Saga Africa pour Olga (3) Série Textes en commun

- Par l'auteur HDS Micky -
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Récit libertin : Saga Africa pour Olga (3) Série Textes en commun Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2023 dans la catégorie Plus on est
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Saga Africa pour Olga (3) Série Textes en commun
Chapitre 3 : aventures en brousse

Après ce réveil voluptueux, les deux couples se sont donné rendez-vous dans la salle du petit-déjeuner, pour évoquer la suite de cette journée qui a si bien commencé.

Philippe et Olga ont choisi des tenues qui les font remarquer. Chemisette blanche et pantalon de toile pour lui. Quant à Olga, elle a déjà mis, sous son paréo, un bikini très provoquant, avec un mini-string qui exhibe ses jolies fesses et un haut qui ne cache guère ses petits seins. Le couple belge est fidèle à lui-même, avec un style qui rappelle le film « les Bronzés à la plage ». Eddy porte un short en tissu et un tee-shirt large qui ne cache pas son ventre proéminent. Quant à Frida, son maillot « une pièce », sous son paréo, n’est pas fait pour cacher ses cuisses et sa plantureuse poitrine. La façon dont Frida dévisage Philippe en dit long sur ses intentions. Olga, encore toute émoustillée par ce qu’elle vient de vivre, n’y prête pas attention. Philippe rend son sourire à Frida, mais reste prudent pour éviter tout dérapage, car il connait la jalousie presque maladive d’Olga.

Frida pose d’emblée le décor :

Alors, Olga, manifestement tu as pris ton pied ce matin ! Je savais qu’Issa te conviendrait. Il nous avait avoué hier soir que tu faisais bander tous les mâles de cet hôtel !

Merci à vous d’avoir servi d’intermédiaires ! Oui c’était génial, ça faisait des mois que je ne m’étais pas éclatée comme ça. Seulement…

Ça ne te suffit pas, susurra Eddy

C’est clair, confirma Frida. Faut profiter à fond de ce séjour. Comme nous, vous êtes là pour ça, non ?

Exact, confirma Philippe. Je connais mon Olga. Je sais que, pour elle, ce n’était qu’une mise en bouche, en quelque sorte.

Les Belges n’avaient pas saisi l’allusion. Olga rebondit sur la remarque de Philippe :

Justement, il y a un goût d’inachevé. D’abord, pour rester sur le même registre, j’aurais aimé remettre le couvert ! Je suis certaine qu’Issa avait encore de la ressource !

Je te comprends, dit Frida. Il aurait fallu qu’il te casse le cul. J’y suis passée hier, c’était difficile au début mais j’ai a-do-ré !

Oui, j’aime beaucoup me faire sodomiser par de gros calibres. Mais il n’y a pas que ça, dit Olga en adressant un regard plein de sous-entendu à Philippe.

Celui-ci connait si bien son épouse et ses envies.

Je sais chérie, que tu aurais bien voulu qu’il te baise sans capote et qu’il se vide en toi. Tu connais nos accords. C’est bien trop dangereux avec un inconnu !

Olga le savait, comme Philippe savait que son plaisir était encore plus fort ainsi. Elle fit la moue, comme une enfant privée de dessert. Et en plus, compte tenu de la date de ses dernières règles, elle ne risquait pas de tomber enceinte.

Ne fais pas cette tête, mon amour, j’ai pensé à tout et pris les dispositions nécessaires. Ça représente un investissement conséquent car il fallait l’ordonnance d’un médecin et avoir recours à un laboratoire de Ziguinchor, mais Issa va faire le nécessaire dès aujourd’hui. Non seulement pour le VIH, mais aussi pour toute une batterie de MST. Il faudra juste patienter le temps nécessaire pour avoir les résultats.

Olga ne contenait pas sa joie :

Tu es un amour ! Je vais me réserver Issa tout le long de notre séjour !

Ca aussi c’est prévu. A ma demande, Issa s’est mis en congés pour tout notre séjour. Rassure-toi, je l’ai largement indemnisé. Il sera ton mâle, à ta disposition autant que tu en auras envie !

C’est merveilleux. Il est si beau, ce garçon. Je veux passer toutes mes nuits avec lui Tu veux bien, chéri ?

Tout ce que tu veux, mon amour.

Bien sûr, tu pourras mater, je sais combien tu aimes ça !

Frida en profita pour avancer ses pions :

Ce pauvre Philippe ne va pas beaucoup dormir !

Ne t’inquiète pas pour lui. En bon candauliste, il sera comblé également.

Philippe, tu fais un merveilleux cadeau à Olga, quelques nuits torrides avec un bel étalon. Pourquoi ne pas laisser les amants seuls ? Notre suite est assez grande pour t’accueillir.

Olga avait flashé sur le bel Issa et ne voulait pas seulement baiser, mais faire l’amour avec lui. Sans la présence de Philippe, c’était plus que du candaulisme. Il y a longtemps qu’Olga n’avait goûté au fruit défendu de l’adultère.

Tu ferais ça, mon chéri ? C’est seulement pour quelques nuits, minauda-t-elle.

Philippe mesurait le risque. Mais lui aussi avait envie de Frida, sa volumineuse poitrine l’obsédait.

Je me doute bien que tu ne vas rester vivre au Sénégal et nous n’avons pas l’intention de ramener Issa avec nous. Mais puisque c’est seulement pour quelques jours et si je ne dérange pas Eddy et Frida !

Puisque Frida le propose, assura Eddy.

Olga se leva de table pour embrasser fougueusement son mari, pour le remercier de cette incroyable liberté qu’il lui laissait.

De son côté, Frida dit à l’oreille d’Eddy, de façon à n’être entendue que de lui :

Bien entendu, je partage le lit avec Philippe !

Eddy n’avait pas l’habitude de discuter les volontés de Frida. Mais il comprit que les deux couples semblaient avoir franchi une ligne rouge, les deux hypersexuelles étant amoureuses, Olga du bel Issa, Frida, quant à elle avait « flashé » sur Philippe.

Tout cela était suspendu à la confirmation qu’Issa était parfaitement sain. Les résultats du laboratoire ne seraient pas disponibles avant le lendemain après-midi.

Et en attendant, on fait quoi ? dit Olga

Je suppose, ma jolie, que tu aimes quand de beaux mâles se succèdent sur toi !

Frida était cash, Olga le fut aussi :

J’adore ça, tu veux dire. Ils peuvent se succéder, mais aussi s’occuper de moi en même temps.

En effet, nous avons une chatte, un cul et une bouche. Ca permet de faire beaucoup de choses, approuva Frida.

Eddy intervint alors :

Ce genre de choses ne peut se faire à l’hôtel, mais l’an dernier nous nous sommes rendus au village voisin et ce fut la fête à Frida. Vous seriez prêts à tenter l’expérience ?

Ce n’est pas dangereux ? s’inquiéta Philippe. Même si j’avoue que c’est tentant !

T’inquiète, tout est cadré. Notre intermédiaire est le maitre d’hôtel, qui garantit notre sécurité. Alors, je vous organise ça ? Allez, dites oui ! Laissez-moi faire ! Olga et Frida seront comblées et je suis certain, Philippe, que tu n’avais encore jamais vu ta chérie dans une case, sur une natte, en train de se faire démonter ! Bien entendu, là pas de discussion. Il faudra prévoir le stock de capotes. Rapports protégés obligatoires ! Une dernière chose, tenue de brousse évidemment !

Eddy rejoignit Frida et le couple français sur la plage de l’hôtel. Il avait tout organisé soigneusement avec son ami Ibrahim, le maître d’hôtel. Les deux couples étaient attendus le lendemain matin au village.

Le reste de la journée fut donc un moment de farniente, sur la plage, afin de préserver des forces pour le lendemain et les jours suivants, qui s’annonçaient comme bien remplis. Une courte pause dans un séjour torride !

***

La nuit précédente, Olga dort mal. L'effet du léger décalage horaire, peut-être, les réminiscences de ses ébats avec Issa, sûrement mais surtout la perspective de ce rendez-vous concocté par Eddy avec des étalons locaux, qui contraint Olga à réfréner son envie de chevaucher Philippe couché à côté d'elle, et dormant quant à lui d'un sommeil profond. Olga connait ses limites physiques. Si elle est toujours en pleine forme, elle n'a plus la capacité de récupération de ses vingt ans et une grosse baise peut être assimilée à une longue course à pied pour laquelle elle a besoin de toutes ses ressources.

C'est donc quand elle a enfin trouvé le sommeil que Philippe la réveille. Il est temps de se préparer, de se doucher et d'aller déjeuner à la salle à manger de l'hôtel.

Le couple français retrouve son homologue belge, déjà attablé. Frida porte son éternel décolleté en U qui dévoile les trois quart de ses seins opulents et de ses cuisses larges tandis qu'Olga a fait pratique : mini short et tee shirt, sans soutif. Le Belge semble très détendue, plus qu'Olga en tout cas. Elle porte des escarpins qui lui donnent une démarche chaloupée, mettant en valeur son fessier pulpeux alors qu'Olga a chaussé ses sandales, tandis que le quatuor se rend à pied dans ce qui s'annonce comme la case du stupre. Les deux femmes marchent un peu à l'arrière des hommes et commencent à évoquer ce qui les attend. Plus question de papoter sur les enfants et leurs études comme la veille. Les mères sont devenues femelles :

Tu te sens en forme ? demande Frida.

Un peu chiffonnée par le manque de sommeil mais ça ira. Je suis hyper excitée.

Et moi donc. Tu m'as mis le feu hier quand je t'ai vu baiser avec Issa. Heureusement qu'Eddy est venu me soulager.

Il assure, dis donc, ton mec. Il t'a drôlement fait jouir.

Oui, c'est un bon amant mais il m'en faut plus, beaucoup plus. Toi aussi, j'ai l'impression. Que tu es belle quand tu jouis...

C'est quand j'ai vu les grosses couilles d'Issa balloter contre ma chatte. J'ai eu comme un flash. Irrésistible.

Moi, ce qui me fait craquer, c'est la bite. La bonne grosse bite noire. Quand je pense que certaines femmes prétendent que grosse ou petite, c'est pareil... Moi, il faut que je me sente bien remplie pour jouir. Même dans mon cul.

J'aime bien les grands formats aussi. Surtout dans ma bouche. Tiens, je crois qu'on arrive. On va être fixées.

Tant mieux. J'ai une de ces envies de baiser, tu peux pas savoir...

Moi aussi. Cette conversation m'a mise en transe. Je ne sais pas si c'est le climat d'ici mais je me sens terriblement salope, conclut Olga, qui mouille déjà.

******

On l'a compris, les deux femmes sont chaudes à point quand elles font leur apparition dans la case. Eddy a recruté par l’intermédiaire d’Ibrahim trois jeunes étalons semblant sortir du même moule physique : élancés, maigres, musculeux, partiellement tatoués, un en coiffure rasta, un rasé et l'autre tondu de près. Les prénoms sont annoncés mais les deux femmes les oublient aussitôt. Elles ont les yeux rivés sur l'anatomie alléchante des trois Sénégalais, qui arborent leur torse nu et un simple bermuda dissimulant à peine une virilité déjà saillante.

Afin de faire monter lentement la pression, Eddy a fait préparer des boissons servies sur une table. Olga et Frida interrogent, pour la forme, les garçons sur leur vie quotidienne. Ils sont tous les trois étudiants, parlent un français quasi parfait, à peine teinté d'accent. Mais arrive le moment où les boissons sont bues et les regards se tournent vers la grande natte posée à même le sol, recouverte d'un drap blanc. C'est le rasta qui prend l'initiative en saisissant la main de Frida et en la portant à son entre-jambes.

Mmmhh, prometteur, glousse la Belge.

Après avoir saisi le membre viril en entrant dans le bermuda, elle le baisse, s'accroupit et embouche le plantureux chibre. On sent qu'elle fournit un effort de maxillaires tant le pénis est gros mais sa volupté est évidente à savourer ce beau morceau de viande mâle. Ses joues se creusent et se remplissent alternativement tandis qu'elle palpe les bourses pleines du rasta. Olga est fascinée par cette succion experte. Le jeune homme au crâne rasé s'est glissé derrière elle, lui fait sentir son sexe contre ses fesses tout en caressant ses seins à travers son tee shirt. Le troisième homme à tête crépue baisse son mini short et vient glisser sa langue sur la fente. Du jus intime dégouline déjà sur son visage qu'Olga entoure de ses mains. "Il est doué, le jeune homme, se dit-elle, en savourant son jeu de langue. Il ne sera pas déçu".

C'est parti. Les deux maris se sont assis dans un coin pour observer la suite des événements. Frida et Olga ont été basculées sur la natte. La robe, le slip, les escarpins et le soutif de la Belge ont été prestement retirés et récupérés par Eddy. Olga est désormais tout aussi nue, comme les étalons qui arborent leurs avantages avec une fierté manifeste. Elle a été si bien préparée qu'elle n'aspire plus qu'à être pénétrée. Si son bas-ventre avait la parole, il implorerait une visite massive, immédiate. Mais les époux ne l'entendent pas ainsi :

Vous pressez pas les gars, préparez-les bien d'abord, dit Philippe dans son coin.

Commence alors une longue séance de cunnilingus que les deux femmes vont savourer tantôt sur le dos, tantôt à quatre pattes, posture permettant un léchage prolongé de l'anus, les trois Noirs semblant particulièrement goûter ce préliminaire.

Hou, ils veulent nous enculer, glousse Frida.

Déjà abondamment léchée, Olga s'impatiente et finit par s'exclamer :

Baisez-nous maintenant, on n'en peut plus.

Allongées cuisses ouvertes, les deux femmes sont en attente. Le contraste est saisissant entre la chair abondante, blanche et juteuse de la Belge et le corps nerveux, ambré et flexible d'Olga. Les trois Noirs ont accepté et enfilé le préservatif tendu par Eddy, opération facilité par une érection impressionnante que fait saliver les deux femmes. Elles ont la langue entre les dents, les yeux brillants, l'image même de deux femelles en attente de mâles, si éloignée de la mère de famille qu'elles savent être aussi.

Le corps charnu de Frida semble attirer davantage le rasta et le rasé qui se penchent vers elle, la bite en avant. Ils se concertent : qui va la baiser le premier ? C'est Frida qui choisit en saisissant la bite du chevelu et en l'attirant vers son antre. Olga l'entendra juste crier de plaisir car son attention est désormais concentrée sur le jeune homme à tête crépue qui l'a si bien léchée. Cela ne la gêne en rien qu'il soit seul, au contraire. C'est lui qu'elle trouve le plus mignon, le plus sexy. Bras tendus, il la domine et trouve illico sa cible, comme si sa bite avait été aimantée par la chatte d'Olga. Elle est si humide qu'il l'a pénétrée entièrement du premier coup malgré son volume. Olga procède aussitôt à une rétroversion du bassin en se saisissant les pieds. Elle veut qu'il aille loin, longtemps, et le lui dit entre deux jappements de plaisir. La pénétration est classique mais tonique, fougueuse, résolue. Exactement ce qu'attendait Olga. Son regard ne quitte pas celui du jeune Noir pendant qu'il la creuse. A côté d'elle, Frida ânonne une série de "oui oui oui" témoignant d'une égale satisfaction. Olga jette un œil sur le côté et découvre le petit cul nerveux et agité du jeune homme au crâne rasé entre les cuisses dodues de la Belge, en pleine extase. Cette peau noire sur cette chair blanche crée un contraste d'un érotisme intense qui bouleverse Olga.

Prenez-les par derrière maintenant !

C'est Eddy qui a parlé. Les unions se défont provisoirement. Olga en profite pour embrasser goulûment son jeune amant, tout en jetant un œil vers Philippe, déculotté, la queue dans la main.

Chéri, ça va, tu aimes ? interroge-t-elle son mari voyeur.

Tu es magnifique. J'ai adoré quand tu t'es pris les pieds pour l'envoyer loin en toi. Mais tu peux encore faire plus.

C'est bien l'avis d'Olga. Son corps est si brûlant que seul un pénis très raide peut la calmer, et encore. Frida est déjà à quatre pattes, les seins entre les bras ballotant en cadence sous l'effet des coups de boutoir du rasta tandis qu'elle suce en même temps l'homme au crâne rasé en faisant « mmmhh mmmmhh ».

Olga se pose face à elle, à quelques centimètres de son visage. Elle veut aussi la bite du Noir dans sa bouche tout en se faisant limer par son pote. Il comprend son intention et passe d'une bouche à l'autre. Olga va en même temps chercher la queue de son jeune amant à grands coups de fesses. Elle adore cette position qui la rend chienne. Les peaux claquent. Puis le rasta se met sur ses pieds. Frida creuse les reins. Elle veut faciliter la phase sodomie désormais en cours. Elle abandonne la queue du rasé à Olga pour crier son plaisir.

Ah j'aime ça, ah j'adore ça ! s'exclame-t-elle.

Olga ne peut demeurer en reste. Elle se retourne vers son tringleur et lui dit :

Encule-moi aussi.

C'est un peu plus laborieux que pour la Belge. Olga gémit de douleur mais dès que le jeune homme est bien engagé, son plaisir prend le dessus. Elle se frotte le minou tout en remuant sa croupe de contentement. Elle reprend dans sa bouche la queue du rasé, qui finit par éjaculer et inonde son visage d'un sperme épais. "Un de chute", pense Olga, assez fière d'avoir fait craquer l'un des trois protagonistes.

C'est alors que Philippe s'écrie :

Maintenant, ça suffit, laissez-nous la place.

C'est visiblement la dernière phase de ce grand moment. Les deux maris, Olga l'a compris, se sont concertés en marchant sur le thème : "tu baises ma femme, je baise la tienne". Olga n'est pas enchantée que Philippe vienne honorer la Belge et elle-même aurait bien continué avec les jeunes Noirs au lieu de satisfaire le gros Eddy. Mais voilà : les maris ont offert aux deux femmes une telle folie érotique et interraciale qu'elles se voient mal leur refuser une satisfaction autre que visuelle.

***

Frida, elle aussi, aurait aimé continuer avec les jeunes étalons sénégalais. Cependant, elle a flashé sur Philippe depuis le moment où elle l’a vu, de même qu’Eddy fantasme depuis ce moment sur la belle Olga.

Philippe, quant à lui, a toujours été fasciné par les grosses poitrines, la seule chose qui manque à la volcanique Olga, malgré ses maternités. Il sait que ce qu’il vient d’accorder à Olga et ce qu’il lui a promis d’ici la fin de leur séjour au Sénégal, l’oblige à être tolérante. Car d’habitude, Olga, qui ne compte pas les amants qu’elle a connus depuis son mariage avec son époux candauliste, n’accorde pas la réciprocité à Philippe. C’est un paradoxe, mais Olga est jalouse et possessive. Quand elle parle de son mari, elle dit qu’il est « SON » Philippe. Les rares fois où il s’est accordé des écarts, ils se sont mal passés. Une fois, Olga avait surpris Philippe avec une autre femme. Elle s’est comportée comme une tigresse, et ça serait très mal terminé si Philippe n’était intervenu, pour la calmer, avec beaucoup de difficultés. Une autre fois, en prenant connaissance des mails de son mari, elle avait découvert qu’il entretenait une liaison adultère avec une jeune femme, dénommée Ambre. Elle avait exigé et obtenu qu’il rompe immédiatement, devant elle, par téléphone.

Et aujourd’hui, Olga doit se résigner à voir cette grosse Flamande disposer de son homme. En se mettant à genoux devant Eddy, pour prendre en mains sa queue, afin de la branler, puis de la prendre en bouche, Olga surveille attentivement ce qui se passe à côté. Frida est triomphante. Elle se serre contre Philippe, ses gros seins contre le torse de son futur amant. Frida semble prendre les choses en mains. Ses lèvres prennent possession de celles de Philippe, sa langue allant à la rencontre de celle du Français. Les baisers sont longs, fougueux, passionnés, interrompus seulement par le besoin de retrouver son souffle.

Olga se contient, se contrôle, car sa première réaction aurait été de se jeter sur le couple, de les séparer et de dire à cette salope de laisser son mari tranquille. Elle pense alors à la perspective des nuits promises avec le bel Issa et son envie est plus forte que sa jalousie et sa colère. Elle prend donc en bouche la verge d’Eddy, bien décidée à lui vider les couilles le plus rapidement possible, afin de pouvoir à nouveau profité des trois étalons qui se sont mis à l’écart, mais qui bandent toujours.

Philippe, connaissant Olga, sait qu’il a évité de justesse l’incident diplomatique. Il faut donc calmer le jeu et reprendre les choses en mains. Frida veut manifestement qu’ils fassent l’amour mais il va lui imposer ce que lui veut. Il se détache de l’étreinte de Frida et lui intime de se coucher sur la natte. Pendant ce temps, Olga pompe Eddy, mettant tout son cœur à l’ouvrage.

Le Belge est au 7ème ciel :

Waouh, Philippe, j’ai jamais connu une pipeuse comme Olga !

Elle est la plus grande fellatrice depuis Cléopâtre !

C’est qui celle-là ? Faudra me la présenter !

Au même instant, Philippe et Olga pensent qu’Eddy était tout aussi inculte qu’il est lourd. Mais Olga fait son devoir, mettant en quelque sorte bouchée double. Pour se donner du cœur à l’ouvrage, elle pense à Issa.

Philippe se met sur la Flamande et place sa verge entre les gros seins de Frida. Celle-ci comprend ce que l’homme veut : une branlette espagnole, une cravate de notaire, ce que ses amants adorent faire avec ses gros nichons. Elle emprisonne la bite de son amant entre ses deux obus et commence à le masturber, certaine de son effet

Ca te plait, mon chéri, dit Frida Tu aimes ?

Olga, furieuse, a failli mordre Eddy pour se venger. Elle veut lui vider les couilles et le plus vite sera le mieux.

J’adore ça ! Tais-toi, concentre-toi sur ma bite. J’ai envie de gicler sur ton visage de salope !

Philippe se montre dur, dominateur, ce qui rassure Olga. Elle sait que ce genre de caresses, que ses petits seins ne lui permettent pas de faire, est le péché mignon de Philippe. Olga est fière que son homme tienne aussi longtemps, alors que la séance entre les femmes et les trois Sénégalais avait été torride.

Eddy, quant à lui, ne peux résister davantage à la belle fellatrice. Il a la courtoisie de la prévenir

Je n’en peux plus, je vais jouir ! Tu veux m’avaler ?

Olga aime le sperme mais n’a pas envie de celui d’Eddy. Elle se retire et lui dit :

Non. Finis-toi en giclant sur moi !

Eddy a l’habitude d’obéir à Frida, il fait de même avec Olga. Il n’a pas à se branler longtemps pour jouir. Son premier jet, très puissant, atterrit sur les cheveux d’Olga. Le second finit sur le visage de la quadragénaire. Et le dernier sur ses seins. Eddy est vidé, jamais il n’avait joui aussi fort.

Comme s’il attendait le signal, Philippe éjacule à son tour, maintenant les seins de Frida autour de sa verge, se positionnant pour lui maculer le visage. Il atteint parfaitement sa cible, avec quatre puissants jets.

Prends-ça, chienne !

Le visage de Frida est couvert de foutre, un des jets l’atteint à l’œil. Elle recueille la semence avec ses doigts, qu’elle porte à sa bouche, léchant le précieux nectar :

Le visage couvert de sperme, les deux femmes avaient l’air de bacchantes. Mais elles n’avaient pas joui. Frida espérait qu’après avoir pratiqué cette belle cravate de notaire, Philippe allait l’honorer comme il se doit. En se léchant les doigts pleins du sperme de son amant, Frida se fait chatte :

Hum, comme tu as bon goût. Je vais m’occuper de toi pour te redonner vigueur, puis tu vas me baiser. j’ai envie que tu me prennes, que tu te vides en moi, que tu me fécondes, mon amour !

Et moi, j’ai envie d’autre chose. Ne t’inquiète pas, ma salope, je vais m’occuper de ta chatte. Tu vas gueuler de plaisir !

La chatte de Frida était béante et bien lubrifiée. D’une part, il y a peu, elle avait baisé avec les jeunes Africains. Et d’autre part, elle était très excitée. D’emblée, Philippe lui enfonça deux doigts.

Olga comprit ce que son mari allait faire : il allait fister la Belge. Olga, pour pratiquer avec lui, sait que son mari est un expert.

Alors elle se sent libérée. S’adressant aux trois jeunes Sénégalais, elle leur dit :

Je veux quelque chose de plus, d’exceptionnel ! Venez ! Je veux vous veux tous les trois en même temps !

Eddy tenta de protester. Dans ce qui était en train de se passer, il était le laissé pour compte. Frida suit tous les désirs de Philippe, alors qu’Olga s’est débarrassée de lui en s’empressant de le faire jouir.

Ben et moi alors ?

Tu n’as que te branler. Tu pourras me gicler dessus. J’aime ça !

Philippe a désormais quatre doigts dans la chatte de Frida, qui ne s’était jamais aussi sentie dilatée.

Les trois jeunes étalons, dans leur dialecte, se répartissent les rôles. Ils se mettent vite d’accord. Le rasta va baiser la Française, le rasé l’enculer et le tondu baiser sa bouche.

Alors qu’il besogne déjà Frida avec ses doigts, Philippe a le réflexe d’intimer à Olga :

Chérie, n’oublie pas ! Les capotes !

Olga fait la moue, mais connait leurs accords. Ces jeunes sont des inconnus, c’est trop dangereux. Et puis, il y aura bientôt Issa.

Oui, mon chéri, mais pas pour celui que je suce. Je veux avaler sa semence !

C’est Olga qui met les préservatifs sur le sexe de ses amants. Elle pensait avoir prévu la taille qui convenait, en prenant des XXL, mais ils bandent tellement que ce n’est pas facile d’encapuchonner les membres qui vont la posséder.

Elle y parvient, quand un cri, un hurlement emplit la case. Philippe vient de faire passer le pouce. Il a toute la main dans le sexe de Frida. Quand il fait ça avec Olga, Philippe y va progressivement. Là, il ne ménage pas la Belge. Frida hurle. Eddy s’inquiète :

Vas-y doucement quand même ! Ne la blesse pas ! Ca va chérie ?

T’occupe ! J’aime ce qu’il me fait ! Oui, vas-y mon chéri ! Rentre-la ! Baise-moi ! Ouiiiiiiii

Eddy est fasciné. Jamais Frida n’a été aussi loin. Il se met à se branler. D’autant qu’à côté c’est tout aussi torride. Le rasta et Olga sont debout et le jeune africain prend la belle brune. Il commence immédiatement le coït. Il s’interrompt un bref instant, pour permettre à son copain de sodomiser la femme. Celui-ci y parvient sans problèmes, tant Olga a une longue pratique de la voie étroite. Elle sent à travers elle les deux puissantes verges se rejoindre à travers sa mince paroi. D’autorité, les deux jeunes mâles la font se mettre à genoux pour permettre l’intervention du tondu, qui enfonce sa bite dans la bouche d’Olga.

Une triple pénétration ! Il y a longtemps qu’Olga n’avait pas pratiqué cela. Une vraie tuerie ! Sa bouche, remplie, elle ne peut crier son plaisir, qui s’exprime par la sueur qui coule de son front, ses yeux qui se voilent, les traits de son visage qui se déforment.

De côté, Philippe fiste Frida jusqu’au poignet. Frida et Olga vont avoir un orgasme dévastateur au même moment. Cette fois, elles sont rassasiées.

***

Après une ultime collation, les deux couples, brisés de plaisir, vont rentrer à l’hôtel. Philippe y prend connaissance des résultats de la batterie de contrôles imposés à Issa. Celui-ci est parfaitement sain. Il va falloir à Philippe tenir ce qui a été promis à Olga, promesse qui arrange bien Frida !

Et en effet, dès le même soir, Issa rejoint discrètement la suite des Français et passe la nuit avec Olga. Philippe, comme prévu, rejoint la junior suite voisine.

Les deux femmes obtiennent ce qu’elles voulaient. C’est beaucoup dire qu’Olga dort avec Issa. Elle veut profiter à fond de ces quelques nuits exceptionnelles que lui a accordées son mari. Et donc, elle ne laisse guère de répit à Issa, juste le temps nécessaire pour qu’il reprenne des forces. Et comme le jeune Sénégalais est une force de la nature, le couple enchaine les coïts. Olga profite à fond également du droit qui lui a été donné de copuler sans capote et de permettre à son amant d’envoyer, au fond de son vagin, de puissantes giclées d’un sperme abondant ; Olga est au paradis, elle dont la jouissance est décuplée quand le mâle se vide en elle. C’est un moment où elle se sent pleinement femelle.

Olga laisse soigneusement la fenêtre de la terrasse ouverte. Pour que Philippe puisse tout entendre, à défaut d’être le témoin de ses ébats.

Dans la chambre d’â coté, c’est encore Eddy le sacrifié. Il dort sur le canapé, pour laisser le lit aux amants. Eddy sait que les choses sont bien différentes de leurs habitudes. Cette fois, Frida est amoureuse. Elle ne se gêne pas pour l’exprimer. Elle sait que Philippe ne partage pas ses sentiments. Elle se contente donc de ce qu’il lui accorde. Et Philippe accepte de faire l’amour à Frida, tout en imaginant ce qui se passe à côté, ce qui est facile aux cris qui parviennent jusqu’à eux.

Frida est heureuse : l’homme dont elle est tombée amoureuse, lui fait l’amour. Elle a obtenu que ce soit sans préservatif.

Oh mon amour, que c’est bon ! Viens, vides-toi en moi, féconde-moi ! Je t’aime !!!!

Ce que Frida n’a pas dit à Philippe et que, bien que quadragénaire, elle est encore féconde et se trouve en période favorable. Elle compte bien en profiter pour qu’à défaut de son rêve, vivre avec Philippe, elle conçoive un enfant avec lui. Eddy, silencieux, sait. Il aime Frida et a déjà décidé que, si elle se retrouvait enceinte, il assumerait, comme Philippe l’a fait avec certains des enfants d’Olga.

Olga est dans le même état d’esprit, mais elle n’est pas en « période dangereuse ». Par contre, elle aussi, est amoureuse, alors que son jeune amant pourrait être son fils. En faisant l’amour avec lui, en profitant de ces quelques nuits, elle a l’impression de faire son « devoir conjugal ». Mais, plus que jamais, Olga aime Philippe qui lui permet tout ça, y compris d’être pour quelques nuits, une femme adultère. Et si Olga a laissé la baie vitrée ouverte, c’est parce qu’elle sait que Philippe est attentif à ses gémissements, qui se transforment en plaintes lancinantes, en cris, en hurlements de plaisir. Elle sait qu’au milieu de la nuit, alors que Frida, heureuse, dort profondément, Philippe s’est levé discrètement pour aller sur la terrasse et mieux entendre. Là il entend les « Oui », les « encore », les « plus fort », « mets la moi bien au fond ». Il entend aussi les paroles d’amour d’Olga pour son mâle quand elle lui dit qu’elle voudrait devenir l’une de ses femmes, qu’il lui fasse un enfant.

Au cours de la nuit, Olga n’a pas compté le nombre de saillies. Dès qu’elle comprend que le jeune homme retrouve toutes ses capacités, elle s’offre à nouveau. Les amants varient les positions, Olga préfère quand il la prend en levrette.

Au petit matin, Issa, épuisé, s’éclipse discrètement, soucieux de ne pas être surpris car il risquerait sa place. Il va passer la journée à son village pour récupérer des forces, car cette femme est une diablesse qui le tue de plaisir.

Alors, Philippe entre dans la suite ou règne une odeur de stupre. Olga, dénudée, dort profondément. A pas de loup, Philippe s’approche et se place entre les cuisses de son épouse. Le vagin de celle-ci déborde de la semence de son amant, qui n’a cessé de la remplir toute la nuit. Philippe reprend une pratique ancienne de leur couple. Il commence à nettoyer, de sa langue, la chatte de sa chérie. Ce n’est qu’au moment où ce cunnilingus provoque sa jouissance, qu’Olga se réveille :

Oh mon chéri, que c’est bon. J’ai toujours aimé que tu viennes me nettoyer après que je me sois fait remplir. Je t’aime !!!!!!

***

Quand arrive le moment de partir pour l’aéroport, tout finit par rentrer dans l’ordre.

Olga a balayé ses folies. Il n’est pas question de rester ici pour finir sa vie dans une case, comme l’une des femmes d’Issa. Et encore moins de le faire venir en France. Issa n’a été qu’un moment d’égarement dans un séjour torride. Olga sait qu’elle ne peut vivre avec un autre que Philippe, qui, non seulement tolère ses frasques, mais y trouve du plaisir. Ce séjour au Sénégal a été un moment de relâchement, il faut reprendre le cours de leur vie, familiale et sentimentale, dans laquelle les écarts ont forcément une place limitée.

Quant à Frida, après avoir donné un dernier baiser à Philippe, elle retient ses larmes. Dans quelques semaines, elle saura si ces courtes nuits que Philippe lui a concédées ont porté leurs fruits. Elle s’est déjà mise d’accord avec son Eddy. Si c’est le cas, elle ne dira rien à Philippe, qui ne se doute de rien. Ce sera l’enfant d’Eddy qui lui donne ainsi une nouvelle et immense preuve d’amour.

Et si les deux couples, avant de s’enregistrer chacun pour leur vol, se disent au revoir, ils savent qu’ils ne se reverront plus, pour éviter de rouvrir des cicatrices qui furent aussi des moments de plaisir exceptionnels.

Les avis des lecteurs

@ Didier, merci beaucoup.
En ce qui concerne la réponse à Luc, je confirme entièrement ton impression!

Histoire Erotique
Micky, Olga,
Sachez par avance, au regard de l'excellence de cette dernière saga et de l'ensemble vos écrits respectifs, que par cette annonce vous me voyez déjà très impatient de découvrir la teneur de ce futur récit.
Luc,
En effet, ce n’est qu’une fiction et fort heureusement, car aux vues de son autobiographie, je ne suis pas intimement persuadé que dans la réalité Olga aurait laissé Frida batifoler aussi facilement avec Son Philippe durant toutes ces nuits…
Didier

Ce sera avec plaisir, Micky!

Merci Olga et merci aux commentateurs. On verra avec Olga si un autre texte en commun peut voir le jour. Tout le plaisir était également pour moi.

Histoire Erotique
Un texte très chaud, torride même. Pour le reste, Olga a bien précisé que c'était une fiction. Et puis nous sommes sur un site de récits érotiques!
Luc

Ah Bien c’est merveilleux ! Philippe n’est pas au courant , ça le dégage de toutes responsabilités. Est-ce qu’il pourrait avoir une visite très réjouissante dans une vingtaine d’années? Qui sait? Peut-être!
Vos fantasmes ont décidé que les futures parents par décision sont reconnus pour être responsables et vous savez qu’ils rencontrent toujours leurs obligations adéquatement.
C’est l’enfant éventuel qui va vérifier si tout fonctionne comme prédit.
Moi sincèrement chère Olga, j’espère qu’elle ne soit pas enceinte. :)
Mais quel chance à prendre pour une jouissance de quelques secondes.

@ Jacques du Canada. Je confirme que, contrairement aux textes autobiographiques publiés sur ma page, ce récit est fantasmé, même s'il s'inspire d'expériences passées.
Concernant une éventuelle grossesse de Frida, il ne s'agit pas de père inconnu; il faut rappeler qu'Eddy s'est déclaré prêt à assumer la paternité, dans le cas où la Belge parviendrait à ce qu'elle désirait. Quant à Philippe, Frida et Eddy ne lui ont rien révélé.

Tout un récit et surtout tout un supposé fantasme.
Ce qui me surprend le plus est la légèreté de la prise de décision concernant la naissance éventuelle d’enfants.
Il me semble que mettre un enfant au monde demande un peu plus de sérieux et un peu plus de discernement.
J’en suis d’autant plus surpris surtout que les auteures ne manquent pas d’instruction et d’expérience pour bien évaluer les conséquences et les responsabilités de mettre un enfant au monde.
L’enfant ne demande pas de venir au monde. La totale responsabilité en revient aux parents.
Les répercussions que vivront les enfants de pères inconnus se vivront plus tard. Ça pourrait être très difficile pour les supposés parents comme pour les enfants.
Il me semble que cette partie du texte aurait pu être remplacée par un gang bang a 12 pendant les 3 jours suivants. Je suis certain que toutes les deux vous auriez apprécié, d’autant plus que Philippe n’a pas su faire sortir Olga de ses gonds en faisant hurler la belge assez fort.

Histoire Erotique
Olga, Micky,
Waouh, quel final.
Olga, a flashé sur son amant et obtient de Philippe qu’elle puisse passer librement et sans aucune contrainte les dernières nuits du séjour avec celui-ci.
Evidemment, Frida, abonde dans son sens afin de pouvoir elle aussi avoir dans la même période ce qu’elle rêve tant, Philippe.
Dans l’attente de ce moment les deux femmes, complices, s’offrent une séance de sexe avec trois jeunes étalons, sous l’œil de leurs maris.
Celle-ci est néanmoins entrecoupée d’un intermède échangiste entre les deux couples où Olga voit d’un mauvais œil Frida s’occuper de son Philippe. Cependant, celui-ci dominateur fiste la belge au lieu de la posséder. Ravie par cette attitude, Olga se débarrasse rapidement d’Eddy, un peu frustré, afin de se livrer seule à une pluralité interraciale dont elle a tant envie.
Désormais, cette fin de séjour se déroulent alors comme les deux femmes l’avaient souhaité, espéré, Olga avec son amant du moment et Frida, espérant secrètement un enfant de lui, avec Philippe.
Comme toutes les bonnes choses, ce séjour prend fin, les deux couples se quittant alors "bon amis"…
Merci, pour cet ultime chapitre, tout autant torride sinon plus que les deux précédents.
Didier

C'est l'occasion pour moi de redire le plaisir que j'ai eu à cet exercice d'écriture en commun avec Micky



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