Récit : elle voulait un enfant (partie 2) - histoire érotique

Ce n’est pourtant pas ce soir-là que Virginie se retrouva enceinte.

Olivier et moi avions passé une bonne soirée et Virginie était aux anges, épanouie, heureuse. Plusieurs fois de suite, nous lui fîmes l’amour : elle et moi d’abord pendant qu’Olivier était en train de nous regarder, situation très gênante au début, surtout pour moi qui n’était pas habitué à être vu dans mes ébats.

Virginie quant à elle était plus à l’aise. Mais elle a toujours été plus à l’aise que moi dans toutes les situations ; et cela depuis toujours, depuis le premier jour que nous nous sommes rencontrés elle et moi. Pour preuve : c’est elle la première qui est venue m’embrasser et non l’inverse. De même, elle se glissa dans mon lit avant que moi je me glisse dans le sien, et ainsi de suite.

Avec Olivier, il en était également ainsi, bien que ce soit lui qui lui ait fait du gringue en première dès le début de sa rencontre avec elle. Un coup qui s’était avéré payant pour lui plus que pour moi puisque l’homme ne réussit pas moins que de sauter ma belle en quatuor avec deux autres gars que ma belle connaissait à peine !

Mais pour en revenir à ce que nous disions (la soirée-nuit passée avec Olivier), outre le fait que nous la baisions à tour de rôle puis ensemble et inversement, Virginie en était, après s’être reposée un peu, à se lever en plein milieu de la nuit pour rejoindre notre hôte qui dormait dans le canapé du salon. Elle prétexta auprès de lui qu’elle n’arrivait pas à dormir. En vérité, la belle avait une envie irrésistible de se faire prendre encore une fois par lui tandis que je dormais. En outre, l’idée de faire l’amour avec lui et moi dans la chambre, l’excitait au plus point, chose que je n’arrive toujours pas à comprendre de la part d’une femme, mais bon, c’est ainsi.

C’est en entendant cependant du bruit en provenance du salon que je me réveillai et que je vis que ma belle n’était effectivement plus à côté de moi dans le lit : elle avait rejoint Olivier dans le canapé. Je me suis levé discrètement sans faire de bruit pour voir ce qui se passait ; et là qu’elle ne fut pas ma surprise sinon mon étonnement de voir Virginie qui suçait notre hôte tranquillement en toute délicatesse. La belle savait y faire : suçant mais aussi léchant la bite de notre hôte de bas en haut, en le regardant dans les yeux, quand elle faisait ça. D’ailleurs, elle faisait cela avec moi aussi depuis quelques temps déjà, ce qu’elle ne faisait pas à nos débuts.

Virginie et Olivier étaient dans une relation d’au moins un an ce soir-là. Je dirais même un an et demi car entre la petite partie de jambes en l’air que lui avait organisée Olivier aux lendemains des exams de fin d’année (BTS) et notre trio de novembre-décembre, cela faisait bien un an et six mois.

Sans rien me dire au début, par honte ou peut-être par peur, Virginie me mit cependant très vite au fait de sa relation avec Olivier car dès le mois de juillet, après les exams, je devenais au courant de tout, du moins de tout ce qu’elle a bien voulu me dire car avec les femmes on ne sait jamais que ce qu’elles veuillent bien nous dire.


Le début de cette histoire avait commencé dans un café. Je ne l’ai jamais raconté avant. C’était en mai, peut être en juin de la deuxième année de BTS. Virginie, qui n’était pas tout à fait la fille timide que l’on croit être, s’était laissée inviter à boire un verre par Olivier. Ce dernier était accompagné de ses deux meilleurs potes. Les trois garçons étaient tous dans la même classe : la deuxième année BTS.

Les jeunes s’installèrent au fond d’un Pub autour de la seule table qui venait de se libérer. Dans le Pub, de toutes parts, les discussions allaient bon train. La salle était remplie de monde. Pensez-vous, c’était l’heure du « Happy Hour » avec les boissons à moitié prix. Toutes les places et toutes les tables étaient occupées. C’était un vrai brouhaha. On ne s’entendait pratiquement pas les uns des autres si bien que parfois il fallait élever la voix pour se faire comprendre. Ajoutez à cela la musique et vous devinez l’ambiance.

Bref, c’est dans ce Pub, situé non loin de l’école BTS qu’Olivier invita Virginie à boire un verre. La belle accepta volontiers car elle aimait bien s’amuser. Mais, aussitôt après avoir commandé les boissons, Olivier ne se gêna pas pour draguer ma belle de façon ouverte, et cela devant ses potes qui visiblement étaient au courant de tout car ils acquiesçaient à chaque fois qu’Olivier disait quelque chose. Virginie écoutait avec attention les propositions d’Olivier. Au début, ce ne fut qu’un jeu, en réalité un test : Olivier proposa à Virginie trio et cuni et baise chaude comme elle n’en avait jamais vécu :

- « Si tu veux même, demain on vient chez toi et on te baise tous les trois par tous les trous. On te fait la totale ! » s’exclama Olivier sans se soucier de qui pouvait l’entendre à l’intérieur du Pub.

Virginie était choquée de la discussion sinon surprise l’intonation et les propos crus et directs d’Olivier à son égard. Olivier faisait part à la belle de son envie de faire l’amour avec elle. Il voulait que Virginie vive des sensations qu’elle n’avait jamais eu de toute sa vie. Il voulait la faire jouir à profusion et à répétition :

- « Tu veux vraiment me pénétrer ? » répliqua la belle, choquée mais amusée par l’attitude d’Olivier.
- « Oui et pas seulement, répondit Olivier, je veux te baiser par tous les trous, te faire jouir, te faire sentir la puissante d’un homme. Te faire découvrir l’amour multiple. Ce sera une première pour toi. Imagine, trois mecs pour toi toute seule. Imagine l’exploit et le plaisir que tu auras ».
- « Les mecs, vous êtes d’accord ? » s’adressa aussitôt Olivier à ses potes.
- « Oui, Oui ! On est d’accord et comment on est d’accord »
- « Et, On ne demande pas mon avis à moi ? Je signale que je n’ai pas dit Oui. » renchérit la belle.
- « Si bien sûr que si on demande ton avis. On ne va pas faire si tu n’es pas d’accord. Mais je te jure, tu vas passer un bon moment, je te promets. Tu vas jouir grave quand tu auras nos trois queues en toi. » ajouta Olivier.
- « Alors qu’en dis-tu ? »
- « J’en dit que tu es bien sûr de toi », renchérit la belle. Etc.


Ce jour-là la belle ne donna pas son consentement ouvert. Elle laissa cependant le doute comme elle aime le faire si souvent :
- « Alors, tu es d’accord ? » renchérit Olivier.
- « On verra bien, lui répondit Virginie. De toute façon, je suis chez moi demain après-midi. »
- « Et ma mère travaille toute la journée » ajouta-t-elle.

Pour Olivier (et les deux compères), la réponse de Virginie était un « Oui », sans ambiguïté.
Pour Virginie, cependant, cela voulait dire, par ses propres pensées : « Je suis sûre qu’ils ne viendront pas demain ; et que tout cela est du bluff. Ils vont se dégonfler ». Le lendemain pourtant, on sonnait à sa porte…


A suivre….