Retour à la maison!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Retour à la maison! Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Retour à la maison!
Brassant l’air chargé d’une odeur de vieux mur un peu moisi. Je suis seul dans ma garçonnière. C’est là où j’aime me réfugier pour m’isoler. Quelques revues de cul prises au hasard dans la table de nuit de mon frère. Et me voilà sur le sommier en maille avec les bouquins de cul ouverts devant moi. Sur des clichés affriolants. Un peu plus loin, sur une table de fortune. Composée de bric et de broc, se tient un cahier. Là-même où je rédige mes aventures avec ma tante lors des dernières vacances.
Ça fait deux heures que je me trouve sur place. Faisant travailler mes neurones fusillés à bout portant, par les pensées de ma relation avec Christiane.
J’entends dans un premier temps, venant de l’autre côté de ma porte un faible froissement. Puis s’en suit comme des imperceptibles chuchotements, des frôlements, et tout cela pas loin d’où je me trouve. Cela vient du côté de la cave jouxtant celle-là même où je me trouve.
Puis-je distinguer distinctement des voix. Entrecoupées de vagues bruits de lutte étouffés. Très vite, des protestations féminines plus aiguës se détachent de voix de mâles.
Ma première pensée va pour la coquine Brigitte. La voisine du premier palier. Accro au sexe. Et avec qui maintenant ?
- Non, pas ici. Vous êtes fou ! Si quelqu’un venait !
La voix n’appartient pas à celle de Brigitte. Les réponses sourdes des hommes sont confuses. Je dis qu’ils sont deux ou trois mecs. Dont le débit précipité, fiévreux dit assez ce qu’ils sont en train d’essayer d’obtenir.
- Par ici ! Supplie la fille. N’importe où, mais pas ici.
Sa conviction du début faiblit très nettement. Les mecs parlementent avec un peu moins de précipitation. Ils doivent commencer à sentir que c’est presque gagné avec la fille.
- Bon ! Dépêchez-vous alors ! Laisse-t-elle enfin tomber.
Il y eut un peu de remue-ménage, avant que je ne l’entende de nouveau dire :
- Ça va ! Pas la peine de me brutaliser, je ne vais pas changer d’avis.
Doucement je me lève, abandonnant ma place pour aller observer. Avec la ferme intention d’en voir le plus possible. Devant les lattes de bois qui me rendent encore invisible à leurs yeux, j’en écarte une pour jeter un œil, entre les interstices. Et très vite je reconnais Béatrice.
Une chaudasse, celle-là ! Habitant le quartier voisin, et pour ne pas se faire prendre par sa mère, vient jusqu’à chez nous exercer ses forfaits. En prenant mille précautions, je dévore des yeux la croupe de la fille que je trouve à mon goût. Dommage qu’elle ne s'n'intéresse pas à moi. Elle a les cheveux longs, noirs tombant sur les épaules. Comme elle est grasse et fine à la fois. Avec une forte poitrine, des fesses pommées.
Les mâles, en nombre de deux, sont en extase devant la fameuse Béatrice. L’un est blond avec une chevelure abondante. À la mode à l’époque. L'autre est basané.
- Attends ! Fait le blond. Pourquoi ne ferait-on pas ça en même temps, hein ?
Je vois les doigts de Béatrice se bloquer sur son tee-shirt de couleur rouge qu’elle prend plaisir à soulever. Déjà un sein apparaît. Avec un mamelon des plus magnifiques.
Que même, tante Christiane aurait pu se coucher devant. Avec son aréole brune orangée et la pointe rouge au milieu, longue et dure comme un crayon.
- Ça ne va pas ? Fait-elle. Vous êtes malades !
- C’est que tout ce que tu nous montres nous fait grimper ! Fait le Basané.
Qu’il profite, après ses paroles, de s’emparer de ses lèvres. Le blond, pour sa part, passe par derrière Béatrice. Il s’occupe d’abord de la ceinture tressée, puis du jean dont il fait sauter les boutons. Et, d’instinct, la coquina ondule des hanches et creuse le ventre pour laisser le blond descendre le zip de son pantalon.
Collé à la cloison immobile, retenant mon souffle, hagard, je ne parviens pas à m’arracher du spectacle qui m’est offert. Béatrice s’est très vite retrouvée à demi-nue devant mes yeux. Son jean tirebouchonné à ses pieds, son tee-shirt remonté sous son menton. Brusquement, elle se détache du blond et, prenant appui sur une poubelle, s’élève à quelques centimètres du sol, les jambes ouvertes à angle droit.
- Léchez-moi, déjà ! Commande-t-elle. J’adore cela !
Tête renversée, elle offre son entrejambe ouvert à qui le désire. Une fourrure rêche et épaisse qui remonte haut entre ses fesses, voilant de son ombre ses reins.
La tête du blond et celle de son copain se rencontrent à l’intersection de ses cuisses. Bouches perdues dans la broussaille que j’imagine très, très odorante, connaissant le style de fille. Le basané enfouit le premier sa bouche dans le profond sillon de sa croupe.
Béatrice se met à pousser de petits cris de souris qui finissent en roucoulement. Le ventre de Béatrice se creuse et se gonfle. Son nombril rentre et sort. Ondulant comme dans une étrange danse lascive. Elle se dégage, saute à terre et, saisissant le blond par le cou, le fait tomber à la reverse sur le sol de terre battue. Et très vite, elle se retrouve sur lui, son beau cul au-dessus du membre du blond.
Elle a un mouvement de croupe qui la suréleva un instant. Le temps de passer la main entre les deux corps pour y saisir de ses doigts arrondis la queue du copain qu’elle caresse furtivement. Puis, le maintenant pointé dans la bonne direction, elle s’abaisse lentement et se visse à lui.
Elle commence alors une montée et descente sur lui, avec de grands soupirs qui secouent ses seins. C’est alors que mon regard se porte sur l’attribut qu’exhibe le copain. Une véritable mattraque.
À genoux, il s’installe derrière Béatrice. Posément, il la saisit par les fesses de manière à les écarter le plus qu’il le peut. Instinctivement, Béatrice creuse le dos pour se présenter à lui. Elle a un feulement quand le basané s’enfonce dans l’intimité de sa partenaire.
Elle s’arrête même un instant de voyager sur la queue du blond, alors que le copain pousse toujours. D’une main sur la nuque de Béatrice, il lui baisse la tête, jusqu’à ce qu’elle soit couchée. Joue contre joue avec le blond, prosternée, docile et matée. Elle a une sorte de rire rauque monté du fond de son ventre. Les deux mecs qui l’emplissent de chaque côté. Elle n’est plus qu’un corps possédé, abandonné, comblé.
Pensant que j’en ai assez vu, je retourne jusqu’à mon sommier de maille, où je m’autorise une petite récréation, et cela jusqu’à ce que le silence revienne du côté du trio. Ce faisant tard, il est temps pour moi de quitter les lieux. Voilà que sur le sol se tient un bracelet. Sans doute appartenait-il à Béatrice ! Sourire aux lèvres, je m’en saisis. Cela ferait le bonheur d’une de mes sœurs.
Mais pas le temps de m’attarder dessus, que voilà que Béatrice déboule, et se plante orgueilleusement devant moi, en me voyant en possession de son bien. Arrive alors Jeannette, une autre fille habitant dans le quartier voisin. Un sourire sournois se dessine sur leurs lèvres respectives, en me voyant.
- Et bien, en voilà une surprise. Si je m’attendais à cela. C’est mon jour de chance. À ce que je vois, tu as trouvé mon bracelet.
Et je devine que tu t’apprêtais à me le remettre, c’est ça Alain? C’est gentil de ta part, tu mérites une récompense. N’est-ce pas Jeannette, qu’il mérite une récompense ?
- Si tu le dis !
Sans perdre un seul instant, Béatrice s’empare à travers mon pantalon de ma verge. Qu’elle se met à me tordre. À y enfoncer les ongles. J’étouffe un cri de douleur. De peur d’abîmer toute le gage d’escalier, elles m’entraînent jusqu’à l'endroit où avait eu quelques minutes plus tôt sa relation avec ses deux copains.
D’un croche-pied, Béatrice m’envoie au sol. Puis, me saute dessus. Immobilisant mes bras au sol. Pendant ce temps-là, Jeannette ôte sa culotte. Et après avoir retroussé sa jupe, elle pose carrément son cul odorant sur mon visage. Il m’est pourtant facile d’un coup de reins de l’envoyer promener, mais je n’en fis rien. Même, heureux de la situation. Impatient d’en connaître la suite. Ce qui ne se fait pas attendre bien longtemps.
Par contre, ce que je savais, c’est que je respirais difficilement. Ma bouche collée aux lèvres vaginales odorantes de Jeannette. Auxquelles, elle imprime un mouvement de friction. Plus haut, l’anus dégage une odeur âcre. Le périnée et la chatte dégagent une odeur de pisse, la sueur. Aussi étrange que cela puisse vous paraître, bizarre, au lieu que cela me repousse, cela me fait l’effet d’un aphrodisiaque, à me faire bander dur. Pendant ce temps-là, Béatrice m’abaisse le pantalon et saisit ma pine.
- Je suis certain que tu ne t'es jamais fait ce que je m'apprête à faire avec toi !
Et sans attendre une réponse, elle met ma verge dans sa bouche. Qu’elle taquine agréablement de sa langue. Faisant aller et venir le prépuce sur le gland. Comme l’avait fait si bien ma tante, d’une manière qui en disait long sur son expérience sexuelle.
Il me faut que peu de temps avant que j’éjacule dans la bouche. Après m’avoir butée jusqu’à la dernière goutte, elle ordonne à son amie de se redresser. Après s'être parlé quelques mots, elles s’accroupissent synchroniquement au-dessus de mon visage, jusqu’à unir leurs lèvres intimes aux miennes. Me roulant un patin que je définirais au goût salé.
Puis, après s’être données du plaisir de la sorte, elles se redressent pour placer leurs jambes de part et d’autre de mon corps.
- Je suis sûr que tout cela t’a donné soif. Je me trompe ?
Pas le temps de réagir, qu’un déluge de pisse me tombe dessus. Béatrice se place de sorte pour viser ma bouche.
- Cela est à ton goût ? Me fait-elle.
Une fois s’être soulagé, elle prend la même position que Jeannette plus tôt, et me lance :
- Maintenant, tu vas me nettoyer ! J’espère que tu as été bien récompensé, ajoute-t-elle en collant son sexe à ma bouche sous les rires joyeux de sa copine.
De nombreuses gouttes perlent à ses poils. Je passe et repasse la langue le long de l’entrejambe de la coquine. Et à ce petit jeu, elle est très vite parcourue de soubresauts de jouissance.

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