Scènes (érotiques) de la vie conjugale (2/5)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Scènes (érotiques) de la vie conjugale (2/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Scènes (érotiques) de la vie conjugale (2/5)
Cette série en cinq volets mets en scène des couples "normaux" pris d'une inspiration érotique subite qui les fait sortir de la routine conjugale. A raison de deux couples par épisode.

AGNES ET OLIVIER DECOUVRENT LE CANDAULISME
Olivier venait de rentrer du travail lorsqu'il trouva son épouse Agnès en compagnie d'un homme d'une quarantaine d'années, donc de leur âge, en train de parler. A son arrivée, l'homme se leva et Agnès le présenta comme François, "un copain de jeunesse qui m'a retrouvée sur internet". L'homme, mince et au crâne rasé, était sympathique, s'annonçait divorcé avec deux enfants en garde alternée et employé dans une grosse boite privée dans la ville voisine.
Quand il fut parti, Olivier interrogea son épouse sur cette connaissance. Agnès reconnut qu'il s'agissait d'un ancien amant, "préalable à notre rencontre", insista-t-elle. Et de donner quelques précisions sur cette liaison qui s'acheva quand celui qui était alors un jeune homme dut partir en stage à l'étranger.
- On ne s'est pas revu depuis, même pas écrit, reconnut-elle, laissant entendre un regret. Et d'ajouter : "tu n'es pas jaloux au moins ?"
Non, Olivier n'était pas jaloux. Au contraire. C'était même une occasion en or pour satisfaire un vieux fantasme. Voilà longtemps qu'il rêvait de voir Agnès faire l'amour avec un autre homme en sa présence. Il lui en avait déjà parlé mais elle avait toujours repoussé l'invite, prétextant l'impossibilité "de baiser avec des inconnus". Or, inconnu, François ne l'était en rien. Et Olivier était persuadé qu'il aspirait secrètement à "refaire du sexe" avec Agnès.
Car tous les hommes qui avaient eu la chance de l'avoir dans leur lit en avaient conservé un souvenir inoubliable. Petite femme rondelette aux cheveux bruns mi-longs, au visage lunaire et aux yeux candides, elle n'était pas de celles vers qui les hommes se retournent après les avoir croisés. Elle affichait tous les signes de la banalité, même si ses seins lourds et son fessier copieux pouvaient en inspirer certains.

Mais au lit, cette femme ordinaire, désormais mère de famille, documentaliste de profession, était comme le Vésuve en éruption. Tout en elle montrait en ces circonstances qu'elle était née pour le sexe et vouée au sexe. Son passage dans un lit transformait celui-ci en véritable chantier. Elle donnait un plaisir fou à ses amants, valorisés par son enthousiasme érotique, mais ils devaient en contrepartie "assurer". D'où une certaine sélection à laquelle Olivier avait survécu, pour son bonheur, mais non sans dépenser beaucoup d'énergie.

C'est pourquoi l'option candauliste avait fini par lui venir à l'esprit, d'autant qu'il était curieux de voir son épouse à l'oeuvre avec un autre que lui.
Aussi, quand il lui proposa de revoir François "dans l'intimité", Agnès comprit où il voulait en venir. Elle tergiversa, minauda, atermoya et finalement accepta "pour te faire plaisir", dit-elle à son mari. Pas dupe sur le coup.
Et c'est ainsi que François fit son apparition un soir pour un diner, nanti d'un bouquet de fleurs. A l'instigation d'Olivier, Agnès avait envoyé ses enfants chez leurs copains pour la nuit. Elle avait revêtu une mini robe tellement décolletée que seules les larges aréoles étaient dissimulées, exposant ses glorieuses mamelles comme des trophées. Elle déambulait dans la pièce la croupe frémissante sous la toile légère. Tout en elle évoquait le sexe et la pomme d'Adam de François n'en finissait pas dans les allées et venues le long de sa gorge.

A la fin du repas, généreusement arrosé, Olivier profita de l'éloignement d'Agnès dans la cuisine pour jouer carte sur table avec l'invité.
- Je sais quelles ont été vos relations. Et je sais le plaisir que tu as pu prendre avec elle. Et le plaisir qu'elle a pris avec toi. Tu as envie de la baiser à nouveau, n'est-ce pas ?
- Euh... C'est surprenant, ta question.
- Je vais te parler franchement. Elle en a envie et moi j'en ai envie pour elle. Et pour toi. Vous allez baiser tous les deux ici même, ce soir. Mais devant moi.
François marqua un temps d'arrêt, lié à la surprise. Mais Olivier avait l'air sérieux; Sur ces entrefaites, Agnès réapparut, l'oeil pétillant et un sourire en coin. Olivier l'informa de la conversation avec son ex amant. Aussitôt, Agnès, les joues rosies par le vin, s'assit sur ses genoux et sentit le pénis durci de l'invité sous ses fesses.
- Tu as envie de moi, hein ? lui dit-elle. Et elle l'embrassa sur la bouche.

Olivier avait beau connaitre le tempérament de son épouse, il fut quand même un peu surpris de la rapidité de sa conversion au candaulisme. Dès lors, tout s'enchaina. Agnès prit François par la main et l'entraina dans la chambre conjugale. Olivier s'effaça provisoirement, laissant les deux amants à leurs retrouvailles érotiques, ou plutôt à leurs préliminaires. Quand il entra dans la chambre, le couple, nu, était en plein 69, Agnès dessus pompant le dard de François avec ardeur, lui le visage enfoui sous le généreux fessier de la quadragénaire. Il se déshabilla à son tour et se mua en observateur, tournant autour du lit pour apprécier un spectacle qui le mettait déjà en transes.

Agnès se détacha et vint s'empaler sur le dard désormais capoté et tendu de François, frottant ses gros nichons contre le torse glabre de son amant. Olivier fut alors stupéfait par la souplesse du bassin de son épouse que seule la vision périphérique lui permettait de découvrir. Il semblait mû par une énergie autonome, virevoltait, clapotait, entrainant un frottement intense et multiplié sur le pénis rigide. Mais ce qui excita encore plus François fut qu'Agnès tournait en même temps le visage vers lui, l'air de dire "tu vois comme je baise et comme j'aime ça". Elle se retourna, toujours empalée, exposant sa croupe mouvante aux yeux de son amant, très enfoncé en elle. Pris d'une inspiration, Olivier lui offrit sa queue à sucer et elle le goba les yeux dans les yeux. Agnès vivait pleinement son trio.

Mais son amant voulut reprendre l'initiative. Il la bascula, lui écarta les jambes et la fouilla vigoureusement, faisant trembler ses seins lourds au point qu'elle dut les saisir pour les contenir. Jusqu'alors, elle s'était contentée de gémir et de soupirer. Mais la virulence de son amant la fit monter d'un cran dans les décibels. Elle se mit à couiner, à piailler, à miauler et même à lâcher quelques mots crus qu'Olivier n'avait pas entendu depuis longtemps dans sa bouche. François la pilonnait avec une telle ardeur qu'Olivier se demanda s'il n'avait pas une revanche à prendre. Il tournait autour du lit pour observer l'expression des visages, crispé chez l'un, extasié chez l'autre, pour voir aussi de près la réalité de la pénétration d'Agnès qu'il ne pouvait constater lui-même dans leur accouplement, sa vulve béante, juteuse, creusée par le pilon. Les couilles ballottantes de l'amant de sa femme le fascinaient. Agnès se prit les pieds à pleines mains, clama un "ouiiii" assourdissant et François poussa un grognement synonyme d'éjaculation. Il retira vivement son latex et arrosa les seins d'Agnès d'un sperme épais, concentré par des jours d'abstinence. Et s'effondra sur le corps dodu de celle qui venait de connaitre un orgasme violent. François avait aussi éjaculé et offrit sa queue à la bouche de son épouse pour qu'elle constate le plaisir qu'il avait pris. Et lui dit : "merci chérie, c'était super".

Une fois douché, le trio se retrouva autour de la table de la cuisine pour un expresso revigorant. Seule Agnès était restée nue et tout dans son attitude laissait supposer qu'elle était prête à remettre le couvert. D'ailleurs, elle dit à François :- On se revoit quand ?
L'intéressé resta évasif. Comme si la séance particulière qu'il venait de vivre avait assouvi un désir longtemps enfoui. Et comme s'il ne voulait pas institutionnaliser une relation à trois qui finirait pas mettre à mal le couple légitime. Celui-ci en fut donc réduit par la suite à espérer son retour, comme une bonne surprise pour pimenter sa vie sexuelle. Laquelle, qu'on se rassure, ne fut pas pour autant triste.

CORINNE ET CHRISTOPHE DANS LA SALLE DE BAINS
Depuis quelque semaines, Corinne se trouvait embarrassée. Ludovic, son jeune chef de service, ne cessait de tourner autour d'elle avec une manière laissant supposer qu'il lui faisait la cour. Certes, Corinne se sentait flattée qu'à 50 ans tout juste, un homme aussi séduisant, de dix ans moins qu'âgé qu'elle, lui manifeste autant d'intérêt. Mais elle était mariée à Christophe et n'était aucunement tentée par une double vie. Un soir qu'il s'était montré un peu trop pressant, elle avait tenté discrètement de le faire comprendre à Ludovic en lui avouant (difficilement) son âge. Il avait balayé l'objection d'un revers de main en lui disant qu'elle faisait "dix ans plus jeune". Il lui avait même demandé si, dans sa jeunesse, elle n'avait pas été "miss" quelque part.

De fait, sa taille élancée, ses longues jambes, son corps harmonieux et son visage sans défauts lui avait valu d'être couronnée reine de beauté à vingt ans dans son département. Elle avait échoué de peu à l'échelon régional pour concourir au titre de miss France. Force était de reconnaitre qu'elle avait conservé "de beaux restes", nonobstant quelques rides au coin des yeux et un peu de cellulite sur ses fesses... mais encore fallait-il aller y voir.
Mais rien à faire, Ludovic ne renonçait pas à la séduire. En fait, disons-le crûment, à la baiser. Il l'invitait souvent à déjeuner et Corinne finit par se demander si elle résisterait le jour où il lui proposerait d'entrer dans un hôtel après le repas. D'autant que Christophe, depuis quelque temps, semblait moins ardent au lit. Le contraste avec l'appétit sexuel de Ludovic à son égard finissait par la perturber. On peut être épouse et pas moins femme. Ou femelle. Elle en arriva même à se demander comment était sa bite.

Or, de ce point de vue, la nature avait particulièrement gâté Christophe. Son pénis était ce qui pouvait se faire de mieux en matière esthétique, longueur, épaisseur et rigidité. Il avait transporté Corinne dès leur rencontre au sommet de la félicité sexuelle et elle n'avait jamais éprouvé le besoin d'en changer. Voilà pourquoi, malgré les années passées, elle se trouvait présentement en manque. Il l'avait droguée à sa queue, d'autant qu'il savait s'en servir, le gaillard !
Aussi prit-elle une résolution. Pour ne pas sombrer dans l'adultère, il fallait réveiller cette bite formidable mais un peu endormie. Et c'est ainsi qu'un dimanche matin au réveil, Corinne tâta le lit à côté d'elle mais n'y trouva pas Christophe alors qu'elle lui aurait bien fait une gâterie préliminaire. Il prenait déjà sa douche, elle l'entendait dans la salle de bain voisine. Ni une ni deux : elle fit passer sa nuisette par dessus sa tête et entra nue dans la cabine de douche, où Christophe se prélassait.

Lorsqu'il la vit entrer, il marqua sa surprise.
- Mais qu'est-ce que tu fais ? Tu ne peux pas attendre que j'ai fini ?
Au lieu de répondre, Corinne l'embrassa sur la bouche tout en lui palpant les couilles. Christophe avait évidemment compris l'intention de son épouse. A fortiori quand elle s'accroupit sous le jet puissant de la douche qui noya sa chevelure blonde et prit son membre viril pour le porter entre ses lèvres. Christophe soupira un grand coup. Sa chère Coco était décidément imprévisible. Ce n'était pas la première fois qu'elle prenait une initiative érotique mais il y avait un bout de temps que ce n'était pas arrivé. Pourquoi ce matin ? Allez savoir. En tout cas, sa bouche active ne tarda pas à produire ses effets. La queue pendante de Christophe prit une allure horizontale qui rassura Corinne. Il pourrait l'honorer comme elle l'espérait. Après s'être attardée sur son gland, désormais gros comme un abricot, elle le prit par la queue et le sortit de la douche. Christophe crut qu'elle allait l'entrainer au lit sans se sécher. Ce n'était pas l'idée de Corinne. Sans quitter la salle de bains, elle s'assit sur la large tablette entourant le lavabo, dos au miroir, et dit :- Lèche-moi d'abord. J'ai envie que tu me baises ici.

Elle avait dit "baiser". Et pas "faire l'amour". Christophe comprit que Corinne se trouvait dans un état d'esprit érotique qui allait le contraindre à se surpasser pour la faire jouir. Il n'avait plus qu'à relever le défi. Accroupi, il plongea son museau entre les cuisses fuselées de l'ex miss et entreprit de laper, de titiller, de sucer avec une habileté suffisante pour la voir remuer son bassin et pousser quelques gros soupirs. Elle dégoulinait et ce n'était pas le reste de l'eau de la douche. Puis il se releva et l'enfila avec d'autant plus de facilité que sa queue était exactement à la bonne hauteur. Il connaissait le pouvoir de son membre, sa capacité volumineuse d'envahissement mais encore fallait-il qu'il soit suffisamment raide pour visiter les profondeurs intimes de son épouse. A l'attitude de celle-ci, rayonnante, extasiée, volubile, il comprit qu'elle obtenait ce qu'elle désirait : être réellement baisée. Ses talons plantés dans ses reins accompagnaient ses coups de boutoir savamment dosés pour ne pas éjaculer prématurément et néanmoins bien raboter des parois vaginales surexcitées. Il aurait pu creuser ainsi longtemps mais en s'observant dans le miroir, concentré et maitre de lui, l'idée lui vint d'inverser les rôles. Il se détacha et positionna Corinne debout face au miroir en lui écartant les jambes. La longueur de celles-ci lui permit de s'enfoncer en elle sans trop fléchir les siennes. Et Corinne put se découvrir en train d'être baisée par son mari, en direct live, le visage de Christophe légèrement en arrière-plan.

Cette position mêlant exhibitionnisme et voyeurisme, même dans l'intimité conjugale et dans une salle de bain, lui procura d'emblée un plaisir intense. C'est à peine si elle se reconnut avec ses rictus, ses halètements, le balancement de ses cheveux mouillés et de ses seins chahutés par les vigoureux assauts du pénis surpuissant qui la fouillait de fond en comble. Mais Christophe se régalait aussi de ses expressions qui la rendaient tout juste reconnaissable. Jusqu'à la raucité de sa voix quand elle l'implora :- C'est merveilleux chéri, je t'en supplie, continue, t'arrête pas...
Puis plus crue, autant pour l'encourager que pour s'exciter elle-même :- Ah qu'elle est bonne ta grosse bite ! Ah que je l'aime !

Il dut pourtant se retirer brutalement car son sperme se bousculait au bord du gland. Il fit un effort surhumain pas ne pas tout lâcher. Elle s'en aperçut et lui fut reconnaissante d'avoir attendu son orgasme. Christophe était décidément un magnifique amant. A quoi bon changer, se dit-elle in petto.
Alors, elle tira une serviette et la déploya sur le carrelage avant de s'y allonger, très ouverte :- Allez, défonce-moi maintenant, secoue-moi bien, on va jouir ensemble.
Christophe se serait mieux vu sur le lit voisin mais Corinne était décidée à forniquer dans la salle de bains. Elle l'entoura de ses longues jambes et la queue trouva la cible avec une précision de laser. Une cavalcade intense commença, qui allait les amener au plaisir commun. Tantôt les pieds au sol, tantôt croisés dans son dos, Corinne ruait comme un cheval de rodéo en râlant, gargouillant, couinant, lâchant un "oh ta biiiite" qui survolta son égo de mâle en rut.
- Tu baises, hein, tu baises ? souffla-t-il en roulant les hanches.
- Ouiiii ouiii je baaise ! répondit-elle en lui griffant les fesses.

Il finit par éjaculer, en sueur autant qu'elle, essoufflé autant qu'elle. Il ne le savait pas mais il venait de la dissuader définitivement de céder à l'adultère avec son chef de service. Elle serait désormais apaisée, comblée, certifiée dans son état d'épouse amoureuse et... un peu cochonne.
Ils retournèrent à la douche, cette fois chastement, mais tendrement.
Et c'est alors qu'on frappa à la porte :- Alors, je peux prendre ma douche maintenant, ça fait un moment que vous êtes là !
C'était leur fille adolescente. Ils l'avaient complètement oubliée dans leur frénésie érotique d'un dimanche matin.

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