SAINT-RAPHAEL - ÉTÉ 2018 — CHAPITRE 3

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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SAINT-RAPHAEL - ÉTÉ 2018 — CHAPITRE 3
Je voulais me jeter sur mon lit, me replier dans l’ombre pour me faire jouir encore, seule, en silence. Mais quand j’ai ouvert la porte de la chambre…
Ils étaient là.
Juliette allongée sur son lit, seins nus, les tétons bien dressés. Baptiste entre ses jambes, torse nu, penché sur elle. Il la léchait. Profondément. Langoureusement. Elle avait la tête en arrière, les jambes écartées, les ongles plantés dans les draps.
Ils ne m’avaient pas entendue. Et moi, paralysée sur le seuil, j’observais. Mon cœur battait trop vite. J’étais trempée. Littéralement.
Juliette gémit, se redressa légèrement, et m’aperçut.
— Oh merde… Kris !
SAINT-RAPHAEL - ÉTÉ 2018 — CHAPITRE 3
Je fis un pas en arrière, confuse.
— Pardon, j’voulais pas…
Mais elle m’arrêta d’un geste.
— Reste. S’il te plaît. Dis rien à mes parents… Ils sont à fond sur mon copain officiel et là, franchement, j’ai pas envie d’expliquer.
Elle se redressa, remit vaguement son haut sur ses seins, sans le nouer. Baptiste, rouge vif, s’était couvert le sexe avec un coussin.
— J’dirai rien, soufflai-je. Mais...
— Mais ? demanda Juliette en plissant les yeux.
Je les regardai tous les deux. Mon ventre tordu d’envie. Mon sexe qui palpitait. Ma voix était basse.
— J’aimerais voir. Juste... vous regarder. J’ai envie de comprendre. Comment on fait, comment... c’est.
Un silence. Puis un sourire en coin de Juliette. Elle se tourna vers Baptiste.
— Ça te dérange ?
Il haussa les épaules.
— Si ça l’excite autant que moi, non.
Juliette se tourna vers moi, sérieuse.
— Tu restes sur ton lit. Tu touches pas. Tu regardes. D’accord ?
— Promis.
Je me suis assise au bord de mon lit, à un mètre d’eux. Mon cœur battait si fort que j’en avais mal aux tempes.
Baptiste s’est penché sur Juliette. Elle avait retiré complètement son haut. Ses seins étaient superbes, fermes, pleins, les tétons durs comme des billes. Il les embrassa, les lécha, les mordilla doucement. Elle fermait les yeux, soupirait. Puis elle guida sa main entre ses cuisses. Il la toucha par-dessus le tissu fin de sa culotte, doucement, comme s’il connaissait chaque centimètre.
Puis elle écarta les jambes. Il tira la culotte vers le bas. Sa chatte était rasée, rose, gonflée de désir. Il la fixa longuement. Et puis il se mit à genoux entre ses cuisses. Et il l’a mangée.
Oui, littéralement. Il léchait, suçait, jouait avec son clitoris du bout de la langue. Juliette se cambrait, sa main dans ses cheveux, ses cuisses tremblaient.
Moi, je n’en pouvais plus.
Ma main était déjà dans ma culotte. J’étais trempée. Je me caressais doucement, sans bruit. J’étais fascinée. Hypnotisée.
Baptiste remonta. Juliette l’embrassa à pleine bouche. Puis elle le branla lentement. Sa queue était raide, belle, imposante. Il la regardait avec des yeux de chien fou. Elle le regardait comme une lionne.
— Allez, viens, dit-elle.
Elle se mit à quatre pattes, les fesses hautes, la chatte offerte. Baptiste la pénétra d’un coup lent mais profond. Elle gémit, fort. Moi, j’enfonçais mes doigts dans ma culotte pour ne pas crier.
Il la baisait comme un mâle affamé. Les coups de reins claquaient. Ses couilles frappaient ses fesses. Juliette gémissait, se touchait en même temps. C’était cru. C’était animal. Et c’était magnifique.
Il l’a baisée plus fort. Plus vite. Jusqu’à ce qu’il gémisse, se retire, et jouisse sur ses fesses. Un jet blanc, épais, qui coulait lentement le long de ses reins. Elle souriait, les yeux fermés.
Moi, j’ai joui en silence, les doigts trempés, le souffle court.
— Putain... dit Baptiste en se laissant tomber à côté d’elle. C’était dingue.
Juliette s’est tournée vers moi, nue, glorieuse.
— Alors, Kristina ? Tu regardes toujours ? Tu veux qu’on recommence ? Peut-être à trois ?
Je ne pouvais plus parler. J’étais tremblante. Mais j’ai su que ce n’était pas fini.
Baptiste s’était rhabillé à la hâte, encore rouge, son maillot à moitié enfilé. Juliette, nue, allongée de tout son long sur son lit, ne bougeait pas. Elle était calme, détendue, le dos encore luisant du sperme de Baptiste qui coulait lentement entre ses omoplates.
Je me levai sans un mot pour aller chercher un mouchoir. Je lui tendis. Elle me regarda, un sourire en coin.
— Tu veux le lécher plutôt ?
Je baissai les yeux, honteuse… et excitée. Ma culotte était encore humide de ma propre jouissance. Je secouai la tête, vaguement.
Elle s’essuya lentement, puis se redressa, toujours nue, ses seins lourds encore gonflés de plaisir.
— T’as aimé nous regarder, hein ?
— Oui…
Ma voix était rauque. J’étais rouge jusqu’aux oreilles.
— T’as envie de plus ?
Je n’ai pas répondu. Je l’ai regardée. Elle s’est levée. Lentement. Sa chatte était nue, légèrement rougie, encore brillante de plaisir. Elle s’approcha de moi. Très près. Son odeur m’enveloppa. Mélange de peau, de sueur, de sexe.
— Tu m’as matée toute la semaine. J’ai bien vu comment tu me regardais.
Elle me fixait droit dans les yeux. Je ne bougeais pas.
— Tu veux m’embrasser ? demanda-t-elle, presque en chuchotant.
Je hochai la tête. Lentement.
Ses lèvres ont effleuré les miennes. Douces. Fermes. Sensuelles. Puis un deuxième baiser. Plus profond. Nos langues se sont cherchées, trouvées, caressées. Elle m’a embrassée avec une assurance qui m’a coupé le souffle. Et moi, j’ai répondu. Avec faim.
Ses mains ont glissé sur mes hanches, puis sous mon t-shirt. Elle l’a relevé doucement, dévoilant mes seins. Elle les a regardés un instant. Puis elle les a pris à pleines mains.
— Ils sont petits, mais parfaits. Je les adore.
Sa bouche s’est refermée sur l’un, sa langue jouant avec le téton dur. J’ai gémi. Je n’avais jamais été touchée comme ça par une fille. Jamais imaginé que ce serait aussi bon.
Je me suis laissée déshabiller. Ma culotte a glissé au sol. J’étais nue, offerte. Juliette me poussa doucement sur mon lit. Elle s’est couchée sur moi, peau contre peau, seins contre seins, ses cuisses entre les miennes.
— Laisse-toi faire, souffla-t-elle.
Je me suis abandonnée. Sa bouche glissait sur mon cou, mes épaules, mon ventre. Puis elle est descendue entre mes cuisses. Et quand sa langue a effleuré ma chatte, j’ai cru exploser.
Elle m’a léchée lentement, méthodiquement. Elle savait exactement ce qu’elle faisait. Chaque coup de langue, chaque pression, chaque pause me rendait folle. J’étais trempée, tremblante, étalée sur le lit comme un fruit trop mûr.
J’ai joui. Fort. En criant son prénom.
Elle a relevé la tête, le menton luisant, et m’a embrassée. Je sentis mon propre goût sur ses lèvres. C’était étrange. Électrique. Intime.
Puis elle se mit à califourchon sur moi, sa chatte contre la mienne. Et elle se mit à frotter. Un mouvement lent, rythmé. Je sentais sa mouille contre la mienne. Une friction directe, intense, animale.
Nos corps se cherchaient, se frottaient, nos seins se touchaient, nos souffles s’accéléraient. Elle m’a regardée droit dans les yeux, ses mains sur mes épaules, et m’a soufflé :
— Tu veux que je jouisse sur ton visage ?
Je n’ai pas répondu. Juste ouvert la bouche.
Elle s’est avancée, s’est agenouillée sur mon visage, et a guidé ma tête. Ma langue l’a trouvée immédiatement. Sa chatte sentait le sexe, le sel, le plaisir. Je l’ai léchée avec autant de rage que de douceur.
Elle s’est mise à gémir, à trembler. Elle m’a tenue par les cheveux. Et elle a joui. Fort. Longtemps. En criant. Son jus a coulé sur ma bouche, mon menton. Et j’ai tout bu.
Elle s’est effondrée à côté de moi. Nos deux corps trempés, luisants, emboîtés dans la moiteur de la nuit.
— Tu t’en sors pas mal, pour une première fois, dit-elle dans un souffle.
— C’était… incroyable.
— Et ce n’est que le début.
Je l’ai cru
Ils étaient là.
Juliette allongée sur son lit, seins nus, les tétons bien dressés. Baptiste entre ses jambes, torse nu, penché sur elle. Il la léchait. Profondément. Langoureusement. Elle avait la tête en arrière, les jambes écartées, les ongles plantés dans les draps.
Ils ne m’avaient pas entendue. Et moi, paralysée sur le seuil, j’observais. Mon cœur battait trop vite. J’étais trempée. Littéralement.
Juliette gémit, se redressa légèrement, et m’aperçut.
— Oh merde… Kris !
SAINT-RAPHAEL - ÉTÉ 2018 — CHAPITRE 3
Je fis un pas en arrière, confuse.
— Pardon, j’voulais pas…
Mais elle m’arrêta d’un geste.
— Reste. S’il te plaît. Dis rien à mes parents… Ils sont à fond sur mon copain officiel et là, franchement, j’ai pas envie d’expliquer.
Elle se redressa, remit vaguement son haut sur ses seins, sans le nouer. Baptiste, rouge vif, s’était couvert le sexe avec un coussin.
— J’dirai rien, soufflai-je. Mais...
— Mais ? demanda Juliette en plissant les yeux.
Je les regardai tous les deux. Mon ventre tordu d’envie. Mon sexe qui palpitait. Ma voix était basse.
— J’aimerais voir. Juste... vous regarder. J’ai envie de comprendre. Comment on fait, comment... c’est.
Un silence. Puis un sourire en coin de Juliette. Elle se tourna vers Baptiste.
— Ça te dérange ?
Il haussa les épaules.
— Si ça l’excite autant que moi, non.
Juliette se tourna vers moi, sérieuse.
— Tu restes sur ton lit. Tu touches pas. Tu regardes. D’accord ?
— Promis.
Je me suis assise au bord de mon lit, à un mètre d’eux. Mon cœur battait si fort que j’en avais mal aux tempes.
Baptiste s’est penché sur Juliette. Elle avait retiré complètement son haut. Ses seins étaient superbes, fermes, pleins, les tétons durs comme des billes. Il les embrassa, les lécha, les mordilla doucement. Elle fermait les yeux, soupirait. Puis elle guida sa main entre ses cuisses. Il la toucha par-dessus le tissu fin de sa culotte, doucement, comme s’il connaissait chaque centimètre.
Puis elle écarta les jambes. Il tira la culotte vers le bas. Sa chatte était rasée, rose, gonflée de désir. Il la fixa longuement. Et puis il se mit à genoux entre ses cuisses. Et il l’a mangée.
Oui, littéralement. Il léchait, suçait, jouait avec son clitoris du bout de la langue. Juliette se cambrait, sa main dans ses cheveux, ses cuisses tremblaient.
Moi, je n’en pouvais plus.
Ma main était déjà dans ma culotte. J’étais trempée. Je me caressais doucement, sans bruit. J’étais fascinée. Hypnotisée.
Baptiste remonta. Juliette l’embrassa à pleine bouche. Puis elle le branla lentement. Sa queue était raide, belle, imposante. Il la regardait avec des yeux de chien fou. Elle le regardait comme une lionne.
— Allez, viens, dit-elle.
Elle se mit à quatre pattes, les fesses hautes, la chatte offerte. Baptiste la pénétra d’un coup lent mais profond. Elle gémit, fort. Moi, j’enfonçais mes doigts dans ma culotte pour ne pas crier.
Il la baisait comme un mâle affamé. Les coups de reins claquaient. Ses couilles frappaient ses fesses. Juliette gémissait, se touchait en même temps. C’était cru. C’était animal. Et c’était magnifique.
Il l’a baisée plus fort. Plus vite. Jusqu’à ce qu’il gémisse, se retire, et jouisse sur ses fesses. Un jet blanc, épais, qui coulait lentement le long de ses reins. Elle souriait, les yeux fermés.
Moi, j’ai joui en silence, les doigts trempés, le souffle court.
— Putain... dit Baptiste en se laissant tomber à côté d’elle. C’était dingue.
Juliette s’est tournée vers moi, nue, glorieuse.
— Alors, Kristina ? Tu regardes toujours ? Tu veux qu’on recommence ? Peut-être à trois ?
Je ne pouvais plus parler. J’étais tremblante. Mais j’ai su que ce n’était pas fini.
Baptiste s’était rhabillé à la hâte, encore rouge, son maillot à moitié enfilé. Juliette, nue, allongée de tout son long sur son lit, ne bougeait pas. Elle était calme, détendue, le dos encore luisant du sperme de Baptiste qui coulait lentement entre ses omoplates.
Je me levai sans un mot pour aller chercher un mouchoir. Je lui tendis. Elle me regarda, un sourire en coin.
— Tu veux le lécher plutôt ?
Je baissai les yeux, honteuse… et excitée. Ma culotte était encore humide de ma propre jouissance. Je secouai la tête, vaguement.
Elle s’essuya lentement, puis se redressa, toujours nue, ses seins lourds encore gonflés de plaisir.
— T’as aimé nous regarder, hein ?
— Oui…
Ma voix était rauque. J’étais rouge jusqu’aux oreilles.
— T’as envie de plus ?
Je n’ai pas répondu. Je l’ai regardée. Elle s’est levée. Lentement. Sa chatte était nue, légèrement rougie, encore brillante de plaisir. Elle s’approcha de moi. Très près. Son odeur m’enveloppa. Mélange de peau, de sueur, de sexe.
— Tu m’as matée toute la semaine. J’ai bien vu comment tu me regardais.
Elle me fixait droit dans les yeux. Je ne bougeais pas.
— Tu veux m’embrasser ? demanda-t-elle, presque en chuchotant.
Je hochai la tête. Lentement.
Ses lèvres ont effleuré les miennes. Douces. Fermes. Sensuelles. Puis un deuxième baiser. Plus profond. Nos langues se sont cherchées, trouvées, caressées. Elle m’a embrassée avec une assurance qui m’a coupé le souffle. Et moi, j’ai répondu. Avec faim.
Ses mains ont glissé sur mes hanches, puis sous mon t-shirt. Elle l’a relevé doucement, dévoilant mes seins. Elle les a regardés un instant. Puis elle les a pris à pleines mains.
— Ils sont petits, mais parfaits. Je les adore.
Sa bouche s’est refermée sur l’un, sa langue jouant avec le téton dur. J’ai gémi. Je n’avais jamais été touchée comme ça par une fille. Jamais imaginé que ce serait aussi bon.
Je me suis laissée déshabiller. Ma culotte a glissé au sol. J’étais nue, offerte. Juliette me poussa doucement sur mon lit. Elle s’est couchée sur moi, peau contre peau, seins contre seins, ses cuisses entre les miennes.
— Laisse-toi faire, souffla-t-elle.
Je me suis abandonnée. Sa bouche glissait sur mon cou, mes épaules, mon ventre. Puis elle est descendue entre mes cuisses. Et quand sa langue a effleuré ma chatte, j’ai cru exploser.
Elle m’a léchée lentement, méthodiquement. Elle savait exactement ce qu’elle faisait. Chaque coup de langue, chaque pression, chaque pause me rendait folle. J’étais trempée, tremblante, étalée sur le lit comme un fruit trop mûr.
J’ai joui. Fort. En criant son prénom.
Elle a relevé la tête, le menton luisant, et m’a embrassée. Je sentis mon propre goût sur ses lèvres. C’était étrange. Électrique. Intime.
Puis elle se mit à califourchon sur moi, sa chatte contre la mienne. Et elle se mit à frotter. Un mouvement lent, rythmé. Je sentais sa mouille contre la mienne. Une friction directe, intense, animale.
Nos corps se cherchaient, se frottaient, nos seins se touchaient, nos souffles s’accéléraient. Elle m’a regardée droit dans les yeux, ses mains sur mes épaules, et m’a soufflé :
— Tu veux que je jouisse sur ton visage ?
Je n’ai pas répondu. Juste ouvert la bouche.
Elle s’est avancée, s’est agenouillée sur mon visage, et a guidé ma tête. Ma langue l’a trouvée immédiatement. Sa chatte sentait le sexe, le sel, le plaisir. Je l’ai léchée avec autant de rage que de douceur.
Elle s’est mise à gémir, à trembler. Elle m’a tenue par les cheveux. Et elle a joui. Fort. Longtemps. En criant. Son jus a coulé sur ma bouche, mon menton. Et j’ai tout bu.
Elle s’est effondrée à côté de moi. Nos deux corps trempés, luisants, emboîtés dans la moiteur de la nuit.
— Tu t’en sors pas mal, pour une première fois, dit-elle dans un souffle.
— C’était… incroyable.
— Et ce n’est que le début.
Je l’ai cru
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je confirme, la suite est tout aussi excitante que les deux chapitres précédents. J'ai hâte de découvrir la suite!
Je viens de lire tes trois histoires, elles sont captivantes et excitantes...
J'ai hâte de continuer à te lire 🥰🥰🥰
Cyrille
J'ai hâte de continuer à te lire 🥰🥰🥰
Cyrille

