amants ?
- Un certain nombre, oui. Pourquoi cette question ?
- Simple curiosité. Quand je t'ai vue avec Rachid, j'ai compris que tu avais une sacrée expérience. A côté, je suis vraiment nunuche.
- Tu n'as que 20 ans. A ton âge, je n'en savais pas beaucoup plus que toi. C'est venu avec le temps.
- Tu as déjà fait l'amour avec plusieurs hommes à la fois ?
- Joker. Je ne vais pas te raconter toute ma vie sexuelle. D'ailleurs, ce serait un peu long. Mais au fait, toi, tu as déjà eu combien de partenaires ?
- Joker. Ce n'est pas parce que tu es ma mère que je vais tout te dire.
- Simple curiosité. Mais tu aimes ça, au moins ?
- Si j'aime ça ? Mais j'adore ça ! Du moins avec un mec qui sait y faire.
- Ce n'est pas toujours évident, c'est vrai. Mais quand c'est bien fait, quand le corps exulte, c'est la meilleure chose au monde. Meilleure que la bouffe, meilleure que les voyages, le cinoche, tout.
- Mais c'est mieux quand on est amoureuse, non ?
- Oui, bien sûr, mais tu l'as vu, je peux prendre mon pied sans faire l'amour, en baisant. Avec ton père, on a trouvé le truc avec ce deuxième homme qui me baise. Il jouit et moi aussi. Le sexe ne se fait pas forcément à deux.
- C'est bien ce que j'ai compris mais je n'en suis pas là. Au fond, je suis encore très classique, très fleur bleue.
- Si tu aimes le sexe, tu évolueras forcément. Moi aussi, j'ai été fleur bleue. Mais des rencontres ont tout changé.
- Ah bon ? Tu peux me raconter ?
- Non, pas maintenant. On va s'arrêter déjeuner et on reprendra une autre fois.
*****En fait, la conversation "sexe" en resta là et les deux femmes arrivèrent en Espagne en fin d'après-midi après un fastidieux voyage, seulement distrait par les coups de klaxon de camionneurs émoustillés par les deux belles paires de cuisses généreusement découvertes qu'ils pouvaient apercevoir en contre-plongée. A la recherche d'un hôtel d'étape, pas évidente en plein été, elles finirent pas trouver un gite un peu luxueux quoique légèrement rétro. En l'absence de chambres à deux lits, elles prirent possession d'une suite avec deux pièces séparées par une porte. L'hôtel comportait en son sous-sol une boite de nuit. Corinne et Claire décidèrent qu'après le diner tardif, elles iraient danser une petite heure pour se préparer au sommeil.
Mais l'arrivée de ces deux grandes blondes en mini short et débardeur ne passa pas inaperçue. Corinne et Claire furent bientôt entourées de mâles aiguillonnés par ces deux femelles très sexuées et étonnamment semblables, sans penser dans l'éclairage tamisé de la boite qu'il s'agissait de la mère et la fille. Dès qu'elles mirent les pieds sur la piste de danse, elles furent entourées, courtisées et finalement émoustillées par cet emballement imprévu. La barrière de la langue ne fut qu'un obstacle mineur car la séduction réciproque s'accommode du sabir et du charabia. Un quadra brun de peau et de poil, que Claire trouva étonnamment ressemblant avec l'acteur Sergi Lopez, fit son siège. La perspective de se taper une fille de 20 ans le surmotivait. De son côté, Claire n'était pas insensible à son charme très viril, à ces poils qui débordaient de sa chemise ouverte, à son sourire enjôleur et bientôt à ses mains caressantes.
De son côté, Corinne était elle aussi l'objet d'attentions soutenues mais marquait encore ses distances avec deux jeunes gars visiblement en compétition pour l'emballer. Elle surveillait Claire et observait avec amusement le forcing de l'Ibère pour séduire sa fille. Et quand celle-ci vint lui dire que, finalement, elle allait se coucher maintenant, Corinne, pas dupe, lui glissa à l'oreille :- J'ai des préservatifs dans le sac de voyage. Et laisse la clé sur la porte, que je puisse rentrer.
Claire avait envie de baiser et son amant de circonstance ne fut pas déçu par sa conquête. Ce n'est pas tous les jours qu'une fille vous met le doigt dans le trou du cul pendant que vous la besognez et la main aux couilles lorsqu'elle vous chevauche. Claire appliquait à la lettre les attitudes sexuelles de sa mère, à l'exception de la sodomie pour laquelle elle ne se sentait pas encore prête. Mais l'Espagnol avait rarement baisé une fille aussi ardente, aussi mouvante, aussi douée pour le plaisir. De son côté, Claire se régalait de la virilité de son "coup d'un soir", de son animalité velue et bien sûr de la raideur de sa queue, courte mais épaisse que sa bouche avait préparée longuement à l'intromission. Ce fut un accouplement court mais intense qui la laissa rayonnante et apaisée. Il la quitta un baiser sur les lèvres après avoir reluqué une dernière fois son corps parfait et alangui, bientôt gagné par le sommeil.
********La nuit était déjà bien avancée quand Claire se réveilla, alertée par un bruit de voix dans la chambre voisine, celle par laquelle on entrait dans la suite, la sienne étant dans le prolongement et isolée par une porte. A moitié endormie, elle se leva avec l'intention d'uriner et ouvrit la porte de sa chambre. Ce qu'elle vit la réveilla illico. Sa mère était à quatre pattes sur le lit, un homme derrière elle en train de la fouiller de sa queue. Grand et maigre, les cheveux réunis en catogan, un de ces types qu'elle avait vus tourner autour de sa mère sur la piste de danse. Mais ce qui stupéfia Claire, c'est que sa mère, tout en étant besognée, tenait à la main son téléphone portable et se filmait en train de baiser, assortissant l'acte de commentaires particulièrement salaces, visiblement à l'intention d'un interlocuteur à l'autre bout du fil. Emergeant de sa torpeur, Claire comprit très vite que celui-ci était son père...
Comme le soir où elle avait découvert celui-ci, sa mère et le dénommé Rachid en plein trio, Claire ne put s'empêcher de regarder. De voir sa mère son téléphone portable à la main tout en forniquant avec ce jeune Espagnol la figeait sur place, sans même qu'elle prenne la peine d'enfiler un vêtement. Besognée en missionnaire, Corinne filmait de bas en haut son amant d'un soir, faisant passer l'écran de sa tête à son bas-ventre. Entre deux "ahh" et "ohh", elle interrogeait son mari via le microphone :- Tu le vois bien ? Tu vois comme il me baise ? Tu vois sa queue ?
Et Claire entendit la voix de son père répondre par l'affirmative puis l'inviter à changer de position. Alors, Corinne imposa à son amant de s'allonger, l'enfourcha et se mit à faire aller et venir son cul en le filmant une main derrière son dos, au ras des couilles. Puis elle fixa alternativement son visage en proie au plaisir et celui de son amant, que cette situation ne semblait guère inhiber, à en juger par sa manière de pétrir les seins de sa partenaire et de ruer sous elle au risque de lui faire lâcher son smartphone, ce qui se produisit d'ailleurs. Corinne l'oublia brièvement pour manifester un orgasme bruyant que l'auditeur perçut malgré l'image fixée sur le plafond. Corinne récupéra le téléphone et dit :- Il m'a fait jouir ! Mais il bande encore.
Et la voix répondit :- Qu'il te prenne par derrière maintenant.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Corinne se mit à quatre pattes en travers du lit et tandis que le jeune homme la possédait, fit glisser le smartphone sous elle, entre ses jambes, afin de bien montrer la jonction des deux sexes, la réalité de leur copulation. Elle alterna ce plan avec celui de son visage et l'homme debout en train de la pilonner. Le visionneur ne pouvait rien manquer et Claire l'entendit clairement dire "allez, remue bien ton cul !".
C'est alors que Corinne aperçut Claire, nue dans son champ de vision. En train de se masturber. Elle en informa illico son interlocuteur :- Claire nous regarder baiser ! Et elle se branle.
- Donne-lui ton téléphone et qu'elle vous filme elle-même.
Claire était dans un état érotique trop puissant pour refuser. Son sexe était encore excité par la séance intense qu'elle avait vécue un peu plus tôt avec "Sergi Lopez". La vision du couple forniquant, et l'incroyable liaison téléphonique avec son père, lui avaient mis le corps en ébullition. Elle saisit le smartphone tendu par sa mère d'une main tremblante et obéit à ses injonctions :- Filme son cul !
Claire cadra le fessier nerveux de l'Espagnol, ses couilles ballottantes contre la vulve, la main de sa mère frottant son clitoris avant de se mettre de profil pour témoigner de la longueur du pénis entrant et sortant à cadence soutenue de l'antre féminin. Obéissant à une nouvelle demande, elle filma le couple de face avec un gros plan sur le visage de Corinne, déformé par un rictus de plaisir, captant en direct une série de mots crus à l'intention du voyeur auditif qu'elle imagina se masturber frénétiquement au spectacle de son épouse dans l'attitude de la chienne en chaleur, cheveux oscillants, seins pendants, croupe louvoyante.
- Fais-toi enculer maintenant, dit la voix.
- Non, il est trop gros et j'aime trop sa bite dans ma chatte, répondit Corinne.
- Alors, fais-lui baiser Claire.
Celle-ci crut avoir mal entendu. Son père avait dit ça ? Quel dépravé ! Elle s'attendait à entendre sa mère protester. Au contraire, elle déclara :- Elle n'attend que ça.
Le couple se désunit et Claire découvrit une queue en effet proéminente, bien plus grosse que celle de son amant précédent, conforme d'une certaine façon à la longueur de ses membres inférieurs. Le regard luisant de désir de l'inconnu en disait long. Un morceau de roi s'offrait à lui car l'attitude de Corinne ne laissait place à aucune ambiguïté. Elle tirait sa fille vers le lit, la poussant à s'allonger. Il aurait été cependant facile à Claire de résister, de se dégager, de protester. Mais cette bite la fascinait. Quand le jeune homme s'avança, instinctivement, elle ouvrit les cuisses. La chatte était encore bien ouverte des ébats précédents et le jeune homme entra sans difficulté, engageant son pénis jusqu'au pubis. Claire poussa un long gémissement et croisa ses chevilles sur le dos de son nouvel amant qui entreprit de la creuser sans hâte mais en profondeur. Claire fut prise d'un mouvement spasmodique des reins, des pieds, des mains et c'est entre deux manifestations d'extase qu'elle s'aperçut que sa mère, la main sur son smartphone, ne perdait pas une miette de son accouplement. L'écran passait de son visage à son ventre et de même pour son amant, disparaissant parfois de sa vue parce que fixant les roulements de hanches de l'Espagnol, la contraction de ses petites fesses, l'agitation de ses couilles. Claire vit cependant qu'elle se masturbait de sa main libre. Et entendit la voix de son père s'adressant au jeune homme via le téléphone :- Allez, allez, go, go, fuck her !
De fait, son rythme s'accéléra, encouragé par la main de Corinne qui poussait son arrière train et il finit par gicler d'abondance après avoir tiré sur sa capote, arrosant de son sperme la jolie poitrine de Claire qui s'était cabrée, en proie à un orgasme violent, inédit.
Un silence succéda à ce bouquet final, seulement rompu par les halètements de Claire. Le jeune homme se retira discrètement, adressa un mot en espagnol à Corinne, se rhabilla et s'éclipsa. Claire aurait bien gardé le jeune homme un peu avec elle. Elle trouva cette issue un peu trop rapide mais tel était le voeu de Corinne. Elle proposa à sa fille de prendre une douche, ce qu'elle accepta. Et chacune revint se coucher dans son lit, comme si elles venaient de connaitre un événement banal, ce qui était évidemment loin d'être le cas. La liaison téléphonique était rompue.
*****Le lendemain matin, mère et fille se retrouvèrent au petit-déjeuner. C'est à peine si elles commentèrent leur soirée prolongée. Cela appartenait désormais à leur histoire commune. C'est seulement dans la voiture, sur le chemin de leur résidence espagnole, qu'elles se lâchèrent.
- Tu m'as fait faire un truc incroyable, dit Claire à sa mère au volant.
- Et alors ? Est-ce que ça t'a plu ou pas ?
- Je dois reconnaitre que oui. Mais tu es vraiment une belle salope. Et papa un beau salaud.
- Les chiens ne font pas des chats.
Claire ne put s'empêcher de rire. Elle venait de découvrir une autre facette de son être. Très immorale. Mais quand même moins que sa mère. Leur relation future ne pourrait plus rester la même. Une complicité inédite était née. Qu'est-ce que l'avenir leur réservait désormais, à commencer pendant ces vacances espagnoles ?
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