Sahara (Karim & Nadia) - Yassine & Leila, les nouveaux exilés du désir - histoire érotique

La rencontre virtuelle : Un message dans l’ombre
Alger, trois mois avant le scandale qui l’avait contraint à l’exil. Nadia, étouffée par une vie qui l’asphyxie, noyait ses nuits dans les méandres des réseaux sociaux. Elle tomba sur le profil de Yassine, 32 ans, yeux sombres, sourire en coin, des posts cryptiques sur la liberté et l’hypocrisie de la société algérienne. Informaticien à Oran, il semblait aussi perdu qu’elle. Un soir, un verre de vin rouge trop fort dans le sang, elle lui écrivit : « Tu cherches la même chose que moi ? »
Une heure plus tard, alors que Karim ronflait à ses côtés, la réponse arriva : « Peut-être. Mais je ne suis pas seul. »
Nadia sentit son cœur s’emballer. « Ton couple est ouvert ? » tapa-t-elle, les doigts tremblants.
- On veut essayer. Mais on a la trouille.
- Moi aussi. Mais j’en crève d’envie.
- On pourrait se voir. Parler. Sans pression.
- Oui. Mais faut que mon mari soit d’accord.
- Leila, ma femme, aussi.
Nadia jeta un œil à Karim, endormi. Elle sait qu’il dira oui. Elle sait qu’il bande déjà à l’idée.

Ln café des confessions
Un café discret à Alger, loin des regards indiscrets. Yassine arriva, grand, mince, cheveux noirs en bataille, chemise ouverte dévoilant un torse musclé. Leila le suivit, petite, brune, yeux verts perçants, sa robe moulante épousant ses courbes pulpeuses. Ils s’assirent face à Nadia et Karim, les regards gênés mais brûlants.
— On est un peu à cran, avoue Leila, triturant sa tasse de thé.
— Nous aussi, répondit Nadia, ses doigts serrant ceux de Karim.
Yassine sourit, un rictus excité. « On n’a jamais fait ça. »
— Nous non plus, mentit Karim.
Un silence lourd. Leila se pencha vers Nadia, murmure : « Mais on en crève d’envie. Depuis longtemps. »
Nadia hocha la tête. Elle voyait la même lueur dans les yeux de Karim, un mélange de peur et de désir brut.
— On pourrait essayer… doucement, proposa Yassine.
— Chez nous. Ce weekend, lâcha Nadia.

Une expérience sous contrôle
Samedi soir, dans l’appartement de Nadia et Karim à Alger. La pénombre dorée des bougies enveloppait la pièce, les rideaux tirés. Leila et Yassine arrivèrent avec une bouteille de vin, leurs sourires nerveux. Nadia servit les verres, ses mains tremblantes.
— On fait comment ? demanda Leila, les joues roses.
— On y va doucement, répondit Nadia, s’asseyant près d’elle. On se touche. On s’embrasse. On voit.
Yassine s’assit près de Karim. Nadia embrassa Leila, ses lèvres douces d’abord, puis affamées, leurs langues s’entremêlant, goûtant le vin et le désir. Leurs mains exploraient mutuellement leurs corps, frôlaient leurs seins, leurs cuisses. Karim et Yassine regardaient ébahis par cette scène érotique qui leurs offraient Nadia et Leila.
Yassine se pencha, embrassa Leila, un baiser rapide, timide. Elle répond, ses doigts griffant le canapé. Nadia emmêla sa bouche pour embrasser celle de Yassine.
— Ça va ? murmura Yassine à Karim comme si, demander une autorisation, attendre une approbation.
— Ouais, grogna Karim, la voix rauque.
Nadia défit la robe de Leila, révélant ses seins pleins, ses tétons durs. Elle les pinca, arrachant un gémissement. Karim défit sa ceinture, libérant sa queue veinée. Il grogna, ses yeux rivés sur les femmes.
— Tu veux que je te suce ? demanda Nadia à Karim, ses yeux brillants.
— Non, répondit-il, tendu. Mais je veux te voir avec Yassine.
Nadia sourit, se jeta sur Yassine, l’embrassant sauvagement, sa langue dans sa bouche. Yassine grogna, ses mains empoignant ses hanches, soulevant sa robe. Leila observa, sa chatte trempée, puis se tourna vers Karim.
— Baise-moi, murmura-t-elle.
Karim la plaqua sur le canapé et la pénétra d’un coup, sa queue s’enfonçant dans sa chatte humide. Leila hurla, ses ongles labourant ses épaules. Nadia et Yassine les regardaient, excités. Yassine souleva Nadia, la pénétrant doucement, ses yeux sur Karim et Leila.
— Plus fort, haleta Nadia.
Yassine accélèra, ses coups de reins brutaux, ses couilles claquant contre son cul.
Leila cria, « Nikni akter ! », en arabe, son corps secoué par Karim.
Les deux couples baisaient en parallèle, leurs gémissements emplissant la pièce. Leila jouit la première, sa chatte se resserrant autour de la bite de Karim, ses jus coulaient abondamment. Nadia suivit, hurlant, puis Yassine et Karim éjaculèrent, leur sperme chaud giclant dans les chattes des femmes.
Ils s’effondrèrent, en sueur, essoufflés. Leila se blottit contre Nadia, murmure : « On recommencera ? »
— Ouais, répondit Nadia, un sourire sauvage. Bientôt.

L’éclatement des tabous
Deux mois plus tard, à Tamanrasset, dans leur maison de terre rouge, Nadia et Karim invitèrent Leila et Yassine. Une belle occasion pour ce couple d’origine oranaise de fuir la pression d’Alger où ils étouffaient sous la pression du travail et surtout, des traditions hypocrites et sclérosées.
Ce soir, plus de prudence, juste le désir brut, sans limites. La terrasse était baignée par la lune, des coussins éparpillés, une bouteille de mahia ouverte.
Nadia était nue, allongée sur les coussins, les jambes écartées, sa chatte luisante. Leila s’agenouilla entre ses cuisses, sa langue lapant son clitoris gonflé, goûtant son nectar sucré. Nadia gémit, ses doigts dans les cheveux de Leila, ses hanches se cambrant. Karim observait la scène, sa queue dure à la main, se branlant lentement. Yassine s’approcha, sa bite dressée, veinée, dégoulinante.
— Suce-moi, grogna-t-il à Nadia.
— Non, répond-elle, un sourire vicieux. Baise-moi.
Yassine s’agenouilla, sa queue contre sa chatte trempée. « Vas-y, nikni ! » ordonna-t-elle. Il la pénètra d’un coup, l’étirant violemment, ses couilles claquant contre son cul. Nadia hurla, ses ongles griffant les coussins, son corps secoué par chaque coup de reins. Karim regarda, sa main serrant la main de Leila, qui le branle en gémissant.
— Et moi ? demanda Leila.
— Viens, grogna Karim, l’attirant à lui.
Il la plaqua sur les coussins, la pénétrant brutalement, sa queue s’enfonçant dans sa chatte humide. Leila hurla, « Baise-moi ! », ses cris se mêlant à ceux de Nadia. Yassine accéléra, baisant Nadia comme une bête, ses grognements rauques emplissant la nuit. Nadia, les yeux mi-clos, criait : « Défonce-moi ! »
Leila, prise par Karim, se pencha vers Nadia, léchant ses seins, mordant ses tétons.
Yassine, enfoncé dans Nadia, lubrifia son cul et passa à son anus, l’enculant brutalement. Nadia hurla, « Tarteq li tremti ! », en arabe, son corps secoué par la douleur et le plaisir. Elle sentit son anus s’étirer, la queue de Yassine cognant profondément, ses couilles claquant contre ses fesses.
— Défonce-moi ! cria-t-elle, les yeux rivés sur Karim, qui baisait Leila.
Karim, excité par les cris de Nadia, se retira de la chatte de Leila.
— Viens, grogna-t-il à Nadia. Je veux ton cul.
Yassine se retira, laissant place à Karim, qui enfonca sa bite dans l’anus déjà dilaté de Nadia. Yassine passa à sa chatte, la pénétrant violemment. Nadia, en double pénétration, hurla, « Nikouni ! Ana el kahba dyalkoum (Baisez-moi ! je suis votre pute) », son corps plein, étiré à l’extrême. Leila s’approcha, chevauchant le visage de Nadia, frottant sa chatte trempée contre sa bouche. Nadia lècha avidement, sa langue plongeant dans ses replis, goûtant son musc sucré.
Les sensations submergèrent Nadia : l’anus brûlant sous les coups de Karim, la chatte palpitant autour de la bite de Yassine, la langue de Leila dans sa bouche. Elle jouit violemment, ses cris étouffés dans la chatte de Leila, ses jus inondant Yassine. Leila hurla, jouissant sur le visage de Nadia, ses cuisses tremblantes. Yassine éjacula dans sa chatte, son sperme chaud débordant, tandis que Karim gicla dans son cul, chaque jet intensifiant son orgasme.
Ils s’effondrèrent, en sueur, Nadia dégoulinant de sperme, son cul et sa chatte pleins, son visage luisant des jus de Leila. Leila, pantelante, caressa ses cheveux.
— T’es une reine, murmura-t-elle.
Nadia, haletante, caressa la joue de Leila.
— T’es une putain de déesse, murmura-t-elle à l’adresse de Leila.
A l’aube, ils étaient encore entrelacés sur les coussins, leurs corps marqués de griffures et de morsures. Nadia se blottit contre Karim, ses doigts traçant des cercles sur son torse.
— On est devenus des monstres, murmura-t-elle.
— Non, répondit Karim, l’embrassant. On est libres.
Leila et Yassine échangèrent un regard. Leila sourit, se blottit contre Yassine. « On reste ? »
— Oui, répondit Nadia. Pour toujours.
Le désert s’étendait, indifférent. Mais dans cette maison de terre rouge, ils avaient forgé une famille sans règles, sans tabous, unie par le désir brut.