Récit : Elle voulait un enfant

- Par l'auteur HDS Bob-et-Annie -
Auteur couple.
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Récit libertin : Récit : Elle voulait un enfant Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Récit : Elle voulait un enfant
Salut, c’est Bob. Je souhaite vous raconter une histoire, fondamentalement vraie mais peu importe après tout de savoir si elle est réelle ou pas. Dans tous les cas, je suis persuadé que dans chaque histoire il y a une part de nous-même et de vérité y compris dans les histoires les plus fantasmées. C’est en tout cas, le cas pour moi-même même si je ne suis pas très doué pour écrire et faire fantasmer.

Ce qui est sûr, c’est que je suis bien content que le site ait réouvert. A vrai dire, je n’y croyais plus. Vous comprenez, j’y ai tellement écrit et fait de confidences. J’aurais vraiment trouvé cela dommage qu’il ait fermé définitivement.

Bon allez, j’en viens au récit car le titre est évocateur et pourtant vrai. Mais comment raconter.

Cette histoire s’est passée il y a maintenant presque vingt ans. Internet en était encore à ses balbutiements et les réseaux sociaux n’existaient pas encore. J’étais en couple au lycée avec la première femme de ma vie : Virginie. Puis, ensemble mais dans des écoles séparées, après le bac, nous montions dans la capitale pour y poursuivre nos études.

C’est l’époque où Virginie rencontra beaucoup de monde. La belle se faisait belle, elle voulait plaire, séduire. Elle accoquinait beaucoup jusqu’au jour où elle fit la rencontre d’Olivier, un homme à peine plus âgé qu’elle, un an ou deux mais qui n’avait absolument pas froid aux yeux. Je ne vais pas vous raconter ce que vous savez déjà puisqu’en ayant déjà fait le récit (le fameux gangbang) mais je vous avoue que chaque fois que j’y repense, cela me fait bander. La salope ! (Mot affectif).

Bref, très tôt et rapidement Virginie et moi en sommes venus à nous installer ensemble rue du Midi à Vincennes, une rue très commerçante et animée l’été comme l’hiver pour son marché aussi et ses animations de Noël.

Il y a une année, Virginie avait même été élue Miss Vincennes par une association de commerçants qui s’occupait d’animer les rues de la ville et d’organiser des festivités. La belle apparaissait sur les affiches de la ville pour le marché de Noël. Elle était belle emmitouflée dans son manteau blanc. Son sourire était lumineux. J’étais très fière d’elle.

Bref, c’est dans cette rue que nous avions pendant plus d’un an notre petit appartement au troisième étage d’un immeuble où Virginie et moi avions fait l’amour dans presque tous les endroits : chambre, cuisine, salon mais aussi ascenseur et cage d’escalier. Je me souviens encore que nous ayons failli nous faire gauler par un voisin qui descendait de chez lui. Quand il nous à croiser dans les escaliers, il nous regarda bizarrement comme s’il s’était aperçu de quelque chose. S’il savait le pauvre, que deux minutes avant, je limais ma chérie de la façon la plus magistrale, c’est sûr, qu’il aurait été choqué, à moins qu’il ait eu la même envie que moi, qui sait.

Bref, je voudrais en revenir au vif du sujet. Le titre, « elle voulait un enfant ».

Pour vous raconter cette histoire, il faut que j’en revienne à nos débuts Virginie et moi, en vous donnant quelques explications. J’espère ne rien oublier car avec le temps, si les souvenirs ne s’effacent pas pleinement ils s’éloignent incommensurablement et emportent avec eux leurs cortèges de détails qui font que dans chaque histoire, il y a de la vie, de l’excitation et de l’espoir.

Comme je vous le disais, Virginie et moi avions été l’un et l’autre les premiers amants de la vie, notre première fois ensemble en somme. Au tout début et notamment la première fois que nous faisions l’amour, nous utilisions toujours des préservatifs. Le but n’était pas avant tout de se protéger du sida ou de toutes autres IST. Non, notre but était que Virginie ne tombe pas enceinte à un âge où nous étions encore qu’étudiants.

Nous sommes restés toute une année comme ça, peut être un peu plus, peut-être un peu moins à utiliser un ou plusieurs préservatifs à chaque rapport. Je profite pour dire au passage car je ne l’ai jamais écrit avant, qu’il ne faut pas plaisanter avec le sida et les IST. On ne le répètera jamais assez : protégez-vous, soyez responsables. Dans tous les cas, pour information, Virginie et moi à ce jour sommes indemnes.

Bref, ma belle et moi utilisions des préservatifs jusqu’à ce que Nadia la mère de Virginie trouva que sa fille était en âge de prendre la pilule, ce que la belle fit rapidement. Du coup, plus de préservatifs dans nos rapports. Je prenais l’habitude de jouir dans le vagin de ma belle pour mon plus grand plaisir et pour le sien aussi. Virginie m’avoua en outre préférer sans préservatif, notamment à cause de son allergie au latex. Par la suite, nous faisions toujours l’amour sans, y compris Virginie seule avec Olivier, indemne d’IST lui aussi.

Mais qui est cet Olivier ?

Olivier avait été l’amant de Virginie pendant plus d’un an. La belle et lui se sont connus pendant que Virginie était en BTS Gestion tourisme et comptabilité, et vente. Olivier aimait Virginie plus que tout mais c’était essentiellement et uniquement sexuel entre elle et lui. Leur relation dura un an, deux ans, peut-être plus, peut-être moins. Toujours est-il Olivier, Virginie et moi en sommes venus un faire un trio, un trio mémorable que je vous ai raconté dans une de mes histoires. Tout ce que s’est passé, je l’ai décrit du mieux possible avec mes souvenirs. Cela a duré toute la nuit et nous avions même remis cela trois fois jusqu’au petit matin. Une nuit mémorable, notre premier trio, mon premier trio.

Virginie en ce temps-là prenait la pilule, régulièrement. Tantôt elle flirtait avec Olivier qui l’a prise sur le photocopieur de la boite (récit déjà écrit) et où ils ont failli aussi se faire gauler tous les deux car des photocopies « curieuses » avaient atterri sur le bureau du directeur et Virginie avait été dénoncée par des quelques collègues jalouses. La belle s’en sortit avec un blâme.

Bref, cette histoire ne nous empêcha pas de faire un trio à l’instigation de Virginie qui voulait le faire avec moi car il faut que je vous le dise si vous ne le savez pas la belle n’en était pas à sa première fois de ce côté-là. Elle avait déjà fait avec deux hommes, Yves et un autre gars dont je n’ai plus le nom en tête et qui possédait une société de tournage. Cela me revient, il s’appelait Phil car c’était dans le nom de sa société, son prénom, « les studios de Phil ».

Bref, Virginie avait déjà fait un trio avec deux hommes, mais pas moi. Non pas que j’aime les hommes attention, je ne suis pas bi mais j’avoue que l’idée avait fait son chemin et prendre ma belle avec un autre homme je trouvais cela finalement excitant jusqu’à vouloir réaliser ce fantasme qui était devenu le mien, car quand cela vous trotte dans la tête, il est certain que cela reste jusqu’à l’épuisement physique, en pleine action.

C’est ainsi que Virginie, Olivier et moi fîmes notre premier trio. La belle fut secouée de toute part comme un cocotier. Mieux, Virginie nous dévorait des yeux, elle nous embrassait l’un l’autre à tour de rôle avant de nous prendre dans sa bouche, délicatement puis profondément avec gourmandise.

Tous les trois, nous faisions l’amour. Mieux : tous les deux, Olivier et moi faisions l’amour à Virginie, tantôt à tour de rôle, tantôt ensemble jusqu’à la double vaginale proposée par Olivier. J’étais allongé sur le dos sur le lit. Virginie était assise sur moi en me tournant le dos. Mon sexe était en place dans le vagin de ma belle. Olivier écarta les jambes de ma belle, les souleva, culbuta Virginie un peu en arrière pour qu’elle se retrouve davantage sur moi et d’un geste (son sexe était plus gros que le mien) il pénétra ma belle vaginalement. Je sentis le sexe d’Olivier coulisser contre le mien. Virginie avait nos deux sexes dans la chatte, le mien et celui d’Olivier. Le sexe d’Olivier écartait ses chairs. L’homme la tenait jambes en l’air et Virginie prenait plaisir. Olivier excellait dans sa prestation : il venait et allait dans le con de ma belle qui jouissait de ces va-et-vient. Moi j’essayais de bouger mais force était de constater que je restais plutôt immobile à cause de la position. Je veillais sur tout à conserver Virginie bien en équilibre au-dessus de moi.

En continuant ses va-et-vient, Olivier traita ma belle de « Salope ! ». C’était sa façon à lui de s’exciter. Moi, je ne disais rien, Virginie non plus si bien qu’il continua dans ses insultes : « t’aime ça Salope, hein ! », « Avoue ! » etc.

Pour Olivier, Les insultes étaient un jeu et ce n’était pas tout à fait des insultes puisqu’il s’agissait avant tout de s’exciter. Virginie ne s’en offusqua pas. Au contraire, elle lui répondit entre deux coups butoirs saccadés par un « OUI… j’aime ça ! », suave et langoureux.

- « Tu es ma pute, dis-le que tu es ma pute ! », l’interrogea Olivier.

Virginie répondit du tout au tout : « Je suis ta pute ! », « Oui ! Oui, encore ! »

Mon sexe pendant ce temps était en encore au fond de son vagin. J’avançais par petit coup alors qu’Olivier la défonça intensément avec un rythme soutenu que je peinais à suivre quand, soudain Olivier poussa un râle de plaisir : son sexe venait de jouir et de déverser un flot de sperme bien chaud qui coulait sur ma queue mais qui surtout était entrer au fond du con de Virginie. La belle prit plaisir de la sensation que cela lui déclencha. Mon sexe, sans doute recouvert du sperme d’Olivier était toujours au fond d’elle. Par l’excitation, j’accélérai à mon tour et je vins jouir à mon tour dans la chatte de ma dulcinée tant aimée. Virginie se retrouvait remplie de nos deux spermes réunis, épanouie et heureuse comme jamais.

Pour être sûre de nous transmettre le plaisir qu’elle eut pris, Virginie nous dit qu’elle avait jouit elle aussi. Mais elle n’avait aucunement besoin de nous le dire : la température de son corps, le parfum qui s’en dégageait et sa tiédeur nous prouvait qu’elle avait pris un plaisir immense.

Mais, il eut une chose cependant que nous ne savions pas ce soir : Virginie avait arrêté de prendre pas la pilule.

A suivre…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Histoire vulgaire et idiote cette jeune femme est de la graine de salope mieux vaut l éviter au risque qu elle se retrouve en sainte et ne sachant pas qui est le père te fasse porter le chapeau et par la même te faire cocu à de multiples occasions.

Je suis très heureuse de vous retrouver aussi sur ce site. Sur le fond de l'histoire, comme je l'ai raconté, notre couple avec Philippe a vécu des situations similaires



Texte coquin : Récit : Elle voulait un enfant
Histoire sexe : Une rose rouge
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