Sahara (Karim & Nadia) - Le bal masqué

Récit érotique écrit par Karim_et_Nadia [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 10 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Karim_et_Nadia ont reçu un total de 26 859 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 446 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Sahara (Karim & Nadia) - Le bal masqué
La maison de terre rouge à Tamanrasset vibrait dans une obscurité fiévreuse, éclairée par des bougies vacillantes, leurs flammes dansant sous les courants d’air du désert. Sur une table basse, des masques noirs, des bandanas, des flacons d’huile parfumée à la myrrhe, et un fouet en cuir tressé attendaient. Les corps nus luisaient de sueur, les respirations étaient lourdes, saturées de désir brut. Quatre hommes – Karim, Yassine, Thierry et Mohamed – et trois femmes – Nadia, Leila et Claire – s’apprêtaient à s’abandonner à une orgie anonyme, où les noms s’effaçaient sous le feu du plaisir.
Nadia ajusta le bandana sur les yeux de Leila, ses doigts tremblant d’excitation, son souffle chaud frôlant sa nuque. « T’es prête ? » murmura-t-elle, la voix rauque, ses lèvres effleurant l’oreille de Leila.
— Oui… haleta Leila, sa chatte déjà trempée d’anticipation. Mais j’ai la trouille.
— Lâche-toi, susurra Nadia, caressant sa joue, ses doigts glissant vers ses lèvres pulpeuses. Ce soir, on est des bêtes affamées.
Karim, masqué, observait, sa queue dure à la main, palpitante de désir. Il savait ce qui allait suivre. Il voulait les entendre hurler, les voir se briser sous l’extase. Sa bite tressautait, douloureuse d’envie.
Bouches, chattes et culs offerts
Les trois femmes, à quatre pattes sur des coussins moelleux, les yeux bandés, offraient leurs corps comme des sacrifices païens. Leurs fesses luisaient sous la lueur des bougies, leurs chattes dégoulinaient, leurs bouches s’entrouvraient, prêtes à tout engloutir. Les hommes, masques noirs voilant leurs visages, se tenaient derrière, leurs bites dressées, prêtes à déchirer.
Nadia hurla quand une queue épaisse força sa bouche, l’étirant jusqu’à la douleur. Thierry ? Mohamed ? Peu importait. Elle ouvrit grand, sa gorge s’obstruant sous le gland massif, ses yeux larmoyant sous le bandana. Une main empoigna ses cheveux, la forçant à avaler jusqu’aux couilles poilues, son nez écrasé contre le pubis.
— Avale, salope ! grogna une voix masquée, rauque, vibrante de désir.
Nadia s’étouffa, sa langue léchant chaque veine, goûtant le sel, la sueur, et une pointe de musc. A côté, Leila cria, une bite s’enfonçant dans son cul sans ménagement, son sphincter cédant sous la pression brutale. Claire, à sa droite, gémissait, une queue dans sa bouche, une autre pilonnant sa chatte trempée, ses jus coulant sur ses cuisses, luisant comme du miel.
— Plus fort ! hurla Leila, ses ongles labourant les coussins. Défonce-moi, kesserni !
— Encule-moi comme une chienne ! supplia Claire, sa voix brisée, sa gorge pleine.
Les hommes obéissaient, leurs coups de reins sauvages faisant claquer la chair, un concert de grognements et de cris. Nadia sentit des doigts écarter ses fesses, un gland lubrifié forcer son anus. « Tu veux ça, hein ? » grogna une voix inconnue.
— Oui ! Nikni akter ! Tarteq li tremti ! cria-t-elle en arabe.
La queue s’enfonça dans son cul, l’étirant jusqu’à la douleur, chaque coup de reins envoyant des éclairs de plaisir brut. Elle suça plus fort, sa langue dansant sur les couilles de l’homme devant elle, les aspirant, les léchant avec frénésie, goûtant leur poids lourd et salé.
Le cul de Leila déchiré
Un cri strident déchira la nuit, un hurlement primal qui fit trembler les murs de terre rouge. Leila. Un mandrin monstrueux, un instrument de torture et de plaisir extrême, venait de l’enculer avec une violence inouïe. Son anus, à peine lubrifié, céda sous la pression, la douleur et l’extase se mêlant en une tempête dévastatrice. Leila hurla, ses larmes trempant son bandana, son corps secoué comme une poupée désarticulée, ses cuisses tremblantes.
— AAAAH ! PUTAIN ! TU ME TUES ! TU ME DECHIRES ! cria-t-elle, hystérique, sa voix brisée par des sanglots de plaisir.
Yassine, qui pilonnait la chatte de Claire, s’arrêta net, son cœur cognant. Ce cri, c’était sa Leila, sa femme, en train de se faire détruire. Une vague de peur et de désir le submergea. Il se retira de Claire, sa queue luisante, et rampa vers Leila, ses mains tremblantes. Il s’agenouilla près d’elle, caressant ses cheveux, son dos, murmurant des encouragements, sa voix rauque d’émotion.
— Tiens bon, habibati, souffla-t-il, ses doigts glissant sur ses fesses marquées. T’es forte, t’es magnifique. Laisse-le te baiser, prends tout.
Nadia et Claire, qui connaissaient l’effet de ce mandrin, cette arme de plaisir brut qui les avait martyrisées lors de nuits passées, échangèrent un regard complice sous leurs bandanas. Nadia, toujours empalée par une queue dans son cul, sentit sa chatte pulser en repensant à Thierry, à la façon dont il avait étiré son anus jusqu’à la limite, la faisant hurler d’extase et de douleur. Claire, une bite dans sa bouche, gémissait, se reconnaissant la sensation de son cul défoncé par cet instrument impitoyable, chaque coup la poussant au bord de la folie.
— C’est Thierry, hein ? murmura Claire, sa voix étouffée par le gland dans sa gorge. Il démonte son cul comme il avait démoli les nôtres !
— OUI ! IL ME DETRUIT ! hurla Leila, son corps convulsant, ses seins rebondissant sous les coups.
Leila gémit, ses cris se transformant en gémissements gutturaux alors que Thierry (c’est bien lui) accélérait, ses hanches claquant contre ses fesses, son gland monstrueux ravageant son anus. Yassine, les yeux brillants, caressa son clitoris, amplifiant son plaisir, ses doigts trempés de ses jus. « T’es ma reine, Leila, prends sa bite, jouis pour moi », murmura-t-il, sa propre queue palpitant, excité par la vision de sa femme déchirée par Thierry.
Thierry grogna, ses couilles claquant contre la chatte de Leila, ses doigts enfoncés dans ses hanches. « Je vais jouir dans ton cul, salope ! » rugit-il.
— REMPLIS-MOI ! cria Leila, hystérique, encouragée par les caresses de Yassine.
Son sperme chaud gicla dans son anus, débordant, coulant sur ses cuisses en ruisseaux épais. Leila jouit violemment, son orgasme secouant son corps, ses cris animaux résonnant dans le désert. Yassine, à ses côtés, l’embrassa, sa langue dans sa bouche, partageant son extase, son amour mêlé de jalousie et de désir brut. Cette scène, mythique et mémorable, grava dans leurs mémoires l’image de Leila, déchirée mais triomphante, soutenue par son mari.
L’orgie
Plus de règles, plus de limites. Les hommes changeaient de trous sans prévenir, leurs bites passant des bouches aux chattes, des culs aux gorges, dans un chaos de chair et de sueur. Nadia, à cheval sur Mohamed, sa chatte empalée sur sa queue longue et fine, sentit Karim forcer son anus, lubrifié à l’huile de myrrhe. La double pénétration la fit hurler, « Nikouni akter ! », en arabe, son corps écartelé, chaque coup de reins synchronisé envoyant des vagues de douleur et de plaisir. Ses parois vibraient, son clitoris frottait contre le pubis de Mohamed, chaque mouvement amplifiant son extase.
Claire, à quatre pattes, prenait deux bites : Yassine dans sa chatte, Thierry dans son cul. Elle criait, « Défoncez-moi ! », ses seins rebondissaient, ses jus coulaient sur le sol comme une rivière. Leila, encore tremblante, suçait la queue de Karim, sa langue léchant ses couilles lourdes, puis son gland, tandis qu’une autre bite – celle de Mohamed – s’enfonçait dans son cul ravagé, la faisant gémir de douleur et de plaisir.
Dans un coin, Yassine attacha Claire à un pilier avec des cordes de soie, ses jambes écartées. Il lubrifia un plug en verre, sculpté avec des motifs Touaregs, et l’inséra dans son cul, le froid du verre contrastant avec la chaleur de son corps. Il la pénétra par la chatte, ses coups brutaux faisant vibrer le plug, amplifiant chaque sensation. Claire hurla, « Putain ! ma chatte est en feu. », ses parois se resserrant, son corps secoué. Thierry s’approcha, enfonçant son mandrin monstrueux dans sa bouche, ses couilles claquant contre son menton, la faisant suffoquer.
Nadia, insatiable, grimpa sur Thierry, allongé sur les coussins. Elle guida sa queue massive dans sa chatte, puis invita Mohamed à la rejoindre pour une double pénétration vaginale. « Tarteq li tremti ! » cria-t-elle, ses parois étirées à l’extrême, son clitoris frottant contre leurs pubis. Karim, dans son cul, accéléra, ses grognements se mêlant à ses hurlements. Elle jouit, son orgasme déchirant, ses jus inondant les deux bites dans sa chatte, son anus palpitant autour de Karim.
Leila, libérée, chevaucha Yassine, sa chatte glissant sur sa queue, tandis que Mohamed la sodomisait, ses coups brutaux faisant claquer ses fesses. Elle hurla, « Nikouni ! Kessrouni ! Ana el kahba dyalkoum. Plus fort ! », son corps secoué par la double pénétration. Claire, détachée, s’agenouilla devant Nadia, léchant son clitoris pendant que les hommes la pilonnaient, ses doigts explorant son propre cul, encore vibrant du plug.
Ejaculations au hasard
Les hommes déversaient leur sperme au hasard, sans distinction. Nadia sentit un jet chaud éclabousser son visage, coulant sur ses joues, ses lèvres. Elle ouvrit la bouche, avalant avidement, le goût salé et épais la faisait gémir. Une bite s’enfonça dans sa gorge, l’obligeant à lécher le gland poisseux, mélange de sperme, de salive, et de ses propres jus. « Lèche, salope ! » ordonna une voix masquée. Sa langue glissa sur chaque veine, chaque pli, jusqu’à ce que l’homme grogne et la repousse.
Un autre la saisit, la plaquant sur les coussins, et enfonça sa queue dans son cul endolori. Nadia hurla, « Tarteq li tremti ! », poussant ses fesses en arrière, son anus saignant légèrement, le plaisir surpassant la douleur. Elle jouit encore, son corps convulsant, ses cris étouffés par une autre bite dans sa bouche, qui gicla, son sperme inondant sa gorge, débordant sur son menton.
Leila, à quatre pattes, prenait une queue dans sa chatte et une autre dans son cul, son corps secoué par les coups. Un homme éjacula sur ses seins, le sperme chaud coulant sur ses tétons, qu’elle lécha avec avidité. Claire, à genoux, suçait deux bites à la fois, ses lèvres étirées, ses joues creusées, jusqu’à ce que les hommes giclent dans sa bouche, sur son visage, son cou, son corps luisant de foutre.
Des corps marqués à vie
A l’aube, le soleil filtrait à travers les voilages, révélant un chaos de coussins éventrés, de verres renversés, et de flaques de sperme séché. Nadia ouvrit les yeux, chaque mouvement arrachant une grimace. Son anus et sa chatte palpitaient, sa gorge irritée par les bites qu’elle avait sucées. Leila gémissait, une main sur son cul ravagé par Thierry, l’autre traçant les morsures sur ses épaules. Claire, allongée sur le ventre, grimaça en se redressant, ses lèvres gonflées, ses cuisses marquées de griffures.
— Putain… j’ai l’impression d’avoir été broyée, murmura Leila, sa voix brisée.
— Je ne marcherai pas pendant une semaine, rit Claire faiblement, son visage couvert de traces.
Nadia toucha son visage, sentant le sperme séché coller à sa peau. Dans le miroir, elle vit ses lèvres enflées, ses seins griffés, une morsure sanglante près de son téton. Elle pensa à Thierry et son mandrin légendaire. Elle sourit, fière et brisée, le souvenir de son cul martyrisé par cet instrument de torture et de plaisir gravé en elle.
— On dirait qu’on s’est battues avec des éléphants, dit Leila, entrant dans la salle de bain, ses fesses marquées d’ecchymoses.
— Ou qu’on s’est fait baiser par eux, répondit Nadia, un éclat dans les yeux.
Karim, sur la terrasse, fumait une cigarette, nu, sa queue en l’air. Ses yeux sombres brûlaient de désir et de jalousie. Nadia s’approcha, ses cuisses tremblantes.
— T’as mal ? demanda-t-il, la voix rauque.
— Ouais, répondit-elle, s’asseyant près de lui. Mais j’en veux encore.
Il serra les mâchoires. — Thierry t’a déchirée.
— Et j’ai kiffé, lâcha-t-elle, sans détour, repensant à la sensation de son anus écartelé par le monstre de Thierry.
Il l’attrapa, la plaqua contre le mur de terre rouge, arrachant la serviette qui la couvrait. Ses doigts s’enfoncèrent dans ses hanches, là où les marques des autres hommes brillaient encore. Il la pénétra d’un coup, sa queue s’enfonçant dans sa chatte endolorie. Nadia cria, « Nikni habibi ! », la douleur et le plaisir se mêlant, ses ongles labourant son dos. Elle jouit violemment, son corps secoué, ses jus coulant sur la queue de Karim.
— Je t’aime, murmura Karim, en imprimant un doux baiser sur le front de Nadia.
— Je t’aime, répondit Nadia, en lui rendant un baiser fougueux sur ses lèvres.
Des corps en feu et des regards affamés
Ils étaient attablés, nus sous des draps légers, grignotant des dattes, buvant du thé à la menthe. Les silences étaient lourds, chargés de désir inassouvi. Claire brisa le silence : « On fait quoi aujourd’hui ? »
— On se repose, rit Leila, grimaçant à cause de son cul ravagé par Thierry. Ou pas.
Nadia regarda Karim, sa queue tendant le drap. « On pourrait inviter Mohamed, dit-elle, les yeux brillants. Il est encore en ville. Et il adore les défis. »
Leila éclata de rire, malgré la douleur. « Putain, on est vraiment des monstres. »
— Non, répondit Karim, écrasant sa cigarette. On est libres.
Il s’approcha de Nadia, caressant ses seins marqués, ses doigts frôlant une morsure. « Ce soir, c’est moi qui décide les règles. »
Nadia sourit, excitée, le souvenir de Thierry et de Yassine soutenant Leila gravé dans son esprit. Leila et Claire échangèrent un regard complice. « On sera là », dit Leila.
— Moi aussi, ajouta Claire, un sourire carnassier.
Dehors, le désert s’étendait, indifférent. Mais dans cette maison de terre rouge, ils étaient une meute, affamée, sans limites.
Nadia ajusta le bandana sur les yeux de Leila, ses doigts tremblant d’excitation, son souffle chaud frôlant sa nuque. « T’es prête ? » murmura-t-elle, la voix rauque, ses lèvres effleurant l’oreille de Leila.
— Oui… haleta Leila, sa chatte déjà trempée d’anticipation. Mais j’ai la trouille.
— Lâche-toi, susurra Nadia, caressant sa joue, ses doigts glissant vers ses lèvres pulpeuses. Ce soir, on est des bêtes affamées.
Karim, masqué, observait, sa queue dure à la main, palpitante de désir. Il savait ce qui allait suivre. Il voulait les entendre hurler, les voir se briser sous l’extase. Sa bite tressautait, douloureuse d’envie.
Bouches, chattes et culs offerts
Les trois femmes, à quatre pattes sur des coussins moelleux, les yeux bandés, offraient leurs corps comme des sacrifices païens. Leurs fesses luisaient sous la lueur des bougies, leurs chattes dégoulinaient, leurs bouches s’entrouvraient, prêtes à tout engloutir. Les hommes, masques noirs voilant leurs visages, se tenaient derrière, leurs bites dressées, prêtes à déchirer.
Nadia hurla quand une queue épaisse força sa bouche, l’étirant jusqu’à la douleur. Thierry ? Mohamed ? Peu importait. Elle ouvrit grand, sa gorge s’obstruant sous le gland massif, ses yeux larmoyant sous le bandana. Une main empoigna ses cheveux, la forçant à avaler jusqu’aux couilles poilues, son nez écrasé contre le pubis.
— Avale, salope ! grogna une voix masquée, rauque, vibrante de désir.
Nadia s’étouffa, sa langue léchant chaque veine, goûtant le sel, la sueur, et une pointe de musc. A côté, Leila cria, une bite s’enfonçant dans son cul sans ménagement, son sphincter cédant sous la pression brutale. Claire, à sa droite, gémissait, une queue dans sa bouche, une autre pilonnant sa chatte trempée, ses jus coulant sur ses cuisses, luisant comme du miel.
— Plus fort ! hurla Leila, ses ongles labourant les coussins. Défonce-moi, kesserni !
— Encule-moi comme une chienne ! supplia Claire, sa voix brisée, sa gorge pleine.
Les hommes obéissaient, leurs coups de reins sauvages faisant claquer la chair, un concert de grognements et de cris. Nadia sentit des doigts écarter ses fesses, un gland lubrifié forcer son anus. « Tu veux ça, hein ? » grogna une voix inconnue.
— Oui ! Nikni akter ! Tarteq li tremti ! cria-t-elle en arabe.
La queue s’enfonça dans son cul, l’étirant jusqu’à la douleur, chaque coup de reins envoyant des éclairs de plaisir brut. Elle suça plus fort, sa langue dansant sur les couilles de l’homme devant elle, les aspirant, les léchant avec frénésie, goûtant leur poids lourd et salé.
Le cul de Leila déchiré
Un cri strident déchira la nuit, un hurlement primal qui fit trembler les murs de terre rouge. Leila. Un mandrin monstrueux, un instrument de torture et de plaisir extrême, venait de l’enculer avec une violence inouïe. Son anus, à peine lubrifié, céda sous la pression, la douleur et l’extase se mêlant en une tempête dévastatrice. Leila hurla, ses larmes trempant son bandana, son corps secoué comme une poupée désarticulée, ses cuisses tremblantes.
— AAAAH ! PUTAIN ! TU ME TUES ! TU ME DECHIRES ! cria-t-elle, hystérique, sa voix brisée par des sanglots de plaisir.
Yassine, qui pilonnait la chatte de Claire, s’arrêta net, son cœur cognant. Ce cri, c’était sa Leila, sa femme, en train de se faire détruire. Une vague de peur et de désir le submergea. Il se retira de Claire, sa queue luisante, et rampa vers Leila, ses mains tremblantes. Il s’agenouilla près d’elle, caressant ses cheveux, son dos, murmurant des encouragements, sa voix rauque d’émotion.
— Tiens bon, habibati, souffla-t-il, ses doigts glissant sur ses fesses marquées. T’es forte, t’es magnifique. Laisse-le te baiser, prends tout.
Nadia et Claire, qui connaissaient l’effet de ce mandrin, cette arme de plaisir brut qui les avait martyrisées lors de nuits passées, échangèrent un regard complice sous leurs bandanas. Nadia, toujours empalée par une queue dans son cul, sentit sa chatte pulser en repensant à Thierry, à la façon dont il avait étiré son anus jusqu’à la limite, la faisant hurler d’extase et de douleur. Claire, une bite dans sa bouche, gémissait, se reconnaissant la sensation de son cul défoncé par cet instrument impitoyable, chaque coup la poussant au bord de la folie.
— C’est Thierry, hein ? murmura Claire, sa voix étouffée par le gland dans sa gorge. Il démonte son cul comme il avait démoli les nôtres !
— OUI ! IL ME DETRUIT ! hurla Leila, son corps convulsant, ses seins rebondissant sous les coups.
Leila gémit, ses cris se transformant en gémissements gutturaux alors que Thierry (c’est bien lui) accélérait, ses hanches claquant contre ses fesses, son gland monstrueux ravageant son anus. Yassine, les yeux brillants, caressa son clitoris, amplifiant son plaisir, ses doigts trempés de ses jus. « T’es ma reine, Leila, prends sa bite, jouis pour moi », murmura-t-il, sa propre queue palpitant, excité par la vision de sa femme déchirée par Thierry.
Thierry grogna, ses couilles claquant contre la chatte de Leila, ses doigts enfoncés dans ses hanches. « Je vais jouir dans ton cul, salope ! » rugit-il.
— REMPLIS-MOI ! cria Leila, hystérique, encouragée par les caresses de Yassine.
Son sperme chaud gicla dans son anus, débordant, coulant sur ses cuisses en ruisseaux épais. Leila jouit violemment, son orgasme secouant son corps, ses cris animaux résonnant dans le désert. Yassine, à ses côtés, l’embrassa, sa langue dans sa bouche, partageant son extase, son amour mêlé de jalousie et de désir brut. Cette scène, mythique et mémorable, grava dans leurs mémoires l’image de Leila, déchirée mais triomphante, soutenue par son mari.
L’orgie
Plus de règles, plus de limites. Les hommes changeaient de trous sans prévenir, leurs bites passant des bouches aux chattes, des culs aux gorges, dans un chaos de chair et de sueur. Nadia, à cheval sur Mohamed, sa chatte empalée sur sa queue longue et fine, sentit Karim forcer son anus, lubrifié à l’huile de myrrhe. La double pénétration la fit hurler, « Nikouni akter ! », en arabe, son corps écartelé, chaque coup de reins synchronisé envoyant des vagues de douleur et de plaisir. Ses parois vibraient, son clitoris frottait contre le pubis de Mohamed, chaque mouvement amplifiant son extase.
Claire, à quatre pattes, prenait deux bites : Yassine dans sa chatte, Thierry dans son cul. Elle criait, « Défoncez-moi ! », ses seins rebondissaient, ses jus coulaient sur le sol comme une rivière. Leila, encore tremblante, suçait la queue de Karim, sa langue léchant ses couilles lourdes, puis son gland, tandis qu’une autre bite – celle de Mohamed – s’enfonçait dans son cul ravagé, la faisant gémir de douleur et de plaisir.
Dans un coin, Yassine attacha Claire à un pilier avec des cordes de soie, ses jambes écartées. Il lubrifia un plug en verre, sculpté avec des motifs Touaregs, et l’inséra dans son cul, le froid du verre contrastant avec la chaleur de son corps. Il la pénétra par la chatte, ses coups brutaux faisant vibrer le plug, amplifiant chaque sensation. Claire hurla, « Putain ! ma chatte est en feu. », ses parois se resserrant, son corps secoué. Thierry s’approcha, enfonçant son mandrin monstrueux dans sa bouche, ses couilles claquant contre son menton, la faisant suffoquer.
Nadia, insatiable, grimpa sur Thierry, allongé sur les coussins. Elle guida sa queue massive dans sa chatte, puis invita Mohamed à la rejoindre pour une double pénétration vaginale. « Tarteq li tremti ! » cria-t-elle, ses parois étirées à l’extrême, son clitoris frottant contre leurs pubis. Karim, dans son cul, accéléra, ses grognements se mêlant à ses hurlements. Elle jouit, son orgasme déchirant, ses jus inondant les deux bites dans sa chatte, son anus palpitant autour de Karim.
Leila, libérée, chevaucha Yassine, sa chatte glissant sur sa queue, tandis que Mohamed la sodomisait, ses coups brutaux faisant claquer ses fesses. Elle hurla, « Nikouni ! Kessrouni ! Ana el kahba dyalkoum. Plus fort ! », son corps secoué par la double pénétration. Claire, détachée, s’agenouilla devant Nadia, léchant son clitoris pendant que les hommes la pilonnaient, ses doigts explorant son propre cul, encore vibrant du plug.
Ejaculations au hasard
Les hommes déversaient leur sperme au hasard, sans distinction. Nadia sentit un jet chaud éclabousser son visage, coulant sur ses joues, ses lèvres. Elle ouvrit la bouche, avalant avidement, le goût salé et épais la faisait gémir. Une bite s’enfonça dans sa gorge, l’obligeant à lécher le gland poisseux, mélange de sperme, de salive, et de ses propres jus. « Lèche, salope ! » ordonna une voix masquée. Sa langue glissa sur chaque veine, chaque pli, jusqu’à ce que l’homme grogne et la repousse.
Un autre la saisit, la plaquant sur les coussins, et enfonça sa queue dans son cul endolori. Nadia hurla, « Tarteq li tremti ! », poussant ses fesses en arrière, son anus saignant légèrement, le plaisir surpassant la douleur. Elle jouit encore, son corps convulsant, ses cris étouffés par une autre bite dans sa bouche, qui gicla, son sperme inondant sa gorge, débordant sur son menton.
Leila, à quatre pattes, prenait une queue dans sa chatte et une autre dans son cul, son corps secoué par les coups. Un homme éjacula sur ses seins, le sperme chaud coulant sur ses tétons, qu’elle lécha avec avidité. Claire, à genoux, suçait deux bites à la fois, ses lèvres étirées, ses joues creusées, jusqu’à ce que les hommes giclent dans sa bouche, sur son visage, son cou, son corps luisant de foutre.
Des corps marqués à vie
A l’aube, le soleil filtrait à travers les voilages, révélant un chaos de coussins éventrés, de verres renversés, et de flaques de sperme séché. Nadia ouvrit les yeux, chaque mouvement arrachant une grimace. Son anus et sa chatte palpitaient, sa gorge irritée par les bites qu’elle avait sucées. Leila gémissait, une main sur son cul ravagé par Thierry, l’autre traçant les morsures sur ses épaules. Claire, allongée sur le ventre, grimaça en se redressant, ses lèvres gonflées, ses cuisses marquées de griffures.
— Putain… j’ai l’impression d’avoir été broyée, murmura Leila, sa voix brisée.
— Je ne marcherai pas pendant une semaine, rit Claire faiblement, son visage couvert de traces.
Nadia toucha son visage, sentant le sperme séché coller à sa peau. Dans le miroir, elle vit ses lèvres enflées, ses seins griffés, une morsure sanglante près de son téton. Elle pensa à Thierry et son mandrin légendaire. Elle sourit, fière et brisée, le souvenir de son cul martyrisé par cet instrument de torture et de plaisir gravé en elle.
— On dirait qu’on s’est battues avec des éléphants, dit Leila, entrant dans la salle de bain, ses fesses marquées d’ecchymoses.
— Ou qu’on s’est fait baiser par eux, répondit Nadia, un éclat dans les yeux.
Karim, sur la terrasse, fumait une cigarette, nu, sa queue en l’air. Ses yeux sombres brûlaient de désir et de jalousie. Nadia s’approcha, ses cuisses tremblantes.
— T’as mal ? demanda-t-il, la voix rauque.
— Ouais, répondit-elle, s’asseyant près de lui. Mais j’en veux encore.
Il serra les mâchoires. — Thierry t’a déchirée.
— Et j’ai kiffé, lâcha-t-elle, sans détour, repensant à la sensation de son anus écartelé par le monstre de Thierry.
Il l’attrapa, la plaqua contre le mur de terre rouge, arrachant la serviette qui la couvrait. Ses doigts s’enfoncèrent dans ses hanches, là où les marques des autres hommes brillaient encore. Il la pénétra d’un coup, sa queue s’enfonçant dans sa chatte endolorie. Nadia cria, « Nikni habibi ! », la douleur et le plaisir se mêlant, ses ongles labourant son dos. Elle jouit violemment, son corps secoué, ses jus coulant sur la queue de Karim.
— Je t’aime, murmura Karim, en imprimant un doux baiser sur le front de Nadia.
— Je t’aime, répondit Nadia, en lui rendant un baiser fougueux sur ses lèvres.
Des corps en feu et des regards affamés
Ils étaient attablés, nus sous des draps légers, grignotant des dattes, buvant du thé à la menthe. Les silences étaient lourds, chargés de désir inassouvi. Claire brisa le silence : « On fait quoi aujourd’hui ? »
— On se repose, rit Leila, grimaçant à cause de son cul ravagé par Thierry. Ou pas.
Nadia regarda Karim, sa queue tendant le drap. « On pourrait inviter Mohamed, dit-elle, les yeux brillants. Il est encore en ville. Et il adore les défis. »
Leila éclata de rire, malgré la douleur. « Putain, on est vraiment des monstres. »
— Non, répondit Karim, écrasant sa cigarette. On est libres.
Il s’approcha de Nadia, caressant ses seins marqués, ses doigts frôlant une morsure. « Ce soir, c’est moi qui décide les règles. »
Nadia sourit, excitée, le souvenir de Thierry et de Yassine soutenant Leila gravé dans son esprit. Leila et Claire échangèrent un regard complice. « On sera là », dit Leila.
— Moi aussi, ajouta Claire, un sourire carnassier.
Dehors, le désert s’étendait, indifférent. Mais dans cette maison de terre rouge, ils étaient une meute, affamée, sans limites.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Karim_et_Nadia
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

