Sahara (Karim & Nadia) - Le plug en ivoire des Touaregs

Récit érotique écrit par Karim_et_Nadia [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 7 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Karim_et_Nadia ont reçu un total de 18 806 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 459 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Sahara (Karim & Nadia) - Le plug en ivoire des Touaregs
Le soleil s’effondrait sur Tamanrasset, éclaboussant le ciel de rouge sang. Une semaine après le départ de Lucie et Antoine, Nadia et Karim étaient seuls, leurs corps encore vibrants des souvenirs de leurs nuits sans règles. Au marché, un tourbillon d’épices, de tissus et de peaux de chèvre, Nadia négociait des dattes quand une ombre s’étira sur elle. Elle leva les yeux. Mohamed, un Touareg grand et mince, son tagelmust indigo ne révélant que ses yeux noirs perçants, la fixait. Ses lèvres pleines, à peine visibles, esquissèrent un sourire. Il vendait des bijoux en argent, mais son regard disait autre chose.
— Tu aimes ? demanda-t-il en arabe, sa voix chantante, en lui tendant un bracelet en argent.
Nadia le prit, le métal froid contre sa peau brûlante. Ses yeux noirs, profonds comme le désert, la transperçaient. Une chaleur sauvage monta en elle.
— Oui, répondit-elle, la voix rauque. Combien ?
— Ce que tu veux, dit-il, ses dents blanches brillant sous le voile.
Elle paya, ses doigts frôlant les siens, calleux et forts. Elle hésita, son cœur battant.
— Attends, lança-t-elle alors qu’il tournait les talons.
Il se retourna, un sourcil levé.
— Tu… veux boire un thé ?
Il la jaugea, ses yeux scrutant son âme. Puis, un hochement de tête. Une fois.
À l’ombre d’un palmier, ils burent un thé sucré à la menthe. Mohamed parlait peu, mais chaque regard était une caresse brûlante. Nadia sentit son corps s’éveiller, son clitoris palpitant sous son regard.
— Tu vis ici ? demanda-t-elle.
— Non. Je vais vers Djanet.
— Tout seul ?
— Toujours.
Un silence. Ses mains, longues et marquées de cicatrices, tenaient le verre avec une grâce brutale.
— Tu as une femme ?
— Non.
— Pourquoi ?
Un sourire en coin, mystérieux. — Pas trouvé celle qui me convient.
— Et si tu la trouvais ?
— Je ne cherche pas.
Son pouls s’accéléra. Elle jouait avec le feu, et elle adorait ça.
— Viens chez nous ce soir, lâcha-t-elle. Thé, vin, une terrasse sous les étoiles.
Ses yeux la percèrent. Un hochement. — Je viendrai.
De retour chez elle, Nadia trouva Karim réparant une chaise. Ses joues étaient roses, son corps vibrant.
— J’ai invité quelqu’un ce soir, dit-elle.
Karim leva les yeux. — Qui ?
— Mohamed. Un Touareg. Du marché.
— Ah.
Il posa son marteau, s’essuya les mains. — Tu veux qu’il te baise ?
— Oui.
— Et moi ?
— Tu regardes. Ou tu participes.
Il s’approcha, l’embrassa, ses mains serrant ses hanches. — Prépare-toi, murmura-t-il. Ce soir, tu vas tout prendre.
Mohamed arriva à la nuit tombée, son tagelmust indigo et sa tunique bleue ondulant dans l’air. Il apporta une bouteille de mahia et un sac en cuir. Sur la terrasse, sous une lune pleine, Karim avait disposé des coussins et des couvertures.
— Tu es belle, dit Mohamed, ses yeux noirs dévorant Nadia.
— Merci, répondit-elle, rougissante.
Karim servit le mahia dans des verres en métal. Les regards s’entrecroisaient, lourds de désir. Mohamed ne toucha pas Nadia. Pas encore. Mais son aura brûlante la faisait frissonner.
— T’as déjà baisé avec un Touareg ? demanda-t-il.
— Non. Menta-t-elle en pensant à Amara, ce jeune serveur qui avait déclenché en elle toute cette tornade.
— Ce soir, tu vas découvrir.
Karim but, ses yeux rivés sur eux, sa queue déjà tendue dans son pantalon.
Mohamed se leva, s’approcha de Nadia. Il défit sa robe, la laissant glisser, révélant ses courbes nues. Elle frissonna, son clitoris pulsant. Il caressa ses seins, pinçant ses tétons durs, arrachant un gémissement.
— T’es sûre ? murmura-t-il.
— Ouais, putain, vas-y.
Il l’embrassa, sa langue envahissant sa bouche, goûtant la menthe et le désir. Nadia gémit, ses ongles griffant sa tunique. Mohamed la guida vers les coussins, l’allongeant. Il retira sa tunique, révélant un torse musclé, scarifié par le désert. Son tagelmust tomba, exposant un visage aux traits fins, des lèvres pleines.
— Suce-moi, ordonna-t-il, défaisant son pantalon.
Nadia s’agenouilla, sa bouche enveloppant sa queue épaisse, veinée, le goût salé la faisant saliver. Elle lécha son gland, puis ses couilles, les aspirant, sa langue dansant sur la peau rugueuse. Mohamed grogna, ses doigts dans ses cheveux, poussant sa tête plus loin. Karim regardait, sa main sur sa bite, se branlant lentement.
Mohamed sortit un flacon d’huile et un plug anal en ivoire de son sac. Il lubrifia le plug, ses yeux sur Nadia. — T’as peur ?
— Non, répondit-elle, haletante.
Il glissa le plug dans son cul, lentement, ses doigts préparant son anus serré. Nadia gémit, la sensation d’étirement mêlée de plaisir la faisant trembler. Elle lécha le plug après qu’il l’eut retiré, goûtant son propre musc, ses yeux défiant Karim.
— Baise-moi, ordonna-t-elle à Mohamed.
Il la mit à quatre pattes, sa queue s’enfonçant dans sa chatte trempée, l’étirant violemment. Nadia hurla, ses parois palpitant autour de lui. Karim s’approcha, sa bite à la main. — Tu veux les deux ? grogna-t-il.
— Ouais, nikni akter ! cria-t-elle, en arabe, son esprit en feu.
Karim s’agenouilla devant elle, enfonçant sa queue dans sa bouche. Elle suça avidement, sa langue tourbillonnante, tandis que Mohamed la pilonnait par-derrière. Puis, il lubrifia son cul et remplaça le plug par sa bite, la sodomisant brutalement. Nadia cria, pleine des deux hommes, son corps secoué par leurs coups de reins synchronisés.
— Défonce-moi, kesserni ! Tarteq li tremti ! hurla-t-elle, alternant les langues, son corps vibrant.
Les sensations étaient écrasantes, la queue de Mohamed dans son cul, étirant son anus, la douleur se mêlant à un plaisir brut ; celle de Karim dans sa bouche, cognant sa gorge. Elle jouit, son orgasme explosant, ses jus inondant ses cuisses. Mohamed grogna, éjaculant dans son cul, son sperme chaud et épais débordant. Karim suivit, son foutre giclant dans sa bouche, sur son visage, ses seins.
Ils s’effondrèrent, en sueur, Nadia dégoulinant de sperme, son corps tremblant d’extase et de pouvoir.
Trois jours plus tard, Mohamed réapparut au coucher du soleil, son tagelmust flottant dans le vent. Nadia, sur la terrasse, un thé à la menthe à la main, le fixa, son regard brûlant.
— T’es revenu, dit-elle, la voix rauque.
— Ouais.
— Pourquoi ?
Il posa un sac en cuir sur la table.
— J’ai pensé à toi. Sans limites.
— Karim est là.
— Je sais. Il regardera.
Elle hocha la tête.
— Ce soir, c’est moi qui décide.
Mohamed sourit, sombre et dangereux. Karim rentra, posa son sac.
— Mohamed revient, annonça Nadia.
— Pour te baiser ?
— Ouais. Devant toi. Je veux tout. Partout.
Karim hocha la tête.
— D’accord.
Mohamed arriva avec une bouteille de mahia et un coffret en bois. Nadia l’ouvrit : huile parfumée, cordes de soie, un plug anal en ivoire.
— Ce soir, je prends tout, dit-elle.
Elle attacha ses poignets avec les cordes, se plaçant debout contre un pilier, nue, offerte. — Touche-moi, ordonna-t-elle à Mohamed.
Il caressa ses seins, pinçant ses tétons, puis glissa ses doigts dans sa chatte trempée, la faisant gémir.
— Plus fort, grogna-t-elle.
Il la gifla légèrement, ses seins tressautant, et elle cria de plaisir. Karim, assis, se branlait, ses yeux brûlants. Mohamed s’agenouilla, léchant sa chatte, sa langue fouillant son clitoris gonflé. Nadia hurla, tirant sur les cordes.
— Le plug, dit-elle, pantelante.
Mohamed lubrifia le plug d’ivoire, l’insérant lentement dans son cul.
Elle gémit, léchant le plug après, goûtant son essence, défiant Karim du regard.
— Tu kiffes ? demanda-t-elle.
— Ouais, grogna en regardant Nadia lécher le plug comme elle lèche une bire.
— T’en veux plus ? cria-t-elle.
— Oh, putain, oui !
Mohamed la mit à quatre pattes, enfonçant sa bite dans sa chatte, la pilonnant sauvagement. Karim s’approcha, sa queue dans la main. — Nikni akter ! hurla Nadia, son corps en feu.
Karim pénétra sa bouche, sa bite cognant sa gorge, tandis que Mohamed la sodomisait, lubrifiant son cul avec l’huile. La double pénétration la fit hurler, son corps secoué, son cul et sa bouche pleins. — Kesserni ! Tarteq li tremti ! cria-t-elle, en arabe, perdue dans l’extase.
Mohamed éjacula dans son cul, son sperme chaud débordant, tandis que Karim gicla dans sa bouche, sur ses seins, son visage. Elle jouit violemment, son orgasme déchirant, ses jus coulants.
Le lendemain, Mohamed était parti, laissant le plug d’ivoire. Nadia le serra contre elle, souriant. Karim l’enlaça.
— T’as aimé ? demanda-t-il.
— Oui. Et toi ?
— Ouais. Même si ça m’a rendu fou.
Elle rit, se blottissant contre lui. — On ne peut plus revenir en arrière.
— Non. Mais on n’en a plus envie.
Dehors, le désert s’étendait, indifférent. Mais dans leur maison de terre rouge, Nadia avait pris le contrôle, une femme libre, puissante, insatiable.
— Tu aimes ? demanda-t-il en arabe, sa voix chantante, en lui tendant un bracelet en argent.
Nadia le prit, le métal froid contre sa peau brûlante. Ses yeux noirs, profonds comme le désert, la transperçaient. Une chaleur sauvage monta en elle.
— Oui, répondit-elle, la voix rauque. Combien ?
— Ce que tu veux, dit-il, ses dents blanches brillant sous le voile.
Elle paya, ses doigts frôlant les siens, calleux et forts. Elle hésita, son cœur battant.
— Attends, lança-t-elle alors qu’il tournait les talons.
Il se retourna, un sourcil levé.
— Tu… veux boire un thé ?
Il la jaugea, ses yeux scrutant son âme. Puis, un hochement de tête. Une fois.
À l’ombre d’un palmier, ils burent un thé sucré à la menthe. Mohamed parlait peu, mais chaque regard était une caresse brûlante. Nadia sentit son corps s’éveiller, son clitoris palpitant sous son regard.
— Tu vis ici ? demanda-t-elle.
— Non. Je vais vers Djanet.
— Tout seul ?
— Toujours.
Un silence. Ses mains, longues et marquées de cicatrices, tenaient le verre avec une grâce brutale.
— Tu as une femme ?
— Non.
— Pourquoi ?
Un sourire en coin, mystérieux. — Pas trouvé celle qui me convient.
— Et si tu la trouvais ?
— Je ne cherche pas.
Son pouls s’accéléra. Elle jouait avec le feu, et elle adorait ça.
— Viens chez nous ce soir, lâcha-t-elle. Thé, vin, une terrasse sous les étoiles.
Ses yeux la percèrent. Un hochement. — Je viendrai.
De retour chez elle, Nadia trouva Karim réparant une chaise. Ses joues étaient roses, son corps vibrant.
— J’ai invité quelqu’un ce soir, dit-elle.
Karim leva les yeux. — Qui ?
— Mohamed. Un Touareg. Du marché.
— Ah.
Il posa son marteau, s’essuya les mains. — Tu veux qu’il te baise ?
— Oui.
— Et moi ?
— Tu regardes. Ou tu participes.
Il s’approcha, l’embrassa, ses mains serrant ses hanches. — Prépare-toi, murmura-t-il. Ce soir, tu vas tout prendre.
Mohamed arriva à la nuit tombée, son tagelmust indigo et sa tunique bleue ondulant dans l’air. Il apporta une bouteille de mahia et un sac en cuir. Sur la terrasse, sous une lune pleine, Karim avait disposé des coussins et des couvertures.
— Tu es belle, dit Mohamed, ses yeux noirs dévorant Nadia.
— Merci, répondit-elle, rougissante.
Karim servit le mahia dans des verres en métal. Les regards s’entrecroisaient, lourds de désir. Mohamed ne toucha pas Nadia. Pas encore. Mais son aura brûlante la faisait frissonner.
— T’as déjà baisé avec un Touareg ? demanda-t-il.
— Non. Menta-t-elle en pensant à Amara, ce jeune serveur qui avait déclenché en elle toute cette tornade.
— Ce soir, tu vas découvrir.
Karim but, ses yeux rivés sur eux, sa queue déjà tendue dans son pantalon.
Mohamed se leva, s’approcha de Nadia. Il défit sa robe, la laissant glisser, révélant ses courbes nues. Elle frissonna, son clitoris pulsant. Il caressa ses seins, pinçant ses tétons durs, arrachant un gémissement.
— T’es sûre ? murmura-t-il.
— Ouais, putain, vas-y.
Il l’embrassa, sa langue envahissant sa bouche, goûtant la menthe et le désir. Nadia gémit, ses ongles griffant sa tunique. Mohamed la guida vers les coussins, l’allongeant. Il retira sa tunique, révélant un torse musclé, scarifié par le désert. Son tagelmust tomba, exposant un visage aux traits fins, des lèvres pleines.
— Suce-moi, ordonna-t-il, défaisant son pantalon.
Nadia s’agenouilla, sa bouche enveloppant sa queue épaisse, veinée, le goût salé la faisant saliver. Elle lécha son gland, puis ses couilles, les aspirant, sa langue dansant sur la peau rugueuse. Mohamed grogna, ses doigts dans ses cheveux, poussant sa tête plus loin. Karim regardait, sa main sur sa bite, se branlant lentement.
Mohamed sortit un flacon d’huile et un plug anal en ivoire de son sac. Il lubrifia le plug, ses yeux sur Nadia. — T’as peur ?
— Non, répondit-elle, haletante.
Il glissa le plug dans son cul, lentement, ses doigts préparant son anus serré. Nadia gémit, la sensation d’étirement mêlée de plaisir la faisant trembler. Elle lécha le plug après qu’il l’eut retiré, goûtant son propre musc, ses yeux défiant Karim.
— Baise-moi, ordonna-t-elle à Mohamed.
Il la mit à quatre pattes, sa queue s’enfonçant dans sa chatte trempée, l’étirant violemment. Nadia hurla, ses parois palpitant autour de lui. Karim s’approcha, sa bite à la main. — Tu veux les deux ? grogna-t-il.
— Ouais, nikni akter ! cria-t-elle, en arabe, son esprit en feu.
Karim s’agenouilla devant elle, enfonçant sa queue dans sa bouche. Elle suça avidement, sa langue tourbillonnante, tandis que Mohamed la pilonnait par-derrière. Puis, il lubrifia son cul et remplaça le plug par sa bite, la sodomisant brutalement. Nadia cria, pleine des deux hommes, son corps secoué par leurs coups de reins synchronisés.
— Défonce-moi, kesserni ! Tarteq li tremti ! hurla-t-elle, alternant les langues, son corps vibrant.
Les sensations étaient écrasantes, la queue de Mohamed dans son cul, étirant son anus, la douleur se mêlant à un plaisir brut ; celle de Karim dans sa bouche, cognant sa gorge. Elle jouit, son orgasme explosant, ses jus inondant ses cuisses. Mohamed grogna, éjaculant dans son cul, son sperme chaud et épais débordant. Karim suivit, son foutre giclant dans sa bouche, sur son visage, ses seins.
Ils s’effondrèrent, en sueur, Nadia dégoulinant de sperme, son corps tremblant d’extase et de pouvoir.
Trois jours plus tard, Mohamed réapparut au coucher du soleil, son tagelmust flottant dans le vent. Nadia, sur la terrasse, un thé à la menthe à la main, le fixa, son regard brûlant.
— T’es revenu, dit-elle, la voix rauque.
— Ouais.
— Pourquoi ?
Il posa un sac en cuir sur la table.
— J’ai pensé à toi. Sans limites.
— Karim est là.
— Je sais. Il regardera.
Elle hocha la tête.
— Ce soir, c’est moi qui décide.
Mohamed sourit, sombre et dangereux. Karim rentra, posa son sac.
— Mohamed revient, annonça Nadia.
— Pour te baiser ?
— Ouais. Devant toi. Je veux tout. Partout.
Karim hocha la tête.
— D’accord.
Mohamed arriva avec une bouteille de mahia et un coffret en bois. Nadia l’ouvrit : huile parfumée, cordes de soie, un plug anal en ivoire.
— Ce soir, je prends tout, dit-elle.
Elle attacha ses poignets avec les cordes, se plaçant debout contre un pilier, nue, offerte. — Touche-moi, ordonna-t-elle à Mohamed.
Il caressa ses seins, pinçant ses tétons, puis glissa ses doigts dans sa chatte trempée, la faisant gémir.
— Plus fort, grogna-t-elle.
Il la gifla légèrement, ses seins tressautant, et elle cria de plaisir. Karim, assis, se branlait, ses yeux brûlants. Mohamed s’agenouilla, léchant sa chatte, sa langue fouillant son clitoris gonflé. Nadia hurla, tirant sur les cordes.
— Le plug, dit-elle, pantelante.
Mohamed lubrifia le plug d’ivoire, l’insérant lentement dans son cul.
Elle gémit, léchant le plug après, goûtant son essence, défiant Karim du regard.
— Tu kiffes ? demanda-t-elle.
— Ouais, grogna en regardant Nadia lécher le plug comme elle lèche une bire.
— T’en veux plus ? cria-t-elle.
— Oh, putain, oui !
Mohamed la mit à quatre pattes, enfonçant sa bite dans sa chatte, la pilonnant sauvagement. Karim s’approcha, sa queue dans la main. — Nikni akter ! hurla Nadia, son corps en feu.
Karim pénétra sa bouche, sa bite cognant sa gorge, tandis que Mohamed la sodomisait, lubrifiant son cul avec l’huile. La double pénétration la fit hurler, son corps secoué, son cul et sa bouche pleins. — Kesserni ! Tarteq li tremti ! cria-t-elle, en arabe, perdue dans l’extase.
Mohamed éjacula dans son cul, son sperme chaud débordant, tandis que Karim gicla dans sa bouche, sur ses seins, son visage. Elle jouit violemment, son orgasme déchirant, ses jus coulants.
Le lendemain, Mohamed était parti, laissant le plug d’ivoire. Nadia le serra contre elle, souriant. Karim l’enlaça.
— T’as aimé ? demanda-t-il.
— Oui. Et toi ?
— Ouais. Même si ça m’a rendu fou.
Elle rit, se blottissant contre lui. — On ne peut plus revenir en arrière.
— Non. Mais on n’en a plus envie.
Dehors, le désert s’étendait, indifférent. Mais dans leur maison de terre rouge, Nadia avait pris le contrôle, une femme libre, puissante, insatiable.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Karim_et_Nadia
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@ Nadia, j'espère que Mohammed revient régulièrement te prendre devant Karim.
J'adore vos histoires, pour avoir vécu beaucoup de choses similaires (que j'ai racontées dans mes textes autobiographiques) avec mon mari candauliste Philippe. Tu trouveras dans ma "fiche auteur" mes coordonnées. J'aurais aimé échangé avec toi par mail.
J'adore vos histoires, pour avoir vécu beaucoup de choses similaires (que j'ai racontées dans mes textes autobiographiques) avec mon mari candauliste Philippe. Tu trouveras dans ma "fiche auteur" mes coordonnées. J'aurais aimé échangé avec toi par mail.

