SAINT-RAPHAEL - ÉTÉ 2018 — CHAPITRE 2

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
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Récit libertin : SAINT-RAPHAEL - ÉTÉ 2018 — CHAPITRE 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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SAINT-RAPHAEL - ÉTÉ 2018 — CHAPITRE 2
Ce soir-là, on a dîné tous les quatre dehors, près de la piscine. Une fois les assiettes vides, Juliette a sorti une bouteille vide et l’a posée entre nous.

— On joue ?

Je savais que ce jeu-là allait déraper. Et j’en avais envie.


SAINT-RAPHAEL - ÉTÉ 2018 — CHAPITRE 2


Le jeu avait commencé doucement. Un "action ou vérité" au bord de la piscine, dans le clapotis de l’eau et l’odeur du vin rosé.

Juliette faisait tourner la bouteille avec un sourire en coin. Elle maîtrisait l’ambiance comme une cheffe d’orchestre. Quand elle désigna Baptiste, elle lui demanda de faire un strip-tease sur le plongeoir. Il n’a pas bronché. En quelques secondes, il était nu, tendu, prêt à plonger.

Il avait un corps solide, sec, avec une queue qui balançait doucement alors qu’il sautait dans l’eau. Juliette et moi avons regardé sans filtre. Il avait plus que de la gueule : il était bien monté. Bien plus que mon ex.

Quand Baptiste est revenu, trempé, une serviette sur les épaules et sa queue toujours un peu gonflée, c’était à lui de faire tourner. La bouteille s’est arrêtée sur Louis.

— Allez, strip-tease aussi, mon pote, t’es pas en sucre.

Louis a enlevé son t-shirt, son short, et s’est retrouvé lui aussi à poil. Il avait une légère érection qu’il tentait de cacher, mais ça se voyait. Juliette a rigolé. Moi, je n’en ratais pas une miette.

Puis la bouteille a désigné Juliette. Louis a demandé :

— Tu dois laisser Baptiste dégrafer ton haut avec les dents.

Elle a levé les bras, fière. Baptiste s’est approché d’elle, nu, la bouche à hauteur de ses seins. Elle portait un haut de maillot à ficelles. Il a tiré lentement avec ses dents, la joue contre sa poitrine. Quand le tissu est tombé, ses seins sont apparus : fermes, dorés, superbes. Je l’ai enviée, autant que j’ai eu envie d’elle à cet instant.

Tout le monde était nu. Sauf moi.

Quand la bouteille s’est arrêtée face à moi, les trois me regardaient. Je savais que c’était mon tour. Juliette a souri.

— Strip-tease intégral. Et tu danses.

J’ai soufflé un "OK" comme un défi. J’étais en short en jean et débardeur blanc, un petit ensemble en dentelle en dessous. Je me suis levée. Le carrelage était tiède sous mes pieds nus. Une playlist a lancé une musique lente, sexy. J’ai dansé. Mon corps a bougé tout seul, nourri de tous ces regards brûlants.

Le haut est tombé. Puis le short. Je me suis avancée jusqu’à la douche extérieure, j’ai ouvert l’eau. Mon ensemble blanc est devenu transparent. Les garçons sifflaient. Juliette applaudissait.

Je me suis tournée. Soutien-gorge : envolé. Culotte : descendue lentement, dos cambré, fesses offertes. Et quand je me suis retournée, nue sous la douche, je les ai vus. Leurs yeux écarquillés. Et… Jérôme.

Il était là, debout sur la terrasse, un verre à la main. Il nous regardait. Son visage était impassible, mais son regard, lui, me fouillait. Il s’est approché lentement.

— On s’amuse bien ici ?

Silence. Gêné. Saisi. Tout le monde a filé en courant, vêtements en main. J’étais seule, nue, trempée, seins dressés, peau frissonnante.

J’ai voulu ramasser mes fringues quand j’ai entendu sa voix :

— Tu as oublié ça.

Il me tendait ma culotte. Nos doigts se sont frôlés.

— Tu danses très bien, tu sais. Et tu as un corps… magnifique. Si j’avais quelques années de moins…

Je l’ai regardé droit dans les yeux. J’étais rouge, tremblante, mouillée partout, mais je n’ai pas détourné le regard.

— Et moi, si j’avais quelques années de plus…

Il a souri, lentement. Et il est reparti, comme si de rien n’était.

Le lendemain, je me suis levée tôt, encore électrisée par la veille. Jérôme n’était pas là. Mais Nathalie, elle, m’attendait dans la cuisine.

— Bien dormi ?
— Pas trop…
Elle a souri.

— Jérôme m’a parlé de ta danse d’hier soir. Il m’a dit que tu étais… captivante.

J’ai rougi.

— Tu as déjà posé pour des photos ? m’a-t-elle demandé. Je fais parfois des portraits, j’ai un petit atelier au fond du jardin. Si ça t’amuse, on pourrait essayer, cet après-midi ?

J’ai accepté. Par curiosité. Par provocation. Par envie.

L’atelier était une grande cabane en bois, pleine de lumière. Nathalie avait installé un fond blanc, des spots, un miroir. Elle m’a proposé quelques tenues. Je l’ai regardée : elle ne portait pas de soutien-gorge, ses seins bougeaient librement sous son t-shirt.

— Tu peux te changer ici, ne sois pas gênée.

Je me suis déshabillée. Lentement. Elle me regardait. Avec douceur, mais sans détour. J’ai enfilé un justaucorps blanc de danseuse. Sans culotte.

— Tu es sublime, Kristina. Jérôme avait raison.

Une voix s’est élevée derrière moi.

— Je te l’avais dit…

C’était lui. Torse nu, maillot de bain encore humide, debout dans l’embrasure de la porte. Son regard me déshabillait. J’étais partagée entre honte et excitation brute.

— Tu veux bien poser avec lui ? demanda Nathalie. Il est superbe, surtout en noir et blanc.

J’ai acquiescé.

Et puis, tout est allé très vite. Elle m’a demandé de tenir son sexe. De le soupeser. De tirer la peau. De dévoiler le gland. Je l’ai fait. Il durcissait dans ma paume. Je le serrais. Je le regardais. J’avais chaud. Entre mes cuisses, ça pulsait.

— Mets-toi à genoux, juste comme si tu allais l’embrasser… Parfait.

Je sentais son odeur de peau, de sel, de sueur. Ma langue a effleuré le bout. J’étais hypnotisée.

— Vas-y, prends-le…

Et je l’ai pris. Dans ma main. Puis entre mes lèvres.
Je tenais sa queue dans ma main, ferme, chaude, vivante. Chaque battement de son cœur faisait vibrer sa verge. Elle gonflait un peu plus à chaque seconde. J’étais à genoux, les yeux rivés sur ce sexe que j’avais moi-même libéré. Une main sur la base, l’autre sur ses couilles lourdes.

— Parfait, souffla Nathalie. Continue… Détends-toi… Explore-le.

Je n’étais pas tendue. J’étais électrisée.
Je fis glisser ma main jusqu’à la base, lentement, puis remontai, serrant un peu plus fort. Mon pouce caressait la veine qui courait sous sa peau tendue. Son gland était brillant, bombé, d’un rose profond. Une goutte de pré-sperme perla au sommet. Sans réfléchir, je passai ma langue.

— Oh putain, lâcha Jérôme dans un souffle rauque.
— Elle est douée, hein ? dit Nathalie, moqueuse.

Je souris, bouche entrouverte, langue sortie. Et je léchai encore, doucement. Juste le bout, juste pour l’entendre gémir. Mon corps entier vibrait. J’avais les cuisses humides, les seins durs, la bouche affamée.

— Tu veux le prendre ? demanda Nathalie, calmement.

Je hochai la tête.
Et je l’avalai.
Pas en entier, pas d’un coup. Mais j’en pris une bonne moitié, la bouche grande ouverte, salivant à mesure qu’il glissait sur ma langue. Il était chaud, dense, plein. Je relevai les yeux. Jérôme avait la tête basculée en arrière, les lèvres entrouvertes, les mains crispées.

— Bordel… Tu suces comme une reine, murmura-t-il.

Je le suçais à mon rythme. Longs allers-retours, langue souple. Ma main s’occupait du reste. Nathalie me tournait autour, appareil photo en main, mais je ne faisais plus attention. J’étais concentrée sur sa queue, sur les frissons qui montaient entre mes jambes.

Puis j’ai senti les mains de Nathalie sur mes hanches. Douces, précises. Elle caressait mes fesses, mes reins, glissait lentement vers l’avant.

— Tu es trempée, ma belle. Tu veux qu’on t’aide un peu ?

Je me suis redressée, toujours à genoux, le souffle court. Elle se mit derrière moi, sa main entre mes cuisses, ses doigts effleurant ma chatte trempée.

— Elle bande encore plus fort quand je te touche, tu as vu ? dit-elle à Jérôme.
Je hochai la tête, offerte.
Elle me caressa. Lentement d’abord, puis plus fort. Un doigt, puis deux. Ma chatte engloutissait tout. Et moi, la bouche à nouveau sur sa queue, je suçais plus vite. Il gémit. Nathalie accéléra, me branlant et me doigter en rythme. Je mouillais tout. Mes cuisses, ses doigts, le sol.

— Elle va jouir, dit-elle.

Et j’ai joui.
Fort. Un râle dans la gorge. Un orgasme profond, intense, comme une secousse. Ma bouche s’est serrée sur sa queue. Nathalie a ralenti, ses doigts toujours en moi, me gardant dans cette tension délicieuse.
Jérôme attrapa ma tête à deux mains.

— Laisse-moi finir dans ta bouche.

Je le regardai, les yeux brillants. Et je repris sa queue entre mes lèvres.
Trois va-et-vient.
Et il a joui.
Un râle long, brut. Des spasmes dans sa queue. Et le sperme, chaud, épais, coulant dans ma gorge. Je l’ai avalé, sans réfléchir. C’était salé, vivant, brutal. Il en restait au coin de mes lèvres. Nathalie les lécha du bout de la langue.

— Tu es incroyable.

Je n’ai rien dit. J’étais à genoux, nue, tremblante, soumise à l’instant. J’aimais ça. Chaque seconde.
Jérôme s’est rassis, haletant. Nathalie, elle, m’embrassa. Pas sur la bouche, pas sur le front. Sur les seins. Puis entre les cuisses, une dernière fois, lentement.

— On recommencera, dit-elle en se relevant. Si tu veux.

Je hochai la tête.
Et je suis partie me doucher. Mon corps était en feu. Ma tête bourdonnait. J’avais encore le goût de lui dans la bouche, et l’envie, plus que jamais, d’aller plus loin.
Je suis rentrée dans la maison encore électrisée. Mon corps vibrait de partout. J’avais encore l’odeur de Jérôme sur les lèvres, le goût de sa jouissance sur ma langue, la main de Nathalie imprimée entre mes cuisses.

Je voulais me jeter sur mon lit, me replier dans l’ombre pour me faire jouir encore, seule, en silence. Mais quand j’ai ouvert la porte de la chambre…
Ils étaient là.
Juliette allongée sur son lit, seins nus, les tétons bien dressés. Baptiste entre ses jambes, torse nu, penché sur elle. Il la léchait. Profondément. Langoureusement. Elle avait la tête en arrière, les jambes écartées, les ongles plantés dans les draps.
Ils ne m’avaient pas entendue. Et moi, paralysée sur le seuil, j’observais. Mon cœur battait trop vite. J’étais trempée. Littéralement.
Juliette gémit, se redressa légèrement, et m’aperçut.

— Oh merde… Kris !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bravo pour ces deux chapitres! C'est très très bien écrit, et vraiment excitant. Vivement la suite!



Texte coquin : SAINT-RAPHAEL - ÉTÉ 2018 — CHAPITRE 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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