Quand Virginie justifie à Bob son activité d'Escort : la lettre

- Par l'auteur HDS Bob-et-Annie -
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Récit libertin : Quand Virginie justifie à Bob son activité d'Escort : la lettre Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quand Virginie justifie à Bob son activité d'Escort : la lettre
Quand Bob eut appris que Virginie succomba aux charmes de la prostitution de luxe, il en devint désormais fini de leur relation amoureuse. Virginie était en peine de se retrouver délaissée par celui qu’elle aimait. Dans une lettre, postée à posteriori, à partir du Havre où elle vivait désormais, elle laissa entendre à Bob qu’elle avait vécu des choses dures lors de sa première expérience d’Escort.

A la lecture de la lettre, Bob resta perplexe. La belle y avoua en effet qu’elle n’avait pas voulu en arriver là et ne s’avait encore comment tout cela était allé crescendo si bien qu’elle en perdit pied. Virginie, en effet, à bien y réfléchir, fut certainement bien plus victime du désir profond des hommes pour elle que l’inverse. La belle ne cachait pas son attirance pour eux. Parfois, elle se laissait séduire. Et, le plus souvent hélas, elle trouva déception quand ils avaient abusé d’elle. Son seul tort sans doute était d’avoir été très jolie ; et désespérément trop accessible aussi ! C’est ce que regrettait Bob, bien que ce dernier prît également plaisir à savoir sa femme dans les bras d’un autre (Nono, Dominique en particulier). Le plus simple est encore de laisser la parole à l’intéressée même : Virginie !

Voici donc ce que la belle écrivit à Bob, trois semaines après son départ pour le Havre :
« Bob, mon Amour,
L’hiver sur mon cœur est tombé autant que le froid recouvre notre amour qui pourtant fut si ardent. Il y a longtemps, alors que nous étions au lycée, tu as brisé ma coquille, cette carapace que j’avais en moi. Tu m’as libérée et tu m’as ouverte à l’amour et j’ai eu beaucoup de bonheur et de passion dans tes bras.

Mais, sache aussi Bob, qu’il n’y a pas que toi et moi sur Terre. Nous vivons dans un monde où les hommes vivent avec les femmes, un monde fait de rencontres. Oh, certes, il ne s’agit pas de faire n’importe quoi ; moi-même, tu le sais je suis sujette à ça. Toi tu étais là pour me protéger, pour m’aimer, pour m’adorer. Moi, je n’ai pas vu ou suffisamment vu cet amour que tu avais toi pour moi. Je t’ai cru jaloux ; excessif. Peut-être me suis-je trompée sur toi. Je ne sais pas.

Mais, si je t’écris aujourd’hui, Bob, ce n’est pas pour te dire tout cela car tu le sais déjà. Non, je tiens à être franche avec toi une dernière fois, sachant peut-être que nos destins se séparent pour la dernière fois et pour toujours. Ah, tiens, au passage, j’ai quitté ma mère. Je ne lui ai pas laissé d’adresse. Ne cherche donc pas à me joindre chez elle, elle ne saura pas te renseigner. Ne cherche pas non plus à me joindre. Ce n’est pas la bonne solution.

Avant toute chose, contrairement aux apparences, je veux que tu saches que j’ai toujours été loyale avec toi, et que mes histoires avec Nono, Domi ou même Olivier n’ont été que des histoires que je n’ai jamais véritablement voulues. Nous vivions toi et moi dans un monde de bisounours et c’est comme cela que nos amis proches nous appelaient. C’est vrai, je t’ai trompé avec Nono, Olivier, Domi… mais je crois que je suis femme à présent. C’est dur de l’admettre surtout pour toi je pense.

Pour terminer, mon cher Bob, je voudrais te parler de mon expérience ratée d’Escort. Je ne conseille à personne de suivre mon chemin. J’ai fait ce que j’ai voulu. Je me suis protégée autant que possible mais je t’avoue que tu connais bien mes péchés mignons. Aussi tu ne peux pas me juger aussi sévèrement que tu l’as fait le dernier jour avant mon départ.

A Vincennes, à vivre avec toi, la vie pouvait me paraitre plus simple mais au fond, elle ne l’était pas tant que ça. Certes, tu t’occupais de tout : du loyer, des factures, des impayés. Moi, je n’avais qu’à vivre auprès de toi et oui, qu’est-ce que cela était bien au début. Puis, il y a eu Olivier et tout à changer. Nous avons vécu une drôle de relation tous les trois, mais cela était bien quand même. Chacun y trouvait son compte. Toi, tu étais avec moi ; moi avec Olivier et Olivier avec nous. Dis comme cela, je comprends que tu as pu te laisser mis de côté un peu, je le reconnais. Mais, il faut avouer, tu ne me sortais plus et moi, j’avais envie de m’amuser.

Alors, oui, j’ai rencontré Phil, j’ai fait deux tournages ; puis je me suis lancée dans l’Escort, à la demande de Didier, tu sais le photographe dont je t’ai parlé.

Il faut que tu saches, Bob, que l’idée au début n’était pas de moi, mais de lui. Oh non je ne te dis pas cela pour que tu lui arranges son compte, surtout pas, cela ne ferait qu’empirer les choses. Mais vois-tu, je connaissais l’Escort de nom, je n’y avais jamais pensé avant que je pusse faire cela et le fait même d’y penser et de m’imaginer m’a incitée à le faire. Peux-tu me croire si je te dis que j’ai trouvé l’idée particulièrement excitante ? Mais je crois que ce genre de chose à présent n’est pas pour moi.

Dans ma première rencontre (Je te dis tout cela Bob car j’ai confiance en toi), j’ai dû, tu ne vas pas le croire, satisfaire trois hommes en même temps. Un homme, Charles, m’avait promis que tout se passerait bien pour moi. Il m’avait juré que je n’avais qu’à satisfaire un seul homme, mais à mon arrivée il y en avait trois et toute la soirée j’ai dû inventer des stratagèmes pour les divertir et tantôt les esquiver quand j’en avais moins envie ou que j’étais fatiguée. Plusieurs fois, ils sont revenus à la charge dans la nuit.


Dans la soirée, au début, ils m’ont forcée à me mettre à genoux pour que je les suce tous les trois. L’un d’eux est venu dans ma bouche jusqu’à presque m’étouffer. Son sexe entier était entré dans ma gorge. J’ai eu un haut-le-cœur mais je me suis ressaisie rapidement. Un second en fit autant. Le plus vieux regardait. Il avait l’air si vicieux. Il s’appelait Monsieur Henry.

Plus tard, dans la soirée, ils m’ont prise encore à trois dans le canapé du salon. Je portais des bas noirs et des jarretelles à la demande du vieux pervers. L’un des trois m’a soulevée et prise sur le canapé, sur lui. Directement, il m’a enfournée sa queue dans mon petit trou. J’étais assise sur lui en lui tournant le dos. Il a soulevé mes jambes pour que je les écarte. Un second est venu vite s’installer en moi pour me pénétrer vaginalement. J’avais deux queues en moi. Le troisième sans plus attendre est venue sur le côté se faire sucer. Il m’attrapait par les cheveux.

Bob, mon cher Bob, tu sais combien j’aime ces situations où je perds prise et contrôle de moi. Ces hommes ne m’ont pas violée car j’étais consentante mais ce dont je me rappelle et qui me fait fantasmer encore c’est la suite. Je sais que tu aimes bien que je te raconte cela. Il n’y a rien de faux dans tout ce que je vais te dire.

Dans le canapé, les deux hommes qui me baisaient me tenaient les jambes en l’air bien écartés. Le troisième se faisait sucer (j’ai adoré être prise comme ça). Il me baisait littéralement la bouche. La queue qui me baisait vaginalement me faisait du bien. Je crois avoir eu autant de plaisir qu’eux. Ils ont chatouillé mon petit bouton et m’on fait jouir mais le top fut ce qui suit :
L’homme qui était devant moi et qui me pénétrait vaginalement, soudain, s’est mis à me sodomiser. L’autre lui avait laissé la place et se masturbait en restant derrière moi et sous moi, couché sur le canapé. J’ai senti soudain qu’il revenait en moi dans mon petit trou. Le troisième revenait à la charge pour se refaire sucer. Soudain, j’ai vu les deux hommes tenter l’impossible ce que je n’espérais pas. Le premier derrière moi était toujours dans mon petit trou. Puis j’ai vu et j’ai senti le second s’introduire du moins tenter de le faire celui qui juste avant me baisait vaginalement. Oui, tu as bien compris Bob, ils m’ont prise à deux analement. J’ai cru que j’allais décoller. Je ne peux pas t’expliquer les sensations que cela fait mais j’ai cru que l’on m’écartelait. J’ai senti mes chairs s’écarter. J’ai senti leurs deux glands entrer en moi.

Je crois qu’eux-mêmes n’en revenaient pas. Ils m’ont tous félicitée pour ça. J’ai été flattée. Je ne pensais pas un jour être capable de ça ni même que l’on me fasse cela. Voilà un peu près tout ce que je peux te dire.

Je t’embrasse bien fort
Virginie »

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