Scènes (érotiques) de la vie conjugale (3/5)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Scènes (érotiques) de la vie conjugale (3/5)
Cette série en cinq volets mets en scène des couples "normaux" pris d'une inspiration érotique subite qui les fait sortir de la routine conjugale. A raison de deux couples par épisode.
ELISE ET OLIVIER EN REUNION FAMILIALE
Comme chaque année, Elise et Olivier se retrouvaient dans la réunion familiale chez la soeur de l'une et le beau-frère de l'autre avec les enfants pour fêter l'anniversaire de la grand-mère. Réunion que le couple trentenaire vivait avec un certain ennui, surtout à table. Voilà pourquoi Olivier mit la main sur la cuisse d'Elise, dénudée par sa mini robe. Celle-ci prit d'abord ce geste pour une marque d'affection et posa la main sur celle de son mari. Mais celui-ci avait une autre idée. Centimètre par centimètre, sa main se déplaça vers le haut de la cuisse. Dans un premier temps, Elise tenta de freiner la progression, en lui faisant les gros yeux, l'air de dire, "t'es pas fou ou quoi ?". Mais la pression masculine était trop forte et un doigt d'Olivier finit par atteindre le string, et même s'y insinuer.
Elise comprit qu'il ne servait à rien de lutter. Cela ne ferait qu'alerter l'entourage. Et d'ailleurs, ce doigt fureteur, qui avait rencontre une incontestable humidité, avait fini par l'émouvoir. Son regard devint un peu vitreux, sa langue lécha ses lèvres et Olivier perçut même une légère ondulation de son bassin. Quand il tira sur l'élastique du string, Elise décolla légèrement les fesses de sa chaise pour l'aider et une fois le string sur ses chevilles, elle se baissa comme pour se gratter le mollet et attrapa le frêle vêtement pour le fourrer prestement dans son sac à main. Quand Olivier lui murmura à l'oreille "j'ai envie de te baiser, là, tout de suite", Elise ne répondit rien. Mais elle se leva pour parler discrètement à sa soeur, puissance invitante. Olivier sut plus tard qu'elle lui avait demandé "pour une urgence" d'occuper sa chambre. La soeur adressa à Olivier un regard mutin et complice tandis qu'Elise se dirigeait en ondulant vers l'escalier, juchée sur ses escarpins.
Olivier bandait déjà. Il était fou du corps de son épouse, petit format aux seins menus et au torse mince mais dotée d'une cambrure qui lui faisait un fessier appelant la main de l'homme. On pouvait juger son physique un peu dissymétrique d'autant qu'elle était aussi assez forte en cuisses mais son visage pur encadré d'une opulente chevelure châtain emportait toutes les imperfections. D'autant qu'elle avait la chair très ferme. Il annonça sortir fumer une cigarette mais à peine sorti de la salle à manger, courut dans l'escalier retrouver sa dulcinée.
Celle-ci l'attendait devant la porte de la chambre, déjà débarrassée de ses escarpins.
- Tu m'as mis le feu, maintenant tu as intérêt à être à la hauteur, lui dit-elle en faisant déjà passer sa robe par-dessus sa tête, à peine la porte de la chambre fermée à clé.
Olivier se débarrassa laborieusement de son pantalon fuseau, libérant un pénis court mais épais qu'Elise porta aussitôt à sa bouche après avoir dégrafé son soutif. Mais le couple avait trop envie de fusionner pour s'attarder à des préliminaires. Elise attrapa une serviette dans la salle de bains, l'étendit sur le lit, s'y allongea cuisses ouvertes et somma Olivier :- Baise-moi, tout de suite !
Il reconnut bien là l'appétit de son épouse, adorant ce genre d'impromptu sexuel. Il lui prit les chevilles, les écarta et s'enfonça recta, scrutant son visage pour y déceler le plaisir. Il lui adressa en limant quelques mots du cul auxquels elle répondit sur le même mode, attitude si peu conforme à l'image plutôt sage et conventionnelle qu'elle présentait dans la vie ordinaire. Il mit ses petits pieds contre ses oreilles et elle put ainsi remuer tout à loisir grâce à cet appui. Elle se mordit la main pour ne pas crier, signe pour Olivier qu'elle prenait son panard. Elle rua sous lui pour provoquer sa jouissance et la rejoindre, tout autant que pour hâter l'issue de ce coït frauduleux quoique conjugal. Et quand il s'abandonna en elle, elle l'enlaça et l'embrassa amoureusement puis pompa les dernières gouttes de son membre viril. Ils se rhabillèrent rapidement, descendirent les escaliers séparément, Olivier faisant un détour pour avoir l'air de sortir du jardin. Il rencontra néanmoins le regard amusé de la belle-soeur, qu'il savait aussi coquine qu'Elise, mais c'est un autre sujet.
On en était au dessert, une crème à la vanille. Elle eut dans la bouche d'Elise un léger goût de sperme.
FRANCOISE ET JEAN-YVES A LA PLAGE
Ceux qui fréquentent les plages naturistes savent qu'elles sont majoritairement occupées par des couples d'âge mûr, post soixante-huitards et sexuellement libérés. Françoise et Jean-Yves étaient de ceux-là. Intégralement bronzés par une pratique assidue, elle plutôt courte sur pattes avec des seins opulents et un cul joufflu, lui grand, mince et chauve, à la queue pendante, ils se fondaient parfaitement dans l'ambiance. Le temps de la relation amoureuse des débuts conjugaux s'était peu à peu transformée et une pratique sexuelle éliminée des anciens tabous, inventive, décomplexée, peu conventionnelle, quoique parfaitement fidèle, malgré une petite perte d'énergie au fil des ans. Bref, Françoise et Jean-Yves ne faisaient plus vraiment l'amour : ils baisaient.
Ce matin là, ils profitaient d'une plage encore peu fréquentée pour exposer leurs fesses aux rayons du soleil obliques. C'était pour eux le meilleur moment de la journée. Un couple de quadragénaires leur faisait face au ras de la dune. Cela faisait un moment que l'homme, mince et dégarni, roulait des pelles à la femme, une brune aux cheveux longs, spectacle assez étonnant pour un couple de cet âge. D'autant que l'homme, à l'évidence, bandait. Ce qui fit dire à Françoise :- Je te parie que c'est un gars avec sa maîtresse.
La suite allait accréditer cette thèse. Alors que l'homme était allongé, la femme vint sur lui et s'empala sur son pénis érigé.
- Ma parole mais... ils baisent ! s'exclama Françoise, toujours à plat ventre.
- On dirait bien, oui.
De fait, la femme faisait aller et venir son bassin en se prenant les cheveux, indifférente à ses voisins de plage. Mieux : elle se mit sur ses pieds et se mit à tressauter, si bien que Françoise et Jean-Yves entendirent les peaux claquer d'où ils étaient.
- Tu bandes ? murmura Françoise à son époux.
- Tu mouilles ? répliqua-t-il.
- Vérifie !
Effectivement, Françoise mouillait sous le doigt de Jean-Yves, qui s'attarda sur sa vulve pour une légère masturbation. L'homme en face avait basculé sa partenaire sur le dos et lui assénait de vigoureux coups de bite. Les deux voyeurs de circonstance ne disaient plus un mot, absorbés par le spectacle de ce couple très libéré. Puis l'homme éjacula et après une courte pause, le couple fornicateur se leva en direction de la mer pour se laver de leurs ébats. Au passage devant Françoise et Jean-Yves, il leur adressèrent un regard un peu ironique qui voulait dire "alors, les anciens, vous vous êtes bien rincé l'oeil ?".
- Tu as vu comme ils nous ont regardés ? Ils nous ont pris pour des ploucs, grinça Françoise.
- J'ai eu la même impression.
Puis une fois l'homme et la femme revenus sur leur serviette, Françoise glissa à Jean-Yves :- Tu sais quoi, chéri ? J'ai envie de baiser, tu m'as mis le feu avec ton doigt. On va leur montrer ce qu'on sait faire, à ces deux guignols.
Et de se lever, sa serviette à la main. Seins dressés et croupe frémissante, Françoise précéda Jean-Yves dans le sable au ras du couple allongé, comme un défi.
Une fois installés en léger surplomb de la plage, sous les pins, à portée d'oreilles des deux quadragénaires, les deux seniors sortirent le grand jeu.
- Chéri, lèche-moi d'abord avant de me mettre ta grosse bite. Mmmhhh, ah oui, c'est bon comme ça, continue, mmmhhh, ouiiiiiii, allez vite, baise-moi maintenant, j'en peux plus...
- Tu la sens bien ma grosse queue, hein ? Tu l'aimes, hein ?
- Ah ouiiii... encore... encore... t'arrête pas...
- Mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre par derrière.
- Oh ! Ah ! Mmmmhhh... Mais... tu veux m'enculer maintenant ?
- Tu en as envie ou pas, chérie ?
- Oui, oui, fais-le, fais-le !
On passe sur tous les mots du cul qui suivirent et qui auraient fait rougir les arbres s'ils avaient eu une âme humaine. Et quand Françoise s'exclama "jouis dans mon cul ! Jouis dans mon cul !", un double râle fut suivi d'un silence seulement troublé par le bruit des vagues proche.
En se redressant, ils aperçurent deux têtes à peine cachées par le feuillage : celles des deux quadras devenus voyeurs, qui s'abaissèrent brusquement.
Françoise et Jean-Yves éclatèrent de rire. Et quand ils descendirent de leur perchoir leur serviette à la main, les deux allongés purent entendre la pulpeuse mature dire :- On a bien baisé. Finalement, c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure sexe, n'est-ce pas chéri ?
Prochain épisode : Nathalie et Louis au travail, Sandrine et Johan à l'hôtel.
ELISE ET OLIVIER EN REUNION FAMILIALE
Comme chaque année, Elise et Olivier se retrouvaient dans la réunion familiale chez la soeur de l'une et le beau-frère de l'autre avec les enfants pour fêter l'anniversaire de la grand-mère. Réunion que le couple trentenaire vivait avec un certain ennui, surtout à table. Voilà pourquoi Olivier mit la main sur la cuisse d'Elise, dénudée par sa mini robe. Celle-ci prit d'abord ce geste pour une marque d'affection et posa la main sur celle de son mari. Mais celui-ci avait une autre idée. Centimètre par centimètre, sa main se déplaça vers le haut de la cuisse. Dans un premier temps, Elise tenta de freiner la progression, en lui faisant les gros yeux, l'air de dire, "t'es pas fou ou quoi ?". Mais la pression masculine était trop forte et un doigt d'Olivier finit par atteindre le string, et même s'y insinuer.
Elise comprit qu'il ne servait à rien de lutter. Cela ne ferait qu'alerter l'entourage. Et d'ailleurs, ce doigt fureteur, qui avait rencontre une incontestable humidité, avait fini par l'émouvoir. Son regard devint un peu vitreux, sa langue lécha ses lèvres et Olivier perçut même une légère ondulation de son bassin. Quand il tira sur l'élastique du string, Elise décolla légèrement les fesses de sa chaise pour l'aider et une fois le string sur ses chevilles, elle se baissa comme pour se gratter le mollet et attrapa le frêle vêtement pour le fourrer prestement dans son sac à main. Quand Olivier lui murmura à l'oreille "j'ai envie de te baiser, là, tout de suite", Elise ne répondit rien. Mais elle se leva pour parler discrètement à sa soeur, puissance invitante. Olivier sut plus tard qu'elle lui avait demandé "pour une urgence" d'occuper sa chambre. La soeur adressa à Olivier un regard mutin et complice tandis qu'Elise se dirigeait en ondulant vers l'escalier, juchée sur ses escarpins.
Olivier bandait déjà. Il était fou du corps de son épouse, petit format aux seins menus et au torse mince mais dotée d'une cambrure qui lui faisait un fessier appelant la main de l'homme. On pouvait juger son physique un peu dissymétrique d'autant qu'elle était aussi assez forte en cuisses mais son visage pur encadré d'une opulente chevelure châtain emportait toutes les imperfections. D'autant qu'elle avait la chair très ferme. Il annonça sortir fumer une cigarette mais à peine sorti de la salle à manger, courut dans l'escalier retrouver sa dulcinée.
Celle-ci l'attendait devant la porte de la chambre, déjà débarrassée de ses escarpins.
- Tu m'as mis le feu, maintenant tu as intérêt à être à la hauteur, lui dit-elle en faisant déjà passer sa robe par-dessus sa tête, à peine la porte de la chambre fermée à clé.
Olivier se débarrassa laborieusement de son pantalon fuseau, libérant un pénis court mais épais qu'Elise porta aussitôt à sa bouche après avoir dégrafé son soutif. Mais le couple avait trop envie de fusionner pour s'attarder à des préliminaires. Elise attrapa une serviette dans la salle de bains, l'étendit sur le lit, s'y allongea cuisses ouvertes et somma Olivier :- Baise-moi, tout de suite !
Il reconnut bien là l'appétit de son épouse, adorant ce genre d'impromptu sexuel. Il lui prit les chevilles, les écarta et s'enfonça recta, scrutant son visage pour y déceler le plaisir. Il lui adressa en limant quelques mots du cul auxquels elle répondit sur le même mode, attitude si peu conforme à l'image plutôt sage et conventionnelle qu'elle présentait dans la vie ordinaire. Il mit ses petits pieds contre ses oreilles et elle put ainsi remuer tout à loisir grâce à cet appui. Elle se mordit la main pour ne pas crier, signe pour Olivier qu'elle prenait son panard. Elle rua sous lui pour provoquer sa jouissance et la rejoindre, tout autant que pour hâter l'issue de ce coït frauduleux quoique conjugal. Et quand il s'abandonna en elle, elle l'enlaça et l'embrassa amoureusement puis pompa les dernières gouttes de son membre viril. Ils se rhabillèrent rapidement, descendirent les escaliers séparément, Olivier faisant un détour pour avoir l'air de sortir du jardin. Il rencontra néanmoins le regard amusé de la belle-soeur, qu'il savait aussi coquine qu'Elise, mais c'est un autre sujet.
On en était au dessert, une crème à la vanille. Elle eut dans la bouche d'Elise un léger goût de sperme.
FRANCOISE ET JEAN-YVES A LA PLAGE
Ceux qui fréquentent les plages naturistes savent qu'elles sont majoritairement occupées par des couples d'âge mûr, post soixante-huitards et sexuellement libérés. Françoise et Jean-Yves étaient de ceux-là. Intégralement bronzés par une pratique assidue, elle plutôt courte sur pattes avec des seins opulents et un cul joufflu, lui grand, mince et chauve, à la queue pendante, ils se fondaient parfaitement dans l'ambiance. Le temps de la relation amoureuse des débuts conjugaux s'était peu à peu transformée et une pratique sexuelle éliminée des anciens tabous, inventive, décomplexée, peu conventionnelle, quoique parfaitement fidèle, malgré une petite perte d'énergie au fil des ans. Bref, Françoise et Jean-Yves ne faisaient plus vraiment l'amour : ils baisaient.
Ce matin là, ils profitaient d'une plage encore peu fréquentée pour exposer leurs fesses aux rayons du soleil obliques. C'était pour eux le meilleur moment de la journée. Un couple de quadragénaires leur faisait face au ras de la dune. Cela faisait un moment que l'homme, mince et dégarni, roulait des pelles à la femme, une brune aux cheveux longs, spectacle assez étonnant pour un couple de cet âge. D'autant que l'homme, à l'évidence, bandait. Ce qui fit dire à Françoise :- Je te parie que c'est un gars avec sa maîtresse.
La suite allait accréditer cette thèse. Alors que l'homme était allongé, la femme vint sur lui et s'empala sur son pénis érigé.
- Ma parole mais... ils baisent ! s'exclama Françoise, toujours à plat ventre.
- On dirait bien, oui.
De fait, la femme faisait aller et venir son bassin en se prenant les cheveux, indifférente à ses voisins de plage. Mieux : elle se mit sur ses pieds et se mit à tressauter, si bien que Françoise et Jean-Yves entendirent les peaux claquer d'où ils étaient.
- Tu bandes ? murmura Françoise à son époux.
- Tu mouilles ? répliqua-t-il.
- Vérifie !
Effectivement, Françoise mouillait sous le doigt de Jean-Yves, qui s'attarda sur sa vulve pour une légère masturbation. L'homme en face avait basculé sa partenaire sur le dos et lui assénait de vigoureux coups de bite. Les deux voyeurs de circonstance ne disaient plus un mot, absorbés par le spectacle de ce couple très libéré. Puis l'homme éjacula et après une courte pause, le couple fornicateur se leva en direction de la mer pour se laver de leurs ébats. Au passage devant Françoise et Jean-Yves, il leur adressèrent un regard un peu ironique qui voulait dire "alors, les anciens, vous vous êtes bien rincé l'oeil ?".
- Tu as vu comme ils nous ont regardés ? Ils nous ont pris pour des ploucs, grinça Françoise.
- J'ai eu la même impression.
Puis une fois l'homme et la femme revenus sur leur serviette, Françoise glissa à Jean-Yves :- Tu sais quoi, chéri ? J'ai envie de baiser, tu m'as mis le feu avec ton doigt. On va leur montrer ce qu'on sait faire, à ces deux guignols.
Et de se lever, sa serviette à la main. Seins dressés et croupe frémissante, Françoise précéda Jean-Yves dans le sable au ras du couple allongé, comme un défi.
Une fois installés en léger surplomb de la plage, sous les pins, à portée d'oreilles des deux quadragénaires, les deux seniors sortirent le grand jeu.
- Chéri, lèche-moi d'abord avant de me mettre ta grosse bite. Mmmhhh, ah oui, c'est bon comme ça, continue, mmmhhh, ouiiiiiii, allez vite, baise-moi maintenant, j'en peux plus...
- Tu la sens bien ma grosse queue, hein ? Tu l'aimes, hein ?
- Ah ouiiii... encore... encore... t'arrête pas...
- Mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre par derrière.
- Oh ! Ah ! Mmmmhhh... Mais... tu veux m'enculer maintenant ?
- Tu en as envie ou pas, chérie ?
- Oui, oui, fais-le, fais-le !
On passe sur tous les mots du cul qui suivirent et qui auraient fait rougir les arbres s'ils avaient eu une âme humaine. Et quand Françoise s'exclama "jouis dans mon cul ! Jouis dans mon cul !", un double râle fut suivi d'un silence seulement troublé par le bruit des vagues proche.
En se redressant, ils aperçurent deux têtes à peine cachées par le feuillage : celles des deux quadras devenus voyeurs, qui s'abaissèrent brusquement.
Françoise et Jean-Yves éclatèrent de rire. Et quand ils descendirent de leur perchoir leur serviette à la main, les deux allongés purent entendre la pulpeuse mature dire :- On a bien baisé. Finalement, c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure sexe, n'est-ce pas chéri ?
Prochain épisode : Nathalie et Louis au travail, Sandrine et Johan à l'hôtel.
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