Rencontre inattendu à Tamanrasset - Thierry & Claire

Récit érotique écrit par Karim_et_Nadia [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 3 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Karim_et_Nadia ont reçu un total de 3 345 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 245 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Rencontre inattendu à Tamanrasset - Thierry & Claire
1. La Rencontre : Un Couple Inattendu
Une semaine après lur installation définitive à Tamanrasset, Nadia et Karim sont sorties pour une découverte de la ville. Epuisés, ils se sont attablés à la terrasse d’un petit café de Tamanrasset. Le soleil tape dur, la chaleur est étouffante. C’est là qu’ils les voient : un couple de Français, assis à une table voisine. Lui, grand, noir, musclé, avec un sourire charmant et des mains immenses. Elle, blonde, menue, avec des yeux verts perçants et une façon de rire qui attire tous les regards. Ils parlent fort, boivent du vin rouge à midi, et s’embrassent comme si personne ne les regardait. Nadia et Karim les observent, fascinés.
— Tu les as vus ? murmure Nadia à Karim, en désignant le couple du menton.
— Difficile de les rater, répond Karim, les yeux rivés sur la femme blonde.
— Ils ont l’air… libres, dit Nadia, un sourire en coin.
— Trop libres, répond Karim, mais il ne détourne pas le regard.
La femme blonde les remarque, leur sourit, puis chuchote quelque chose à son compagnon. Celui-ci se lève, s’approche de leur table, un verre de vin à la main.
— On peut se joindre à vous ? demande-t-il avec un accent parisien marqué. On est nouveaux ici, et on cherche des gens… intéressants.
Nadia et Karim échangent un regard. Ils savent. Ils comprennent. Ils sont comme eux : des marginaux, des gens qui ont tout quitté pour vivre sans règles.
— Bien sûr, répond Nadia. Asseyez-vous.
L’homme se présente : Thierry. La femme : Claire. Ils viennent de Marseille, voyagent depuis six mois, et ne comptent pas s’arrêter. Ils parlent de leurs aventures, de leurs nuits sous les étoiles, de leurs rencontres. Leurs yeux brillent d’une excitation à peine voilée. Nadia et Karim écoutent, captivés. Ils savent ce qui va suivre. Ils le veulent.
L’invitation : Une soirée sans limites
Le soleil se couche, et le groupe se déplace chez Nadia et Karim. Claire et Thierry apportent du vin, des cigarettes, et une énergie électrique. Ils s’installent sur la terrasse, les verres se remplissent, les langues se délient.
— Alors, qu’est-ce qui vous amène ici, au milieu de nulle part ? demande Claire à Nadia, un sourire malicieux aux lèvres.
— On a tout quitté, répond Nadia. Les apparences. Les règles. Tout.
— Nous aussi, dit Thierry en riant. Sauf qu’on a gardé une règle : pas de limites.
Un silence. Nadia regarde Karim. Il la fixe, les yeux sombres, la main serrée autour de son verre. Il comprend. Il veut la même chose.
— Vous voulez essayer ? demande Claire, son regard passant de Nadia à Karim.
— Oui, répond Nadia sans hésiter.
— Moi aussi, dit Karim, la voix rauque.
Claire sourit, se lève, et embrasse Nadia. Pas un baiser timide. Un vrai baiser, langue contre langue, mains dans les cheveux. Thierry observe, amusé, puis se tourne vers Karim.
— Et toi, tu veux jouer ?
— Je veux regarder, répond Karim. Pour l’instant.
Thierry hoche la tête, un sourire en coin. Il sait ce qui va suivre. Il sait que Karim changera d’avis.
La première scène : Claire et Nadia
Claire pousse Nadia contre le mur de terre rouge, ses mains sous sa robe, caressant ses seins, son ventre, ses hanches. Nadia gémit, mais elle ne recule pas. Elle veut ça. Elle a besoin de ça. Karim observe, immobile, son verre de vin à la main, les yeux rivés sur elles.
— Tu aimes ça ? demande Claire à Nadia, sa bouche contre son cou.
— Oui, répond Nadia, haletante.
— Et lui ? Claire désigne Karim du menton.
— Lui aussi, dit Nadia.
Claire commence par embrasser Nadia, ses mains caressant ses seins, son ventre, ses hanches. Nadia gémit, mais elle ne recule pas. Elle veut ça. Elle a besoin de ça. Karim observe, immobile, son verre de rhum à la main, les yeux rivés sur elles.
La deuxième scène : L’excès
La terrasse baignée par la lune est devenue un antre de débauche primitive, où les corps luisants de sueur se tordent dans une symphonie de gémissements rauques et de chairs claquant les unes contre les autres.
Claire chevauche Karim avec une sauvagerie bestiale, ses cuisses musclées serrant ses hanches comme un étau, ses ongles griffant sa peau jusqu'au sang, laissant des traînées rouges sur ses épaules. Elle rebondit sur sa queue durcie, ses seins lourds et gonflés ballottant violemment, claquant contre son torse poilu avec un bruit humide et rythmé.
— "Putain, Karim, ta bite me remplit si bien ! Enfonce-toi plus profond, fais-moi hurler !" crie-t-elle, sa voix cassée par l'extase, ses jus intimes coulant le long de ses cuisses et trempant les couilles de Karim.
Lui, grogne comme un animal en rut, ses mains puissantes agrippant ses fesses rondes, les écartant pour mieux s'enfoncer, sentant les parois chaudes et humides de son vagin le traire avidement.
— "T'es une salope insatiable, Claire ! Prends tout, jusqu'aux couilles !" répond-il, haletant, son cœur battant d'un mélange de possessivité et de désir brut.
Mais soudain, tout s'arrête net, comme si un sort avait figé leurs corps en pleine frénésie. Leurs regards se tournent vers Nadia, à genoux devant Thierry, ses doigts tremblants s'attaquant à la braguette tendue de son jean.
Nadia sent un frisson électrique parcourir son corps entier, ses doigts moites et fébriles effleurant le tissu raidi par la bosse monstrueuse qu'elle a fantasmée toute la soirée. Son pouls s'emballe, martelant dans ses tempes comme un avertissement, un mélange toxique de terreur viscérale et d'excitation humide qui fait pulser son clitoris gonflé.
— C'est de la pure folie, ce truc va me détruire... mais bordel, je mouille comme une chienne en chaleur rien qu'à l'idée, pense-t-elle, son souffle court et saccadé, son entrejambe déjà trempé, ses jus intimes coulant le long de ses cuisses intérieures.
Elle sait que ce qui l'attend est au-delà de l'humain, une arme de destruction massive faite de chair veinée et palpitante. D'un geste sec, presque violent, elle tire sur la braguette, libérant la bête.
Et là, le monstre jaillit comme un cobra enragé, se redressant d'un coup sec, épais comme son poignet, long comme son avant-bras, couvert de veines saillantes et bleutées qui pulsent comme des câbles sous tension sous une peau tendue à craquer.
Le gland énorme, gros comme un poing d'homme, d'un rouge violacé et enflé, luit de pré-sperme visqueux qui goutte en filets épais, dégageant une odeur musquée, animale, un mélange âcre de sueur masculine, de testostérone brute et d'un danger primal qui lui assèche la gorge. Ça pue la bête en rut, le mâle dominant prêt à revendiquer sa proie.
Nadia recule d'un bond instinctif, ses yeux s'écarquillant d'horreur et de fascination, sa bouche s'ouvrant en un "O" silencieux, son cœur cognant si fort qu'elle le sent dans sa chatte palpitante.
— Putain, c'est un zob de cheval ! Ça va me tuer, me déchirer de l'intérieur... mais je le veux, je veux me faire exploser par cette queue monstrueuse !
La peur la submerge comme une vague glacée, mais elle allume un feu liquide entre ses jambes, son corps tremblant d'un désir masochiste qui la fait haleter.
— Putain de merde... c'est quoi ce truc ?! murmure-t-elle d'une voix brisée, chevrotante, ses doigts crispés sur le pantalon de Thierry comme si elle s'accrochait à une bouée dans une tempête. C'est... c'est impossible ! T'es un monstre, Thierry ! Comment tu vas me faire rentrer ça ? Ça va me bousiller !
Thierry éclate d'un rire grave et guttural, un son qui vibre dans l'air comme un grondement de fauve, ses yeux noirs luisant d'une satisfaction prédatrice et cruelle. Il attrape sa queue massive à la base, la secouant légèrement pour la faire tressauter, la brandissant comme un trophée de chasse, sentant son propre sang bouillir d'excitation dominatrice.
— Elle flippe, la petite pute, et ça me fait bander encore plus dur. Je vais la briser et la faire supplier pour plus, pense-t-il, son corps massif irradiant une aura de pouvoir absolu, ses muscles tendus prêts à l'assaut.
— T’as peur, ma belle salope ? grogne-t-il, sa voix rauque et traînante, accentuée par son accent parisien qui rend chaque mot comme une menace veloutée. T’as raison d’avoir la trouille. Ce zob va te démonter, te faire hurler comme une chienne en chaleur. Mais t'en crèves d'envie, hein ? Je sens ta chatte qui dégouline d'ici.
Nadia déglutit bruyamment, sa gorge se serrant comme un nœud, un cocktail de panique et de lubricité lui nouant les tripes. Elle est terrifiée, mais son corps la trahit : ses tétons durcissent douloureusement, son vagin se contracte vide, réclamant l'invasion.
— Oui, j'ai peur... mais cette peur me fait mouiller comme jamais. Je veux me faire détruire, me sentir vivante dans la douleur.
Elle se penche en avant, hésitante, et lèche timidement le gland, sa langue glissant sur la surface lisse et salée. Un goût âcre, métallique et salin explose dans sa bouche – un mélange de pré-sperme épais et de sueur masculine qui lui donne un haut-le-cœur. Elle recule, crachant légèrement, étouffée par l'odeur entêtante qui lui brûle les narines.
— Ça rentrera jamais... gémit-elle, les yeux levés vers lui, suppliante et affamée à la fois, des larmes perlant déjà sur ses joues. C'est trop gros pour ma bouche ! Ça va m'étouffer, me faire vomir !
— Si, ça va rentrer, ma petite pute. Thierry empoigne ses cheveux d'une main de fer, tirant sa tête en avant avec une force brutale, la forçant à ouvrir grand la bouche. Tu vas tout avaler, gorge profonde jusqu'aux couilles. Suce-moi comme la salope que t'es, Nadia. Montre-moi à quel point t'es une vide-couilles affamée !
Le gland force l'entrée de sa bouche comme un bélier, étirant ses lèvres jusqu'à la douleur lancinante, comme si on les déchirait avec des crocs. Sa mâchoire craque bruyamment, un son sec et sinistre qui résonne dans sa tête, envoyant des éclairs de souffrance le long de son cou. Ses yeux s'embuent de larmes chaudes qui coulent en ruisseaux sur ses joues rougies, son nez s'écrasant contre le pubis poilu et odorant de Thierry. Elle étouffe instantanément, sa langue plaquée contre son palais, écrasée par la masse veinée qui s'enfonce inexorablement. L'air lui manque, des spasmes violents secouant sa gorge tandis que le zob monstrueux bloque tout, la remplissant jusqu'à l'étouffement. Sa salive coule en abondance, mêlée aux sécrétions séminales épaisses et filantes de Thierry qui gouttent le long de sa trachée, un fluide visqueux et salé qui l'asphyxie.
Elle gémit étouffée, un gargouillis désespéré :
— "Mmmph !... Trop... gros !"
Ses mains griffent les cuisses musclées de Thierry, ses ongles laissant des marques rouges, son corps pris de convulsions incontrôlables.
— Je vais crever... cette queue me remplit la gorge comme un tuyau, je sens chaque veine pulser contre mes amygdales. Ça fait mal, putain, mais c'est... excitant ! Je jouis presque rien qu'à l'étouffer !
Ses yeux roulent en arrière, des haut-le-cœur la secouant, contractant sa gorge autour du membre pour le masser involontairement, augmentant le plaisir de Thierry.
Thierry grogne de pur extase, ses hanches poussant en avant pour approfondir la gorge profonde, sentant les contractions spasmodiques le traire comme un poing serré.
— Ouais, suce, petite chienne ! T'étouffes bien sur ma queue, hein ? C'est ça que t'aimes, te faire baiser la gueule jusqu'à en pleurer !" crie-t-il, son corps tendu, savourant la domination totale, son plaisir montant comme une marée.
Derrière eux, Claire et Karim s'immobilisent en plein coït, leurs corps encore emboîtés, le sexe de Karim toujours enfoui dans la chatte trempée de Claire. Elle reste bouche bée, ses yeux verts rivés sur la scène, fascinée et excitée au paroxysme ; elle connaît intimement cette queue monstrueuse, ayant été défoncée par elle des nuits entières, transformée en esclave consentante. Son vagin se contracte autour de Karim, ses doigts s'enfonçant frénétiquement dans son clitoris gonflé.
— Putain, regarde-la avaler ce zob... Thierry est un dieu, il va la briser comme il me brise, et elle va adorer. Je mouille comme une fontaine rien qu'à voir ! pense-t-elle, haletante, un sourire vicieux aux lèvres.
— Putain de bordel... murmure Claire, sa voix rauque d'excitation crue, se caressant plus fort. Il va la tuer avec sa bite de taureau ! Regarde comme elle bave et étouffe, c'est sublime. Je sais ce que c'est... cette gorge profonde qui te fait voir des étoiles. Vas-y, Thierry, fais-la cracher !
Karim se fige, son sexe dur comme de l'acier pulsant en elle, mais son esprit est captivé par Nadia. Il est déchiré : fier et heureux de voir sa femme s'abandonner à un tel extrême, excité au point que sa queue tressaute, mais terrifié pour sa sécurité, imaginant les dommages.
— Elle est si brave, ma Nadia... mais putain, ce monstre va la détruire. Je bande comme un fou, mais j'ai peur qu'elle y laisse sa peau, pense-t-il, serrant les poings, son cœur serré d'angoisse protectrice.
— Non... répond Karim, la voix tendue et inquiète, presque un murmure étranglé. Il va la faire renaître dans la douleur. Mais Nadia, bordel, crie si ça fait trop mal ! Je t'aime, putain, fais gaffe !
Thierry relâche enfin Nadia, qui recule en toussant violemment, crachant un mélange gluant de salive, de larmes et de pré-sperme qui dégouline sur son menton et ses seins. Elle respire par saccades rauques, ses poumons brûlants comme du feu, son corps secoué de spasmes résiduels. Mais un sourire sauvage et triomphant illumine son visage, ses yeux brillants d'un désir insatiable.
— J'ai survécu à cette gorge profonde infernale... et maintenant, je veux qu'il me défonce partout. Cette douleur m'a fait jouir intérieurement !
— Encore, Thierry ! halète-t-elle, la voix éraillée, essuyant son visage d'un geste tremblant. C'était dingue... j'ai failli crever, mais putain, que c'était bon ! Baise-moi maintenant, enfonce ce zob dans ma chatte et fais-moi hurler !
Thierry la plaque sur les coussins d'un geste brutal, écartant ses cuisses tremblantes d'une main possessive, exposant son "abricot" ruisselant, gonflé et rouge, dégoulinant de jus transparents. Elle est trempée, prête, mais quand il pose le gland massif contre son entrée, elle sent l'impossible pression, comme un poing essayant de forcer un trou trop étroit. Thierry rit sombrement et pousse, juste le gland, étirant ses lèvres vaginales jusqu'à la déchirure. Nadia hurle, un cri primal et déchirant :
— Aaaah ! Putain, c'est énorme ! Ça me brûle, ça m'écartèle la chatte !"
La sensation est monstrueuse : une brûlure intense comme si on la fendait en deux, ses parois intimes s'étirant à l'extrême, des spasmes violents secouant son bas-ventre, un mélange de douleur cuisante et d'extase qui la fait cambrer le dos.
— Ça me déchire les chairs, je sens chaque veine forcer le passage... mais bordel, mon clito explose de plaisir ! pense-t-elle, ses ongles labourant les coussins.
Thierry pousse plus fort, un centimètre après l'autre, grognant :
— Prends-le, salope ! Ta chatte va avaler tout mon zob, même si ça te fait saigner !"
Elle crie encore :
— Oui ! Plus profond ! Déchire-moi, fais-moi jouir dans la douleur !"
Ses spasmes s'intensifient, son vagin se contractant autour du fourreau massif, l'engloutissant miraculeusement malgré la résistance, déclenchant des vagues de plaisir mêlé à la souffrance.
Comment son abricot a-t-il pu avaler ce monstre ? Par un étirement extrême, des déchirures mineures libérant un filet de sang chaud qui se mélange à ses jus, transformant la douleur en un orgasme rampant.
Un coup de reins puissant, et elle explose :
— Thierry ! Aaaargh ! Ça me tue, mais je jouis ! Encore, baise-moi plus fort !"
Son corps convulse en un tourbillon de spasmes, des vagues d'extase la submergeant malgré la brûlure. Thierry besogne avec fureur, criant :
— T'es une pute née pour ça ! Sens mes couilles claquer contre ton cul !"
Claire, se masturbant frénétiquement, hurle :
— Regardez comme sa chatte l'engloutit ! Thierry, défonce-la, fais-la saigner !"
Karim, excité mais apeuré, murmure :
— Nadia, t'es une déesse... mais putain, arrête si t'as mal ! Je bande pour toi, mais j'ai la trouille !"
Il continue jusqu'à ce qu'elle hurle son nom dans un orgasme dévastateur :
— Thierry ! Ouiiii ! Je jouis, putain !"
Son corps tremble comme une feuille, des spasmes la secouant violemment. Puis il éjacule en jets puissants et brûlants :
— Prends mon sperme, salope !" Le fluide la remplit, déborde, mêlé à son sang.
Quand il se retire, elle saigne, mais sourit, comblée :
— Je suis marquée pour toujours... et j'en veux plus.
Nadia se met à quatre pattes, haletante, son sexe ruisselant de sperme, de sang et de jus, offrant son cul comme un trophée. Elle a mal partout, mais le désir la consume. Thierry, essoufflé mais insatiable, étale sa salive sur son anus plissé, puis enfonce un doigt :
— "Prépare-toi, petite pute, ton cul va morfler."
Nadia serre les dents et crie :
— Aaah ! Ça brûle comme l'enfer ! Mais continue, doigte-moi plus fort !"
La sensation est une brûlure vive, comme un fer rouge, mais elle la transforme en désir :
— Ça fait mal, putain, mais ça me rend vivante, je veux me faire exploser le cul !
Il ajoute un deuxième doigt, étirant son sphincter :
— Prends ça, salope !"
Elle hurle :
— Putain, oui ! Ça déchire, mais je mouille encore plus !"
Il se positionne, son zob monstrueux pressant contre son anus. Elle sent la pression insurmontable :
— Vas-y, enfonce-toi ! Détruis mon cul !"
Thierry pousse, et son sphincter cède dans une explosion de douleur :
— Aaaargh ! Mon cul se déchire ! Ça brûle, ça me tue !"
Centimètre par centimètre, il s'enfonce, la défonçant avec des coups brutaux :
— Sens ça, chienne ! Ton trou du cul est à moi !"
Elle rugit :
— Plus fort ! Malgré la douleur, baise-moi jusqu'à ce que je jouisse !"
La douleur est atroce, comme si on l'éventrait, des spasmes anaux la secouant, mais elle en redemande, transformant la souffrance en extase folle :
— Ça me détruit, je saigne, mais putain, c'est l'orgasme ultime !
Claire jouit en regardant :
— Oui, Thierry ! Défonce son cul comme tu défonces le mien ! Elle en redemande, la salope !"
Karim, terrifié :
— Nadia, arrête ! T'es incroyable, mais ça va te bousiller !"
Jusqu'à l'orgasme violent où elle perd pied :
— Encore ! Je jouis dans le cul !"
Il éjacule en elle :
— Prends mon jus brûlant !"
Elle saigne, tremble, mais est vivante, transformée.
Claire, ayant joui deux fois en spectatrice, halète :
— "C'était épique... Thierry est un maître."
Karim embrasse Nadia violemment :
— Je t'aime, t'es ma guerrière... mais j'ai eu si peur."
Nadia s'effondre, souriante :
— J'ai mal partout... mais je suis libre. Et j'en veux encore."
Une semaine après lur installation définitive à Tamanrasset, Nadia et Karim sont sorties pour une découverte de la ville. Epuisés, ils se sont attablés à la terrasse d’un petit café de Tamanrasset. Le soleil tape dur, la chaleur est étouffante. C’est là qu’ils les voient : un couple de Français, assis à une table voisine. Lui, grand, noir, musclé, avec un sourire charmant et des mains immenses. Elle, blonde, menue, avec des yeux verts perçants et une façon de rire qui attire tous les regards. Ils parlent fort, boivent du vin rouge à midi, et s’embrassent comme si personne ne les regardait. Nadia et Karim les observent, fascinés.
— Tu les as vus ? murmure Nadia à Karim, en désignant le couple du menton.
— Difficile de les rater, répond Karim, les yeux rivés sur la femme blonde.
— Ils ont l’air… libres, dit Nadia, un sourire en coin.
— Trop libres, répond Karim, mais il ne détourne pas le regard.
La femme blonde les remarque, leur sourit, puis chuchote quelque chose à son compagnon. Celui-ci se lève, s’approche de leur table, un verre de vin à la main.
— On peut se joindre à vous ? demande-t-il avec un accent parisien marqué. On est nouveaux ici, et on cherche des gens… intéressants.
Nadia et Karim échangent un regard. Ils savent. Ils comprennent. Ils sont comme eux : des marginaux, des gens qui ont tout quitté pour vivre sans règles.
— Bien sûr, répond Nadia. Asseyez-vous.
L’homme se présente : Thierry. La femme : Claire. Ils viennent de Marseille, voyagent depuis six mois, et ne comptent pas s’arrêter. Ils parlent de leurs aventures, de leurs nuits sous les étoiles, de leurs rencontres. Leurs yeux brillent d’une excitation à peine voilée. Nadia et Karim écoutent, captivés. Ils savent ce qui va suivre. Ils le veulent.
L’invitation : Une soirée sans limites
Le soleil se couche, et le groupe se déplace chez Nadia et Karim. Claire et Thierry apportent du vin, des cigarettes, et une énergie électrique. Ils s’installent sur la terrasse, les verres se remplissent, les langues se délient.
— Alors, qu’est-ce qui vous amène ici, au milieu de nulle part ? demande Claire à Nadia, un sourire malicieux aux lèvres.
— On a tout quitté, répond Nadia. Les apparences. Les règles. Tout.
— Nous aussi, dit Thierry en riant. Sauf qu’on a gardé une règle : pas de limites.
Un silence. Nadia regarde Karim. Il la fixe, les yeux sombres, la main serrée autour de son verre. Il comprend. Il veut la même chose.
— Vous voulez essayer ? demande Claire, son regard passant de Nadia à Karim.
— Oui, répond Nadia sans hésiter.
— Moi aussi, dit Karim, la voix rauque.
Claire sourit, se lève, et embrasse Nadia. Pas un baiser timide. Un vrai baiser, langue contre langue, mains dans les cheveux. Thierry observe, amusé, puis se tourne vers Karim.
— Et toi, tu veux jouer ?
— Je veux regarder, répond Karim. Pour l’instant.
Thierry hoche la tête, un sourire en coin. Il sait ce qui va suivre. Il sait que Karim changera d’avis.
La première scène : Claire et Nadia
Claire pousse Nadia contre le mur de terre rouge, ses mains sous sa robe, caressant ses seins, son ventre, ses hanches. Nadia gémit, mais elle ne recule pas. Elle veut ça. Elle a besoin de ça. Karim observe, immobile, son verre de vin à la main, les yeux rivés sur elles.
— Tu aimes ça ? demande Claire à Nadia, sa bouche contre son cou.
— Oui, répond Nadia, haletante.
— Et lui ? Claire désigne Karim du menton.
— Lui aussi, dit Nadia.
Claire commence par embrasser Nadia, ses mains caressant ses seins, son ventre, ses hanches. Nadia gémit, mais elle ne recule pas. Elle veut ça. Elle a besoin de ça. Karim observe, immobile, son verre de rhum à la main, les yeux rivés sur elles.
La deuxième scène : L’excès
La terrasse baignée par la lune est devenue un antre de débauche primitive, où les corps luisants de sueur se tordent dans une symphonie de gémissements rauques et de chairs claquant les unes contre les autres.
Claire chevauche Karim avec une sauvagerie bestiale, ses cuisses musclées serrant ses hanches comme un étau, ses ongles griffant sa peau jusqu'au sang, laissant des traînées rouges sur ses épaules. Elle rebondit sur sa queue durcie, ses seins lourds et gonflés ballottant violemment, claquant contre son torse poilu avec un bruit humide et rythmé.
— "Putain, Karim, ta bite me remplit si bien ! Enfonce-toi plus profond, fais-moi hurler !" crie-t-elle, sa voix cassée par l'extase, ses jus intimes coulant le long de ses cuisses et trempant les couilles de Karim.
Lui, grogne comme un animal en rut, ses mains puissantes agrippant ses fesses rondes, les écartant pour mieux s'enfoncer, sentant les parois chaudes et humides de son vagin le traire avidement.
— "T'es une salope insatiable, Claire ! Prends tout, jusqu'aux couilles !" répond-il, haletant, son cœur battant d'un mélange de possessivité et de désir brut.
Mais soudain, tout s'arrête net, comme si un sort avait figé leurs corps en pleine frénésie. Leurs regards se tournent vers Nadia, à genoux devant Thierry, ses doigts tremblants s'attaquant à la braguette tendue de son jean.
Nadia sent un frisson électrique parcourir son corps entier, ses doigts moites et fébriles effleurant le tissu raidi par la bosse monstrueuse qu'elle a fantasmée toute la soirée. Son pouls s'emballe, martelant dans ses tempes comme un avertissement, un mélange toxique de terreur viscérale et d'excitation humide qui fait pulser son clitoris gonflé.
— C'est de la pure folie, ce truc va me détruire... mais bordel, je mouille comme une chienne en chaleur rien qu'à l'idée, pense-t-elle, son souffle court et saccadé, son entrejambe déjà trempé, ses jus intimes coulant le long de ses cuisses intérieures.
Elle sait que ce qui l'attend est au-delà de l'humain, une arme de destruction massive faite de chair veinée et palpitante. D'un geste sec, presque violent, elle tire sur la braguette, libérant la bête.
Et là, le monstre jaillit comme un cobra enragé, se redressant d'un coup sec, épais comme son poignet, long comme son avant-bras, couvert de veines saillantes et bleutées qui pulsent comme des câbles sous tension sous une peau tendue à craquer.
Le gland énorme, gros comme un poing d'homme, d'un rouge violacé et enflé, luit de pré-sperme visqueux qui goutte en filets épais, dégageant une odeur musquée, animale, un mélange âcre de sueur masculine, de testostérone brute et d'un danger primal qui lui assèche la gorge. Ça pue la bête en rut, le mâle dominant prêt à revendiquer sa proie.
Nadia recule d'un bond instinctif, ses yeux s'écarquillant d'horreur et de fascination, sa bouche s'ouvrant en un "O" silencieux, son cœur cognant si fort qu'elle le sent dans sa chatte palpitante.
— Putain, c'est un zob de cheval ! Ça va me tuer, me déchirer de l'intérieur... mais je le veux, je veux me faire exploser par cette queue monstrueuse !
La peur la submerge comme une vague glacée, mais elle allume un feu liquide entre ses jambes, son corps tremblant d'un désir masochiste qui la fait haleter.
— Putain de merde... c'est quoi ce truc ?! murmure-t-elle d'une voix brisée, chevrotante, ses doigts crispés sur le pantalon de Thierry comme si elle s'accrochait à une bouée dans une tempête. C'est... c'est impossible ! T'es un monstre, Thierry ! Comment tu vas me faire rentrer ça ? Ça va me bousiller !
Thierry éclate d'un rire grave et guttural, un son qui vibre dans l'air comme un grondement de fauve, ses yeux noirs luisant d'une satisfaction prédatrice et cruelle. Il attrape sa queue massive à la base, la secouant légèrement pour la faire tressauter, la brandissant comme un trophée de chasse, sentant son propre sang bouillir d'excitation dominatrice.
— Elle flippe, la petite pute, et ça me fait bander encore plus dur. Je vais la briser et la faire supplier pour plus, pense-t-il, son corps massif irradiant une aura de pouvoir absolu, ses muscles tendus prêts à l'assaut.
— T’as peur, ma belle salope ? grogne-t-il, sa voix rauque et traînante, accentuée par son accent parisien qui rend chaque mot comme une menace veloutée. T’as raison d’avoir la trouille. Ce zob va te démonter, te faire hurler comme une chienne en chaleur. Mais t'en crèves d'envie, hein ? Je sens ta chatte qui dégouline d'ici.
Nadia déglutit bruyamment, sa gorge se serrant comme un nœud, un cocktail de panique et de lubricité lui nouant les tripes. Elle est terrifiée, mais son corps la trahit : ses tétons durcissent douloureusement, son vagin se contracte vide, réclamant l'invasion.
— Oui, j'ai peur... mais cette peur me fait mouiller comme jamais. Je veux me faire détruire, me sentir vivante dans la douleur.
Elle se penche en avant, hésitante, et lèche timidement le gland, sa langue glissant sur la surface lisse et salée. Un goût âcre, métallique et salin explose dans sa bouche – un mélange de pré-sperme épais et de sueur masculine qui lui donne un haut-le-cœur. Elle recule, crachant légèrement, étouffée par l'odeur entêtante qui lui brûle les narines.
— Ça rentrera jamais... gémit-elle, les yeux levés vers lui, suppliante et affamée à la fois, des larmes perlant déjà sur ses joues. C'est trop gros pour ma bouche ! Ça va m'étouffer, me faire vomir !
— Si, ça va rentrer, ma petite pute. Thierry empoigne ses cheveux d'une main de fer, tirant sa tête en avant avec une force brutale, la forçant à ouvrir grand la bouche. Tu vas tout avaler, gorge profonde jusqu'aux couilles. Suce-moi comme la salope que t'es, Nadia. Montre-moi à quel point t'es une vide-couilles affamée !
Le gland force l'entrée de sa bouche comme un bélier, étirant ses lèvres jusqu'à la douleur lancinante, comme si on les déchirait avec des crocs. Sa mâchoire craque bruyamment, un son sec et sinistre qui résonne dans sa tête, envoyant des éclairs de souffrance le long de son cou. Ses yeux s'embuent de larmes chaudes qui coulent en ruisseaux sur ses joues rougies, son nez s'écrasant contre le pubis poilu et odorant de Thierry. Elle étouffe instantanément, sa langue plaquée contre son palais, écrasée par la masse veinée qui s'enfonce inexorablement. L'air lui manque, des spasmes violents secouant sa gorge tandis que le zob monstrueux bloque tout, la remplissant jusqu'à l'étouffement. Sa salive coule en abondance, mêlée aux sécrétions séminales épaisses et filantes de Thierry qui gouttent le long de sa trachée, un fluide visqueux et salé qui l'asphyxie.
Elle gémit étouffée, un gargouillis désespéré :
— "Mmmph !... Trop... gros !"
Ses mains griffent les cuisses musclées de Thierry, ses ongles laissant des marques rouges, son corps pris de convulsions incontrôlables.
— Je vais crever... cette queue me remplit la gorge comme un tuyau, je sens chaque veine pulser contre mes amygdales. Ça fait mal, putain, mais c'est... excitant ! Je jouis presque rien qu'à l'étouffer !
Ses yeux roulent en arrière, des haut-le-cœur la secouant, contractant sa gorge autour du membre pour le masser involontairement, augmentant le plaisir de Thierry.
Thierry grogne de pur extase, ses hanches poussant en avant pour approfondir la gorge profonde, sentant les contractions spasmodiques le traire comme un poing serré.
— Ouais, suce, petite chienne ! T'étouffes bien sur ma queue, hein ? C'est ça que t'aimes, te faire baiser la gueule jusqu'à en pleurer !" crie-t-il, son corps tendu, savourant la domination totale, son plaisir montant comme une marée.
Derrière eux, Claire et Karim s'immobilisent en plein coït, leurs corps encore emboîtés, le sexe de Karim toujours enfoui dans la chatte trempée de Claire. Elle reste bouche bée, ses yeux verts rivés sur la scène, fascinée et excitée au paroxysme ; elle connaît intimement cette queue monstrueuse, ayant été défoncée par elle des nuits entières, transformée en esclave consentante. Son vagin se contracte autour de Karim, ses doigts s'enfonçant frénétiquement dans son clitoris gonflé.
— Putain, regarde-la avaler ce zob... Thierry est un dieu, il va la briser comme il me brise, et elle va adorer. Je mouille comme une fontaine rien qu'à voir ! pense-t-elle, haletante, un sourire vicieux aux lèvres.
— Putain de bordel... murmure Claire, sa voix rauque d'excitation crue, se caressant plus fort. Il va la tuer avec sa bite de taureau ! Regarde comme elle bave et étouffe, c'est sublime. Je sais ce que c'est... cette gorge profonde qui te fait voir des étoiles. Vas-y, Thierry, fais-la cracher !
Karim se fige, son sexe dur comme de l'acier pulsant en elle, mais son esprit est captivé par Nadia. Il est déchiré : fier et heureux de voir sa femme s'abandonner à un tel extrême, excité au point que sa queue tressaute, mais terrifié pour sa sécurité, imaginant les dommages.
— Elle est si brave, ma Nadia... mais putain, ce monstre va la détruire. Je bande comme un fou, mais j'ai peur qu'elle y laisse sa peau, pense-t-il, serrant les poings, son cœur serré d'angoisse protectrice.
— Non... répond Karim, la voix tendue et inquiète, presque un murmure étranglé. Il va la faire renaître dans la douleur. Mais Nadia, bordel, crie si ça fait trop mal ! Je t'aime, putain, fais gaffe !
Thierry relâche enfin Nadia, qui recule en toussant violemment, crachant un mélange gluant de salive, de larmes et de pré-sperme qui dégouline sur son menton et ses seins. Elle respire par saccades rauques, ses poumons brûlants comme du feu, son corps secoué de spasmes résiduels. Mais un sourire sauvage et triomphant illumine son visage, ses yeux brillants d'un désir insatiable.
— J'ai survécu à cette gorge profonde infernale... et maintenant, je veux qu'il me défonce partout. Cette douleur m'a fait jouir intérieurement !
— Encore, Thierry ! halète-t-elle, la voix éraillée, essuyant son visage d'un geste tremblant. C'était dingue... j'ai failli crever, mais putain, que c'était bon ! Baise-moi maintenant, enfonce ce zob dans ma chatte et fais-moi hurler !
Thierry la plaque sur les coussins d'un geste brutal, écartant ses cuisses tremblantes d'une main possessive, exposant son "abricot" ruisselant, gonflé et rouge, dégoulinant de jus transparents. Elle est trempée, prête, mais quand il pose le gland massif contre son entrée, elle sent l'impossible pression, comme un poing essayant de forcer un trou trop étroit. Thierry rit sombrement et pousse, juste le gland, étirant ses lèvres vaginales jusqu'à la déchirure. Nadia hurle, un cri primal et déchirant :
— Aaaah ! Putain, c'est énorme ! Ça me brûle, ça m'écartèle la chatte !"
La sensation est monstrueuse : une brûlure intense comme si on la fendait en deux, ses parois intimes s'étirant à l'extrême, des spasmes violents secouant son bas-ventre, un mélange de douleur cuisante et d'extase qui la fait cambrer le dos.
— Ça me déchire les chairs, je sens chaque veine forcer le passage... mais bordel, mon clito explose de plaisir ! pense-t-elle, ses ongles labourant les coussins.
Thierry pousse plus fort, un centimètre après l'autre, grognant :
— Prends-le, salope ! Ta chatte va avaler tout mon zob, même si ça te fait saigner !"
Elle crie encore :
— Oui ! Plus profond ! Déchire-moi, fais-moi jouir dans la douleur !"
Ses spasmes s'intensifient, son vagin se contractant autour du fourreau massif, l'engloutissant miraculeusement malgré la résistance, déclenchant des vagues de plaisir mêlé à la souffrance.
Comment son abricot a-t-il pu avaler ce monstre ? Par un étirement extrême, des déchirures mineures libérant un filet de sang chaud qui se mélange à ses jus, transformant la douleur en un orgasme rampant.
Un coup de reins puissant, et elle explose :
— Thierry ! Aaaargh ! Ça me tue, mais je jouis ! Encore, baise-moi plus fort !"
Son corps convulse en un tourbillon de spasmes, des vagues d'extase la submergeant malgré la brûlure. Thierry besogne avec fureur, criant :
— T'es une pute née pour ça ! Sens mes couilles claquer contre ton cul !"
Claire, se masturbant frénétiquement, hurle :
— Regardez comme sa chatte l'engloutit ! Thierry, défonce-la, fais-la saigner !"
Karim, excité mais apeuré, murmure :
— Nadia, t'es une déesse... mais putain, arrête si t'as mal ! Je bande pour toi, mais j'ai la trouille !"
Il continue jusqu'à ce qu'elle hurle son nom dans un orgasme dévastateur :
— Thierry ! Ouiiii ! Je jouis, putain !"
Son corps tremble comme une feuille, des spasmes la secouant violemment. Puis il éjacule en jets puissants et brûlants :
— Prends mon sperme, salope !" Le fluide la remplit, déborde, mêlé à son sang.
Quand il se retire, elle saigne, mais sourit, comblée :
— Je suis marquée pour toujours... et j'en veux plus.
Nadia se met à quatre pattes, haletante, son sexe ruisselant de sperme, de sang et de jus, offrant son cul comme un trophée. Elle a mal partout, mais le désir la consume. Thierry, essoufflé mais insatiable, étale sa salive sur son anus plissé, puis enfonce un doigt :
— "Prépare-toi, petite pute, ton cul va morfler."
Nadia serre les dents et crie :
— Aaah ! Ça brûle comme l'enfer ! Mais continue, doigte-moi plus fort !"
La sensation est une brûlure vive, comme un fer rouge, mais elle la transforme en désir :
— Ça fait mal, putain, mais ça me rend vivante, je veux me faire exploser le cul !
Il ajoute un deuxième doigt, étirant son sphincter :
— Prends ça, salope !"
Elle hurle :
— Putain, oui ! Ça déchire, mais je mouille encore plus !"
Il se positionne, son zob monstrueux pressant contre son anus. Elle sent la pression insurmontable :
— Vas-y, enfonce-toi ! Détruis mon cul !"
Thierry pousse, et son sphincter cède dans une explosion de douleur :
— Aaaargh ! Mon cul se déchire ! Ça brûle, ça me tue !"
Centimètre par centimètre, il s'enfonce, la défonçant avec des coups brutaux :
— Sens ça, chienne ! Ton trou du cul est à moi !"
Elle rugit :
— Plus fort ! Malgré la douleur, baise-moi jusqu'à ce que je jouisse !"
La douleur est atroce, comme si on l'éventrait, des spasmes anaux la secouant, mais elle en redemande, transformant la souffrance en extase folle :
— Ça me détruit, je saigne, mais putain, c'est l'orgasme ultime !
Claire jouit en regardant :
— Oui, Thierry ! Défonce son cul comme tu défonces le mien ! Elle en redemande, la salope !"
Karim, terrifié :
— Nadia, arrête ! T'es incroyable, mais ça va te bousiller !"
Jusqu'à l'orgasme violent où elle perd pied :
— Encore ! Je jouis dans le cul !"
Il éjacule en elle :
— Prends mon jus brûlant !"
Elle saigne, tremble, mais est vivante, transformée.
Claire, ayant joui deux fois en spectatrice, halète :
— "C'était épique... Thierry est un maître."
Karim embrasse Nadia violemment :
— Je t'aime, t'es ma guerrière... mais j'ai eu si peur."
Nadia s'effondre, souriante :
— J'ai mal partout... mais je suis libre. Et j'en veux encore."
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Karim_et_Nadia
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

