Sahara (Karim & Nadia) - Chapitre 12bis L’attachement dangereux de Rachid

Récit érotique écrit par Karim_et_Nadia [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Sahara (Karim & Nadia) - Chapitre 12bis L’attachement dangereux de Rachid
Scène réécrite : "L’Aveu" (À insérer après le chapitre 12, avant la catastrophe du chapitre 13)
Contexte : Nadia et Rachid viennent de passer une nuit particulièrement intense (avec jeux de domination, éjaculations multiples, et une complicité grandissante). Rachid, épris, lui propose de la présenter à ses enfants lors d’un week-end à la mer. Nadia, touchée mais lucide, doit lui avouer la vérité.
Version explicite, émotionnelle et érotique enrichie (avec plus d'érotisme hard cru, dialogues crus, descriptions détaillées des actes charnels, sensations avant, pendant et après les coïts, sentiments et autres détails)
Le lendemain matin, dans l’appartement de Rachid. La lumière du soleil filtre à travers les volets mi-clos, projetant des bandes dorées sur leurs corps nus, encore luisants de sueur séchée, de sperme collant et de jus intimes. Nadia est allongée sur le ventre, les draps froissés et à moitié arrachés du matelas, révélant les marques rouges et violacées des doigts de Rachid sur ses hanches larges, ses fesses encore sensibles et gonflées des fessées qu’il lui a administrées la nuit précédente. Son cul porte les empreintes de ses paumes, et entre ses cuisses, une croûte de sperme séché colle à sa peau, rappel de ses multiples éjaculations en elle – d’abord dans sa chatte ruisselante, puis sur son visage et enfin dans son cul serré après qu’il l’ait dilaté avec ses doigts lubrifiés. Elle sent encore la brûlure intérieure, ce mélange de douleur et de plaisir lancinant qui la fait mouiller rien qu’en y pensant, son clitoris palpitant contre le matelas. Rachid, assis au bord du lit, nu et musclé, son sexe flasque mais encore épais reposant contre sa cuisse, lui caresse le dos d’une main possessive, traçant les courbes de sa colonne vertébrale jusqu’à ses reins, là où il l’a cambrée violemment pendant qu’il la pilonnait en levrette, ses couilles claquant contre son clito à chaque coup de reins brutal.
L’atmosphère est lourde, presque solennelle, imprégnée de l’odeur musquée de leurs corps – sueur, sperme, et ce parfum âcre de chatte excitée qui colle à l’air. Nadia sent son cœur battre plus fort, un mélange de satisfaction post-orgasmique et d’angoisse montante, car elle sait que la nuit dernière a été trop intense : elle a joui cinq fois, hurlant son nom pendant qu’il la dominait, la forçant à supplier pour chaque pénétration, chaque giclée de sperme brûlant. Ses tétons sont encore durs et sensibles, frottés crus par ses morsures, et son ventre palpite du souvenir de sa bite épaisse la remplissant jusqu’à la limite, la faisant se sentir pleine, possédée, vivante.
— Tu sais, j’ai réservé une maison à Sidi Fredj pour ce week-end, dit-il enfin, sa voix rauque et encore chargée du grognement animal qu’il avait pendant qu’il la baisait. Mes enfants seront là. J’aimerais que tu les rencontres. Imagine : toi, moi, la mer, et peut-être une petite baise discrète sur la plage pendant qu’ils dorment. Je te prendrais par-derrière, tes seins dans le sable, ma bite en toi jusqu’à ce que tu hurles mon nom dans le vent.
Nadia se fige, son corps se raidissant sous sa caresse. Son cœur se serre comme un poing, mais elle ne dit rien tout de suite. Elle sent une vague de culpabilité la submerger, mêlée à un désir résiduel – son sexe se contracte involontairement, se rappelant comment il l’a fait squirter la veille, ses doigts en crochet dans sa chatte pendant qu’il lui léchait le cul, la langue enfoncée profondément, la faisant trembler de honte et d’extase.
— Rachid…
— Non, écoute-moi. Il se penche, embrasse son épaule, là où il l’a mordue la veille au point de laisser une marque violette, sa langue traçant la morsure comme pour raviver la douleur exquise. Je ne te demande pas de m’épouser. Juste… de voir si on peut construire quelque chose. Toi et moi. Sans pression. Je te baiserais tous les jours comme hier : attachée, suppliante, couverte de mon sperme. Tu adores ça, avoue-le.
Elle se redresse lentement, ramène les draps contre sa poitrine comme un bouclier fragile, couvrant ses seins lourds et marqués, ses tétons pointant encore sous le tissu. Ses yeux évitent les siens, fixant plutôt les préservatifs usagés jonchant le sol, remplis de son sperme épais, et les traces de son jus à elle sur les draps – preuve de leurs orgasmes multiples, de la façon dont elle a inondé sa bouche quand il l’a léchée jusqu’à l’épuisement.
— Je ne peux pas.
— Pourquoi ? Sa main se crispe sur son genou, ses doigts s’enfonçant dans sa chair comme pendant leurs ébats, quand il la tenait pour la pénétrer plus profondément. Tu as peur ? Je ne te ferai pas de mal, Nadia. Je te le promets. Au contraire, je te ferai jouir comme jamais – imagine mes gosses endormis, et toi à quatre pattes sur le balcon, ma queue dans ton cul, mes doigts dans ta chatte dégoulinante.
Elle inspire profondément, puis se tourne vers lui. Ses lèvres sont encore gonflées et rougies par ses baisers voraces, ses cheveux en désordre collés par la sueur. Elle a l’air vulnérable, presque fragile, mais son corps trahit son excitation résiduelle : une goutte de mouille perle entre ses cuisses, rappel de la nuit où il l’a faite crier en la fistant doucement, puis en la baisant avec une vigueur qui l’a laissée pantelante, le ventre contracté autour de sa hampe veineuse.
— Ce n’est pas ça.
— Alors c’est quoi ? Il y a une pointe d’agacement dans sa voix, mais aussi de l’inquiétude. Tu me dis depuis des semaines que tu es libre, que tu veux la même chose que moi… que tu rêves de ma bite en toi, de mon sperme sur ta langue.
— Je t’ai menti.
Un silence pesant s’installe. Rachid recule légèrement, comme si elle l’avait giflé, son sexe se raidissant malgré lui à la tension érotique de l’instant.
— Je suis mariée.
Les mots tombent comme des pierres dans l’air chargé de leur odeur intime. Rachid la regarde, incrédule, puis éclate de rire, nerveux, sa main descendant involontairement vers sa bite qui durcit.
— C’est une blague ? Tu me dis ça après m’avoir sucé jusqu’à la dernière goutte hier soir, après m’avoir supplié de te remplir le cul de mon sperme ?
— Non.
— Tu portes une alliance ? Il attrape sa main gauche, examine ses doigts nus, frottant l’endroit où devrait être la marque. Rien. Pas de trace, pas de marque… comme si tu étais faite pour être baisée par n’importe qui.
— Je l’enlève quand je suis avec toi. Ou avec les autres.
Les autres. Les mots résonnent entre eux comme un écho cru. Rachid pâlit, puis se lève d’un bond, nu, son sexe maintenant à moitié dur, gonflé par la colère et un désir pervers, la pointe luisante d’une perle de pré-sperme.
— Putain, Nadia… Tu te fous de moi ? Tu me laisses te défoncer comme une chienne, te couvrir de mon jus, et tu appartiens à un autre ?
— Non. Elle se lève à son tour, se place face à lui, sans honte, ses seins se soulevant au rythme de sa respiration accélérée, son sexe encore humide visible entre ses cuisses écartées. Je ne t’ai jamais menti sur ce que je ressentais. Juste sur ma situation. Avec toi, c’était réel – tes couilles claquant contre mon clito, ta langue dans mon trou du cul, tes doigts me faisant squirter comme une fontaine.
— Tu es une femme mariée, et tu couches avec moi depuis des mois ? Sa voix monte, tremblante de rage. Tu me laisses te baiser, te sucer, te marquer avec mes dents et mon sperme, et tu es à un autre ? Tu jouissais en hurlant mon nom pendant que je te pilonnais, tes ongles dans mon dos, ta chatte serrée autour de ma queue comme un étau !
Il la gifle. Pas fort, mais assez pour qu’elle sente la brûlure cuisante sur sa joue, une chaleur qui descend jusqu’à son entrejambe, la faisant mouiller davantage malgré la douleur émotionnelle. Elle ne bronche pas, ses yeux brillants de larmes et de désir refoulé.
— Tu es malade, putain. Une vraie salope qui écarte les cuisses pour n’importe qui.
— Peut-être. Elle touche sa joue, là où ses doigts ont laissé une empreinte rouge, sentant la peau picoter comme ses tétons après ses pincements. Mais je ne t’ai jamais promis quoi que ce soit. Je t’ai dit dès le début que je ne voulais pas d’attachement. Juste du sexe brut, tes mains sur mes seins, ta bite me déchirant jusqu’à ce que je pleure de plaisir.
— Alors pourquoi tu revenais ? Pourquoi tu m’as laissé tomber amoureux de toi ? Pourquoi hier soir, tu m’as laissé te ligoter, te fouetter le cul avec ma ceinture jusqu’à ce qu’il soit rouge, puis te baiser dans tous les trous jusqu’à ce que tu supplies pour plus de sperme ?
— Parce que j’avais besoin de ça. Elle désigne le lit défait, les préservatifs usagés par terre, les traces de sperme séché sur ses cuisses intérieures, collantes et odorantes. J’avais besoin de me sentir vivante. Désirable. Libre. Mon mari… Elle hésite, sentant une larme couler, mais son corps réagit : ses tétons durcissent, son clitoris gonfle. Il sait. Il est au courant. Il m’encourage même – il bande en m’écoutant décrire comment tu me fais jouir, comment ton sperme coule de ma chatte après que tu m’as remplie.
Rachid la regarde comme si elle avait perdu la tête, son sexe maintenant complètement dur, dressé entre eux comme une accusation érotique.
— Il te laisse coucher avec d’autres hommes ? Te faire défoncer par des bites étrangères, avaler leur jus, te faire enculer jusqu’à l’orgasme ?
— C’est compliqué. Mais oui. Il adore ça. Ça le fait bander dur, comme toi en ce moment.
— C’est dégueulasse ! Il attrape ses vêtements épars, les enfile avec des gestes brusques, sa bite tendue déformant son pantalon. Tu joues avec moi, avec lui, avec tes amants… Tu es quoi, une putain professionnelle ? Une nympho qui collectionne les queues ?
— Non. Sa voix est ferme, mais ses yeux descendent vers son érection visible. Je suis une femme qui refuse de mourir à petit feu dans un mariage sans désir. Karim et moi, on a un accord. Pas d’attachement, pas de mensonges entre nous. Juste… du sexe ailleurs pour garder notre couple vivant. Avec toi, c’était plus : tes grognements pendant que tu me doigtais le cul, tes jets de sperme sur mes seins que je léchais ensuite, langue sortie comme une chienne assoiffée.
Rachid la fixe, les yeux brillants de colère et de quelque chose qui ressemble à de la pitié, mais aussi d’un désir furieux – sa bite palpite sous le tissu, pré-sperme tachant son boxer.
— Et moi, dans tout ça ? Je suis quoi ? Un jouet ? Un passe-temps ? Un étalon pour te faire jouir quand ton mari ne bande plus assez fort ?
— Tu as été bien plus que ça. Elle s’approche, pose une main sur son torse, sentant son cœur battre vite sous sa peau. Il recule, mais pas assez vite ; elle sent la chaleur de son corps. Tu m’as appris à brûler, Rachid. Vraiment brûler. Pas comme avec les autres. Tes doigts en moi, tournant, me faisant gicler sur ton visage pendant que tu me traitais de salope affamée. Mais je ne peux pas te donner ce que tu veux. Pas un week-end avec tes gosses, pas une vie où je serais ta femme au lieu de la sienne.
— Alors pourquoi tu continues ? Il attrape ses épaules, la secoue violemment, ses doigts s’enfonçant comme pendant qu’il la tenait pour la sodomiser. Pourquoi tu es revenue hier soir ? Pourquoi tu m’as laissé te baiser comme une chienne en chaleur si c’était juste pour me jeter après ? Rappelle-toi : tu étais à quatre pattes, ma bite dans ton cul, mes doigts pinçant ton clito jusqu’à ce que tu hurles et que ton jus coule sur mes couilles.
— Parce que j’en avais envie. Ses yeux se remplissent de larmes, mais elle ne les laisse pas couler ; au lieu de ça, elle sent son sexe se contracter, mouillé et prêt malgré tout. Parce que avec toi, c’était différent. Parce que je me suis attachée, moi aussi. Et c’est pour ça que je dois arrêter. Avant que je ne veuille plus que ta queue en moi – que je veuille tout de toi.
Il la lâche, recule d’un pas. Son regard balaye la pièce, comme s’il voyait leur histoire en miettes : les menottes encore attachées au lit, le lubrifiant renversé, les traces de ses orgasmes sur le sol.
— Tu es en train de me dire que toutes ces nuits, ces orgasmes où tu tremblais autour de ma bite, ces confidences pendant que je te léchais la chatte après t’avoir remplie de sperme… c’était juste pour sauver ton putain de mariage ?
— Oui. Et c’était incroyable – tes veines pulsant en moi, la sensation de plénitude quand tu jouissais, le sperme chaud giclant au fond, me faisant jouir une dernière fois.
Un long silence. Rachid se passe une main dans les cheveux, puis éclate de rire, amer, sa bite toujours dure sous son pantalon.
— Et lui, il sait que tu ressens des choses pour moi ? Que tu mouilles rien qu’en pensant à ma queue ?
— Non. Elle baisse la voix, sentant une vague de tristesse la submerger. Et il ne doit jamais le savoir. Pas comment j’ai pleuré de plaisir hier, en te sentant me défoncer le cul, ton sperme coulant de moi pendant que je jouissais encore.
Rachid s’assied sur une chaise, la tête entre les mains. Quand il relève les yeux, il a l’air brisé, mais son érection trahit un désir résiduel.
— Tu vas lui raconter cette nuit ? Comme les autres ? Lui décrire comment je t’ai fait squirter trois fois, comment tu as avalé mon sperme comme une affamée ?
Nadia hoche la tête, s’approchant malgré elle.
— Tout. Même le fait que tu m’as giflée. Même le fait que j’ai pleuré en jouissant. Même le fait que j’ai failli te dire que je t’aimais pendant que tu me baisais, ta bite cognant au fond de moi, me faisant voir des étoiles.
Il ferme les yeux, comme pour chasser les images, mais sa main descend vers son pantalon, serrant son érection.
— Tu es pire qu’une salope. Tu es une manipulatrice. Une pute qui joue avec les cœurs et les queues.
— Non. Elle s’agenouille devant lui, prend ses mains, sentant l’odeur de son excitation. Je suis juste une femme qui a choisi son mari. Même si je désirais un autre – même si je rêve encore de ta bite en moi, me remplissant jusqu’à l’extase.
Rachid la repousse violemment. Elle tombe en arrière sur le sol, ses cuisses s’écartant involontairement, révélant sa chatte gonflée et humide, mais elle se relève aussitôt, le cœur battant d’un mélange de peine et d’excitation.
— Partons d’ici, dit-il, la voix tremblante. Maintenant. Avant que je ne te baise une dernière fois par haine.
— D’accord.
Dans la voiture, sur le chemin du retour : Nadia regarde par la fenêtre, les doigts serrés sur son sac, sentant encore la brûlure de sa gifle sur sa joue et le vide lancinant entre ses cuisses, là où sa bite l’a étirée toute la nuit. Rachid conduit en silence, les mâchoires contractées, son pantalon tendu par son érection persistante. L’air entre eux est électrique, chargé de colère, de regret et d’un désir inassouvi qui rend l’atmosphère étouffante – l’odeur de leur sexe passé flotte encore, mêlée à celle de sa sueur fraîche.
Soudain, il se gare sur le bas-côté d’une route déserte, éteint le moteur d’un geste rageur. L’atmosphère est lourde, le soleil cognant sur la vitre, rendant l’habitacle comme un four de tension érotique.
— Une dernière fois, dit-il d’une voix sourde, rauque de désir refoulé. Pour que je puisse te haïr après. Je vais te baiser comme la pute mariée que tu es, te remplir une dernière fois avant de te jeter.
Il l’attire à lui par les cheveux, l’embrasse avec une violence désespérée, sa langue forçant sa bouche comme s’il voulait la punir, ses dents mordant ses lèvres jusqu’au sang. Ses mains arrachent sa robe légère, exposant ses seins lourds et marqués, pinçant ses tétons durs avec une cruauté qui la fait gémir de douleur-plaisir. Il déchire sa culotte d’un geste sec, les lambeaux tombant sur le siège, révélant sa chatte trempée, les lèvres gonflées et rouges, son clitoris dressé comme une invitation. Il glisse deux doigts en elle sans préavis, sentant sa mouille chaude l’envelopper, et il grogne : — Putain, tu es déjà trempée, salope. Ton cul de mariée infidèle mouille pour moi, même maintenant.
Elle halète, ses hanches se cambrant malgré elle, sentant ses doigts la fouiller profondément, cognant contre son point G, la faisant se contracter autour d’eux. La sensation est électrique – une brûlure familière qui monte, mélange de tristesse et d’extase, ses larmes coulant pendant qu’il la doigte sans pitié, son pouce frottant son clito en cercles brutaux.
— Tu vas me sucer. Maintenant. Suce-moi comme si c’était la dernière queue que tu prendras avant de retourner à ton cocu de mari.
Elle obéit, le cœur brisé mais le corps en feu. À genoux sur le siège passager, inconfortable et exposée, elle sort sa bite de son pantalon – grosse, veineuse, dure comme de l’acier, la pointe luisante de pré-sperme abondant. Elle la prend dans sa bouche sans hésiter, sentant le goût salé et musqué envahir sa langue, enroulant ses lèvres autour du gland épais avant de l’avaler profondément, jusqu’à ce que sa gorge se contracte autour de lui. Il grogne, lui agrippe les cheveux d’une main, forçant sa tête plus bas : — C’est ça, prend-la bien. Comme la bonne petite épouse infidèle que tu es. Suce-moi jusqu’aux couilles, avale tout, salope. Pense à ton mari pendant que ma bite te baise la gorge.
Elle gémit autour de sa queue, les larmes coulant sur ses joues, mélange de chagrin et d’excitation – la sensation de sa hampe pulsant dans sa bouche, les veines frottant contre sa langue, son odeur virile emplissant ses narines. Elle le suce comme une affamée, bavant abondamment, la salive coulant sur son menton et ses seins nus, ses mains massant ses couilles lourdes, pleines de sperme. Il commence à baiser sa bouche sans pitié, ses hanches cognant contre ses lèvres, sa bite cognant au fond de sa gorge jusqu’à ce qu’elle s’étouffe, les yeux larmoyants. — Putain, oui… plus profond, chienne. Tu adores ça, hein ? Être une gorge à bite pour un homme qui te hait maintenant.
Elle sent son orgasme approcher rien qu’à le sucer, son propre sexe palpitant, vide et désespéré, mais elle se concentre sur lui : sa langue tournoie autour de la hampe, aspirant fort, sentant ses couilles se contracter. Soudain, il rugit, ses doigts serrant ses cheveux à lui faire mal, et il éjacule en jets puissants, chauds et épais, lui emplissant la gorge de sperme salé et visqueux. Elle avale tout, spasme après spasme, sentant le liquide brûlant descendre dans son estomac, un goût amer et addictif qui la fait gémir de plaisir coupable. Pendant qu’il jouit, elle glisse une main entre ses cuisses, frottant son clito frénétiquement, et elle jouit elle aussi – un orgasme rapide et violent, ses cuisses tremblant, son jus coulant sur le siège, mélange de peine et d’extase qui la laisse pantelante.
Quand il la relâche, elle est en pleurs, le sperme encore sur ses lèvres, son corps secoué de sanglots et de spasmes résiduels. La sensation post-orgasmique est un vide brûlant : son sexe palpite encore, sensible et gonflé, mais son cœur est en miettes.
— Maintenant, dégage. Retourne à ton mari, avec mon sperme dans le ventre et ton jus sur les cuisses.
Elle sort de la voiture, les jambes tremblantes, la robe froissée et déchirée, le goût de Rachid encore dans la bouche – salé, persistant, un rappel cruel de ce qu’elle perd. Il redémarre sans un regard en arrière, laissant une traînée de poussière et de regret.
Chez elle, plus tard : Karim l’attend, assis dans le salon, un verre à la main. Il voit tout de suite qu’elle a pleuré – ses yeux rougis, sa joue marquée, ses vêtements en désordre, et l’odeur de sexe qui émane d’elle, un mélange de sperme étranger et de sa propre excitation.
— Ça s’est mal passé ?
— Oui. Elle s’assied à côté de lui, pose sa tête sur son épaule, sentant son corps se détendre légèrement contre le sien. J’ai encore son goût dans la bouche, Karim. Son sperme chaud que j’ai avalé en pleurant.
— Il t’a fait mal ? Sa voix est tendue, mais elle sent son érection grandir contre sa cuisse, signe de son excitation jalouse.
— Non. Elle s’assied à côté de lui, pose sa tête sur son épaule. C’est moi qui lui ai fait mal. Je lui ai tout avoué – pour nous, pour l’accord. Il m’a giflée, m’a traitée de salope, mais ensuite… dans la voiture, il m’a forcée à le sucer une dernière fois. Sa bite était si dure, Karim, veineuse et chaude, pulsant dans ma gorge pendant qu’il me baisait la bouche. J’ai joui en me touchant, mon jus coulant partout, pendant qu’il giclait en moi.
— Tu lui as dit pour nous ? Karim l’enlace, embrasse ses cheveux, sa main descendant vers son pantalon où il bande dur, excité par le récit.
— Oui. Et il m’a baisée la bouche comme un sauvage, ses couilles contre mon menton, son sperme épais me remplissant jusqu’à ce que j’avale tout. J’ai pleuré, mais j’ai aimé ça – la douleur, le désir, le fait que c’était la fin.
Karim l’enlace plus fort, sentant son propre désir monter. — Tu as bien fait. Raconte-moi tout en détail. Comment il t’a fait jouir hier soir ? Comment sa queue te remplissait ?
— Il m’a attachée, m’a léché le cul jusqu’à ce que je tremble, puis m’a enculée avec sa bite lubrifiée, ses doigts dans ma chatte, me faisant squirter sur ses couilles. J’ai hurlé, Karim, sentant chaque centimètre me dilater, la brûlure exquise, puis son sperme chaud giclant au fond de mon cul. Après, il m’a fait lécher son jus mélangé au mien sur ses doigts. Et ce matin… une partie de moi voulait rester. Vouloir plus que du sexe.
— Mais tu es revenue. Sa voix est rauque, sa main serrant son érection à travers son pantalon.
— Oui. Elle lève les yeux vers lui, sentant un regain de tendresse. Je suis revenue. À toi.
Il l’embrasse, doucement au début, puis avec plus de passion, sa langue explorant sa bouche encore imprégnée du goût de Rachid. Sans un mot, il la soulève, l’emmène dans la chambre, et lui fait l’amour avec une tendresse qu’elle n’avait plus ressentie depuis des années – mais teintée de possessivité. Il la déshabille lentement, embrassant chaque marque sur son corps, léchant les traces de sperme séché sur ses cuisses. — Tu es à moi, murmure-t-il en entrant en elle doucement, sa bite glissant dans sa chatte encore sensible et humide. Même si d’autres t’ont baisée, c’est moi qui te fais sentir chez toi.
Elle jouit sous lui, un orgasme doux et profond, ses larmes se mêlant à ses gémissements, sentant la plénitude de son amour et la brûlure de ses pertes. Après, ils restent enlacés, son sperme en elle comme un baume, effaçant temporairement les souvenirs de Rachid.
Contexte : Nadia et Rachid viennent de passer une nuit particulièrement intense (avec jeux de domination, éjaculations multiples, et une complicité grandissante). Rachid, épris, lui propose de la présenter à ses enfants lors d’un week-end à la mer. Nadia, touchée mais lucide, doit lui avouer la vérité.
Version explicite, émotionnelle et érotique enrichie (avec plus d'érotisme hard cru, dialogues crus, descriptions détaillées des actes charnels, sensations avant, pendant et après les coïts, sentiments et autres détails)
Le lendemain matin, dans l’appartement de Rachid. La lumière du soleil filtre à travers les volets mi-clos, projetant des bandes dorées sur leurs corps nus, encore luisants de sueur séchée, de sperme collant et de jus intimes. Nadia est allongée sur le ventre, les draps froissés et à moitié arrachés du matelas, révélant les marques rouges et violacées des doigts de Rachid sur ses hanches larges, ses fesses encore sensibles et gonflées des fessées qu’il lui a administrées la nuit précédente. Son cul porte les empreintes de ses paumes, et entre ses cuisses, une croûte de sperme séché colle à sa peau, rappel de ses multiples éjaculations en elle – d’abord dans sa chatte ruisselante, puis sur son visage et enfin dans son cul serré après qu’il l’ait dilaté avec ses doigts lubrifiés. Elle sent encore la brûlure intérieure, ce mélange de douleur et de plaisir lancinant qui la fait mouiller rien qu’en y pensant, son clitoris palpitant contre le matelas. Rachid, assis au bord du lit, nu et musclé, son sexe flasque mais encore épais reposant contre sa cuisse, lui caresse le dos d’une main possessive, traçant les courbes de sa colonne vertébrale jusqu’à ses reins, là où il l’a cambrée violemment pendant qu’il la pilonnait en levrette, ses couilles claquant contre son clito à chaque coup de reins brutal.
L’atmosphère est lourde, presque solennelle, imprégnée de l’odeur musquée de leurs corps – sueur, sperme, et ce parfum âcre de chatte excitée qui colle à l’air. Nadia sent son cœur battre plus fort, un mélange de satisfaction post-orgasmique et d’angoisse montante, car elle sait que la nuit dernière a été trop intense : elle a joui cinq fois, hurlant son nom pendant qu’il la dominait, la forçant à supplier pour chaque pénétration, chaque giclée de sperme brûlant. Ses tétons sont encore durs et sensibles, frottés crus par ses morsures, et son ventre palpite du souvenir de sa bite épaisse la remplissant jusqu’à la limite, la faisant se sentir pleine, possédée, vivante.
— Tu sais, j’ai réservé une maison à Sidi Fredj pour ce week-end, dit-il enfin, sa voix rauque et encore chargée du grognement animal qu’il avait pendant qu’il la baisait. Mes enfants seront là. J’aimerais que tu les rencontres. Imagine : toi, moi, la mer, et peut-être une petite baise discrète sur la plage pendant qu’ils dorment. Je te prendrais par-derrière, tes seins dans le sable, ma bite en toi jusqu’à ce que tu hurles mon nom dans le vent.
Nadia se fige, son corps se raidissant sous sa caresse. Son cœur se serre comme un poing, mais elle ne dit rien tout de suite. Elle sent une vague de culpabilité la submerger, mêlée à un désir résiduel – son sexe se contracte involontairement, se rappelant comment il l’a fait squirter la veille, ses doigts en crochet dans sa chatte pendant qu’il lui léchait le cul, la langue enfoncée profondément, la faisant trembler de honte et d’extase.
— Rachid…
— Non, écoute-moi. Il se penche, embrasse son épaule, là où il l’a mordue la veille au point de laisser une marque violette, sa langue traçant la morsure comme pour raviver la douleur exquise. Je ne te demande pas de m’épouser. Juste… de voir si on peut construire quelque chose. Toi et moi. Sans pression. Je te baiserais tous les jours comme hier : attachée, suppliante, couverte de mon sperme. Tu adores ça, avoue-le.
Elle se redresse lentement, ramène les draps contre sa poitrine comme un bouclier fragile, couvrant ses seins lourds et marqués, ses tétons pointant encore sous le tissu. Ses yeux évitent les siens, fixant plutôt les préservatifs usagés jonchant le sol, remplis de son sperme épais, et les traces de son jus à elle sur les draps – preuve de leurs orgasmes multiples, de la façon dont elle a inondé sa bouche quand il l’a léchée jusqu’à l’épuisement.
— Je ne peux pas.
— Pourquoi ? Sa main se crispe sur son genou, ses doigts s’enfonçant dans sa chair comme pendant leurs ébats, quand il la tenait pour la pénétrer plus profondément. Tu as peur ? Je ne te ferai pas de mal, Nadia. Je te le promets. Au contraire, je te ferai jouir comme jamais – imagine mes gosses endormis, et toi à quatre pattes sur le balcon, ma queue dans ton cul, mes doigts dans ta chatte dégoulinante.
Elle inspire profondément, puis se tourne vers lui. Ses lèvres sont encore gonflées et rougies par ses baisers voraces, ses cheveux en désordre collés par la sueur. Elle a l’air vulnérable, presque fragile, mais son corps trahit son excitation résiduelle : une goutte de mouille perle entre ses cuisses, rappel de la nuit où il l’a faite crier en la fistant doucement, puis en la baisant avec une vigueur qui l’a laissée pantelante, le ventre contracté autour de sa hampe veineuse.
— Ce n’est pas ça.
— Alors c’est quoi ? Il y a une pointe d’agacement dans sa voix, mais aussi de l’inquiétude. Tu me dis depuis des semaines que tu es libre, que tu veux la même chose que moi… que tu rêves de ma bite en toi, de mon sperme sur ta langue.
— Je t’ai menti.
Un silence pesant s’installe. Rachid recule légèrement, comme si elle l’avait giflé, son sexe se raidissant malgré lui à la tension érotique de l’instant.
— Je suis mariée.
Les mots tombent comme des pierres dans l’air chargé de leur odeur intime. Rachid la regarde, incrédule, puis éclate de rire, nerveux, sa main descendant involontairement vers sa bite qui durcit.
— C’est une blague ? Tu me dis ça après m’avoir sucé jusqu’à la dernière goutte hier soir, après m’avoir supplié de te remplir le cul de mon sperme ?
— Non.
— Tu portes une alliance ? Il attrape sa main gauche, examine ses doigts nus, frottant l’endroit où devrait être la marque. Rien. Pas de trace, pas de marque… comme si tu étais faite pour être baisée par n’importe qui.
— Je l’enlève quand je suis avec toi. Ou avec les autres.
Les autres. Les mots résonnent entre eux comme un écho cru. Rachid pâlit, puis se lève d’un bond, nu, son sexe maintenant à moitié dur, gonflé par la colère et un désir pervers, la pointe luisante d’une perle de pré-sperme.
— Putain, Nadia… Tu te fous de moi ? Tu me laisses te défoncer comme une chienne, te couvrir de mon jus, et tu appartiens à un autre ?
— Non. Elle se lève à son tour, se place face à lui, sans honte, ses seins se soulevant au rythme de sa respiration accélérée, son sexe encore humide visible entre ses cuisses écartées. Je ne t’ai jamais menti sur ce que je ressentais. Juste sur ma situation. Avec toi, c’était réel – tes couilles claquant contre mon clito, ta langue dans mon trou du cul, tes doigts me faisant squirter comme une fontaine.
— Tu es une femme mariée, et tu couches avec moi depuis des mois ? Sa voix monte, tremblante de rage. Tu me laisses te baiser, te sucer, te marquer avec mes dents et mon sperme, et tu es à un autre ? Tu jouissais en hurlant mon nom pendant que je te pilonnais, tes ongles dans mon dos, ta chatte serrée autour de ma queue comme un étau !
Il la gifle. Pas fort, mais assez pour qu’elle sente la brûlure cuisante sur sa joue, une chaleur qui descend jusqu’à son entrejambe, la faisant mouiller davantage malgré la douleur émotionnelle. Elle ne bronche pas, ses yeux brillants de larmes et de désir refoulé.
— Tu es malade, putain. Une vraie salope qui écarte les cuisses pour n’importe qui.
— Peut-être. Elle touche sa joue, là où ses doigts ont laissé une empreinte rouge, sentant la peau picoter comme ses tétons après ses pincements. Mais je ne t’ai jamais promis quoi que ce soit. Je t’ai dit dès le début que je ne voulais pas d’attachement. Juste du sexe brut, tes mains sur mes seins, ta bite me déchirant jusqu’à ce que je pleure de plaisir.
— Alors pourquoi tu revenais ? Pourquoi tu m’as laissé tomber amoureux de toi ? Pourquoi hier soir, tu m’as laissé te ligoter, te fouetter le cul avec ma ceinture jusqu’à ce qu’il soit rouge, puis te baiser dans tous les trous jusqu’à ce que tu supplies pour plus de sperme ?
— Parce que j’avais besoin de ça. Elle désigne le lit défait, les préservatifs usagés par terre, les traces de sperme séché sur ses cuisses intérieures, collantes et odorantes. J’avais besoin de me sentir vivante. Désirable. Libre. Mon mari… Elle hésite, sentant une larme couler, mais son corps réagit : ses tétons durcissent, son clitoris gonfle. Il sait. Il est au courant. Il m’encourage même – il bande en m’écoutant décrire comment tu me fais jouir, comment ton sperme coule de ma chatte après que tu m’as remplie.
Rachid la regarde comme si elle avait perdu la tête, son sexe maintenant complètement dur, dressé entre eux comme une accusation érotique.
— Il te laisse coucher avec d’autres hommes ? Te faire défoncer par des bites étrangères, avaler leur jus, te faire enculer jusqu’à l’orgasme ?
— C’est compliqué. Mais oui. Il adore ça. Ça le fait bander dur, comme toi en ce moment.
— C’est dégueulasse ! Il attrape ses vêtements épars, les enfile avec des gestes brusques, sa bite tendue déformant son pantalon. Tu joues avec moi, avec lui, avec tes amants… Tu es quoi, une putain professionnelle ? Une nympho qui collectionne les queues ?
— Non. Sa voix est ferme, mais ses yeux descendent vers son érection visible. Je suis une femme qui refuse de mourir à petit feu dans un mariage sans désir. Karim et moi, on a un accord. Pas d’attachement, pas de mensonges entre nous. Juste… du sexe ailleurs pour garder notre couple vivant. Avec toi, c’était plus : tes grognements pendant que tu me doigtais le cul, tes jets de sperme sur mes seins que je léchais ensuite, langue sortie comme une chienne assoiffée.
Rachid la fixe, les yeux brillants de colère et de quelque chose qui ressemble à de la pitié, mais aussi d’un désir furieux – sa bite palpite sous le tissu, pré-sperme tachant son boxer.
— Et moi, dans tout ça ? Je suis quoi ? Un jouet ? Un passe-temps ? Un étalon pour te faire jouir quand ton mari ne bande plus assez fort ?
— Tu as été bien plus que ça. Elle s’approche, pose une main sur son torse, sentant son cœur battre vite sous sa peau. Il recule, mais pas assez vite ; elle sent la chaleur de son corps. Tu m’as appris à brûler, Rachid. Vraiment brûler. Pas comme avec les autres. Tes doigts en moi, tournant, me faisant gicler sur ton visage pendant que tu me traitais de salope affamée. Mais je ne peux pas te donner ce que tu veux. Pas un week-end avec tes gosses, pas une vie où je serais ta femme au lieu de la sienne.
— Alors pourquoi tu continues ? Il attrape ses épaules, la secoue violemment, ses doigts s’enfonçant comme pendant qu’il la tenait pour la sodomiser. Pourquoi tu es revenue hier soir ? Pourquoi tu m’as laissé te baiser comme une chienne en chaleur si c’était juste pour me jeter après ? Rappelle-toi : tu étais à quatre pattes, ma bite dans ton cul, mes doigts pinçant ton clito jusqu’à ce que tu hurles et que ton jus coule sur mes couilles.
— Parce que j’en avais envie. Ses yeux se remplissent de larmes, mais elle ne les laisse pas couler ; au lieu de ça, elle sent son sexe se contracter, mouillé et prêt malgré tout. Parce que avec toi, c’était différent. Parce que je me suis attachée, moi aussi. Et c’est pour ça que je dois arrêter. Avant que je ne veuille plus que ta queue en moi – que je veuille tout de toi.
Il la lâche, recule d’un pas. Son regard balaye la pièce, comme s’il voyait leur histoire en miettes : les menottes encore attachées au lit, le lubrifiant renversé, les traces de ses orgasmes sur le sol.
— Tu es en train de me dire que toutes ces nuits, ces orgasmes où tu tremblais autour de ma bite, ces confidences pendant que je te léchais la chatte après t’avoir remplie de sperme… c’était juste pour sauver ton putain de mariage ?
— Oui. Et c’était incroyable – tes veines pulsant en moi, la sensation de plénitude quand tu jouissais, le sperme chaud giclant au fond, me faisant jouir une dernière fois.
Un long silence. Rachid se passe une main dans les cheveux, puis éclate de rire, amer, sa bite toujours dure sous son pantalon.
— Et lui, il sait que tu ressens des choses pour moi ? Que tu mouilles rien qu’en pensant à ma queue ?
— Non. Elle baisse la voix, sentant une vague de tristesse la submerger. Et il ne doit jamais le savoir. Pas comment j’ai pleuré de plaisir hier, en te sentant me défoncer le cul, ton sperme coulant de moi pendant que je jouissais encore.
Rachid s’assied sur une chaise, la tête entre les mains. Quand il relève les yeux, il a l’air brisé, mais son érection trahit un désir résiduel.
— Tu vas lui raconter cette nuit ? Comme les autres ? Lui décrire comment je t’ai fait squirter trois fois, comment tu as avalé mon sperme comme une affamée ?
Nadia hoche la tête, s’approchant malgré elle.
— Tout. Même le fait que tu m’as giflée. Même le fait que j’ai pleuré en jouissant. Même le fait que j’ai failli te dire que je t’aimais pendant que tu me baisais, ta bite cognant au fond de moi, me faisant voir des étoiles.
Il ferme les yeux, comme pour chasser les images, mais sa main descend vers son pantalon, serrant son érection.
— Tu es pire qu’une salope. Tu es une manipulatrice. Une pute qui joue avec les cœurs et les queues.
— Non. Elle s’agenouille devant lui, prend ses mains, sentant l’odeur de son excitation. Je suis juste une femme qui a choisi son mari. Même si je désirais un autre – même si je rêve encore de ta bite en moi, me remplissant jusqu’à l’extase.
Rachid la repousse violemment. Elle tombe en arrière sur le sol, ses cuisses s’écartant involontairement, révélant sa chatte gonflée et humide, mais elle se relève aussitôt, le cœur battant d’un mélange de peine et d’excitation.
— Partons d’ici, dit-il, la voix tremblante. Maintenant. Avant que je ne te baise une dernière fois par haine.
— D’accord.
Dans la voiture, sur le chemin du retour : Nadia regarde par la fenêtre, les doigts serrés sur son sac, sentant encore la brûlure de sa gifle sur sa joue et le vide lancinant entre ses cuisses, là où sa bite l’a étirée toute la nuit. Rachid conduit en silence, les mâchoires contractées, son pantalon tendu par son érection persistante. L’air entre eux est électrique, chargé de colère, de regret et d’un désir inassouvi qui rend l’atmosphère étouffante – l’odeur de leur sexe passé flotte encore, mêlée à celle de sa sueur fraîche.
Soudain, il se gare sur le bas-côté d’une route déserte, éteint le moteur d’un geste rageur. L’atmosphère est lourde, le soleil cognant sur la vitre, rendant l’habitacle comme un four de tension érotique.
— Une dernière fois, dit-il d’une voix sourde, rauque de désir refoulé. Pour que je puisse te haïr après. Je vais te baiser comme la pute mariée que tu es, te remplir une dernière fois avant de te jeter.
Il l’attire à lui par les cheveux, l’embrasse avec une violence désespérée, sa langue forçant sa bouche comme s’il voulait la punir, ses dents mordant ses lèvres jusqu’au sang. Ses mains arrachent sa robe légère, exposant ses seins lourds et marqués, pinçant ses tétons durs avec une cruauté qui la fait gémir de douleur-plaisir. Il déchire sa culotte d’un geste sec, les lambeaux tombant sur le siège, révélant sa chatte trempée, les lèvres gonflées et rouges, son clitoris dressé comme une invitation. Il glisse deux doigts en elle sans préavis, sentant sa mouille chaude l’envelopper, et il grogne : — Putain, tu es déjà trempée, salope. Ton cul de mariée infidèle mouille pour moi, même maintenant.
Elle halète, ses hanches se cambrant malgré elle, sentant ses doigts la fouiller profondément, cognant contre son point G, la faisant se contracter autour d’eux. La sensation est électrique – une brûlure familière qui monte, mélange de tristesse et d’extase, ses larmes coulant pendant qu’il la doigte sans pitié, son pouce frottant son clito en cercles brutaux.
— Tu vas me sucer. Maintenant. Suce-moi comme si c’était la dernière queue que tu prendras avant de retourner à ton cocu de mari.
Elle obéit, le cœur brisé mais le corps en feu. À genoux sur le siège passager, inconfortable et exposée, elle sort sa bite de son pantalon – grosse, veineuse, dure comme de l’acier, la pointe luisante de pré-sperme abondant. Elle la prend dans sa bouche sans hésiter, sentant le goût salé et musqué envahir sa langue, enroulant ses lèvres autour du gland épais avant de l’avaler profondément, jusqu’à ce que sa gorge se contracte autour de lui. Il grogne, lui agrippe les cheveux d’une main, forçant sa tête plus bas : — C’est ça, prend-la bien. Comme la bonne petite épouse infidèle que tu es. Suce-moi jusqu’aux couilles, avale tout, salope. Pense à ton mari pendant que ma bite te baise la gorge.
Elle gémit autour de sa queue, les larmes coulant sur ses joues, mélange de chagrin et d’excitation – la sensation de sa hampe pulsant dans sa bouche, les veines frottant contre sa langue, son odeur virile emplissant ses narines. Elle le suce comme une affamée, bavant abondamment, la salive coulant sur son menton et ses seins nus, ses mains massant ses couilles lourdes, pleines de sperme. Il commence à baiser sa bouche sans pitié, ses hanches cognant contre ses lèvres, sa bite cognant au fond de sa gorge jusqu’à ce qu’elle s’étouffe, les yeux larmoyants. — Putain, oui… plus profond, chienne. Tu adores ça, hein ? Être une gorge à bite pour un homme qui te hait maintenant.
Elle sent son orgasme approcher rien qu’à le sucer, son propre sexe palpitant, vide et désespéré, mais elle se concentre sur lui : sa langue tournoie autour de la hampe, aspirant fort, sentant ses couilles se contracter. Soudain, il rugit, ses doigts serrant ses cheveux à lui faire mal, et il éjacule en jets puissants, chauds et épais, lui emplissant la gorge de sperme salé et visqueux. Elle avale tout, spasme après spasme, sentant le liquide brûlant descendre dans son estomac, un goût amer et addictif qui la fait gémir de plaisir coupable. Pendant qu’il jouit, elle glisse une main entre ses cuisses, frottant son clito frénétiquement, et elle jouit elle aussi – un orgasme rapide et violent, ses cuisses tremblant, son jus coulant sur le siège, mélange de peine et d’extase qui la laisse pantelante.
Quand il la relâche, elle est en pleurs, le sperme encore sur ses lèvres, son corps secoué de sanglots et de spasmes résiduels. La sensation post-orgasmique est un vide brûlant : son sexe palpite encore, sensible et gonflé, mais son cœur est en miettes.
— Maintenant, dégage. Retourne à ton mari, avec mon sperme dans le ventre et ton jus sur les cuisses.
Elle sort de la voiture, les jambes tremblantes, la robe froissée et déchirée, le goût de Rachid encore dans la bouche – salé, persistant, un rappel cruel de ce qu’elle perd. Il redémarre sans un regard en arrière, laissant une traînée de poussière et de regret.
Chez elle, plus tard : Karim l’attend, assis dans le salon, un verre à la main. Il voit tout de suite qu’elle a pleuré – ses yeux rougis, sa joue marquée, ses vêtements en désordre, et l’odeur de sexe qui émane d’elle, un mélange de sperme étranger et de sa propre excitation.
— Ça s’est mal passé ?
— Oui. Elle s’assied à côté de lui, pose sa tête sur son épaule, sentant son corps se détendre légèrement contre le sien. J’ai encore son goût dans la bouche, Karim. Son sperme chaud que j’ai avalé en pleurant.
— Il t’a fait mal ? Sa voix est tendue, mais elle sent son érection grandir contre sa cuisse, signe de son excitation jalouse.
— Non. Elle s’assied à côté de lui, pose sa tête sur son épaule. C’est moi qui lui ai fait mal. Je lui ai tout avoué – pour nous, pour l’accord. Il m’a giflée, m’a traitée de salope, mais ensuite… dans la voiture, il m’a forcée à le sucer une dernière fois. Sa bite était si dure, Karim, veineuse et chaude, pulsant dans ma gorge pendant qu’il me baisait la bouche. J’ai joui en me touchant, mon jus coulant partout, pendant qu’il giclait en moi.
— Tu lui as dit pour nous ? Karim l’enlace, embrasse ses cheveux, sa main descendant vers son pantalon où il bande dur, excité par le récit.
— Oui. Et il m’a baisée la bouche comme un sauvage, ses couilles contre mon menton, son sperme épais me remplissant jusqu’à ce que j’avale tout. J’ai pleuré, mais j’ai aimé ça – la douleur, le désir, le fait que c’était la fin.
Karim l’enlace plus fort, sentant son propre désir monter. — Tu as bien fait. Raconte-moi tout en détail. Comment il t’a fait jouir hier soir ? Comment sa queue te remplissait ?
— Il m’a attachée, m’a léché le cul jusqu’à ce que je tremble, puis m’a enculée avec sa bite lubrifiée, ses doigts dans ma chatte, me faisant squirter sur ses couilles. J’ai hurlé, Karim, sentant chaque centimètre me dilater, la brûlure exquise, puis son sperme chaud giclant au fond de mon cul. Après, il m’a fait lécher son jus mélangé au mien sur ses doigts. Et ce matin… une partie de moi voulait rester. Vouloir plus que du sexe.
— Mais tu es revenue. Sa voix est rauque, sa main serrant son érection à travers son pantalon.
— Oui. Elle lève les yeux vers lui, sentant un regain de tendresse. Je suis revenue. À toi.
Il l’embrasse, doucement au début, puis avec plus de passion, sa langue explorant sa bouche encore imprégnée du goût de Rachid. Sans un mot, il la soulève, l’emmène dans la chambre, et lui fait l’amour avec une tendresse qu’elle n’avait plus ressentie depuis des années – mais teintée de possessivité. Il la déshabille lentement, embrassant chaque marque sur son corps, léchant les traces de sperme séché sur ses cuisses. — Tu es à moi, murmure-t-il en entrant en elle doucement, sa bite glissant dans sa chatte encore sensible et humide. Même si d’autres t’ont baisée, c’est moi qui te fais sentir chez toi.
Elle jouit sous lui, un orgasme doux et profond, ses larmes se mêlant à ses gémissements, sentant la plénitude de son amour et la brûlure de ses pertes. Après, ils restent enlacés, son sperme en elle comme un baume, effaçant temporairement les souvenirs de Rachid.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oh nadia, apparemment tu as une belle paire de fesses bien large, je déduis que tu adepte de la sodomie, j'aime ça, vghigh vraiment akemwaligh, bisous
Bravo. G jouie et mon mari. C un debut. Encore plus d'histoires de ce genre. Merci a vous biz
Ca peut arriver et ca arrive, le sexe quand ca se répète des sentiments naissent forcément.
YJ
YJ
Un récit très fort, qui illustre la force de ce qui unit Karim et Nadia!

