Sahara (Karim & Nadia) - Les premières nuits à Tamanrasset avec Lucie & Antoine

- Par l'auteur HDS Karim_et_Nadia -
Auteur couple.
  • • 6 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Karim_et_Nadia ont reçu un total de 14 028 visites.
Récit libertin : Sahara (Karim & Nadia) - Les premières nuits à Tamanrasset avec Lucie & Antoine Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 164 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Sahara (Karim & Nadia) - Les premières nuits à Tamanrasset avec Lucie & Antoine
Le soleil s’effondrait sur Tamanrasset, éclaboussant le ciel de rouge et d’orange, comme une plaie ouverte sur le désert. Nadia et Karim étaient affalés sur leur terrasse de terre rouge, un plateau de dattes collantes et de pain frais entre eux. Leur silence était lourd, chargé de désirs tus, leurs regards dansant une chorégraphie muette. Le désert s’étendait à l’infini autour de leur maison modeste, un monde de sable et de secrets.
Un grondement déchira la quiétude – un Toyota 4x4 couvert de poussière pila devant chez eux. Une blonde au carré court, Lucie, en descendit, son débardeur collant à ses courbes trempées de sueur. Derrière elle, Antoine, grand, barbu, ses yeux bleus scintillant d’épuisement et d’une lueur plus sauvage. Leurs vêtements étaient usés, leurs visages brûlés par le soleil, mais leurs sourires étaient bruts, sans filtre.
« Bonsoir ! » lança Lucie en français, son accent belge épais. « Désolée de vous emmerder, mais on cherche un hôtel. On nous a dit qu’il y en avait un par ici. »
Karim ricana, passant au français. « Pas d’hôtel ici. Juste des maisons comme la nôtre. »
« Putain », marmonna Antoine, essuyant la sueur de son front. « On a roulé toute la journée, on est crevés. »
Nadia jeta un regard à Karim, puis aux étrangers. « Restez ici », dit-elle, la voix ferme. « On a une terrasse, des matelas, de la place. »
Lucie éclata d’un rire aigu, ravie. « Sérieux ? Vous ne nous connaissez même pas ! »
Le sourire de Karim fut lent, complice. « On est tous des étrangers dans le désert. Et on sait ce que c’est d’arriver quelque part sans savoir où crécher. »
Antoine hocha la tête, reconnaissant. Ils acceptèrent sans discuter. Nadia prépara un thé à la menthe, son parfum sucré flottant dans l’air frais, tandis que Karim traînait des matelas sur la terrasse. La nuit engloutit le jour, enveloppant le tout d’un silence velouté.
Autour d’un tajine de poulet aux olives et d’un pain maison, la conversation coula comme du vin absent. Lucie et Antoine racontèrent leurs voyages – les souks du Maroc, les dunes de Mauritanie, les nuits étoilées du Mali. Leurs voix portaient une tension, une excitation contenue, comme s’ils cachaient un feu sous leurs mots.
« Et vous ? » demanda Lucie, ses yeux perçants sur Nadia. « Qu’est-ce qui vous a traînés dans ce trou paumé ? »
Nadia et Karim échangèrent un regard. Mentir ? Inventer une histoire banale ? Mais quelque chose dans le regard effronté de Lucie, dans l’intensité calme d’Antoine, fissura leur méfiance. Peut-être était-ce la main de Lucie frôlant la cuisse d’Antoine, ou leurs rires trop forts, trop libres.
« On a tout plaqué », dit Karim, la voix basse. « Le boulot, la famille, les conneries des apparences. »
Le sourire d’Antoine fut lent, approbateur. « Pareil. Lucie était prof de yoga, moi ingénieur. On a tout vendu pour se barrer et vadrouiller. Sans plan, sans limites. »
« Sans règles ? » taquina Nadia, son pouls s’accélérant.
« Surtout sans règles », susurra Lucie, ses yeux brillants. « On a découvert qu’on aimait partager. Regarder l’autre… désirer. »
L’air s’alourdit. Le cœur de Nadia cognait, ses cuisses se serraient sous la table. Karim agrippa son verre de thé. Ils comprenaient. Ces deux-là étaient comme eux – des fuyards, des rebelles, courant après une liberté brute.
« Vous avez déjà… partagé ? » demanda Nadia, la voix à peine stable.
Le sourire de Lucie était vicieux. « Oh ouais. Souvent. Des couples, des célibataires, des inconnus dans des coins sombres. Des nuits où rien ne compte sauf se faire jouir. »
Le souffle de Karim se coupa. Nadia sentit une chaleur humide envahir son entrejambe, son esprit tourbillonnant. Elle voulait en savoir plus. Elle voulait tout.
« Ça ne vous emmerde pas ? » demanda-t-elle. « La jalousie ? La peur de perdre l’autre ? »
Antoine se pencha, sa voix rauque. « Bien sûr, ça arrive. Mais on en fait un jeu. La jalousie, ça devient un putain d’aphrodisiaque. »
Les yeux de Nadia glissèrent vers Karim. Sa mâchoire était crispée, mais son regard brûlait, rivé sur Lucie. Il ne disait pas non. Elle non plus.
Les étoiles explosèrent au-dessus d’eux, des diamants dans un ciel d’encre. Lucie se leva, s’étira, son débardeur remontant pour révéler un ventre ferme. Elle s’approcha de Nadia, son sourire dangereux.
« Envie d’essayer un truc ? » murmura-t-elle.
Le souffle de Nadia se bloqua. Elle regarda Karim – ses yeux sombres, indéchiffrables, mais il ne bougea pas. « Essayer quoi ? » souffla-t-elle.
« Juste un baiser », dit Lucie, sa voix dégoulinante de promesses. « Pour voir ce que ça fait. »
Les poings de Karim se serrèrent. Le corps de Nadia hurlait oui, son esprit un mélange de peur et de désir. « D’accord », murmura-t-elle.
Les lèvres de Lucie s’écrasèrent sur les siennes, douces d’abord, puis affamées. Sa langue s’insinua, taquine, goûtant la menthe et la poussière. Nadia gémit, ses mains saisissant instinctivement les hanches de Lucie, sentant la chaleur de sa peau à travers le tissu fin. Les doigts de Lucie glissèrent le long des flancs de Nadia, frôlant la courbe de ses seins, envoyant des éclairs dans son bas-ventre. Quand Nadia rouvrit les yeux, Karim les fixait, ses pupilles dilatées, sa main crispée sur la table comme s’il allait la briser.
« Ça te plaît ? » ronronna Lucie, jetant un regard à Karim.
Il hocha la tête, muet, sa queue tendant son pantalon.
« On continue ? » taquina-t-elle.
Karim se leva brusquement, s’enfonça dans la maison. La porte de la chambre claqua. Le cœur de Nadia bondit – colère, excitation, ou les deux ? Lucie ne s’arrêta pas. Ses mains glissèrent sous le haut de Nadia, empoignant ses seins pleins, ses pouces tournant autour de ses tétons jusqu’à ce qu’ils durcissent. Nadia haleta, sa chatte palpitant, trempée de désir. La bouche de Lucie descendit sur son cou, ses dents effleurant la peau sensible, puis plus bas, suçant un téton à travers le tissu.
« Putain, t’es magnifique », murmura Lucie, arrachant le haut de Nadia. Sa langue s’attaqua à un téton nu, le léchant, puis le mordillant doucement, faisant gémir Nadia. Quand la main de Lucie plongea dans son pantalon, trouvant sa chatte trempée, elle sourit. « Déjà toute mouillée. T’en crèves d’envie, hein ? »
Nadia ne put que hocher la tête, ses hanches se cambrant alors que les doigts de Lucie s’enfonçaient en elle, caressant ses parois. Elle sentit les yeux de Karim depuis la fenêtre, sa silhouette tendue, observant tandis que Lucie la baisait avec ses doigts, lentement, profondément. L’idée qu’il regardait fit pulser son clitoris, son corps réclamant la délivrance.
Lucie s’agenouilla, arracha le pantalon de Nadia. Sa langue effleura son clito, doucement d’abord, puis sans relâche, le suçant, le titillant. Les jambes de Nadia tremblaient, ses mains empoignant les cheveux de Lucie alors qu’elle se frottait contre sa bouche. « Oh, putain », haleta-t-elle, son orgasme montant comme une tempête. Quand Lucie glissa trois doigts dans sa chatte dégoulinante, pompant fort, Nadia hurla, ses jus inondant le menton de Lucie.
Essoufflée, Nadia jeta un œil à la fenêtre. Karim était là, ses yeux brûlants, sa bite dans la main, se branlant lentement. Lucie se releva, embrassa Nadia profondément, lui faisant goûter son propre plaisir. « Ton mec kiffe grave », murmura-t-elle.
La voix de Nadia trembla. « Karim, ça va ? »
« Non », grogna-t-il, avançant sur la terrasse. « Mais n’arrêtez pas, bordel. »
Lucie sourit, tirant Nadia vers les matelas. Elle se déshabilla, révélant un corps élancé, bronzé, sa chatte luisante. Elle chevaucha le visage de Nadia, abaissant sa chatte humide sur sa bouche. Nadia lécha avidement, goûtant le musc sucré de Lucie, sa langue plongeant profondément tandis que Lucie gémissait, se frottant contre elle. Karim regardait, sa queue palpitante, du pré-sperme gouttant alors qu’il luttait contre l’envie de se joindre à elles.
Antoine, silencieux jusqu’alors, se leva, son érection tendant son pantalon. Il s’agenouilla derrière Nadia, écartant ses cuisses. « J’vais te baiser maintenant », dit-il, la voix rauque. Nadia hocha la tête, la bouche pleine de la chatte de Lucie. La queue d’Antoine était épaisse, l’étirant alors qu’il s’enfonçait, la remplissant complètement. Elle gémit dans la chatte de Lucie, les vibrations faisant frissonner cette dernière.
Antoine la baisa fort, ses couilles claquant contre son cul, chaque coup de reins l’enfonçant plus profondément dans la chatte de Lucie. Le second orgasme de Nadia frappa comme un train de marchandises, ses parois se resserrant autour de la bite d’Antoine alors qu’elle criait dans les replis de Lucie. Lucie jouit ensuite, ses jus inondant la bouche de Nadia, ses cuisses tremblantes.
Karim grogna, éjaculant dans sa main, ses yeux ne quittant jamais la scène. Alors qu’Antoine se retirait, sa queue luisante du sperme de Nadia, Lucie se pencha, le léchant jusqu’à ce qu’il soit propre, sa langue tourbillonnant autour de son gland. Nadia regardait, son corps encore vibrant, son cœur déchiré entre culpabilité et désir brut.
4x4 en panne !
Deux jours plus tard, la voix de Lucie crépita au téléphone. « Notre 4x4 est niqué. Coincé au garage pour au moins un jour. On peut revenir crécher chez vous ? »
Le pouls de Nadia s’emballa. Elle regarda Karim, occupé à marteler une étagère, ses muscles tendus. Il croisa son regard, hocha la tête. « Dis-leur oui. »
« Ils reviennent », dit Nadia après avoir raccroché.
Le sourire de Karim était sombre. « Cette fois, je ne vais pas juste regarder. »
Quand Lucie et Antoine arrivèrent, la nuit du désert avalait déjà la lumière. Ils étaient crasseux, rayonnants, leurs yeux brillant d’une intention claire. Lucie brandit une bouteille de vin rouge. « Pour une autre nuit de règles brisées », dit-elle, clignant de l’œil.
Karim s’empara de la bouteille. « Pas de verres. On boit comme des bêtes. »
Le rire de Lucie était sauvage. Ils s’assirent, passant le vin, l’air crépitant de tension. Antoine alluma une cigarette, la fumée se mêlant à l’odeur du désert, du thym et de la terre chaude. « Vous avez l’air prêts à exploser », remarqua-t-il, un sourire en coin.
« On l’est », admit Karim, la voix basse.
Lucie se pencha, ses yeux rivés sur Nadia. « Alors, on fait quoi ? On baise comme si le monde allait crever ? »
Nadia n’hésita pas. Elle se leva, attrapa Lucie et l’embrassa fort, leurs langues s’entrechoquant, leurs dents se frôlant. Lucie gémit, « Putain, t’es affamée », alors que Nadia arrachait son débardeur, exposant ses seins fermes. Nadia suça un téton, mordant jusqu’à ce que Lucie halète, ses mains empoignant les cheveux de Nadia.
Karim regardait, sa queue déjà dure. Antoine se cala dans son siège, se caressant à travers son pantalon. « Vous allez laisser les meufs s’amuser toutes seules ? » lança-t-il à Karim, moqueur.
« Hors de question », grogna Karim. Il se leva, saisit les cheveux de Lucie, la tirant à genoux. « Suce ma bite. »
Lucie sourit, défaisant son pantalon, libérant sa queue épaisse et palpitante. Elle lécha le dessous, lentement, taquine, puis aspira ses couilles, les roulant dans sa bouche, sa langue dansant sur la peau sensible. Karim grogna, ses mains s’enfonçant dans ses cheveux, mais ses yeux ne quittaient pas Nadia.
Antoine, son érection libre, s’approcha de Nadia, la plaquant contre le mur de terre rouge. « J’vais te défoncer le cul », gronda-t-il. Il cracha sur son anus, lubrifiant l’entrée, puis enfonça sa bite épaisse, étirant son cul dilaté. Nadia hurla, un mélange de douleur et de plaisir, ses mains griffant le mur alors qu’Antoine la pilonnait sans ménagement, ses couilles claquant contre ses fesses. Chaque coup de reins envoyait des vagues de chaleur dans son corps, sa chatte dégoulinant sur ses cuisses, en feu.
Karim, enfoncé dans les entrailles de Lucie, sa bite glissant dans sa chatte trempée, ne pouvait détacher ses yeux de Nadia. La voir se faire démonter par Antoine, son cul rebondissant à chaque coup, ses gémissements rauques, le rendait fou. Sa queue durcit encore, et il redoubla de férocité, saisissant les hanches de Lucie et la baisant avec une sauvagerie animale. Lucie hurla, ses cris déchirant la nuit, ses spasmes secouant son corps alors qu’elle jouissait violemment, sa chatte se resserrant autour de la bite de Karim, ses ongles griffant le sol.
Nadia, voyant Lucie dans cet état d’extase, les yeux révulsés, le corps convulsé, perdit tout contrôle. « Baise-moi plus fort ! » cria-t-elle, sa voix brisée. « Nikni ! Défonce mon cul, kesserni, tarteq li tremti ! » Elle alternait entre français et arabe, son esprit noyé dans un état second, son corps réclamant plus de violence, plus de profondeur. « Remplis-moi, putain ! » hurla-t-elle, ses mots crus résonnant dans la nuit.
Antoine grogna, enfonçant sa bite plus profondément dans son cul, ses coups de reins brutaux faisant trembler les jambes de Nadia. Elle sentit son anus s’étirer à l’extrême, chaque mouvement envoyant des éclairs de plaisir mêlés de douleur, sa chatte palpitant d’un besoin insatiable. « Karim ! » cria-t-elle, sa voix désespérée. « Lâche-la et viens remplir ma chatte en feu ! »
Karim, le souffle court, se retira de Lucie, sa queue luisante de ses jus. Lucie, encore tremblante, s’approcha de Nadia, s’allongeant sous elle. « Bouffe ma chatte », ordonna-t-elle, écartant ses cuisses, exposant sa fente dégoulinante. Nadia plongea, sa langue s’enfonçant dans la chatte de Lucie, léchant avidement, goûtant son nectar sucré tandis que Lucie gémissait, ses hanches se cambrant.
Karim s’agenouilla devant Nadia, sa queue dure comme l’acier. Il la pénétra d’un coup, sa bite s’enfonçant dans sa chatte trempée, brûlante, l’étirant jusqu’à ce qu’elle hurle de plaisir. Antoine, toujours dans son cul, accéléra, ses coups synchronisés avec ceux de Karim, créant un ballet charnel fantasmagorique. Nadia, prise en double pénétration, son cul et sa chatte remplis à ras bord, léchait frénétiquement la chatte de Lucie, ses gémissements étouffés par les plis humides.
« Oh, putain, oui ! » cria Nadia, ses mots se perdant dans un mélange de langues. « Nikouni akter ! Remplissez-moi, bordel ! » Son corps tremblait, submergé par les sensations, sa chatte et son cul palpitant autour des bites qui la défonçaient. Lucie jouit sous sa langue, ses cris animaux se mêlant aux siens, ses jus inondant le visage de Nadia.
Karim et Antoine accélérèrent, leurs grognements emplissant la nuit. Karim éjacula le premier, son sperme chaud et épais jaillissant dans la chatte de Nadia, la remplissant jusqu’à ce qu’il déborde sur ses cuisses. Antoine suivit, son foutre giclant dans son cul, chaque jet brûlant intensifiant son orgasme. Nadia hurla, son corps convulsant entre les deux hommes, sa langue toujours enfouie dans la chatte de Lucie.
Ils s’effondrèrent sur les matelas, en sueur, essoufflés, leurs corps vibrant de plaisir. Le sperme coulait des orifices de Nadia, son cul et sa chatte dégoulinant, son visage luisant des jus de Lucie. Lucie, pantelante, caressa les cheveux de Nadia. « T’es une putain de déesse », murmura-t-elle.
Le lendemain matin, Lucie et Antoine partirent tôt, leur 4x4 réparé. Ils laissèrent une bouteille de vin et un mot : « À la prochaine nuit sans règles. »
Nadia et Karim restèrent silencieux. Puis Karim l’attira à l’intérieur, la plaqua contre le mur de terre rouge. « T’as aimé ? » grogna-t-il, arrachant sa robe.
« Ouais », répondit-elle, haletante.
« Moi aussi », dit-il, la prenant debout, ses mains sous ses fesses, ses lèvres sur son cou, leurs corps scellant une nouvelle liberté.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Purée de la bonne baise de beurette Nadia



Texte coquin : Sahara (Karim & Nadia) - Les premières nuits à Tamanrasset avec Lucie & Antoine
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Karim_et_Nadia

Sahara (Karim & Nadia) - Les premières nuits à Tamanrasset avec Lucie & Antoine - Récit érotique publié le 15-09-2025
Sahara (Karim & Nadia) - Trois maliens clandestins à Tamanrasset - Récit érotique publié le 13-09-2025
Sahara (Karim & Nadia) - Chapitre 12bis L’attachement dangereux de Rachid - Récit érotique publié le 08-09-2025
Rencontre inattendu à Tamanrasset - Thierry & Claire - Récit érotique publié le 06-09-2025
Sahara - Chapitres 9 à 14 - Récit érotique publié le 04-09-2025
Sahara - Chapitres 1 à 8 - Récit érotique publié le 03-09-2025