Sahara (Karim & Nadia) – La Vengeance Ultime

- Par l'auteur HDS Karim_et_Nadia -
Auteur couple.
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Récit libertin : Sahara (Karim & Nadia) – La Vengeance Ultime Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2025 dans la catégorie Plus on est
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Sahara (Karim & Nadia) – La Vengeance Ultime
Nadia, ayant séduit Omayma et Hafsa, les épouses d’Abu-Hurayra, ce voisin hypocrite qui avait dénoncé leur maison de terre rouge comme un nid de débauche, avait transformé ces femmes en alliées brûlantes de désir et de révolte. Omayma, 18 ans, frêle mais assoiffée de plaisir, et Hafsa, 25 ans, voluptueuse avec ses seins lourds et son cul charnu, étaient prêtes à humilier Dahmane, cet homme de 50 ans dont la piété n’était qu’un masque pour sa brutalité. Nadia, orchestrant une vengeance implacable, voulait un spectacle qui le briserait, révélant ses contradictions sous ses yeux.

Karim, Mohamed le Touareg, et Yassine, l’informaticien d’Oran au regard affamé, invitèrent Dahmane chez lui sous prétexte d’une confrontation civile.

— On doit discuter de ta plainte, dit Karim, son ton ferme mais contenu.

Dahmane, arrogant, entra dans sa maison, prêt à sermonner. Mais son visage s’empourpra vite, ses mots se muant en injures :

— Vous êtes des chiens, des mécréants ! Vous souillez le désert !

Il tenta de frapper Mohamed, mais les trois hommes, plus jeunes et robustes, le plaquèrent au sol, l’attachant à une chaise en bois massif avec des cordes épaisses. Ses poignets et chevilles immobilisés, Dahmane hurlait des versets coraniques, sa barbe tremblant de rage :

— Allah vous punira !

Les hommes échangèrent un regard amusé, leur plan déjà en marche.

Nadia entra, caméra à la main, ses lèvres peintes d’un rouge provocant.

— Regarde bien, Abu-Hurayra, dit-elle, son sourire glacial.

— Tes femmes vont te montrer ce que tu leur as refusé.

Elle fit signe aux hommes, qui appelèrent Omayma et Hafsa. Les deux femmes surgirent, débarrassées de leurs djilbabs, leurs corps nus luisant sous la lumière tamisée des lampes à huile. Omayma, ses seins petits mais fermes, ses cuisses fines frémissant d’excitation, et Hafsa, ses seins lourds aux tétons sombres et son cul rond ondulant, avançaient avec une assurance défiant leur mari.

Dahmane, les yeux exorbités, rugit :

— Arrêtez, c’est haram ! Vous brûlerez en enfer !

Mais ses femmes, déjà ailleurs, leurs corps vibrant de désir, l’ignorèrent, leurs regards brûlant de liberté.

L’orgie commença, crue et débridée, sous les yeux horrifiés de Dahmane.

Nadia filmait chaque instant, zoomant sur les détails les plus crus.

Hafsa s’agenouilla devant Mohamed, sa langue léchant sa bite massive, veinée, luisante de pré-sperme.

— Regarde, dayouth ! cracha-t-elle à Dahmane, sses yeux flamboyants C’est ça, un vrai homme !

Elle engloutit la queue, ses lèvres inexpérimentées s’étirant autour du gland épais, s’étouffant alors qu’elle suçait avec une avidité animale, sa langue dansant sur les veines pulsantes.

Oumayma, à côté, s’empala sur la bite dure de Karim, sa chatte trempée glissant sur sa longueur, ses hanches claquaient violemment.

— Nik hatchouni ! Baise ma chatte !" hurla-t-elle en arabe de rue, ses seins rebondissaient, ses tétons durs frôlait le torse de Karim.

— Tu n’as jamais su me baiser comme ça, cocu !

Yassine, sa queue épaisse déjà luisante, s’approcha de Hafsa, la mettant à quatre pattes. Il lubrifia son cul avec ses jus abondants et enfonça sa bite dans son anus étroit, la faisant crier :

— Nik tizi ! Encule-moi !

Ses parois serrées s’ouvrirent à lui, ses jus coulant sur ses cuisses alors qu’elle suçait Mohamed, sa langue plongeant sous ses couilles lourdes, léchant frénétiquement.

Oumayma, cambrée sur un coussin, accueillit Mohamed dans sa chatte dégoulinante engloutissant sa queue. Karim, derrière elle, lubrifia son cul avec sa salive et l’encula doucement pour la première fois de sa vie, sa bite étirait son anus. C’est aussi sa première double pénétration et elle ne devrait probablement pas la dernière.

— Regarde, Abu-Hurayra, grogna Oumayma, ils m’enculent fi tizi, là où tu n’as jamais osé !

Elle cria,

— Nikounī akthar ! Défoncez-moi ! Ahass bi zboubkoum fi ahcha’i ! Je sens vos bites dans mes antres ! cria -t-elle, ses seins claquant à chaque pénétration, ses jus giclant sur le sol.

Nadia, nue, ses seins lourds et son cul bombé exposés, écarta les cuisses devant Hafsa.

— Lèche, ma petite kahba, ordonna-t-elle, sa voix rauque.

Hafsa plongea sa langue dans sa chatte trempée, léchant son clitoris gonflé avec une voracité désespérée, ses gémissements étouffés par les replis humides.

Oumayma, doublement pénétrée, cria son extase :

— Je suis une kahba ! Baisez-moi partout !

Ses spasmes secouaient son corps, ses parois serrant les queues de Karim et Mohamed, ses jus inondant leurs cuisses.

Dahmane, attaché, récitait des hadiths d’une voix brisée :

— L’adultère est un péché… arrêtez, par Allah !

Mais ses femmes, perdues dans un autre monde, l’ignoraient.

Omayma, le visage luisant, se tourna vers lui :

— T’es pas un homme, dayouth ! Regarde comment ils me baisent, comment je jouis comme une chienne !

Les positions s’enchaînèrent, chaque mouvement plus audacieux.

Omayma fut soulevée par Yassine, ses jambes enroulées autour de sa taille, sa bite s’enfonçant dans son farj tandis que Mohamed, derrière, la sodomisait, leurs queues frottant à travers ses parois dans une double pénétration brutale.

— Niknī ! Déchirez-moi ! hurla-t-elle, ses seins tressautant, ses jus coulant sur leurs cuisses.

Hafsa, allongée sur le dos, jambes écartées en V, accueillit Karim dans son farj, sa queue frappant son point G, tandis que Yassine enfonçait un plug touareg dans son cul, l’étirant davantage.

— Nik farjī ! Nik tizi ! cria-t-elle, ses yeux défiant Dahmane.

Nadia, assise sur son visage, frotta sa chatte trempée contre sa bouche, Oumayma léchant avidement, sa langue plongeant dans ses replis, goûtant son nectar sucré.

— Suce, ma petite salope ! grogna Nadia, jouissant sur sa langue.

Puis, dans un crescendo, Omayma fut placée en amazone inversée sur Mohamed, sa bite dans son cul, tandis que Yassine, face à elle, la pénétrait dans sa chatte, leurs queues se frôlant à l’intérieur.

Omayma hurla,

— Baisez-moi partout ! Je suis une kahba ! ses spasmes secouant son corps frêle, ses jus giclant en jets.

Hafsa, à quatre pattes, fut prise en sandwich : Karim dans son farj, Mohamed dans son cul, leurs pénétrations synchronisées la faisant hurler :

— Nerdhaa ezzob ! Je veux sucer vos bites !

Elle suça Yassine, sa bouche engloutissant sa queue, ses lèvres étirées, ses joues creusées.

— Regarde, cocu, cria-t-elle à Dahmane, je bois leur sperme, pas le tien !

Dahmane, malgré son horreur, ne pouvait cacher son érection, sa queue durcissant sous son pantalon, une honte brûlante dans ses yeux.

— Arrêtez… c’est haram… murmura-t-il, mais sa voix tremblait, son corps trahissant son excitation devant ses femmes traitées comme des chiennes en chaleur.

Nadia, caméra en main, zoomait sur son visage torturé, capturant sa faiblesse.

Karim, Mohamed, et Yassine explosèrent presque simultanément. Karim gicla dans la bouche de Hafsa, son sperme chaud débordant sur ses lèvres, qu’elle avala goulûment, léchant chaque goutte comme une traînée.

— Je suis une kahba ! hurla-t-elle, son corps convulsant sous un orgasme violent.

Mohamed jouit sur le visage d’Omayma, son sperme giclant en jets épais sur ses joues, qu’elle lécha avec sa langue, ses yeux brillant de défi.

Yassine, dans une dernière pénétration, explosa dans le cul d’Omayma, son sperme coulant sur ses cuisses, mêlé à ses jus. Les deux femmes, pantelantes, s’embrassèrent, leurs langues mêlant sperme et sueur, leurs corps luisants sous la lumière.

Nadia s’approcha de Dahmane, caméra toujours en main, son sourire cruel.

— J’ai tout filmé, Abu-Hurayra. Si tu parles à la gendarmerie, ces vidéos seront partout sur Internet. Tout le monde verra que tu regardais tes femmes se faire défoncer comme des salopes.

Elle se pencha, son souffle sur son visage :

— Omayma et Hafsa sont à moi, à Karim, à nos invités. Nos orgies sont officielles maintenant, et tu te tais.

Dahmane, brisé, baissa les yeux, sa bite dure trahissant son humiliation.

Omayma et Hafsa, enlacées, riaient, leurs corps marqués par le plaisir.

— On est libres, murmura Hafsa à Nadia, qui hocha la tête.

— T’es à nous, cocu, ajouta Omayma, un éclat vengeur dans les yeux.


Le désert, impassible, scellait leur triomphe, ses sables murmurant des vérités impitoyables.

Les avis des lecteurs

Le barbu en a pris pour son grade! Bravo Karim et Nadia! Et ses épouses sont désormais totalement libérées;



Texte coquin : Sahara (Karim & Nadia) – La Vengeance Ultime
Histoire sexe : Une rose rouge
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