Sahara (Karim & Nadia) - Trois maliens clandestins à Tamanrasset

- Par l'auteur HDS Karim_et_Nadia -
Auteur couple.
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Récit libertin : Sahara (Karim & Nadia) - Trois maliens clandestins à Tamanrasset Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2025 dans la catégorie Plus on est
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Sahara (Karim & Nadia) - Trois maliens clandestins à Tamanrasset
Le soleil de Tamanrasset tapait dur ce matin-là, une chaleur sèche qui collait la robe légère de Nadia à sa peau, soulignant chaque courbe comme une seconde peau humide. Karim, occupé à réparer une vieille chaise en bois de dattier dans leur maison de terre rouge, avait à peine levé les yeux quand elle avait annoncé, d’une voix traînante : "Je sors au marché, habibi. J’ai besoin d’air." Il avait hoché la tête, distrait, les doigts couverts de poussière. "Fais gaffe, mon cœur, avait-il marmonné, sans réaliser à quel point ces mots étaient prémonitoires.
Elle avait enfilé une robe de mousseline ivoire, si fine qu’on devinait le contour de ses tétons durs et l’ombre de sa chatte rasée sous le tissu. Pas de soutif. Pas de culotte. Juste l’air chaud du désert caressant sa peau, faisant frissonner ses mamelons gonflés et humidifiant déjà l’entrejambe de sa robe. "Si seulement il savait ce que sa kahba allait dénicher aujourd’hui", avait-elle pensé en souriant, les hanches roulant naturellement sous le regard des voisins.

Le marché de Tamanrasset n’était pas une jungle, c'est un organisme vivant, un mélange envoûtant d’odeurs et de couleurs. Les cris des marchands se mêlaient aux rires des femmes targuis, l’odeur des épices (cumin, coriandre, piment rouge) flottait dans l’air, se mélangeant à celle, plus âcre, de la viande grillée et de la sueur des corps pressés les uns contre les autres. Nadia déambulait entre les étals, ses pieds nus effleurant la poussière chaude, ses yeux verts scrutant les visages burinés par le soleil. Elle avait soif. Pas d’eau. D’autre chose.
Et puis, elle les vit.
Trois Maliens. Clandestins. Adossés contre le mur décrépi d’une échoppe abandonnée, leurs peaux noires luisantes de sueur, leurs muscles saillants trahissant des mois de survie dans le désert. Leurs yeux sombres la fixaient déjà, affamés. Pas seulement de nourriture.
Le premier, Ibrahim, était un géant aux épaules larges, une cicatrice en forme de croissant sur la joue gauche, héritage d’un combat ou d’une razia. Sous son pantalon de toile usée, une bosse monstrueuse déformait le tissu, longue et épaisse, courbée comme un cimeterre. Le deuxième, Moussa, plus fin mais tout en nerfs, avait une proéminence droite et rigide, si longue qu’elle descendait presque jusqu’à mi-cuisse. Le troisième, Ali, trapu et massif, arborait une érection évidente, large et courte comme un gourdin, pressant contre la toile de son boubou déchiré.
Ils crevaient de faim. Pas seulement de nourriture.
Nadia s’arrêta net, sentant sa chatte se contracter, un filet de jus chaud couler le long de ses cuisses. "Oh my God(e)… quels k’hols", murmura-t-elle, les lèvres légèrement entrouvertes, sa langue effleurant ses incisives.

Elle s’approcha, ses hanches ondulant comme une danseuse ouïghoure. "Vous avez l’air d’avoir traversé l’enfer, les gars", dit-elle en français, sa voix douce mais chargée de sous-entendus.

Ibrahim, le plus âgé, répondit dans un français hésitant, teinté d’accent malien :
- "Oui, madame. On a rien mangé depuis deux jours. Et… on a faim de tout."

Ses yeux noirs comme l’encre glissèrent sur ses seins, puis plus bas, là où la robe moulait le triangle sombre de sa chatte.

Nadia sourit, mordillant sa lèvre inférieure.
- "Venez chez moi. Je vous prépare un couscous. Et…" Elle marqua une pause, baissant la voix : "Si vous êtes sages, je vous offre autre chose à manger."

Moussa éclata d’un rire guttural, ses dents blanches brillant dans la pénombre de l’échoppe. "Toi, t’es une vraie femme du désert, hein ? Une qui sait ce qu’elle veut."
"Une qui sait ce qu’elle a faim de goûter, oui", rétorqua-t-elle, son regard brillant d’une lueur vicieuse. Ali, le plus silencieux, grognait déjà, sa main serrant son entrejambe comme pour retenir une bête enragée.

Chez elle, Karim était sorti – "parfait". Nadia prépara un couscous royal, généreux en agneau fondant, en légumes confits, et en épices qui brûlaient la langue. L’air était lourd, chargé d’une électricité presque palpable. Les trois Maliens s’assirent sur les coussins usés, leurs jeans tendus comme s’ils allaient exploser sous la pression de leurs érections monstrueuses.

- "Putain, vous êtes bien membrés, hein ?" lâcha Nadia en servant les assiettes, ses yeux rivés sur les braguettes gonflées.

Ibrahim sourit, un sourire carnassier qui découvrit des dents légèrement jaunies par le thé à la menthe et le khat.

- "Tu veux vérifier, kahba ?" Il utilisa le mot arabe pour "pute", mais sans méchanceté – plutôt comme un surnom, une reconnaissance de ce qu’elle était vraiment : une femme qui assumait ses désirs.

Elle possa son assiette, se lécha les lèvres d’un geste lent et provocant.

- "Ouais. Montrez-moi ça. J’ai jamais vu des zeb comme les vôtres." Le mot "zeb" sonnait comme une provocation, un défi.

Ali ne se fit pas prier. D’un geste brutal, il ouvra la braguette de son jean, libérant une bite large comme un poing, dure comme du béton, le gland violacé déjà luisant de pré-sperme.

- "Tâte, kahba. C’est du solide, ça."

Nadia s’agenouilla, ses doigts effleurant la chair brûlante, sentant les veines palpiter sous ses phalanxes.

- "Putain… C’est…" Elle ne trouva pas les mots. 25 centimètres de long, épais comme un poignet, avec des veines saillantes qui semblaient pulsar au rythme de son cœur affolé.

Moussa rit, défaisant sa ceinture à son tour. Sa bite jaillit – longue et courbée, comme un cimeterre, la pointe recourbée promettant des sensations inouïes. "Et moi, kahba ?

- Tu veux goûter ?"

Nadia n’eut pas besoin de répondre. Elle engloutit déjà le gland d’Ali dans sa bouche, sa langue tourbillonnant autour du méat, aspirant le liquide salé qui perchait.

- "Suce bien, kahba. On va te remplir comme tu l’as jamais été", grogna Ibrahim, libérant à son tour son monstre – 30 centimètres de chair noire, veineuse, le gland en forme de champignon déjà suintant. Nadia haleta, sa main tremblant en l’enveloppant.

- "Mon Dieu… C’est… un zeb de cheval."

- "Karim !" appela-t-elle soudain, tout en suçant la bite de Moussa. "Viens vite, habibi ! Trois k’hols maliens vont me niquer comme une chienne ! Viens voir ta salope se faire remplir par des zeb monstrueux !"

Karim arriva en trombe, essoufflé, les yeux écarquillés. Il la vit : à genoux, sa bouche grande ouverte autour de la bite de Moussa, ses doigts enroulés autour de celle d’Ibrahim, sa chatte déjà dégoulinante de jus.

- "Putain, Nadia…" murmura-t-il, sa main se portant instinctivement à son pantalon, où une érection douloureuse tendait le tissu.

- "Assieds-toi et regarde, habibi", dit-elle, sa voix rauque de désir, sa bouche bavant sur le gland de Moussa. "Aujourd’hui, je suis leur kahba. Et toi, tu mates ta femme se faire démonter par des k’hols." Karim obéit, s’asseyant sur un coussin, sa bite durcie dans sa main, tétanisé entre l’horreur et l’excitation.

Ibrahim la souleva comme une poupée de chiffon, ses mains puissantes enserrant ses hanches. "Prête, kahba ?" Nadia n’eut pas le temps de répondre. D’un mouvement sec, il la fit descendre sur sa bite monstrueuse, l’empalant jusqu’à la garde.

- "AAAAH !" hurla-t-elle, ses ongles s’enfonçant dans ses épaules. "Putain, Ibrahim…! C’est… comme un pieu ! Tu me transperces !"

Sa chatte était étirée à l’extrême, les parois vaginales frottant contre les veines saillantes de sa bite, chaque pulsion envoyant une décharge électrique dans son bas-ventre.

- "Tu kiffes ça, hein, kahba ?" ricana-t-il, ses hanches commençant un va-et-vient brutal. "Ta chatte est serrée… comme une vierge. Pourtant, t’es une salope, toi."

Nadia gémit, son corps se cambrant pour accueillir chaque coup, ses seins lourds ballottant contre son torse.

- "Plus fort !" supplia-t-elle. "Défonce cette chute, k’hol ! Remplis-moi jusqu’aux tripes !"

Moussa ne perdit pas de temps. Il se plaça derrière elle, crachant sur son anus serré, avant d’y enfoncer sa bite courbée d’un coup sec.

- "Aaaah !" hurla Nadia, sentant ses deux trous étirés à la limite de la douleur. "Putain, Moussa…! Ton zeb me déchire le cul !"

- "C’est ça, kahba", grogna-t-il, ses couilles claquant contre ses fesses. "Prends nos zeb comme une vraie pute du désert."

Ali s’approcha, sa bite large pointée vers son visage.

- "Ouvre la bouche, salope."

Nadia obéit, engloutissant son gland épais, bavant tandis qu’il forçait sa gorge.

- "Regarde ta femme, Karim", dit-elle, sa voix étouffée par la bite d’Ali. "Ta kahba se fait niquer par trois k’hols en même temps. Trois zeb noirs dans mes trous…" Karim gémit, sa main branlant sa bite avec frénésie, ses yeux rivés sur le spectacle.

Ils la retournèrent comme une crêpe, la mettant à quatre pattes, Ibrahim enfonçant sa bite dans sa chatte, Moussa prêt à la prendre par derrière.

- "Double vaginale, kahba", grogna Ibrahim. "Tu vas kiffer."

Nadia hurla quand Moussa s’enfonça à côté d’Ibrahim, deux bites noires étirant ses parois vaginales comme jamais.

- "OH PUTAIN ! DEUX ZEB en moi ! JE… JE…!"

Elle convulse. Ses muscles internes se contractaient en vagues folles, un orgasme dévastateur la secouant comme une crise.

- "Tu aimes ça, hein ?" ricana Moussa, ses couilles claquant contre son clitoris gonflé. "Ta chatte est en train de nous avaler."

- "Oui !" cria-t-elle. "Défoncez-moi ! Je suis votre pute ! Votre kahba malienne !"

Nadia assise sur Ibrahim en anal, jambes croisées, Moussa la pénétrant par devant, Ali baisant sa bouche.

- "OH PUTAIN !" gémit-elle. "Vos pieux me tordent !"

Puis, en amazone anale sur Ali, chevauchant son zeb large, Ibrahim et Moussa alternant dans sa chatte.

- "Dilatez ma chatte, Nikouni fort mes k’hols !" hurla-t-elle. "Je suis votre pute, votre kahba !"

Tête en bas, tenue par les chevilles, Ibrahim et Moussa la pénétrant en double vaginale, Ali baisant sa gorge pendante. "Oui ! Oui ! Encore, plus fort !" haleta-t-elle, son sang affluant à sa tête, ses cris étouffés par la bite d’Ali. "Remplissez votre kahba !"

Ils éjaculèrent ensemble, leur sperme chaud débordant de ses trous, coulant le long de ses cuisses.
Nadia convulsa une dernière fois, syncope d’extase :

- "Je brûle… Je suis au paradis des zeb noirs !"

Karim la serra contre lui, émouvant :

- "T’es ma kahba éternelle."

Nadia, haletante, sourit :

- "Et toi, mon cocu voyeur.

Prochain marché… plus de k’hols." Le vent chaud du désert lécha leurs corps collants de sueur et de sperme, comme une bénédiction.

Les avis des lecteurs

Uda3jivara cette fois-ci nadia, sincèrement vghigh akemwaligh

Histoire Erotique
Wow ... risqué et torride ...
YJ



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