Quelle satisfaction !
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Quelle satisfaction !
-Cela m’ennuie de te demander ça, Alain… me fait Elliane, une connaisssance de travail, dont ses cheveux poivre et sel tirés en arrière dans un chignon.
Sa peau bronzée met en relief deux yeux bleu turquoise. Elle marque une pause, baisse la tête, puis relève lentement les yeux vers moi en battant des cils. Un meuble à monter. Elle rejette la tête en arrière pour faire glisser ses mèches sur son épaule.
-Ce serait tellement chou si tu peux faire quelque chose !
Avec un nouveau sourire enjôleur, elle se retourne vers sa tablée, considérant l’affaire comme entendue.
Surtout qu’elle ne tarde pas au courant de la soirée de me communiquer le jour où elle aimerait que j’intervienne. Je n’avais alors, plus qu’à me soumettre à son imploration.
Le jour choisi, je frappe à la porte de son appartement. D’ailleurs elle ne met pas longtemps à m’ouvrir. Une bouffée de parfum envahi mes narines. Son rouge à lèvres parait encore plus vif qu’à l’ordinaire. Ses yeux fardés s’agrandissent en me voyant.
Elle porte aux pieds une paire de mules et chose bizzard une tunique de tulle transparente. Mon regard s’attarde sur ses hanches, ses cuisses galbées, mais reviens sur son pubis assez ornée de poil.
-J’espère que ma tenue ne te choc pas trop ? Me fait Elliane.
-Pas le moins du monde.
-J’avais comme une envie de m’exhiber à toi !
-Et bien c’est servi
-Le meuble se trouve dans ma chambre.
-Parce que il y a vraiment un meuble à monté ?
-Bien sûr !
Elle se dirige dans le couloir. J’ai les yeux braqués sur le roulis des fesses, encore plus généreuses vues de la sorte. Je n’écoute pas un mot des explications qu’elle me donne. Dans la chambre, elle se penche vers le colis couchée sur le tapis. Les mules à talons allongent ses jambes encore belle malgré son âge. L’ourlet de sa tunique glisse vers le haut en même temps que s’épanouie sa croupe. Sa position révèle plus que jamais la bosse poilue de sa vulve, j’aperçois même la saillie des lèvres enroulées.
Avant de se redresser Elliane jette un coup d’œil derrière elle. Et peux ainsi intercepter mon regard posé sur sa croupe tendue.
-Cela est à ton goût ? Me lâche-t-elle.
-J’apprécie ce que tu m’expose.
-Tu m’ens vois ravie. Me répond-t-elle, en se redressant, les joues rougies.
-Tu veux vraiment que je m’occupe de ton meuble ?
-C’est bien pour ça que tu es là, non ?
-Mais…Je vais avoir besoin d’outil pour ça.
-Ah oui, j’ai oublié de te le dire. Fait-elle les mains le long du corps. Ce faisant la coquine me fait admirer sa poitrine lourde. Les gros seins tombants de chaque côté de son buste, les mamelons qui repoussent le tulle.
-Qu’est-ce que tu regarde comme ça ? Me fait-elle, alors qu’elle me gratifie d’une œillade équivoque.
Elle maintient son regard sur moi. Me détaille des pieds à la tête avec un œil que je ne lui connaissais pas.
Puis la voilà qu’elle se laisse tomber sur le lit. Elle se tortille même sur ce dernier, avec coquetterie et lance un rire faux.
-Tu cherches quoi Elliane en me faisant venir j’ici ?
-A ton avis ! Fait-elle sur un drôle de ton, que j’entends s’échauffer peu à peu, le visage coloré, l’œil brillant.
-Il fallait oser…
-Facile à dire ! Fait-elle avec un rire.
Là elle déboutonne sa tunique et la laisse choir sur le lit pour se tenir dans une posture jambes serrées.
-Alors si j’ai bien compris, tu as envie ?
-J’ai toujours envie de belle femme.
-Je ne suis pas de la première jeunesse. Fait-elle en changeant de pose, nouant les mais derrière sa nuque.
-Cela m’est bien égal !
Son regard trouble glisse vers moi.
-C’est vrai ?
-Comme je m’appel Alain…
Avec un rire empreint de fausse modestie, elle s’allonge sur le lit. Sous prétexte de redresser les oreillers, elle écarte largement les cuisses dans une pose qui n’a rien d’académique. Mon regard se colle sur son con renflé, dont les babines épaisses sont couvertes de poils. Elle tend le cou, rejetant la tête en arrière, s’efforçant de donner une touche artistique au tableau obscène qu’elle m’offre.
-Je peux voir l’autre côté ?
Elle sursaute, ouvre les yeux ronds puis tourne lentement sur elle-même en lançant :
-Je n’aurais jamais cru ça de toi… me lâche Elliane.
-J’aime le cul…
-Je vois ça !
A plat ventre, ses fesses pâles s’étalent à ma vue. Je pose les mains sur son fessier. Elle lève vers moi un sourire canaille qui disparaît dès que j’ajoute :
-Ouvre mieux ton cul de salope !
-Hou là ! Comme tu y va… fait-elle en roulant sur le côté pour m’échapper.
Je la ramène de force au centre du lit.
-Tu veux baiser avec moi oui ou non ?
Je tire sur ses fesses.
-T’inquiète salope, je vais tacher de te mener au plaisir…
Elle se fige et devient subitement blême.
-T’ai sûr que tu n’as pas pitié pour moi ?
-Regarde ma queue comme elle est excitée ! Tu crois que c’est par pitié ça aussi…
Conquise, elle ne cherche plus à se contracter. La raie s’étire rosâtre jusqu’au pourtour de l’anus souligné par une cocarde de peau du même ocre mat que le pubis, au milieu, l’anus saillie comme un large bourgeon plissé, les replis de chair rose se chevauchant pour former un cratère irrégulier. ?
-Ah oui, c’est une vieille salope comme moi qui te fais tant bander ?
-J’adore les vieilles salopes !
Je passe les mains sous ses hanches et la force à replier les jambes pour lever sa croupe, elle garde le buste plaqué au matelas, le visage enfoui dans l’oreiller tendant vers moi son cul. Malgré ses jambes resserrées, elle ne peut cacher complètement son sexe renflé.
C’est l’anus que je choisis de lécher d’abord. Je tire une langue pointue pour suivre les replis, bave dans la raie avec une expression bestiale. Lorsque je juge l’orifice suffisamment mouillé, je pose le bout de mon index et pousse avec un mouvement tournant vissant mon doigt tout entier dans le rectum. Un gémissement me parvint à travers l’oreiller. Je fais tourner mon doigt, cherchant à évaser davantage le boyau.
-Tu as l’air d’aimer cela, qu’on s’occupe de ton cul ?
Elle répond par un gémissement plus grave mais conserve la même docilité. Je tire sur les fesses pâles exhibant le trou du cul que mes attouchements commencent à entrouvrir. J’enfonce mon majeur dans sa chatte. Il glisse à l’intérieur sans effort, tant elle mouille. Sa chatte déborde d’une mouille poisseuse qui rend le vagin glissant. Cela m’excite comme toujours, tellement que j’enfonce un second doigt dans le conduit trempé. Ils coulissent si facilement dans la chatte offerte que j’ai l’impression de pouvoir y fourrer la main entière.
Elliane relève la tête, me jette un regard furtif en direction du centre de mon corps. Se voyant démasquer, elle enfouit de honte, de nouveau la tête dans l’oreiller. Je dénude ma queue, empoigne la cochonne aux hanches et la pénètre sans préambule. Ma verge disparait d’un trait dans la chatte. Je la baise à grands coups de reins entrant et sortant de la vulve chiffonnée qui clapote sans pouvoir retenir ma queue en elle. Tout en allant et venant dans la chatte, c’est comme toujours, le cul de la dame qui m’intéresse. Je me penche pour laisser s’écouler des filets de salive dans la raie, repoussant du pouce ma bave dans l’anus. Comme si je désirais lui emplir le rectum de ma salive.
Elliane geigne doucement à travers l’oreiller, prêtant la croupe avec docilité tandis que je résiste à l’envie de me laisser aller à jouir en regardant ma verge luisante de mouille coulisser entre les lèvres fripées. Je finis par me retirer tout à fait pour viser la cible que je convoitais depuis le début.
Tenant ma verge fermement, j’appuie au centre du cratère bosselé et pousse. Ma verge ne s’enfonce pas avec la même simplicité que par devant mais il s’en faut de peu. Avec un gémissement plus rauque, elle creuse les reins. Je poursuis ma progression dans le rectum jusqu’à y disparaître tout entier.
-Tu comptes vraiment me la fourrer de ce côté ?
-Bien sûr !
-C’est que…
-Oui… pas la peine de te confesser…
Là, je me mets à enculer Elliane, avec plus de cruauté, que lorsque je la baisais. Mon ventre cogne bruyamment contre les fesses molles, les faisant ballotter. A chaque ruade, le corps d’Elliane est projeté en avant, son visage enfoui dans les oreillers. A un moment ma queue a glissé hors du trou du cul, lui arrachant un cri de surprise.
-Oh non ! Lâche-t-elle-même e se tournant vers moi, le visage rougi. Une mèche collée au front par la sueur. Elle semble avoir oublié son début de confession.
-J’en prendrais bien encore…de ta queue, si tu veux savoir…
-Je savais que tu allais aimer !
Elle écarte les genoux et rajuste les oreillers pour trouver une position plus confortable. Après quoi elle creuse les reins et prend appui sur un coude.
-La vieille salope en redemande !
Elle pose le visage sur les oreillers, de profil cette fois et fouille dans les chairs protubérantes de son entrecuisse avant de glisser trois doigts dans son vagin. Elle commence à se branler à petites secousses.
-Alors qu’attends-tu pour me la mettre de nouveau, belle âtre !
Elle se mord la lèvre inférieure et pousse. Je vois l’anus s’écarter comme une bouche boudeuse creusant un entonnoir rougeâtre au milieu du cratère. Je n’ai plus qu’à diriger ma queue vers l’orifice qu’elle m’offre.
Elle se trémousse et une bague chaude m’enveloppe. Nous ne bougeons plus. Puis d’une irrésistible poussée, elle se dilate de nouveau autour de moi et m’absorbe. Son attitude devient moins passive. Elle geigne, grogne, parcourue de secousses et c’est elle maintenant qui s’empale sur ma verge au rythme de ma masturbation.
- Oh, crie-t-elle avec un rire étranglé, je le sens tout au fond! Oh, c’est sale, c’est dégoûtant, j’ai jamais fait ça, je sens qu’il patauge, il patauge dans mes matières fécales!
Je jouis, trop bouleversé pour songer à me retenir plus longtemps et elle accélère ses coups de reins en sentant mon sperme gicler en elle, réussissant à me rejoindre au dernier moment.
Elle jouit bruyamment. Je n'oublierais jamais le hurlement dément d’Elliane à cet instant, j’en n’avais jamais entendu un de cette intensité !
Quelle satisfaction !
Sa peau bronzée met en relief deux yeux bleu turquoise. Elle marque une pause, baisse la tête, puis relève lentement les yeux vers moi en battant des cils. Un meuble à monter. Elle rejette la tête en arrière pour faire glisser ses mèches sur son épaule.
-Ce serait tellement chou si tu peux faire quelque chose !
Avec un nouveau sourire enjôleur, elle se retourne vers sa tablée, considérant l’affaire comme entendue.
Surtout qu’elle ne tarde pas au courant de la soirée de me communiquer le jour où elle aimerait que j’intervienne. Je n’avais alors, plus qu’à me soumettre à son imploration.
Le jour choisi, je frappe à la porte de son appartement. D’ailleurs elle ne met pas longtemps à m’ouvrir. Une bouffée de parfum envahi mes narines. Son rouge à lèvres parait encore plus vif qu’à l’ordinaire. Ses yeux fardés s’agrandissent en me voyant.
Elle porte aux pieds une paire de mules et chose bizzard une tunique de tulle transparente. Mon regard s’attarde sur ses hanches, ses cuisses galbées, mais reviens sur son pubis assez ornée de poil.
-J’espère que ma tenue ne te choc pas trop ? Me fait Elliane.
-Pas le moins du monde.
-J’avais comme une envie de m’exhiber à toi !
-Et bien c’est servi
-Le meuble se trouve dans ma chambre.
-Parce que il y a vraiment un meuble à monté ?
-Bien sûr !
Elle se dirige dans le couloir. J’ai les yeux braqués sur le roulis des fesses, encore plus généreuses vues de la sorte. Je n’écoute pas un mot des explications qu’elle me donne. Dans la chambre, elle se penche vers le colis couchée sur le tapis. Les mules à talons allongent ses jambes encore belle malgré son âge. L’ourlet de sa tunique glisse vers le haut en même temps que s’épanouie sa croupe. Sa position révèle plus que jamais la bosse poilue de sa vulve, j’aperçois même la saillie des lèvres enroulées.
Avant de se redresser Elliane jette un coup d’œil derrière elle. Et peux ainsi intercepter mon regard posé sur sa croupe tendue.
-Cela est à ton goût ? Me lâche-t-elle.
-J’apprécie ce que tu m’expose.
-Tu m’ens vois ravie. Me répond-t-elle, en se redressant, les joues rougies.
-Tu veux vraiment que je m’occupe de ton meuble ?
-C’est bien pour ça que tu es là, non ?
-Mais…Je vais avoir besoin d’outil pour ça.
-Ah oui, j’ai oublié de te le dire. Fait-elle les mains le long du corps. Ce faisant la coquine me fait admirer sa poitrine lourde. Les gros seins tombants de chaque côté de son buste, les mamelons qui repoussent le tulle.
-Qu’est-ce que tu regarde comme ça ? Me fait-elle, alors qu’elle me gratifie d’une œillade équivoque.
Elle maintient son regard sur moi. Me détaille des pieds à la tête avec un œil que je ne lui connaissais pas.
Puis la voilà qu’elle se laisse tomber sur le lit. Elle se tortille même sur ce dernier, avec coquetterie et lance un rire faux.
-Tu cherches quoi Elliane en me faisant venir j’ici ?
-A ton avis ! Fait-elle sur un drôle de ton, que j’entends s’échauffer peu à peu, le visage coloré, l’œil brillant.
-Il fallait oser…
-Facile à dire ! Fait-elle avec un rire.
Là elle déboutonne sa tunique et la laisse choir sur le lit pour se tenir dans une posture jambes serrées.
-Alors si j’ai bien compris, tu as envie ?
-J’ai toujours envie de belle femme.
-Je ne suis pas de la première jeunesse. Fait-elle en changeant de pose, nouant les mais derrière sa nuque.
-Cela m’est bien égal !
Son regard trouble glisse vers moi.
-C’est vrai ?
-Comme je m’appel Alain…
Avec un rire empreint de fausse modestie, elle s’allonge sur le lit. Sous prétexte de redresser les oreillers, elle écarte largement les cuisses dans une pose qui n’a rien d’académique. Mon regard se colle sur son con renflé, dont les babines épaisses sont couvertes de poils. Elle tend le cou, rejetant la tête en arrière, s’efforçant de donner une touche artistique au tableau obscène qu’elle m’offre.
-Je peux voir l’autre côté ?
Elle sursaute, ouvre les yeux ronds puis tourne lentement sur elle-même en lançant :
-Je n’aurais jamais cru ça de toi… me lâche Elliane.
-J’aime le cul…
-Je vois ça !
A plat ventre, ses fesses pâles s’étalent à ma vue. Je pose les mains sur son fessier. Elle lève vers moi un sourire canaille qui disparaît dès que j’ajoute :
-Ouvre mieux ton cul de salope !
-Hou là ! Comme tu y va… fait-elle en roulant sur le côté pour m’échapper.
Je la ramène de force au centre du lit.
-Tu veux baiser avec moi oui ou non ?
Je tire sur ses fesses.
-T’inquiète salope, je vais tacher de te mener au plaisir…
Elle se fige et devient subitement blême.
-T’ai sûr que tu n’as pas pitié pour moi ?
-Regarde ma queue comme elle est excitée ! Tu crois que c’est par pitié ça aussi…
Conquise, elle ne cherche plus à se contracter. La raie s’étire rosâtre jusqu’au pourtour de l’anus souligné par une cocarde de peau du même ocre mat que le pubis, au milieu, l’anus saillie comme un large bourgeon plissé, les replis de chair rose se chevauchant pour former un cratère irrégulier. ?
-Ah oui, c’est une vieille salope comme moi qui te fais tant bander ?
-J’adore les vieilles salopes !
Je passe les mains sous ses hanches et la force à replier les jambes pour lever sa croupe, elle garde le buste plaqué au matelas, le visage enfoui dans l’oreiller tendant vers moi son cul. Malgré ses jambes resserrées, elle ne peut cacher complètement son sexe renflé.
C’est l’anus que je choisis de lécher d’abord. Je tire une langue pointue pour suivre les replis, bave dans la raie avec une expression bestiale. Lorsque je juge l’orifice suffisamment mouillé, je pose le bout de mon index et pousse avec un mouvement tournant vissant mon doigt tout entier dans le rectum. Un gémissement me parvint à travers l’oreiller. Je fais tourner mon doigt, cherchant à évaser davantage le boyau.
-Tu as l’air d’aimer cela, qu’on s’occupe de ton cul ?
Elle répond par un gémissement plus grave mais conserve la même docilité. Je tire sur les fesses pâles exhibant le trou du cul que mes attouchements commencent à entrouvrir. J’enfonce mon majeur dans sa chatte. Il glisse à l’intérieur sans effort, tant elle mouille. Sa chatte déborde d’une mouille poisseuse qui rend le vagin glissant. Cela m’excite comme toujours, tellement que j’enfonce un second doigt dans le conduit trempé. Ils coulissent si facilement dans la chatte offerte que j’ai l’impression de pouvoir y fourrer la main entière.
Elliane relève la tête, me jette un regard furtif en direction du centre de mon corps. Se voyant démasquer, elle enfouit de honte, de nouveau la tête dans l’oreiller. Je dénude ma queue, empoigne la cochonne aux hanches et la pénètre sans préambule. Ma verge disparait d’un trait dans la chatte. Je la baise à grands coups de reins entrant et sortant de la vulve chiffonnée qui clapote sans pouvoir retenir ma queue en elle. Tout en allant et venant dans la chatte, c’est comme toujours, le cul de la dame qui m’intéresse. Je me penche pour laisser s’écouler des filets de salive dans la raie, repoussant du pouce ma bave dans l’anus. Comme si je désirais lui emplir le rectum de ma salive.
Elliane geigne doucement à travers l’oreiller, prêtant la croupe avec docilité tandis que je résiste à l’envie de me laisser aller à jouir en regardant ma verge luisante de mouille coulisser entre les lèvres fripées. Je finis par me retirer tout à fait pour viser la cible que je convoitais depuis le début.
Tenant ma verge fermement, j’appuie au centre du cratère bosselé et pousse. Ma verge ne s’enfonce pas avec la même simplicité que par devant mais il s’en faut de peu. Avec un gémissement plus rauque, elle creuse les reins. Je poursuis ma progression dans le rectum jusqu’à y disparaître tout entier.
-Tu comptes vraiment me la fourrer de ce côté ?
-Bien sûr !
-C’est que…
-Oui… pas la peine de te confesser…
Là, je me mets à enculer Elliane, avec plus de cruauté, que lorsque je la baisais. Mon ventre cogne bruyamment contre les fesses molles, les faisant ballotter. A chaque ruade, le corps d’Elliane est projeté en avant, son visage enfoui dans les oreillers. A un moment ma queue a glissé hors du trou du cul, lui arrachant un cri de surprise.
-Oh non ! Lâche-t-elle-même e se tournant vers moi, le visage rougi. Une mèche collée au front par la sueur. Elle semble avoir oublié son début de confession.
-J’en prendrais bien encore…de ta queue, si tu veux savoir…
-Je savais que tu allais aimer !
Elle écarte les genoux et rajuste les oreillers pour trouver une position plus confortable. Après quoi elle creuse les reins et prend appui sur un coude.
-La vieille salope en redemande !
Elle pose le visage sur les oreillers, de profil cette fois et fouille dans les chairs protubérantes de son entrecuisse avant de glisser trois doigts dans son vagin. Elle commence à se branler à petites secousses.
-Alors qu’attends-tu pour me la mettre de nouveau, belle âtre !
Elle se mord la lèvre inférieure et pousse. Je vois l’anus s’écarter comme une bouche boudeuse creusant un entonnoir rougeâtre au milieu du cratère. Je n’ai plus qu’à diriger ma queue vers l’orifice qu’elle m’offre.
Elle se trémousse et une bague chaude m’enveloppe. Nous ne bougeons plus. Puis d’une irrésistible poussée, elle se dilate de nouveau autour de moi et m’absorbe. Son attitude devient moins passive. Elle geigne, grogne, parcourue de secousses et c’est elle maintenant qui s’empale sur ma verge au rythme de ma masturbation.
- Oh, crie-t-elle avec un rire étranglé, je le sens tout au fond! Oh, c’est sale, c’est dégoûtant, j’ai jamais fait ça, je sens qu’il patauge, il patauge dans mes matières fécales!
Je jouis, trop bouleversé pour songer à me retenir plus longtemps et elle accélère ses coups de reins en sentant mon sperme gicler en elle, réussissant à me rejoindre au dernier moment.
Elle jouit bruyamment. Je n'oublierais jamais le hurlement dément d’Elliane à cet instant, j’en n’avais jamais entendu un de cette intensité !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai beaucoup aimé la montée en puissance et le réel du ressenti, c'est le moment où j'ai éjaculé moi même.