Sahara (Karim & Nadia) - Amara, entre souvenirs et désirs inavoués

Récit érotique écrit par Karim_et_Nadia [→ Accès à sa fiche auteur]
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Sahara (Karim & Nadia) - Amara, entre souvenirs et désirs inavoués
Au Souk de Tamanrasset
Le soleil de midi écrasait le souk de Tamanrasset, l’air saturé d’odeurs d’épices, de cuir tanné, et de thé à la menthe. Nadia, dans une robe légère collant à sa peau moite, ses seins lourds frôlant le tissu, se faufilait entre les étals, son clitoris palpitant sous la chaleur.
Elle cherchait des dattes, du henné, et un souffle de liberté. Puis, elle le vit. Amara. Grand, peau cuivrée de Touareg, yeux noirs perçants, sourire en coin. Son premier amant, celui qui, deux ans plus tôt, l’avait fait hurler de plaisir sans honte. Il était là, devant un étal de tissus indigo, avec une femme voilée, son épouse, sans doute.
Nadia s’arrêta, le souffle coupé. Les souvenirs l’envahirent : ses mains calleuses sur ses seins, sa langue dans sa chatte, sa bite épaisse la défonçant jusqu’à l’extase.
Son cœur s’emballa. Elle l’appela, la voix tremblante : « Amara… »
Il se retourna, leurs regards se croisant comme une décharge électrique. « Nadia… » murmura-t-il, ses yeux brillants, un sourire carnassier. « Toi, ici ? »
La femme à ses côtés – mince, yeux sombres, visage partiellement voilé – le scruta avec méfiance. « Men d awa, Amara ? » demanda-t-elle en tamachek, la voix froide.
Nadia ne comprit pas les mots, mais le ton était clair. Elle sourit, malicieuse, et répondit en français, ses yeux sur Amara : « Une vieille amie. Très vieille amie. »
Amara éclata d’un rire grave, vibrant jusqu’au ventre de Nadia. La femme fronça les sourcils, mais Amara lui parla rapidement en tamachek. Elle hocha la tête, s’éloigna, laissant les anciens amants seuls, une tension palpable entre eux.
Entre souvenirs et désirs inavoués
— T’es marié, maintenant ? demanda Nadia.
— Oui, répondit Amara, un sourire en coin. Mais toi et moi, c’est autre chose, non ?
Nadia rit, un son bas et sensuel. Elle savait ce qu’il voulait. Elle le voulait aussi, à ses conditions. « Tu vis ici ? »
— Non. On voyage. Aïcha part chez sa famille demain… Son regard brûlant la déshabillait.
Elle se rapprocha, sa voix basse : « Et toi ? Tu restes ? »
— Si tu me permets de visiter tes grottes, ma belle, répondit-il, son souffle chaud sur son visage.
Nadia sentit une chaleur exploser entre ses jambes. Elle se souvenait de sa bite, de ses coups de reins, de ses cris d’extase. « Ce soir, murmura-t-elle. Chez moi. Sans elle. »
Amara hocha la tête, un sourire sadique. « Je serai là, Nadia. »
Elle griffonna son adresse sur un bout de papier, le glissa dans sa main, leurs doigts s’effleurant. Une promesse. Un feu.
Le feu qui reprend
Nadia rentra, son corps vibrant d’excitation. Karim était sorti. La maison était à elle. Elle alluma des bougies à la myrrhe, étala des coussins moelleux, sortit une bouteille de whisky et un plug anal en ivoire sculpté, orné de motifs touaregs. Elle se déshabilla, enfila une robe transparente en soie noire, ses tétons durs visibles, sa chatte luisante à peine cachée.
Quand la porte s’ouvrit, elle sentit sa présence, une chaleur brute, animale, envahissant la pièce.
Amara entra, son tagelmust entrouvert révélant ses yeux noirs et son sourire ravageur. « T’as pas changé, Nadia », dit-il, sa voix grave faisant vibrer l’air.
— Si, répondit-elle, se tournant, la soie caressant ses courbes. Je suis plus affamée.
Il la détailla, ses yeux s’attardant sur ses seins, ses cuisses, sa chatte à peine voilée. « T’es encore plus belle. »
Nadia sourit, s’approcha, passa une main sur son torse musclé sous son habit touareg. « Toi aussi, Amara. » Elle sentit sa queue durcir contre son ventre.
Il grogna, l’attira contre lui, l’embrassant violemment, sa langue envahissant sa bouche, goûtant le whisky et le désir. Nadia gémit, ses ongles griffant son dos, sa chatte trempée frottant contre sa cuisse.
— Tu te souviens ? murmura-t-il, ses lèvres sur son cou. J’étais le premier à visiter tes grottes après ton mari. C’est moi qui t’ai libérée, qui t’ai fait découvrir c’est quoi bruler.
Nadia frissonna, sa chatte palpitant à ses mots, son corps électrisé par leur vérité crue. — Ouais, Amara, haleta-t-elle. T’as fait de moi une chienne en chaleur. Défonce-moi, nique-moi, déchire-moi, démonte-moi plus fort qu’avant !
Amara, stupéfait, sentit sa queue tressaillir face à la transformation de Nadia, autrefois timide, désormais une femme déchaînée, prête à tout.
Il la plaqua contre le mur, ses mains pétrissant ses seins, pinçant ses tétons jusqu’à ce qu’elle crie. Il arracha sa robe, la laissant nue, offerte, tremblante. « T’es devenue une vraie salope », grogna-t-il, mordant son cou, descendant vers ses seins, stupéfait par son langage cru.
— Eclate-moi, Amara ! Pulvérise ma chatte ! hurla-t-elle.
Il s’agenouilla, sa langue traçant un chemin brûlant sur son ventre, puis entre ses cuisses. Il lécha son clitoris gonflé, aspirant ses replis humides, goûtant son nectar sucré. Nadia hurla,
— Bordel, Amara ! Explose-moi ! ses doigts dans ses cheveux, ses hanches se cambrant. Il enfonça trois doigts dans sa chatte, les faisant tourner, tandis que sa langue dansait sur son clito, la faisant trembler.
Il se releva, défit son tagelmust, libérant sa queue épaisse, veinée, luisante de pré-sperme. Nadia s’agenouilla, sa bouche l’engloutissant, sa langue léchant son gland, puis ses couilles lourdes, les aspirant avec frénésie, goûtant leur sel musqué. « Suce-moi, ma belle ! » grogna Amara, baisant sa gorge, ses mains dans ses cheveux. Nadia s’étouffa, ses yeux larmoyants, mais elle continua, sa langue dansant sur chaque veine, son désir insatiable.
Amara la souleva, la jeta sur les coussins, ses cuisses écartées. Il lubrifia le plug en ivoire, l’inséra dans son cul, le froid contrastant avec la chaleur de son anus. Nadia gémit, l’étirement amplifiant son désir. « Tu veux ma bite, ya kahba dyali (ma salope) ? » demanda-t-il, encore ébahi par son audace.
— Détruis-moi, Amara ! Eventre ma chatte, pulvérise mon cul ! cria-t-elle, ses mots crus le faisant bander plus fort.
Il la pénétra d’un coup par la chatte, sa queue s’enfonçant profondément, l’étirant violemment. « Nikni ! Brise-moi ! » hurla Nadia, ses parois palpitantes, son clitoris frottant contre son pubis. Il la pilonna, ses couilles claquant contre le plug, chaque coup envoyant des éclairs de plaisir. Nadia jouit, son orgasme explosant, ses jus inondant sa queue.
Il la retourna à quatre pattes, retira le plug, et enfonça sa bite dans son cul, sans ménagement. « Tarteq li tremti ! Eclate mon cul ! » cria-t-elle, son anus brûlant, la douleur se mêlant à un plaisir dévastateur.
Amara grogna, « T’es devenue une vraie pute déchaînée ! », ses doigts enfoncés dans ses hanches, marquant sa peau. Il la souleva, ses pieds vers le ciel, ses jambes sur ses épaules, et la sodomisa sauvagement, sa queue cognant profondément. Nadia hurla, « Kesserni ! Défonce-moi jusqu’au sang ! », ses seins rebondissants, son corps secoué. Il éjacula, son sperme chaud giclant dans son cul, débordant sur ses cuisses. Elle jouit encore, son orgasme la brisant, ses cris résonnant dans la maison.
Ils s’effondrèrent sur les coussins, en sueur, essoufflés. Amara caressa ses hanches marquées. « Ta femme… » murmura Nadia.
— Elle ne saura rien, répondit-il, l’embrassant. Et Karim ?
— Il m’aime comme ça, sourit-elle, fière de son pouvoir.
Amara rit, encore stupéfait par son langage vulgaire. « A demain, ma belle ? »
— Demain, et tous les jours où t’es là, répondit-elle, l’embrassant, sa langue dansant avec la sienne.
Dehors, le désert s’étendait, indifférent. Mais dans la maison de terre rouge, le feu de Nadia brûlait, inextinguible.
Le couple sous le toit de Nadia
Trois jours après le souk, Nadia préparait un tajine d’agneau, l’odeur épicée emplissant la maison. On frappa à la porte. Amara se tenait là, avec Aïcha, sa femme légitime, vêtue d’une robe indigo touarègue, ses yeux noirs scrutant Nadia avec une curiosité mêlée de méfiance.
— Salam alaykoum, dit Amara, un sourire en coin. On reste à Tamanrasset. Aïcha voulait te rencontrer.
Nadia sentit son cœur s’emballer. Un défi. Un jeu dangereux. « Entrez », dit-elle, un sourire provocant.
Aïcha balaya la maison du regard, froide, calculatrice. Elle savait. Elle sentait le désir entre Nadia et Amara. « Belle maison », dit-elle, sa voix douce mais tranchante. « Tu vis seule ? »
— Non, répondit Nadia, versant du thé à la menthe. Mon mari revient bientôt.
Aïcha hocha la tête, un sourire énigmatique. « Il est comment, ton mari ? »
— Libre, répondit Nadia, soutenant son regard. Comme moi.
Amara rit, brisant la tension. « Aïcha aime les défis », dit-il en tamachek, puis en français pour Nadia. « Elle sait que t’es… spéciale. »
— Spéciale comment ? demanda Nadia, un sourcil levé.
— Libre, répondit Aïcha, un sourire en coin. Comme moi.
Nadia comprit. Aïcha la voyait comme un jouet sexuel de Amara. Et ce qui appartient à Amara, lui appartient à elle. Mais Nadia n’était pas là pour obéir. Elle voulait son plaisir, à tout prix.
Le dîner des sous-entendus
Le tajine fumait, l’atmosphère électrique. Aïcha parlait peu, ses yeux dévorant Nadia. Amara, amusé, bandait déjà sous son habit.
— Tu cuisines bien, dit Aïcha, goûtant le tajine. Ton mari a de la chance.
— Il n’est pas le seul à en profiter, répondit Nadia, un sourire malicieux.
Aïcha rit, provocante. « Je vois. »
Nadia sortit une bouteille de whisky. « Du vin ? »
— Pourquoi pas ? répondit Aïcha, ses yeux brillants. On est entre adultes.
Leurs doigts s’effleurèrent en prenant les verres. Une étincelle. « A la liberté », trinqua Nadia.
— A la liberté, répéta Aïcha, un sourire carnassier.
Amara les observait, prêt à jouer.
Un jeu à trois
La nuit tombait, Karim toujours absent. Le whisky déliait les langues, embrasait les corps. Aïcha, joues roses, fixa Nadia. « C’est vrai ce qu’on dit sur toi ? »
— Ça dépend, rit Nadia. Qu’est-ce qu’on dit ?
— Que t’es une poupée qui aime les jeux dangereux, répondit Aïcha, sa main frôlant la cuisse de Nadia.
— Et toi ? contre-attaque Nadia.
— Moi, j’aime gagner, répondit Aïcha, se rapprochant. Et j’aime partager les jouets de mon époux.
Nadia rit, excitée. Elle n’était pas un jouet, mais elle jouerait pour son plaisir.
— Et si on jouait ? A qui me fait hurler, me démonte, me pulvérise le plus fort ?
Aïcha l’embrassa, sa langue envahissant sa bouche.
Amara grogna, « Alors, on joue ? » demanda-t-il, rauque.
Nadia et Aïcha hochèrent la tête. Oui.
Aïcha s’agenouilla devant Amara, sa main caressant sa queue épaisse, luisante. Nadia la rejoignit, leurs langues se mêlant sur son gland, léchant ses veines, ses couilles lourdes. Amara grogna, « Hakdak ya lekhab dyawli (C’est comme ça, mes salopes) ! », ses doigts dans leurs cheveux, baisant leurs bouches. Nadia suça avidement, sa langue dansant sur ses couilles, goûtant leur sel musqué, tandis qu’Aïcha avalait sa queue jusqu’à la gorge, s’étouffant.
— Putain, vous êtes parfaites, grogna Amara.
Nadia embrassa Aïcha, leurs langues partageaient le goût de sa bite. Aïcha gémit, ses doigts glissant dans la chatte trempée de Nadia. « Baise-moi, ordonna Aïcha à Amara.
Il la plaqua sur les coussins, écartant ses cuisses, et la pénétra d’un coup, sa queue s’enfonçant dans sa chatte. Aïcha hurla, « Nik el kahba dyalek (baise ta pute) ! », ses ongles labourant ses épaules. Nadia s’agenouilla derrière, léchant son anus, glissant un doigt, puis deux, dans son cul serré. Aïcha cria, « Oh, bordel ! Déchire-moi ! », ses yeux roulant d’extase.
Amara se retira, épuisé, s’allongeant sur les coussins. Aïcha, tremblante, se tourna vers Nadia. « A toi, ma poupée », dit-elle, un sourire sadique.
Nadia s’allongea sur Aïcha, leurs seins se frôlant, et lécha sa chatte, sa langue plongeant dans ses replis humides, goûtant son nectar. Aïcha hurla, « Lèche-moi, ya el kahba ! », ses doigts dans les cheveux de Nadia. Amara, sa queue dure à nouveau, pénétra Aïcha par le cul, ses coups brutaux faisant vibrer son corps. Nadia continua de lécher, son clitoris palpitant.
— A mon tour, grogna Nadia, se redressant. Défonce-moi, Amara ! Eventre ma chatte !
Amara, encore stupéfait par son langage, se retira d’Aïcha, la pénétra d’un coup par la chatte, sa queue l’étirant violemment. Nadia hurla, « Kesserni ! Explose-moi ! », ses ongles griffant les coussins. Aïcha s’approcha, léchant ses seins, mordant ses tétons, ses doigts dans son cul. Nadia jouit, son orgasme déchirant, ses jus coulant sur la queue d’Amara. Il éjacula dans sa chatte, son sperme chaud débordant, tandis qu’Aïcha léchait le mélange sur ses cuisses.
Nadia, insatiable, attacha Aïcha avec des cordes de soie, ses jambes écartées, exposant sa chatte et son cul. Elle lubrifia le plug en ivoire, l’insérant dans l’anus d’Aïcha, qui gémit. Amara pénétra sa chatte, ses coups brutaux faisant vibrer le plug. Nadia chevaucha le visage d’Aïcha, frottant sa chatte trempée contre sa bouche. Aïcha lécha avidement, sa langue plongeant dans ses replis.
Amara, excité, souleva Nadia, la plaçant à quatre pattes. Il enfonça sa queue dans son cul, sans ménagement, tandis qu’Aïcha, libérée, léchait sa chatte en dessous, ses doigts pinçant son clitoris. Nadia hurla, « Nikni akter ! Détruis-moi, pulvérise-moi ! », son corps secoué par la double sensation. Amara éjacula dans son cul, son sperme débordant, tandis qu’Aïcha avalait ses jus, leurs cris se mêlant dans la nuit.
A l’aube, ils s’effondrèrent sur les coussins, en sueur, leurs corps marqués de griffures et de morsures. Aïcha caressa les seins de Nadia. « On recommence demain ? »
— Oui, répondit Nadia, un sourire triomphant. Mais je ne suis pas ton jouet. Je prends mon plaisir, c’est tout.
Amara rit, encore ébahi par ses mots crus et sa franchise d’effrontée.
Aïcha sourit, ses yeux sur Nadia. « On est bien ensemble, non ? »
— Parfaits, répondit Nadia.
Dehors, le désert s’étendait, indifférent. Mais dans la maison de terre rouge, une triade était née, sans limites, sans tabous, unie par un désir insatiable.
Le soleil de midi écrasait le souk de Tamanrasset, l’air saturé d’odeurs d’épices, de cuir tanné, et de thé à la menthe. Nadia, dans une robe légère collant à sa peau moite, ses seins lourds frôlant le tissu, se faufilait entre les étals, son clitoris palpitant sous la chaleur.
Elle cherchait des dattes, du henné, et un souffle de liberté. Puis, elle le vit. Amara. Grand, peau cuivrée de Touareg, yeux noirs perçants, sourire en coin. Son premier amant, celui qui, deux ans plus tôt, l’avait fait hurler de plaisir sans honte. Il était là, devant un étal de tissus indigo, avec une femme voilée, son épouse, sans doute.
Nadia s’arrêta, le souffle coupé. Les souvenirs l’envahirent : ses mains calleuses sur ses seins, sa langue dans sa chatte, sa bite épaisse la défonçant jusqu’à l’extase.
Son cœur s’emballa. Elle l’appela, la voix tremblante : « Amara… »
Il se retourna, leurs regards se croisant comme une décharge électrique. « Nadia… » murmura-t-il, ses yeux brillants, un sourire carnassier. « Toi, ici ? »
La femme à ses côtés – mince, yeux sombres, visage partiellement voilé – le scruta avec méfiance. « Men d awa, Amara ? » demanda-t-elle en tamachek, la voix froide.
Nadia ne comprit pas les mots, mais le ton était clair. Elle sourit, malicieuse, et répondit en français, ses yeux sur Amara : « Une vieille amie. Très vieille amie. »
Amara éclata d’un rire grave, vibrant jusqu’au ventre de Nadia. La femme fronça les sourcils, mais Amara lui parla rapidement en tamachek. Elle hocha la tête, s’éloigna, laissant les anciens amants seuls, une tension palpable entre eux.
Entre souvenirs et désirs inavoués
— T’es marié, maintenant ? demanda Nadia.
— Oui, répondit Amara, un sourire en coin. Mais toi et moi, c’est autre chose, non ?
Nadia rit, un son bas et sensuel. Elle savait ce qu’il voulait. Elle le voulait aussi, à ses conditions. « Tu vis ici ? »
— Non. On voyage. Aïcha part chez sa famille demain… Son regard brûlant la déshabillait.
Elle se rapprocha, sa voix basse : « Et toi ? Tu restes ? »
— Si tu me permets de visiter tes grottes, ma belle, répondit-il, son souffle chaud sur son visage.
Nadia sentit une chaleur exploser entre ses jambes. Elle se souvenait de sa bite, de ses coups de reins, de ses cris d’extase. « Ce soir, murmura-t-elle. Chez moi. Sans elle. »
Amara hocha la tête, un sourire sadique. « Je serai là, Nadia. »
Elle griffonna son adresse sur un bout de papier, le glissa dans sa main, leurs doigts s’effleurant. Une promesse. Un feu.
Le feu qui reprend
Nadia rentra, son corps vibrant d’excitation. Karim était sorti. La maison était à elle. Elle alluma des bougies à la myrrhe, étala des coussins moelleux, sortit une bouteille de whisky et un plug anal en ivoire sculpté, orné de motifs touaregs. Elle se déshabilla, enfila une robe transparente en soie noire, ses tétons durs visibles, sa chatte luisante à peine cachée.
Quand la porte s’ouvrit, elle sentit sa présence, une chaleur brute, animale, envahissant la pièce.
Amara entra, son tagelmust entrouvert révélant ses yeux noirs et son sourire ravageur. « T’as pas changé, Nadia », dit-il, sa voix grave faisant vibrer l’air.
— Si, répondit-elle, se tournant, la soie caressant ses courbes. Je suis plus affamée.
Il la détailla, ses yeux s’attardant sur ses seins, ses cuisses, sa chatte à peine voilée. « T’es encore plus belle. »
Nadia sourit, s’approcha, passa une main sur son torse musclé sous son habit touareg. « Toi aussi, Amara. » Elle sentit sa queue durcir contre son ventre.
Il grogna, l’attira contre lui, l’embrassant violemment, sa langue envahissant sa bouche, goûtant le whisky et le désir. Nadia gémit, ses ongles griffant son dos, sa chatte trempée frottant contre sa cuisse.
— Tu te souviens ? murmura-t-il, ses lèvres sur son cou. J’étais le premier à visiter tes grottes après ton mari. C’est moi qui t’ai libérée, qui t’ai fait découvrir c’est quoi bruler.
Nadia frissonna, sa chatte palpitant à ses mots, son corps électrisé par leur vérité crue. — Ouais, Amara, haleta-t-elle. T’as fait de moi une chienne en chaleur. Défonce-moi, nique-moi, déchire-moi, démonte-moi plus fort qu’avant !
Amara, stupéfait, sentit sa queue tressaillir face à la transformation de Nadia, autrefois timide, désormais une femme déchaînée, prête à tout.
Il la plaqua contre le mur, ses mains pétrissant ses seins, pinçant ses tétons jusqu’à ce qu’elle crie. Il arracha sa robe, la laissant nue, offerte, tremblante. « T’es devenue une vraie salope », grogna-t-il, mordant son cou, descendant vers ses seins, stupéfait par son langage cru.
— Eclate-moi, Amara ! Pulvérise ma chatte ! hurla-t-elle.
Il s’agenouilla, sa langue traçant un chemin brûlant sur son ventre, puis entre ses cuisses. Il lécha son clitoris gonflé, aspirant ses replis humides, goûtant son nectar sucré. Nadia hurla,
— Bordel, Amara ! Explose-moi ! ses doigts dans ses cheveux, ses hanches se cambrant. Il enfonça trois doigts dans sa chatte, les faisant tourner, tandis que sa langue dansait sur son clito, la faisant trembler.
Il se releva, défit son tagelmust, libérant sa queue épaisse, veinée, luisante de pré-sperme. Nadia s’agenouilla, sa bouche l’engloutissant, sa langue léchant son gland, puis ses couilles lourdes, les aspirant avec frénésie, goûtant leur sel musqué. « Suce-moi, ma belle ! » grogna Amara, baisant sa gorge, ses mains dans ses cheveux. Nadia s’étouffa, ses yeux larmoyants, mais elle continua, sa langue dansant sur chaque veine, son désir insatiable.
Amara la souleva, la jeta sur les coussins, ses cuisses écartées. Il lubrifia le plug en ivoire, l’inséra dans son cul, le froid contrastant avec la chaleur de son anus. Nadia gémit, l’étirement amplifiant son désir. « Tu veux ma bite, ya kahba dyali (ma salope) ? » demanda-t-il, encore ébahi par son audace.
— Détruis-moi, Amara ! Eventre ma chatte, pulvérise mon cul ! cria-t-elle, ses mots crus le faisant bander plus fort.
Il la pénétra d’un coup par la chatte, sa queue s’enfonçant profondément, l’étirant violemment. « Nikni ! Brise-moi ! » hurla Nadia, ses parois palpitantes, son clitoris frottant contre son pubis. Il la pilonna, ses couilles claquant contre le plug, chaque coup envoyant des éclairs de plaisir. Nadia jouit, son orgasme explosant, ses jus inondant sa queue.
Il la retourna à quatre pattes, retira le plug, et enfonça sa bite dans son cul, sans ménagement. « Tarteq li tremti ! Eclate mon cul ! » cria-t-elle, son anus brûlant, la douleur se mêlant à un plaisir dévastateur.
Amara grogna, « T’es devenue une vraie pute déchaînée ! », ses doigts enfoncés dans ses hanches, marquant sa peau. Il la souleva, ses pieds vers le ciel, ses jambes sur ses épaules, et la sodomisa sauvagement, sa queue cognant profondément. Nadia hurla, « Kesserni ! Défonce-moi jusqu’au sang ! », ses seins rebondissants, son corps secoué. Il éjacula, son sperme chaud giclant dans son cul, débordant sur ses cuisses. Elle jouit encore, son orgasme la brisant, ses cris résonnant dans la maison.
Ils s’effondrèrent sur les coussins, en sueur, essoufflés. Amara caressa ses hanches marquées. « Ta femme… » murmura Nadia.
— Elle ne saura rien, répondit-il, l’embrassant. Et Karim ?
— Il m’aime comme ça, sourit-elle, fière de son pouvoir.
Amara rit, encore stupéfait par son langage vulgaire. « A demain, ma belle ? »
— Demain, et tous les jours où t’es là, répondit-elle, l’embrassant, sa langue dansant avec la sienne.
Dehors, le désert s’étendait, indifférent. Mais dans la maison de terre rouge, le feu de Nadia brûlait, inextinguible.
Le couple sous le toit de Nadia
Trois jours après le souk, Nadia préparait un tajine d’agneau, l’odeur épicée emplissant la maison. On frappa à la porte. Amara se tenait là, avec Aïcha, sa femme légitime, vêtue d’une robe indigo touarègue, ses yeux noirs scrutant Nadia avec une curiosité mêlée de méfiance.
— Salam alaykoum, dit Amara, un sourire en coin. On reste à Tamanrasset. Aïcha voulait te rencontrer.
Nadia sentit son cœur s’emballer. Un défi. Un jeu dangereux. « Entrez », dit-elle, un sourire provocant.
Aïcha balaya la maison du regard, froide, calculatrice. Elle savait. Elle sentait le désir entre Nadia et Amara. « Belle maison », dit-elle, sa voix douce mais tranchante. « Tu vis seule ? »
— Non, répondit Nadia, versant du thé à la menthe. Mon mari revient bientôt.
Aïcha hocha la tête, un sourire énigmatique. « Il est comment, ton mari ? »
— Libre, répondit Nadia, soutenant son regard. Comme moi.
Amara rit, brisant la tension. « Aïcha aime les défis », dit-il en tamachek, puis en français pour Nadia. « Elle sait que t’es… spéciale. »
— Spéciale comment ? demanda Nadia, un sourcil levé.
— Libre, répondit Aïcha, un sourire en coin. Comme moi.
Nadia comprit. Aïcha la voyait comme un jouet sexuel de Amara. Et ce qui appartient à Amara, lui appartient à elle. Mais Nadia n’était pas là pour obéir. Elle voulait son plaisir, à tout prix.
Le dîner des sous-entendus
Le tajine fumait, l’atmosphère électrique. Aïcha parlait peu, ses yeux dévorant Nadia. Amara, amusé, bandait déjà sous son habit.
— Tu cuisines bien, dit Aïcha, goûtant le tajine. Ton mari a de la chance.
— Il n’est pas le seul à en profiter, répondit Nadia, un sourire malicieux.
Aïcha rit, provocante. « Je vois. »
Nadia sortit une bouteille de whisky. « Du vin ? »
— Pourquoi pas ? répondit Aïcha, ses yeux brillants. On est entre adultes.
Leurs doigts s’effleurèrent en prenant les verres. Une étincelle. « A la liberté », trinqua Nadia.
— A la liberté, répéta Aïcha, un sourire carnassier.
Amara les observait, prêt à jouer.
Un jeu à trois
La nuit tombait, Karim toujours absent. Le whisky déliait les langues, embrasait les corps. Aïcha, joues roses, fixa Nadia. « C’est vrai ce qu’on dit sur toi ? »
— Ça dépend, rit Nadia. Qu’est-ce qu’on dit ?
— Que t’es une poupée qui aime les jeux dangereux, répondit Aïcha, sa main frôlant la cuisse de Nadia.
— Et toi ? contre-attaque Nadia.
— Moi, j’aime gagner, répondit Aïcha, se rapprochant. Et j’aime partager les jouets de mon époux.
Nadia rit, excitée. Elle n’était pas un jouet, mais elle jouerait pour son plaisir.
— Et si on jouait ? A qui me fait hurler, me démonte, me pulvérise le plus fort ?
Aïcha l’embrassa, sa langue envahissant sa bouche.
Amara grogna, « Alors, on joue ? » demanda-t-il, rauque.
Nadia et Aïcha hochèrent la tête. Oui.
Aïcha s’agenouilla devant Amara, sa main caressant sa queue épaisse, luisante. Nadia la rejoignit, leurs langues se mêlant sur son gland, léchant ses veines, ses couilles lourdes. Amara grogna, « Hakdak ya lekhab dyawli (C’est comme ça, mes salopes) ! », ses doigts dans leurs cheveux, baisant leurs bouches. Nadia suça avidement, sa langue dansant sur ses couilles, goûtant leur sel musqué, tandis qu’Aïcha avalait sa queue jusqu’à la gorge, s’étouffant.
— Putain, vous êtes parfaites, grogna Amara.
Nadia embrassa Aïcha, leurs langues partageaient le goût de sa bite. Aïcha gémit, ses doigts glissant dans la chatte trempée de Nadia. « Baise-moi, ordonna Aïcha à Amara.
Il la plaqua sur les coussins, écartant ses cuisses, et la pénétra d’un coup, sa queue s’enfonçant dans sa chatte. Aïcha hurla, « Nik el kahba dyalek (baise ta pute) ! », ses ongles labourant ses épaules. Nadia s’agenouilla derrière, léchant son anus, glissant un doigt, puis deux, dans son cul serré. Aïcha cria, « Oh, bordel ! Déchire-moi ! », ses yeux roulant d’extase.
Amara se retira, épuisé, s’allongeant sur les coussins. Aïcha, tremblante, se tourna vers Nadia. « A toi, ma poupée », dit-elle, un sourire sadique.
Nadia s’allongea sur Aïcha, leurs seins se frôlant, et lécha sa chatte, sa langue plongeant dans ses replis humides, goûtant son nectar. Aïcha hurla, « Lèche-moi, ya el kahba ! », ses doigts dans les cheveux de Nadia. Amara, sa queue dure à nouveau, pénétra Aïcha par le cul, ses coups brutaux faisant vibrer son corps. Nadia continua de lécher, son clitoris palpitant.
— A mon tour, grogna Nadia, se redressant. Défonce-moi, Amara ! Eventre ma chatte !
Amara, encore stupéfait par son langage, se retira d’Aïcha, la pénétra d’un coup par la chatte, sa queue l’étirant violemment. Nadia hurla, « Kesserni ! Explose-moi ! », ses ongles griffant les coussins. Aïcha s’approcha, léchant ses seins, mordant ses tétons, ses doigts dans son cul. Nadia jouit, son orgasme déchirant, ses jus coulant sur la queue d’Amara. Il éjacula dans sa chatte, son sperme chaud débordant, tandis qu’Aïcha léchait le mélange sur ses cuisses.
Nadia, insatiable, attacha Aïcha avec des cordes de soie, ses jambes écartées, exposant sa chatte et son cul. Elle lubrifia le plug en ivoire, l’insérant dans l’anus d’Aïcha, qui gémit. Amara pénétra sa chatte, ses coups brutaux faisant vibrer le plug. Nadia chevaucha le visage d’Aïcha, frottant sa chatte trempée contre sa bouche. Aïcha lécha avidement, sa langue plongeant dans ses replis.
Amara, excité, souleva Nadia, la plaçant à quatre pattes. Il enfonça sa queue dans son cul, sans ménagement, tandis qu’Aïcha, libérée, léchait sa chatte en dessous, ses doigts pinçant son clitoris. Nadia hurla, « Nikni akter ! Détruis-moi, pulvérise-moi ! », son corps secoué par la double sensation. Amara éjacula dans son cul, son sperme débordant, tandis qu’Aïcha avalait ses jus, leurs cris se mêlant dans la nuit.
A l’aube, ils s’effondrèrent sur les coussins, en sueur, leurs corps marqués de griffures et de morsures. Aïcha caressa les seins de Nadia. « On recommence demain ? »
— Oui, répondit Nadia, un sourire triomphant. Mais je ne suis pas ton jouet. Je prends mon plaisir, c’est tout.
Amara rit, encore ébahi par ses mots crus et sa franchise d’effrontée.
Aïcha sourit, ses yeux sur Nadia. « On est bien ensemble, non ? »
— Parfaits, répondit Nadia.
Dehors, le désert s’étendait, indifférent. Mais dans la maison de terre rouge, une triade était née, sans limites, sans tabous, unie par un désir insatiable.
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