Saga Africa pour Olga (1)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Saga Africa pour Olga (1)
Série « Textes en commun »
Chapitre 1er : d’apparentes bonnes résolutions
Cette série de textes fictifs, « Olga en Casamance » prolonge un premier travail en commun sur HDS entre Olga T et Micky : « Olga et le docteur » dont les cinq chapitres ont été publiés, entre le 1er juillet et le 25 août 2021 alternativement sur la page d’Olga T (chapitres 1 et 3) et de Micky (2, 4 et 5)
Cette alternance dans les publications avait pour objet d’inciter nos fidèles lecteurs et lectrices à découvrir les publications de chacune des deux auteures.
Ce récit a été construit en fonction d’un fantasme d’Olga, mais il reflète ses expériences vécues et s’appuie sur la plume et l’imagination de Micky.
Pour bien comprendre ce texte et les suivants, il est recommandé de lire ou relire les textes autobiographiques d’Olga, publiés sur HDS depuis le 21 novembre 2016, sous la rubrique « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle ».
***
Olga est une quadragénaire d’origine grecque, une brune volcanique qui assume, malgré des tentatives de maîtrise, son hypersexualité exacerbée. Elle y est encouragée par son mari Philippe, avec qui elle vit depuis plus de 20 ans, qui peut, avec elle, vivre pleinement ses envies candaulistes.
Dans son premier récit publié sur HDS, Olga se décrit ainsi « Je suis une jolie brune de 1m70 et de 56 kilos, avec de petits seins très sensibles. J'ai des longs cheveux noirs. »
Le couple de Philippe et Olga repose sur cet équilibre explosif entre candaulisme et hypersexualité. Il a connu des moments extrêmes, qui l’ont conduit à la limite de la rupture.
En 2016-2017, Olga avait gravement dérapé et était tombée amoureuse de « N » et avait quitté le domicile conjugal, avant que son amant ne la rejette (voir les 7 textes intitulés « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle: du candaulisme à l’adultère » publiés sur la page d’Olga entre le 27 octobre 2019 et le 4 mai 2020). Philippe avait accepté de passer l’éponge et de rerendre la vie commune, à condition d’éviter de nouveaux dérapages. Il est en particulier convenu que c’est le mari candauliste et lui seul qui désormais a l’initiative de proposer à son épouse des rencontres qui doivent permettre d’apaiser la libido de Madame.
Peu à peu, avec les confinements qui se sont succédés depuis le printemps 2020, cet équilibre fonctionne plus difficilement, à la grande frustration d’Olga. Celle-ci ne peut durablement se contenter des étreintes de son mari, quels que soient les efforts de celui-ci. Elle n’est pas apaisée non plus par son couple saphique avec Agun, jeune masseuse d’origine thaï, avec laquelle elle a construit un couple parallèle depuis plusieurs années, en accord avec son mari. Olga est également une pratiquante « assidue » de la masturbation, mais cela ne parvient pas non plus à l’apaiser.
Or cela fait près de deux ans désormais que Philippe n’a rien organisé pour sa belle, depuis un séjour torride dans un luxueux hôtel des Cyclades (voir les sept récits publiés sur la page d’Olga entre le 24 novembre 2021 et le 27 juin 2022, intitulés « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes »).
Il y avait bien eu ce qui s’était passé, en 2021 également, ce bref épisode torride avec le docteur Joseph Martin et qui s’est terminé lors d’un week-end par un quatuor entre les deux couples. Olga, très possessive, d’une jalousie maladive, pas partageuse pour un sou, avait assez mal vécu de voir SON Philippe dans les bras de Karine, l épouse du docteur. Elle n’avait donc pas souhaité prolonger cette histoire.
Bref, depuis, plus rien, à part, en dehors de sa double vie de couple avec Philippe et Agun C’était clairement insuffisant pour Olga, une véritable souffrance, après tant d’années d’hypersexualité exacerbée, avec la complicité de son mari candauliste.
Philippe pense-t-il qu’à 47 ans Olga n’a plus les mêmes besoins ? Outre qu’Olga n’est toujours pas ménopausée, elle a toujours les mêmes envies. Elle n’ose pourtant s’en ouvrir auprès de Philippe, cachant sa frustration comme elle le peut, en visionnant des vidéos torrides, en rêvant que c’est elle qui est baisée comme une salope par des mâles endurants. Elle se consacre aussi à l’écriture de récits érotiques et à leur publication sur des sites comme « Histoires de sexe », mais tout cela n’est qu’un pis-aller, comme le sont les étreintes saphiques où elle exige d’Agun de s’harnacher de monstrueux godes-ceintures en vue de la démonter. Mais rien ne saurait replacer un mâle endurant et c’est ce qui lui manque !
Il y a certes des raisons objectives à cette situation. Olga est consciente qu’elle ne peut pas, comme elle a fait dans le passé, faire n’importe quoi, partir « à la chasse », s’offrir à des inconnus. Trop dangereux, pour son couple ! De même, elle doit faire attention à son comportement dans l’immeuble du couple. Ses excès passés les avaient contraints, il y a quelques années, à changer de domicile, pour, en quelque sorte, ce qui est un comble pour Olga, se refaire une virginité. Elle sait bien que Philippe est très occupé et ne veut rien faire qui puisse, comme dans le passé, nuire à leur réputation. Et puis, il y a leurs 4 enfants, âgés désormais respectivement de 14, 12, 10 et 5 ans. La prudence s’impose, surtout envers les deux aînées.
Alors comment sortir de cette impasse et d’une frustration de plus en plus difficile à supporter ?
C’est alors que Philippe annonce à Olga qu’il compte profiter des vacances scolaires d’hiver de 2022 pour que tous les deux s’accordent 10 jours de vacances sans les enfants, que la dévouée Agun va prendre en charge.
Philippe annonce qu’il a réservé un séjour dans un hôtel de rêve au Sénégal, en Casamance. Comme à son habitude, Philippe a gâté sa chérie. Il a choisi un hôtel cinq étoiles, au milieu d'un paradis désertique totalement vierge, à la Pointe Sarène, dans un lieu où la beauté du décor se fond dans la mangrove et les baobabs : l'alliance parfaite entre nature sauvage et plages exotiques.
En bord de mer, l'hôtel est dans une zone d'une beauté naturelle luxuriante, se trouve à 18 km de Mbour, à 50 km de l'aéroport international Blaise Diagne et à 100 km au sud de Dakar. Il a choisi une suite, avec un lit King size et une piscine privée. Contrairement à nos vacances de 2021 dans les Cyclades, Philippe ne fait aucune allusion « coquine », se contentant de dire que ce sera une occasion pour eux de « se retrouver ».
Olga est bien sûr heureuse d’être traitée comme une princesse par son mari. Elle ne peut s’empêcher de penser que lui, si coquin il y a peu encore, est devenu bien sage et que, désormais, il considère qu’ils sont « rangés des vélos », une sorte de couple bourgeois devenu bien sage. Le soir où Philippe lui a annoncé ce séjour de rêve, Olga, malgré tout frustrée, ne peut s’empêcher de penser aux mâles blacks qu’elle a connus au cours de sa vie sexuelle tumultueuse. Va-t-elle simplement aller en Casamance pour le farniente et pour dorer son joli corps ? Dans sa tête, elle pense à bien d’autres choses et, pour trouver le sommeil, se masturbe rageusement.
Ce samedi 4 février, tenant tendrement la main de Philippe, excitée comme une jeune fille, Olga se retrouve avec son mari au terminal 1 de l’aéroport de Roissy, pour embarquer sur Air Sénégal. Elle est déterminée à ne pas seulement se reposer, mais à profiter de ce voyage pour combler une longue période de frustration.
***
En franchissant les portes du Terminal 1 de l'aéroport de Roissy, Olga se sentit tout émoustillée. Les aéroports l'avaient toujours fait fantasmer, comme porteurs de sensations nouvelles. Qu'allait donc lui réserver ce nouveau voyage, entrepris sous l'initiative de son mari Philippe ? La destination la faisait déjà rêver. Le Sénégal, la Casamance, un hôtel cinq étoiles au bord de mer avec piscine privée.
Le grand luxe. Philippe n'avait pas regardé à la dépense : "Tu verras, ça fera du bien de nous retrouver, sans les enfants, sans la routine familiale" avait-il justifié et avait ajouté : "Agun s'occupera parfaitement des enfants".
Olga ne pouvait que l'approuver. La fin de l'hiver parait toujours interminable et dix jours au soleil africain lui ferait le plus grand bien, physiquement comme moralement. Depuis quelque temps, cette "routine familiale" dont parlait Philippe lui apparaissait surtout comme une routine sexuelle. Ecrire sur le sexe, se masturber, quelques rapports sexuels conjugaux autant qu'hygiéniques, satisfaisants mais sages, tout cela ne suffisait plus à combler son hyper sexualité. Elle avait beau avoir atteint la quarantaine, ses besoins étaient toujours ceux d'une femme de trente ans... voire moins.
Quand Philippe lui avait parlé de l'Afrique, elle avait aussitôt pensé aux mâles sculpturaux qu'elle avait rencontrés autrefois, souvenirs entretenus par quelques vidéos "interraciales" qui l'avaient fait mouiller devant son ordinateur. Philippe ne pouvait pas l'ignorer. Son choix de voyage était-il lié à une intention cachée ? Elle n'osait pas encore le lui demander. En tout cas, la nature avait bien fait les choses. Elle avait eu ses règles, juste la semaine avant et se trouvait donc parfaitement "dispo" pour le sexe. Car quoi qu'il arrive, elle allait baiser. Les vacances sont faites pour ça et Philippe avait intérêt à sortir de son ronron. A tout hasard, elle s'était procuré des capotes XXL. Planquées dans son sac à main...
Durant les cinq heures et quelques de vol, Olga avait rêvassé à des ébats torrides. Comme toujours quand elle prend l'avion. Sur sa liseuse Kindle, Olga avait téléchargé de nombreuses lectures érotiques et relisait le roman d’Emmanuelle Arsan « la leçon d’homme ». Elle ne l’avait pas choisi au hasard, relisant ce passage qui l’avait si souvent fait fantasmer, celui où Emmanuelle, qui rejoignait son mari Jean à Bangkok, s’était fait baiser successivement par deux inconnus au cours d’un vol de nuit. Oh comme Olga aurait aimé faire comme Emmanuelle ! Si le vol n'avait pas eu lieu en plein jour et leurs sièges situés en milieu de cabine, elle se serait masturbée et peut-être même aurait masturbé Philippe. Mais il ne perdait rien pour attendre. L'entrée dans la chambre serait chaude...
La chaleur suffocante du Sénégal les surprit à l'aéroport. Elle avait hâte de se débarrasser de son jean et d'enfiler une robe légère. Heureusement, le hall de l'hôtel était climatisé. A la réception, un autre couple était en train de se faire enregistrer. Olga et Philippe durent patienter quelques minutes avec leur valise à roulettes. Ils eurent le temps de détailler le couple. La quarantaine, comme eux. Parlant un français avec un fort accent. Ils comprirent qu'ils étaient belges. Tous deux assez solidement charpentés, blonds, lui un peu bedonnant, elle avec une forte poitrine et un fessier bombé moulé également dans un jean. Il caressait sa compagne en signant les papiers. Olga entendit leur nom, « Monsieur et madame Lambert. "Ils sont venus également pour baiser", conclut Olga. La manière dont l’homme la dévisageait était sans ambigüités. Il était un chasseur et il avait repéré que cette jolie brune, au regard de feu, était pleine de promesses. Les Belges leur firent un grand sourire lorsqu'ils quittèrent la réception et Olga se dit qu'ils allaient sûrement se revoir.
Une fois les formalités remplies, elle et Philippe prirent possession de leur suite. La baie vitrée donnait sur une végétation exotique propre à un dépaysement total. Le lit king size occupait une bonne partie de la pièce principale, comme une invite à s'y lover.
- Je vais prendre une douche ! décréta Olga, impatiente de se laver de la fatigue du voyage et des premières sueurs africaines. Nue en un clin d'oeil, elle se précipita dans la salle de bains, vraiment gigantesque. "On pourrait facilement y faire l'amour" se dit-elle in petto, imaginant Philippe en train de la prendre par derrière devant le vaste miroir, ou sous la douche, ou dans la baignoire. Au choix...
***
Olga fit couler la douche tiède sur son corps. Elle remarqua que ses tétons étaient en érection, traduisant son excitation et, portant la main sur se chatte, que celle-ci était béante et trempée, son clitoris étant décapuchonné. Tant de mois d’abstinence faisaient qu’elle avait atteint un point de non retour. Il fallait qu’elle baise et le plus vite serait le mieux.
Ses lectures dans l’avion, le regard échangé avec ce Belge, avaient porté ses envies au paroxysme. Olga aurait pu se masturber, pincer ses tétons douloureux, branler son clito, fourrer ses doigts dans sa chatte en feu. Mais cela ne lui suffisait pas et ne l’apaiserait pas. Et ce d’autant plus que, compte tenu de l’horaire matinal du vol, elle avait été privée du rituel de leur couple, celui auquel ils dérogeaient rarement. Chaque matin, en s’éveillant, Olga gratifiait son mari d’une fellation.
Au début de cette caresse buccale, Philippe dormait encore. Le jeu entre eux était qu’il fasse semblant de continuer à dormir, tout en résistant le plus possible au plaisir qui montait en lui. Olga était une fellatrice confirmée, reconnue par ses amants. Aucun homme ne pouvait résister quand elle triturait le gland avec sa langue, quand ses lèvres se serraient autour de la hampe, et quand elle enfonçait la verge loin dans sa bouche, pratiquant un coït buccal. Elle était fière, quand Philippe, féru comme elle d’histoire, la comparait à la grande Cléopâtre et lui donnait le surnom de « bouche d’or », qui avait été celui de la dernière reine d’Egypte. Un amant italien lui avait parlé de la réputation de « pipeuses « des femmes de Bologne, lui disant qu’elle les dépassait largement.
Et ce qu’Olga aime particulièrement, ce qui est pour elle un nectar, la récompense de ses talents, c’est le sperme. Elle aime se faire remplir après avoir été bien baisée, mais adore aussi, que ses amants jouissent dans sa bouche. Olga est spermophile et avale soigneusement cette semence qui est pour elle un nectar. Celui avec qui elle pratique le plus cela c’est Philippe, chaque matin et, quand c’est possible d’autres fois dans la journée, en voiture, dans des toilettes de centres commerciaux, de cafés, de restaurants, au cinéma. Toute occasion est bonne, Philippe adorant être l’homme objet de sa chérie et apaiser son envie de semence masculine.
Non, décidément, pas question aujourd’hui de masturbation, de plaisir solitaire. Olga a envie d’autre chose, de son homme et pas seulement. D’une voix sensuelle, elle l’appelle :
- Chéri ! Viens s’il te plait.
Philippe la rejoint. Il connait Olga et ses besoins. Il se doute bien des raisons de son appel. Il la rejoint dans la vaste salle de bains, nu son peignoir. Il ne résiste pas à son appel, il a habitude d’être toujours disponible pour le plaisir de celle qu’il aime tant.
Quand il entre dans la salle de bains, il comprend, aux yeux d’Olga, qu’elle est dans un état de manque. Il sait bien qu’il n’y suffira pas et que, s’il a choisi ce lieu de vacances, ce n’est pas au hasard, ce n’est pas uniquement pour se retrouver ou se reposer. Il sait qu’elle a besoin d’apaiser le feu qui la dévore, de baiser. En tant que candauliste, il prend plaisir à ces séquences et il sait que, ne pouvant empêcher la nature de son épouse de s’exprimer, il est préférable que ce soit lui qui organise les plaisirs de sa chérie.
Olga se dirige vers Philippe, avec un air de tigresse sûre de sa proie. Elle ouvre le peignoir de son homme, le fait tomber. Les époux sont dans les bras l’un de l’autre, nus tous les deux. Olga se serre dans les bras de son époux, celui-ci sent contre sa poitrine les tétons de sa femme. Il la connait bien, c’est un signe qui ne trompe pas.
Les deux époux s’embrassent longuement, ne s’interrompant que pour reprendre leur souffle. Les langues se cherchent, les lèvres se dévorent, alors que Philippe caresse le corps d’Olga, son dos, puis ses fesses.
- Oh, mon chéri, je sais que tu ne m’as amené ici par hasard. Tu sais que, depuis des mois, je suis en manque.
- Bien sûr que je le sais, mon amour. Pour toi, je ne fais jamais rien par hasard ! Je veux que tu ne connaisses ici aucun répit dans la recherche du plaisir. Je veux que pendant ces dix jours, tu sois plus chienne, plus salope que tu ne l’as as jamais été.
- Tu me connais si bien, tu me rends si heureuse. Je t’aime !
Olga pose la main sur la verge de Philippe :
- Tu bandes, mon petit cochon ! C’est à cause de moi, ou à cause de cette Belge, cette Madame Lambert, cette blonde plantureuse avec ses gros seins ? Fais attention, tu sais que moi, je ne suis pas partageuse ! Ta queue est à moi et seulement à moi !
- Je te connais ! Qui d’autre que toi peut me faire bander ? Et je pense à tous ces étalons qui vont te saillir, ma cochonne !
- Ce matin, je n’ai pas eu droit à ma dose de semence ! Ca me manque ! Tu sais bien que je suis folle de ta queue !
- Pourtant, tu en as connu tant d’autres !
- C’est vrai, mais toi, tu es à moi, tu es MON Philippe ! Laisse-moi faire, laisse-moi me rassasier !
Olga se met à genoux devant Philippe. Le regard qu’elle lui porte est sans ambigüités sur ses intentions. Olga ouvre la bouche et avale la verge de Philippe, gourmande, utilisant toute sa science de fellatrice, conjuguant le talent de ses lèvres, de sa langue, la chaleur de sa bouche. Cette caresse, elle l’a tant de fois pratiqué sur lui, mais ça reste une merveille, au point que, dans ces moments, Philippe est prêt à tout accorder à sa femme. Il aime être son homme objet. Ce matin, il veut lui montrer qu’il est son homme. Il prend la tête d’Olga entre les mains, il s’enfonce loin dans la gorge de sa femme, il baise sa bouche, sans ménagement. Des yeux d’Olga coulent des larmes. Experte, cette gorge profonde ne suscite aucune nausée chez elle. Elle ne veut pas lâcher prise, alors, que de sa main droite, elle se branle le clito, suscitant chez elle des orgasmes qui ne la détournent pas de sa fellation et de son objectif, celui de boire son homme. Celui-ci a appris à se retenir, pour prolonger le plaisir qu’Olga lui offre.
Alors celle-ci se décide à enfoncer dans l’anus de son mari un, puis deux doigts. Grâce à elle, il a non seulement assumé son candaulisme, mais aussi sa bisexualité. Alors, Philippe capitule, jouissant à son tour, envoyant dans la gorge d’Olga trois puissantes giclées que sa femme va avaler avec soin, jusqu’à la dernière goutte.
Les époux viennent de connaitre les premiers plaisirs de leur séjour, simple prélude à ce qui les attend.
(A suivre)
Chapitre 1er : d’apparentes bonnes résolutions
Cette série de textes fictifs, « Olga en Casamance » prolonge un premier travail en commun sur HDS entre Olga T et Micky : « Olga et le docteur » dont les cinq chapitres ont été publiés, entre le 1er juillet et le 25 août 2021 alternativement sur la page d’Olga T (chapitres 1 et 3) et de Micky (2, 4 et 5)
Cette alternance dans les publications avait pour objet d’inciter nos fidèles lecteurs et lectrices à découvrir les publications de chacune des deux auteures.
Ce récit a été construit en fonction d’un fantasme d’Olga, mais il reflète ses expériences vécues et s’appuie sur la plume et l’imagination de Micky.
Pour bien comprendre ce texte et les suivants, il est recommandé de lire ou relire les textes autobiographiques d’Olga, publiés sur HDS depuis le 21 novembre 2016, sous la rubrique « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle ».
***
Olga est une quadragénaire d’origine grecque, une brune volcanique qui assume, malgré des tentatives de maîtrise, son hypersexualité exacerbée. Elle y est encouragée par son mari Philippe, avec qui elle vit depuis plus de 20 ans, qui peut, avec elle, vivre pleinement ses envies candaulistes.
Dans son premier récit publié sur HDS, Olga se décrit ainsi « Je suis une jolie brune de 1m70 et de 56 kilos, avec de petits seins très sensibles. J'ai des longs cheveux noirs. »
Le couple de Philippe et Olga repose sur cet équilibre explosif entre candaulisme et hypersexualité. Il a connu des moments extrêmes, qui l’ont conduit à la limite de la rupture.
En 2016-2017, Olga avait gravement dérapé et était tombée amoureuse de « N » et avait quitté le domicile conjugal, avant que son amant ne la rejette (voir les 7 textes intitulés « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle: du candaulisme à l’adultère » publiés sur la page d’Olga entre le 27 octobre 2019 et le 4 mai 2020). Philippe avait accepté de passer l’éponge et de rerendre la vie commune, à condition d’éviter de nouveaux dérapages. Il est en particulier convenu que c’est le mari candauliste et lui seul qui désormais a l’initiative de proposer à son épouse des rencontres qui doivent permettre d’apaiser la libido de Madame.
Peu à peu, avec les confinements qui se sont succédés depuis le printemps 2020, cet équilibre fonctionne plus difficilement, à la grande frustration d’Olga. Celle-ci ne peut durablement se contenter des étreintes de son mari, quels que soient les efforts de celui-ci. Elle n’est pas apaisée non plus par son couple saphique avec Agun, jeune masseuse d’origine thaï, avec laquelle elle a construit un couple parallèle depuis plusieurs années, en accord avec son mari. Olga est également une pratiquante « assidue » de la masturbation, mais cela ne parvient pas non plus à l’apaiser.
Or cela fait près de deux ans désormais que Philippe n’a rien organisé pour sa belle, depuis un séjour torride dans un luxueux hôtel des Cyclades (voir les sept récits publiés sur la page d’Olga entre le 24 novembre 2021 et le 27 juin 2022, intitulés « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes »).
Il y avait bien eu ce qui s’était passé, en 2021 également, ce bref épisode torride avec le docteur Joseph Martin et qui s’est terminé lors d’un week-end par un quatuor entre les deux couples. Olga, très possessive, d’une jalousie maladive, pas partageuse pour un sou, avait assez mal vécu de voir SON Philippe dans les bras de Karine, l épouse du docteur. Elle n’avait donc pas souhaité prolonger cette histoire.
Bref, depuis, plus rien, à part, en dehors de sa double vie de couple avec Philippe et Agun C’était clairement insuffisant pour Olga, une véritable souffrance, après tant d’années d’hypersexualité exacerbée, avec la complicité de son mari candauliste.
Philippe pense-t-il qu’à 47 ans Olga n’a plus les mêmes besoins ? Outre qu’Olga n’est toujours pas ménopausée, elle a toujours les mêmes envies. Elle n’ose pourtant s’en ouvrir auprès de Philippe, cachant sa frustration comme elle le peut, en visionnant des vidéos torrides, en rêvant que c’est elle qui est baisée comme une salope par des mâles endurants. Elle se consacre aussi à l’écriture de récits érotiques et à leur publication sur des sites comme « Histoires de sexe », mais tout cela n’est qu’un pis-aller, comme le sont les étreintes saphiques où elle exige d’Agun de s’harnacher de monstrueux godes-ceintures en vue de la démonter. Mais rien ne saurait replacer un mâle endurant et c’est ce qui lui manque !
Il y a certes des raisons objectives à cette situation. Olga est consciente qu’elle ne peut pas, comme elle a fait dans le passé, faire n’importe quoi, partir « à la chasse », s’offrir à des inconnus. Trop dangereux, pour son couple ! De même, elle doit faire attention à son comportement dans l’immeuble du couple. Ses excès passés les avaient contraints, il y a quelques années, à changer de domicile, pour, en quelque sorte, ce qui est un comble pour Olga, se refaire une virginité. Elle sait bien que Philippe est très occupé et ne veut rien faire qui puisse, comme dans le passé, nuire à leur réputation. Et puis, il y a leurs 4 enfants, âgés désormais respectivement de 14, 12, 10 et 5 ans. La prudence s’impose, surtout envers les deux aînées.
Alors comment sortir de cette impasse et d’une frustration de plus en plus difficile à supporter ?
C’est alors que Philippe annonce à Olga qu’il compte profiter des vacances scolaires d’hiver de 2022 pour que tous les deux s’accordent 10 jours de vacances sans les enfants, que la dévouée Agun va prendre en charge.
Philippe annonce qu’il a réservé un séjour dans un hôtel de rêve au Sénégal, en Casamance. Comme à son habitude, Philippe a gâté sa chérie. Il a choisi un hôtel cinq étoiles, au milieu d'un paradis désertique totalement vierge, à la Pointe Sarène, dans un lieu où la beauté du décor se fond dans la mangrove et les baobabs : l'alliance parfaite entre nature sauvage et plages exotiques.
En bord de mer, l'hôtel est dans une zone d'une beauté naturelle luxuriante, se trouve à 18 km de Mbour, à 50 km de l'aéroport international Blaise Diagne et à 100 km au sud de Dakar. Il a choisi une suite, avec un lit King size et une piscine privée. Contrairement à nos vacances de 2021 dans les Cyclades, Philippe ne fait aucune allusion « coquine », se contentant de dire que ce sera une occasion pour eux de « se retrouver ».
Olga est bien sûr heureuse d’être traitée comme une princesse par son mari. Elle ne peut s’empêcher de penser que lui, si coquin il y a peu encore, est devenu bien sage et que, désormais, il considère qu’ils sont « rangés des vélos », une sorte de couple bourgeois devenu bien sage. Le soir où Philippe lui a annoncé ce séjour de rêve, Olga, malgré tout frustrée, ne peut s’empêcher de penser aux mâles blacks qu’elle a connus au cours de sa vie sexuelle tumultueuse. Va-t-elle simplement aller en Casamance pour le farniente et pour dorer son joli corps ? Dans sa tête, elle pense à bien d’autres choses et, pour trouver le sommeil, se masturbe rageusement.
Ce samedi 4 février, tenant tendrement la main de Philippe, excitée comme une jeune fille, Olga se retrouve avec son mari au terminal 1 de l’aéroport de Roissy, pour embarquer sur Air Sénégal. Elle est déterminée à ne pas seulement se reposer, mais à profiter de ce voyage pour combler une longue période de frustration.
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En franchissant les portes du Terminal 1 de l'aéroport de Roissy, Olga se sentit tout émoustillée. Les aéroports l'avaient toujours fait fantasmer, comme porteurs de sensations nouvelles. Qu'allait donc lui réserver ce nouveau voyage, entrepris sous l'initiative de son mari Philippe ? La destination la faisait déjà rêver. Le Sénégal, la Casamance, un hôtel cinq étoiles au bord de mer avec piscine privée.
Le grand luxe. Philippe n'avait pas regardé à la dépense : "Tu verras, ça fera du bien de nous retrouver, sans les enfants, sans la routine familiale" avait-il justifié et avait ajouté : "Agun s'occupera parfaitement des enfants".
Olga ne pouvait que l'approuver. La fin de l'hiver parait toujours interminable et dix jours au soleil africain lui ferait le plus grand bien, physiquement comme moralement. Depuis quelque temps, cette "routine familiale" dont parlait Philippe lui apparaissait surtout comme une routine sexuelle. Ecrire sur le sexe, se masturber, quelques rapports sexuels conjugaux autant qu'hygiéniques, satisfaisants mais sages, tout cela ne suffisait plus à combler son hyper sexualité. Elle avait beau avoir atteint la quarantaine, ses besoins étaient toujours ceux d'une femme de trente ans... voire moins.
Quand Philippe lui avait parlé de l'Afrique, elle avait aussitôt pensé aux mâles sculpturaux qu'elle avait rencontrés autrefois, souvenirs entretenus par quelques vidéos "interraciales" qui l'avaient fait mouiller devant son ordinateur. Philippe ne pouvait pas l'ignorer. Son choix de voyage était-il lié à une intention cachée ? Elle n'osait pas encore le lui demander. En tout cas, la nature avait bien fait les choses. Elle avait eu ses règles, juste la semaine avant et se trouvait donc parfaitement "dispo" pour le sexe. Car quoi qu'il arrive, elle allait baiser. Les vacances sont faites pour ça et Philippe avait intérêt à sortir de son ronron. A tout hasard, elle s'était procuré des capotes XXL. Planquées dans son sac à main...
Durant les cinq heures et quelques de vol, Olga avait rêvassé à des ébats torrides. Comme toujours quand elle prend l'avion. Sur sa liseuse Kindle, Olga avait téléchargé de nombreuses lectures érotiques et relisait le roman d’Emmanuelle Arsan « la leçon d’homme ». Elle ne l’avait pas choisi au hasard, relisant ce passage qui l’avait si souvent fait fantasmer, celui où Emmanuelle, qui rejoignait son mari Jean à Bangkok, s’était fait baiser successivement par deux inconnus au cours d’un vol de nuit. Oh comme Olga aurait aimé faire comme Emmanuelle ! Si le vol n'avait pas eu lieu en plein jour et leurs sièges situés en milieu de cabine, elle se serait masturbée et peut-être même aurait masturbé Philippe. Mais il ne perdait rien pour attendre. L'entrée dans la chambre serait chaude...
La chaleur suffocante du Sénégal les surprit à l'aéroport. Elle avait hâte de se débarrasser de son jean et d'enfiler une robe légère. Heureusement, le hall de l'hôtel était climatisé. A la réception, un autre couple était en train de se faire enregistrer. Olga et Philippe durent patienter quelques minutes avec leur valise à roulettes. Ils eurent le temps de détailler le couple. La quarantaine, comme eux. Parlant un français avec un fort accent. Ils comprirent qu'ils étaient belges. Tous deux assez solidement charpentés, blonds, lui un peu bedonnant, elle avec une forte poitrine et un fessier bombé moulé également dans un jean. Il caressait sa compagne en signant les papiers. Olga entendit leur nom, « Monsieur et madame Lambert. "Ils sont venus également pour baiser", conclut Olga. La manière dont l’homme la dévisageait était sans ambigüités. Il était un chasseur et il avait repéré que cette jolie brune, au regard de feu, était pleine de promesses. Les Belges leur firent un grand sourire lorsqu'ils quittèrent la réception et Olga se dit qu'ils allaient sûrement se revoir.
Une fois les formalités remplies, elle et Philippe prirent possession de leur suite. La baie vitrée donnait sur une végétation exotique propre à un dépaysement total. Le lit king size occupait une bonne partie de la pièce principale, comme une invite à s'y lover.
- Je vais prendre une douche ! décréta Olga, impatiente de se laver de la fatigue du voyage et des premières sueurs africaines. Nue en un clin d'oeil, elle se précipita dans la salle de bains, vraiment gigantesque. "On pourrait facilement y faire l'amour" se dit-elle in petto, imaginant Philippe en train de la prendre par derrière devant le vaste miroir, ou sous la douche, ou dans la baignoire. Au choix...
***
Olga fit couler la douche tiède sur son corps. Elle remarqua que ses tétons étaient en érection, traduisant son excitation et, portant la main sur se chatte, que celle-ci était béante et trempée, son clitoris étant décapuchonné. Tant de mois d’abstinence faisaient qu’elle avait atteint un point de non retour. Il fallait qu’elle baise et le plus vite serait le mieux.
Ses lectures dans l’avion, le regard échangé avec ce Belge, avaient porté ses envies au paroxysme. Olga aurait pu se masturber, pincer ses tétons douloureux, branler son clito, fourrer ses doigts dans sa chatte en feu. Mais cela ne lui suffisait pas et ne l’apaiserait pas. Et ce d’autant plus que, compte tenu de l’horaire matinal du vol, elle avait été privée du rituel de leur couple, celui auquel ils dérogeaient rarement. Chaque matin, en s’éveillant, Olga gratifiait son mari d’une fellation.
Au début de cette caresse buccale, Philippe dormait encore. Le jeu entre eux était qu’il fasse semblant de continuer à dormir, tout en résistant le plus possible au plaisir qui montait en lui. Olga était une fellatrice confirmée, reconnue par ses amants. Aucun homme ne pouvait résister quand elle triturait le gland avec sa langue, quand ses lèvres se serraient autour de la hampe, et quand elle enfonçait la verge loin dans sa bouche, pratiquant un coït buccal. Elle était fière, quand Philippe, féru comme elle d’histoire, la comparait à la grande Cléopâtre et lui donnait le surnom de « bouche d’or », qui avait été celui de la dernière reine d’Egypte. Un amant italien lui avait parlé de la réputation de « pipeuses « des femmes de Bologne, lui disant qu’elle les dépassait largement.
Et ce qu’Olga aime particulièrement, ce qui est pour elle un nectar, la récompense de ses talents, c’est le sperme. Elle aime se faire remplir après avoir été bien baisée, mais adore aussi, que ses amants jouissent dans sa bouche. Olga est spermophile et avale soigneusement cette semence qui est pour elle un nectar. Celui avec qui elle pratique le plus cela c’est Philippe, chaque matin et, quand c’est possible d’autres fois dans la journée, en voiture, dans des toilettes de centres commerciaux, de cafés, de restaurants, au cinéma. Toute occasion est bonne, Philippe adorant être l’homme objet de sa chérie et apaiser son envie de semence masculine.
Non, décidément, pas question aujourd’hui de masturbation, de plaisir solitaire. Olga a envie d’autre chose, de son homme et pas seulement. D’une voix sensuelle, elle l’appelle :
- Chéri ! Viens s’il te plait.
Philippe la rejoint. Il connait Olga et ses besoins. Il se doute bien des raisons de son appel. Il la rejoint dans la vaste salle de bains, nu son peignoir. Il ne résiste pas à son appel, il a habitude d’être toujours disponible pour le plaisir de celle qu’il aime tant.
Quand il entre dans la salle de bains, il comprend, aux yeux d’Olga, qu’elle est dans un état de manque. Il sait bien qu’il n’y suffira pas et que, s’il a choisi ce lieu de vacances, ce n’est pas au hasard, ce n’est pas uniquement pour se retrouver ou se reposer. Il sait qu’elle a besoin d’apaiser le feu qui la dévore, de baiser. En tant que candauliste, il prend plaisir à ces séquences et il sait que, ne pouvant empêcher la nature de son épouse de s’exprimer, il est préférable que ce soit lui qui organise les plaisirs de sa chérie.
Olga se dirige vers Philippe, avec un air de tigresse sûre de sa proie. Elle ouvre le peignoir de son homme, le fait tomber. Les époux sont dans les bras l’un de l’autre, nus tous les deux. Olga se serre dans les bras de son époux, celui-ci sent contre sa poitrine les tétons de sa femme. Il la connait bien, c’est un signe qui ne trompe pas.
Les deux époux s’embrassent longuement, ne s’interrompant que pour reprendre leur souffle. Les langues se cherchent, les lèvres se dévorent, alors que Philippe caresse le corps d’Olga, son dos, puis ses fesses.
- Oh, mon chéri, je sais que tu ne m’as amené ici par hasard. Tu sais que, depuis des mois, je suis en manque.
- Bien sûr que je le sais, mon amour. Pour toi, je ne fais jamais rien par hasard ! Je veux que tu ne connaisses ici aucun répit dans la recherche du plaisir. Je veux que pendant ces dix jours, tu sois plus chienne, plus salope que tu ne l’as as jamais été.
- Tu me connais si bien, tu me rends si heureuse. Je t’aime !
Olga pose la main sur la verge de Philippe :
- Tu bandes, mon petit cochon ! C’est à cause de moi, ou à cause de cette Belge, cette Madame Lambert, cette blonde plantureuse avec ses gros seins ? Fais attention, tu sais que moi, je ne suis pas partageuse ! Ta queue est à moi et seulement à moi !
- Je te connais ! Qui d’autre que toi peut me faire bander ? Et je pense à tous ces étalons qui vont te saillir, ma cochonne !
- Ce matin, je n’ai pas eu droit à ma dose de semence ! Ca me manque ! Tu sais bien que je suis folle de ta queue !
- Pourtant, tu en as connu tant d’autres !
- C’est vrai, mais toi, tu es à moi, tu es MON Philippe ! Laisse-moi faire, laisse-moi me rassasier !
Olga se met à genoux devant Philippe. Le regard qu’elle lui porte est sans ambigüités sur ses intentions. Olga ouvre la bouche et avale la verge de Philippe, gourmande, utilisant toute sa science de fellatrice, conjuguant le talent de ses lèvres, de sa langue, la chaleur de sa bouche. Cette caresse, elle l’a tant de fois pratiqué sur lui, mais ça reste une merveille, au point que, dans ces moments, Philippe est prêt à tout accorder à sa femme. Il aime être son homme objet. Ce matin, il veut lui montrer qu’il est son homme. Il prend la tête d’Olga entre les mains, il s’enfonce loin dans la gorge de sa femme, il baise sa bouche, sans ménagement. Des yeux d’Olga coulent des larmes. Experte, cette gorge profonde ne suscite aucune nausée chez elle. Elle ne veut pas lâcher prise, alors, que de sa main droite, elle se branle le clito, suscitant chez elle des orgasmes qui ne la détournent pas de sa fellation et de son objectif, celui de boire son homme. Celui-ci a appris à se retenir, pour prolonger le plaisir qu’Olga lui offre.
Alors celle-ci se décide à enfoncer dans l’anus de son mari un, puis deux doigts. Grâce à elle, il a non seulement assumé son candaulisme, mais aussi sa bisexualité. Alors, Philippe capitule, jouissant à son tour, envoyant dans la gorge d’Olga trois puissantes giclées que sa femme va avaler avec soin, jusqu’à la dernière goutte.
Les époux viennent de connaitre les premiers plaisirs de leur séjour, simple prélude à ce qui les attend.
(A suivre)
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13 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le chapitre 2 est paru sur ma page. Au tour de Micky de publier la suite, le chapitre 3
Je m'associe à Olga pour vous remercier tous pour vos commentaires. La suite arrivera, quand ce sera son tour...
Chers Olga et Micky, votre talent est pregnant.
Je donnerais sans hésiter mon testicule gauche pour vous voir batifoler ensemble un soir de pleine lune.....ou le droit plutôt.
Al.
Je donnerais sans hésiter mon testicule gauche pour vous voir batifoler ensemble un soir de pleine lune.....ou le droit plutôt.
Al.
Micky, Olga,
Vous me voyez désolé pour cette publication à répétition de mon commentaire (due à un bug) qui pollue ainsi donc votre histoire.
Méa culpa...
Didier
Vous me voyez désolé pour cette publication à répétition de mon commentaire (due à un bug) qui pollue ainsi donc votre histoire.
Méa culpa...
Didier
@ Didier, Micky s'associera à moi pour te remercier de tes fidèles commentaires sur nos publications
Sans révéler la suite, oui ce sera torride et oui nous retrouverons les Lambert.
Le second chapitre sera publié sur ma page, suivant le principe d'alternance. J'ai envoyé le texte il y a deux jours à HDS pour validation
Sans révéler la suite, oui ce sera torride et oui nous retrouverons les Lambert.
Le second chapitre sera publié sur ma page, suivant le principe d'alternance. J'ai envoyé le texte il y a deux jours à HDS pour validation
Micky, Olga,
Ce premier chapitre nous met vite dans l’ambiance avec en premier lieu ce très bon rappel de l’œuvre autobiographique d’Olga, que je l’avoue n’ai commencé à lire que très récemment, et par la fin de surcroît, puis par ce long vol avec comme symbolique la mythique Emmanuelle, et enfin par cette torride mise en bouche dès l’arrivée dans la chambre.
Je pense sans me tromper que ces Lambert vont certainement recroiser la route de notre joli couple, mais pas que…
Merci donc à vous deux pour cette nouvelle série fictive dont j’ai hâte de découvrir la suite qui sera, connaissant la qualité de vos précédents écrits, certainement torride et pleine de surprises.
Didier
Ce premier chapitre nous met vite dans l’ambiance avec en premier lieu ce très bon rappel de l’œuvre autobiographique d’Olga, que je l’avoue n’ai commencé à lire que très récemment, et par la fin de surcroît, puis par ce long vol avec comme symbolique la mythique Emmanuelle, et enfin par cette torride mise en bouche dès l’arrivée dans la chambre.
Je pense sans me tromper que ces Lambert vont certainement recroiser la route de notre joli couple, mais pas que…
Merci donc à vous deux pour cette nouvelle série fictive dont j’ai hâte de découvrir la suite qui sera, connaissant la qualité de vos précédents écrits, certainement torride et pleine de surprises.
Didier
C’est beau et bien écrit.
Quel bonheur de lire ces moments lorsque d’autre ne font qu’en fantasmer …. ☺️
Quel bonheur de lire ces moments lorsque d’autre ne font qu’en fantasmer …. ☺️
Micky, Olga,
Ce premier chapitre nous met vite dans l’ambiance avec en premier lieu ce très bon rappel de l’œuvre autobiographique d’Olga, que je l’avoue n’ai commencé à lire que très récemment, et par la fin de surcroît, puis par ce long vol avec comme symbolique la mythique Emmanuelle, et enfin par cette torride arrivée dans la chambre.
Je pense sans me tromper que ces Lambert vont certainement recroiser la route de notre joli couple, mais pas que…
Merci donc à vous deux pour cette nouvelle série fictive dont j’ai hâte de découvrir la suite qui sera, connaissant la qualité de vos précédents écrits, certainement torride et pleine de surprises.
Didier
Ce premier chapitre nous met vite dans l’ambiance avec en premier lieu ce très bon rappel de l’œuvre autobiographique d’Olga, que je l’avoue n’ai commencé à lire que très récemment, et par la fin de surcroît, puis par ce long vol avec comme symbolique la mythique Emmanuelle, et enfin par cette torride arrivée dans la chambre.
Je pense sans me tromper que ces Lambert vont certainement recroiser la route de notre joli couple, mais pas que…
Merci donc à vous deux pour cette nouvelle série fictive dont j’ai hâte de découvrir la suite qui sera, connaissant la qualité de vos précédents écrits, certainement torride et pleine de surprises.
Didier
@ Jacques, dans la réalité, pas dans le récit :-)
Philippe vous dire non! Ouf! Cecsera à lire.
À Suivre.
À Suivre.
@ Jacques, je répète que ce récit est, contrairement aux textes autobiographiques que j'ai publiés, imaginaire. Il est naturellement inspiré de mes expériences.
Il fut un temps où j'aurais aimé vivre de tels moments, mais cela ne s'est jamais réalisé, car Philippe ne l'a pas voulu. C'est pourquoi ce chapitre et les suivants décrivent un fantasme
Il fut un temps où j'aurais aimé vivre de tels moments, mais cela ne s'est jamais réalisé, car Philippe ne l'a pas voulu. C'est pourquoi ce chapitre et les suivants décrivent un fantasme
A date Dre Olga la première lecture de ce récit me rappelle votre aventure concernant ce voyage. Je pense qu’on peut décrire un fantasme comme une expérience sexuelle imaginée, désirée mais non vécu.
Je me demande quel fantasme pourriez-vous avoir de plus que les réels moments vécus durant ce voyage ou même avant? Il s’en est passé dans ce voyage et durant votre vie de jeune femme adulte des événements qui pour vous sont réels et que pour d’autres demeurent des fantasmes.
D’ailleurs chère dame je me demande bien quel fantasme sexuels pourrait bien vous habiter.
Je vous lis depuis longtemps et soyez certaine que je vais vous suivre dans ce récit pour les trouver vos fameux fantasmes.
À suivre.
Je me demande quel fantasme pourriez-vous avoir de plus que les réels moments vécus durant ce voyage ou même avant? Il s’en est passé dans ce voyage et durant votre vie de jeune femme adulte des événements qui pour vous sont réels et que pour d’autres demeurent des fantasmes.
D’ailleurs chère dame je me demande bien quel fantasme sexuels pourrait bien vous habiter.
Je vous lis depuis longtemps et soyez certaine que je vais vous suivre dans ce récit pour les trouver vos fameux fantasmes.
À suivre.
Comme l'écrit Micky, nous avions déjà réalisé ensemble un exercice similaire, à l'été 2021. Je tenais à préciser qu'il s'agit d'un récit fictif, construit cependant sur base d'expériences vécues.
Merci à Micky, car c'est un plaisir rare, un vrai bonheur que de construire un texte avec une auteure de sa qualité.
Le chapitre 2 devrait être diffusé sous ma signature
Bonne lecture!
Merci à Micky, car c'est un plaisir rare, un vrai bonheur que de construire un texte avec une auteure de sa qualité.
Le chapitre 2 devrait être diffusé sous ma signature
Bonne lecture!